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Invité JOSEPH DELETRE

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zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 2 heures, Annalevine a dit :

Pourquoi certaines personnes nient que le sentiment puisse être une source de connaissance ? Parce que, asservis au scientisme, ils pensent que la seule connaissance qui vaille c’est la connaissance scientifique, c’est à dire la connaissance qui s’applique au matériel. 
Seule existe la connaissance matérielle.  
Or,  la seule manière de faire connaissance avec l’autre, avec un être humain, c’est le sentiment. En niant que le sentiment puisse être une source de connaissance ils avilissent le rapport humain. Seul compte le rapport avec le matériel, la matière.  Le rapport humain est pour eux dégradant.

On peut se demander comment l’idéologie dominante française en est arrivée là. 

Le scientisme considère que la connaissance ne peut qu'être atteinte par la science 

Si vous avez suivi le propos...vous aurez constaté que l'épistémologie est à la fois une réflexion sur la validité des connaissances....scientifiques mais aussi une prise en compte de la spécificité et des limites des sciences dans un cadre plus vaste qui englobe les sciences à savoir la théorie de la connaissance 

L'épistémologie ce n'est pas le scientisme...

Et la science...ce n'est pas le matérialisme...

Maintenant vous n'êtes peut être pas sans savoir que cosinus de 0 égal 1 que vous soyez gentil, méchant, joyeux ou triste...

Et que donc certaines connaissances n'ont strictement rien à voir avec votre humeur ou vos sentiments...

Dites moi ce que vous avez appris qui puisse nous servir quand vous êtes joyeux ou triste, parce que dans l'état où vous êtes maintenant, nous n'apprenons pas grand chose.

Si vous avez appris hier le sentiment d'excitation devant votre chère et tendre, sachez que les scientifiques ne sont pas nés de la dernière pluie et que beaucoup ont connu ce sentiment sans dévoiler un modèle théorique capable de prédire votre prochaine érection...

Bref votre connaissance exceptionnelle est banale concernant l'expérience humaine et la science s'en tamponne globalement la coquille de ressentir votre joie.

On pourra vous guider vers un médecin ou un psy, prescrire du viagra pour redevenir joyeux, mais vous lire nous suffit déjà pour sourire 

Appelons cela la loi d'AlioAnnalevine ce qui vous permet de prédire à coup sûr le sentiment que vous provoquez par l'écriture , mieux qu'un grand scientifique !

A moins que ça ne marche que pour moi et que vous ne decouvriez que le rapport humain comme les émotions échappent encore du moins aux modèles scientifiques 

Ouf vous voici rassuré(e???)

Vous êtes presque un épistémologue averti dorénavant en cernant les limites des sciences et leur différence par rapport au matérialisme ou au scientisme 

Je vous décerne une première étoile

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
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Il y a 14 heures, zenalpha a dit :

Vous gagneriez à plus de précision dans le langage 

L'épistémologie est à distinguer de l'histoire des sciences, de la philosophie des sciences, de l'épistémologie historique même si tout cela est en rapport 

C'est votre manière de faire ces ponts énormes sur des notions en lien relatif...

Elle concerne la description et l'examen critique des procédés théoriques et pratiques sur lesquels se fondent les sciences 

Elle s'intéresse aux modes de connaissance de l'investigation à l'expérimentation des savoirs produits par la science et permettant a une connaissance d'avoir ou pas un statut dit scientifique et de produire un savoir valide...

Principes ontologiques, gnoseologiques (les manières de connaître), empiriques d'expérimentation...

Par extension, l'épistémologie concerne la théorie de la connaissance notamment dans la tradition anglo saxonne en s'intéressant là aussi a situer la science dans une expérience du savoir qui la déborde

La connaissance n'est donc pas innée au sortir d'une salle de bain...mais une théorie de la connaissance existe et constitue une branche entière de la philosophie au sein de la philosophie des sciences...

Votre 'connaissance de la joie' n'est pas une connaissance...vous confondez encore prendre connaissance et avoir connaissance qu'on désigne par la connaissance...

Il existe des stimuli, des sens, des émotions....vous les ressentez mais tout celà ne vous procure qu'une expérience sensible et certainement pas la connaissance ni aucune vérité .... en soi...

Vous éprouvez par exemple l'expérience de la couleur verte sans connaître si cela correspond à la longueur d'onde du vert ou la supperposition des longueurs d'onde jaunes et bleu.

Vous n'experimentez ni la matière noire, ni l'energie noire, ni le big bang, vous n'avez aucune perception du champs de higgs et n'en avez...aucune connaissance...au travers de vos sens.

Vos sens, limité et trompeurs, a partir de stimuli, provoquent une information par votre système nerveux central qui est traité par votre cerveau 

Vous n'avez même pas connaissance ni du problème ni de la douleur quand un acte reflexe survient

La majeure partie de ces informations sont traités par des processus cognitifs inconscients dont vous n'aurez jamais... connaissance

Et les émotions n'ont pas toujours voire rarement rapport à une connaissance 

Là encore, vous faîtes disparaître de votre réponse des questions qui vous embarrassent: celle de la véracité que vous dénaturez de son sens premier d'un point de vue étymologique (ce qui dit le vrai de manière vérifiée) pour la confondre avec la vérité, celle du caractère absolu de l'être en cela que toute chose est sujet du verbe substantif sans quoi rien ne saurait être défini, celle de la capacité cognitive innée que nous avons sur les choses et qui nous permet de connaître la joie avant même de la comprendre par la pensée. Vous ne parvenez, en effet, ni à identifier une chose qui ne soit définie par l'être, ni à expliquer comment définir la joie sans la connaître en premier lieu par la faculté de ressentir qui est une capacité innée à connaître de manière immédiate (ce qui ne signifie pas comprendre).

Concernant l'épistémologie, celle-ci n'a pour objet que l'étude critique des mécanismes au sens large par lesquels les théories scientifiques émergent. A titre d'exemple, on s'intéressera à la vie d'Einstein en se demandant s'il aurait pu parvenir à la relativité restreinte s'il n'avait pas été employé à l'office des brevets à Berne; une expérience au cours de laquelle il recevait des études au sujet de la synchronisation des horloges qui l'ont certainement poussé à réfléchir sur la problématique de la durée. On s’intéressera de même à la vie de Pauli lorsqu'il envoya une lettre à ses pairs alors qu'il était dans un état d'ébriété pour proposer l'introduction d'une particule neutre permettant de concilier radioactivité bêta et principe de conservation de l'énergie: le neutrino. L'épistémologie est donc une étude critique des connaissances scientifiques (au pluriel entendu ici comme savoir) et non une science de la capacité cognitive innée chez l'être doué de conscience qui n'a besoin d'aucun apprentissage pour ouvrir ses yeux sur le monde, percevoir et ressentir naturellement.

En évoquant "les principes ontologiques", vous ne faîtes encore qu'abonder dans mon sens autant que désavouer votre propre propos puisque ce qui est ontologique est relatif à la question de l'être qui n'est qu'une question accessoire selon vos dires. 

De même, vous ne faîtes encore qu'abonder dans mon sens en disant que nous percevons sans comprendre la vérité du réel objectif (au travers des différents exemples que vous citez) car c'est bien le propre d'une capacité innée à connaître de manière immédiate que d'appréhender naturellement un environnement sans avoir à le comprendre par la pensée au terme d'un processus ultérieur. Nous connaissons la joie, puis nous y mettons des mots par la réflexion pour la définir et non l'inverse. Au même titre que nous nous connaissons par le sentiment d'être et nous nous définissons par la suite comme des êtres doués de conscience et non l'inverse. 

Sans capacité innée à connaître de manière immédiate notre environnement et ce que nous sommes, il n'y aurait rien, qu'un paquet d'ondes sans aucune signification.

