L'hypermnésie, ce grand mystère scientifique : quand une "mémoire parfaite" peut devenir une chance… ou une malédiction

Est-ce que certaines personnes ont plus de risque que les autres de poser un geste criminel simplement à cause de leurs caractéristiques cérébrales spécifiques? ....

"Le terme d’hypermnésique définit une personne présentant une mémoire exceptionnelle, en ce sens qu’elle a une capacité véritablement inhabituelle de retenir des informations, se traduisant par la possibilité de pouvoir restituer avec exactitude et détails des évènements passés", nous explique André Niéoullon, professeur de neurosciences à l'Université d’Aix-Marseille, président du Conseil scientifique de la Fédération pour la recherche sur le cerveau.

Mais d'où viennent ces dons ? Les "HSAM" ont attisé la curiosité de nombreux scientifiques. L'ne des pistes d'étude a rapidement été le côté "narcissique" de cette mémoire. Car si ces "génies des souvenirs" se rappellent avec exactitude des détails les plus dérisoires de leur vie bien à eux, ils ne sont pas plus doués qu'une personne lambda pour se remémorer une suite de chiffres, ou d'autres données abstraites.

Les hypermnésiques ne doivent donc pas être confondus avec des personnes atteintes du "syndrome du savant", du style Rain Man (un film inspiré de l'histoire vraie de Kim Peek, un Américain qui pouvait réciter 12 000 livres presque mot pour mot) ou des mnémonistes.

"Les mnémonistes présentent aussi une capacité mnésique exceptionnelle mais, dans ce cas, les personnes qui possèdent ce don (et souvent l’exploitent comme tel…) font appel, consciemment ou pas, à des stratégies qui facilitent la mémorisation", souligne André Niéoullon. "Les cas les plus connus, étudiés dès le début du XXième siècle par le psychologue russe Alexandre Luria, sont ceux de personnes utilisant ce que l’on nomme une synesthésie, c’est-à-dire une capacité d’associer à chaque élément visuel rencontré un autre élément, conduisant à une représentation -imaginaire- du monde qui, bien souvent, s’écarte du monde réel".

Les HSMA s'intéresseraient, eux, uniquement à leur vie, aux personnes qui les intéressent et à leurs loisirs. Ils n'utilisent pas de moyens mnémotechniques. Autre caractéristique étrange : les HSMA sont également enclins à se rappeler certaines choses… qui ne sont jamais arrivées.

Pour comprendre, Craig Star de l'université de Californie a réalisé des scanners du cerveau de certaines hypermnésiques, mais ils se sont révélés décevants. Non, les HSAM ne disposent pas d'un troisième hémisphère dans leur cerveau. Les chercheurs ont certes révélé certaines caractéristiques spécifiques, comme des connexions supplémentaires entre les lobes frontaux (ce qui est lié à la pensée analytique). Mais ces constats pourraient finalement être la conséquence de leurs capacités exceptionnelles, et non la cause.

Le secret résiderait peut-être plutôt dans des schémas moins conventionnels. Les scientifiques ont pu remarquer que les HSAM sont très sensibles à deux points a priori contradictoires : la capacité à la rêverie et l'absorption. Cette dernière pourrait se définir par la capacité à s'immerger complètement dans sa bulle, et à ressentir très fortement les odeurs, les couleurs et les bruits.

Grâce à cette absorption, les personnes possèderaient des sorts d'accroches, des fondations, leur permettant de se souvenir de tels événements avec acuité. "À chaque fois que j'entends une date, à la télévision ou ailleurs, je me projette automatiquement à ce jour-là et je me souviens où j'étais, ce que je faisais, quel jour de la semaine c'était", raconte AJ, une hypermnésique.

Parallèlement, leur tendance à la rêverie leur donnerait l'occasion de visiter ces souvenirs régulièrement, et ainsi de les entretenir. Et c'est là que le bât blesse. Car si certains HSAM profitent de ces capacités pour posséder des connaissances inégalées dans certains domaines qui les passionnent, d'autres restent bloqués dans le passé, refusant de s'ouvrir à de nouveaux souvenirs. Une rupture amoureuse peut alors se transformer en véritable calvaire, la personne ressassant à l'infini les souvenirs des couleurs et des odeurs de ces jours-là.

Bénédiction pour certains, malédiction pour d'autres... et source d'inspiration pour les neurologues, qui espèrent bien percer un jour le secret de cette mémoire quasi parfaite, et ainsi aider ceux qui ont des difficultés d'apprentissage ou les personnes perdant progressivement leurs souvenirs.

