Quel est votre poème préféré ?

il y a 13 minutes, Blaquière a dit :

Le temps commence ici !

Ici et maintenant...

J'ai cru bien trop longtemps

Que l'an est un manège

Qui commence à la neige

Et retourne au printemps

Comme un cercle précieux

Et qu'il n'était qu'un an

Le même sous les mêmes cieux

Bien sûr la saison tourne,

Mais l'été qui nous vient

N'était pas à Melbourne

Il n'a jamais été

Je sais que le suivant

Sera tout différent

Le temps commence ici.

Ici et maintenant

Un tout nouveau récit

Récit indépendant...

 

Commençons en riant cette année

Au prénom ridicule

Et buvons-là jusqu'... "hallali" !

Vive l'année Vin Vin !

(2020)

Mes meilleurs vœux Blaquiere ..je te souhaite une année pleine de poésie..de rire..de chants .et de belles créations encore ! Et bien sûr une excellente santé tout au long de cette année ! Bises

il y a 11 minutes, sera-angel a dit :

Mes meilleurs vœux Blaquiere ..je te souhaite une année pleine de poésie..de rire..de chants .et de belles créations encore ! Et bien sûr une excellente santé tout au long de cette année ! Bises

Merci, meilleurs vœux à toi aussi Séra-Angel !

Et bien sûr à @Guillaume_des_CSnotre "hôte" !

Et à tous ceux qui vont venir se perdre ici !

J'hésitai à venir coucher mes pauvres mots simplistes après Le Grand Victor, et tous le autres magnifiques poètes, mais c'est tombé comme ça : l'intention était bonne... BONNE ANNÉE !

Mais, les temps changent. Et change la poésie… A toujours ressasser  les mêmes auteurs on en arrive à oublier les jeunes. Alors les Hugo, les Baudelaire, les Ronsart bien sûr, ça raconte des choses, mais il serait bon toutefois de songer un peu aux jeunes et de leur laisser la parole.
Aujourd’ hui, le support de la poésie n’est plus le papier, ce serait plutôt la chaîne radio. Et les vrais poètes, c’est chez les chanteurs qu’on les trouve aujourd’ hui. C'est indéniable.
Prenez par exemple cet artiste méconnu : Marc Lavoine pour ne pas le nommer. Toujours égal à lui-me, à quoi bon le présenter, extraire de son oeuvre quelques secondes de poésies suffit à démontrer son talent.

Voici par exemple une de ses dernières production qui donne l’occasion de mesurer l’ évolution et la montée en puissance de son message poétique. Avouez que depuis l’inoubliable :
Elle a les yeux revolver
Elle a le regard qui tue.
Oeuvre sublime dans laquelle on trouve des fulgurances littéraires du genre :
Elle se dessine
Sous des jupes fendues
C’est comme ça …
Tellement si belle …
Reconnaissez-le : Tellement si belle ! Faut l' oser !! quel Lamartine, quel Chateaubriand aurait-il pu accoler ainsi deux adverbes d’intensité avec une telle aisance et avouez-le, de courage littéraire, sans qu'on s' effraie de la faute de français ?

C'est bien vrai : seuls les génies ont le courage d' oser.

Le 31/12/2019 à 18:06, sera-angel a dit :

Je voue une passion sans fin à Victor Hugo !!! et depuis très très petite d'ailleurs 

Voilà un texte d'actualité pour ce soir !

A mademoiselle Louise B (les chants du crépuscule) de Victor Hugo

I

L'année en s'enfuyant par l'année est suivie.
Encore une qui meurt ! encore un pas du temps ;
Encore une limite atteinte dans la vie !
Encore un sombre hiver jeté sur nos printemps !

Le temps ! les ans ! les jours ! mots que la foule ignore !
Mots profonds qu'elle croit à d'autres mots pareils !
Quand l'heure tout à coup lève sa voix sonore,
Combien peu de mortels écoutent ses conseils !

