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Lettre ouverte


Ab initio

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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 35 947 messages
Grégairophobe...,
Posté(e)
il y a 29 minutes, Ab initio a dit :

Je suppose que ça dépend : pour un hommage, pour une démarche philosophique ou politique ("J'accuse"), pour l'art. Mais dans la plupart des cas, peut-être un exutoire.

Comme je l'écrivais, même pas besoin de s'adresser à une personne. J'en ai lu une sympa d'un type qui écrivait à la tartine qu'il allait dévorer le lendemain matin.

Pourquoi un blogueur/romancier/peintre crée-t-il ? =)

Etrangement, la lettre ouverte à une tartine ne me dérange pas :D

 

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Membre, Voyageur, 69ans Posté(e)
Plouj Membre 106 490 messages
69ans‚ Voyageur,
Posté(e)
il y a 13 minutes, Sittelle a dit :

Je ne comprends pas ou tu veux en venir . ( Quel drole de mot pour dire arriver )

Nulle part, je poursuis juste sur tes messages !

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Membre, Un oiseau la tête en bas !, Posté(e)
Sittelle Membre 11 304 messages
Un oiseau la tête en bas !,
Posté(e)
il y a 46 minutes, Plouj a dit :

Nulle part, je poursuis juste sur tes messages !

Je ne comprends pas .

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Membre, Voyageur, 69ans Posté(e)
Plouj Membre 106 490 messages
69ans‚ Voyageur,
Posté(e)
il y a 29 minutes, Sittelle a dit :

Je ne comprends pas .

Moi non plus, mais on va essayer.

Il y a 1 heure, Sittelle a dit :
Il y a 2 heures, Plouj a dit :

Je suis sûr que tu peux en trouver ..

Mais je ne suis pas sûr d'en éprouver  l'envie et encore moins de besoin ..

 

Il y a 1 heure, Plouj a dit :

Alors il ne faut pas le faire, c'est tout bête.

A propos de ça ?

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Membre, Un oiseau la tête en bas !, Posté(e)
Sittelle Membre 11 304 messages
Un oiseau la tête en bas !,
Posté(e)
il y a 18 minutes, Plouj a dit :

Moi non plus, mais on va essayer.

 

A propos de ça ?

Suis perdu .. nous ne faisons pas avancer la discute .. si tu veux m'expliquer en MP c'est Ok si non tant pis ..

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Modérateur, Nikita, 152ans Posté(e)
_Dolph Modérateur 60 554 messages
152ans‚ Nikita,
Posté(e)
il y a 2 minutes, Sittelle a dit :

Suis perdu .. nous ne faisons pas avancer la discute .. si tu veux m'expliquer en MP c'est Ok si non tant pis ..

Tu as dit que tu n'éprouves ni l'envie ni le besoin. Il te répond juste alors de ne pas le faire.

 

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Membre, Un oiseau la tête en bas !, Posté(e)
Sittelle Membre 11 304 messages
Un oiseau la tête en bas !,
Posté(e)
il y a 3 minutes, _Dolph a dit :

Tu as dit que tu n'éprouves ni l'envie ni le besoin. Il te répond juste alors de ne pas le faire.

 

Je pense que c'est plus compliqué parce que cela découle d'un mal entendu probable lors de la première citation de @Plouj

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Membre, Voyageur, 69ans Posté(e)
Plouj Membre 106 490 messages
69ans‚ Voyageur,
Posté(e)
il y a 10 minutes, Sittelle a dit :

Je pense que c'est plus compliqué parce que cela découle d'un mal entendu probable lors de la première citation de @Plouj

Je pense que tu es allée chercher trop loin, @_Dolph résume tout à fait la situation.

 

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Membre, 40ans Posté(e)
Crève Membre 3 353 messages
Mentor‚ 40ans‚
Posté(e)

Je me prête au jeu de la lettre ouverte. Après avoir mûrement réfléchi au choix du ou des destinataires, et du contenu, il m'est venu à l'esprit : pourquoi pas une lettre ouverte aux auteurs-rices de science-fiction ? (puisque ce domaine représente le substrat de ma pensée)

La voici :

Chers auteurs-rices,

Vous m'avez tous et toutes régalé par vos idées, votre vision du monde, de l'avenir de l'humanité (qui en fait reflète le présent). Avec votre prose, j'ai découvert l'espace, le post-apocalyptique, les sociétés de contrôle, ou les univers virtuels. Votre imagination se mêle à vos angoisses pour produire des scénarios catastrophe dont l'espèce humaine a besoin, non pour se préparer au pire, mais pour prévenir du pire.

