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digne d'être heureux


sirielle

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Membre, 153ans Posté(e)
Annalevine Membre 3 528 messages
Mentor‚ 153ans‚
Posté(e)
il y a 7 minutes, sirielle a dit :

Je crois qu'il y a parfois possibilité d'agir, ne serait-ce qu'un peu ou par disposition d'esprit, on n'est pas forcément totalement impuissant face à de tels problèmes. 

L'émotivité peut contribuer à la lucidité, voire donc à une implication sociale constructive et sécurisante à mon avis. La sensibilité constitue la conscience sous différentes formes.

Cela dit si l'émotivité peut être constructive à travers la peine, elle peut l'être aussi à travers la joie, prioritairement ou pas.

 

Ce qui a pu choquer dans votre attitude ce n’est pas votre émotion, c’est la manière dont vous utilisez l’émotion. Être émue, bouleversée devant la souffrance d’un enfant vous conduit en effet à la conscience de l’existence de l’enfant. 
Mais quand cette conscience de l’existence de l’enfant s’est imposée, il y a cette question : que faire ? Question à laquelle le plus souvent nous n’avons pas de réponse. Mais vous suite à cette prise de conscience de l’existence de l’enfant vous vous interrogez sur votre éventuelle culpabilité  ou indignité. C’est à dire que vous revenez à vous même. À votre gêne personnelle. Vous utilisez la souffrance de l’enfant pour vous pencher sur votre état émotionnel, à vous. La souffrance de l’enfant n’est plus qu’un instrument. C’est cela qui choque.

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Membre, 37ans Posté(e)
sirielle Membre 9 645 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
Posté(e)
il y a 8 minutes, Annalevine a dit :

Ce qui a pu choquer dans votre attitude ce n’est pas votre émotion, c’est la manière dont vous utilisez l’émotion. Être émue, bouleversée devant la souffrance d’un enfant vous conduit en effet à la conscience de l’existence de l’enfant. 
Mais quand cette conscience de l’existence de l’enfant s’est imposée, il y a cette question : que faire ? Question à laquelle le plus souvent nous n’avons pas de réponse. Mais vous suite à cette prise de conscience de l’existence de l’enfant vous vous interrogez sur votre éventuelle culpabilité  ou indignité. C’est à dire que vous revenez à vous même. À votre gêne personnelle. Vous utilisez la souffrance de l’enfant pour vous pencher sur votre état émotionnel, à vous. La souffrance de l’enfant n’est plus qu’un instrument. C’est cela qui choque.

Question de responsabilisation, comme l'avait d'ailleurs évoqué @riad** auparavant (mais certaine réponses du sujet ont été effacées).

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Membre, Talon 1, 79ans Posté(e)
Talon 1 Membre 24 161 messages
79ans‚ Talon 1,
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Il y a 13 heures, sirielle a dit :

Où est la dignité à être heureux au moment même où des enfants sont exécutés?

C'est parce que quand on est heureux, on l'ignore. On n'apprécie notre bien-être que quand il disparaît.

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Membre, 37ans Posté(e)
sirielle Membre 9 645 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
Posté(e)
Il y a 12 heures, Gremlyne a dit :

Bonsoir sirielle

Ce n'est pas en se mortifiant et en se culpabilisant de nos chances qu'on apporte quelque chose aux personnes en souffrance. Quand on a des moments de bonheur il faut juste le vivre, ressentir de la gratitude et ne pas gâcher ce précieux état que ces enfants aimeraient certainement vivre, cracher dans la soupe ne fait pas de nous quelqu'un de digne. 

Tout être conscient cherche essentiellement son propre bonheur (c'est ainsi) et quand on est conscient de la souffrance des autres c'est gênant... pour notre bonheur, mais accueil t on vraiment cette conscience cette tristesse pour l'autre... on lute surtout contre ce qui a don de la cristallisé et lui donner plus d'importance.

Ce qui pourrait passer pour de l'altruisme est en fait encore issu d'une pulsion "égoïste au fond, mais un égoïsme élargi. Ceci dit pragmatiquement, sans jugement, c'est juste que pour vivre autrement il faut avant tout comprendre.

Bonjour Gremlyne,

Je crois pour ma part que la culpabilisation, si elle est appropriée, peut contribuer au progrès. La gratitude n'en trouve pas forcément insuffisamment sa place, voire au contraire. Mais il était avant tout question de dignité, et non d'indignité, ainsi le principe de dignité est davantage valorisant que culpabilisant, par son sens direct.

A mon avis la compassion peut aussi être dénuée d'égoïsme.

