"je vis avec un homme déconstruit et j'en suis super heureuse" (Sandrine Rousseau)

Le 10/12/2021 à 19:54, Beebee a dit :

Et absente de ce forum d'ailleurs.

A part ses détracteurs les plus virulents qui en font la parole dominante.

C'est quoi le dicton : quand on veut tuer son chien, on l'accuse d'avoir la rage? Un truc comme ça.

Nan c'est pas ça. C'est qui veut noyer son chien l'accuse de la nage.

Voilà, comme tu adores ce polémiste, je t'ai réservé un extrait en plein dans le sujet :

Le 10/12/2021 à 19:46, Mite_Railleuse a dit :

Une CERTAINE parole féministe, c'est vrai.

Mais c'est ce que font ici, certains, en ânonnant à longueur de posts : vénales, accros aux bad boys, intéressées, affabulatrices...

Ça devient vraiment lourdingue et chiant cette guerre de tranchée !

Moi les généralités ca ne me dérange pas que l'on balance des stéréotypes je pointe la contradiction. 

La déconstruction de l'homme ca vient des militantes les plus radicales qui n'utilisent pas la nuance dans leurs propos.

Le 10/12/2021 à 20:23, VladB a dit :

Voilà, comme tu adores ce polémiste, je t'ai réservé un extrait en plein dans le sujet :

Je préfère de loin Bashung à ton chouchou cyberharceleur

Le 10/12/2021 à 20:27, doug1991 a dit :

La déconstruction de l'homme ca vient des militantes les plus radicales qui n'utilisent pas la nuance dans leurs propos.

La radicalité de certaines féministes est outrancière et contre-productive. Mais elles ne sont pas les seules, hélas...

Le 10/12/2021 à 15:01, doug1991 a dit :

La parole féministe met en permanence tous les hommes sur le même plan, c'est curieux de vouloir combattre les soi-disant stéréotypes avec une rhétorique sans nuance. 

Le 10/12/2021 à 20:37, Mite_Railleuse a dit :

 

La radicalité de certaines féministes est outrancière et contre-productive. Mais elles ne sont pas les seules, hélas...

De mon point de vue il n'y aucune nuance dans le féminisme il y a bien qu'une parole féministe. 

Le 10/12/2021 à 21:05, doug1991 a dit :

De mon point de vue il n'y aucune nuance dans le féminisme il y a bien qu'une parole féministe. 

 

Difficile de reprocher un manque de nuance, quand on en est soi-même dépourvu...

Mais comme je l'ai déjà exprimé, ce terme de "féminisme" ne veut plus rien dire, il est dévoyé et seules ses représentantes les plus extrêmes, une minorité, sont brandies et exhibées comme étant LE féminisme.

J'imagine que cela traduit un énorme malaise...

Le 10/12/2021 à 21:13, Mite_Railleuse a dit :

Difficile de reprocher un manque de nuance, quand on en est soi-même dépourvu...

Mais comme je l'ai déjà exprimé, ce terme de "féminisme" ne veut plus rien dire, il est dévoyé et seules ses représentantes les plus extrêmes, une minorité, sont brandies et exhibées comme étant LE féminisme.

J'imagine que cela traduit un énorme malaise...

Tiens, ça me rappelle Zemmour, la réduction ad hitlerum dont tu n'es pas la dernière partisane, et l'ultra-droite des Zouaves de Paris

Le 10/12/2021 à 21:13, Mite_Railleuse a dit :

Difficile de reprocher un manque de nuance, quand on en est soi-même dépourvu...

Mais comme je l'ai déjà exprimé, ce terme de "féminisme" ne veut plus rien dire, il est dévoyé et seules ses représentantes les plus extrêmes, une minorité, sont brandies et exhibées comme étant LE féminisme.

J'imagine que cela traduit un énorme malaise...

Je demande pas de la nuance mais de la cohérence. 

Le 10/12/2021 à 21:30, doug1991 a dit :

Je demande pas de la nuance mais de la cohérence. 

 

 

C'est pourtant le vocable "nuance" que tu emploies.

De la cohérence par rapport à quoi ?

Les féministes sont nécessairement névrosées, ce qui leur cause une obsession quant au rôle des femmes et aux stéréotypes qui les concernent. Ce qu'elles refusent de voir, pour les plus extrémistes d'entre elles, c'est qu'elles sont elles-mêmes traversées par les préjugés du patriarcat, que leur inconscient en est totalement imbibé, et que c'est indépendant de leur volonté comme de celle des hommes qu'elles côtoient. Quand une féministe a pris la mesure de tout cela, notamment du fait que le désir des individus hommes comme femmes est façonné par les récits collectifs, et donc entre autres par le patriarcat, elle ne peut plus être extrémiste, sauf à se haïr elle-même, ou à haïr tout le monde et donc personne. C'est surtout l'inculture qui cause ces dérives.

Le 09/12/2021 à 09:28, sphynxxxix a dit :

je n'aime pas le repassage ,mais qui aime ça ?

moi . 

Le 10/12/2021 à 22:08, hanss a dit :

moi . 

à part mes trucs d'été, je repasse pas... Sauf quand c'est vraiment nécessaire, les pantalons d'été de mon mari par exemple...

Le 10/12/2021 à 21:13, Mite_Railleuse a dit :

Difficile de reprocher un manque de nuance, quand on en est soi-même dépourvu...

Mais comme je l'ai déjà exprimé, ce terme de "féminisme" ne veut plus rien dire, il est dévoyé et seules ses représentantes les plus extrêmes, une minorité, sont brandies et exhibées comme étant LE féminisme.