 

Votre vision m'a ouvert au champ des possibles, à l'arbre des possibles. Qu'est-ce que la science-fiction, si ce n'est la réponse émotionnelle face au temps qui passe ? Votre littérature est hautement incomparable : pensez aux humain-es du XIXième siècle : si on leur avait dit qu'on irait dans l'espace, qu'on se parlerait d'un bout à l'autre de la planète en instantané, avec un petit boitier (le téléphone), ou qu'on s'envolerait dans le ciel, et, hélas, qu'avec une bombe, on pourra souffler 70 000 âmes d'un coup. Qu'en auraient-ils-elles pensé ? Que ce n'est là qu'affabulations. Et pourtant, tout cela a eu lieu. A vous, auteurs-rices de science-fiction, il revient l'immense tâche de voir dans les eaux troubles de l'avenir.

 

L'avenir, parlons-en. Certains d'entre vous veulent le "désincarcérer". Car l'avenir a une gueule d'accident de la route. Vous avez créé les ateliers "Bright mirror" (pied-de-nez à la série Black Mirror). C'est tout aussi noble de voir les évolutions positives. L'exercice est difficile : ne pas plus tomber dans la béatitude devant la technologie que tomber dans la technophobie. L'Humanité a une route, peut choisir sa route, sa ligne médiane, si elle s'en donne les moyens, si elle écoute ses auteurs-trices.

 

Même l'armée et le gouvernement ont fini par voir l'intérêt qu'on peut tirer de vos visions. L'armée a créé la Red Team, et classé vos travaux. Peut-être que dans cent ans, ce sera déclassifié, et l'on pourra dire "il-elle avait tout prévu", et même "il-elle a sauvé le monde".

 

Cher auteur-rice de science-fiction, continuez de vous et nous faire plaisir, d'écrire, de voir et prévoir, de nous faire rêver, cauchemarder et palpiter.

 

J. le 23/04/2021.

 

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Le 22/04/2021 à 09:16, Ab initio a dit :

Bonjour.

De l'usage des lettres ouvertes.

 

Une lettre se doit de commencer par une formule de politesse .

Une salutation de bon-jour ou de bon-soir, me semblerait bien déplacée et hypocrite  à votre égard. 

Aucune envie de vous saluer et aucune envie de vous souhaiter une bonne journée, ça serait m'inclure dans vos méfaits journaliers. 

Vous m'indisposez et dérangez, le monde où je vie. 

Je n'aime pas mon monde et n'aime pas non plus son incohérence mais ce n'est pas pour autant que je lui souhaite votre pire . Je ne vous aime pas, personne ne doit vous aimer je crois; même les plus exécrables d'entre nous. 

J'abhorre votre façon de faire et d'être. Votre sournois mécanisme indispose mes habitudes et mes potentiels projets de vie (vie: mouvement et action).

 Vous vous incruster alors que personne ne vous invite si ce n'est les "pseudos invincibles", pensants peut-être maîtriser leur petit monde; alors qu'ils ne savent même pas se protéger contre votre nocive présence.

Je suis fatiguée de vous voir encore là. Je ne vous aime pas comme vous le savez.

La vie était bien compliquée avant vous mais vous la rendez plus incontrôlable qu'elle ne l'était. Vous contrôlez mon quotidien et je n'aime pas dépendre de votre démesure d'expansion.

Je vous ai vu à la dernière fête où quelqu'un a eu la mauvaise idée de vous inviter. Vous voir vous trémousser au milieu de la piste m'a fait quitter la soirée. Je suis éreintée  de vous voir roder un peu partout autour de moi. Exténuée de semer vos ardeurs indélicates de m'approcher. 

J'en ai assez de vous entrapercevoir dans mon autour.

Vous voulez m'éloigner de ce que j'aime et de ceux que j'aime.

J'en ai assez de vous, de vos mauvaises manières, de cette attachement envers les uns et les autres, de cette pervers façon de me suivre partout alors que je ne rêve que d'une chose. Ne plus jamais entendre parler de vous. 

Vous êtes méprisable. 

Je n'aime pas la cage que vous me construisez , j'y étouffe. Je n'aime pas les murs que vous édifiez dans mon monde et cette distance que vous m'imposez. 

Ma solitude c'est moi qui la décide , pas votre égocentrique puissance de nuisible.