"Les cas d’hypermnésie ont toujours retenu l’attention des chercheurs en neurosciences et ces cas rares et extraordinaires sont souvent source d’informations précieuses", confirme André Niéoullon. "D’abord, les consultations les plus fréquentes s’agissant de réminiscences de souvenirs sont relatives à des évènements traumatisants dont le souvenir est dès lors trop vivide et alimente le syndrome de stress post-traumatique illustré par exemple par les récits de guerre de militaires ayant vécu des périodes douloureuses, mais aussi de victimes d’attentats comme ceux que nous avons vécus récemment. Dans ce cas précis, la méthode mise en œuvre par les psychologues est de demander aux patients de raconter encore et encore l’évènement. De fait, la consolidation mnésique présente la caractéristique – parfois encore discutée- de se renouveler à chaque rappel. Considérant alors le contexte -apaisé- dans lequel se fait la nouvelle consolidation, celle-ci peut s’inscrire dans un nouveau contexte où l’anxiété va être moindre par rapport à l’évènement initial lui-même.

Deuxième illustration : si la synesthésie peut être un handicap, pourquoi ne pas l’utiliser pour renforcer des mémoires déficientes, par exemple dans le cas de patients des syndromes de type Alzheimer ? L’association de mots et d’éléments contextuels pourrait représenter une stratégie de rééducation, au même titre que tous les exercices visant à faciliter le rappel par des indices indirects. Deux exemples donc, pour oublier et pour ne pas oublier…"

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Pour moi, c'est une malédiction ! Se souvenir d'absolument tout, quelle horreur

Perso, je suis suffisamment OQP 

il y a 13 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Pour moi, c'est une malédiction ! Se souvenir d'absolument tout, quelle horreur

On naît avec un certain genre de mémoire, et après il faut vivre avec; on n'a pas le choix. Avoir une bonne (ou très bonne) mémoire a des avantages… et des inconvénients. La phrase de Tolkien, parlant des elfes qui se promènent dans les jardins de leur mémoire, m'a toujours fait rêver.

C'est quand la police a retrouvé le cadavre de la voisine que j'ai été bien content de constater à quel point l'alcool flingue la mémoire. 

Je suis probablement (un peu) hypermnesique sur des aspects futiles qui ne servent a rien.

Ma mémoire est visuelle, j'apprenais mes cours en les resumant sur des fiches dont la structure des blocs me rememorait instantanément le contenu 

Je devais seulement retenir la structure, le plan en quelque sorte et la capacité d'alimenter chaque sous titre pouvait générer une thèse complète 

D'ou un souci de synthèse 

J'ai retenu énormément de souvenirs d'enfance et mon plus gros point fort est le souvenir des lieux où je passe avec une capacité à m'orienter (presque) partout.

Si je regarde une vidéo, je me souviens presque toujours qui, ou, quoi, a quel moment....

En revanche tête en l'air et décalé 

Je trouve de l'inintérêt dans une multitude de conversations ou de projets dont mes veritables centres d'intérêt vont m'alimenter par compensation pour d'autres raisons.

C'est mon mode 50%

Autant dire qu'obtenir le meilleur de moi nécessitera de me passionner

Et ces individus là, en voie de disparition...trouvent alors un sacre retour à 200%

Mieux vaut un idiot machine exécutant si possible sans mémoire ni scrupule.

Plus contrôlable 

C'est un atout, qu'il convient, le plus clair du temps, de cacher, comme un as dans sa manche au poker, et sauf à vouloir passer pour un(e) monomaniaque ou un singe savant. Il n'est pas ordinaire de se souvenir de toutes choses auxquelles personne ne fait vraiment attention et ne retient. Je n'y verrais pas du narcissisme (bien qu'il en faut toujours afin de s'estimer un peu) davantage et au contraire une sensibilité à un environnement et aux autres, une observation et une écoute plus attentives. On ne choisit pas, on compose avec. 

Il n'est pas commun de se souvenir de la date d'anniversaire de mariage de ses voisins, alors qu'elle n'a été évoquée qu'une fois, au cours d'une conversation, il y a 5 ans, ou bien des prénoms des enfants d'un client, celui de son chien, de la couleur préférée de sa femme, d'une addiction pour le piment, et d'être ce que l'on appelle une bête à concours aussi ; parce que l'on retient beaucoup, rapidement, et plus étrange encore, durablement. Il y a des parades, il peut être dit que les informations ont été notées et là en général, cela laisse une impression de professionnalisme, d'avoir affaire à quelqu'un de consciencieux, d'attentionné. Cette faculté n'est réellement valorisée que par les proches, qui voient aussi l'opportunité d'avoir un pense-bête humain à portée de main. 