 

 

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 9 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Là encore, vous faîtes disparaître de votre réponse des questions qui vous embarrassent: celle de la véracité que vous dénaturez de son sens premier d'un point de vue étymologique (ce qui dit le vrai de manière vérifiée) pour la confondre avec la vérité, celle du caractère absolu de l'être en cela que toute chose est sujet du verbe substantif sans quoi rien ne saurait être défini, celle de la capacité cognitive innée que nous avons sur les choses et qui nous permet de connaître la joie avant même de la comprendre par la pensée. Vous ne parvenez, en effet, ni à identifier une chose qui ne soit définie par l'être, ni à expliquer comment définir la joie sans la connaître en premier lieu par la faculté de ressentir qui est une capacité innée à connaître de manière immédiate (ce qui ne signifie pas comprendre).

Concernant l'épistémologie, celle-ci n'a pour objet que l'étude critique des mécanismes au sens large par lesquels les théories scientifiques émergent. A titre d'exemple, on s'intéressera à la vie d'Einstein en se demandant s'il aurait pu parvenir à la relativité restreinte s'il n'avait pas été employé à l'office des brevets à Berne; une expérience au cours de laquelle il recevait des études au sujet de la synchronisation des horloges qui l'ont certainement poussé à réfléchir sur la problématique de la durée. On s’intéressera de même à la vie de Pauli lorsqu'il envoya une lettre à ses pairs alors qu'il était dans un état d'ébriété pour proposer l'introduction d'une particule neutre permettant de concilier radioactivité bêta et principe de conservation de l'énergie: le neutrino. L'épistémologie est donc une étude critique des connaissances scientifiques (au pluriel entendu ici comme savoir) et non une science de la capacité cognitive innée chez l'être doué de conscience qui n'a besoin d'aucun apprentissage pour ouvrir ses yeux sur le monde, percevoir et ressentir naturellement.

En évoquant "les principes ontologiques", vous ne faîtes encore qu'abonder dans mon sens autant que désavouer votre propre propos puisque ce qui est ontologique est relatif à la question de l'être qui n'est qu'une question accessoire selon vos dires. 

De même, vous ne faîtes encore qu'abonder dans mon sens en disant que nous percevons sans comprendre la vérité du réel objectif (au travers des différents exemples que vous citez) car c'est bien le propre d'une capacité innée à connaître de manière immédiate que d'appréhender naturellement un environnement sans avoir à le comprendre par la pensée au terme d'un processus ultérieur. Nous connaissons la joie, puis nous y mettons des mots par la réflexion pour la définir et non l'inverse. Au même titre que nous nous connaissons par le sentiment d'être et nous nous définissons par la suite comme des êtres doués de conscience et non l'inverse. 

Sans capacité innée à connaître de manière immédiate notre environnement et ce que nous sommes, il n'y aurait rien, qu'un paquet d'ondes sans aucune signification.

Hello, salutations.

La véracité est bien ...ce qui dit le vrai et uniquement le vrai...et le vrai se rapporte à la verité qui peut prendre les valeurs "vrai", "faux" ou indéfinie.

La véracité d'un propos est donc moins large que la notion de vérité 

Si ce que vous lisez est bourré d'erreurs, on ne saurait parler de véracité de votre lecture... et pourtant c'est la vérité qu'elle est fausse, erronée.

Voici résumé le seul lien entre véracité (qui ne concerne que le vrai) et la vérité (qui peut qualifier le faux)

Vous, vous appliquez véracité aux faits et vérité à l'être mais cette dissociation est fausse, c'est uniquement la notion du "vrai" qui concerne les deux cas.

Donc non seulement votre dissociation n'a pas lieu d'être, mais en plus...elle est carrément fausse...

En effet, depuis....l'aube des temps...depuis les grecs en occident...la notion de vérité et d'être sont...dissociées....

On parle de vérité pour une assertion donc pour une mise en relation à qualifier.

Frege fait d'ailleurs remarquer que cette relation entre la vérité qui est une notion fondamentale, première et "l'être" est impossible puisqu'on souhaite une vérité fondamentale, un être fondamental et qu'en les reliant l'un a l'autre, ne disposant d'aucun absolu plus fondamental que ces deux qualifications, on ne fait que les amalgamer sans d'ailleurs jamais pouvoir les définir si ce n'est rapporter l'un à l'autre en circularité fermée...c'est ce que vous faites...

"L'être est la vérité" sermonez vous telle une affirmation logiquement péremptoire et jamais démontrable ...et pour cause..puisque fallacieuse par son énoncé.

Le seul et unique concept que j'ai trouvé reliant vérité et être....est le concept d'Aletheia, de Parmenide, opposant 'la vérité en soi' et l'opinion.

Un peu comme si une vérité en suspension nous innondait...une vérité fondamentale non relationnelle en soi, et par définition non definissale relationnellement puisque nous l'avons vu, amalgamée à l'être qualifié de primo concept absolu

La science a démontré mathématiquement l'absolu...ça ne pouvait pas exister...tout est relationnel

Que la vérité n'est même pas un concept fondamental

Et en physique rien n'a été isolé comme substance fondamentale absolue

Bien...

Vous rendez vous compte que votre essai aurait capté l'attention éventuelle de grecs pré socratiques qui n'a rien fait émerger comme connaissance et qui a ... disparu...et que votre immersion de concepts scientifiques dans vos discours basés sur la vérité relationnelle entre des concepts non absolus mis en relation est...du kidnapping ?

Du kidnapping puisque vous utilisez des conséquences d'une logique que vous n'appliquez pas.

Et que votre logique n'a jamais et d'ailleurs ne peut pas faire émerger quoi que ce soit de nouveau ni de verifiable..

Comment voulez vous faire apparaître comme connaissance le champs de higgs à partir ... de l'être ou de la vérité en soi...alors que c'est la conséquence d'un modèle relationnel....et que l'existence de ce champ dépasse de loin nos sens...

Fertilité de la logique scientifique, aridité de votre logique pré socratique

Vous pensez qu'on argumente pas envers vous parce que vous manque ces fondamentaux de l'argumentation 

Vous êtes un petit peu comme @Maroudijiqui critique les sciences mais voyage en avion, utilise son pc, se chauffe au nucléaire...

Une deculpabilisation qui fuie la responsabilisation chez lui

C'est pas moi c'est vous ! Mais je m'invite a table et je bouffe au maximum de ma satisfaction..

Vous n'amenerez rien car le vers est déjà dans le fruit, bloqué comme vous l'êtes dans un temps où les conceptions sur ces choses, bien qu'erronées, avaient tout de même le mérite d'essayer 

Mais a présent vous en avez loupé des trains sur la notion de connaissance et de vérité 

Il est normal que nous vous regardions par la fenêtre non pas comme une curiosité d'un intellectuel comme Parménide mais comme un vieux philosophe totalement dépassé 

La science n'est pas la philosophie...mais elle infirme parfois des conceptions philosophiques...

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Invité JOSEPH DELETRE
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Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

La véracité est bien ...ce qui dit le vrai et uniquement le vrai...et le vrai se rapporte à la verité qui peut prendre les valeurs "vrai", "faux" ou indéfinie.

La véracité d'un propos est donc moins large que la notion de vérité 

Précisément, puisque la véracité elle-même a une vérité puisqu'il est possible d'écrire que la véracité est ce qui dit le vrai. Il y a donc une vérité à toute chose.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

Si ce que vous lisez est bourré d'erreurs, on ne saurait parler de véracité de votre lecture... et pourtant c'est la vérité qu'elle est fausse, erronée.

Une opinion n'est pas une démonstration.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

Vous, vous appliquez véracité aux faits et vérité à l'être mais cette dissociation est fausse, c'est uniquement la notion du "vrai" qui concerne les deux cas.

Non puisque la véracité elle-même a une vérité.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

Donc non seulement votre dissociation n'a pas lieu d'être, mais en plus...elle est carrément fausse...