Il y a 12 heures, Gremlyne a dit :

Rester malheureux parceque d'autres souffrent ? Il faut arrêter ce système de pensée pervers et polluant pour l'esprit pour les autres à qui cela ne sert pas et pour toi à qui cela va ruiner le moral.

Présumerais-tu que ma propre réponse à la question du sujet serait "Nulle part."? En tout cas elle ne serait pas si radicale. Ni "Nulle part." ni "Partout." non plus. La réponse se doit à mon avis d'être plus nuancée, c'est du moins davantage ainsi que je la conçois personnellement.

Il y a 12 heures, Gremlyne a dit :

Rien ne t'empêche un jour d'agir plus pour la cause enfantine même si tu ne sauveras pas le monde, ce sera atoujours ça. Une seule personne n'a pas à porter le malheur du monde a elle toute seule, vive le collectif…

Je m'y suis déjà parfois impliquée à ma mesure effectivement, il s'agit d'une cause parmi d'autres ayant pu me toucher, comme bien d'autres personnes, heureusement ou non (en fonction des conséquences au cas par cas).

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Membre, 132ans Posté(e)
soisig Membre 30 391 messages
132ans‚
Posté(e)
Il y a 15 heures, sirielle a dit :

Où est la dignité à être heureux au moment même où des enfants sont exécutés?

Est ce indigne d'être heureux ? doit-on tous souffrir de malheur des autres ? 

 

Il y a 13 heures, Virtuose_en_carnage a dit :

De toute façon, être digne du bonheur est un peu creux de sens car le bonheur n'existe pas.

Ce n'est pas parce que tu ne connais visiblement pas le bonheur, qu'il n'existe pas. Si on suit ton raisonnement, le malheur n'existe pas, vu que je ne le subits pas ... 

Il y a 13 heures, CAL26 a dit :

Et au contraire, ça pourrait être la dépression qui pourrait entraîner le ruminement d'idées noires.

Exactement. La dépression est un dysfonctionnement psychique, sauf que pour le moment, les raisons chroniques de ce dysfonctionnement, ne sont pas encore trouvées. Par contre, c'est maintenant bien soigné.

Il y a 2 heures, Talon 1 a dit :

C'est parce que quand on est heureux, on l'ignore. On n'apprécie notre bien-être que quand il disparaît.

Pas forcément, je suis heureuse et je l'étais avant d'être touchée par le malheur, et je le suis redevenue, les malheurs passés ou disons, digérés.

il y a 56 minutes, sirielle a dit :

Je crois pour ma part que la culpabilisation, si elle est appropriée, peut contribuer au progrès. 

A mon avis la compassion peut aussi être dénuée d'égoïsme.

 

Pas forcément de la culpabilisation. Je ne me sens nullement coupable du malheur des autres, par contre je compatis, et effectivement, ça n'a rien à voir avec de l'égoïsme, c'est juste de l'empathie. 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 482 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Peut-être que si on est heureux, véritablement heureux, malgré les nombreux malheurs autour de nous, a t'on érigé une bulle aussi temporaire que fragile.

Peut-être que pour se rendre heureux, véritablement heureux, malgré les nombreux malheurs autour de nous, faut il s'investir dans des actions aussi temporaires que fragiles.

Le malheur rôde toujours dans le bonheur et vice versa, ce sont nos lunettes qui nous trompent sur l'impermanence des choses.

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Membre, 35ans Posté(e)
Virtuose_en_carnage Membre 6 800 messages
Maitre des forums‚ 35ans‚
Posté(e)
il y a 8 minutes, soisig a dit :

Ce n'est pas parce que tu ne connais visiblement pas le bonheur, qu'il n'existe pas. Si on suit ton raisonnement, le malheur n'existe pas, vu que je ne le subits pas ... 

 

Il n'y avait aucun raisonnement dans ma phrase.

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Membre, 132ans Posté(e)
soisig Membre 30 391 messages
132ans‚
Posté(e)
il y a 1 minute, Virtuose_en_carnage a dit :

Il n'y avait aucun raisonnement dans ma phrase.

oui effectivement :smile2:

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Membre, 35ans Posté(e)
Virtuose_en_carnage Membre 6 800 messages
Maitre des forums‚ 35ans‚
Posté(e)
il y a 36 minutes, soisig a dit :

oui effectivement :smile2:

Je pense que la dissension provient du manque de définition. Si les gens pouvaient nous dire ce qu'ils entendent par bonheur, ça serait sans aucun doute plus simple.