J'imagine que cela traduit un énorme malaise...

Il n'y a pas de nuances parce que le sens de ce mot a changé uniquement en raison du contexte.

Tu as deux façons de le prendre mais une seule signification littérale. La première c'est le "parti des femmes" dans un contexte de révolution industrielle ou absolument tout le monde est réduit en esclavage sauf quelques hauts bourgeois qui possèdent tout. Ils ont pris les possessions des nobles sont devenus les nouveaux maitres, nouveaux riches conquérants et sans pitié. C'est le XIXème siècle.

Dans ce siècle ou les esclaves vont à la mine chercher du charbon et crèvent à 50 ans pour les plus chanceux on a remplacé l'ancien régime par une soi-disant démocratie qui octroie un maigre pouvoir aux hommes sur les femmes, afin de maintenir un semblant d'ordre social.

Dans ce contexte on doit comprendre le parti des femmes comme celui pour les sortir de leur condition odieuse. Voulue par les DIRIGEANTS pas les hommes. Ce que les mongoliens ont tendance à confondre.

Il s'agit de la "lutte pour l'égalité".

Après la seconde guerre mondiale viennent ce que les hauts bourgeois, encore eux, ont appelé pour y mettre un terme "les trente glorieuses" qui se finissent en fait en 1971 soit seulement au bout de 25 ans.

Pendant cette période la vie des femmes change, mais celle des hommes aussi. Revenus de la guerre et sous un régime bienveillant pour le peuple sous l'égide du programme du conseil national de la résistance on crée la sécu, les congés payés et même la participation. (bien que les hauts bourgeois aient fait capoter l'affaire).

Durant cette période on crée aussi une chose qui bouleverse absolument les rapports hommes-femmes que les féministes oublient systématiquement dans leur entêtement à donner raison aux théories les plus niaises. La pilule.

A cette période il n'y a pas de lutte pour l'égalité parce que ce n'est plus le sujet, mais "la libération sexuelle" le féminisme disparait donc.

Mais au tournant des années 2000 on lui redonne vie sous prétexte d'une oppression qui a cessé d'exister depuis 50 ans. A ce stade le "parti des femmes" devient le parti de la suprématie. Celui qui fait de l'homme un ennemi qui faut anéantir et réduire en esclavage.

Pourquoi ? Parce que anéantir le pouvoir des hommes ce n'est pas le donner aux femmes mais aux hauts bourgeois internationalisés et revenir au XIXème siècle.

C'est le cas de toutes les luttes progressistes. Anti-racisme, écologisme, féminisme, LGBT. C'est pour cela que c'est intersectionnel car il n'y a qu'un gagnant c'est celui qui prend le fric.

Les femmes et les féministes doivent arrêter de croire que, parce qu'elles ont subi tel ou tel sévice, sexuel ou non, ou alors telle ou telle situation défavorable pour elles, et traumatisantes, alors l'écriture et le militantisme pourrait devenir leur thérapie, et que forcément il en ressortira quelque chose de bon pour la société. Non, au contraire, non seulement les féministes militantes sont souvent des traumatisées, des écorchées vives, des blessées de la vie, mais elles sont trop lâches pour faire une thérapie et consulter, donc elles préfèrent écrire des bouquins que personne ne lira ou militer contre les hommes, que pour certaines d'entre elles elles finiront par haïr, puisque effectivement, on ne change pas les récits collectifs ou les mentalités en 2/3 coups de cuillère à pots.

Le 10/12/2021 à 22:18, Quasi-Modo a dit :

Les femmes et les féministes doivent arrêter de croire que, parce qu'elles ont subi tel ou tel sévice, sexuel ou non, ou alors telle ou telle situation défavorable pour elles, et traumatisantes, alors l'écriture et le militantisme pourrait devenir leur thérapie, et que forcément il en ressortira quelque chose de bon pour la société. Non, au contraire, non seulement les féministes militantes sont souvent des traumatisées, des écorchées vives, des blessées de la vie, mais elles sont trop lâches pour faire une thérapie et consulter, donc elles préfèrent écrire des bouquins que personne ne lira ou militer contre les hommes, que pour certaines d'entre elles elles finiront par haïr, puisque effectivement, on ne change pas les récits collectifs ou les mentalités en 2/3 coups de cuillère à pots.

c'est dingue comment vous haïssez l'autre sexe... Que ce soit les hommes ou les femmes...

Lamentable

Le 10/12/2021 à 22:22, guernica a dit :

c'est dingue comment vous haïssez l'autre sexe... Que ce soit les hommes ou les femmes...

Lamentable

Sérieux a un moment faut arrêter avec les éléments de langage tu n'es pas en conférence de presse.

Le 10/12/2021 à 22:23, Mr_Fox a dit :

Sérieux a un moment faut arrêter avec les éléments de langage tu n'es pas en conférence de presse.

 

Pauvre minable...

Le 10/12/2021 à 22:24, guernica a dit :

Pauvre minable...

Achète toi un dictionnaire vas à haine et arrête de parsemer ce mot dans toutes tes phrases ça n'a aucun putain de sens ces phrases d'attaché de presse.

Tu t'es crue au salon de l'agriculture ou quoi ?

Le 10/12/2021 à 22:26, Mr_Fox a dit :

Achète toi un dictionnaire vas à haine et arrête de parsemer ce mot dans toutes tes phrases ça n'a aucun putain de sens ces phrases d'attaché de presse.

 

tes phrases n'ont aucun sens... Désolée, je n'ai pas de haine et je ne suis pas attachée de presse. Tu as bu ?