L'homme les use, hélas ! ces fugitives heures,
En folle passion, en folle volupté,
Et croit que Dieu n'a pas fait de choses meilleures
Que les chants, les banquets, le rire et la beauté !

Son temps dans les plaisirs s'en va sans qu'il y pense.
Imprudent ! est-il sûr de demain ? d'aujourd'hui ?
En dépensant ses jours sait-il ce qu'il dépense ?
Le nombre en est compté par un autre que lui.

A peine lui vient-il une grave pensée
Quand, au sein du festin qui satisfait ses voeux,
Ivre, il voit tout à coup de sa tête affaissée
Tomber en même temps les fleurs et les cheveux ;

Quand ses projets hâtifs l'un sur l'autre s'écroulent ;
Quand ses illusions meurent à son côté ;
Quand il sent le niveau de ses jours qui s'écoulent
Baisser rapidement comme un torrent d'été.

Alors en chancelant il s'écrie, il réclame,
Il dit : Ai-je donc bu toute cette liqueur ?
Plus de vin pour ma soif ! plus d'amour pour mon âme !
Qui donc vide à la fois et ma coupe et mon coeur ?

Mais rien ne lui répond. - Et triste, et le front blême,
De ses débiles mains, de son souffle glacé,
Vainement il remue, en s'y cherchant lui-même,
Ce tas de cendre éteint qu'on nomme le passé !

II

Ainsi nous allons tous. - Mais vous dont l'âme est forte,
Vous dont le coeur est grand, vous dites : - Que m'importe
Si le temps fuit toujours,
Et si toujours un souffle emporte quand il passe,
Pêle-mêle à travers la durée et l'espace,
Les hommes et les jours !

Car vous avez le goût de ce qui seul peut vivre ;
Sur Dante ou sur Mozart, sur la note ou le livre,
Votre front est courbé.
Car vous avez l'amour des choses immortelles ;
Rien de ce que le temps emporte sur ses ailes
Des vôtres n'est tombé !

Quelquefois, quand l'esprit vous presse et vous réclame,
Une musique en feu s'échappe de votre âme,
Musique aux chants vainqueurs,
Au souffle pur, plus doux que l'aile des zéphires,
Qui palpite, et qui fait vibrer comme des lyres
Les fibres de nos coeurs !

Dans ce siècle où l'éclair reluit sur chaque tête,
Où le monde, jeté de tempête en tempête,
S'écrie avec frayeur,
Vous avez su vous faire, en la nuit qui redouble,
Une sérénité qui traverse sans trouble
L'orage extérieur !

Soyez toujours ainsi ! l'amour d'une famille,
Le centre autour duquel tout gravite et tout brille ;
La soeur qui nous défend ;
Prodigue d'indulgence et de blâme économe ;
Femme au coeur grave et doux ; sérieuse avec l'homme,
Folâtre avec l'enfant !

Car pour garder toujours la beauté de son âme,
Pour se remplir le coeur, riche ou pauvre, homme ou femme,
De penseurs bienveillants,
Vous avez ce qu'on peut, après Dieu, sur la terre,
Contempler de plus saint et de plus salutaire,
Un père en cheveux blancs !

Victor Hugo.

 

 

Oui, sublime, merci.

On retrouve ici je crois "l'esprit" de "La fin de Satan" que j'aime tellement...

En même temps, figurez-vous (figure-toi, je ne sais plus trop qui est qui pardon...) que je le maudis cet Hugo! Cette vision qu'il nous donne de nous-même dans ce poème par exemple, si sublime, si génial que soit le poème lui-même, n'écrit-elle pas, justement à cause de la mobilisation de ce génie!, n'écrit-elle pas comme une sorte de... vérité!? Et dès lors, cette "vérité" ne s'impose-t-elle pas à nous? Et quand "nous" a douze, ou treize ans... N'y a-t-il pas danger?...

