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Le coronavirus est arrivé en France

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lycan77

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Membre, Posté(e)
chanou 34 Membre 26 080 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 1 minute, Solatges a dit :

Et je vous répondais précisément que si vous disposez d'études que je n'ai pasn je vous serais reconnaisant de me les indiquer.

Sans quoi je serais fondé de dire qu'elles n'existent pas.

Si un patient devient vert pomme à l'injection d'un vaccin, ça sera noté dans le Vidal un jour, ou du moins on peut l'espérer. Ce n'est pas ce que j'appelle "faire une étude".

Les effets immédiats sont répertoriés par les producteurs dans la phase 3, et après, c'est fini.

 

je ne vous répondrai plus.
Vous vous êtes définitivement discrédité par votre affirmation sans nuances. Et donc FAUSSE!


 

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Membre, 71ans Posté(e)
jacky29 Membre 40 501 messages
Maitre des forums‚ 71ans‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, chanou 34 a dit :

Indépendante de tout laboratoire. Merci de le préciser aussi.

j'ai pas du tout envie de rire quand je lis sous la plume de quelqu'un qui se prétend bien informé que les effets secondaires des vaccins ne sont pas étudiés!!

je le sais bien, chanou, mais quand on voit cette liste de furieux de tout poil, on se dit que la stupidité et la crédulité sont les mamelles de certains réseaux sociaux ou non sociaux... et que les gens continuent à croire n'importe quoi et n'importe qui.

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Membre, 77ans Posté(e)
hybridex Membre 10 048 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
il y a 16 minutes, Solatges a dit :

Je ne crois pas que le problème soit là.

La plupart des médicaments ont une indication préférentielle, qui a une posologie et une durée fixes, et les boites sont "étudiées" sur ce critère (par le producteur).

Je pense que beaucoup de médecins n'ont pas assez de temps pour une consultation pour étudier l'ordonnance à fond avant d'arréter un médicament devenu inutile. Il a tendance à renouveler l'ensemble, surtout si ce n'est pas lui qui a instauré  ce traitement. Et les listes s'allongent...

La surconsommation de médicaments en France est un problème de santé bien réel et connu aux multiples facteurs, c'est le sujet de la vidéo. Le rapport avec la vaccination COVID est assez lointain. Certes il l'évoque, mais pas pour la contester.

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MembreN, Sans N, 72ans Posté(e)
Solatges MembreN 22 341 messages
72ans‚ Sans N,
Posté(e)

Ni français, ni débile :

 

 

il y a 7 minutes, hybridex a dit :

La surconsommation de médicaments en France est un problème de santé bien réel et connu aux multiples facteurs, c'est le sujet de la vidéo. Le rapport avec la vaccination COVID est assez lointain. Certes il l'évoque, mais pas pour la contester.

Je n'ai jamais  prétendu qu'il l'avait fait.

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Membre, 77ans Posté(e)
hybridex Membre 10 048 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, Solatges a dit :

Ni français, ni débile :

 

 

Je n'ai jamais  prétendu qu'il l'avait fait.

D'accord, mais dans ce cas quel rapport avec la COVID?

La surconsommation médicamenteuse pourrait mériter un sujet à elle toute seule où on pourrait débattre des rôles et responsabilités respectifs des labos, des médecins, des patients et des pouvoirs publics mais ça nous éloigne beaucoup de la pertinence de la vaccination COVID.

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MembreN, Sans N, 72ans Posté(e)
Solatges MembreN 22 341 messages
72ans‚ Sans N,
Posté(e)

Oui, l'ambiance a dévié sur l'appréciation des vaccins.

C'est un sujet très compliqué, et la vidéo (de Bernard Bégaud)  en parle :

Les informations sur les vaccins en général sont insuffisantes, comme il est dit dans la vidéo précédente, et ça entraîne des réticences.

En France, on est pour tout dès qu'il dit que c'est un vaccin ou un horrible antivax nazi, antisémite, idiot, français et tout.

C'est  un peu plus complexe en réalité, bien sûr.

Un vaccin est un médicament, qui peut avoir des effets secondaires immédiats ou retardés, et ce n'est pas nécessaire de diaboliser toute hésitation devant un vaccin, c'est stupide et contre-productif.

 

Modifié par Solatges
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Membre, 77ans Posté(e)
hybridex Membre 10 048 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, Solatges a dit :

C'est  un peu plus complexe en réalité, bien sûr.

