Le corps est à l'image de l'âme

Il y a 6 heures, sirielle a dit :

Même si je crois personnellement en une potentielle perfection individuelle, l'éventuelle laideur des gens ou autre est plus ou moins importante selon les cas.

Mais laideur ou pas, la différence peut se trouver aussi dans le degré plus ou moins important de beauté entre les uns et les autres, qu'ils aient donc ou non des défauts. Un peu comme deux diamants sans défaut n'ont pas pour autant forcément la même valeur malgré leur relative perfection respective.

La beauté physique n'est rien sans la beauté de l'esprit: une poupée inanimée, une erreur.

Et par beauté de l'esprit j'entends une personne dont l'intérieur n'est pas un courant d'air chaotique, mais quelque chose de plutot clair et lumineux.

Il y a 2 heures, Blaquière a dit :

Il faut fuir !

Eh bien courage, fuyons 

Il y a 4 heures, hell-spawn a dit :

La beauté physique n'est rien sans la beauté de l'esprit: une poupée inanimée, une erreur.

Et par beauté de l'esprit j'entends une personne dont l'intérieur n'est pas un courant d'air chaotique, mais quelque chose de plutot clair et lumineux.

Mystérieuse et obscure peut être parfois ma poupée silencieuse et immobile en sa beauté ordonnée.

Modifié le 17 mars 2021 par sirielle

 

(Ce message ne t'est pas destiné Sirielle)

 

 

“Les lettres anonymes sont d’une lâcheté sans nom.”

 

 

 

 

“La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu’on refuse.”

 

 

 

 

“La lâcheté commence là ou cesse la puissance.”

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sirielle et moi on a beaucoup de point commun  

(on est un peu monstre)

 

 

Moi plus qu'elle, bien sûr...

 

 

Crime translucide: comme des flèches de feu convergent de partout les couleurs de la méditerranée (Encerclé chaque fois par la lumière, je perds ma liberté au faîte de la liberté.)

Pourquoi la lumière ne pourchasse-t-elle pas la lumière?

 

 

 

Mettons nous ça dans la tête: Le cœur jette le sang (Or le crime est partout dans chaque lampe la nuit qui épie une étoile)

 

 

Un vomitif dans les calices: Toujours! Je me rebelle, je me crève la peau, je tue l'autre, je le dépossède, je le soumets.(Est-ce que je me trahis avec un tel programme?)

 

 

Le désir me ferme les yeux: La vengeance que prennent les corps sur l'âme qui ne s'accouple à l'âme que dans le feu du désir (Mais l'âme en érection ! les yeux écartelés! torturez! torturez-moi les yeux!)

 

 

 

Passion Christique: La liberté sans peine, la liberté sans vertige n'existe pas-les peuples l'apprennent à leur dépens (Afin que mon poème soit Celui du sang - je loue ma peau - l'eau vive absout l'homme - va seule à la source te laver les yeux)

 

 

 

 

Dans le tombeau de lumière: Le bateau s'en va les cales ont une odeur de sueur (Battements du tambour - Je donne à mes frères leurs yeux propres)

 

 

 

Longtemps je suis resté sans visiteur: Dernier croissant de lune-mon corps vide était la vérité-en mars la neige tombe immaculée (Encerclée de nostalagie)

 

 

Chaque fenêtre est tout à fait un Dieu: Sur chaque fenêtre de l'école primaire le soleil brille (Suivez le chemin que vous vous êtes ouvert. Suivez-le pieds nus. Marchez en vous piquant.)

