Questionnement.....

Il y a 5 heures, hell-spawn a dit :

C'est quoi un "vrai" philosophe ?   Il suffit pas d'avoir fait des études de philosophie pour comprendre ce questionnement, j'ai l'impression que cela relève davantage d'un trait psychologique.

Sinon vous avez répondu de manière honorable, même si j'aurais a y redire.

Par exemple quand vous affirmez qu'on ne peut pas être autre chose qu'un rouage de la société, ou qu'il s'agit de se construite contre, et aussi quand vous introduisez Dieu dans l'équation.

En ce qui me concerne je peux dire que j'en suis venu a penser que seules les personnes qui transcendent la société par leurs valeurs, leurs aspirations, leurs sentiments, leur âme ( puisqu'il faut bien le dire ) sont interessantes ( pour moi en tous cas ) et ont des chances de préserver leur santé mentale et leur indépendance d'esprit.

Elles peuvent être de bons citoyens, mais elles sont plus que cela.

Vrai c'était ironique, je voulais dire ceux qui participent en général au sujet philosophique. Bien que je sais pertinemment que très peu participeront à mon sujet. Je suis pas l'une d'eux. C'est sur que moi, en philosophie je casse pas des briques, mais cela c'est autre chose bref...

C'est pas que j'affirme que nous sommes qu'un rouage de la société. Mais, je dis juste que nous sommes un rouage de la société, qui me semble très différents. Nous sommes la société, nous vivons avec les lois de cette société. Donc notre vie dépend qu'elle part de cette société dont nous faisons parti.

Après notre esprit nous appartient qu'à nous, la société n'y a pas accès, si je peux m'exprimer ainsi.

Je vais t'avouer, je comprends pas trop ce que tu entends par transcender la société.

J'ai des valeurs, des sentiments,et des aspirations comme tout le monde( du moins je crois) mais en ce qui concerne la spiritualité j'y connais pas grand chose. Est ce que cela fait de moi une personne non intéressante.

Toi il y a que les personnes spirituelles ou que tu penses spirituelles qui t'intéressent, on l'a très bien compris. Mais t'es tu posé la question si ces personnes d'apprécient vraiment ?

Moi je vais te dire, je m'en tape royalement, c'est pas ce qui m'intéresse chez les autres, leur spiritualité m'importe peu. 

Bon passons...

il y a 9 minutes, lysiev a dit :

Vrai c'était ironique, je voulais dire ceux qui participent en général au sujet philosophique. Bien que je sais pertinemment que très peu participeront à mon sujet. Je suis pas l'une d'eux. C'est sur que moi, en philosophie je casse pas des briques, mais cela c'est autre chose bref...

C'est pas que j'affirme que nous sommes qu'un rouage de la société. Mais, je dis juste que nous sommes un rouage de la société, qui me semble très différents. Nous sommes la société, nous vivons avec les lois de cette société. Donc notre vie dépend qu'elle part de cette société dont nous faisons parti.

Après notre esprit nous appartient qu'à nous, la société n'y a pas accès, si je peux m'exprimer ainsi.

Je vais t'avouer, je comprends pas trop ce que tu entends par transcender la société.

J'ai des valeurs, des sentiments,et des aspirations comme tout le monde( du moins je crois) mais en ce qui concerne la spiritualité j'y connais pas grand chose. Est ce que cela fait de moi une personne non intéressante.

Toi il y a que les personnes spirituelles ou que tu penses spirituelles qui t'intéressent, on l'a très bien compris. Mais t'es tu posé la question si ces personnes d'apprécient vraiment ?

Moi je vais te dire, je m'en tape royalement, c'est pas ce qui m'intéresse chez les autres, leur spiritualité m'importe peu. 

Bon passons...

 

Oui il faut être un peu spirituel pour transcender la société, enfin selon moi,  ça pourrait d'ailleurs en être une définition.

Car sans spiritualité il reste quoi ? Le matérialisme, et l'humain est sans défense contre le pouvoir écrasant de la société pour façonner les esprits, les programmer même.