Brialy disait un jour devant les caméras: "...le romantisme a pourri ma vie..." (ou quelque chose qui signifiait cela); Birkin, elle, disait... "...jamais plus l'imagination dans ma vie..." (ou qq chose...); l'un et l'autre (et beaucoup d'autres en réalité...) m'ont amené à "revisiter" mon ancienne idole... Dont j'admire toujours, évidemment, le génie! (et continue d'en jouir!).

il y a 41 minutes, Guillaume_des_CS a dit :

Oui, sublime, merci.

On retrouve ici je crois "l'esprit" de "La fin de Satan" que j'aime tellement...

En même temps, figurez-vous (figure-toi, je ne sais plus trop qui est qui pardon...) que je le maudis cet Hugo! Cette vision qu'il nous donne de nous-même dans ce poème par exemple, si sublime, si génial que soit le poème lui-même, n'écrit-elle pas, justement à cause de la mobilisation de ce génie!, n'écrit-elle pas comme une sorte de... vérité!? Et dès lors, cette "vérité" ne s'impose-t-elle pas à nous? Et quand "nous" a douze, ou treize ans... N'y a-t-il pas danger?...

Brialy disait un jour devant les caméras: "...le romantisme a pourri ma vie..." (ou quelque chose qui signifiait cela); Birkin, elle, disait... "...jamais plus l'imagination dans ma vie..." (ou qq chose...); l'un et l'autre (et beaucoup d'autres en réalité...) m'ont amené à "revisiter" mon ancienne idole... Dont j'admire toujours, évidemment, le génie! (et continue d'en jouir!).

Perso , encore une fois,  les vérités des autres j en prends compte..je les entends.. mais elles ne s imposent jamais à moi comme devenant ma propre vérité si elle ne me parle pas. Et ce même à douze ans j étais capable de faire la part des choses.. mes parents m ont appris très tôt l importance de penser par soi même .

il y a 3 minutes, sera-angel a dit :

Perso , encore une fois,  les vérités des autres j en prends compte..je les entends.. mais elles ne s imposent jamais à moi comme devenant ma propre vérité si elle ne me parle pas. Et ce même à douze ans j étais capable de faire la part des choses.. mes parents m ont appris très tôt l importance de penser par soi même .

Je ne pensais pas à vous...

il y a 3 minutes, Guillaume_des_CS a dit :

Je ne pensais pas à vous...

Oui je sais bien...mais si j aime tant ce poète c est justement parce que ce qu il exprime, résonne bien en moi... Tout me parle comme une évidence.. qui est !

il y a 3 minutes, sera-angel a dit :

Oui je sais bien...mais si j aime tant ce poète c est justement parce que ce qu il exprime, résonne bien en moi... Tout me parle comme une évidence.. qui est !

C'est bien le problème que j'essaie de pointer, justement... Car c'est le fait du "génie" je crois. Et dès lors qu'il apparaît, n'est-il pas... littéralement impossible de lui résister? (et on revient à mon post précédent je crois...)

il y a 19 minutes, Guillaume_des_CS a dit :

C'est bien le problème que j'essaie de pointer, justement... Car c'est le fait du "génie" je crois. Et dès lors qu'il apparaît, n'est-il pas... littéralement impossible de lui résister? (et on revient à mon post précédent je crois...)

Ah ok...Mais je le l ai jamais admiré parce que je le considérais comme un génie moi.. j admire l homme qu il était..son talent.. mais il aurait voulu m entraîner dans quelque chose qui n aurait pas eu mon approbation je ne l aurais pas suivi les yeux fermés..

Ça c est le cas des gurus ou des dictateurs

il y a une heure, sera-angel a dit :

Ah ok...Mais je le l ai jamais admiré parce que je le considérais comme un génie moi.. j admire l homme qu il était..son talent.. mais il aurait voulu m entraîner dans quelque chose qui n aurait pas eu mon approbation je ne l aurais pas suivi les yeux fermés..

Est-ce à dire que tu n'aurais pas aimé figurer - ne serait-ce que sous un discret "S-A" dans le très célèbre petit calepin de tonton Victor ? 

