Un collectif féministe, qui recense les meurtres conjugaux tout au long de l'année, a été accusé de « transphobie ». Son tort : ne pas avoir comptabilisé les meurtres de femmes transgenres. Une polémique emblématique de la fracture au sein de la galaxie féministe sur fond d'offensive militante.

Un cas d'école. En début de semaine, le compte Twitter « Féminicide par conjoint ou par ex » (FPCE), qui recense scrupuleusement, depuis 2016, le nombre de femmes tuées par leur compagnon ou leur ex-compagnon a été ciblé par de nombreux messages virulents. En cause : le collectif ne prendrait pas en compte les meurtres de femmes transgenres (nées hommes). FPCE explique pourtant que, depuis le début de son décompte, aucun meurtre de femme transgenre n'a été répertorié dans le cadre conjugal. « S'il y en avait eu, nous l'aurions bien évidemment comptabilisé », a confirmé à Marianne Sandra*, membre du collectif. La querelle aurait pu rester anecdotique si la situation ne s'était pas rapidement envenimée, révélant de profondes fractures dans la galaxie féministe.

Mercredi 5 janvier, l'une des membres du collectif a réagi à ces attaques par la saillie suivante : « Vu le harcèlement et le dénigrement que nous subissons, certaines [femmes trans] ont, semble-t-il, bien conservé les aspects toxiques de leur masculinité antérieure. » Une déclaration qualifiée de « transphobe » par le collectif féministe #NousToutes**, fondé par Caroline de Haas, qui a annoncé « suspendre le relais du décompte des féminicides conjugaux » ; un décompte qui n'a jamais été assuré par ce collectif, qui se contentait jusque-là de reprendre les chiffres de FPCE. « La lutte contre la transphobie fait partie intégrante du féminisme car elle découle d'une société patriarcale qui établit des normes et des hiérarchies de genre », a justifié #NousToutes.

Suite de l’article : 

https://www.marianne.net/societe/accusations-de-transphobie-il-y-a-une-offensive-transactiviste-contre-le-feminisme

il y a 37 minutes, Mórrígan a dit :

Un collectif féministe, qui recense les meurtres conjugaux tout au long de l'année, a été accusé de « transphobie ». Son tort : ne pas avoir comptabilisé les meurtres de femmes transgenres. Une polémique emblématique de la fracture au sein de la galaxie féministe sur fond d'offensive militante.

Un cas d'école. En début de semaine, le compte Twitter « Féminicide par conjoint ou par ex » (FPCE), qui recense scrupuleusement, depuis 2016, le nombre de femmes tuées par leur compagnon ou leur ex-compagnon a été ciblé par de nombreux messages virulents. En cause : le collectif ne prendrait pas en compte les meurtres de femmes transgenres (nées hommes). FPCE explique pourtant que, depuis le début de son décompte, aucun meurtre de femme transgenre n'a été répertorié dans le cadre conjugal. « S'il y en avait eu, nous l'aurions bien évidemment comptabilisé », a confirmé à Marianne Sandra*, membre du collectif. La querelle aurait pu rester anecdotique si la situation ne s'était pas rapidement envenimée, révélant de profondes fractures dans la galaxie féministe.

Mercredi 5 janvier, l'une des membres du collectif a réagi à ces attaques par la saillie suivante : « Vu le harcèlement et le dénigrement que nous subissons, certaines [femmes trans] ont, semble-t-il, bien conservé les aspects toxiques de leur masculinité antérieure. » Une déclaration qualifiée de « transphobe » par le collectif féministe #NousToutes**, fondé par Caroline de Haas, qui a annoncé « suspendre le relais du décompte des féminicides conjugaux » ; un décompte qui n'a jamais été assuré par ce collectif, qui se contentait jusque-là de reprendre les chiffres de FPCE. « La lutte contre la transphobie fait partie intégrante du féminisme car elle découle d'une société patriarcale qui établit des normes et des hiérarchies de genre », a justifié #NousToutes.