Pour donner une image, je vois la société comme une gigantesque machine a laver en mode essorage, mais bon, je n'ai rien contre ceux qui veulent tourner dans le tambour.

Et la question n'est pas de savoir si on m'apprécie, nul besoin de réciprocité.

Mais bon, je n'ai rien contre ceux qui veulent tourner dans le tambour

Le 22/03/2021 à 22:31, lysiev a dit :

J'ai une question pour vous les philosophes du forum. Et ceux et celles  que cela intéressent bien sur.

Vivons nous notre vie ou c'est la vie qui nous fait vivre?

Cela vient de me traverser l'esprit, un courant d'air surement 

Je crois que mon cerveau surchauffe, que j'ai de la fièvre.

Vous pouvez répondre à mon interrogation ?

Mais de grâce rentrer pas dans des explications d'un autre monde et penser à mon cerveau qui n'a pas l'option philosophie

Finalement suis-je dans la bonne rubrique ?

Si l'on juge que c'est un sujet pour l'asile. Que l'on transporte le sujet à l'asile pas moi hein 

Mais bon je sais que vous avez vous aussi en philosophie de l'humour.

Euh j'espère 

J''attends avec impatience vos réponses.

Je vais rentrer dans la danse. Vous pensez que certains ne vous répondent pas par dédain. C'est possible après tout.

Ce n'est pas mon cas.

Je ne vous ai pas répondu parce que j'ai douté de moi-même. Est-ce que je comprends bien ce que vous voulez faire comprendre dans cette phrase : Vivons nous notre vie ou c'est la vie qui nous fait vivre?

C'est trop flou. Je peux y mettre, dans cette phrase, tout ce j'imagine moi-même, cette phrase ouvre sur un imaginaire trop vaste, avec trop de possibles, d’autant plus que vous employez le pronom : nous.

Je voudrais que vous précisiez votre pensée, avec des images qui expliquent ce que vous ressentez.

Il est possible de suivre aussi ce fil de recherche :

Vivons-nous notre vie pourrait être traduit ainsi : vive-je ma vie ?

C''est la vie qui nous fait vivre pourrait être traduit ainsi : c'est la vie qui me fait vivre ?

Il y a donc vous et ce que vous appelez : la vie.

Qu'appelez vous la vie ?

Il y a 6 heures, hell-spawn a dit :

(...) En ce qui me concerne je peux dire que j'en suis venu a penser que seules les personnes qui transcendent la société par leurs valeurs, leurs aspirations, leurs sentiments, leur âme (puisqu'il faut bien le dire) sont intéressantes (pour moi en tous cas) et ont des chances de préserver leur santé mentale et leur indépendance d'esprit.

Elles peuvent être de bons citoyens mais elles sont plus que cela.

Je partage votre avis.

On peut vivre au sein d'une société tout en n'étant pas l'un des moutons abêtis du docile troupeau, pratiquant quand il semble nécessaire de le faire la "saine révolte", lorsque l'on pense que la société n'a aucune limite, va trop loin et que c'est devenu du grand n'importe quoi avec cette exaspérante notion du "politiquement correct".

Rester fidèle à ses convictions, aux valeurs que l'on prône et que l'on met en pratique, ne pas devenir un "pro-tout" à la conscience anesthésiée, au mépris d'une saine éthique.

Il y a 1 heure, Annalevine a dit :

Je vais rentrer dans la danse. Vous pensez que certains ne vous répondent pas par dédain. C'est possible après tout.

Ce n'est pas mon cas.

Je ne vous ai pas répondu parce que j'ai douté de moi-même. Est-ce que je comprends bien ce que vous voulez faire comprendre dans cette phrase : Vivons nous notre vie ou c'est la vie qui nous fait vivre?

C'est trop flou. Je peux y mettre, dans cette phrase, tout ce j'imagine moi-même, cette phrase ouvre sur un imaginaire trop vaste, avec trop de possibles, d’autant plus que vous employez le pronom : nous.

Je voudrais que vous précisiez votre pensée, avec des images qui expliquent ce que vous ressentez.

