L' école la fabrique des crétins.

il y a 6 minutes, PASCOU a dit :

Tu es plusieurs?

Et fin.

Le sujet, rien à  foutre de tes angoisses sur les participants. 

Il y a un bouton signaler.

Donc merci de répondre  au sujet ou d' en ouvrir un autre pour parler de toi.

Merci.

Et toi tu n'est pas HS en commentant mes commentaires (j'ai aussi commenté des commentaires) ?

Tu n'as qu'à signaler mes messages HS au lieu de ne commenter que les miens alors que tu estimes que tant d'autres sont HS. Et tu verras bien si la modération est d'accord ou pas avec toi.

dbm27, si certains intervenants ont effectivement incriminer la gauche (pas insulter mais soulever la responsabilité) dans l'évolution actuelle de l'ÉN, il faut quand même admettre que depuis les années 60-70, la 'pédagogie' mise en place par l'ÉN sous l'égide des divers gouvernements depuis VGE est d'inspiration progressiste (certains diraient gauchistes), non ? Et je suis d'accord que le corps professoral qui était majoritairement de gauche entre 1970-2000 l'est beaucoup moins mais le mal est fait et dans l'esprit d'un bon nombre de Français, à tort ou à raison on a l'équation suivante:

ÉN => corps professoral gauchiste, souvent gréviste => Baisse du niveau général des élèves en fin d'études primaires et secondaires.

C'est injuste car les professeurs (quelle que soit leur orientation politique) sont 'coincés' entre la démission d'un grand nombre de parents qui pensent que l'école doit enseigner et éduquer les enfants qu'on leur confie et les différentes politiques gouvernementales qui au prétexte d'améliorer le système éducatif l'ont rendu complètement absurde et encore plus inégalitaire avec un bac 'donné' à presque tous les lycéens ... C'était un peu le message que voulait faire passer Brighelli, je pense.

Le 26/07/2022 à 16:25, dbm27 a dit :

Politiquement son discours me fait beaucoup penser à celui de Zemmour avant que le candidat se polarise sur le grand remplacement.

Brighelli est tout à fait caricatural même si je pense également qu'il y a eu des dérives dans notre système éducatif qui ne réduit plus les inégalités. 

Le collège unique est souvent la cible de ceux qui déplorent une baisse du niveau général. Mais cette unification et massification de l'accès au secondaire a longtemps permis de réduire les inégalités et a permis à une partie significative d'enfants des classes populaires de poursuivre des études qui se terminaient très massivement à la fin de l'école primaire jusque dans les années 60.

Finalement rien sur le fond du sujet .

il y a 2 minutes, PASCOU a dit :

Finalement rien sur le fond du sujet .

Si et je le répète : relis mes premiers messages. Là c'est toi qui trolles ton propre sujet.

il y a 44 minutes, K-sos a dit :

J'avais un copain qui était dans une classe différente de la mienne. C'était en 4ème. Le prof de math chevelu et barbu donnait ses cours quand c'était possible (météo) sur un morceau de pelouse. Et les collégiens le tutoyaient et l'appelait Pat (Patrick). Je ne sais pas si les élèves apprenaient mieux.

Si c'était pendant l'essor du covid, c'était peut-être par mesure d'hygiène? Par exemple, il me semble d'ailleurs que  c'est Giono qui décrit cela dans le hussard sur le toit pour le choléra, il était fréquent qu'en période de contagion, les gens fuient le village contaminé pour aller vivre dans un campement dans la nature.

il y a 8 minutes, Saturne06 a dit :

dbm27, si certains intervenants ont effectivement incriminer la gauche (pas insulter mais soulever la responsabilité) dans l'évolution actuelle de l'ÉN, il faut quand même admettre que depuis les années 60-70, la 'pédagogie' mise en place par l'ÉN sous l'égide des divers gouvernements depuis VGE est d'inspiration progressiste (certains diraient gauchistes), non ? Et je suis d'accord que le corps professoral qui était majoritairement de gauche entre 1970-2000 l'est beaucoup moins mais le mal est fait et dans l'esprit d'un bon nombre de Français, à tort ou à raison on a l'équation suivante:

ÉN => corps professoral gauchiste, souvent gréviste => Baisse du niveau général des élèves en fin d'études primaires et secondaires.

C'est injuste car les professeurs (quelle que soit leur orientation politique) sont 'coincés' entre la démission d'un grand nombre de parents qui pensent que l'école doit enseigner et éduquer les enfants qu'on leur confie et les différentes politiques gouvernementales qui au prétexte d'améliorer le système éducatif l'ont rendu complètement absurde et encore plus inégalitaire avec un bac 'donné' à presque tous les lycéens ... C'était un peu le message que voulait faire passer Brighelli, je pense.