 

 

La mer est un opéra: Entrez dans la danse loin, très loin elle vous emportera (Au pied de la colline le bruit d'un joli ruisseau où les enfants jouent et qui ne sait pas que bientôt c'est la mer)

 

 

A l'ombre d'un arbre: On ne peut que s'allonger pour un moment-levant des yeux naïfs vers lui

(Un arbre étend ses branches Largues et longues)

Étendues sous le ciel
Prenant tout le soleil
Venant des cieux.
Chaque feuilles sous le soleil
Prend une couleur jaune-verte
Mêlée de soleil
A tel point
Que l'ombre de l'arbre
En devient brillante.
L'arbre étend ses branches
larges et longues 
Étendues sous le ciel
Avalant toute la passion
Venue du ciel.
Chaque feuille l'avale
Jetant comme une ombre fraîche
Qui coule comme une rivière 
A ses pieds.

 

 

 

 

Cordialement,

Hannibal.

 

 

 

Cyrano de Bergerac – Edmond Rostand

ACTE II Scène IX

 

Cyrano, Le Bret, Les Cadets, Christian de Neuvillette.

 

Un cadet, assis à une table du fond, le verre en main.

 

Hé ! Cyrano !

(Cyrano se retourne.)

 

Le récit ?

 

Cyrano

 

Tout à l’heure !

(Il remonte au bras de Le Bret. Ils causent bas.)

 

Le cadet, se levant, et descendant.

 

Le récit du combat ! Ce sera la meilleure Leçon

(Il s’arrête devant la table où est Christian.)

 

pour ce timide apprentif !

 

Christian, levant la tête.

 

Apprentif ?

 

Un autre cadet.

 

Oui, septentrional maladif !

 

Christian.

 

Maladif ?

 

Premier cadet, goguenard.

 

Monsieur de Neuvillette, apprenez quelque chose :

C’est qu’il est un objet, chez nous, dont on ne cause
Pas plus que de cordon dans l’hôtel d’un pendu !

 

Christian.

 

Qu’est-ce ?

 

Un autre cadet, d’une voix terrible.

 

Regardez-moi !

(Il pose trois fois, mystérieusement, son doigt sur son nez.)

 

M’avez-vous entendu ?

 

Christian.

 

Ah ! c’est le…

 

Un autre.

 

Chut !… jamais ce mot ne se profère !

(Il montre Cyrano qui cause au fond avec Le Bret.)

 

Ou c’est à lui, là-bas, que l’on aurait affaire !

 

Un autre, qui, pendant qu’il était tourné vers les premiers, est venu sans bruit s’asseoir sur la table, dans son dos.

 

Deux nasillards par lui furent exterminés
Parce qu’il lui déplut qu’ils parlassent du nez !

 

Un autre, d’une voix caverneuse, surgissant de sous la table où il s’est glissé à quatre pattes.

 

On ne peut faire, sans défuncter avant l’âge,
La moindre allusion au fatal cartilage !

 

Un autre, lui posant la main sur l’épaule.

 

Un mot suffit ! Que dis-je, un mot ? Un geste, un seul !
Et tirer son mouchoir, c’est tirer son linceul !

(Silence. Tous autour de lui, les bras croisés, le regardent. Il se lève et va à Carbon de Castel-Jaloux qui, causant avec un officier, a l’air de ne rien voir.)

 

Christian.

 

Capitaine !

 

Carbon, se retournant et le toisant.

 

Monsieur ?

 

Christian.

 

Que fait-on quand on trouve
Des méridionaux trop vantards ?…

 

Carbon.

 

On leur prouve
Qu’on peut être du Nord et courageux.

(Il lui tourne le dos.)

 

Christian.

 

Merci.

 

Premier cadet, à Cyrano.

 

Maintenant, ton récit !

 

Tous.

 

Son récit !

 

Cyrano, redescendant vers eux.

 

Mon récit ?…

(Tous rapprochent leurs escabeaux, se groupent autour de lui, tendent le col. Christian s’est mis à cheval sur une chaise.)

 

Eh bien ! donc je marchais tout seul, à leur rencontre.
La lune, dans le ciel, luisait comme une montre,
Quand soudain, je ne sais quel soigneux horloger
S’étant mis à passer un coton nuager
Sur le boîtier d’argent de cette montre ronde,
Il se fit une nuit la plus noire du monde,
Et les quais n’étant pas du tout illuminés,
Mordious ! on n’y voyait pas plus loin…

 

Christian.