La gestion des émotions peut être plus compliquée, effectivement. Langage, paralangage, tout est retenu et sans le vouloir, tout est rejoué, comme la rancune s'installe. À trop observer, écouter, penser, se souvenir même de ce que l'on ne voudrait pas, on peut se sentir las-se, hypersensible, empathique à l'excès, électrique, parfois. Une connexion avec ce qui est authentique, des petites actions simples, aident à mieux supporter le poids de cette mémoire dite exceptionnelle. 

Le 02/06/2020 à 19:36, yourself91 a dit :

Est-ce que certaines personnes ont plus de risque que les autres de poser un geste criminel simplement à cause de leurs caractéristiques cérébrales spécifiques? ....

"Le terme d’hypermnésique définit une personne présentant une mémoire exceptionnelle, en ce sens qu’elle a une capacité véritablement inhabituelle de retenir des informations, se traduisant par la possibilité de pouvoir restituer avec exactitude et détails des évènements passés", nous explique André Niéoullon, professeur de neurosciences à l'Université d’Aix-Marseille, président du Conseil scientifique de la Fédération pour la recherche sur le cerveau.

Mais d'où viennent ces dons ? Les "HSAM" ont attisé la curiosité de nombreux scientifiques. L'ne des pistes d'étude a rapidement été le côté "narcissique" de cette mémoire. Car si ces "génies des souvenirs" se rappellent avec exactitude des détails les plus dérisoires de leur vie bien à eux, ils ne sont pas plus doués qu'une personne lambda pour se remémorer une suite de chiffres, ou d'autres données abstraites.

Les hypermnésiques ne doivent donc pas être confondus avec des personnes atteintes du "syndrome du savant", du style Rain Man (un film inspiré de l'histoire vraie de Kim Peek, un Américain qui pouvait réciter 12 000 livres presque mot pour mot) ou des mnémonistes.

"Les mnémonistes présentent aussi une capacité mnésique exceptionnelle mais, dans ce cas, les personnes qui possèdent ce don (et souvent l’exploitent comme tel…) font appel, consciemment ou pas, à des stratégies qui facilitent la mémorisation", souligne André Niéoullon. "Les cas les plus connus, étudiés dès le début du XXième siècle par le psychologue russe Alexandre Luria, sont ceux de personnes utilisant ce que l’on nomme une synesthésie, c’est-à-dire une capacité d’associer à chaque élément visuel rencontré un autre élément, conduisant à une représentation -imaginaire- du monde qui, bien souvent, s’écarte du monde réel".

Les HSMA s'intéresseraient, eux, uniquement à leur vie, aux personnes qui les intéressent et à leurs loisirs. Ils n'utilisent pas de moyens mnémotechniques. Autre caractéristique étrange : les HSMA sont également enclins à se rappeler certaines choses… qui ne sont jamais arrivées.

Pour comprendre, Craig Star de l'université de Californie a réalisé des scanners du cerveau de certaines hypermnésiques, mais ils se sont révélés décevants. Non, les HSAM ne disposent pas d'un troisième hémisphère dans leur cerveau. Les chercheurs ont certes révélé certaines caractéristiques spécifiques, comme des connexions supplémentaires entre les lobes frontaux (ce qui est lié à la pensée analytique). Mais ces constats pourraient finalement être la conséquence de leurs capacités exceptionnelles, et non la cause.

Le secret résiderait peut-être plutôt dans des schémas moins conventionnels. Les scientifiques ont pu remarquer que les HSAM sont très sensibles à deux points a priori contradictoires : la capacité à la rêverie et l'absorption. Cette dernière pourrait se définir par la capacité à s'immerger complètement dans sa bulle, et à ressentir très fortement les odeurs, les couleurs et les bruits.

Grâce à cette absorption, les personnes possèderaient des sorts d'accroches, des fondations, leur permettant de se souvenir de tels événements avec acuité. "À chaque fois que j'entends une date, à la télévision ou ailleurs, je me projette automatiquement à ce jour-là et je me souviens où j'étais, ce que je faisais, quel jour de la semaine c'était", raconte AJ, une hypermnésique.

Parallèlement, leur tendance à la rêverie leur donnerait l'occasion de visiter ces souvenirs régulièrement, et ainsi de les entretenir. Et c'est là que le bât blesse. Car si certains HSAM profitent de ces capacités pour posséder des connaissances inégalées dans certains domaines qui les passionnent, d'autres restent bloqués dans le passé, refusant de s'ouvrir à de nouveaux souvenirs. Une rupture amoureuse peut alors se transformer en véritable calvaire, la personne ressassant à l'infini les souvenirs des couleurs et des odeurs de ces jours-là.