Suite de l’article : 

https://www.marianne.net/societe/accusations-de-transphobie-il-y-a-une-offensive-transactiviste-contre-le-feminisme

 

Bonsoir,

" _ bonjour, je cherche les toilettes pour pédophiles.

_ C'est au fond à droite, entre les toilettes zoophiles et les toilettes nécrophiles."

Meuh non, les hommes vous aiment.

Ils vous aiment riches, intelligentes, et en bonne santé.

Nous sommes même programmés pour vous aimer.

5 millions d'années de vaginocratie nous ont rendus cons comme des bites et dociles comme des agneaux.

Selon mon étude de mœurs personnelle, Cro-Magnon connaissait sa mère, mais il ne connaissait pas son père.

Les hommes sont devenus plus musclés que les femmes récemment, probablement suite à une spécialisation sexuée, et non à un ordre phallocrate violeur et persécuteur.

Jésus Christ n'est-il pas une invocation féministe ?

De la moraline qui sacralise le faible et la victime ?

Les femmes n'ont pas écrit l'histoire parce qu'elles sont l'Histoire :

Le formalisme et la notion entretiennent une relation sexuée.

Le formalisme pénètre la notion, comme la télévision pénètre nos esprits.

Mais l'esprit rétroagit sur le formalisme, sur la télé, par son jugement critique, et par sa télécommande.

Qu'une femme transgenre souhaite qu'on l'appelle "madame" ne pose aucun problème à un homme bien éduqué.

Ce qui pose problème, c'est lorsqu'une femme transgenre souhaite partager le même vestiaire que des femmes.

C'est du vécu.

Celui qui a dit que les hommes sont conservateurs et que les femmes sont progressistes était soit puceau soit homosexuel.

Cordialement, Fraction

Il y a 2 heures, Mórrígan a dit :

Un collectif féministe, qui recense les meurtres conjugaux tout au long de l'année, a été accusé de « transphobie ». Son tort : ne pas avoir comptabilisé les meurtres de femmes transgenres. Une polémique emblématique de la fracture au sein de la galaxie féministe sur fond d'offensive militante.

Un cas d'école. En début de semaine, le compte Twitter « Féminicide par conjoint ou par ex » (FPCE), qui recense scrupuleusement, depuis 2016, le nombre de femmes tuées par leur compagnon ou leur ex-compagnon a été ciblé par de nombreux messages virulents. En cause : le collectif ne prendrait pas en compte les meurtres de femmes transgenres (nées hommes). FPCE explique pourtant que, depuis le début de son décompte, aucun meurtre de femme transgenre n'a été répertorié dans le cadre conjugal. « S'il y en avait eu, nous l'aurions bien évidemment comptabilisé », a confirmé à Marianne Sandra*, membre du collectif. La querelle aurait pu rester anecdotique si la situation ne s'était pas rapidement envenimée, révélant de profondes fractures dans la galaxie féministe.

Mercredi 5 janvier, l'une des membres du collectif a réagi à ces attaques par la saillie suivante : « Vu le harcèlement et le dénigrement que nous subissons, certaines [femmes trans] ont, semble-t-il, bien conservé les aspects toxiques de leur masculinité antérieure. » Une déclaration qualifiée de « transphobe » par le collectif féministe #NousToutes**, fondé par Caroline de Haas, qui a annoncé « suspendre le relais du décompte des féminicides conjugaux » ; un décompte qui n'a jamais été assuré par ce collectif, qui se contentait jusque-là de reprendre les chiffres de FPCE. « La lutte contre la transphobie fait partie intégrante du féminisme car elle découle d'une société patriarcale qui établit des normes et des hiérarchies de genre », a justifié #NousToutes.

Suite de l’article : 

https://www.marianne.net/societe/accusations-de-transphobie-il-y-a-une-offensive-transactiviste-contre-le-feminisme

 

Il y avait déjà les terroristes, les islamistes, maintenant on a les transactivistes, en plus. Ça fout les jetons. 

