Son père a obtenu sa garde : Louis, 4 ans, partira pour le Japon le lendemain de Noël

il y a 4 minutes, ouest35 a dit :

Et pourquoi priver complètement l'enfant de sa mère .... Au Japon même pas de droit de visite pour le parent étranger .... beecausepas d'obtention de visa ! C'est le parent et la famille japonaise qui sont de véritables "cons" ... séparer définitivement l'enfant ! Comme si l'enfant ne pouvait pas en souffrir !!!

Le père a demandé que sa femme revienne vivre pas spécialement avec lui mais à un endroit trouvé pour elle et son enfant, j'ai lu son interview sur le journal, mais elle a refusé, peut être pour une question de visa ou elle peut se retrouver en prison, c'est peut être au gouvernement ici de voir par là pour la solution , en accord avec les Japonais

il y a 31 minutes, Constantinople a dit :

Donc le divorce est bien une souffrance ?

Le roi du raccourci est de sorti.

Je recommence : Avoir ses parents d'un bout à l'autre du globe

il y a 6 minutes, Répy a dit :

Voilà un exemple des conséquences de "mariages" dans des cultures différentes et des pays différents.

Un trop grand écart social, national, culturel, religieux se solde trop souvent par des situations inextricables. Quand je pense qu'en France un bonne partie de la gauche se vante d'instaurer la diversité culturelle. Voici un exemple à laquelle elle peut aboutir.

Et ils sont combien dans ses situations là ?,c'est comme tu dis les mariages mixtes a des gens du bout du monde , des différences culturelles qui aboutit  à des divorces, voire plus a des fins dramatiques, c'est la conséquence de la diversité que l'on nous impose, on mélange les genres pour faire du social à la Française

il y a 4 minutes, titenath a dit :

Le roi du raccourci est de sorti.

Je recommence : Avoir ses parents d'un bout à l'autre du globe

 

Tu peux pas t'empêcher d'être désagréable

il y a 2 minutes, PINOCCHIO a dit :

Tu peux pas t'empêcher d'être désagréable

Pour une fois que je me trouvais plutôt sympa, tu viens de me péter ma journée

à l’instant, titenath a dit :

Pour une fois que je me trouvais plutôt sympa, tu viens de me péter ma journée

 

ça se voit que tu te vois pas, c'est marrant , là

Il y a 1 heure, jacky29 a dit :

bonjour libredeparler! eh oui, les parents ont la fâcheuse habitude de prendre leurs enfants en otage en se disputant la garde... je m'explique, il y a quelques années, une "amie" m'avait demandée de porter faux témoignage contre son époux pour augmenter ses chances d'avoir la garde exclusive... elle l'accusait de pédophilie! non seulement, elle mentait mais elle désirait que je mente pour elle et en plus, cette pauvre conne ne se rendait même pas compte de l'exemple qu'elle donnait à son gamin... autant te dire que cette "amie" a pris la porte et sans ménagement et que j'ai averti le père de cette accusation ignoble. in fine, c'est le père qui a eu la garde de son fils, elle, elle le voyait aux vacances scolaires et un week-end par mois. et le meilleur pour la fin, elle a rencontré un autre galant... et elle est partie avec lui s'installer en Australie... son gamin est resté sur le carreau car du jour au lendemain, sa "maman" très chère l'a purement et simplement oublié. il a eu de la chance que ce projet de punition du père ne se soit pas fait.  

Merci Jacky pour ce témoignage et pour votre objectivité.

Il est en effet en France, courant et facile pour une mère d'accuser son ex de pédophilie/inceste pour l'écarter des enfants.

Le 25/12/2019 à 15:45, pila a dit :

Faire un enfant n'est pas un jeu.

Bonjour Pila, poigne de mains, bonne fêtes

C'est une tuile. Mais une tuile.

il y a 50 minutes, titenath a dit :

Le roi du raccourci est de sorti.

Je recommence : Avoir ses parents d'un bout à l'autre du globe

 

Donc séparer les enfants d'un des parents c'est bien sauf si c'est dans un pays étranger ?

SED LEX DURA LEX

La loi est dure mais c'est la loi

Et il n'y a rien à  dire, redire, ni commenter, c'est l'application de la loi.

Le 25/12/2019 à 03:39, Bluehawk a dit :

Enfant d’un couple franco-japonais qui s’est séparé en 2017, le garçonnet doit repartir au Japon ce jeudi avec son père. La justice française en a décidé ainsi malgré les arguments de sa mère et de tout un village.