Bénédiction pour certains, malédiction pour d'autres... et source d'inspiration pour les neurologues, qui espèrent bien percer un jour le secret de cette mémoire quasi parfaite, et ainsi aider ceux qui ont des difficultés d'apprentissage ou les personnes perdant progressivement leurs souvenirs.

"Les cas d’hypermnésie ont toujours retenu l’attention des chercheurs en neurosciences et ces cas rares et extraordinaires sont souvent source d’informations précieuses", confirme André Niéoullon. "D’abord, les consultations les plus fréquentes s’agissant de réminiscences de souvenirs sont relatives à des évènements traumatisants dont le souvenir est dès lors trop vivide et alimente le syndrome de stress post-traumatique illustré par exemple par les récits de guerre de militaires ayant vécu des périodes douloureuses, mais aussi de victimes d’attentats comme ceux que nous avons vécus récemment. Dans ce cas précis, la méthode mise en œuvre par les psychologues est de demander aux patients de raconter encore et encore l’évènement. De fait, la consolidation mnésique présente la caractéristique – parfois encore discutée- de se renouveler à chaque rappel. Considérant alors le contexte -apaisé- dans lequel se fait la nouvelle consolidation, celle-ci peut s’inscrire dans un nouveau contexte où l’anxiété va être moindre par rapport à l’évènement initial lui-même.

Deuxième illustration : si la synesthésie peut être un handicap, pourquoi ne pas l’utiliser pour renforcer des mémoires déficientes, par exemple dans le cas de patients des syndromes de type Alzheimer ? L’association de mots et d’éléments contextuels pourrait représenter une stratégie de rééducation, au même titre que tous les exercices visant à faciliter le rappel par des indices indirects. Deux exemples donc, pour oublier et pour ne pas oublier…"

source

La mémoire est la comme une noosphere, une sorte d'internet naturel, c'est comme la science qui sert a interagir, sans mal, avec le bien qui n'est qu'aussi que l'existence. 
Alors mis a part le mal, toute existencence étant bonne a la science d'elle meme soit la bonne science, la science bonne infuse.

Alors la mémoire est accessible dans sa totalité ou alors comme ouvrir un dossier différent qui la compose dans les deux cas on peut parler de mémoire eidetique, hypermnesie...

Ideation ou enchaînement d'idées dans la pensée. 

L'idéation est le processus créatif de production, développement, et communication de nouvelles idées ; le terme idée signifie ici un élément de base de la pensée, ou plutôt de la vie psychique en général, qui peut être aussi bien sensoriel ou concret qu'abstrait.

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Idéation#:~:text=L'idéation est le processus,sensoriel ou concret qu'abstrait.

Le 02/06/2020 à 19:36, yourself91 a dit :

 

Y a une grande règle en physiologie ( et en médecine en général) ; dès qu'on s'écarte par trop du 50è percentile pour une donnée quelle qu'elle soit, les ennuis se multiplient en fonction de l'écart. ET si on arrive au-delà du 99è ou en-deça du 1er, alors ils sont tellement prédominants par rapport aux avantages éventuels que ces derniers ne' s'expriment même plus. 

Je n'ai jamais vu pour l'instant cette règle prise en défaut.

il y a 36 minutes, chanou 34 a dit :

Y a une grande règle en physiologie ( et en médecine en général) ; dès qu'on s'écarte par trop du 50è percentile pour une donnée quelle qu'elle soit, les ennuis se multiplient en fonction de l'écart. ET si on arrive au-delà du 99è ou en-deça du 1er, alors ils sont tellement prédominants par rapport aux avantages éventuels que ces derniers ne' s'expriment même plus. 

Je n'ai jamais vu pour l'instant cette règle prise en défaut.

C'est des foutaises on peut oublier sans douleur et alors en sachant que l'on peut oublier sans douleur on se rappelle qu'il faut être indolore même lors de l'oubli alors le rappel indolore.

Ces histoires de mémoire ça ne tient pas debout. On peut se souvenir, oublier et plein d'autres choses sans douleur ... Les gens qui se focalisent avec des bizarreries où personne ne comprend et où la personne laisse en suspend comme cela c'est surtout qu'elle se joue de la mémoire des gens avec un conditionnement pavlovien. Ainsi faisant inception de la douleur en la victime. En lui faisant tourner la tête avec des histoires sans queues ni têtes, des histoires à dormir debout sur la mémoire. Oublis ceci n'est pas un rappel avec douleur alors qu'indolore.

Le 18/06/2020 à 18:08, doug a dit :

Bon... ben l'indolore se perçoit puisque c'est comme ça sans douleur...