Cela étant, c'est vrai que ce sacré bonhomme, c'était quelqu'un ! et qui en outre a fonctionné un peu à l' envers de tout le monde. Pas seulement selon une démarche inverse à celle de ses contemporains, mais aussi à celle des individus d' aujourd'hui. Jeune, royaliste et bourgeois, un peu plus agé, admirateur de Napoléon, puis encore plus vieux, carrément  révolutionnaire, presque anarchiste et bouffeur de curés, de nobles et d' aristocrates. Les vieux cons d' aujourd'hui feraient bien de s'inspirer de lui.

Non même pas...par contre j aurais aimé l avoir comme père ou grand père

Oui sacré bonhomme !!!!

@sera-angel @azad2B, et toute autre bonne volonté...

Aidez-moi, si vous pouvez Je cherche à me souvenir dans quel roman (oui, je dis bien roman), Hugo a exprimé un truc du genre: "...la domesticité est...(un facteur premier, une qualité première...) de l'être humain ; c'est pourquoi il y a toujours tant de monde sur le passage de cortèges royaux..."; mais bien sûr, ce n'est pas si simple: il mettait le "cortège royal" en perspective de l'idée même de domesticité. Je suis sûr, je réponds de mon interprétation. Seulement, ayant oublié où j'ai lu le texte, d'où je la tiens pour certaine... Je suis, depuis plusieurs années (!), un peu dans la m... car je ne peux pas le citer. Et je ne lis plus Hugo (je le hais maintenant...). Il me semble que c'était dans "L'homme qui rit", mais... Pouvez-vous m'aider? Me donner ses propres mots, que je puisse en abuser sans les trahir? 

il y a 6 minutes, Guillaume_des_CS a dit :

@sera-angel @azad2B, et toute autre bonne volonté...

Aidez-moi, si vous pouvez Je cherche à me souvenir dans quel roman (oui, je dis bien roman), Hugo a exprimé un truc du genre: "...la domesticité est...(un facteur premier, une qualité première...) de l'être humain ; c'est pourquoi il y a toujours tant de monde sur le passage de cortèges royaux..."; mais bien sûr, ce n'est pas si simple: il mettait le "cortège royal" en perspective de l'idée même de domesticité. Je suis sûr, je réponds de mon interprétation. Seulement, ayant oublié où j'ai lu le texte, d'où je la tiens pour certaine... Je suis, depuis plusieurs années (!), un peu dans la m... car je ne peux pas le citer. Et je ne lis plus Hugo (je le hais maintenant...). Il me semble que c'était dans "L'homme qui rit", mais... Pouvez-vous m'aider? Me donner ses propres mots, que je puisse en abuser sans les trahir? 

 

C était pas oeuvres majeures pendant l exil ?

il y a 4 minutes, sera-angel a dit :

C était pas oeuvres majeures pendant l exil ?

Ben, je ne crois pas mais... J'ai tellement lu tu sais... Aurais-tu le texte lui-même? Ne te crée pas une responsabilité, n'est-ce pas? Je ne demande qu'un petit service, genre si tu savais déjà de façon certaine et pouvais trouver facilement...

Je vais chercher..si je trouve je ne manquerai pas de te passer l info ..promis

il y a 5 minutes, sera-angel a dit :

Je vais chercher..si je trouve je ne manquerai pas de te passer l info ..promis

Mais quand même, ne te perds pas: je suis sûr (100%) que c'est dans un roman... J'aurais donc dû répondre "non" à ta question. D'où me vient cette certitude? J'ai trois Hugo dans ma tête (je crois que tu l'as toi-même "dissocié", non?). Le poète, d'abord et premièrement, celui qui livre son inconscient; le romancier, deuxièmement, celui qui rêve son inconscient; l'homme, troisièmement, celui qui nie son inconscient et qui force son être dans la réalité de son temps... Je hais (littéralement), les deux derniers...

Il y a 2 heures, sera-angel a dit :

Aidez-moi, si vous pouvez ...

J'ai le sentiment bizarre d' avoir lu quelque chose qui évoquait un réflexion de Hugo au passage d' un cortège royal entre Compiègne et Reims, mais c'est très diffus...