© LP/Christian Goutorbe Le Parisien

A quelques heures de Noël, un vent froid qui balaie Salles-d’Aude et glace le sang des proches de la famille Verhoeven. Tous sont rassemblés pour que Louis, 4 ans, continue de vivre ici, auprès de sa mère Marine Verhoeven, 30 ans en instance de divorce du père de l’enfant, Susheido Kudo. Le père japonais de 40 ans a réclamé et obtenu de la justice française le retour de l’enfant au Japon en attendant qu’un tribunal japonais statue sur le droit de garde.

 

LIRE AUSSI >Retour de Louis, 4 ans, au Japon : «Je ne l’empêcherai jamais de voir sa maman»

Sauf miracle très improbable, Louis quittera le village le lendemain de Noël à 11 heures récupéré par son père. L’ultime appel lancé le 18 décembre par l’association « Jamais sans Louis » est resté lettre morte. Ni Emmanuel Macron, le président de la République sollicité pour empêcher ce départ, ni le procureur de la République de Montpellier, qui doit veiller à l’exécution de la décision de justice, ne se sont manifestés. Alors, dans la famille Verhoeven on prépare comme on peut le plus beau Noël possible avant de plonger dans l’inconnu.

« Louis ne veut pas entendre parler de cette séparation »

 

 

« Si mon fils part au Japon ce jeudi, cela signifie que je n’aurai plus aucun moyen de le voir avant qu’il ait 20 ans, sa majorité selon la loi japonaise. Contrairement à ce que maintient son père, je n’ai pas la possibilité d’obtenir un visa pour vivre au Japon et il y a de très fortes chances que je me retrouve en garde à vue pour des mois comme c’est le cas actuellement d’un père de famille australien », souffle la maman, 29 ans, terrorisée par l’idée d’être séparée de ce fils qui partage sa vie depuis quatre ans sans interruption.

« Je me battrai jusqu’au bout : devant la Cour européenne de justice et l’ONU pour obtenir gain de cause, mais cela ne fera pas revenir mon fils condamné à vivre loin de moi au Japon. Ce qui se joue c’est une sorte de chantage sur ma liberté de divorcer », poursuit la jeune mère. Le petit garçon est décrit comme parfaitement intégré dans cette enfance villageoise, joyeuse et insouciante entre école maternelle, anniversaires de petits copains et parties de pêche ou sortie à la plage. Les maîtresses et les parents des autres enfants sont montés créneau. Ils ont multiplié les actions de mobilisations et les pétitions (450 signatures à l’Elysée).

Article ici : https://www.msn.com/fr-fr/news/france/son-p-c3-a8re-a-obtenu-sa-garde-louis-4-ans-partira-pour-le-japon-le-lendemain-de-no-c3-abl/ar-BBYi9f6

Bon bien là théoriquement il est reparti, nous sommes le surlendemain de Noël, il a du repartir hier, et le préfet à du superviser son départ.

Personne n'est mort, à ce que l'on sache.

Affaire classée. 

il y a une heure, Constantinople a dit :

Donc séparer les enfants d'un des parents c'est bien sauf si c'est dans un pays étranger ?

Je ne porte pas de jugement sur le divorce, je ne connais pas la vie des gens ni les raisons qui les ont poussés à se séparer. Je te remercie de ne pas me prêter des raccourcis qui sont les tiens

il faut etre objectif cet enfant a plus d'avenir au Japon qu'en France de plus L'âge légal pour la retraite est à 60 ans au japon , cet enfant est 1000 fois mieux au Japon qu'en France  , son père a raison si non c'est non assistance en personne en danger .

Il y a 1 heure, Constantinople a dit :

Donc séparer les enfants d'un des parents c'est bien sauf si c'est dans un pays étranger ?

conclusion stupide !

séparer un enfant de l'un de ses parents est une chose.

Que les parents soient de nationalités et de cultures  différentes c'est une autre chose !

Il y a 5 heures, titenath a dit :

Il en souffrira forcément. Avoir ses parents d'un bout à l'autre du globe est de toute façon une souffrance.

Sa famille japonaise lui fera oublier sa famille française...si l'enfant avait été une fille, je présume que le père ne se serait pas précipité pour la récupérer!

Il n'y a pas d'enfant roi au Japon! bien au contraire!

Il y a 5 heures, Constantinople a dit :

Donc le divorce est bien une souffrance ?

