Ces personnes blanches qui se prétendent noires (ou la tentation d'être l'opprimé)

Pendant toute sa vie d'adulte, l'historienne américaine Jessica Krug, qui est blanche, a fait semblant d'être maghrébine-américaine puis afro-américaine et enfin portoricaine. Krug, qui a 38 ans et a grandi dans une famille blanche de Kansas City, a admis dans un article publié sur le site Medium, que son identité était un mensonge.

Le texte est une séance d'autoflagellation dans laquelle Krug décrit sa supercherie comme «immorale, anti-noire et coloniale», ainsi que comme le summum de «la violence, du vol et de l'appropriation». Elle évoque des problèmes de santé mentale, des traumatismes d'enfance, tout en admettant que cela n'excuse pas son attitude. Sa condamnation finale est sans appel: sa vie est fondée sur «un violent mensonge anti-noir» et «toute vie anti-noire est dépourvue de valeur».

il y a 14 minutes, Bluehawk a dit :

Pendant toute sa vie d'adulte, l'historienne américaine Jessica Krug, qui est blanche, a fait semblant d'être maghrébine-américaine puis afro-américaine et enfin portoricaine. Krug, qui a 38 ans et a grandi dans une famille blanche de Kansas City, a admis dans un article publié sur le site Medium, que son identité était un mensonge.

Le texte est une séance d'autoflagellation dans laquelle Krug décrit sa supercherie comme «immorale, anti-noire et coloniale», ainsi que comme le summum de «la violence, du vol et de l'appropriation». Elle évoque des problèmes de santé mentale, des traumatismes d'enfance, tout en admettant que cela n'excuse pas son attitude. Sa condamnation finale est sans appel: sa vie est fondée sur «un violent mensonge anti-noir» et «toute vie anti-noire est dépourvue de valeur».

http://www.slate.fr/story/194894/etats-unis-usa-americains-blancs-mensonge-noirs-identitarisme-identitaire-transracialisme-black-studies-racisme

 

 

Mais ancêtres les gaulois se marrent comme des tordus !!!!!

Perso j'admire vraiment cette femme qui a l'intelligence d'avoir su tirer son épingle du jeu dans ce gros délire victimaire qui berce notre époque. 

il y a 28 minutes, Bluehawk a dit :

Pendant toute sa vie d'adulte, l'historienne américaine Jessica Krug, qui est blanche, a fait semblant d'être maghrébine-américaine puis afro-américaine et enfin portoricaine. Krug, qui a 38 ans et a grandi dans une famille blanche de Kansas City, a admis dans un article publié sur le site Medium, que son identité était un mensonge.

Le texte est une séance d'autoflagellation dans laquelle Krug décrit sa supercherie comme «immorale, anti-noire et coloniale», ainsi que comme le summum de «la violence, du vol et de l'appropriation». Elle évoque des problèmes de santé mentale, des traumatismes d'enfance, tout en admettant que cela n'excuse pas son attitude. Sa condamnation finale est sans appel: sa vie est fondée sur «un violent mensonge anti-noir» et «toute vie anti-noire est dépourvue de valeur».

http://www.slate.fr/story/194894/etats-unis-usa-americains-blancs-mensonge-noirs-identitarisme-identitaire-transracialisme-black-studies-racisme

 

 

de la source 

Citation

Grâce à sa fausse identité, l'universitaire Jessica Krug a notamment pu obtenir des bourses réservées aux minorités ethniques

On comprend mieux , tout de suite ... si elle n'avait pas eu  cette bourse , elle ne serait pas historienne , mais serveuse dans un bar de son village ....  

Ça me rappelle le film soul man. 

il y a 47 minutes, NeeD a dit :

Perso j'admire vraiment cette femme qui a l'intelligence d'avoir su tirer son épingle du jeu dans ce gros délire victimaire qui berce notre époque. 

Bien résumé. Exploiter la bêtise des fanatiques du politiquement correct, ça doit être un plaisir.

Il y a 3 heures, NeeD a dit :

Perso j'admire vraiment cette femme qui a l'intelligence d'avoir su tirer son épingle du jeu dans ce gros délire victimaire qui berce notre époque. 

la paille que vois l'œil du privilégiée chez l'opprimée est incapable de voir sa propre poutre qui cumule ses avantages. 