Là encore, vous décrétez sans rien démontrer.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

On parle de vérité pour une assertion donc pour une mise en relation à qualifier.

Une assertion énonce un jugement soutenu comme vrai. Ce n'est pas une définition. L'assertion elle-même a une vérité.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

Frege fait d'ailleurs remarquer que cette relation entre la vérité qui est une notion fondamentale, première et "l'être" est impossible puisqu'on souhaite une vérité fondamentale, un être fondamental et qu'en les reliant l'un a l'autre, ne disposant d'aucun absolu plus fondamental que ces deux qualifications, on ne fait que les amalgamer sans d'ailleurs jamais pouvoir les définir si ce n'est rapporter l'un à l'autre en circularité fermée...c'est ce que vous faites...

On ne souhaite pas une vérité fondamentale ni un être fondamental puisque toute chose est déjà définie par l'être en cela que toute chose est sujet du verbe substantif: être; ce qui prouve le caractère absolu de ce qui est. Pouvez-vous identifier une seule chose qui ne soit pas définie par l'être? Non, puisque vous ne faîtes qu'esquiver la question. 

Enfin, vous ne faîtes la aussi qu’abonder dans mon sens puisque vous reconnaissez que l'être ne peut être défini autrement que par lui-même ce qui fait de l'être un concept relevant de la substance. La récursivité selon laquelle ce qui est - est - sans autre définition possible en est la preuve. Cela signifie que toute chose prend sa définition dans l'être en tant que raison première dont la vérité ne peut être appréhendée que par l'être doué de conscience qui devient, de par sa propre nature, la projection dans l'existence de ce qui est substantiel par son sentiment d'être.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

"L'être est la vérité" sermonez vous telle une affirmation logiquement péremptoire et jamais démontrable ...et pour cause..puisque fallacieuse par son énoncé.

Là encore, vous ne faîtes que décréter cette fois-ci avec virulence sans rien démontrer. Vous pourriez pourtant apporter une démonstration simple et logique à votre propos. Il vous suffirait d'identifier une chose qui ne soit pas sujet du verbe substantif, une chose dont la vérité ne soit pas définie par l'être. Mais vous en êtes incapable.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

La science a démontré mathématiquement l'absolu...ça ne pouvait pas exister...tout est relationnel

Que la vérité n'est même pas un concept fondamental

Dans ce cas, la science et les mathématiques elles-mêmes n'auraient aucune vérité et votre argument s'autodétruirait.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

Et en physique rien n'a été isolé comme substance fondamentale absolue

Précisément, puisque les limites de la physique s'arrêtent à l'horizon des événements qui est maintenant prouvé. Par conséquent, il nous faut prolonger le regard des yeux par celui de l'esprit en raison de limites infranchissables à l'expérimentation désormais posées par la nature.

La vérité relève donc de la métaphysique par définition.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

Vous rendez vous compte que votre essai aurait capté l'attention éventuelle de grecs pré socratiques qui n'a rien fait émerger comme connaissance et qui a ... disparu...et que votre immersion de concepts scientifiques dans vos discours basés sur la vérité relationnelle entre des concepts non absolus mis en relation est...du kidnapping ?

Vous ajoutez à présent au dénigrement et à la virulence, le fallacieux. La philosophie grecque fait de ce qui n'est pas le non-être, de l'être ce qui est le tout identique au tout, pour établir dans d'autres cas qu'il n'y aurait que le devenir, qu'il pourrait y avoir l'être et le non-être ou que le réel serait la projection captieuse d'un démiurge.

Je dis tout le contraire dans mon essai. Je fais de l'être la vérité de toute chose et ajoute que le non-être est impossible en tant qu'origine sauf à en faire autre chose que du néant. Par conséquent, l'être doit nécessairement relever de la substance.

Je définis ce qui n'est pas par antithèse logique et non plus par négation simple comme à l'époque des grecs ce qui change tout puisque le conceptuel (la pensée mouvante) peut dès lors apparaître comme l'antithèse du substantiel (ce qui demeure fidèle en vérité). Je fais alors de ce ce qui n'est pas ce qui relève du tout fait d'une partie identique au tout en faisant intervenir l'état de superposition.

J'ajoute que le réel n'est en rien captieux mais qu'il est intangible puisqu'il ne s'agit que d'un paquet d'ondes. Il n'y a donc aucun démiurge ce qui est parfaitement absurde puisque cette question ne ferait que repousser celle de l'origine au démiurge lui-même sans rien résoudre.

Vous ne lisez rien de manière approfondie, ne réfléchissez à rien de manière approfondie. Vos réponses sont systématiquement les mêmes: décréter l'erreur avec emphase ou virulence sans rien démontrer sur fond d'extraits savants pour vous donner l'image d'un docteur parfaitement ignorant par ailleurs. 

J'ajoute qu'en 2020, si l'avenir est un grand point d'interrogation, c'est que la pensée qui nous précède n'a pas été en mesure de prévenir le déclin. L'heure n'est donc plus aux extraits savants parfaitement incompris mais à la réflexion profonde.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

Et que votre logique n'a jamais et d'ailleurs ne peut pas faire émerger quoi que ce soit de nouveau ni de verifiable..

Et bien allez donc vérifier la réalité des choses au-delà de l'horizon des événements. Allez donc vérifier par l'observation ce qu'est un état superposé. Faîtes en de même s'agissant de la raison expliquant l'intrication en l'absence de variable cachée (ce que nous savons depuis l'expérience d'Aspect en 1982). 

Allez donc vérifier de manière expérimentale ce qu'est l'amour ou la joie puis brevetez votre découverte pour faire du monde une arène joyeuse et amoureuse.

Traiter de la raison de l'existence, c'est aller au-delà de l'horizon des événements par la raison. C'est précisément, aller là ou plus rien n'est vérifiable mais uniquement démontrable par pensée déductive. 

Vous ne faîtes la aussi qu'aboutir à une aporie en posant l'exigence du vérifiable à ce qui ne peut peut être vérifié par définition. Vous êtes encore votre propre détracteur logique.

 

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

Comment voulez vous faire apparaître comme connaissance le champs de higgs à partir ... de l'être ou de la vérité en soi...alors que c'est la conséquence d'un modèle relationnel....et que l'existence de ce champ dépasse de loin nos sens...

Là aussi, vous ne faîtes qu'abonder dans mon sens. En effet, le champ de Higgs existe puisque nous en avons mis en évidence les bosons par collision de protons. Nous savons depuis que la masse d'une particule résulte de son couplage avec ce champ scalaire. En d'autres termes, la masse d'une particule de matière est une propriété secondaire qui résulte de son interaction avec le champ de Higgs. 

Pour autant, avions-vous besoin de découvrir le champ de Higgs pour connaître immédiate la masse d'un objet de manière innée? La réponse est non ce qui prouve que l'être doué de conscience détient une capacité cognitive innée qui lui permet d'appréhender de manière immédiate, par sa faculté de ressentir, son environnement avant de le comprendre par la pensée dans le cadre d'un processus ultérieur.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

Une deculpabilisation qui fuie la responsabilisation chez lui

Vous psychologisez encore pour masquer votre incapacité à argumenter.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

C'est pas moi c'est vous ! Mais je m'invite a table et je bouffe au maximum de ma satisfaction..

Vous n'amenerez rien car le vers est déjà dans le fruit, bloqué comme vous l'êtes dans un temps où les conceptions sur ces choses, bien qu'erronées, avaient tout de même le mérite d'essayer 

Mais a présent vous en avez loupé des trains sur la notion de connaissance et de vérité 

Il est normal que nous vous regardions par la fenêtre non pas comme une curiosité d'un intellectuel comme Parménide mais comme un vieux philosophe totalement dépassé 

La science n'est pas la philosophie...mais elle infirme parfois des conceptions philosophiques...