Pour l'enfant!

Il y a 4 heures, PINOCCHIO a dit :

Le père a demandé que sa femme revienne vivre pas spécialement avec lui mais à un endroit trouvé pour elle et son enfant, j'ai lu son interview sur le journal, mais elle a refusé, peut être pour une question de visa ou elle peut se retrouver en prison, c'est peut être au gouvernement ici de voir par là pour la solution , en accord avec les Japonais

Si elle s'est mariée au Japon, c'est la loi japonaise qui prédomine, comme dans tous les pays!

Le 25/12/2019 à 09:55, Forum0123 a dit :

En 2017, Marine, qui habitait au Japon, revient en France pour les vacances avec Louis, alors âgé de 2 ans. Elle explique alors à sa famille être victime de violences conjugales et vouloir rester en France avec son fils, puis demande le divorce. Mais son mari japonais, de son côté, saisit la justice pour enlèvement d'enfant, en s'appuyant sur la Convention de La Haye. Celle-ci lui donne raison. Et comme la loi japonaise ne prévoit pas de garde partagée pour les enfants de divorcés, et favorise toujours le parent japonais en cas de couple binational, l'époux a donc le droit de venir récupérer Louis.

Désormais, Marine ne sait comment expliquer à son petit garçon qu'il ne vont probablement pas se revoir pendant (très) longtemps. "Il ne veut pas, il ne comprend pas, il est en colère", glisse-t-elle à Europe 1. "Je lui ai dit que je reviendrai, que je ferai tout pour essayer de le revoir et de le ramener en France.

Viviane, la grand-mère du garçonnet, ne comprend pas que les magistrats ne mesurent pas le traumatisme de la séparation à venir. "C'est très dur, il pleure la nuit, se cache sous son lit quand quelqu'un sonne à la maison. C'est cruel", lâche-t-elle. "Je ne comprends pas que des juges puissent dire que ça n'impacte pas un enfant. C'est inhumain pour lui. Je ne comprends pas que ce soit possible."

https://www.europe1.fr/societe/je-ferai-tout-pour-le-revoir-dans-laude-une-mere-separee-de-son-fils-renvoye-au-japon-3938233

Si le père avait fui la France avec l’enfant qu’aurait on dit ?

La loi française aurait elle été sur la même ligne ?

La justice ne peut pas se prononcer sur le pathos , ce n’est pas son rôle . 

Le 25/12/2019 à 10:32, Fuck Them All a dit :

On parle d'une soit disant femme battue. Mais pas d'un enfant battu. La justice statue au nom de l'enfant. Il est normal que l'enfant soit triste de ne plus revoir sa mère. La mère ne parle cependant pas de la tristesse de l'enfant qui n'a pas revu son père. Dans tous les cas, l'enfant va souffrir d'un manque affectif. Personnellement je pense qu'un enfant est souvent mieux avec sa mère lors d'un divorce, je pense que la relation mère enfant est primordial. Mais ici il s'agit d'une situation particulière. Le mieux serait que la mère trouve le moyen de vivre au Japon. 

Exactement !

Le 25/12/2019 à 17:48, fullmetal06 a dit :

dans l'article il est dit que macron ne sait pas manifester

Il n'a pas besoin de savoir manifester, son bon peuple sait très bien le faire tout seul 

Le 26/12/2019 à 09:07, PINOCCHIO a dit :

 

Des accords au détriment du gosse qui lui en demande pas tant, c'est un traumatisme pour la vie , ça

Le premier traumatisme a été d'être enlevé par la mère pour l'emmener dans le pays de sa mère. Quand en France, des parents étrangers enlèvent leurs enfants, nés en France, pour les emmener dans leurs pays, la justice condamne et veille au retour de l'enfant. C'est ce qu'a fait la justice Japonaise. Et le parent qui a enlevé les enfants est toujours condamné dans le pays de naissance de l'enfant, pourquoi la justice Japonaise n'aurait elle pas le droit d'appliquer les mêmes sanctions ?

C'est la mère qui est responsable du traumatisme de son enfant, notamment en l'emmenant à des milliers de km de son père. Si l'amour pour son enfant avait été sa priorité, elle serait restée au Japon et aurait ainsi pu participer à la vie de son enfant. Elle était sensée connaitre les lois du pays dans lequel elle s'était installée, et où elle avait mis au monde son petit garçon. 