Il y a 6 heures, Bluehawk a dit :

Pendant toute sa vie d'adulte, l'historienne américaine Jessica Krug, qui est blanche, a fait semblant d'être maghrébine-américaine puis afro-américaine et enfin portoricaine. Krug, qui a 38 ans et a grandi dans une famille blanche de Kansas City, a admis dans un article publié sur le site Medium, que son identité était un mensonge.

Le texte est une séance d'autoflagellation dans laquelle Krug décrit sa supercherie comme «immorale, anti-noire et coloniale», ainsi que comme le summum de «la violence, du vol et de l'appropriation». Elle évoque des problèmes de santé mentale, des traumatismes d'enfance, tout en admettant que cela n'excuse pas son attitude. Sa condamnation finale est sans appel: sa vie est fondée sur «un violent mensonge anti-noir» et «toute vie anti-noire est dépourvue de valeur».

http://www.slate.fr/story/194894/etats-unis-usa-americains-blancs-mensonge-noirs-identitarisme-identitaire-transracialisme-black-studies-racisme

 

 

Mais ancêtres les gaulois sont péter de rire !

Bluehwak, c'est le roi de l'humour !

Allez une jolie chanson pour fêter ça !

Voilà un poète Français que l'on écoute pas assez...

Il y a 9 heures, Bluehawk a dit :

ainsi que comme le summum de «la violence, du vol et de l'appropriation».

Tootsie !

Il y a 5 heures, Bluehawk a dit :

la paille que vois l'œil du privilégiée chez l'opprimée est incapable de voir sa propre poutre qui cumule ses avantages. 

Ok Kunta Kinte, en attendant et pour le bien de l'humanité, je t'invite à ne jamais te lancer dans une carrière littéraire. 

Comme toujours tout le monde esquive l'éléphant dans la pièce. Parce que ce serait terrible d'en parler n'est ce pas ?

Il y a 12 heures, Bluehawk a dit :

Pendant toute sa vie d'adulte, l'historienne américaine Jessica Krug, qui est blanche, a fait semblant d'être maghrébine-américaine puis afro-américaine et enfin portoricaine. Krug, qui a 38 ans et a grandi dans une famille blanche de Kansas City, a admis dans un article publié sur le site Medium, que son identité était un mensonge.

Le texte est une séance d'autoflagellation dans laquelle Krug décrit sa supercherie comme «immorale, anti-noire et coloniale», ainsi que comme le summum de «la violence, du vol et de l'appropriation». Elle évoque des problèmes de santé mentale, des traumatismes d'enfance, tout en admettant que cela n'excuse pas son attitude. Sa condamnation finale est sans appel: sa vie est fondée sur «un violent mensonge anti-noir» et «toute vie anti-noire est dépourvue de valeur».

http://www.slate.fr/story/194894/etats-unis-usa-americains-blancs-mensonge-noirs-identitarisme-identitaire-transracialisme-black-studies-racisme

 

 

Moi qui suis bretonne gallo pur jus je passe mon temps a dire que je suis guinéenne d'origine et de peau ... On me rit au nez ! (les salauds.... )

Cette femme a parfaitement raison. L'homo sapiens, puis l'homo sapiens sapiens étaient Africains. Leur peau foncée les protégeait d'un excès de vitamine (A ou C ou D ?) produite au contact des rayons solaires. En émigrant vers les zones moins ensoleillées, ce sont les peaux qui ont pâli qui se sont développées pour pouvoir produire ces mêmes vitamines.

Pendant toute sa vie d'adulte (entre 18/21 et 38), elle a réussi a se faire passer pour 3 "ethnies" différentes, en étant historienne, et sans que ça se remarque, ou que personne ne révèle la supercherie? Fortiche !

Une belle arnaque aux bourses et avantages de l'affirmative action.

La fin est juste ridicule d'auto flagellation et de pseudo justification.

Il y a 16 heures, hanss a dit :

Ça me rappelle le film soul man. 

L'article fait référence a ce film 

Un matin je me suis réveillé en me disant que j'allais m'approprier la souffrance du peuple noir, endosser ce passé de victime du colonialisme fait d'esclavage et de souffrances, j'ai voulu revendiquer cette appartenance en m'exhibant auprès de mes semblables. J'ai donc enfilé mon maillot des Lakers floqué Kobe et je suis descendu dans la rue, ben en fait c'est pas si terrible que ça, personne ne m'a insulté mis à part un supporter des Heat qui m'a dit qu'ils allaient me mettre la misère !