Il est possible de suivre aussi ce fil de recherche :

Vivons-nous notre vie pourrait être traduit ainsi : vive-je ma vie ?

C''est la vie qui nous fait vivre pourrait être traduit ainsi : c'est la vie qui me fait vivre ?

Il y a donc vous et ce que vous appelez : la vie.

Qu'appelez vous la vie ?

 

En faites j'ai eu cette réflexion en me posant des questions sur ma vie. Sur mon existence sur terre. Ok j'ai donné la vie à deux enfants  oui et alors?J'ai l'impression que je vis pour vivre tout simplement.

La vie pour moi est l'existence que l'on mène.

Notre existence  est faites de choix, mais au final c'est choix on pas vraiment une grande importance, je prends le chemin de droite, je vais à droite , je prends le chemin à gauche et alors. J'ai juste pris un chemin différent pour vivre ma vie.

.C'est difficile pour moi d'expliquer mes pensées, de mettre des mots dessus. Je comprends que cela peut être être difficile pour les autres de pouvoir répondre à ma question si je sais pas l'expliquer moi même.

Je pense pas que cela vous aide mieux à pouvoir répondre au sujet. J'en suis désolée.

Voilà pourquoi, je préfère pas intervenir sur les sujets de philosophie.

En faites j'aurais mieux fait m'en abstenir. 

J'aurais au moins essayer.

Il y a 3 heures, lysiev a dit :

C'est difficile pour moi d'expliquer mes pensées, de mettre des mots dessus. Je comprends que cela peut être être difficile pour les autres de pouvoir répondre à ma question si je sais pas l'expliquer moi même.

Je pense pas que cela vous aide mieux à pouvoir répondre au sujet. J'en suis désolée.

Voilà pourquoi, je préfère pas intervenir sur les sujets de philosophie.

En faites j'aurais mieux fait m'en abstenir. 

J'aurais au moins essayer.

Il faut arrêter de faire des complexes, si vous avez envie de dire quelque chose dîtes le.

Une personne qui s'interroge sincèrement sera toujours plus claire qu'un intellectuel qui veut seulement se faire remarquer.

Vous posez la question du sens de la vie, de notre utilité dans l'existence, du hasard ou de la nécessité...

Il y a 5 heures, Passiflore a dit :

 

Je partage votre avis.

On peut vivre au sein d'une société tout en n'étant pas l'un des moutons abêtis du docile troupeau, pratiquant quand il semble nécessaire de le faire la "saine révolte", lorsque l'on pense que la société n'a aucune limite, va trop loin et que c'est devenu du grand n'importe quoi avec cette exaspérante notion du "politiquement correct".

 

Rester fidèle à ses convictions, aux valeurs que l'on prône et que l'on met en pratique, ne pas devenir un "pro-tout" à la conscience anesthésiée, au mépris d'une saine éthique.

Si vous êtes d'accord avec ça je vous épouse :

"Le clivage qui s’installe dans la société française depuis un an n’est pas qu’une question de politique et de vision de l’avenir, mais révèle deux conceptions de la vie de l’homme, dont la divergence impose désormais un choix.

Liberté, Égalité, Fraternité ?

N'y a t-il plus d’intelligence dans ce pays, n’y a-t-il plus de bon sens ? L’épuisement spirituel de la population et le matérialisme forcené inculqué depuis l’après-guerre ont-ils conduit la population française à son point de non retour… ou son point de rupture ? Y a-t-il encore la place pour un sursaut salvateur ou bien la peur et la servilité l’ont-elles emporté ?

L’état d’esprit des Français laisse apparaître que désormais plusieurs réalités se côtoient dans notre pays, selon le niveau d’information et la conscience de chacun, divisant et brouillant la société, les familles, les amis…

Entre ceux qui ont plus ou moins calqué leur opinion sur le narratif uniforme matraqué  par les radios et les télévisions et ceux qui ne leur accordent plus la moindre confiance et ont cherché la vérité ailleurs, la société française, jusqu’au cœur des familles, parfois des couples, s’est divisée à l’ombre d’un minuscule virus."