On s'en fout, nous on compte les points.

Il y a 2 heures, Fraction a dit :

" _ bonjour, je cherche les toilettes pour pédophiles.

_ C'est au fond à droite, entre les toilettes zoophiles et les toilettes nécrophiles."

C'est très nul, si je peux me permettre.

Il y a 3 heures, Mórrígan a dit :

« Vu le harcèlement et le dénigrement que nous subissons, certaines [femmes trans] ont, semble-t-il, bien conservé les aspects toxiques de leur masculinité antérieure. »

Je trouve la déclaration plus misandre que "transphobe". Tout ça va bien faire marrer les misogynes. Franchement pas merci

il y a 11 minutes, Beebee a dit :

C'est très nul, si je peux me permettre.

 

Là, vous dramatisez une légèreté.

Et lorsque je serai sérieux, vous emploierez la dérision, sans doute.

Cette psychologie inversée est prévisible et inefficiente.

J'imagine dans 60 ans le casier judiciaire d'un délinquant  :

A 19 ans condamné a 6 mois avec sursis pour avoir conduit une voiture Diesel avec un permis fabriqué avec du papier d'arbre mort

A 26 ans, 3 mois ferme pour avoir fait manger de la viande et une omelette à ses enfants en état de récidive légale. Les enfants sont placés dans une famille d'amour de groupe transvégangenre de 5 papamamans

A 28 ans, condamné à deux ans fermes pour avoir exhibé sur la plage un torse velu masculinisé et un tatouage avec l'inscription hétérosexuel  sur l'épaule.

30 ans condamné à être exécuté sur une chaise électrique alimenté par une éolienne à pédales pour révisionnisme de l'Islam, blasphème mortel et insulte à la mémoire de Greta Thunberg en déclarant " Greta avait plus de barbe entre les cuisses que Mohamed sur le menton " .

il y a 14 minutes, Fraction a dit :

Là, vous dramatisez une légèreté.

Et lorsque je serai sérieux, vous emploierez la dérision, sans doute.

Cette psychologie inversée est prévisible et inefficiente.

Je n'ai pas joué la grande scène du 3 non plus, faut pas exagérer.

Désolée, mais la pédophilie n'est jamais un sujet "léger", en ce qui me concerne.  (là, je dramatise un peu, faut reconnaitre). Et puis surtout, qu'est ce que ça à voir avec le sujet???

à l’instant, Beebee a dit :

Je n'ai pas joué la grande scène du 3 non plus, faut pas exagérer non plus.

Désolée, mais la pédophilie n'est jamais un sujet "léger", en ce qui me concerne.  (là, je dramatise un peu, faut reconnaitre)

L'humour et la légèreté sont des clowns irresponsables.

Je sais combien les procureurs sont dépourvus d'humour, mais c'est à eux de s'adapter.

Le faux est un art décomplexé et souvent exempt de signifiant.

Il y a tout de même pas mal de femmes féministes en particulier des lesbiennes qui ne considèrent pas les femmes transgenres de la même façon que des femmes cisgenres. 
Elles réfutent par exemple aux femmes transgenres le droit de se changer dans des vestiaires à destination de femmes.
Les lesbiennes refusent même que des femmes transgenres viennent dans des bars lesbiens. Pour elles, une femme transgenre homosexuelle (couchant avec des femmes donc), ça n’existe pas, c’est un loup déguisé en mouton qui veut se mélanger aux moutons pour les violer.
De là à en conclure qu’elles considèrent les femmes transgenres comme des hommes il n’y a qu’un pas que je ne ferai pas, car il ne faut pas critiquer les féministes  

Je n’ai pas entendu parler de cas analogues où des hommes cisgenres refuseraient les vestiaires hommes aux hommes transgenres. Ça existe peut-être ? Enfin moi je m’en foutrais à titre personnel.