Là encore, vous décrétez fallacieusement sans rien démontrer en ajoutant à la virulence, la grossièreté qui achèvent de vous caractériser comme un esprit faible.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

La véracité est bien ...ce qui dit le vrai et uniquement le vrai...et le vrai se rapporte à la verité qui peut prendre les valeurs "vrai", "faux" ou indéfinie.

La véracité d'un propos est donc moins large que la notion de vérité 

Précisément, puisque la véracité elle-même a une vérité puisqu'il est possible d'écrire que la véracité est ce qui dit le vrai. Il y a donc une vérité à toute chose.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

Si ce que vous lisez est bourré d'erreurs, on ne saurait parler de véracité de votre lecture... et pourtant c'est la vérité qu'elle est fausse, erronée.

Une opinion n'est pas une démonstration.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

Vous, vous appliquez véracité aux faits et vérité à l'être mais cette dissociation est fausse, c'est uniquement la notion du "vrai" qui concerne les deux cas.

Non puisque la véracité elle-même a une vérité.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

Donc non seulement votre dissociation n'a pas lieu d'être, mais en plus...elle est carrément fausse...

Là encore, vous décrétez sans rien démontrer.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

On parle de vérité pour une assertion donc pour une mise en relation à qualifier.

Une assertion énonce un jugement soutenu comme vrai. Ce n'est pas une définition. L'assertion elle-même a une vérité.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

Frege fait d'ailleurs remarquer que cette relation entre la vérité qui est une notion fondamentale, première et "l'être" est impossible puisqu'on souhaite une vérité fondamentale, un être fondamental et qu'en les reliant l'un a l'autre, ne disposant d'aucun absolu plus fondamental que ces deux qualifications, on ne fait que les amalgamer sans d'ailleurs jamais pouvoir les définir si ce n'est rapporter l'un à l'autre en circularité fermée...c'est ce que vous faites...

On ne souhaite pas une vérité fondamentale ni un être fondamental puisque toute chose est déjà définie par l'être en cela que toute chose est sujet du verbe substantif: être; ce qui prouve le caractère absolu de ce qui est. Pouvez-vous identifier une seule chose qui ne soit pas définie par l'être? Non, puisque vous ne faîtes qu'esquiver la question. 

Enfin, vous ne faîtes la aussi qu’abonder dans mon sens puisque vous reconnaissez que l'être ne peut être défini autrement que par lui-même ce qui fait de l'être un concept relevant de la substance. La récursivité selon laquelle ce qui est - est - sans autre définition possible en est la preuve. Cela signifie que toute chose prend sa définition dans l'être en tant que raison première dont la vérité ne peut être appréhendée que par l'être doué de conscience qui devient, de par sa propre nature, la projection dans l'existence de ce qui est substantiel par son sentiment d'être.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

"L'être est la vérité" sermonez vous telle une affirmation logiquement péremptoire et jamais démontrable ...et pour cause..puisque fallacieuse par son énoncé.

Là encore, vous ne faîtes que décréter cette fois-ci avec virulence sans rien démontrer. Vous pourriez pourtant apporter une démonstration simple et logique à votre propos. Il vous suffirait d'identifier une chose qui ne soit pas sujet du verbe substantif, une chose dont la vérité ne soit pas définie par l'être. Mais vous en êtes incapable.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

La science a démontré mathématiquement l'absolu...ça ne pouvait pas exister...tout est relationnel

Que la vérité n'est même pas un concept fondamental

Dans ce cas, la science et les mathématiques elles-mêmes n'auraient aucune vérité et votre argument s'autodétruirait.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

Et en physique rien n'a été isolé comme substance fondamentale absolue

Précisément, puisque les limites de la physique s'arrêtent à l'horizon des événements qui est maintenant prouvé. Par conséquent, il nous faut prolonger le regard des yeux par celui de l'esprit en raison de limites infranchissables à l'expérimentation désormais posées par la nature.

La vérité relève donc de la métaphysique par définition.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

Vous rendez vous compte que votre essai aurait capté l'attention éventuelle de grecs pré socratiques qui n'a rien fait émerger comme connaissance et qui a ... disparu...et que votre immersion de concepts scientifiques dans vos discours basés sur la vérité relationnelle entre des concepts non absolus mis en relation est...du kidnapping ?

Vous ajoutez à présent au dénigrement et à la virulence, le fallacieux. La philosophie grecque fait de ce qui n'est pas le non-être, de l'être ce qui est le tout identique au tout, pour établir dans d'autres cas qu'il n'y aurait que le devenir, qu'il pourrait y avoir l'être et le non-être ou que le réel serait la projection captieuse d'un démiurge.

Je dis tout le contraire dans mon essai. Je fais de l'être la vérité de toute chose et ajoute que le non-être est impossible en tant qu'origine sauf à en faire autre chose que du néant. Par conséquent, l'être doit nécessairement relever de la substance.

Je définis ce qui n'est pas par antithèse logique et non plus par négation simple comme à l'époque des grecs ce qui change tout puisque le conceptuel (la pensée mouvante) peut dès lors apparaître comme l'antithèse du substantiel (ce qui demeure fidèle en vérité). Je fais alors de ce ce qui n'est pas ce qui relève du tout fait d'une partie identique au tout en faisant intervenir l'état de superposition.

J'ajoute que le réel n'est en rien captieux mais qu'il est intangible puisqu'il ne s'agit que d'un paquet d'ondes. Il n'y a donc aucun démiurge ce qui est parfaitement absurde puisque cette question ne ferait que repousser celle de l'origine au démiurge lui-même sans rien résoudre.

Vous ne lisez rien de manière approfondie, ne réfléchissez à rien de manière approfondie. Vos réponses sont systématiquement les mêmes: décréter l'erreur avec emphase ou virulence sans rien démontrer sur fond d'extraits savants pour vous donner l'image d'un docteur parfaitement ignorant par ailleurs. 

J'ajoute qu'en 2020, si l'avenir est un grand point d'interrogation, c'est que la pensée qui nous précède n'a pas été en mesure de prévenir le déclin. L'heure n'est donc plus aux extraits savants parfaitement incompris mais à la réflexion profonde.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

Et que votre logique n'a jamais et d'ailleurs ne peut pas faire émerger quoi que ce soit de nouveau ni de verifiable..

Et bien allez donc vérifier la réalité des choses au-delà de l'horizon des événements. Allez donc vérifier par l'observation ce qu'est un état superposé. Faîtes en de même s'agissant de la raison expliquant l'intrication en l'absence de variable cachée (ce que nous savons depuis l'expérience d'Aspect en 1982). 

Allez donc vérifier de manière expérimentale ce qu'est l'amour ou la joie puis brevetez votre découverte pour faire du monde une arène joyeuse et amoureuse.

Traiter de la raison de l'existence, c'est aller au-delà de l'horizon des événements par la raison. C'est précisément, aller là ou plus rien n'est vérifiable mais uniquement démontrable par pensée déductive. 

Vous ne faîtes la aussi qu'aboutir à une aporie en posant l'exigence du vérifiable à ce qui ne peut peut être vérifié par définition. Vous êtes encore votre propre détracteur logique.

 

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

Comment voulez vous faire apparaître comme connaissance le champs de higgs à partir ... de l'être ou de la vérité en soi...alors que c'est la conséquence d'un modèle relationnel....et que l'existence de ce champ dépasse de loin nos sens...

Là aussi, vous ne faîtes qu'abonder dans mon sens. En effet, le champ de Higgs existe puisque nous en avons mis en évidence les bosons par collision de protons. Nous savons depuis que la masse d'une particule résulte de son couplage avec ce champ scalaire. En d'autres termes, la masse d'une particule de matière est une propriété secondaire qui résulte de son interaction avec le champ de Higgs. 

