Changement climatique : Le réchauffement trois fois plus rapide au Pôle Sud que dans le reste du monde

https://www.20minutes.fr/planete/2810771-20200629-changement-climatique-rechauffement-3-fois-plus-rapide-pole-sud-reste-monde

Toute la terre se réchauffe, mais certaines zones du globe voient leur thermomètre décoller plus vite que d’autres. Et parmi elles, une triste surprise, le Pole Sud. La température y a augmenté trois fois plus vite que la moyenne mondiale ces 30 dernières années, en raison de phénomènes naturels « probablement intensifiés » par le changement climatique, selon une étude publiée ce lundi.

L’Antarctique est marqué par une variabilité climatique extrême, avec de fortes différences entre les côtes et l’intérieur du continent, notamment le plateau glacé où se trouve le Pôle Sud. Ainsi, la majeure partie de l’Antarctique occidental et de la péninsule antarctique a subi un réchauffement et une fonte des glaces dans la deuxième moitié du XXe siècle.

Aucune zone à l’abri du réchauffement

Dans le même temps, au contraire, le Pôle Sud s’est refroidi. Au moins jusque dans les années 1980, avant que la tendance ne s’inverse, comme le montre l’étude parue lundi dans la revue Nature Climate Change. Avec +0,61 °C par décennie, entre 1989 et 2018, la température enregistrée sur la base Amundsen – Scott, au Pôle Sud géographique, a augmenté plus de trois fois plus que la moyenne mondiale, indiquent les chercheurs.

Un résultat qui les a surpris. « On croyait que cette partie de l’Antarctique -- le haut plateau isolé -- serait à l’abri du réchauffement. Nous avons découvert que ce n’était plus le cas », a expliqué l’un des auteurs, Kyle Clem, de l’université Victoria à Wellington.

Un réchauffement « naturel » improbable

Mais le réchauffement de la planète lié aux émissions de gaz à effet de serre produites par les activités humaines n’est pas nécessairement responsable, en tout cas pas tout seul. Le « mécanisme premier » ayant conduit à ce réchauffement rapide du Pôle Sud, où la température est en permanence largement sous 0 °C (moyenne annuelle autour de -49 °C), est lié à un réchauffement dans la zone tropicale de l’océan pacifique occidental. Ce qui a entraîné une baisse de la pression atmosphérique dans la mer de Weddell et poussé de l’air chaud vers le Pôle Sud, selon l’étude.

le début de la fin, je vous dis.

C'est curieux cette info !

J'ai d'autres infos qui disent exactement le contraire ! la zone polaire nord se réchauffe beaucoup plus vite que l'Antactique en général.

il y a une heure, BELUGA a dit :

le début de la fin, je vous dis.

Ou la fin du début. Nous allons comprendre que la vie ordinaire va devenir périlleuse.

Moi aussi des info que les modèles du réchauffement climatique se trompent car ils ne tiennent pas en compte le refroidissement dû a la présence  des nuages dans le ciel.

https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/climatologie-derniers-modeles-climatiques-sont-plus-incertains-cest-faute-nuages-79588/#utm_content=futura&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=futura

Le 30/06/2020 à 14:32, Petit ours a dit :

Un réchauffement « naturel » improbable

Quelle preuve svp ?

Le 30/06/2020 à 14:32, Petit ours a dit :

.... Et parmi elles, une triste surprise, le Pole Sud. La température y a augmenté trois fois plus vite que la moyenne mondiale ces 30 dernières années, en raison de phénomènes naturels « probablement intensifiés » par le changement climatique, selon une étude publiée ce lundi.

L’Antarctique est marqué par une variabilité climatique extrême, avec de fortes différences entre les côtes et l’intérieur du continent, notamment le plateau glacé où se trouve le Pôle Sud. Ainsi, la majeure partie de l’Antarctique occidental et de la péninsule antarctique a subi un réchauffement et une fonte des glaces dans la deuxième moitié du XXe siècle.

Aucune zone à l’abri du réchauffement

Dans le même temps, au contraire, le Pôle Sud s’est refroidi. Au moins jusque dans les années 1980, avant que la tendance ne s’inverse, comme le montre l’étude parue lundi dans la revue Nature Climate Change. Avec +0,61 °C par décennie, entre 1989 et 2018, la température enregistrée sur la base Amundsen – Scott, au Pôle Sud géographique, a augmenté plus de trois fois plus que la moyenne mondiale, indiquent les chercheurs.

Un résultat qui les a surpris. « On croyait que cette partie de l’Antarctique -- le haut plateau isolé -- serait à l’abri du réchauffement. Nous avons découvert que ce n’était plus le cas », a expliqué l’un des auteurs, Kyle Clem, de l’université Victoria à Wellington.

Un réchauffement « naturel » improbable

Mais le réchauffement de la planète lié aux émissions de gaz à effet de serre produites par les activités humaines n’est pas nécessairement responsable, en tout cas pas tout seul. Le « mécanisme premier » ayant conduit à ce réchauffement rapide du Pôle Sud, où la température est en permanence largement sous 0 °C (moyenne annuelle autour de -49 °C), est lié à un réchauffement dans la zone tropicale de l’océan pacifique occidental. Ce qui a entraîné une baisse de la pression atmosphérique dans la mer de Weddell et poussé de l’air chaud vers le Pôle Sud, selon l’étude.