A ce propos ; "La vie est une chienne qu'il faut tenir en laisse"

Le 22/03/2021 à 22:31, lysiev a dit :

J'ai une question pour vous les philosophes du forum. Et ceux et celles  que cela intéressent bien sur.

Vivons nous notre vie ou c'est la vie qui nous fait vivre?

Cela vient de me traverser l'esprit, un courant d'air surement 

Je crois que mon cerveau surchauffe, que j'ai de la fièvre.

Vous pouvez répondre à mon interrogation ?

Mais de grâce rentrer pas dans des explications d'un autre monde et penser à mon cerveau qui n'a pas l'option philosophie

Finalement suis-je dans la bonne rubrique ?

Si l'on juge que c'est un sujet pour l'asile. Que l'on transporte le sujet à l'asile pas moi hein 

Mais bon je sais que vous avez vous aussi en philosophie de l'humour.

Euh j'espère 

J''attends avec impatience vos réponses.

Parfois je me pose la même question. Mon coeur bat involontairement. Est ce moi qui respire ou est ce l'air qui entre et sort de mes poumons de force ? Je me dis que c'est le caractère involontaire de l'existence. Car n'existant pas avant d'exister pour vouloir exister on s'est tout de même mis à exister alors involontairement.

Le 22/03/2021 à 22:31, lysiev a dit :

J'ai une question pour vous les philosophes du forum. Et ceux et celles  que cela intéressent bien sur.

Vivons nous notre vie ou c'est la vie qui nous fait vivre?

Cela vient de me traverser l'esprit, un courant d'air surement 

Je crois que mon cerveau surchauffe, que j'ai de la fièvre.

Vous pouvez répondre à mon interrogation ?

Mais de grâce rentrer pas dans des explications d'un autre monde et penser à mon cerveau qui n'a pas l'option philosophie

Finalement suis-je dans la bonne rubrique ?

Si l'on juge que c'est un sujet pour l'asile. Que l'on transporte le sujet à l'asile pas moi hein 

Mais bon je sais que vous avez vous aussi en philosophie de l'humour.

Euh j'espère 

J''attends avec impatience vos réponses.

L'expérience, ce n'est pas ce qui arrive à quelqu'un, c'est ce que quelqu'un fait avec ce qui lui arrive.

- Mais je n'en veux pas, du confort. Je veux Dieu, je veux de la poésie, je veux du danger véritable, je veux de la liberté, je veux de la bonté. Je veux du péché.
- En somme, dit Mustafa Menier, vous réclamez le droit d'être malheureux.
- Eh bien, soit, dit le Sauvage d'un ton de défi, je réclame le droit d'être malheureux.

La plus grande partie de l'ignorance peut être vaincue. Nous ne savons pas, parce que nous ne voulons pas savoir.

la dictature parfaite: une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s'évader. Un système d'esclavage où, grâce la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l'amour de leur servitude

Les faits ne cessent pas d'exister parce qu'on les ignore.

Votre sujet fidèle et dévoué,

Mal-Voyant.

Il y a 9 heures, Mal-Voyant a dit :

- Mais je n'en veux pas, du confort. Je veux Dieu, je veux de la poésie, je veux du danger véritable, je veux de la liberté, je veux de la bonté. Je veux du péché.
- En somme, dit Mustafa Menier, vous réclamez le droit d'être malheureux.
- Eh bien, soit, dit le Sauvage d'un ton de défi, je réclame le droit d'être malheureux.

Il y a 9 heures, Mal-Voyant a dit :

la dictature parfaite: une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s'évader. Un système d'esclavage où, grâce la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l'amour de leur servitude

" Le meilleur des mondes"     Aldous Huxley.

Excellente référence !

Il y a 18 heures, lysiev a dit :

En faites j'ai eu cette réflexion en me posant des questions sur ma vie. Sur mon existence sur terre. Ok j'ai donné la vie à deux enfants  oui et alors?J'ai l'impression que je vis pour vivre tout simplement.

