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Comment éduque-t-on son enfant quand on est féministe ?


January

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 739 messages
107ans‚ ©,
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Ovidie interroge les notions de féminisme, d'éducation, et de transmission.

(Christophe Crénel)

Comment éduquer une ado quand on est mère et féministe ? C'est à cette question ambivalente que s'attelle Ovidie.

 L'occasion d'aborder les questions de violences de genre, et la notion de transmission. “En tant que féministe, j’ai envie de lui dire que la rue lui appartient comme à n’importe qui. Et en tant que mère bah j’ai envie de la garder en sécurité”.

"J’ai pris conscience de mon genre surtout à partir du moment où on me l’a fait sentir, c'est-à-dire à partir du moment où j’ai commencé à sentir les regards dans la rue et où ils ont commencé à changer. J'ai été éduquée de manière égalitaire avec mes frères donc je n'avais pas forcément conscience de ça, mais le vrai choc a été au moment où l'on a commencé à me klaxonner dans la rue. Ce harcèlement de rue a commencé très tôt, vers mes 12 ans. Et a atteint son climax l'année de mes 14 ans ; c'est devenu de l'ordre du quotidien.

A partir du moment où ma fille a eu elle-même cet âge-là, tous ces souvenirs sont revenus à la surface comme si c'était hier. Et je me suis demandé : “Vit-elle des choses que je ne perçois même pas ?” L'épisode 1 questionne cette ambivalence entre mes convictions féministes et mon désir de lui dire : “l'espace public est autant à toi qu'à n'importe qui, et tu t'habilles comme tu veux”, tout en voulant la protéger plus que tout du harcèlement de rue.

Je ne veux pas qu'elle vive ce que j'ai vécu à son âge, je préférais même le vivre à sa place et qu'elle reste à la maison pendant ce temps (rires). Dans mon échange avec mon amie Clarence Edgard-Rosa, elle explique qu'elle aussi a subi la même chose, mais que d'un autre côté, si l'on n’apprend pas à développer des stratégies de survie, on n'apprend pas non plus à contourner les dangers. Tout est donc parti de ce gros dilemme.

https://www.lesinrocks.com/2019/12/02/actualite/medias-actualite/comment-eduque-t-on-son-enfant-en-2019-quand-on-est-mere-et-feministe/

 

Ca n'a pas l'air évident d'être une mère féministe.. :mouai:

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
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Et expliquer ; que même si " la rue lui appartient comme à n’importe qui",  ce n’est pas évident pour tout le monde et qu’elle doit être vigilante, c’est compliqué? 

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 739 messages
107ans‚ ©,
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il y a 2 minutes, Izanami a dit :

Et expliquer ; que même si " la rue lui appartient comme à n’importe qui",  ce n’est pas évident pour tout le monde et qu’elle doit être vigilante, c’est compliqué? 

Ca doit être galère quand même de soutenir jusqu'à la gauche qu'on a toujours le droit de faire ce qu'on veut et en même temps euh.. La maman, elle veut protéger ses enfants ?  Je me demande ce qui prend le dessus. La féministe ou la maman ? 

Prenons un truc simple : les fringues.  

C'est chaud j'trouve..

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Invité Spontzy
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Invité Spontzy
Invité Spontzy Invités 0 message
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il y a 19 minutes, January a dit :

mais le vrai choc a été au moment où l'on a commencé à me klaxonner dans la rue. Ce harcèlement de rue a commencé très tôt, vers mes 12 ans. Et a atteint son climax l'année de mes 14 ans ; c'est devenu de l'ordre du quotidien.

Incroyable. Je me demande si je vis dans le même monde. Disons que ça fait 20 ans que je suis capable de comprendre ce qu'est "klaxonner une fille dans la rue", et.... je n'ai jamais vu un cas concret. Il doit y avoir un truc qui m'échappe.

 

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Invité
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il y a 3 minutes, January a dit :

Ca doit être galère quand même de soutenir jusqu'à la gauche qu'on a toujours le droit de faire ce qu'on veut et en même temps euh.. La maman, elle veut protéger ses enfants ?  Je me demande ce qui prend le dessus. La féministe ou la maman ? 

Prenons un truc simple : les fringues.  

C'est chaud j'trouve..

Oui effectivement. Fait ce que je dis pas ce que je fais quoi. 

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 739 messages
107ans‚ ©,
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Et puis.. Reprendre sans cesse son enfant sur des réflexions sexistes qu'il pourrait avoir ? Bonjour les conflits...

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Membre, Talon 1, 78ans Posté(e)
Talon 1 Membre 22 880 messages
78ans‚ Talon 1,
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Ovidie transmet son traumatisme. Enseigner la crainte maladive, ça complique la vie. La confiance et la prudence sont beaucoup préférables.