Tu vois sans douleur la petite lumière rouge indolore ? Approche-toi sans douleur, approche-toi plus près sans douleur. Voilà c'est bien l'indolore se perçoit , ne bouge plus avec douleur !

 

 

Le 22/06/2020 à 18:38, Boutetractyxreqs a dit :

La mémoire est la comme une noosphere, une sorte d'internet naturel, c'est comme la science qui sert a interagir, sans mal, avec le bien qui n'est qu'aussi que l'existence. 
Alors mis a part le mal, toute existencence étant bonne a la science d'elle meme soit la bonne science, la science bonne infuse.

Alors la mémoire est accessible dans sa totalité ou alors comme ouvrir un dossier différent qui la compose dans les deux cas on peut parler de mémoire eidetique, hypermnesie...

 

Ideation ou enchaînement d'idées dans la pensée. 

L'idéation est le processus créatif de production, développement, et communication de nouvelles idées ; le terme idée signifie ici un élément de base de la pensée, ou plutôt de la vie psychique en général, qui peut être aussi bien sensoriel ou concret qu'abstrait.

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Idéation#:~:text=L'idéation est le processus,sensoriel ou concret qu'abstrait.

Je tiens à préciser ici que ce texte n'est pas le mien, il a été modifié par Boutetractyxreqs.

Pour faire valoir ce que de droit.

il y a une heure, doug a dit :

Je tiens à préciser ici que ce texte n'est pas le mien, il a été modifié par Boutetractyxreqs.

Pour faire valoir ce que de droit.

Le butin est partageable. A retrouver dans le sujet Tao rubrique religion du forum.

Il y a 16 heures, chanou 34 a dit :

Y a une grande règle en physiologie ( et en médecine en général) ; dès qu'on s'écarte par trop du 50è percentile pour une donnée quelle qu'elle soit, les ennuis se multiplient en fonction de l'écart. ET si on arrive au-delà du 99è ou en-deça du 1er, alors ils sont tellement prédominants par rapport aux avantages éventuels que ces derniers ne' s'expriment même plus. 

Je n'ai jamais vu pour l'instant cette règle prise en défaut.

Le 25/06/2020 à 06:36, Boutetractyxreqs a dit :

Comme par exemple ;

 

Passant d'un état à l'autre par exemple la température, l'état le plus concentrique de la matière est le solide, froid, vitesse lente l'intermédiaire le liquide, tiède, vitesse moyenne et l'état gazeux, chaud, vitesse rapide le moins concentrique.

Exemple d'organisme ; "Noyau liquide, moelle, au delà solide, os, au delà encore liquide, sang, et puis encore au delà solide, chaire".

Et puis avec une certaine stabilité de température ;

Par exemple ; gaz, oxygène, alors liquide, eau, sang, solide, nourriture, chaire, alors seulement gaz, oxygène et liquide, eau pas assez concentrique ou alors que liquide pas assez pour le solide.

Alors aussi boire du liquide, de l'eau fluidifie le sang et permet un flux plus rapide que le solide alors certainement le solide rend moins rapide certainement réflexes plus lents, peut être aussi car neurologiquement, mouvements aussi lents.

Aussi les dents sont les os de la bouche certainement dedans un liquide, dents qui sont dans un liquide la salive et au delà la chaire des gencives, des joues, lèvres...

Le solide, la nourriture est un somnifère et le liquide, l'eau un stimulant. Plus le gaz léger aussi, oxygène stimule, alors que les gaz plus lourds endorment, détente de la cigarette et autres fumettes.

Pour la nourriture on prendra l'exemple de la sieste ou le repos conseillé car manger assoupi. Aussi des gaz plus lourds endorment mais aussi le manque d'oxygène car trop de dioxyde de carbone donc plus lourd car en plus de l'oxygène le carbone alors évanouissement.

Puisque le sang trop lourd ralenti le métabolisme comme le froid solidifie donc alors comme visqueux fluidité plus lente. Moteur qui tourne au ralenti alors que d'autres pour eux tout est à vitesse normale.

La nourriture alourdissant le sang alors ralentissement donc moins de fluidité et alors pensée au ralentie, neurologiquement, donc succession d'idées au ralentie aussi moteur de la mémoire.

Aussi l'eau étant un stimulant doit certainement être préférable pour une activité plus intense de mémoire.

Aussi nourriture obligatoire alors préférable repos à suivre car neurologiquement ça ne suit plus puisque fonctionnement ralenti tout autant que les réflexes. Et alors mauvais réflexe et potentiellement douleur plus que perceptible, causable.