La vie pour moi est l'existence que l'on mène.

Notre existence  est faites de choix, mais au final c'est choix on pas vraiment une grande importance, je prends le chemin de droite, je vais à droite , je prends le chemin à gauche et alors. J'ai juste pris un chemin différent pour vivre ma vie.

.C'est difficile pour moi d'expliquer mes pensées, de mettre des mots dessus. Je comprends que cela peut être être difficile pour les autres de pouvoir répondre à ma question si je sais pas l'expliquer moi même.

Je pense pas que cela vous aide mieux à pouvoir répondre au sujet. J'en suis désolée.

Voilà pourquoi, je préfère pas intervenir sur les sujets de philosophie.

En faites j'aurais mieux fait m'en abstenir. 

J'aurais au moins essayer.

En recentrant votre réflexion sur le mot « vie » je voulais vous montrer qu’il existe toute une gamme de mots, dont celui-là, Vie, ou encore celui-là, Être, dont il est difficile de communiquer à autrui ce qu’ils signifient pour nous. Ce sont des mots qui font écho à un sentiment, à une expérience vécue à l’intérieur de nous-mêmes.

Si vous me demandez : qu’est ce que la Vie ? je peux répondre avec un langage convenu mais je peux aussi choisir d’être authentique. Alors je vous dirai que je n’en sais pas plus que vous sur ce sujet. Et, comme vous, je me sens contraint : je voudrais exprimer ce que je sens quand j’emploie ce mot, je n’y arrive pas. Vous êtes affrontée à une difficulté que nous rencontrons tous : comment dire à l’autre ce que je ressens quand j’emploie tel ou tel mot, qui réfère à une expérience interieure, connue de moi seul. C’est ce qu’on appelle la subjectivité .

Il est possible de faire comprendre à l’autre ce que nous entendons par cette classe de mots en les employant dans des phrases, dans des poèmes, dans des images, etc. ou tout simplement en employant d’autres mots qui en soient les synonymes.

C’est ce que vous faites en écrivant ceci : « la vie pour moi est l’existence que l’on mène ». Je vais vous titiller. Remarquez bien comment vous écrivez : la vie est pour moi l’existence que l’on mène. Vous passez d’une position personnelle à une position universelle. Rassurez-vous c’est ce que presque toutes et tous font. Rendre universelle une position personnelle. Écrivons plutôt : la vie est pour moi l’existence que je mène.

L’existence je pense voir ce que vous voulez signifier grâce aux développements que vous faites, c’est l’ensemble des évènements vécus par vous, étant dit que certains de ces événements sont issus d’un choix.

C’est là, sur la question du choix, que vous vous interrogez. Est-ce moi qui choisis [est-ce que je vis ma vie], ou est-ce que quelque chose d’autre qui choisit [est-ce que c’est la vie qui me fait vivre?] Ces choix sont-ils le fait de ma volonté ou ces choix sont-ils le fait de mon inspiration dont je ne sais pas d’où elle vient ?

Ce questionnement est une oscillation qui vous trouble.

Cette oscillation est la mienne, elle me trouble aussi.

Merci Mal-voyant, tu m’ouvres les yeux 

Merci Annalevine pour votre ouverture sur l’existentialisme 

Merci Hell-spawn  

Je fais juste une tentative aussi sans grande prétention

La vie tient-elle à un fil

Exister au regard des autres

Paraître, disparaître, être

Le SURexistentialisme existe-il comme il existe le surréalisme ou la survie

Dans les tripes donc

Il y a 4 heures, Annalevine a dit :

En recentrant votre réflexion sur le mot « vie » je voulais vous montrer qu’il existe toute une gamme de mots, dont celui-là, Vie, ou encore celui-là, Être, dont il est difficile de communiquer à autrui ce qu’ils signifient pour nous. Ce sont des mots qui font écho à un sentiment, à une expérience vécue à l’intérieur de nous-mêmes.