La confiance est la base de société. Faut-il aller chez le boulanger avec un huissier ?

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Invité Le Dionysiaque
Invités, Posté(e)
Invité Le Dionysiaque
Invité Le Dionysiaque Invités 0 message
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il y a 37 minutes, January a dit :

Ca doit être galère quand même de soutenir jusqu'à la gauche qu'on a toujours le droit de faire ce qu'on veut et en même temps euh.. La maman, elle veut protéger ses enfants ?  Je me demande ce qui prend le dessus. La féministe ou la maman ? 

Prenons un truc simple : les fringues.  

C'est chaud j'trouve..

Dans le cas de cette "Ovidie" qui est une ancienne actrice porno, ce sera encore plus marrant.

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Membre, Obsédé textuel, 72ans Posté(e)
Gouderien Membre 34 688 messages
72ans‚ Obsédé textuel,
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il y a une heure, January a dit :

Ovidie interroge les notions de féminisme, d'éducation, et de transmission.

(Christophe Crénel)

Comment éduquer une ado quand on est mère et féministe ? C'est à cette question ambivalente que s'attelle Ovidie.

 L'occasion d'aborder les questions de violences de genre, et la notion de transmission. “En tant que féministe, j’ai envie de lui dire que la rue lui appartient comme à n’importe qui. Et en tant que mère bah j’ai envie de la garder en sécurité”.

"J’ai pris conscience de mon genre surtout à partir du moment où on me l’a fait sentir, c'est-à-dire à partir du moment où j’ai commencé à sentir les regards dans la rue et où ils ont commencé à changer. J'ai été éduquée de manière égalitaire avec mes frères donc je n'avais pas forcément conscience de ça, mais le vrai choc a été au moment où l'on a commencé à me klaxonner dans la rue. Ce harcèlement de rue a commencé très tôt, vers mes 12 ans. Et a atteint son climax l'année de mes 14 ans ; c'est devenu de l'ordre du quotidien.

A partir du moment où ma fille a eu elle-même cet âge-là, tous ces souvenirs sont revenus à la surface comme si c'était hier. Et je me suis demandé : “Vit-elle des choses que je ne perçois même pas ?” L'épisode 1 questionne cette ambivalence entre mes convictions féministes et mon désir de lui dire : “l'espace public est autant à toi qu'à n'importe qui, et tu t'habilles comme tu veux”, tout en voulant la protéger plus que tout du harcèlement de rue.

Je ne veux pas qu'elle vive ce que j'ai vécu à son âge, je préférais même le vivre à sa place et qu'elle reste à la maison pendant ce temps (rires). Dans mon échange avec mon amie Clarence Edgard-Rosa, elle explique qu'elle aussi a subi la même chose, mais que d'un autre côté, si l'on n’apprend pas à développer des stratégies de survie, on n'apprend pas non plus à contourner les dangers. Tout est donc parti de ce gros dilemme.

https://www.lesinrocks.com/2019/12/02/actualite/medias-actualite/comment-eduque-t-on-son-enfant-en-2019-quand-on-est-mere-et-feministe/

 

Ca n'a pas l'air évident d'être une mère féministe.. :mouai:

Et c'est pas évident non plus d'être un fils de féministe… ma mère ayant été une féministe avant l'heure. Elle l'est toujours.

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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 512 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
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Personne n'échappe aux regards de la rue... ni les femmes, ni les trisomiques, ni les culs des pompiers dans leur uniforme moulant, ni les gens en fauteuil roulant, ni le mec qui ressemble à Brad Pitt, ni la nenette qui a des airs de Dalida, ni celui qui a le même blouson que moi, ni la fille qui a la même DS3 que ma nana avec le toit rouge... Je me suis fait alpaguer par des gamines qui me trouvaient mignon, je me suis fait alpaguer par un motard qui adorait ma moto, je me suis fait alpaguer par une ancienne voisine qui m'a pourri parce qu'elle ne voulait pas que je gare ma moto ici... tous le monde se fait alpaguer par les gens de la rue. 

 

A mon sens le problème n'est pas de contenir la rue, mais de préparer chacun à se faire alpaguer dans la rue. Ma nana s'est faite agresser il y a pas mal de temps, le mec en voulait à son sac, les coups sont parti tout seuls par réflexe: coups de poing et mawashi geri au visage... c'est le mec qui a finit sonné au sol. Elle s'est faite applaudir par les badauds... et comme personne n'était venu l'aider elle leur a gueulé d'aller bien se faire enculer, et elle est rentré chez elle. Je pense que c'est elle qui a la meilleure version du féminisme: ne pas se poser la question de "est ce que si..." Etre prêt tout simplement. ça peut être pour lui toucher les seins, l'insulter ou lui piquer son sac, peu importe, il y aura des représailles.

