Le grand désarroi des parents face aux ados qui veulent changer de sexe.

Le grand désarroi des parents face aux ados qui veulent changer de sexe.

ENQUÊTE - Qu’ils soient compréhensifs ou plus réfractaires, tous sont inquiets de voir leur enfant prendre des décisions aux conséquences irréversibles, et blâment un «effet de mode» sur les réseaux sociaux.

Un jour, ils ont reçu un SMS laconique. Une vidéo. Ou même un diaporama. Avec des mots, des expressions qu’ils ne connaissaient pas dans la bouche de leur enfant. Et plus aucune faute d’orthographe: «À partir de ce soir, vous m’appellerez Louise*», a écrit Louis*.

Un jour, leur ado leur annonce qu’il est transgenre, «sans aucun signe avant-coureur», et ces parents se trouvent «complètement désemparés». Alors que le ministère de l’Éducation nationale vient de publier une circulaire pour mieux «accompagner» les élèves trans, que l’Assemblée nationale vient de voter l’interdiction des «thérapies de conversion» visant à «modifier l’orientation sexuelle», mais aussi «l’identité de genre» d’une personne, ils se disent très inquiets: «Comment faire comprendre à nos enfants que leur mal-être n’est pas forcément dû à une transidentité? s’émeut Camille, qui s’emploie à rassembler d’autres parents dans un collectif, en lien avec la fédération internationale de parents Genspect. On a l’impression d’être plongé dans un monde de science-fiction, où énoncer le moindre conseil de prudence devient transphobe.»

Petit, Louis était «plutôt branché dinosaures, jamais robe à paillettes». Mais un jour, Corinne tombe sur des photos de son fils de 14 ans en sous-vêtements féminins sur Instagram. Il voulait juste «avoir des likes»… «Louis est plongé dans la culture manga du matin au soir, explique Corinne. Dans ces BD, les personnages passent d’un genre à l’autre sans problème. C’est un gamin haut potentiel, qui a été harcelé au collège. Chez nous, il est joyeux, curieux, mais il y a ces réseaux sociaux…» En mars 2020, il lui envoie un SMS: «Quand tu rentres, tu me dis ‘‘elle”». Ses parents l’entourent avec bienveillance. «Je lui ai trouvé les coordonnées d’un psy trans, je l’ai emmené au rayon fille, je lui ai même proposé de lui apprendre à mettre du fond de teint!», énumère Corinne. Mais le diagnostic de la psychologue est clair: Louis «n’est ni convaincu ni convaincant». «Il ne se reconnaît pas dans le modèle hypersportif et masculin de son père, mais ce n’est pas pour cela qu’il est une fille!, s’exclame sa mère. J’ai vu qu’il était allé sur des sites proposant des hypnoses en transe profonde pour faire une transition ‘‘male to female’’, ou encore une ‘‘bimbofication’’! Et qu’il avait écouté la séance quatre ou cinq fois! Je ne dis pas que cela n’existe pas, je dis juste qu’il doit y avoir un nombre infime d’enfants qui ne sont pas nés dans le bon corps. Mais si nous, parents, on émet une réserve, c’est tout juste si l’Aide sociale à l’enfance ne débarque pas…»

Source et suite de l'article.

Une mode idiote.

Exactement le mouvement que je dénonce.

Une idéologie qui veut nier le sexe biologique, qui promeut l'identité de genre comme le premier déterminisme d'un individu (donc une forme de sexisme), et qui partant de ce postulat promeut le choix à cette identité, ou à une non-identité, ou à un mix.

Et d'autant plus chez des enfants qui ne sont même pas encore en âge de se connaître, et sont en pleine construction.

Cette idéologie leur donne des repères encore plus catégorisés que le faisait déjà le patriarcat.

On est à des kilomètres de la déconstruction des genres.

Le 30/10/2021 à 21:56, goods a dit :

Il voulait juste «avoir des likes»…

Je me demande si ce n’est pas ça le fond du problème. Les réseaux sociaux qui donnent tellement l’impression que c’est trop cool de la balle de la mort qui tue de ne pas être comme tout le monde, alors les gosses se cherchent le moindre petit signe qui fait que peut-être ils seraient pas comme tout le monde.

La crise d'adolescence.