Si vous me demandez : qu’est ce que la Vie ? je peux répondre avec un langage convenu mais je peux aussi choisir d’être authentique. Alors je vous dirai que je n’en sais pas plus que vous sur ce sujet. Et, comme vous, je me sens contraint : je voudrais exprimer ce que je sens quand j’emploie ce mot, je n’y arrive pas. Vous êtes affrontée à une difficulté que nous rencontrons tous : comment dire à l’autre ce que je ressens quand j’emploie tel ou tel mot, qui réfère à une expérience interieure, connue de moi seul. C’est ce qu’on appelle la subjectivité .

Il est possible de faire comprendre à l’autre ce que nous entendons par cette classe de mots en les employant dans des phrases, dans des poèmes, dans des images, etc. ou tout simplement en employant d’autres mots qui en soient les synonymes.

C’est ce que vous faites en écrivant ceci : « la vie pour moi est l’existence que l’on mène ». Je vais vous titiller. Remarquez bien comment vous écrivez : la vie est pour moi l’existence que l’on mène. Vous passez d’une position personnelle à une position universelle. Rassurez-vous c’est ce que presque toutes et tous font. Rendre universelle une position personnelle. Écrivons plutôt : la vie est pour moi l’existence que je mène.

L’existence je pense voir ce que vous voulez signifier grâce aux développements que vous faites, c’est l’ensemble des évènements vécus par vous, étant dit que certains de ces événements sont issus d’un choix.

C’est là, sur la question du choix, que vous vous interrogez. Est-ce moi qui choisis [est-ce que je vis ma vie], ou est-ce que quelque chose d’autre qui choisit [est-ce que c’est la vie qui me fait vivre?] Ces choix sont-ils le fait de ma volonté ou ces choix sont-ils le fait de mon inspiration dont je ne sais pas d’où elle vient ?

Ce questionnement est une oscillation qui vous trouble.

Cette oscillation est la mienne, elle me trouble aussi.

Merci de votre réponse.

C'est tout à fait cela, vous avez su mettre des mots, sur mon questionnement.

Etrange que cela puisse paraître , je me dis que notre propre vie est toute tracée à notre naissance. Que les chemins que nous prenons, ne sont pas du à notre simple volonté. Je ne parle pas d'un être suprême qui choisi pour nous.

Mais une force mystérieuse.

Mais n'est ce pas  notre l'âme cette force mystérieuse? 

Est qu'une personne philosophe , justement n'essaye -t -elle pas de comprendre cette force mystérieuse, à l'amadouer, la dompter?

Je ne sais pas si je dis des "conneries" ou pas ?

il y a 5 minutes, lysiev a dit :

Je ne sais pas si je dis des "conneries" ou pas ?

A vrai dire, la façon absolue que nous aurions, les uns et les autres, de ne jamais écrire de conneries sur le forum, serait de ne jamais participer… (tout le problème est là)

P’taing, c’est plus fort que moi, il faut toujours que je ramène ma fraise, même quand j’ai rien à dire ! 

il y a 6 minutes, Enchantant a dit :

A vrai dire, la façon absolue que nous aurions, les uns et les autres, de ne jamais écrire de conneries sur le forum, serait de ne jamais participer… (tout le problème est là)

P’taing, c’est plus fort que moi, il faut toujours que je ramène ma fraise, même quand j’ai rien à dire ! 

Je pense à un moment ou un autre on en a tous dis des conneries, même toi , j'allais dire surtout toi  (c'est gentil hein dans le sens tu me fais rire avec tes conneries)

Je vais t'appeler fraise tagada . T'inquiètes je la ramène souvent pour pas dire grand chose 

à l’instant, lysiev a dit :

j'allais dire surtout toi  (c'est gentil hein dans le sens tu me fais rire avec tes conneries)

Tu m'excuse Excusez moi, j'avais oublié que je m'adressais à la ministre des sports ! 

Le 22/03/2021 à 22:31, lysiev a dit :

J'ai une question pour vous les philosophes du forum. Et ceux et celles  que cela intéressent bien sur.

Vivons nous notre vie ou c'est la vie qui nous fait vivre?