Vous êtes imprévisible et indiscipliné , bordélique dans votre mécanisme relationnel. Vous avez chamboulé mon monde déjà fou et incohérent , cruel et tellement pourri mais vous, vous êtes ... cette cerise rabougri qui gâche tout.

Je ne sais pas encore; comment je vais savoir vous éviter et protéger mon monde .

Je ne sais comment arriver à vous faire comprendre que vous devez vous en aller.

Je sais par contre que l'après vous sera différent en tout .

Je pense parfois  - dans mes délires quotidiens de réfection du monde-que vous deviez venir chambouler mon existence pour que je la pense autrement -peut être - Un peu comme un semblant de précieux qui se dévoile dans le dépouillement.

La plus belle chose au monde- à mon sens-, demeure cette liberté dont vous voulez me dépouillez et grâce à vous, elle prend toute son importance, une indécente nécessité dans la fatalité existentielle, que vous mettez sous scellé. 

Je ne vous aime pas.

Je déteste mon nouveau protocole de survie et je n'aime pas comprendre que je ne vous maitrise pas. 

Je hais ma parenthèse -vie depuis votre venue. 

Je n'aime pas la grossièreté de votre apparence même si vous vous cachez pour mieux sévir, je continue d'avoir de vos nouvelles alors que j'aimerais réapprendre à vivre sans votre encombrante et incommodante présence. 

Grand mère m'a appelé hier pour me parler de votre passage chez elle, elle est toute chamboulée. Je lui ai demandé de ne plus vous ouvrir sa porte et je vous interdis de lui rendre une seconde visite comme à cette amie que vous avez poussé au suicide. 

Grand mère à changé les serrures de sa porte et elle ne vous ouvrira plus.

J'allume la télé et vous faite la une de tous les débats. vous vous éclatez dans le grossier rôle du jeune premier; vous avez tué , volé des vies, semé  la pauvreté  et la misère, séparé  les gens et vous jubilez sournoisement face à des savants fous quine savent pas grand chose et qui croient user de vous pour un peu de lumière  sous les projecteurs tamisés d'un présent en berne. 

Moi  je vous déclare ouvertement ma haine. 

Je termine là cette lettre, que je ne saurais vous envoyer. Votre adresse est tronquée je crois. Vous avez inscris "le monde" sur votre carte de visite pompeux , vulgaire et imbu de votre misérable microscopique existence, vous croyez être chez vous un peu partout. Vous vous étalez et prenez trop d'espace . Vous avez fait assez de dégâts comme ça. 

Adresse inscrite sur l'enveloppe:

C. Ovid. 19, Rue du monde. Terre. 

(Je m'ennuie parfois dans mon confinement mentale).

Lowy...
-the mad girl in this crazy world-
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Membre, Un oiseau la tête en bas !, Posté(e)
Sittelle Membre 11 304 messages
Un oiseau la tête en bas !,
Posté(e)
Le 22/04/2021 à 15:36, Criterium a dit :

:(

C'est dommage... ce démon du perfectionnisme a fait beaucoup de victimes... et ce qui est triste, c'est que l'envie de faire quelque chose de beau, et qui ne soit pas ridicule, ni décevant, parfois ce n'est même pas du perfectionnisme mais en fait l'impression (fausse) qu'il faudrait faire comme ci et comme ça...

Je pense que concernant ce blog cela n’intéresserait probablement personne .. du coup .. ben ce sera sans.

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  • 2 semaines après...
Membre, 76ans Posté(e)
Blaquière Membre 18 862 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)
Le 22/04/2021 à 15:36, Criterium a dit :

:(

C'est dommage... ce démon du perfectionnisme a fait beaucoup de victimes... et ce qui est triste, c'est que l'envie de faire quelque chose de beau, et qui ne soit pas ridicule, ni décevant, parfois ce n'est même pas du perfectionnisme mais en fait l'impression (fausse) qu'il faudrait faire comme ci et comme ça...

 

————————————

Lettre ouverte à @Sittelle

Ma chère Amie,

Vous me disiez que vous préfériez nourrir l'image de ce rêve de blog, ce jardin éthéré et nuageux, là où tous les possibles sont beaux, car imaginaires ; plutôt que celle de ce blog lui-même, qui viendrait au monde dans le cri, le sang et les larmes. Si ce n'est pire : quelque substance dont l'action magique serait d'éloigner derechef tout semblant de vie sociale et de vous y laisser seule, comme pour vous punir d'avoir osé.