En effet ne voir dans le délitement de l'éducation nationale qu'un symptôme du progressisme (qui n'a pratiquement jamais été au pouvoir sur les 50 dernières années)... Pour moi, c'est juste le symptôme du libéralisme économique: abrutir les gens, privatiser et réserver l'éducation, retarder l'arriver sur le marché de l'emploi des jeunes car des emplois, y en a pas. Sans doute que les idées progressistes ont aussi fait du mal comme l'idée anachronique que tout le monde devrait avoir diplôme. Et pour ça, plutôt que d'élever le bas peuple, on a juste réduit le niveau d’exigence.

il y a 7 minutes, Saturne06 a dit :

dbm27, si certains intervenants ont effectivement incriminer la gauche (pas insulter mais soulever la responsabilité) dans l'évolution actuelle de l'ÉN, il faut quand même admettre que depuis les années 60-70, la 'pédagogie' mise en place par l'ÉN sous l'égide des divers gouvernements depuis VGE est d'inspiration progressiste (certains diraient gauchistes), non ? Et je suis d'accord que le corps professoral qui était majoritairement de gauche entre 1970-2000 l'est beaucoup moins mais le mal est fait et dans l'esprit d'un bon nombre de Français, à tort ou à raison on a l'équation suivante:

ÉN => corps professoral gauchiste, souvent gréviste => Baisse du niveau général des élèves en fin d'études primaires et secondaires.

C'est injuste car les professeurs (quelle que soit leur orientation politique) sont 'coincés' entre la démission d'un grand nombre de parents qui pensent que l'école doit enseigner et éduquer les enfants qu'on leur confie et les différentes politiques gouvernementales qui au prétexte d'améliorer le système éducatif l'ont rendu complètement absurde et encore plus inégalitaire avec un bac 'donné' à presque tous les lycéens ... C'était un peu le message que voulait faire passer Brighelli, je pense.

Oui, d' ailleurs il ne critique ni la gauche, ni la droite seulement  les organisateurs de se suicide organisé  selon lui.

" Fabriquer 90% de crétins  et 10% de dirigeants de père  en fils." 

D' ailleurs en parlant de crétins  , il ne le dit pas comme une insulte, mais comme une volonté  farouche d' un système de cantonner la majorité  de la population dans une nasse éducative ne leur donnant jamais accès aux commandes.

Ce qui fait que finalement  la fabrique de crétins est encore plus flagrante dans les 10%, la consanguinité  éducative faisant que ce n' est pas l' intelligence qui motive la sélection mais un système  pervers où le piston et l' origine sociale priment.

Deux classes,  celle des 90% et celle des 10% sur des critères assez douteux.

Durant longtemps, la division  pure et dure à potence a été exclue  du programme des primaires, on conseillait l'utilisation de la calculette et là, on voit revenir cet enseignement. Je me demande comment les maîtres qui n'ont pas été formés dès leur plus jeunaeâge aux situations équitables de partage vont pouvoir transmettre le flambeau, car tout de même, il y a une progression à respecter  et des séries d'exercices bien particuliers à faire pour pouvoir transmettre  ce savoir- là.

Il parle aussi de sélection, écoles  des 10%   non plus à l' écrit  mais oral, ce qui fait que la sélection sur l' origine sociale est plus facilement  détectable. 

il y a 12 minutes, dbm27 a dit :

Si et je le répète : relis mes premiers messages. Là c'est toi qui trolles ton propre sujet.

C'est  le premier que j' ai trouvé,  désolé  , en commençant par le début. 

il y a 7 minutes, PASCOU a dit :

Finalement rien sur le fond du sujet .

Si et j'ai également dit plus loin dans le topic pourquoi j'estime que sa vision est caricaturale (on part toujours de la vidéo). Brighelli est un idéologue plus qu'un spécialiste de l'éducation nationale et si je suis d'accord sur le constat selon lequel les inégalités ne sont plus réduites depuis quelques années, ce n'était pas le cas après les réformes de 1959 et 1974.

Alors présenter les aléas de l'éducation comme une intention pour soumettre la population est plus que léger. C'est ce que j'ai déjà dit en substance.

il y a 14 minutes, querida13 a dit :

Durant longtemps, la division  pure et dure à potence a été exclue  du programme des primaires, on conseillait l'utilisation de la calculette et là, on voit revenir cet enseignement. Je me demande comment les maîtres qui n'ont pas été formés dès leur plus jeunaeâge aux situations équitables de partage vont pouvoir transmettre le flambeau, car tout de même, il y a une progression à respecter  et des séries d'exercices bien particuliers à faire pour pouvoir transmettre  ce savoir- là.