Cela vient de me traverser l'esprit, un courant d'air surement 

Je crois que mon cerveau surchauffe, que j'ai de la fièvre.

Vous pouvez répondre à mon interrogation ?

Mais de grâce rentrer pas dans des explications d'un autre monde et penser à mon cerveau qui n'a pas l'option philosophie

Finalement suis-je dans la bonne rubrique ?

Si l'on juge que c'est un sujet pour l'asile. Que l'on transporte le sujet à l'asile pas moi hein 

Mais bon je sais que vous avez vous aussi en philosophie de l'humour.

Euh j'espère 

J''attends avec impatience vos réponses.

Bonjour, 

La vie n'est pas transcendantale.

Vous et moi, nous ne sommes pas dans une vie, nous sommes dans un éveil.

Et heureusement pour nous.

Parce que la vie fait preuve de despotisme, alors que l'éveil est beaucoup plus adapté à nous.

N'ayez crainte, nous sommes en France.

Cela signifie que même si vous n'aimez pas le travail, et même si vous êtes un criminel, notre France vous maternera.

On m'a incarcéré dans un camp d'extermination français, et j'ai eu droit à des spectacles de marionnettes, à des waffen SS drôles et attendrissants, à des repas conviviaux et festifs, …

"Mais qu'est-ce que c'est que ce service public de merde !?"

Oui, la France joue pour nos destins, c'est une pucelle à côté de notre cosmologie.

La France a commis le régicide, le parricide, et le déicide.

C'est indigne, mais l'indignité réciproque peut le justifier.

Rien n'est écrit.

Votre vie n'est pas un prototype idéal.

Le destin est un contrat rétroactif entre le passé et le futur, entre le vivable et le crédible, entre le réel et le possible.

La vie n'est pas objectivable, et elle ne postule donc pas au poste de tyran.

Cordialement, Fraction

il y a 11 minutes, Enchantant a dit :

Tu m'excuse Excusez moi, j'avais oublié que je m'adressais à la ministre des sports ! 

mais que t'es bête  

il y a 4 minutes, Fraction a dit :

Bonjour, 

La vie n'est pas transcendantale.

Vous et moi, nous ne sommes pas dans une vie, nous sommes dans un éveil.

Et heureusement pour nous.

Parce que la vie fait preuve de despotisme, alors que l'éveil est beaucoup plus adapté à nous.

 

N'ayez crainte, nous sommes en France.

Cela signifie que même si vous n'aimez pas le travail, et même si vous êtes un criminel, notre France vous maternera.

On m'a incarcéré dans un camp d'extermination français, et j'ai eu droit à des spectacles de marionnettes, à des waffen SS drôles et attendrissants, à des repas conviviaux et festifs, …

"Mais qu'est-ce que c'est que ce service public de merde !?"

Oui, la France joue pour nos destins, c'est une pucelle à côté de notre cosmologie.

La France a commis le régicide, le parricide, et le déicide.

C'est indigne, mais l'indignité réciproque peut le justifier.

 

Rien n'est écrit.

Votre vie n'est pas un prototype idéal.

Le destin est un contrat rétroactif entre le passé et le futur, entre le vivable et le crédible, entre le réel et le possible.

La vie n'est pas objectivable, et elle ne postule donc pas au poste de tyran.

Cordialement, Fraction

Je vois pas trop ce que la France a avoir avec ma question, mais bon , si cela vous à fait du bien de dire cela super pour vous. 

il y a 8 minutes, lysiev a dit :

mais que t'es bête  

Je vois pas trop ce que la France a avoir avec ma question, mais bon , si cela vous à fait du bien de dire cela super pour vous. 

Vous posez une question sur la vie, comme si la vie était transcendantale.

Mais vous éludez la transcendance de la France. 

Parce que la France est candidate à la transcendance, au même titre que la vie.

Certains sont capables de mourir pour la France.

Est-ce que vous reléguez ces candidats au sacrifice au rang de moutons dociles, ou bien au rang de vertueux ?

N'existe-t-il pas, chez vous, des valeurs qui seraient supérieures à votre vie ?