Un vaccin est un médicament, qui peut avoir des effets secondaires immédiats ou retardés, et ce n'est pas nécessaire de diaboliser toute hésitation devant un vaccin, c'est stupide et contre-productif.

 

Belle leçon que je te renvoie. Il n'est pas nécessaire de diaboliser les vaccins ainsi que le font les anti-vax.

C'est d'ailleurs très surprenant de ta part, ce rejet d'une diabolisation particulière alors que c'est ton activité préférée sur ce forum!

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MembreN, Sans N, 72ans Posté(e)
Solatges MembreN 22 341 messages
72ans‚ Sans N,
Posté(e)
il y a 9 minutes, hybridex a dit :

C'est d'ailleurs très surprenant de ta part, ce rejet d'une diabolisation particulière alors que c'est ton activité préférée sur ce forum!

Je pense que tu ne comprends pas ce que je dis, en général, pour des préjugés idéologiques infondées.

 

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Membre, 77ans Posté(e)
hybridex Membre 10 048 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
il y a 1 minute, Solatges a dit :

Je pense que tu ne comprends pas ce que je dis, en général, pour des préjugés idéologiques infondées.

 

Je serais très curieux de connaître les préjugés idéologiques que tu m'attribues.

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MembreN, Sans N, 72ans Posté(e)
Solatges MembreN 22 341 messages
72ans‚ Sans N,
Posté(e)
il y a une heure, Alain75 a dit :

J'ai connu des soignants qui ne voulaient pas se faire vacciner pour l'hépatite B ( ils n'étaient les nombreux non plus...)

Alors, voilà un bel exemple :

L'hépatie B est une maladie qui passe souvent inapperçue mais qui, rarement, fusille le foie et des gens (de tout âge)  en meurent.

 

C'est uniquement transmissible par le sang ou les relations sexuelles, ce qui fait qu'un soignant n'est pas infectant pour un soigné. (Il est rare que l'infirmier saigne abondamment en faisant un pensement).

En revanche, beaucoup de soignants au bout de quelques années de travail sont infectés et font des anticorps. (+/- 50%)

Le truc de la résistance au vaccin des soignants c'est que :

On (B.Kourshner) a voulu vacciner tous les soignants sans faire de bilan avant (trop cher) alors qu'on ne savait absolument pas si vacciner un immunisé pouvait ou pas poser problème. (Pas étudié).

De plus, vacciner un immunisé n'offre aucun avantage pour personne et injecter un truc  sans intérêt, il ne faut pas (et les soignants le savent bien).

 

Là dedans, tout n'est pas irrationnel.

Modifié par Solatges
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Membre, Marxiste tendance Groucho, 64ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 401 messages
64ans‚ Marxiste tendance Groucho,
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MembreN, Sans N, 72ans Posté(e)
Solatges MembreN 22 341 messages
72ans‚ Sans N,
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Un condensé de ce que je dis régulièrement ici, par un des français les plus compétents et désintéressés qui soient :

 

Avis de C.Perronne

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Membre, 88ans Posté(e)
ouest35 Membre 28 278 messages
Maitre des forums‚ 88ans‚
Posté(e)

Je n'arbitre rien ... je donne des infos récentes émanant des hautes sphères gouvernementales ...:)

" Pour autant, la vaccination ne sera pas obligatoire. L'exécutif ne veut surtout pas donner le sentiment qu’il veut injecter à toute force aux français un vaccin élaboré très vite et pour lequel nous n’avons pas de recul d’expérience. Et pour tenter de rassurer la population, Jean Castex a ainsi multiplié la mise en avant des garde-fous et de mesures de précaution qui encadrent le plan de bataille exposé hier soir. 

Il a notamment fait valoir que le gouvernement ne décide pas de tout dans cette affaire :

La décision d'autoriser, ou non, un vaccin ne relève pas directement du gouvernement, mais appartient aux autorités scientifiques indépendantes qui sont en charge de l'évaluation des produits de santé. Autre exemple, le choix des personnes qui devront être vaccinées en priorité n'incombe pas au gouvernement, mais à la Haute Autorité de Santé sur la base d'une expertise indépendante que nous entendons respecter."

Une enquête, réalisée il y a quelques jours, par l’institut IFOP, pour le Journal du Dimanche, révélait que 59% des personnes interrogées n’avaient pas l’intention de se faire vacciner. Autrement dit, six personnes sur dix. Or, le but recherché est l’immunisation d’une partie suffisamment importante de la population pour contrôler l’épidémie.