Pour autant, avions-vous besoin de découvrir le champ de Higgs pour connaître immédiate la masse d'un objet de manière innée? La réponse est non ce qui prouve que l'être doué de conscience détient une capacité cognitive innée qui lui permet d'appréhender de manière immédiate, par sa faculté de ressentir, son environnement avant de le comprendre par la pensée dans le cadre d'un processus ultérieur.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

Une deculpabilisation qui fuie la responsabilisation chez lui

Vous psychologisez encore pour masquer votre incapacité à argumenter.

Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

C'est pas moi c'est vous ! Mais je m'invite a table et je bouffe au maximum de ma satisfaction..

Vous n'amenerez rien car le vers est déjà dans le fruit, bloqué comme vous l'êtes dans un temps où les conceptions sur ces choses, bien qu'erronées, avaient tout de même le mérite d'essayer 

Mais a présent vous en avez loupé des trains sur la notion de connaissance et de vérité 

Il est normal que nous vous regardions par la fenêtre non pas comme une curiosité d'un intellectuel comme Parménide mais comme un vieux philosophe totalement dépassé 

La science n'est pas la philosophie...mais elle infirme parfois des conceptions philosophiques...

Là encore, vous décrétez fallacieusement sans rien démontrer en ajoutant à la virulence, la grossièreté qui achèvent de vous caractériser comme un esprit faible.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
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Je vous l'ai dit Joseph

Nous ne sommes, fondamentalement, d'accord sur... rien, mais vraiment rien, et même quand, parfois, vous nous trouvez des rapprochements, je ne partage pas votre optimisme.

Et c'est ce que j'aime en physique 

C'est que, qui que soit l'auteur, quelles que soient les idées, il y a la vérification expérimentale qui doit trancher la question, la thèse émise, par la concordance à la vérification expérimentale 

Le problème ici, c'est que votre écrit ne comporte...aucune thèse scientifique...et pourtant,... vous en manipulez des concepts ... a priori scientifiques dans des formulations sans problèmatique de recherche ni proposition de solutions...des phrases autobouclantes ou vous mettez en lien une notion avec l'autre dans un joli patchwork coloré 

Mais au final, Il n'y a pas une seule proposition qui soit verifiable, pas une seule prédiction de votre modèle de pensée qui puisse être réfutée ...

Non que ce soit vrai...mais parce que, ... c'est creux...qu'on arriverait même pas à formuler une seule thèse soutenue...

Quand je vous fais la remarque, la seule idée de réfutation qui vous vienne à l'esprit serait que je puisse démontrer que de rien puisse surgir quelque chose.

Comme si, l'objet de votre écrit, etait de démontrer que du néant ne puisse rien sortir...et comme si vous le démontriez...

Merci... mais non seulement personne n'a besoin de votre thèse pour le savoir...mais en plus, la lecture de votre texte est confusant pour le petit pavé que vous voulez bien consacrer a cette question 

Je préfère Bergson ou constater qu'aucun scientifique ne soutient ça...que je trouve cette idée de surgissement du néant totalement louffoque au point que je trouve idiot de passer une seconde à vouloir le démontrer 

Et comment voudriez vous le verifier vu qu'on a encore jamais vu de néant...

Démontrez moi que l'homme invisible indetectable ne se tient pas à côté de vous en ce moment ...

Les choses sont relationnelles s'il n'y a rien et rien...que rien...alors... ne se passe rien...

Cqfd...

Si votre thèse c'est ça retirez 99% des mots

En gros...à partir du moment où moi lecteur, je trouve que vous répondez mal à une question que personne ne se pose en science...car sans intérêt vu son evidence et à partir du moment ou votre 'thèse' ne contient aucune proposition verifiable, que voulez vous comme démonstration de ma part ?

Vous voyez bien qu'on peut opinioner et nous faire plaisir 

Mais si vous avez quelque chose a démontrer scientifiquement, vous avez du boulot, 

Au fait, des retours concernant vos envois aux labo ?

 

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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il y a 19 minutes, zenalpha a dit :

Nous ne sommes, fondamentalement, d'accord sur... rien, mais vraiment rien, et même quand, parfois, vous nous trouvez des rapprochements, je ne partage pas votre optimisme.

Et c'est ce que j'aime en physique 

C'est que, qui que soit l'auteur, quelles que soient les idées, il y a la vérification expérimentale qui doit trancher la question, la thèse émise, par la concordance à la vérification expérimentale 

Allez donc expérimenter l'horizon des événements. Vous aboutissez là encore à une aporie en imposant la vérification expérimentale à ce qui ne peut plus être vérifié de manière expérimentale que vous le vouliez ou non.

il y a 21 minutes, zenalpha a dit :

Le problème ici, c'est que votre écrit ne comporte...aucune thèse scientifique...et pourtant,... vous en manipulez des concepts ... a priori scientifiques dans des formulations sans problèmatique de recherche ni proposition de solutions...des phrases autobouclantes ou vous mettez en lien une notion avec l'autre dans un joli patchwork coloré 

Traiter de la raison de l'existence et de la question de l'être ne relève pas de la thèse scientifique.

Le reste de votre propos n'est qu'opinion sans argumentation.

il y a 22 minutes, zenalpha a dit :

Mais au final, Il n'y a pas une seule proposition qui soit verifiable, pas une seule prédiction de votre modèle de pensée qui puisse être réfutée ...

Non que ce soit vrai...mais parce que, ... c'est creux...qu'on arriverait même pas à formuler une seule thèse soutenue...

Vous pouvez tout à fait réfuter ce que j'avance. Il vous faut pour cela démontrer qu'une chose ne soit pas définie par l'être ou que le néant puisse être une origine à partir de laquelle l'existence puisse émerger. Mais vous en êtes incapable et ne faîtes que paraphraser votre propos d'une réponse à l'autre pour donner l'illusion d'argumenter.

il y a 27 minutes, zenalpha a dit :

Quand je vous fais la remarque, la seule idée de réfutation qui vous vienne à l'esprit serait que je puisse démontrer que de rien puisse surgir quelque chose.

Comme si, l'objet de votre écrit, etait de démontrer que du néant ne puisse rien sortir...et comme si vous le démontriez...

Je le démontre en effet par le constat de l'existence. 

Dès lors que nous constatons que nous existons, alors le néant ne peut être une origine sans en faire autre chose que du néant ce qui aboutirait à une aporie.

il y a 28 minutes, zenalpha a dit :

Merci... mais non seulement personne n'a besoin de votre thèse pour le savoir...mais en plus, la lecture de votre texte est confusant pour le petit pavé que vous voulez bien consacrer a cette question 

C'est une opinion sans démonstration. Vous teintez de confusion ce que vous ne pouvez comprendre puisque vous vous inscrivez dans une démarche relativiste dans laquelle il n'y a aucune vérité en soi. Il est donc normal que vous refusiez la démonstration par laquelle la vérité d'une chose est ce qu'elle est puisque vous choisissez au contraire de néantiser la question de l'être.

il y a 32 minutes, zenalpha a dit :

Je préfère Bergson ou constater qu'aucun scientifique ne soutient ça...que je trouve cette idée de surgissement du néant totalement louffoque au point que je trouve idiot de passer une seconde à vouloir le démontrer 

Vous devez donc admettre, au lieu de faire des détours inutiles, que le néant ne saurait être une origine à l'existence. Par conséquent, ce qui est doit nécessairement être toujours et relever de la substance. Vous sacrifiez votre cohérence à votre besoin de contradiction forcée.

il y a 33 minutes, zenalpha a dit :

Et comment voudriez vous le verifier vu qu'on a encore jamais vu de néant...

Précisément, car il ne peut y a avoir l'être et le néant mais uniquement l'un ou l'autre sans possibilité de transition de phase du néant vers l'être. Vous ne faîtes là aussi que vous dédire puisque vous suggériez précédemment que le néant puisse ''coexister'' avec l'être sans comprendre que vous feriez alors du néant une chose existante ce qui aboutirait à une aporie.

il y a 37 minutes, zenalpha a dit :

En gros...à partir du moment où moi lecteur, je trouve que vous répondez mal à une question que personne ne se pose en science...car sans intérêt vu son evidence et à partir du moment ou votre 'thèse' ne contient aucune proposition verifiable, que voulez vous comme démonstration de ma part ?

