Les réponses sont le malheur des questions.

Les questions ouvrent le champs des possibles. Les réponses enferment.

il y a 3 minutes, Yemaia a dit :

Les questions ouvrent le champs des possibles. Les réponses enferment.

Ça dépend principalement du genre de réponses dont il est question. En science, toute réponse ouvre à de nouvelles questions, à de nouvelles perspectives, parfois à des champs de recherche entièrement nouveaux. 

De quel genre de réponses veux-tu parler ? 

il y a 14 minutes, Yemaia a dit :

Les questions ouvrent le champs des possibles. Les réponses enferment.

 

Tu trouves ?

(Cette question n'attend pas de réponse particulière )

Si je ne m'abuse, la plupart du temps les responses existent parce qu'il y a des questions et les questions par cequ'il y a problème ou désir de comprendre embrasser le réèl.

Si les réponses enferment, poser une question serait donc peut être déjà choisir et repousser des portes ...

Car un champ de possible ce n'est pas tout le possible, c'est en choisir une portion, une direction, c'est déjà une limite...

Alors si on ne voulait pas de limite contempler explorer le possible, on pourrait choisir d'arretter les questions et observer.

Peut-être .. 

Tout dépend de l'objectif à poser une question aussi .. si l'on attend une réponse en particulier , les autres peuvent sembler enfermer ..

Mais , si on souhaite voir , toutes les réponses possibles , alors elles ouvrent .. 

Si quelqu'un cherche à convaincre , par exemple , toutes les réponses qui n'iront pas dans le sens voulu seront considérés comme négatives ... 

Quel regard on pose sur ladite question .. 

Et quelle intention derrière 

il y a 38 minutes, Yemaia a dit :

Les questions ouvrent ...

Limitent...

Le champ des possibles existe déjà, c'est là ou il y a toutes les réponses à toutes les questions, une question limite ce champ à un sous ensemble.

"Nul ne souhaite rester longtemps en branle." Montaigne. On préfère le faux à l'ignorance.

S'il n'obtient pas de réponse, la plus saugrenue peut être admise par le questionneur.

il y a 1 minute, korvo a dit :

Limitent...

Le champ des possibles existe déjà, c'est là ou il y a toutes les réponses à toutes les questions, une question limite ce champ à un sous ensemble.

Aussi .. 

Se mefier du signe intérogation. 

il y a une heure, Éphron a dit :

Ça dépend principalement du genre de réponses dont il est question. En science, toute réponse ouvre à de nouvelles questions, à de nouvelles perspectives, parfois à des champs de recherche entièrement nouveaux. 

De quel genre de réponses veux-tu parler ? 

C'est une question que j ai entendu dans une émission sur la poésie, et donc c'était plus sur les questions que l'on se pose sur la vie.

il y a 11 minutes, Mak Marceau a dit :

Se mefier du signe intérogation. 

Pourquoi ?

il y a 5 minutes, Yemaia a dit :

 

Pourquoi ?

Le point, le dot. Avec le Six. Je pense que c'est dangeureux. 

Il y a 2 heures, Yemaia a dit :

Les questions ouvrent le champs des possibles. Les réponses enferment.

 

Bonjour,

Votre problématique est riche de sens.

La question revendique une indétermination.

La réponse revendique une détermination.

Si la vie avait un but, alors ce serait un projet fermé.

Mais si la vie n'est qu'un champ de possibilités, alors c'est un projet ouvert.

Tout comme l'évolution des espèces.

Cela étant, même l'évolution des espèces sillonne des absolus.

C'est-à-dire qu'elle sillonne des évidences péremptoires.

L'ornithorynque est un accident de l'évolution.

Mais la souris est une évidence de l'évolution.

L'absolu n'est pas un dictateur, ce n'est pas un gourou, et il n'est pas pédophile.

L'éveillé cherche même son émancipation dans l'absolu.

Il ne cherche pas la soumission, mais la subordination libre et consentie.

En vérité, il se cherche lui-même à travers des évidences faussement exogènes, faussement étrangères.

Il n'y a pas d'absolu unique, il n'y a que des cosmologies cohérentes.

Or, il existera toujours une cosmologie qui répond à vos attentes et avec laquelle vous serez en osmose.

A moins que vous soyez vous-même contradictoire, ou à moins que vous ayez involontairement corrompu ou dépassé la règle du jeu cosmologique.

L'adaptabilité est réciproque entre vous et votre environnement, bien qu'il s'agisse de deux natures qu'a priori tout oppose.

Cordialement, Fraction

Et si on n'essaye plus de répondre aux questions que devient-on ?

Il y a 18 heures, Yemaia a dit :

Les questions ouvrent le champs des possibles. Les réponses enferment.

La justification avec ces mots-là, c’est plus compréhensible ! 

Les questions illusions ouvrent le champ des possibles. Les réponses réalités enferment s’y opposent.

Pas question de répondre à ça, ça porte malheur !

Le 28/03/2022 à 09:42, hell-spawn a dit :

Et si on n'essaye plus de répondre aux questions que devient-on ?

Peut être juste un observateur .. et des fois ( pour moi ) ça suffit ...  

Il y a 5 heures, eriu a dit :

Peut être juste un observateur .. et des fois ( pour moi ) ça suffit ...  

Est-ce qu'observer, ce n'est pas déjà conclure, et répondre, d'une certaine façon ? Il y a tellement d'implicite dans le fait d'observer, ce n'est jamais neutre, il y rentre beaucoup d'interprétation. 

Il y a 6 heures, Éphron a dit :

Est-ce qu'observer, ce n'est pas déjà conclure, et répondre, d'une certaine façon ? Il y a tellement d'implicite dans le fait d'observer, ce n'est jamais neutre, il y rentre beaucoup d'interprétation. 

Allons bon ! m'en vais revoir les définitions .. 

Oh je t'assure que ma tête peut être vide parfois . C'est très reposant .. 

Et tu as aussi raison , certainement  

J'adore quand tout le monde a raison .. rire 

ça me fait penser @Éphronà une phrase que disait mon fils parfois aux gens .. " ne parlez pas à maman , elle a la tête en panne " voilà  

Le 27/03/2022 à 15:17, Yemaia a dit :

Les questions ouvrent le champs des possibles. Les réponses enferment.

"Les réponses sont le malheur des questions":

quand elles sont décevantes, oui.

Toutes les réponses n'enferment pas, certaines sont des "ouvertures" au contraire, ouvrant elles aussi le champ des possibles.

"Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question."

Citation de Pierre Desproges