Le Conseil Scientifique a fixé un seuil à 65%. On perçoit donc clairement la difficulté : avec un tel taux de rejet de la vaccination, nous sommes potentiellement très loin du compte.

Ce chiffre sur la crainte et la défiance vis-à-vis des vaccins COVID corrobore plusieurs enquêtes réalisées ces dernières années. Des enquêtes qui toutes placent la France dans le peloton de tête des pays où la défiance vaccinale est la plus forte. Un français sur trois, affirmait notamment la revue Lancet l’an dernier, pensent que les vaccins ne sont pas sûrs.

il faut tout de même relativiser cette défiance. Il n’y a pas, aujourd’hui, en France, six personnes sur dix opposées au principe de la vaccination. Six sur dix, c’est contre les vaccins COVID-19 qui sont très nouveaux et dont on sait encore assez peu de choses.

Il y a donc une crainte et une méfiance assez légitimes, somme toute, vis-à-vis des techniques utilisées (L’ARN messager, c’est très nouveau), ou encore vis-à-vis de potentiels effets secondaires. Aujourd’hui, on a seulement quelques mois de recul sur les injections tests qui ont réalisées. Que de nombreuses personnes se méfient et se montrent réticentes, c’est assez naturel. 

En revanche, il y a d’authentiques défiants vis de la vaccination et des vaccins en général. Et ils semblent être de plus en plus nombreux : 20, 25% selon différentes études effectuées. C’est beaucoup.

Et cette défiance est à l’origine de tout un tas de théories complotistes qui fleurissent sur internet, sur les réseaux sociaux. Certaines expliquent que les vaccins COVID-19 sont une manière de préparer les populations à l’injection future de nanoparticules afin d'instaurer un système généralisé de surveillance et d’asservissement.

Mais ce qui alimente également le potentiel refus de la vaccination, tout particulièrement en France, est un problème éminemment politique, lié à la confiance dans les institutions.

Plusieurs études montrent que le degré de confiance institutionnelle détermine l’acceptation des politiques publiques et en particulier des politiques sanitaires. C’est valable dans de nombreux pays. Or, en France, le degré de confiance dans nos institutions est particulièrement faible. Et surtout, il décroit depuis 20 ans.

Une enquête, réalisée par IPSOS, intitulée « fractures françaises », déjà évoquée précédemment dans ce billet, montre notamment que 78% des français interrogés pensent que les hommes et les femmes politiques agissent essentiellement pour leurs intérêts personnels.

L’acceptation de la vaccination est donc une question de confiance. Or, en France, on n’a pas confiance dans les institutions, pas confiance dans les responsables publics, pas confiance dans les médias. 

Reste tout de même encore une certaine confiance dans la science et la parole scientifique. C’est la raison pour laquelle Jean Castex s’est une nouvelle fois, hier soir, appuyé sur les scientifiques pour présenter sa stratégie vaccinale. Mais cette confiance s’amenuise, en particulier depuis quelques mois. On est passé de 95% en début d’année à 75% aujourd’hui. C’est un peu comme si, à l’image de la maladie, la défiance elle-aussi était contagieuse."

https://www.franceculture.fr/emissions/le-billet-politique/le-billet-politique-du-vendredi-04-decembre-2020

". Mais alors que les deux concurrents américains s’apprêtent à demander l’autorisation de mise sur le marché de leurs candidats-vaccins auprès des agences des médicaments, des zones d’ombres subsistent quant à la sécurité de ces produits. Explications.

“Beaucoup d’autres labos vont annoncer d’aussi bons taux d’efficacité, considère un professeur parisien en médecine interne et immunologie clinique, sollicité par Capital. Ce qui fera la différence entre chacun, ce n’est pas le prix, mais la tolérance”. Si des premiers laboratoires disposent d’assez d’informations pour estimer de tels taux d’efficacité de leurs candidats-vaccins contre le Sars-CoV-2, des inconnues subsistent dans l’équation : les effets secondaires. Dans le communiqué (en anglais) dans lequel Moderna rend public les résultats préliminaires de l’efficacité de son candidat-vaccin, la société dirigée par le Français Stéphane Bancel assure qu’aucun effet secondaire sévère n’a été détecté. Ses essais cliniques de phase 3 ont réuni environ 30.000 participants, divisés en deux groupes : un premier qui reçoit les deux doses du vaccin, un second qui reçoit un placebo. Et si l’on croit le laboratoire américain, 8,9 % des participants ont souffert de myalgie (douleurs musculaires), 9,7 % de fatigue, 4,5 % de maux de têtes, et 2 % de rougeurs. “Ce sont des effets dits transitoires, explique le même spécialiste que nous avons contacté, c’est-à-dire qu’ils disparaissent en 24 à 48 heures et par conséquent, ils importent peu dans les décisions d’autoriser ou non ces vaccins car il n’y a pas de véritable danger”.