Il y a 2 heures, Beebee a dit :

Je trouve la déclaration plus misandre que "transphobe". Tout ça va bien faire marrer les misogynes. Franchement pas merci

 

Certaines femmes se déclarant féministes détestent profondément les chromosomes Y, même si la personne le portant ce chromosome se voit et se vie comme une femme.

C'est fascinant. 

Elles haïssent les hommes sous toutes les formes… C’est pas fascinant, c’est sidérant.

J'avoue que sexagénaire gay ordinaire je me sens un peu dépassé en ce moment .

    Quelle petaudiere dans ce si petit milieu des activistes de ceci ou de cela.enfin bon c'est dans l'air du temps de présenter une tempête dans un verre d'eau comme un tsunami.

il y a 7 minutes, new caravage a dit :

J'avoue que sexagénaire gay ordinaire je me sens un peu dépassé en ce moment .

    Quelle petaudiere dans ce si petit milieu des activistes de ceci ou de cela.enfin bon c'est dans l'air du temps de présenter une tempête dans un verre d'eau comme un tsunami.

En fait, toutes ces femmes se détestent royalement...et en prime elles sont sexistes et homophobes envers celles qui ne font pas parties de leur "caste"! dont la liste s'allonge de plus en plus...

Il y a 16 heures, Fraction a dit :

Bonsoir,

" _ bonjour, je cherche les toilettes pour pédophiles.

_ C'est au fond à droite, entre les toilettes zoophiles et les toilettes nécrophiles."

 

Meuh non, les hommes vous aiment.

Ils vous aiment riches, intelligentes, et en bonne santé.

Nous sommes même programmés pour vous aimer.

 

5 millions d'années de vaginocratie nous ont rendus cons comme des bites et dociles comme des agneaux.

Selon mon étude de mœurs personnelle, Cro-Magnon connaissait sa mère, mais il ne connaissait pas son père.

Les hommes sont devenus plus musclés que les femmes récemment, probablement suite à une spécialisation sexuée, et non à un ordre phallocrate violeur et persécuteur.

 

Jésus Christ n'est-il pas une invocation féministe ?

De la moraline qui sacralise le faible et la victime ?

Les femmes n'ont pas écrit l'histoire parce qu'elles sont l'Histoire :

Le formalisme et la notion entretiennent une relation sexuée.

Le formalisme pénètre la notion, comme la télévision pénètre nos esprits.

Mais l'esprit rétroagit sur le formalisme, sur la télé, par son jugement critique, et par sa télécommande.

 

Qu'une femme transgenre souhaite qu'on l'appelle "madame" ne pose aucun problème à un homme bien éduqué.

Ce qui pose problème, c'est lorsqu'une femme transgenre souhaite partager le même vestiaire que des femmes.

C'est du vécu.

Celui qui a dit que les hommes sont conservateurs et que les femmes sont progressistes était soit puceau soit homosexuel.

Cordialement, Fraction

Bonjour,
Merci de vouloir bien ne pas me notifier si c’est pour faire l’étalage d’un tel condensé de beauferies. 

Il y a 14 heures, Gouderien a dit :

Il y avait déjà les terroristes, les islamistes, maintenant on a les transactivistes, en plus. Ça fout les jetons. 

Mais, vous le saviez déjà : 

Il y a 13 heures, Beebee a dit :

Je trouve la déclaration plus misandre que "transphobe". Tout ça va bien faire marrer les misogynes. Franchement pas merci

 

En l’occurrence « transphobe », c’est juste une étiquette pour faire taire. 
Ce collectif, qui fait un travail remarquable, rigoureux, a motivé sa réponse ici : 

« Malgré nos multiples justifications, ce dénigrement a perduré, au travers d’insultes telles que « TERF », transphobes, racistes, menaces de « brûler notre voiture », etc. Selon notre analyse féministe, ces comportements n’ont rien de différent de ceux que subissent les femmes victimes de violences machistes : accusations de mensonge, diffamation, harcèlement, menaces. D’où notre tweet sous forme de réponse défensive en miroir à la violence que nous subissions, dans lequel nous écrivions :

« Vu le harcèlement et le dénigrement que nous subissons certaines ont semble-t-il bien conservé les aspects toxiques de leur masculinité antérieure. »

Nous déplorons qu’il existe dans ces groupes transactivistes particulièrement violents, des personnes qui utilisent ces stratégies éminemment patriarcales tout en prétendant lutter contre le patriarcat.