Vous confondez appréciation subjective et démonstration logique. Nous pouvons tous apprécier ou non une chose. Cela ne signifie en rien qu'une chose soit juste ou erronée. Dans votre cas, il est tout à fait normal que la question de la vérité vous offusque puisque votre pensée est relativiste. Il n'y a pas de vérité en soi selon vos dires ce qui détruit automatiquement cette assertion en raison de votre propre argumentation. Vous ne pouvez donc plus rien soutenir sans aboutir à une aporie.

il y a 42 minutes, zenalpha a dit :

Mais si vous avez quelque chose a démontrer scientifiquement, vous avez du boulot, 

Démontrer passe d'abord par des idées.

Pour ma part, je propose de faire du moteur de la gravitation le moment intrinsèque, d'expliquer l'état de superposition en redéfinissant l'axe du temps en cela que le futur est antérieur à la mesure du vecteur d'état, de passer d'une réalité en ''temps continu'' à une réalité en ''temps discret'' pour comprendre l'intrication ce qui nécessite de réinterpréter le mur de Planck et l'inflation, de définir le temps comme la pensée de toutes les potentialités logiques dont une seule est actualisée par la mesure constitutive du présent.

J'explique enfin la raison de l'existence dans mon essai comme je rappelle en propos liminaire de cette discussion.  

Pour ce qui vous concerne, mis à part décréter l'erreur sans rien démontrer, ou chercher à vous approprier les réflexions des autres dans le cadre d'extraits dont vous ignorez la signification, que faîtes-vous?

Nos échanges ne font donc que révéler votre propre vacuité.

il y a 50 minutes, zenalpha a dit :

Au fait, des retours concernant vos envois aux labo ?

Oui, de nature bien différente des vôtres. 

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
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il y a 35 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Pour ma part, je propose de faire du moteur de la gravitation le moment intrinsèque, d'expliquer l'état de superposition en redéfinissant l'axe du temps en cela que le futur est antérieur à la mesure du vecteur d'état, de passer d'une réalité en ''temps continu'' à une réalité en ''temps discret'' pour comprendre l'intrication ce qui nécessite de réinterpréter le mur de Planck et l'inflation, de définir le temps comme la pensée de toutes les potentialités logiques dont une seule est actualisée par la mesure constitutive du présent.

Euh... Je comprends.... pas tout !

 

"passer d'une réalité en ''temps continu'' à une réalité en ''temps discret'' "

Là par exemple est-ce qu'il s''agit d'opposer une conception du temps continu, fluide avec celle d'un temps en grains , en quantum ?

 

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)
il y a 3 minutes, Blaquière a dit :

Euh... Je comprends.... pas tout !

 

"passer d'une réalité en ''temps continu'' à une réalité en ''temps discret'' "

Là par exemple est-ce qu'il s''agit d'opposer une conception du temps continu, fluide avec celle d'un temps en grains , en quantum ?

 

Il s'agit de faire de la réalité une succession d'instants de durée égale à l'inflation (10^-32 seconde) perpétuellement renouvelés dans l'espace.

Deux particules seraient ainsi intriquées quelle que soit la distance parce qu'elles apparaîtraient concomitamment au sein de la même image instantanée perpétuellement renouvelée sans propagation de signal à juste raison. 

Et il conviendrait de substituer à la notion de futur à venir, celle de devenir perpétuel dans le rien: le milieu capable de refléter toutes les modalités existentielles de ce qui est et dont l'allégorie n'est autre que l'espace de Hilbert aux dimensions infinies.

1 seconde de la réalité objective serait ainsi constituée de 1/(durée du mur de Planck + durée de l'inflation) images rapides.

Les sursauts radio rapides (ou Fast Radio Bursts - FRBs) démontreront possiblement le caractère discret de la réalité objective. Celle-ci semble d'ores et déjà évidente en raison de l'intrication qui ne peut être expliquée que dans ce cadre.

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
il y a 14 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Il s'agit de faire de la réalité une succession d'instants de durée égale à l'inflation (10^-32 seconde) perpétuellement renouvelés dans l'espace.

Deux particules seraient ainsi intriquées quelle que soit la distance parce qu'elles apparaîtraient concomitamment au sein de la même image instantanée perpétuellement renouvelée sans propagation de signal à juste raison. 

Et il conviendrait de substituer à la notion de futur à venir, celle de devenir perpétuel dans le rien: le milieu capable de refléter toutes les modalités existentielles de ce qui est et dont l'allégorie n'est autre que l'espace de Hilbert aux dimensions infinies.

1 seconde de la réalité objective serait ainsi constituée de 1/(durée du mur de Planck + durée de l'inflation) images rapides.

Les sursauts radio rapides (ou Fast Radio Bursts - FRBs) démontreront possiblement le caractère discret de la réalité objective. Celle-ci semble d'ores et déjà évidente en raison de l'intrication qui ne peut être expliquée que dans ce cadre.

Si je comprend un peu, cela reviendrait à dire que tout l'univers est entièrement recréé à partir de rien à chaque "seconde" ?

Au lieu de se creuser la tête à comprendre comment le monde est sorti de rien ou du néant une fois au début, on va dire : Oh c'est pas ça le pire c'est qu'il ressort du néant à chaque instant ! Au lieu de résoudre une absurdité il suffirait de s'y habituer...

L'exception devient la règle...

Modifié par Blaquière
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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
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Ce serait comme une fluctuation, une respiration, le tout, à chaque instant se rechargerait du rien de l'instant précédent....

On vivrait donc dans un univers alternatif...

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)
à l’instant, Blaquière a dit :

Si je comprend un peu, cela reviendrait à dire que tout l'univers est entièrement recréé à partir de rien à chaque "seconde" ?

Au lieu de se creuser la tête à comprendre comment le monde est sorti de rien ou du néant une fois au début, on va dire : Oh c'est pas ça le pire c'est qu'il ressort du néant à chaque instant ! Au lieu de résoudre une absurdité il suffirait de s'y habituer...

Tout à fait, chaque instant émerge dans le rien pour constituer une réalité objective qui nous paraît continue par ce qui est substantiel: le sentiment d'être.

En l'absence de néant, faire le vide revient nécessairement à tout retirer pour aboutir au rien: l'espace dans lequel toute chose existante prend forme.

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 1 heure, JOSEPH DELETRE a dit :

Allez donc expérimenter l'horizon des événements. Vous aboutissez là encore à une aporie en imposant la vérification expérimentale à ce qui ne peut plus être vérifié de manière expérimentale que vous le vouliez ou non.

Il existe des théories scientifiques spéculatives..donc des conséquences de modèles théoriques ayant rencontré quelques succès mais qu'on ne peut pas encore vérifier

Toutes, y compris les théories qui concernent le multivers que nous avons évoqué proposent des tests experimentaux pour être mises à l'épreuve.

Il y a également une grande différence entre tirer les conséquences logique d'une théorie qui fonctionne (comme l'hypothèse du higgs quand on ne pouvait le verifier) et le discours sans fondement 

Il y a 1 heure, JOSEPH DELETRE a dit :

Traiter de la raison de l'existence et de la question de l'être ne relève pas de la thèse scientifique.

Mais alors, pourquoi utilisez vous tant de notions scientifiques pour d'ailleurs les maltraiter et ne pas les respecter ?

Il y a 1 heure, JOSEPH DELETRE a dit :

 

Vous pouvez tout à fait réfuter ce que j'avance. Il vous faut pour cela démontrer qu'une chose ne soit pas définie par l'être ou que le néant puisse être une origine à partir de laquelle l'existence puisse émerger. Mais vous en êtes incapable et ne faîtes que paraphraser votre propos d'une réponse à l'autre pour donner l'illusion d'argumenter.