 

Aujourd'hui je forme sa plus grande à des gestes de défense et ça marche plutôt bien parce qu'elle m'a sonné avec un coup de coude à la mâchoire.

 

Il n'y a pas à se poser la question trop longtemps: soit on estime qu'on peut faire en sorte de maîtriser 100% de la population mondiale pour avoir des gens aimables et respectueux de la loi et de la morale... soit on s'adapte à une société qui peut se révéler difficile en devant plus fort. Ovidie, si tu me lis, tu laisses ta gamine mettre son string si elle veut et tu l'envoies dans une formation de krav maga. Il est temps qu'elle apprenne à se défendre seule. 

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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 45 128 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)

Je n'ai pas eu de fille, donc j'ai évité d'élever mes fils  dans le partage des tâches: je ne suis la domestique de personne.

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 739 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)
il y a 20 minutes, querida13 a dit :

j'ai évité d'élever mes fils  dans le partage des tâches: je ne suis la domestique de personne.

Pas tellement logique du coup, si, quelque part tu devais être la domestique de tes fils. Mais bon, autres temps autres moeurs.

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Membre, 106ans Posté(e)
Atipique Membre 8 295 messages
Maitre des forums‚ 106ans‚
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Moi, j'ai essayé d'élever mon fils dans le partage des tâches; mais parfois,  il a fallu combattre une inertie plus intense que mon féminisme. Plus facile à dire qu'à faire!


Malgré tout, je n'ai jamais été sa bonne non plus. Il a toujours fait sa propre lessive (depuis l'âge de 10-11 ans), se débrouillait avec ses repas si il était seul ou en retard pour le diner.

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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 45 128 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)

 Pour ma part j'ai été élevée dans le sexage le plus total: la femme à la maison, à la cuisine, aux tâches ménagères, aux marmots  et diplômées un minimum dans une école primaire non mixte (!) ou secondaire.

Tandis que les hommes dotés d'un diplôme plus prestigieux étaient au boulot et gagnaient de l'argent avec lequel ils tenaient "la dragée haute" aux femmes. J'étais mortifiée de cette injustice et percevais l'humiliation d'avoir à quémander quoi que ce soit alors que les femmes au foyer n'arrêtaient pas de trimer sans qu' elles soient de quelque manière que ce soit , rémunérées.  D'autant qu'à l'école , j'étais bien plus douée que nombre de garçons.

Je percevais qu'au fond, elles prenaient beaucoup de risques de se couper du monde du travail, car si elles étaient veuves, il aurait fallu subvenir aux besoins de la famille avec un gros handicap car il se remettre à niveau aurait été nécessaire. De plus , en cas de mésentente dans le ménage, de divorce, elles n'en étaient que plus vulnérables sans pension alimentaire, en attendant le jugement de juges peu pressés de rendre leur verdict. Je pressentais aussi, que faute d'avoir cotisé pour leur retraite, elles allaient avoir également une vieillesse misérable, si encore elles  avaient pu disposer d'une retraite  parce que leurs hommes se faisaient encore servir par elles jusque dans leurs très vieux jours, les pauvrettes!

Il m'a fallu en quelque sorte rentrer en résistance pour que l'on cesse de m'offrir des jouets girly (je piquais des rages folles quand on m'offrait des poupons, des batteries de cuisine, des balais, des dînettes) et ce qui m'a réellement sauvée fut mon attirance pour la littérature, la musique, la nature et le sport. La détermination d'obtenir des diplômes (je fus la première bachelière dans ma famille!)

 J'ai eu la chance aussi de prendre pour exemple des femmes au travail: l'épicière, la charcutière, la maîtresse, la professeure de musique, les professeures de lycée, car j'ai heureusement vécu la période où la génération d'après guerre remettait en cause les vieux schémas traditionnels légués par des personnes elles- même élevées par des gens ayant vécu au XIXeme siècle!

Pendant l'adolescence je patientais souvent dans une bibliothèque en attendant mon tour aux  cours de piano. Ma place dans la salle d'attente était devant le rayon féminisme! C'est en ouvrant ces livres  vers onze ans que  que j'ai découvert le courant de pensée féministe et que je me suis fortement interrogée sur les places de chacun dans la société, de plus,à la télé aussi, passaient des émissions féministes. J'ai lu le deuxième sexe de Beauvoir avant quinze ans.

 En fait , ce n'est que parce que les femmes dégageaient les hommes de tout ce qui est prosaïque dans leur existence qu'ils réussissaient à faire de grandes choses tandis que les femmes qui réussissaient malgré tout à percer par leur talent étaient systématiquement écartées des feux de la rampe et étaient systématiquement reléguées aux oubliettes par des historiens, journalistes mâles simplement attachés à être les thuriféraires des représentants de leur sexe. 