Notre tweet ne s’adressait pas aux personnes trans qui ne nous harcèlent pas et ne nous attaquent pas. Nous avons d’ailleurs reçu de nombreux messages de soutien de ces personnes, désolées et terrifiées à la fois. »

https://www.marianne.net/agora/tribunes-libres/des-transactivistes-violents-tentent-de-simposer-par-la-terreur-dans-les-organisations-feministes

Dans cette tribune, le collectif « Féminicides par compagnons ou ex » explique les pressions qu’elles subissent depuis quelques années, et non seulement émanantes de certaines personnes transgenre. 

L’une des membres bénévoles du collectif « Féminicides par compagnons ou ex » mentionne dans l’article du sujet, l’agression « très violente » d’un cortège pro abolition de la prostitution, par un groupe de transactivistes.
En France, nous sommes dans une logique abolitionniste de la prostitution. Il est incohérent de dénoncer le caractère violent du patriarcat tout en voulant maintenir absolument la prostitution ; puisqu’au travers celle-ci, il s’agit pour des hommes (très majoritairement), des prostitueurs, de se payer finalement le non désir de femmes (très majoritairement aussi). 

Il y a des différences irréconciliables entre certaines mouvances féministes, c’est un fait. Ceci démontre encore que le féminisme est bien protéiforme. Qu’il est ridicule de vouloir  que « les » féministes endossent la responsabilité des outrances, de la violence de « quelques unes». Que les gros niais se marrent ; les autres parviennent à une conscientisation, c’est l’essentiel. 

Il y a 11 heures, Jim69 a dit :

Il y a tout de même pas mal de femmes féministes en particulier des lesbiennes qui ne considèrent pas les femmes transgenres de la même façon que des femmes cisgenres. 
Elles réfutent par exemple aux femmes transgenres le droit de se changer dans des vestiaires à destination de femmes.
Les lesbiennes refusent même que des femmes transgenres viennent dans des bars lesbiens. Pour elles, une femme transgenre homosexuelle (couchant avec des femmes donc), ça n’existe pas, c’est un loup déguisé en mouton qui veut se mélanger aux moutons pour les violer.
De là à en conclure qu’elles considèrent les femmes transgenres comme des hommes il n’y a qu’un pas que je ne ferai pas, car il ne faut pas critiquer les féministes  

Je n’ai pas entendu parler de cas analogues où des hommes cisgenres refuseraient les vestiaires hommes aux hommes transgenres. Ça existe peut-être ? Enfin moi je m’en foutrais à titre personnel.

Certaines femmes se déclarant féministes détestent profondément les chromosomes Y, même si la personne le portant ce chromosome se voit et se vie comme une femme.

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"I've had someone saying they would rather kill me than Hitler," says 24-year-old Jennie*.

"They said they would strangle me with a belt if they were in a room with me and Hitler. That was so bizarrely violent, just because I won't have sex with trans women."

https://www.bbc.com/news/uk-england-57853385

La version française pour celles et ceux qui ne pipent rien à l’anglais  : 

« Certaines femmes transgenres nous poussent à avoir des relations sexuelles » BBC NEWS (plus : Déclaration des femmes du parti Travailliste britannique)

Il y a 8 heures, Morfou a dit :

En fait, toutes ces femmes se détestent royalement...et en prime elles sont sexistes et homophobes envers celles qui ne font pas parties de leur "caste"! dont la liste s'allonge de plus en plus...

 

Pas vraiment, mais il est vrai qu’il faut lire afin de s’en faire une opinion, ce qui demande un effort, je vous le concède. 