L'Antarctique est un vaste continent de climat continental extrême.

La partie occidentale (dans le prolongement du Chili) est la partie qui se réchauffe.

En revanche, la partie orientale (sous les îles Kerguelen et l'Australie) se refroidit et se recahrge en neige et glace.

Pour augmenter le réchauffement occidental, il y a la chaîne volcanique sous-marine très active qui prolonge la "Terre de feu américaine". Elle produit des remontées d'eau tiède. Celles-ci découpent la banquise et facilitent le décrochage des langues glaciaires.

Il y a 4 heures, auie a dit :

Quelle preuve svp ?

Y a qu'a demander :

http://www.gblanc.fr/spip.php?article588

il y a une heure, Condorcet a dit :

Y a qu'a demander :

 

Ce n'est pas une preuve. La corrélation ne montre aucune relation de cause à effet.

Le troisième graphique montre que le budget des États-Unis pour la Science, l'Espace et la technology varie comme le nombre de suicides par pendaison, étouffement et suffocation. Donc si les États-Unis réduisent leur budget pour la Science, l'Espace et la technologie, auront-ils moins de suicides par pendaison, étouffement et suffocation ?

Le deuxième graphique montre le nombre de détenteurs de thèse de sociologie aux États-Unis qui varie comme le nombre de lancées de fusée étatiques sur Terre. Faut-il plus de docteurs en sociologie aux États-Unis pour que plus de fusées étatiques soient lancées sur Terre ?

Premier graphique : Encore de même pour l'évolution du nombre de coulés après être tombé dans une piscine et le nombre de films dans lesquels Nicolas Cage apparaît....

il y a 3 minutes, auie a dit :

Ce n'est pas une preuve. La corrélation ne montre aucune relation de cause à effet.

Ta réponse merdique montre le manque de background scientifique dont tu es doté, ce qui t'obliges à te ruer sur des arguments rhétoriques.

Bien sûr que comparaison n'est pas raison ni que corrélation n'est pas détermination. Gâchis d'autant plus inepte que nous pourrions nous rejoindre sur certaines questions. J'ai évoqué plusieurs fois combien Al Gore était un salopard qui faisait du business avec son lobbyisme vert. 

Rien n'y fait. Tu n'as pas lu les sujets dont on t'avais donné les liens. Tu ne les a pas commenté. Tu n'as rien dit. Tu continuer a poster tes liens sur ton site façon monologue. Tu ne veux pas débattre. Tu parles tout seul. Tu veux qu'on lise ton site.

Concernant la cause à effet, on parle de modélisation. Le CO2 est anthropique, ça tout le monde est d'accord y compris les sceptiques. La température monte, ça tout le monde est d'accord aussi, même si c'est lent et fluctuant. Le seul modèle explicatif dont on dispose actuellement est une augmentation de l'effet de serre par GES dont on sait indubitablement aussi qu'ils sont anthropiques. 

C'est si compliqué à comprendre ?

Non .

Le 30/06/2020 à 09:32, Petit ours a dit :

https://www.20minutes.fr/planete/2810771-20200629-changement-climatique-rechauffement-3-fois-plus-rapide-pole-sud-reste-monde

Toute la terre se réchauffe, mais certaines zones du globe voient leur thermomètre décoller plus vite que d’autres. Et parmi elles, une triste surprise, le Pole Sud. La température y a augmenté trois fois plus vite que la moyenne mondiale ces 30 dernières années, en raison de phénomènes naturels « probablement intensifiés » par le changement climatique, selon une étude publiée ce lundi.

L’Antarctique est marqué par une variabilité climatique extrême, avec de fortes différences entre les côtes et l’intérieur du continent, notamment le plateau glacé où se trouve le Pôle Sud. Ainsi, la majeure partie de l’Antarctique occidental et de la péninsule antarctique a subi un réchauffement et une fonte des glaces dans la deuxième moitié du XXe siècle.

Aucune zone à l’abri du réchauffement

Dans le même temps, au contraire, le Pôle Sud s’est refroidi. Au moins jusque dans les années 1980, avant que la tendance ne s’inverse, comme le montre l’étude parue lundi dans la revue Nature Climate Change. Avec +0,61 °C par décennie, entre 1989 et 2018, la température enregistrée sur la base Amundsen – Scott, au Pôle Sud géographique, a augmenté plus de trois fois plus que la moyenne mondiale, indiquent les chercheurs.

Un résultat qui les a surpris. « On croyait que cette partie de l’Antarctique -- le haut plateau isolé -- serait à l’abri du réchauffement. Nous avons découvert que ce n’était plus le cas », a expliqué l’un des auteurs, Kyle Clem, de l’université Victoria à Wellington.

Un réchauffement « naturel » improbable

Mais le réchauffement de la planète lié aux émissions de gaz à effet de serre produites par les activités humaines n’est pas nécessairement responsable, en tout cas pas tout seul. Le « mécanisme premier » ayant conduit à ce réchauffement rapide du Pôle Sud, où la température est en permanence largement sous 0 °C (moyenne annuelle autour de -49 °C), est lié à un réchauffement dans la zone tropicale de l’océan pacifique occidental. Ce qui a entraîné une baisse de la pression atmosphérique dans la mer de Weddell et poussé de l’air chaud vers le Pôle Sud, selon l’étude.

Super intéressant !

Merci, petit ours !