 

C'est bien parce que cette idée que, de rien puisse surgir quelque chose est....louffoque...que vous êtes bien le seul à l'avoir combattu...

Leibniz demandait pourquoi il y avait quelque chose, plutôt que rien

Klein remet en cause l'idée d'origine absolue car tout commencement est l'aboutissement d'un processus en amont...

Bergson tord le cou à l'idée de néant car penser le néant, c'est déjà lui donner des attributs qui ne peuvent être le néant 

3 questionnements intelligents...

Mais qui est fier de faire un texte alambiqué en détournant une multitude de notions pour ne même pas démontrer l'évidence ?

Bin...vous :)

Bon, je vous laisse un peu à d'autres contradicteurs.

c'est en tout cas distrayant et j'ai toujours salué vos efforts.

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)
il y a 1 minute, zenalpha a dit :

C'est bien parce que cette idée que, de rien puisse surgir quelque chose est....louffoque...que vous êtes bien le seul à l'avoir combattu...

Pour toute chose existante prenant forme dans l'espace, alors l'espace est le rien puisque dans le cas contraire, l'espace ferait partie de la chose existante elle-même ce qui aboutirait à une aporie.

J'ajoute que sans être précédé par ''ne'' au sens de la négation, le rien signifie ''quoi que ce soit'' ce qui caractérise précisément l'espace dans lequel toute réalité peut émerger.

En raillant cette idée, vous ne faîtes donc que railler votre propre ignorance.

il y a 6 minutes, zenalpha a dit :

Leibniz demandait pourquoi il y avait quelque chose, plutôt que rien

Je l'explique dans mon essai que vous n'avez pas lu pour vous approprier encore les réflexions des autres sans les comprendre.

C'est précisément la raison de l'existence que je donne en propos liminaire de cette discussion. 

Puisque l'être relève de la substance, alors l'état ''d'aucune autre chose que l'être lui-même'', celui ''d'être par soi-même'' doivent être mesurés dans le réel objectif en vertu du principe de causalité car une vérité conceptuelle doit avoir sa correspondance factuelle: l'être doué de conscience esseulé dans le cosmos de sorte qu'il ne peut être le sujet d'aucune autre chose que lui-même, qu'il est par lui-même en vertu de son libre arbitre.

Voilà pourquoi il ne peut y avoir que le rien. Car ce qui est relève de la substance et que le réel est régi par la logique causale.

il y a 10 minutes, zenalpha a dit :

Klein remet en cause l'idée d'origine absolue car tout commencement est l'aboutissement d'un processus en amont...

Précisément, c'est la raison pour laquelle cette récursion infinie ne peut s'achever que de deux manières:

1/ Prouver que le néant puisse être l'origine ce qui aboutirait à une aporie en faisant du néant autre chose que lui-même;

2/ Comprendre que ce qui est doit nécessairement être toujours pour relever de la substance, auquel cas, il n'y a pas d'origine.

Là encore, vous mentionnez sans comprendre les implications.

il y a 13 minutes, zenalpha a dit :

Mais qui est fier de faire un texte alambiqué en détournant une multitude de notions pour ne même pas démontrer l'évidence ?

Bin...vous :)

Une opinion subjective n'est pas une démonstration logique. 

il y a 14 minutes, zenalpha a dit :

Bon, je vous laisse un peu à d'autres contradicteurs.

c'est en tout cas distrayant et j'ai toujours salué vos efforts.

Je ne qualifierais pas la question de l'être de distrayante pour ma part mais de prenante. Nous devrions tous en faire autant à l'heure où l'avenir est un grand point d'interrogation car la solution passe d'abord par la compréhension de notre propre vérité.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 28 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Pour toute chose existante prenant forme dans l'espace, alors l'espace est le rien puisque dans le cas contraire, l'espace ferait partie de la chose existante elle-même ce qui aboutirait à une aporie.

 

Elle est marrante celle-ci...

La meilleure théorie dont on dispose pour rendre compte de l'espace macroscopique est la relativité générale 

Et l'espace peut se contracter ou se dilater, ce n'est en rien cette scène de théâtre absolue de Newton.

Espace et temps sont liés, l'espace pouvant devenir du temps et le temps pouvant devenir de l'espace

Déjà comme je vous le disais...cela montre le caractère dynamique de l'espace et du temps, ça leur retire cette idée d'absolu.

Et en vérité Einstein à tiré ses équations de la relativité restreinte en constatant qu'il n'y avait pas de solution stationnaire dans les équations de Maxwell à propos de la lumière...que la vitesse de la lumière est un...absolu...dans le vide.

L'espace temps EST un champ, dynamique, et totalement relié à la distribution de matière et d'énergie 

C'est cette relation qui est dans l'équation d'Einstein...

Ça signifie qu'un objet massif a une influence sur l'espace qu'il déforme et sur le temps qu'il contracte

Voila en gros le rapport entre un objet massif et le temps en relativité générale qui est verifiée

Par quel mystère chez vous...si un objet massif existe "dans l'espace", cela a pour consequence de faire disparaître l'espace ?

Si je comprends votre pensée assez ahurissante, le vide est l'espace, le plein est l'objet et donc exister en tant qu'objet plein fait disparaître à la place occupée par l'objet l'espace vide dont il prend la place.

C'est assez ... stupéfiant 

Modifié par zenalpha
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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
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il y a 9 minutes, zenalpha a dit :

Elle est marrante celle-ci...

La meilleure théorie dont on dispose pour rendre compte de l'espace macroscopique est la relativité générale 

Et l'espace peut se contracter ou se dilater, ce n'est en rien cette scène de théâtre absolue de Newton.

La théorie de la relativité générale ne dit pas la nature de l'espace. Elle ne fait que géométriser la gravitation, dire la forme de l'espace. 

il y a 10 minutes, zenalpha a dit :

Espace et temps sont liés, l'espace pouvant devenir du temps et le temps pouvant devenir de l'espace

Espace et temps ne sont liés que par abus de langage car la relativité générale ne fait que traiter de la relativité des durées; sans quoi la question du temps serait résolue. Et vous en auriez fait à la fois l'espace, à la fois la durée dans une réduction intellectuelle terrifiante pour la pensée.

il y a 12 minutes, zenalpha a dit :

Déjà comme je vous le disais...cela montre le caractère dynamique de l'espace et du temps, ça leur retire cette idée d'absolu.

Vous dénaturez la aussi la théorie de la relativité qui est une théorie de l'absolu contrairement à ce que son nom indique car la relativité des durées n'est possible que si l'on pose comme absolu la vitesse de la lumière.

il y a 14 minutes, zenalpha a dit :

L'espace temps EST un champ, dynamique, et totalement relié à la distribution de matière et d'énergie 

L'espace n'est pas un champ puisqu'un champ existe dans l'espace. Si vous faisiez de l'espace un champ, il vous faudrait alors caractériser le milieu dans lequel l'espace serait contenu et vous ne feriez qu'aboutir à une aporie.

Etablir une corrélation entre courbure et matière dense n'est pas une relation de causalité. Rien ne vous permet de dire que la matière dense soit à l'origine de la courbure sans quoi nous aurions compris depuis 1915 ce qu'est le moteur de la gravitation.

il y a 20 minutes, zenalpha a dit :

Ça signifie qu'un objet massif a une influence sur l'espace qu'il déforme et sur le temps qu'il contracte

C'est l'inverse, on parle de dilatation du temps et non de contraction en présence de matière dense.

Vous prouvez ici votre ignorance sans équivoque. Je vous suggère de vous taire ou d'user de circonspection à l'avenir. C'est le mieux à faire qu'on est dans l'ignorance.

 

il y a 28 minutes, zenalpha a dit :

Par quel mystère chez vous...si un objet massif existe "dans l'espace", cela a pour faire disparaître l'espace ?