 

Que son nez.

(Silence. Tout le monde se lève lentement. On regarde Cyrano avec terreur. Celui-ci s’est interrompu, stupéfait. Attente.)

 

Cyrano.

 

Qu’est-ce que c’est que cet homme-là ?

 

Un cadet, à mi-voix.

 

C’est un homme
Arrivé ce matin.

 

Cyrano, faisant un pas vers Christian.

 

Ce matin ?

 

Carbon, à mi-voix.

 

Il se nomme
Le baron de Neuvil…

 

Cyrano, vivement, s’arrêtant.

 

Ah ! c’est bien…

(Il pâlit, rougit, a encore un mouvement pour se jeter sur Christian.)

 

Je…

(Puis, il se domine, et dit d’une voix sourde.)

 

Très bien…

(Il reprend.)
Je disais donc…

(Avec un éclat de rage dans la voix.)

 

Mordious !…

(Il continue d’un ton naturel.)

 

que l’on n’y voyait rien.

(Stupeur. On se rassied en se regardant.)

 

Et je marchais, songeant que pour un gueux fort mince
J’allais mécontenter quelque grand, quelque prince,
Qui m’aurait sûrement…

 

Christian.

 

Dans le nez…

(Tout le monde se lève. Christian se balance sur sa chaise.)

 

 

Cyrano, d’une voix étranglée.

 

Une dent, —
Qui m’aurait une dent… et qu’en somme, imprudent,
J’allais fourrer…

 

Christian.

 

Le nez…

 

Cyrano.

 

Le doigt… entre l’écorce
Et l’arbre, car ce grand pouvait être de force
À me faire donner…

 

Christian.

 

Sur le nez…

 

Cyrano, essuyant la sueur à son front.

 

Sur les doigts.
— Mais j’ajoutai : Marche, Gascon, fais ce que dois !
Va, Cyrano ! Et ce disant, je me hasarde,
Quand, dans l’ombre, quelqu’un me porte…

 

Christian.

 

Une nasarde.

 

Cyrano.

 

Je la pare et soudain me trouve…

 

Christian.

 

Nez à nez…

 

Cyrano, bondissant vers lui.

 

Ventre-Saint-Gris !

(Tous les Gascons se précipitent pour voir ; arrivé sur Christian, il se maîtrise et continue.)

 

avec cent braillards avinés
Qui puaient…

 

Christian.

 

À plein nez…

 

Cyrano, blême et souriant.

 

L’oignon et la litharge !
Je bondis, front baissé…

 

Christian.

 

Nez au vent !

 

Cyrano.

 

Et je charge !
J’en estomaque deux ! J’en empale un tout vif !
Quelqu’un m’ajuste : Paf ! et je riposte…

 

Christian.

 

Pif !

 

Cyrano, éclatant.

 

Tonnerre ! Sortez tous !

(Tous les cadets se précipitent vers les portes.)

 

 

Premier cadet.

 

C’est le réveil du tigre !

 

Cyrano.

 

Tous ! Et laissez-moi seul avec cet homme !

 

Deuxieme cadet.

 

Bigre !
On va le retrouver en hachis !

 

Ragueneau.

 

En hachis ?

 

Un autre cadet.

 

Dans un de vos pâtés !

 

Ragueneau.

 

Je sens que je blanchis,
Et que je m’amollis comme une serviette !

 

Carbon.

 

Sortons !

 

Un autre.

 

Il n’en va pas laisser une miette !

 

Un autre.

 

Ce qui va se passer ici, j’en meurs d’effroi !

 

Un autre, refermant la porte de droite.

 

Quelque chose d’épouvantable !

(Ils sont tous sortis, — soit par le fond, soit par les côtés, — quelques-uns ont disparu par l’escalier. Cyrano et Christian restent face à face, et se regardent un moment.)