Je crois qu'il était question du couronnement de Charles X auquel Hugo et d'autres personnalités avaient été conviées. Mais je ne suis pas sûr que c' était dans un roman. Mais c'est vrai qu' Hugo était aussi un grand documentaliste et il a très bien pu reproduire dans un roman des réflexions qui lui ont été inspirées par une expérience personnelle.

Ca va peut-être me revenir... qui sait ?

Le 02/01/2020 à 18:28, azad2B a dit :

Mais, les temps changent. Et change la poésie… A toujours ressasser  les mêmes auteurs on en arrive à oublier les jeunes. Alors les Hugo, les Baudelaire, les Ronsart bien sûr, ça raconte des choses, mais il serait bon toutefois de songer un peu aux jeunes et de leur laisser la parole.
Aujourd’ hui, le support de la poésie n’est plus le papier, ce serait plutôt la chaîne radio. Et les vrais poètes, c’est chez les chanteurs qu’on les trouve aujourd’ hui. C'est indéniable.
Prenez par exemple cet artiste méconnu : Marc Lavoine pour ne pas le nommer. Toujours égal à lui-me, à quoi bon le présenter, extraire de son oeuvre quelques secondes de poésies suffit à démontrer son talent.

Voici par exemple une de ses dernières production qui donne l’occasion de mesurer l’ évolution et la montée en puissance de son message poétique. Avouez que depuis l’inoubliable :
Elle a les yeux revolver
Elle a le regard qui tue.
Oeuvre sublime dans laquelle on trouve des fulgurances littéraires du genre :
Elle se dessine
Sous des jupes fendues
C’est comme ça …
Tellement si belle …
Reconnaissez-le : Tellement si belle ! Faut l' oser !! quel Lamartine, quel Chateaubriand aurait-il pu accoler ainsi deux adverbes d’intensité avec une telle aisance et avouez-le, de courage littéraire, sans qu'on s' effraie de la faute de français ?

C'est bien vrai : seuls les génies ont le courage d' oser.

 

 

Merci !

Il a raté une belle rime quand même :

"Tellement si belle

Que j'en augmente mes décibels !"

Quand il a fait une musique sur le "Pont Mirabeau" J'ai dit autour de moi : "ne me la faites pas entendre surtout"! C'était pour ne pas être influencé tant que je lui aurai pas fait ma propre musique (au Pont). Il avait déjà été massacré par Léo Férré ce pauvre Pont Mirabeau... J'ai donc fait ma musique, mais je l'ai toujours pas enregistré, faudra que je m'y mette un de ces quatre. J'ai pu donc en suite écouter SA musique à Marc Lavoine. Peuchère ! écoutez-là ! Il l'a agrémenté de "Pouic et pouc ! Pouic et pouc"..... J'en revenais pas ! Un gag ! A part ça, il a un belle gueule et semble bien sympathique....

Il y a 9 heures, azad2B a dit :

J'ai le sentiment bizarre d' avoir lu quelque chose qui évoquait un réflexion de Hugo au passage d' un cortège royal entre Compiègne et Reims, mais c'est très diffus...

Je crois qu'il était question du couronnement de Charles X auquel Hugo et d'autres personnalités avaient été conviées. Mais je ne suis pas sûr que c' était dans un roman. Mais c'est vrai qu' Hugo était aussi un grand documentaliste et il a très bien pu reproduire dans un roman des réflexions qui lui ont été inspirées par une expérience personnelle.

Ca va peut-être me revenir... qui sait ?

Bonjour azad2B

Ce n est pas moi qui ai demandé de l aide c est Guillaume..

il y a 13 minutes, sera-angel a dit :

Bonjour azad2B

Ce n est pas moi qui ai demandé de l aide c est Guillaume..

"C'est pas moi c'est Guillaume... Apollinaire !"

"Qui a dit ça ; devrai-je donc me taire  ?

Tiens, le même mètre que le Pont Mirabeau !