Le 31/10/2021 à 07:17, Jim69 a dit :

de ne pas être comme tout le monde, alors les gosses se cherchent le moindre petit signe qui fait que peut-être ils seraient pas comme tout le monde.

Les gosses ...mais pas que ! Les gros , les petits , les anorexiques , les handicapés , etc.... , si tu es dans le rang comme tout le monde ... tu n’intéresses personne !

Le 31/10/2021 à 08:18, menon a dit :

Les gosses ...mais pas que ! Les gros , les petits , les anorexiques , les handicapés , etc.... , si tu es dans le rang comme tout le monde ... tu n’intéresses personne !

Je parlais des gosses parce que c’est le thème de ce sujet. Mais oui des adultes aussi se cherchent une particularité. Souvent des gens sans personnalité et complètement insipides.

bien sur,  mais tous les qualificatifs sont pour les gosses aussi .

Non de notre temps , tu souffrais d'un complexe , d'une différence ... tu te battais pour rester discret . Aujourd'hui , faut  booster leur égo !

Le 30/10/2021 à 21:56, goods a dit :

Le grand désarroi des parents face aux ados qui veulent changer de sexe.

ENQUÊTE - Qu’ils soient compréhensifs ou plus réfractaires, tous sont inquiets de voir leur enfant prendre des décisions aux conséquences irréversibles, et blâment un «effet de mode» sur les réseaux sociaux.

Un jour, ils ont reçu un SMS laconique. Une vidéo. Ou même un diaporama. Avec des mots, des expressions qu’ils ne connaissaient pas dans la bouche de leur enfant. Et plus aucune faute d’orthographe: «À partir de ce soir, vous m’appellerez Louise*», a écrit Louis*.

Un jour, leur ado leur annonce qu’il est transgenre, «sans aucun signe avant-coureur», et ces parents se trouvent «complètement désemparés». Alors que le ministère de l’Éducation nationale vient de publier une circulaire pour mieux «accompagner» les élèves trans, que l’Assemblée nationale vient de voter l’interdiction des «thérapies de conversion» visant à «modifier l’orientation sexuelle», mais aussi «l’identité de genre» d’une personne, ils se disent très inquiets: «Comment faire comprendre à nos enfants que leur mal-être n’est pas forcément dû à une transidentité? s’émeut Camille, qui s’emploie à rassembler d’autres parents dans un collectif, en lien avec la fédération internationale de parents Genspect. On a l’impression d’être plongé dans un monde de science-fiction, où énoncer le moindre conseil de prudence devient transphobe.»

Petit, Louis était «plutôt branché dinosaures, jamais robe à paillettes». Mais un jour, Corinne tombe sur des photos de son fils de 14 ans en sous-vêtements féminins sur Instagram. Il voulait juste «avoir des likes»… «Louis est plongé dans la culture manga du matin au soir, explique Corinne. Dans ces BD, les personnages passent d’un genre à l’autre sans problème. C’est un gamin haut potentiel, qui a été harcelé au collège. Chez nous, il est joyeux, curieux, mais il y a ces réseaux sociaux…» En mars 2020, il lui envoie un SMS: «Quand tu rentres, tu me dis ‘‘elle”». Ses parents l’entourent avec bienveillance. «Je lui ai trouvé les coordonnées d’un psy trans, je l’ai emmené au rayon fille, je lui ai même proposé de lui apprendre à mettre du fond de teint!», énumère Corinne. Mais le diagnostic de la psychologue est clair: Louis «n’est ni convaincu ni convaincant». «Il ne se reconnaît pas dans le modèle hypersportif et masculin de son père, mais ce n’est pas pour cela qu’il est une fille!, s’exclame sa mère. J’ai vu qu’il était allé sur des sites proposant des hypnoses en transe profonde pour faire une transition ‘‘male to female’’, ou encore une ‘‘bimbofication’’! Et qu’il avait écouté la séance quatre ou cinq fois! Je ne dis pas que cela n’existe pas, je dis juste qu’il doit y avoir un nombre infime d’enfants qui ne sont pas nés dans le bon corps. Mais si nous, parents, on émet une réserve, c’est tout juste si l’Aide sociale à l’enfance ne débarque pas…»

Source et suite de l'article.