Je ne fais pas disparaître l'espace. Je dis que l'espace est le rien. 

A ce jour, sait-on ce qui constitue l'espace? La réponse est non et à juste raison puisque l'espace est indétectable pour tout objet émergeant dans l'espace puisqu'il s'agirait alors d'aller au-delà de notre propre extension spatiale pour l'identifier.

Un instrument de mesure ne pourrait donc observer l'espace puisqu'il lui faudrait aller au-delà de lui-même pour appréhender le milieu dans lequel il prendrait forme. Il ne serait alors plus l'objet mais l'espace lui-même.

De notre point de vue, l'espace est donc le rien, ce que l'on ne peut voir et qui se trouve pourtant entre tous les objets célestes, ce que l'on désigne à l'échelle quantique par l'espace de Hilbert aux dimensions infinies mais que l'on ne peut qu'imaginer.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 10 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

La théorie de la relativité générale ne dit pas la nature de l'espace. Elle ne fait que géométriser la gravitation, dire la forme de l'espace. 

Et finalement il est rond ? Carré ? En forme de poire ?

Qu'a conclu Einstein sur la forme de l'espace ?

il y a 13 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Espace et temps ne sont liés que par abus de langage car la relativité générale ne fait que traiter de la relativité des durées; sans quoi la question du temps serait résolue. Et vous en auriez fait à la fois l'espace, à la fois la durée dans une réduction intellectuelle terrifiante pour la pensée.

C'est vrai que c'est abusé...

Einstein et ses abus de langage...qu'il est bête Einstein

Elle est liée à quoi la relativité des durées ? Les montres qui se dérèglent ?

il y a 18 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

 

Vous dénaturez la aussi la théorie de la relativité qui est une théorie de l'absolu contrairement à ce que son nom indique car la relativité des durées n'est possible que si l'on pose comme absolu la vitesse de la lumière.

 

Le monde est mal fait.

La relativité restreinte dont la portée est generale alors que la relativité générale a une portée restreinte et ne concerne que la gravitation 

Toujours Einstein et ses abus de langage...

Heureusement qu'on a la lumière 

il y a 21 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

 

Je ne fais pas disparaître l'espace. Je dis que l'espace est le rien. 

 

Et Encore cet Einstein qui nous parle de la forme de l'espace 

Je vais enfin connaître la forme du rien.

Je suis suspendu à vos lèvres

il y a 23 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

A ce jour, sait-on ce qui constitue l'espace? La réponse est non et à juste raison puisque l'espace est indétectable pour tout objet émergeant dans l'espace puisqu'il s'agirait alors d'aller au-delà de notre propre extension spatiale pour l'identifier.

Un instrument de mesure ne pourrait donc observer l'espace puisqu'il lui faudrait aller au-delà de lui-même pour appréhender le milieu dans lequel il prendrait forme. Il ne serait alors plus l'objet mais l'espace lui-même.

De notre point de vue, l'espace est donc le rien, ce que l'on ne peut voir et qui se trouve pourtant entre tous les objets célestes, ce que l'on désigne à l'échelle quantique par l'espace de Hilbert aux dimensions infinies mais que l'on ne peut qu'imaginer.

Ah oui, c'est bien imaginé Joseph puisque vous venez de l'imaginer...

Voili voilou

Merci Joseph

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)
il y a 6 minutes, zenalpha a dit :

Et finalement il est rond ? Carré ? En forme de poire ?

Qu'a conclu Einstein sur la forme de l'espace ?

C'est vrai que c'est abusé...

Einstein et ses abus de langage...qu'il est bête Einstein

Elle est liée à quoi la relativité des durées ? Les montres qui se dérèglent ?

Le monde est mal fait.

La relativité restreinte dont la portée est generale alors que la relativité générale a une portée restreinte et ne concerne que la gravitation 

Toujours Einstein et ses abus de langage...

Heureusement qu'on a la lumière 

Et Encore cet Einstein qui nous parle de la forme de l'espace 

Je vais enfin connaître la forme du rien.

Je suis suspendu à vos lèvres

Ah oui, c'est bien imaginé Joseph puisque vous venez de l'imaginer...

Voili voilou

Merci Joseph

Votre réponse relève de la logorrhée pour masquer vos précédentes erreurs et donner l'illusion que vous avez matière à répondre lorsque votre argumentation est vide.

Cela en devient affligeant.

Pour le reste, l'historique de nos échanges demeure ainsi que la vérité de votre non pensée. 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 56 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Votre réponse relève de la logorrhée pour masquer vos précédentes erreurs et donner l'illusion que vous avez matière à répondre lorsque votre argumentation est vide.

Cela en devient affligeant.

Pour le reste, l'historique de nos échanges demeure ainsi que la vérité de votre non pensée. 

Je comprends que vous m'ayez ciblé pour démontrer le non être depuis ma verité de non pensée mais c'est probablement me non connaître.

Je n'aurais jamais pensé à vous pour m'expliquer la relativité en tout cas...

C'est probablement ce qu'on appelle l'asymétrie des intentions.

Comment expliquez vous votre erreur vous qui êtes specialiste de l'être et des raisons de l'être ?

Ah oui, je suis doté d'une non pensée donc "je ne pense pas, donc je ne suis pas", je suis un anti Descartes 

Et Bien vous la tenez votre démonstration que le non être existe.

Réfuté par vous-même, vous y attendiez vous ?

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Membre, 69ans Posté(e)
Maroudiji Membre 6 485 messages
Forumeur expérimenté‚ 69ans‚
Posté(e)
Il y a 6 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Une opinion subjective n'est pas une démonstration logique. 

Mais qui décide qu'une démonstration est logique ou pas ? Votre logique ? Joseph, trois personnes -et les seules qui sont intervenus ici- vous ont expliqué qu'elle battait de l'aile. 

Il y a 5 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

De notre point de vue, l'espace est donc le rien,

Le point de vue de qui, en fait ? 

Il y a 5 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Espace et temps ne sont liés que par abus de langage 

En ce domaine vous êtes un champion. 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Oui, pour @JOSEPH DELETRE, l'ambition serait de définir le "pourquoi l'être est-il fondamental", les raisons de l'être.

Au point que rien ne serait réfutable dans ses développements (pour dire qu'il n'y a pas des processus logique utilisés....) mais que la seule réfutation possible consisterait non à démontrer le "non être" mais...ce passage du non être à l'être.

Problématique sans aucun intérêt vraiment...

Il me semble plutôt qu'inconsciemment du coup, Joseph pioche plein de concepts ici et là, a priori contradictoires puisque les uns, scientifiques, traitent du concept d'objectivisme donc de s'entendre universellement sur certaines relations...c'est sa seconde partie "technique" (mais bourrée d'erreurs)

Avec le concept de transcendantalisme qui considère que le sens d'être du monde, donné dans la vie est d'abord une formation subjective 

Et c'est cette première partie simplement maladroite ou de l'absolu de l'être et de ses caractéristiques objectives il distingue la conscience de l'être humain 

En gros pour un scientifique lambda, la conscience émerge de la réalité, l'essence précéde l'existence 

Et pour un existentialiste, l'être conscient peut évoluer et tient les rênes de ce changement, il y a retournement et l'existence precède l'essence 

Bon...le meli mélo philosophique de la première partie tente un peu de poser cette question qui a scindé les courants philosophique

Et l'auteur qui parle de lui a la troisième personne pour se détacher du monde sensible comme de lui-même prétend parvenir à la synthèse de ces débats 

Ma conclusion serait....ou pas.

Mais si sa logique et sa perception sont que oui, qu'il est comme qui dirait en suspension par rapport au monde empirique et au monde des concepts qu'il survole tel l'aigle des montagnes alors...bon vol.

Je lui demande juste de ne pas faire trop lourdement le vol de la relativité général parce qu'avec lui, on dépasse le survol pour le sur vol

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