 

 

 

 

Le 23/01/2020 à 18:37, sirielle a dit :

Le corps est à l'image de l'âme. 

Quelles vérités et limites attribuez-vous à cette affirmation? 

 le corps est (je pense) lié à l'âme comme un avatar dans un jeu est lié à vous

donc il la représente

 

Modifié le 1 août 2022 par Norbert

Le 23/01/2020 à 18:47, Quasi-Modo a dit :

belles physiquement mais mesquines et immorales

humour noir: c'est pas contradictoire! Les hommes résument ces 3 traits par un seul mot, que par respect pour le genre féminin je ne reproduirai pas ici!

Le 23/01/2020 à 18:51, Enchantant a dit :

Comparer du réel à du virtuel, cela ne vaut pas tripette !

ce n'est qu'un avis: je ne pense pas que les choses matérielles soient plus réelles que celles qui ne le sont pas

par exemple dans l'espace, on voit les étoiles s'éloigner les unes des autres, on dit que l'univers est en extension. on calcule ensuite la masse qu'il faudrait pour réaliser une telle extension, mais on trouve 10 fois plus que toute la matière qu'on peut observer. il y a donc de la matière noire, qui existe, car elle participe à l'"extension, mais qui n'est ni visible ni palpable.  Perso peut être qu'une âme, c'est pareil??

je vais plus loin en essayant de retomber sur le sujet.
imaginer que ce qu'on voit n'est pas le réel, mais juste une projection du Réel
Plus concrètement, imaginez un lapin qui regarde un film en plein air dans un énorme cinéma en plein air et croit que les personnages sont réels

(un peu comme les esclaves de la caverne de Platon)

Et si notre réalité ce n'était qu'une projection d'un réel situé "ailleurs"?

dans le vrai réel, il y aurait deux sorte d'êtres: ceux qui sont incarnés: les étoiles qu'on voit, et les personnes vivantes

et d'autres part les objets non incarnés la matière noire de l'espace mais aussi les esprits errants sans corps.

Pour revenir à âmes et corps, le corps est l'incarnation de l'âme, il est chargé de rendre l'âme visible aux autres âmes.

C'est une image de l'âme, certes elle peut être déformée mais y a une analogie entre eux, car le corps étant chargé de représenter l'âme, il est obligé de délivrer le même message!

Donc même si le corps utilise les formes géométrique et l’âme les mots, ils sont ressentis (plus ou moins) comme porteurs du m^me sens§

 

 

 

Le 23/01/2020 à 19:06, épixès a dit :

Définissez âme.

l'âme est ce que tu es toi, en dehors de la vison des autres (et de toi même).

 

 

Il y a 7 heures, Norbert a dit :

C'est une image de l'âme, certes elle peut être déformée mais y a une analogie entre eux, car le corps étant chargé de représenter l'âme, il est obligé de délivrer le même message!

Je pense comme toi il me semble. Du moins je pars de ta réflexion.

Le corps et l'âme ( je garde ta définition qui me convient) doivent trouver une cohérence entre eux . Il faut penser et ressentir cette nature commune au plus près. Si bien sûr on ressent le besoin de comprendre et faire au mieux. Car il s'agit de se contraindre, sortir ,  relativiser notre  instinct de conservation . Au  niveau des individus cela leurs permet de s'incarner en chair et en esprit dans leur nature profonde , leur singularité. Au niveau spirituelle  et cosmique cette expérience de l'incarnation est plus mystérieuse. Je ne pense pas que cela sauvera notre ego de sa destruction mais je pense que cela  participe à " créer" la vie . L'âme est ce qui anime. Nous ne pouvons je pense concevoir l'âme que dans le rapport entre la sensibilité et les formes abstraites dont sont capables les esprits animal et pourquoi pas végétale. Mais dans le dernier cas cela nécessite une définition élargie de l'esprit.