 

Avec Hollande on couchait le fond 

Mais avec Macron on sombre dans l'abîme 

Le 31/10/2021 à 08:59, Prosarko a dit :

Avec Hollande on couchait le fond 

Mais avec Macron on sombre dans l'abîme 

Quel rapport avec Hollande et Macron sur ce sujet ? 

Le 31/10/2021 à 09:01, Jim69 a dit :

Quel rapport avec Hollande et Macron sur ce sujet ? 

C'est Macron et son partie qui ont appliqué les lois 

Le 31/10/2021 à 09:03, Prosarko a dit :

C'est Macron et son partit qui ont appliqué les lois 

Ton Sarko aurait été a la tête du pays, il l’aurait fait aussi. Obligation de suivre le mouvement progressiste quelque soit ta couleur politique (sauf extrême droite).

Le 31/10/2021 à 09:06, Jim69 a dit :

Ton Sarko aurait été a la tête du pays, il l’aurait fait aussi. Obligation de suivre le mouvement progressiste quelque soit ta couleur politique (sauf extrême droite).

Qui te dit que j'ai voté pour le petit Nicolas ? 

Pourquoi être obligé de suivre le mouvement progressiste ? Pas du tout, c'est ce que te fais croire la gauche. 

Le 31/10/2021 à 09:08, Prosarko a dit :

Qui te dit que j'ai voté pour le petit Nicolas ? 

Ton pseudo ?

Le 31/10/2021 à 09:09, Jim69 a dit :

Ton pseudo ?

C'est juste un pseudo ^^

Le 31/10/2021 à 09:08, Prosarko a dit :

Pourquoi être obligé de suivre le mouvement progressiste ? Pas du tout, c'est ce que te fais croire la gauche. 

Macron n’est pas de gauche, ne l’a jamais été et ne l’a jamais revendiqué. Pourtant il suit le mouvement.

Le 30/10/2021 à 21:56, goods a dit :

Le grand désarroi des parents face aux ados qui veulent changer de sexe.

ENQUÊTE - Qu’ils soient compréhensifs ou plus réfractaires, tous sont inquiets de voir leur enfant prendre des décisions aux conséquences irréversibles, et blâment un «effet de mode» sur les réseaux sociaux.

Un jour, ils ont reçu un SMS laconique. Une vidéo. Ou même un diaporama. Avec des mots, des expressions qu’ils ne connaissaient pas dans la bouche de leur enfant. Et plus aucune faute d’orthographe: «À partir de ce soir, vous m’appellerez Louise*», a écrit Louis*.

Un jour, leur ado leur annonce qu’il est transgenre, «sans aucun signe avant-coureur», et ces parents se trouvent «complètement désemparés». Alors que le ministère de l’Éducation nationale vient de publier une circulaire pour mieux «accompagner» les élèves trans, que l’Assemblée nationale vient de voter l’interdiction des «thérapies de conversion» visant à «modifier l’orientation sexuelle», mais aussi «l’identité de genre» d’une personne, ils se disent très inquiets: «Comment faire comprendre à nos enfants que leur mal-être n’est pas forcément dû à une transidentité? s’émeut Camille, qui s’emploie à rassembler d’autres parents dans un collectif, en lien avec la fédération internationale de parents Genspect. On a l’impression d’être plongé dans un monde de science-fiction, où énoncer le moindre conseil de prudence devient transphobe.»

Petit, Louis était «plutôt branché dinosaures, jamais robe à paillettes». Mais un jour, Corinne tombe sur des photos de son fils de 14 ans en sous-vêtements féminins sur Instagram. Il voulait juste «avoir des likes»… «Louis est plongé dans la culture manga du matin au soir, explique Corinne. Dans ces BD, les personnages passent d’un genre à l’autre sans problème. C’est un gamin haut potentiel, qui a été harcelé au collège. Chez nous, il est joyeux, curieux, mais il y a ces réseaux sociaux…» En mars 2020, il lui envoie un SMS: «Quand tu rentres, tu me dis ‘‘elle”». Ses parents l’entourent avec bienveillance. «Je lui ai trouvé les coordonnées d’un psy trans, je l’ai emmené au rayon fille, je lui ai même proposé de lui apprendre à mettre du fond de teint!», énumère Corinne. Mais le diagnostic de la psychologue est clair: Louis «n’est ni convaincu ni convaincant». «Il ne se reconnaît pas dans le modèle hypersportif et masculin de son père, mais ce n’est pas pour cela qu’il est une fille!, s’exclame sa mère. J’ai vu qu’il était allé sur des sites proposant des hypnoses en transe profonde pour faire une transition ‘‘male to female’’, ou encore une ‘‘bimbofication’’! Et qu’il avait écouté la séance quatre ou cinq fois! Je ne dis pas que cela n’existe pas, je dis juste qu’il doit y avoir un nombre infime d’enfants qui ne sont pas nés dans le bon corps. Mais si nous, parents, on émet une réserve, c’est tout juste si l’Aide sociale à l’enfance ne débarque pas…»

Source et suite de l'article.