Comme pour tout médicament, même des plus communs, le risque zéro n’existe pas. Pour autant, la vitesse à laquelle Pfizer, Moderna et d’autres laboratoires comme l’anglo-suédois AstraZeneca avec l’Université d’Oxford avancent dans leurs recherches est surprenante - même si cela s’explique par le chevauchement des différentes phases d’essais cliniques.

“On est allé très très vite par rapport aux délais classiques des études qui prennent en général 7 à 10 ans avant de commercialiser un vaccin”, souligne le Professeur en médecine interne et immunologie clinique "qui craint la découverte d’effets secondaires plus sévères une fois les vaccins autorisés, et distribués à la population."

Selon le syndicat des laboratoires français (Leem) en effet, le développement d’un vaccin dans un contexte de pandémie demande en moyenne 18 à 24 mois. Soit environ deux fois plus de temps que ce qu’ont mis Pfizer et Moderna, qui espèrent chacun distribuer des premières doses dès le début de l’année 2021. Le professeur en médecine interne et immunologie redoute ainsi que le nombre de participants réunis par les laboratoires pour mener à bien les essais ne suffise pas à découvrir d’éventuels effets secondaires graves pour la santé. “Même si par exemple on estime qu’il n’y a que 1 % de chances que cela se produise, 1 % d’une population de 1 milliard de personnes, ça touche beaucoup plus de monde que 1 % d’un groupe de 30.000 participants”, détaille-t-il.

 

Mais ce que craint surtout l’expert que nous avons interrogé, c’est que des personnes, déjà sceptiques à l’égard des vaccins, “incitent les indécis à ne pas se vacciner en avançant ces arguments. Je vous l’assure, je suis un pro-vaccin, mais dans la bouche d’un anti-vaccin, tout ce que je viens de vous expliquer pourrait convaincre des gens à se méfier et à ne pas se vacciner”. Interrogée par Europe 1 lundi 16 novembre, la virologue Marie-Paule Kieny estime quant à elle qu’il faudra faire preuve de transparence. “Comme on le sait, les Français sont les champions du monde du vaccino-scepticisme”, déplore la spécialiste qui conseille de “dire ce qu’on sait et ce qu’on ne sait pas”.

Rassurant, le Professeur en médecine interne et immunologie salue tout de même l’absence de cas grave de Covid-19 parmi les participants ayant reçu le vaccin lors des essais de Moderna. Dans son communiqué, la société indique que seules 11 formes sévères se sont déclarées, et toutes ont été développées dans le groupe de participants qui ont reçu le placebo. "

https://www.capital.fr/economie-politique/vaccin-contre-la-covid-19-faut-il-se-mefier-des-effets-secondaires-1386280

.... dixit bibi : "Attendons donc en personnes raisonnées et raisonnables que l'on nous propose le vaccin et qu'en notre âme et conscience, nous faisions le choix du vaccin ou non en fonctions de nos critères éclairés par les personnes compétentes (médecin de famille par exemple) !

Se friter pour ce qui va arriver dans un mois au plus tôt d'autant que nous sommes tous tributaires de ce que scientifiques ou pseudos scientifiques , gouvernements et médias nous distillent  ... et notre discernement n'est plus branché que sur nos ressentis et finalement commandé par nos souhaits plutôt que d'autres et surtout nos affinités par rapport aux acteurs précités ! Inaudible parfois jusqu'à l'absurde pour chacun de nous !

Un peu de recul , .... il est bien suffisant de vivre cette ambiance de contraintes diverses, de manques et de frustrations .... Ca déborde parfois !

Bonne nuit à toutes et tous ."