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Membre, 132ans Posté(e)
soisig Membre 30 391 messages
132ans‚
Posté(e)
il y a 45 minutes, Virtuose_en_carnage a dit :

Je pense que la dissension provient du manque de définition. Si les gens pouvaient nous dire ce qu'ils entendent par bonheur, ça serait sans aucun doute plus simple.

Je peux te donner la mienne : vivre libre, dans un pays libre. Etre en bonne santé et avoir une famille et des proches en bonne santé. Gagner correctement ma vie. Vivre dans un pays qui ne souffre pas d'intempéries extrêmes ... et si on veut aller plus loin, avoir l'eau courante, un toit sur ma tête, manger à ma faim ... 

Et enfin, être aimée et aimer. 

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Membre, 35ans Posté(e)
Virtuose_en_carnage Membre 6 800 messages
Maitre des forums‚ 35ans‚
Posté(e)
il y a 13 minutes, soisig a dit :

Je peux te donner la mienne : vivre libre, dans un pays libre. Etre en bonne santé et avoir une famille et des proches en bonne santé. Gagner correctement ma vie. Vivre dans un pays qui ne souffre pas d'intempéries extrêmes ... et si on veut aller plus loin, avoir l'eau courante, un toit sur ma tête, manger à ma faim ... 

Et enfin, être aimée et aimer. 

Alors je risque d'avoir d'autres questions du genre c'est quoi la liberté.

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Invité Gremlyne
Invités, Posté(e)
Invité Gremlyne
Invité Gremlyne Invités 0 message
Posté(e)

Bonjour :)

Il y a 3 heures, sirielle a dit :

Présumerais-tu que ma propre réponse à la question du sujet serait "Nulle par

Ben j'ai surtout fait avec peu,  cette courte phrase, ta question....

Il y a 18 heures, sirielle a dit :

Où est la dignité à être heureux au moment même où des enfants sont exécutés?

...que j'ai trouvée intéressante et touchante, alors j'ai eu envie de répondre.

Mais il semble vous ayez déjà des réponses et tant mieux . La question était donc pour qu'on s'interroge sur notre propre dignité ?

 

 

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Membre, 65ans Posté(e)
pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 65ans‚
Posté(e)
Il y a 18 heures, sirielle a dit :

Où est la dignité à être heureux au moment même où des enfants sont exécutés?

C'est la Nature humaine. Si l'on ne pense qu'à cela, cancer assuré dans les six mois.

La Révolution Française a voulu le bonheur pour tous. Que les peuples de France soient dignes de leurs ainés en éloignant toute idée de haine, de dédain pour telle ou telle catégorie d'humains. Et qu'ils soutiennent les hommes de bonne volonté.

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Membre, 37ans Posté(e)
sirielle Membre 9 645 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
Posté(e)
Il y a 21 heures, soisig a dit :

Est ce indigne d'être heureux ?

Une part du bonheur se mérite, ou s'obtient par des efforts. Les bonheurs illusoires, voire aux dépens de ses devoirs, peuvent avoir de lourdes conséquences.

Il y a 21 heures, soisig a dit :

doit-on tous souffrir de malheur des autres ? 

Si notre sensibilité nous permet de percevoir, ne serait-ce qu'inconsciemment, voire de s'imprégner du malheur qui nous entoure, alors oui. Bien que dans ce cas elle nous permet aussi d'en percevoir le bonheur. Sinon non.

Il y a 21 heures, soisig a dit :

Pas forcément de la culpabilisation. Je ne me sens nullement coupable du malheur des autres, par contre je compatis, et effectivement, ça n'a rien à voir avec de l'égoïsme, c'est juste de l'empathie. 

Culpabiliser ne vise pas forcément soi-même. Il est possible aussi de culpabiliser autrui. Cela-dit la culpabilisation n'est constructive que dans certains cas et superflue dans d'autres. Mais comme @Loufiat l'a évoqué auparavant les exécutions par exemple peuvent mener à vouloir rendre "justice", voire donc à faire prendre conscience aux éventuels coupables des conséquences regrettables de leurs actes (Entre autres pour s'épargner la récidive.).

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Membre, 132ans Posté(e)
soisig Membre 30 391 messages
132ans‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, sirielle a dit :

Une part du bonheur se mérite, ou s'obtient par des efforts. Les bonheurs illusoires peuvent avoir de lourdes conséquences.