Oui, il en parle dans la vidéo..

il y a une heure, Saturne06 a dit :

dbm27, si certains intervenants ont effectivement incriminer la gauche (pas insulter mais soulever la responsabilité) dans l'évolution actuelle de l'ÉN, il faut quand même admettre que depuis les années 60-70, la 'pédagogie' mise en place par l'ÉN sous l'égide des divers gouvernements depuis VGE est d'inspiration progressiste (certains diraient gauchistes), non ? Et je suis d'accord que le corps professoral qui était majoritairement de gauche entre 1970-2000 l'est beaucoup moins mais le mal est fait et dans l'esprit d'un bon nombre de Français, à tort ou à raison on a l'équation suivante:

ÉN => corps professoral gauchiste, souvent gréviste => Baisse du niveau général des élèves en fin d'études primaires et secondaires.

C'est injuste car les professeurs (quelle que soit leur orientation politique) sont 'coincés' entre la démission d'un grand nombre de parents qui pensent que l'école doit enseigner et éduquer les enfants qu'on leur confie et les différentes politiques gouvernementales qui au prétexte d'améliorer le système éducatif l'ont rendu complètement absurde et encore plus inégalitaire avec un bac 'donné' à presque tous les lycéens ... C'était un peu le message que voulait faire passer Brighelli, je pense.

Je veux bien qu'on cherche des responsabilités politiques voire idéologiques dans certaines dérives mais les intervenants que j'ai cités se sont contentés d'utiliser des termes péjoratifs pour désigner des responsables. C'est stupide mais effectivement habituel.

Je pense comme Brighelli que tout n'a pas été bien entrepris pour réduire les inégalités notamment sociales qui handicapent une partie des élèves. Mais d'autre part et outre le fait qu'il caricature, il en arrive à être incohérent : il voit le néolibéralisme derrière les orientations majeures de l'éducation nationale mais utilise les comparaisons internationales pour montrer le drame qui frappe notre système éducatif. Or, les pays les plus performants sont également néolibéraux. 

Alors nous pouvons toujours interroger les effets indésirables qu'a engendrés la volonté de prolonger les formations initiales mais rappelons d'abord que cette prolongation des études a été constaté dans tous les pays. Il y a une grande quantité de facteurs qui expliquent la situation éducative de la France alors il serait bienvenu de faire preuve de nuances.

il y a une heure, querida13 a dit :

Durant longtemps, la division  pure et dure à potence a été exclue  du programme des primaires, on conseillait l'utilisation de la calculette et là, on voit revenir cet enseignement. Je me demande comment les maîtres qui n'ont pas été formés dès leur plus jeunaeâge aux situations équitables de partage vont pouvoir transmettre le flambeau, car tout de même, il y a une progression à respecter  et des séries d'exercices bien particuliers à faire pour pouvoir transmettre  ce savoir- là.

La calculette, c'est parfait pour gagner du temps une fois qu'on sait déjà calculer; mais il est indispensable d'apprendre à calculer par la vieille méthode d'abord, pour avoir un certain "sens commun" de nombres.

Je me souviens il  y a des années avoir eu un problème avec une caissière qui insistait sur un total d'environ 4.50 pour trois petits achats de respectivement, 50 centimes, 75 centimes, et 89 centimes. Comme il y avait une taxe de 4.87% à ajouter sur 2 choses et 2.89% sur une autre, le calcul de tête était un poil ardu.

C'était pourtant évident que le total de 4.50 que donnait sa machine pour ces 3 choses  était faux. J'ai été obligée de payer les 3 trucs séparément pour m'en sortir.

il y a 2 minutes, Atipique a dit :

La calculette, c'est parfait pour gagner du temps une fois qu'on sait déjà calculer; mais il est indispensable d'apprendre à calculer par la vieille méthode d'abord, pour avoir un certain "sens commun" de nombres.

Je me souviens il  y a des années avoir eu un problème avec une caissière qui insistait sur un total d'environ 4.50 pour trois petits achats de respectivement, 50 centimes, 75 centimes, et 89 centimes. Comme il y avait une taxe de 4.87% à ajouter sur 2 choses et 2.89% sur une autre, le calcul de tête était un poil ardu.

C'était pourtant évident que le total de 4.50 que donnait sa machine pour ces 3 choses  était faux. J'ai été obligée de payer les 3 trucs séparément pour m'en sortir.

Depuis que j'ai une calculette, je suis devenu nul en calcul mental, alors que dans mes jeunes années j'en étais expert.

il y a une heure, querida13 a dit :

Si c'était pendant l'essor du covid, c'était peut-être par mesure d'hygiène? Par exemple, il me semble d'ailleurs que  c'est Giono qui décrit cela dans le hussard sur le toit pour le choléra, il était fréquent qu'en période de contagion, les gens fuient le village contaminé pour aller vivre dans un campement dans la nature.

J'ai 61 ans, Querida. C'était en 40ème !

il y a 1 minute, jeremie974 a dit :

Depuis que j'ai une calculette, je suis devenu nul en calcul mental, alors que dans mes jeunes années j'en étais expert.