 

Modifié par ouest35
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Membre, Marxiste tendance Groucho, 64ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 401 messages
64ans‚ Marxiste tendance Groucho,
Posté(e)
il y a 3 minutes, Solatges a dit :

Un condensé de ce que je dis régulièrement ici, par un des français les plus compétents et désintéressés qui soient :

 

Avis de C.Perronne

Caution scientifique conspirationniste

« Il y a un homme qui connaît bien les mesures à prendre en cas d’épidémie. Pendant vingt ans, il a géré ces situations de crise. » Cet homme auquel le narrateur du documentaire Hold-up tresse ainsi des lauriers, c’est Christian Perronne. Le chef de service des maladies infectieuses à l’hôpital de Garches (Hauts-de-Seine) est l’un des personnages principaux de ce film sorti le 11 novembre qui prétend dénoncer les « manipulations » cachées de l’épidémie de Covid-19.

 

Le visage grave, l’infectiologue y tient son rôle, celui de l’initié qui ose dénoncer les dérives du système. Les coupables sont, selon lui, à chercher du côté de l’industrie pharmaceutique, « première source de corruption », et de leurs complices, des pseudo-soignants aveuglés par leurs conflits d’intérêts.

Vérification : Les contre-vérités du documentaire « Hold-up »

 

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Membre, 75ans Posté(e)
Morfou Membre 63 600 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, ouest35 a dit :

 

image.png

image.png

La queue leu leu en slip en primaire pour la scarification du BCG sur la cuisse...3 traits!

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MembreN, Sans N, 72ans Posté(e)
Solatges MembreN 22 341 messages
72ans‚ Sans N,
Posté(e)
il y a 1 minute, ouest35 a dit :

Un peu de recul , .... il est bien suffisant de vivre cette ambiance de contraintes diverses, de manques et de frustrations .... Ca déborde parfois !

Parfaitement d'accord avec vous.

Il ne faudrait pas que ceux qui sont méfiants ne soient vus comme des sanguinaires par les vaccinés.

S'ils sont vaccinés et que les vaccins sont efficaces, ls ne risquent rien.

Si les vaccins ne sont pas efficaces, tant pis.

 

Le truc, c'est que la plupart des vaccins ont bénéficié de 5 à 10 ans de recul avant d'évaluer les effets secondaires, et pas pour celui-là.

Le manque d'informations sur les vaccins en général est, pour un spécialiste dont j'ai posté une vidéo, la cause de la méfiance et non les méfaits des "complotistes", coupables pratiques.

La technologie ARNm est nouvelle, et on n'a pas non plus de recul pour cette technique.

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Animateur, Le gras c'est la vie, 36ans Posté(e)
Kyoshiro02 Animateur 22 869 messages
36ans‚ Le gras c'est la vie,
Posté(e)

La COVID rendrait homosexuel et musulman d'après les scientifiques de fdesouche. Le vaccin permettait de palier à ça.

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MembreN, Sans N, 72ans Posté(e)
Solatges MembreN 22 341 messages
72ans‚ Sans N,
Posté(e)
il y a 7 minutes, Alain75 a dit :

« Il y a un homme qui connaît bien les mesures à prendre en cas d’épidémie. Pendant vingt ans, il a géré ces situations de crise. »

Tout à fait. Et si je ne sais quel site de "débunkeurs" ne l'aime pas, ce n'est pas une raison pour ignorer son CV.

Du reste, après un livre que je rappelle "Il y a t'il une erreur qu'ils n'ont pas commise ?"  qui distribue les responsabilités et les fautes, je n'ai pas notion qu'il ait été une seule fois assigné pour diffamation, ce qui est assez probant.

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 64ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 401 messages
64ans‚ Marxiste tendance Groucho,
Posté(e)

 

« Il y a un homme qui connaît bien les mesures à prendre en cas d’épidémie. Pendant vingt ans, il a géré ces situations de crise. » Cet homme auquel le narrateur du documentaire Hold-up tresse ainsi des lauriers.....

 

Tu cites le documentaire " Hold Up " là....:o°

Ah mais c'est vrai que ta présence est indésirable sur ce fil.................:ninja:

Modifié par Alain75
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MembreN, Sans N, 72ans Posté(e)
Solatges MembreN 22 341 messages
72ans‚ Sans N,
Posté(e)

Qui hésite ?

 

 

à l’instant, Alain75 a dit :

Tu cites le documentaire " Hold Up " là....:o°

Et alors ? ça craint le bûcher ? Quand on le comprends, ce documentaire, on voit qu'il n'y a pas que des conneries dedans. Surtout qu'elles ne sont pas toutes dedans...

Par exemple, dans ce que tu cites, tout est vrai. Il a été chargé des épidémies infecieuses (H1N1, etc.) pendant 20 ans, et conseiller en France et à L'OMS pour les vaccins.

Modifié par Solatges
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