J'ai l'impression d'être un peu obscure. Peut être que des questions pourraient me permettre d' éclaircir mon propos. 

Modifié le 1 août 2022 par landbourg

Il y a 11 heures, landbourg a dit :

J'ai l'impression d'être un peu obscure. Peut être que des questions pourraient me permettre d' éclaircir mon propos. 

Oui! Es tu libre?

Il y a 23 heures, Norbert a dit :

 le corps est (je pense) lié à l'âme comme un avatar dans un jeu est lié à vous

donc il la représente

 

Le corps évolue en fonction de l'âme, de l'expression corporelle qu'elle inspire, et ses conséquences physiques. Mais l'environnement a aussi un impact sur l'âme et le corps, ce qu'ils deviennent. En conséquence, que le corps soit à l'image de l'âme n'implique pas pour autant qu'un individu est exclusivement responsable de ce qu'il est corporellement, même s'il en est partiellement responsable par ses propres agissements. Par exemple si l'on parallélise les concepts âme et corps, une âme blessée, affaiblie ou surentravée, dont les carences sont perceptibles, renvoie l'image de ces défauts sans que cela n'implique forcément une culpabilité (ou culpabilité exclusive) de sa part, possiblement mais pas forcément. Et idem pour un corps, un corps abimé ou mal entretenu renvoie cette image plus ou moins affligeante sans que cela n'implique forcément une culpabilité (ou culpabilité exclusive) de sa part, une immoralité (ou immoralité exclusive) passée ou présente causale de sa part. Car la responsabilité de son état peut aussi être exogène. Ce qui est valable aussi pour son épanouissement positif, son bon état (ne serait-ce que partiel) mental et corporel est en partie de sa propre responsabilité, et en partie de celle de son environnement, dû aux chances que ce dernier lui a offert.

Modifié le 2 août 2022 par sirielle

il y a 11 minutes, sirielle a dit :

Le corps évolue en fonction de l'âme, de l'expression corporelle qu'elle inspire,

Bonjour! En effet, l’âme va commander de froncer les sourcils, de faire tel geste et non tel autre, de sorte que à la longue le corps n'aura pas le même aspect s'il est tenu par une âme ou par telle autre.
Mais je crois que dès la création/construction du corps l'âme intervient, dont le lien est plus intime!

____

mais j'iirai plus loin à cause de cette influence constante de l'âme sur le corps, le corps exprime le même message géométriquement par ses formes, que l'âme par ses mots, si on accepte qu'il y a une correspondance entre forme géométrique et mots

Exemple le lion, la forme du lion correspond au caractère du lion!

___

PS Si une âme perd le contrôle de son corps, c'est le cancer! donc on peut (peut être l'éviter) si l'âme est bien imprégnée dans le corps, ce qui déjà lui permet de ressentir les signes précurseurs et d'y remédier)

 

Modifié le 2 août 2022 par Norbert

il y a 16 minutes, Norbert a dit :

Bonjour! En effet, l’âme va commander de froncer les sourcils, de faire tel geste et non tel autre, de sorte que à la longue le corps n'aurait pas le même aspect s'il est tenu par une âme ou par telle autre.
Mais je crois que dès la création/construction du corps l'âme intervient, dont le lien est plus intime!

A mon sens le terme "expression" contient aussi au-delà de la seule gestuelle.

Citation

EXPRESSION

(...) Manière d'exprimer ou de s'exprimer.

1. Manifestation d'un sentiment, d'une émotion, d'une façon d'être.(...)

https://www.cnrtl.fr/definition/expression

 

Modifié le 2 août 2022 par sirielle

Il y a 5 heures, Norbert a dit :

Oui! Es tu libre?

Libre de découvrir ma propre singularité sinon non , comment pourrais je être libre puisque je ne peux atteindre intellectuellement et physiquement ce qui me met en mouvement?

Modifié le 2 août 2022 par landbourg