Pareil pour moi, mais au moins on a quand-même un sens logique des quantités qui restent.

il y a 37 minutes, dbm27 a dit :

Je veux bien qu'on cherche des responsabilités politiques voire idéologiques dans certaines dérives mais les intervenants que j'ai cités se sont contentés d'utiliser des termes péjoratifs pour désigner des responsables. C'est stupide mais effectivement habituel.

Je pense comme Brighelli que tout n'a pas été bien entrepris pour réduire les inégalités notamment sociales qui handicapent une partie des élèves. Mais d'autre part et outre le fait qu'il caricature, il en arrive à être incohérent : il voit le néolibéralisme derrière les orientations majeures de l'éducation nationale mais utilise les comparaisons internationales pour montrer le drame qui frappe notre système éducatif. Or, les pays les plus performants sont également néolibéraux. 

Alors nous pouvons toujours interroger les effets indésirables qu'a engendrés la volonté de prolonger les formations initiales mais rappelons d'abord que cette prolongation des études a été constaté dans tous les pays. Il y a une grande quantité de facteurs qui expliquent la situation éducative de la France alors il serait bienvenu de faire preuve de nuances.

 

Je suis bien d'accord avec toi qu'il faut nuancer tous nos jugements sur les 'responsabilités' des décisions politiques, du corps enseignant etc ... Nous n'avons pas, je crois (ou alors je n'ai pas tout lu) abordé l'un des responsables de l'état actuel de l'enseignement en France: c'est tout simplement notre société d'aujourd'hui. Car quand on fait des comparaisons entre les années 1960/1970 et les années 2020, on oublie de dire que nous comparer deux sociétés totalement différentes: les enfants d'aujourd'hui ne sont pas les mêmes que ceux qui étaient à leur place en 60/70. Il n'y a fait pas les 'écrans' que ce soit de téléphone ou de tablette, les réseaux sociaux où les enfants se dispersent, la mentalité actuelle beaucoup plus individualiste à mon avis qu'il y a 50 ans.

Là où je ne suis pas vraiment d'accord avec Brighalli, c'est quand il dit que depuis 1960, il y a eu une décision politique pour créer des consommateurs, transformer les enfants en consommateurs, ce n'est que l'évolution (dans le domaine de l'éducation) de notre société qui est une société de consommation.

Mais ça fait mal au coeur de voir des enfants de 15, 18 ans ne plus trop savoir écrire, ne pas avoir un petit bagage de culture générale en dehors des âneries affligeantes qui circulent sur les réseaux sociaux. 

il y a 3 minutes, Saturne06 a dit :

Je suis bien d'accord avec toi qu'il faut nuancer tous nos jugements sur les 'responsabilités' des décisions politiques, du corps enseignant etc ... Nous n'avons pas, je crois (ou alors je n'ai pas tout lu) abordé l'un des responsables de l'état actuel de l'enseignement en France: c'est tout simplement notre société d'aujourd'hui. Car quand on fait des comparaisons entre les années 1960/1970 et les années 2020, on oublie de dire que nous comparer deux sociétés totalement différentes: les enfants d'aujourd'hui ne sont pas les mêmes que ceux qui étaient à leur place en 60/70. Il n'y a fait pas les 'écrans' que ce soit de téléphone ou de tablette, les réseaux sociaux où les enfants se dispersent, la mentalité actuelle beaucoup plus individualiste à mon avis qu'il y a 50 ans.

Là où je ne suis pas vraiment d'accord avec Brighalli, c'est quand il dit que depuis 1960, il y a eu une décision politique pour créer des consommateurs, transformer les enfants en consommateurs, ce n'est que l'évolution (dans le domaine de l'éducation) de notre société qui est une société de consommation.

Mais ça fait mal au coeur de voir des enfants de 15, 18 ans ne plus trop savoir écrire, ne pas avoir un petit bagage de culture générale en dehors des âneries affligeantes qui circulent sur les réseaux sociaux. 

Je suis par contre d'accord pour déplorer ce que le néolibéralisme a fait de nous (et pas uniquement de nos enfants) : des consommateurs abrutis attendant bouche ouverte leur becquée de produits finis et de trop de divertissements.

Il y a 12 heures, dbm27 a dit :

J'ai listé les messages d'un sujet soi disant apolitique (merci @Saturne06 ) mais qui soit utilisent un mot péjoratif visant la gauche, soit un mot péjoratif visant la droite. Je n'ai trouvé que des insultes adressées à la gauche, peut-être responsable de tous les maux, et émises par de sages citoyens estimant l'autre camp bien identifié forcément plus sectaire. Je fais un élagage sur chaque message en essayant d'en conserver l'esprit :                                                  

 

 

 

 

 

 

 

Donc évidemment la gauche est sectaire. Les insultes enrichissent donc le débat.

Mon humour vous a donc laissé froid...