 

Quelle part ? A part le bonheur d'avoir réussi quelque chose pour lequel on a fait des efforts, je ne vois pas. Quand aux bonheurs illusoires, la non plus, je ne vois pas. Quand on est heureux, ce n'est pas une illusion et je vois encore moins qu'elles peuvent être les "lourdes" conséquences, d'être heureux.

il y a 3 minutes, sirielle a dit :

voire donc à punir les éventuels coupables et leur faire prendre conscience des conséquences regrettables de leurs actes.

Franchement, je pense qu'une personne qu'on exécute n'éprouve surement pas un sentiment de culpabilité, mais plutôt de la haine envers ses bourreaux. 

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Membre, 70ans Posté(e)
Don Juan Membre 3 138 messages
Forumeur vétéran‚ 70ans‚
Posté(e)
Le 27/04/2020 à 21:13, sirielle a dit :

Où est la dignité à être heureux au moment même où des enfants sont exécutés?

Dans l'inconscience que pour chaque enfant qui est tué se meurt quelque chose en chacun de nous.

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Membre, 37ans Posté(e)
sirielle Membre 9 645 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
Posté(e)
il y a 25 minutes, soisig a dit :

Franchement, je pense qu'une personne qu'on exécute n'éprouve surement pas un sentiment de culpabilité, mais plutôt de la haine envers ses bourreaux. 

Les coupables dans mon exemple représentaient les bourreaux, et non pas leurs victimes bien sûr. Parfois il est nécessaire que la société culpabilise ces bourreaux ou éventuels bourreaux, leur fasse regretter leurs actes ou rejeter leurs projets afin que ces derniers n'aient pas (de nouveau) lieu.

il y a 25 minutes, soisig a dit :

Quelle part ? A part le bonheur d'avoir réussi quelque chose pour lequel on a fait des efforts, je ne vois pas. Quand aux bonheurs illusoires, la non plus, je ne vois pas. Quand on est heureux, ce n'est pas une illusion et je vois encore moins qu'elles peuvent être les "lourdes" conséquences, d'être heureux.

Obtenir par exemple son bonheur, ses récompenses, richesses et succès, par la triche, la malhonnêteté, dans une compétition peut rendre indigne de ce bonheur acquis.

Ou encore les "veuves noires" cherchent leur bonheur matériel aux dépens de leurs maris, ce que l'on peut considérer comme "lourd de conséquences".

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Membre, claniste, 107ans Posté(e)
cry baby Membre 44 061 messages
107ans‚ claniste,
Posté(e)
Le 27/04/2020 à 21:13, sirielle a dit :

Où est la dignité à être heureux au moment même où des enfants sont exécutés?

apès avoir appris dernièrement que mon frère avait un cancer incurable,je me sens pas digne d'etre heureux

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Membre, 153ans Posté(e)
Annalevine Membre 3 528 messages
Mentor‚ 153ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, cry baby a dit :

apès avoir appris dernièrement que mon frère avait un cancer incurable,je me sens pas digne d'etre heureux

 

La souffrance de votre frère vous fait souffrir et vous souffrez la souffrance de votre frère. Alors la question d'être heureux ou pas vous n'en avez rien à faire. Et, subséquemment, la question de la dignité est hors sujet.

En souffrant la souffrance de votre frère vous l'accompagnez.

Je vous respecte pour votre sensibilité. Et votre capacité à vous oublier pour aimer l'autre. L'autre, là, c'est votre frère. Demain ce sera celui-ci ou celui-là (on peut mettre aussi le féminin).

Je ne vous écris pas souvent, mais je vous ressens comme étant une belle âme. (Et pourtant je ne crois pas en l’existence de l'âme). Vous me touchez.

 

 

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Membre, claniste, 107ans Posté(e)
cry baby Membre 44 061 messages
107ans‚ claniste,
Posté(e)
il y a 2 minutes, Annalevine a dit :

 

La souffrance de votre frère vous fait souffrir et vous souffrez la souffrance de votre frère. Alors la question d'être heureux ou pas vous n'en avez rien à faire. Et, subséquemment, la question de la dignité est hors sujet.

En souffrant la souffrance de votre frère vous l'accompagnez.

Je vous respecte pour votre sensibilité. Et votre capacité à vous oublier pour aimer l'autre. L'autre, là, c'est votre frère. Demain ce sera celui-ci ou celui-là (on peut mettre aussi le féminin).

Je ne vous écris pas souvent, mais je vous ressens comme étant une belle âme. (Et pourtant je ne crois pas en l’existence de l'âme). Vous me touchez.

 

 

merci du fond du coeur ,votre mot d'une extrême justesse me touche beaucoup!

pourla belle âme,malheureusement peu de gens pensent comme  vous ici

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