Comment ne pas vous comprendre, ma chère amie ? Après tout, que de gredins impudiques ! Que de margoulins qui au moindre affect tiennent bien à vous le faire savoir ! Vous et nous tous ! Comme ce serait horrible que de se dire que l'on ne fasse que de les rejoindre, et d'en grossir leurs rangs...

Mais quelle est-elle vraiment, la direction du regard quand on contemple la fosse aux molosses ? Vers le bas... Vers le bas, vers les tréfonds ; là où vous avez peur de chuter.

Vous, la funambule ; vos rêves légers qui ne permettront pas que votre pied se pose dans le vide ; vos nuages qui arrivent à soutenir le poids d'une personne ; et puis toutes ces fleurs plantées au jardin et dont vous auriez aimé en montrer au moins quelques-unes — ne serait-ce qu'à quelques invités, soigneusement choisis, pour ne pas recevoir un coup de poignard dans le dos en se baissant vers la tige.

Je sais que les peurs doivent être conquises par soi-même ; aussi je ne peux faire beaucoup plus que de vous encourager avec le peu de mots dont je suis capable, tentant d'y insuffler un peu de tendresse. Vos mots ont toujours été expressifs, mesurés, réels, vos mots ont toujours été ces pierres d'œuvres — celles qui sont suffisamment solides pour servir de fondations. Vous n'avez pas perdu du temps, toutes ces années ; juste cristallisé quelque chose, que vous pourrez un jour — ou pas — décider de nous dévoiler, et j'ai — irrationnellement me direz-vous ! — la conviction que ce sera très beau. — C'est pourquoi vous me permettrez la liberté que je m'octroie ici, celle de m'adresser à vous comme à une amie, et la liberté de vous transmettre mes encouragements sincères : n'ayez pas peur d'être vulnérable. Et ne m'en voulez pas trop d'oser à mon tour vous exhorter de la sorte.

En vous priant d'accepter l'expression de mes sentiments les meilleurs,

Criterium.

————————————

 

Miam. :)

Ah, je suis bien d'accord avec vous. J'étais dans le même cas et je me reconnais moi-même là dans vos mots... Le temps passe vite, et cela doit faire presque dix ans maintenant ; nous étions quelques-uns à nous envoyer des lettres manuscrites. Dont des amis qui étaient sur Ffr d'ailleurs ! Parfois c'étaient de courtes lettres qui faisaient à peine sens, quelques phrases lues ici et là mais perçues comme des révélations ; et avec d'autres personnes, plutôt des sortes de reportages sur les endroits que l'on visitait aux cours de telle ou telle aventure ou, parfois, déboire administratif ramenant à l'autre bout du pays... 

Cela prend du temps d'écrire une lettre manuscrite — et nos mains sont de moins en moins habituées à la graphie manuelle. Ça m'avait aussi pris un temps fou, une fois, d'écrire quelques pages à la plume mais en lettres gothiques. Le travail, la vie, qui se disputent le temps libre limité et qu'il faut parfois, par périodes, répartir çà et là en faisant des priorités et des sacrifices... Alors petit à petit les délais augmentent de part et d'autre... C'est dommage, mais ce petit cercle a progressivement perdu ce moyen de communication. Par contre, chacun a certainement continué à écrire des textes, même ceux pour lesquels plus personne n'eut de nouvelles. C'est donc, quelque part... le smartphone qui nous les a volés... ces petites boîtes perfides mais attachantes...

 

Mais ce topic a eu beaucoup de succès quand même. — Vous vouliez plus. Mais. Si vous voulez l'avis d'une personne en particulier... pourquoi ne pas... oserai-je le dire ? — pourquoi ne pas lui écrire une lettre ouverte ?

:p

 

 

Une lettre ouverte ne mériterait-elle pas d'être écrite à la main ?

Est-ce que ce n'est pas la forme des lettres des polices qui déjà dès le départ dépersonnalise nos écritures ?

Je me suis amusé à une époque à "créer" des polices d'après des écritures anciennes... Il faut dire que je suis passé directement de la plume d'oie à l'ordinateur et aux traitements de textes ! au tout début des années 90 ! Je me demande si je ne devrais pas perdre un peu de temps à fabriquer une police de mon écriture perso ! (Mais je l'ai déjà dit : "je ne m’intéresse pas assez !")

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Le problème c'est qu'on ne peut garder la police que si le correspondant a la même d'installée sur son ordinateur ! Ou alors, envoyer des photos ? Mais autant envoyer directement la photo de la page écrite à la main !

 

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