 

Franchement, dans une telle situation, je pense aussi que ça aurait été un grand désarrois... mais ça aurait été aussi un grand désarrois si un de mes enfants nous avait annoncé qu'il était homo. Tout ce qui sort de la "norme" effraie, car on a peur que nos enfants souffrent. Après, pour nos enfants, nous sommes prêts à nous adapter, à revoir nos positions, à revenir sur notre éducation, sur les principes dans lesquels nous avons été formatés. Le tout étant d'être à l'écoute et de veiller à ce que nos enfants soient heureux tout en restant des gardes fous vigilants, tant qu'ils n'ont pas les épaules et l'esprit suffisamment averti, pour prendre eux même, leurs propres décisions.  

Le 31/10/2021 à 08:59, Prosarko a dit :

Avec Hollande on couchait le fond 

Mais avec Macron on sombre dans l'abîme 

Le 31/10/2021 à 09:01, Jim69 a dit :

Quel rapport avec Hollande et Macron sur ce sujet ? 

Le 31/10/2021 à 09:03, Prosarko a dit :

C'est Macron et son partie qui ont appliqué les lois 

Le 31/10/2021 à 09:06, Jim69 a dit :

Ton Sarko aurait été a la tête du pays, il l’aurait fait aussi. Obligation de suivre le mouvement progressiste quelque soit ta couleur politique (sauf extrême droite).

Le 31/10/2021 à 09:08, Prosarko a dit :

Qui te dit que j'ai voté pour le petit Nicolas ? 

Pourquoi être obligé de suivre le mouvement progressiste ? Pas du tout, c'est ce que te fais croire la gauche. 

Le 31/10/2021 à 09:09, Jim69 a dit :

Ton pseudo ?

Le 31/10/2021 à 09:10, Prosarko a dit :

C'est juste un pseudo ^^

Le 31/10/2021 à 09:10, Jim69 a dit :

Macron n’est pas de gauche, ne l’a jamais été et ne l’a jamais revendiqué. Pourtant il suit le mouvement.

Je pense que vous vous égarez, ce sujet n'est pas un débat politique 

Le 31/10/2021 à 09:14, soisig a dit :

Franchement, dans une telle situation, je pense aussi que ça aurait été un grand désarrois... mais ça aurait été aussi un grand désarrois si un de mes enfants nous avait annoncé qu'il était homo. Tout ce qui sort de la "norme" effraie, car on a peur que nos enfants souffrent. Après, pour nos enfants, nous sommes prêts à nous adapter, à revoir nos positions, à revenir sur notre éducation, sur les principes dans lesquels nous avons été formatés. Le tout étant d'être à l'écoute et de veiller à ce que nos enfants soient heureux tout en restant des gardes fous vigilants, tant qu'ils n'ont pas les épaules et l'esprit suffisamment averti, pour prendre eux même, leurs propres décisions.  

 

 

 

 

 

 

 

Je pense que vous vous égarez, ce sujet n'est pas un débat politique 

Ben oui mais bon :

Les sujets sur les enfants qui veulent changer de sexe je vois pas trop de quoi on peut échanger dessus si ce n'est pas de politique 

Moi , quand j'étais ado ,et beau gosse ,, la seule chose que je voulais c'était changer de copine , pour me constituer un palmarès  ;  oui O.K.   c'est naze  ;   

Le 31/10/2021 à 09:19, Prosarko a dit :

Ben oui mais bon :

Les sujets sur les enfants qui veulent changer de sexe je vois pas trop de quoi on peut échanger dessus si ce n'est pas de politique 

Si tu ne sais pas quoi en dire, tu passes ton chemin. Il y a une rubrique politique, pour parler de politique.