Les hommes eux aussi, s'ils ne développent pas des savoirs faire dans leur vie pratique sont de véritables handicapés du quotidien, s'ils ne savent pas s'occuper des aspects pratiques  de leur existence, d'ailleurs les hommes qui vivent seuls et sans femme ont une espérance de vie moindre. Ce n'est pas un cadeau à leur faire que de les dégager de toute tâche ménagère, de tous savoirs faire en la matière. Savoir se débrouiller en toutes circonstances fait aussi partie d'une éducation; Et , si nous avons pu conserver nos deux carrières dans le couple  ce n'est que parce que mon conjoint et moi avons fortement collaboré à la maison pour qu'elle tourne. 

Avec des atouts de taille par rapport à mes grands- mères: nous avions la chance d'avoir des machines (lave -vaisselle et lave- linge) qui nous ont libérés des tâches fastidieuses. 

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Animateur, Le gras c'est la vie, 35ans Posté(e)
Kyoshiro02 Animateur 20 427 messages
35ans‚ Le gras c'est la vie,
Posté(e)
il y a une heure, Atipique a dit :

Moi, j'ai essayé d'élever mon fils dans le partage des tâches; mais parfois,  il a fallu combattre une inertie plus intense que mon féminisme. Plus facile à dire qu'à faire! 

Faut leur faire comprendre que tôt ou tard, ils seront amenés à s'occuper du logement seuls et ça va leur faire tout drôle.

il y a une heure, querida13 a dit :

Pour ma part j'ai été élevée dans le sexage le plus total: la femme à la maison, à la cuisine, aux tâches ménagères, aux marmots  et diplômées un minimum dans une école primaire non mixte (!) ou secondaire.

J'ai aussi été élevé comme ça, une fois en approchant la majorité, j'ai engueulé ma mère pour qu'elle m'apprenne à faire les tâches ménagères, la lessive, le repassage, la cuisine... J'ai toujours eu des refus avec la fraterie qui s'est foutu de moi et dû apprendre par moi même (comme ci être totalement autonome et ne pas dépendre de quelqu'un était mauvais)...

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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 45 128 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)

Et comment feras-tu quand tu auras ton propre logement ou que tu seras  éventuellement veuf ou divorcé?

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Membre, 73ans Posté(e)
Morfou Membre 57 127 messages
Maitre des forums‚ 73ans‚
Posté(e)

J'ai élevé mes enfants à être autonome, filles comme garçons...c'est pas difficile et une fois adultes ils sont capables d'être à tous les postes d'une vie de famille ou de célibataire!

Je suis plutôt fière du résultat...mes filles n'ont pas le caractère d'entretenues et mes fils de pacha...Mission accomplie!:D

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Membre, Posté(e)
coucoucou Membre 8 040 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Moi j'en suis encore à m'engueuler avec mon mari élevé par une mère italienne qui lui coupait encore les ongles des pieds quand je l'ai connu( il avait quand même 23 ans)......on est quand même 27 ans plus tard.....mais dans son esprit je suis "en faute" envers lui car je ne passe pas ma vie à n'avoir pour seule préoccupation que son petit bien être......sans avoir à demander une réciprocité en plus....il m'a même reproché de préférer les enfants à lui:hu4:.......effectivement, j'ai pas pensé à prendre trois ans de congés parental pour m'occuper de lui.....autant pour moi!!!!

Zero évolution de mentalité!!!!.....sans compter que ça veut jouer le chef de famille mais que ça s'écrase devant la famille.....alors que moi, quand j'ai quelque chose à dire à la mienne, ça fait pas un pli.

Mais l'air de rien, à force d'attendre leur pére dire: normalement tu devrais être comme çi, faire comme ça.....ben ça laisse une trace dans l'esprit des enfants............et je suis obligée de me prendre la tête avec mon fils pour lui dire que je ne serai pas sa boniche à lui non plus.........d'autant que s'il n'est pas content, il bosse....rien ne le retient!

C'est important de faire attention à ce qu'on inculque à ses enfants...........

 

 

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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 45 128 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)
Il y a 2 heures, Morfou a dit :

J'ai élevé mes enfants à être autonome, filles comme garçons...c'est pas difficile et une fois adultes ils sont capables d'être à tous les postes d'une vie de famille ou de célibataire!

Je suis plutôt fière du résultat...mes filles n'ont pas le caractère d'entretenues et mes fils de pacha...Mission accomplie!:D

Bravo!

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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 45 128 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)
Il y a 5 heures, querida13 a dit :

Je n'ai pas eu de fille, donc j'ai évité d'élever mes fils  dans le partage des tâches: je ne suis la domestique de personne.

OOps, il y a des mots qui ont sauté je reprends … Je n'ai pas eu de fille donc j'ai évité d'élever mes fils en enfants rois  et les ai inclus dans le partage des tâches.

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