Il y a 5 heures, Constantinople a dit :

Donc le divorce est bien une souffrance ?

seulement dans les cas où les parents font passer leurs propres intérêts avant ceux de leurs enfants. Je connais plusieurs couples divorcés ou séparés, avec des enfants totalement épanouis. 

il y a une heure, DroitDeRéponse a dit :

Si le père avait fui la France avec l’enfant qu’aurait on dit ?

La loi française aurait elle été sur la même ligne ?

La justice ne peut pas se prononcer sur le pathos , ce n’est pas son rôle . 

C'est bien pour cela que j'ai précisé sur un autre post en dessous de celui que tu cites que la justice ne s'est basée que sur la loi d'où peu importe comme tu dis "le pathos". 

il y a une heure, soisig a dit :

 

Le premier traumatisme a été d'être enlevé par la mère pour l'emmener dans le pays de sa mère. Quand en France, des parents étrangers enlèvent leurs enfants, nés en France, pour les emmener dans leurs pays, la justice condamne et veille au retour de l'enfant. C'est ce qu'a fait la justice Japonaise. Et le parent qui a enlevé les enfants est toujours condamné dans le pays de naissance de l'enfant, p

Pourquoi la justice Japonaise n'aurait elle pas le droit d'appliquer les mêmes sanctions ?

C'est la mère qui est responsable du traumatisme de son enfant, notamment en l'emmenant à des milliers de km de son père. Si l'amour pour son enfant avait été sa priorité, elle serait restée au Japon et aurait ainsi pu participer à la vie de son enfant. Elle était sensée connaitre les lois du pays dans lequel elle s'était installée, et où elle avait mis au monde son petit garçon. 

 

seulement dans les cas où les parents font passer leurs propres intérêts avant ceux de leurs enfants. Je connais plusieurs couples divorcés ou séparés, avec des enfants totalement épanouis. 

“Je sais la difficulté de ces pères français, séparés de leur conjointe japonaise et la souffrance qu’ils vivent pour retrouver et pour partager la vie de leurs enfants”, a rappelé Emmanuel Macron, en visite impériale pour quatre jours. Derrière ces mots, un phénomène méconnu mais fréquent: le droit japonais de la famille est très différent du nôtre. Du jour au lendemain, un père ou un mère peut se retrouver privé de ses enfants, sans aucun moyen légal de les récupérer.

C’est le cas de Vincent Fichot ou encore Emmanuel de Fournas. Ce dernier n’a pas vu sa fille depuis trois ans. D’après la loi française, il a droit à une garde partagée. Mais son ex-épouse lui brandit le droit japonais, qui lègue l’autorité et la garde unique au parent qui était avec l’enfant au moment de la séparation. Un système qui donne l’avantage au parent kidnappeur s’il y en a un. Ce fut le cas pour Vincent Fichot. Du jour au lendemain, l’épouse de ce trader français, résidant à Tokyo, est partie avec ses enfants. Il ne les a plus jamais revus. 

https://www.huffingtonpost.fr/entry/japon-macron-peres-enfants-abandonnes_fr_5d13483ce4b0aa375f56319f

La mère d'après ce qu'elle dit est partie pour violences conjugales donc si c'est réellement le cas, elle n'avait pas le choix  et dans cette ambiance, l'enfant ne devait pas non plus le vivre  bien, cette mère n'est pas partie de là-bas sans raison d'où on ne peut pas dire que la mère est responsable du traumatisme de l'enfant s'il en y a un,  cela concerne les deux parents et comme la mère l'explique, ce n'est pas évident qu'elle puisse retourner au Japon. Justement la justice japonaise n'est pas la même, c'est  bien pour cela qu'Emmanuel Macron en parle et combat afin que les choses s'arrangent. La justice japonaise laisse l'avantage au parent kidnappeur.  

Il y a 4 heures, titenath a dit :

Je ne porte pas de jugement sur le divorce, je ne connais pas la vie des gens ni les raisons qui les ont poussés à se séparer. Je te remercie de ne pas me prêter des raccourcis qui sont les tiens

 

Je parle français. Tu as porté un jugement net, précis, définitif sur la séparation d'un enfant avec sa mère.

Selon toi il y a un kilométrage précis à partir duquel tout va bien, et au delà duquel tout va mal.

Tu nous le mets en chiffre précis de kilométrage pour pousser le ridicule jusqu'au bout où tu reconnais que tes propos sont complétement contradictoires avec le fait de ne pas jugement les divorces en général puisqu'ils implique necessairement séparation  ?