Il y a 1 heure, Mórrígan a dit :

Bonjour,
Merci de vouloir bien ne pas me notifier si c’est pour faire l’étalage d’un tel condensé de beauferies. 

 

Bonjour,

En tant que contributrice de ce forum, vous êtes une personnalité publique.

Pardonnez donc à ce public de vous demander des comptes, quant à vos transgressions et subversions éventuelles.

J'y suis moi-même sujet.

Les beaufs n'existent plus, ils sont en voie d'extinction.

Et nous allons prochainement les regretter, malgré leur humour relou et leurs préjugés basics.

Notre sociologie devient chaotique, elle n'a ni ligne directrice ni inertie stabilisatrice.

Et j'ai peur que les pseudo-progressistes comme vous en soient majoritairement les initiateurs.

L'extrême gauche, dans laquelle je ne vous inclue pas, a toujours raison, puisqu'elle choisit ses interlocuteurs.

Avouez qu'il est un peu facile d'avoir raison dans ces conditions.

J'ai tenté de faire du second degré, et vous m'avez opposé votre mépris.

Si vous le souhaitez, je peux bien donner dans le solennel, l'objectif, et le formel.

Mais ce n'est pas moi qu'il faudra accuser de fuir le débat ni de disqualifier mes adversaires d'un revers de main.

Cordialement, Fraction

il y a 15 minutes, Mórrígan a dit :

Il y a des différences irréconciliables entre certaines mouvances féministes, c’est un fait. Ceci démontre encore que le féminisme est bien protéiforme. Qu’il est ridicule de vouloir  que « les » féministes endossent la responsabilité des outrances, de la violence de « quelques unes». Que les gros niais se marrent ; les autres parviennent à une conscientisation, c’est l’essentiel. 

Je plussoie

J'aimerais que la conscientisation soit du côté de ces activistes qui font beaucoup de mal : je ne peux pas m'empêcher d'y voir également des querelles d'ego.

Il y a 20 heures, Fraction a dit :

Celui qui a dit que les hommes sont conservateurs et que les femmes sont progressistes était soit puceau soit homosexuel.

 

voire même les deux! 

Il y a 1 heure, lepequenot a dit :

voire même les deux! 

Bonjour,

Je conteste formellement le préjugé qui voudrait que notre société soit phallocrate.

Au 19 ème siècle, 99% de l'énergie était d'origine musculaire, et le secteur tertiaire n'était qu'embryonnaire.

Comprenez alors une certaine prédestination masculine à phagocyter la production et sa valeur ajoutée.

Mais tout ceci n'était que conjoncturel.

Ce ne sont pas la production ni le productivisme qui guident les bons pères de famille, ni la ménagère.

La déontologie envers sa femme et ses enfants est un moteur bien plus puissant que le seul intérêt pécunier.

En outre, on ne menace pas ses partenaires diplomatiques par la bombe atomique chaque fois qu'on n'est pas d'accord avec eux.

La domination musculaire est exceptionnelle, rarissime, et largement transgressive.

Cordialement, Fraction

Le 19/01/2022 à 14:27, Beebee a dit :

Je plussoie

J'aimerais que la conscientisation soit du côté de ces activistes qui font beaucoup de mal : je ne peux pas m'empêcher d'y voir également des querelles d'ego.

Des querelles d’égo ? 
C’est plus évident lorsque, pour exemple, des féministes des années 70 prétendent qu’il n’y a plus rien à faire pour les femmes (parce qu’elles auraient tout fait pour leurs droits et leurs libertés), que les nouvelles générations de féministes sont des ingrates et des chieuses… se ralliant parfois même à des masculinistes. 

En ce qui concerne Noustoutes, ici, j’y vois davantage de la peur, une peur d’être à nouveau taxées de transphobes, si elles ne prenaient pas partie. La première fois, elles l’ont été parce qu’elles ont refusé de changer la date d’un événement qui ne convenait pas à des transactivistes.