Gilets Jaunes, quel avenir pour le mouvement

Il y a 14 heures, Pensée philo a dit :

Beaucoup de personnes méprisent les gilets jaunes parce qu'ils se sentent supérieur à eux, il y a mépris de classe alors qu'elles feraient mieux d'être contre l'oligarchie.

... mais on peut tout à fait être à la fois CONTRE L'OLIGARCHIE et CONTRE LA MISE A SAC DE NOTRE PAYS PAR LES GILETS JAUNES DEPUIS 9 MOIS...

il y a 26 minutes, versys a dit :

.... mais ça fait neuf mois que les contestations sont "cristallisées"....

Tu dis toi même que, dans notre pays, les syndicats ne représentent qu'eux mêmes, et tu as raison, mais, dans la même logique, on peut affirmer sans risque de se tromper que les gilets jaunes ne représentent qu'eux mêmes...

De plus, tu sais très bien aussi que sans le concours actif et spectaculaire des BBs, les gilets jaunes n'existent pas médiatiquement....

... et quand on existe pas médiatiquement, on n'existe pas......... 

Acte 40 et on en parle toujours...

On parlera encore des gilets jaunes qu'on aura oublié macron.

il y a 4 minutes, PASCOU a dit :

Acte 40 et on en parle toujours...

On parlera encore des gilets jaunes qu'on aura oublié macron.

Et alors ?? Quoi de nouveau pour l' acte 40 ?? Casses, incendies, pillages......... tu parles d'une originalité !! Quoique... en matière de mises à sac, on peut toujours compter sur la créativité des jaunes... 

La bonne nouvelle, c'est que c'est reparti pour des centaines de pages fort distrayantes sur ce sujet... 

Bien sûr... on parlera très longtemps des gilets jaunes.... on parle bien toujours de la peste noire.... 

il y a 18 minutes, versys a dit :

Et alors ?? Quoi de nouveau pour l' acte 40 ?? Casses, incendies, pillages......... tu parles d'une originalité !! Quoique... en matière de mises à sac, on peut toujours compter sur la créativité des jaunes... 

La bonne nouvelle, c'est que c'est reparti pour des centaines de pages fort distrayantes sur ce sujet... 

Bien sûr... on parlera très longtemps des gilets jaunes.... on parle bien toujours de la peste noire.... 

Parle tout seul dans ce cas Versys..

il y a 53 minutes, PASCOU a dit :

Acte 40 et on en parle toujours...

On parlera encore des gilets jaunes qu'on aura oublié macron.

 oui ,on n'oubliera pas les violences , les voitures brulées , les vitrines cassées , les pillages , les blocages .... 

Macron sera celui qui aura eu assez de couilles pour réformer une France ankylosée , en retard sur ses voisins Européens , obligée de taper dans la caisse pour alimenter un système social désuet et excessivement coûteux...

s'il réussit à passer son système de retraite , on rejoindra le même mode d'attribution de retraites que la plupart  des pays Européens

https://fr.wikipedia.org/wiki/Systèmes_de_retraite_en_Europe

Presque tous les pays européens ont un système de retraite par répartition obligatoire auquel s'ajoute un système de retraite par capitalisation. Plus l'un est développé, moins l'autre l'est. En France, pays où les compléments par capitalisation sont les moins développés, la dénonciation par les syndicats d'un risque de baisse des pensions²³ du système public a déclenché les grèves contre la réforme des retraites²⁴.

26 lois ou décrets appliqués depuis le début du gouvernement Philippe, et de l'élection Macron depuis un peu plus de deux ans ça fait une réforme tous les mois , aucun président de la république ne peut revendiquer un tel bilan .. Non Macron ne sera pas oublié , ne t'inquiète pas , et s'il est haï par certains c'est qu'on a touché à leur niche et comme tout le monde le sait , dans chaque niche il y a un chien qui mord ...

il y a 16 minutes, PASCOU a dit :

Parle tout seul dans ce cas Versys..

 

... mais personne ne parle en même temps que moi, Pascounet... 

Ce qui ne m'empèche pas de partager largement ce que j'ai à dire...

Il y a 1 heure, versys a dit :

.... mais ça fait neuf mois que les contestations sont "cristallisées"....

Tu dis toi même que, dans notre pays, les syndicats ne représentent qu'eux mêmes, et tu as raison, mais, dans la même logique, on peut affirmer sans risque de se tromper que les gilets jaunes ne représentent qu'eux mêmes...

De plus, tu sais très bien aussi que sans le concours actif et spectaculaire des BBs, les gilets jaunes n'existent pas médiatiquement....

... et quand on existe pas médiatiquement, on n'existe pas......... 

Tout dépend de quelle manière médiatique on parle de vous ... les médias on le pouvoir trop important de raser, neutraliser pulvériser etc ... une réputation ! En faire sa Bible et sa vérité c'est perdre son propre discernement !

Bref ... voici un article de Challenges pas plus idiot qu'un autre (parlons plutôt de ce qui risque d'advenir, déja dans la musette du Président,  que de s'appesantir et de rabâcher sur des gilets jaunes qui  pour le moment ne donnent que sporadiquement des nouvelles "réchauffées" ):

https://www.challenges.fr/politique/gilets-jaunes-fracture-territoriale-macron-aurait-tort-de-croire-que-la-crise-societale-est-finie_665507

" L'été 2018 se présentait sous les meilleurs auspices. Avec la victoire des Bleus en Coupe du monde de football, tout le monde pariait sur le retour de l'optimisme dans le pays. On connaît la suite: l'automne des gilets jaunes, la panique du pouvoir, cette grosse dizaine de milliards dépensée pour faire retomber la révolte, ce trimestre de grand débat pour apaiser le pays et la pause de l'action gouvernementale jusqu'à la fin mai et les élections européennes. Bref, une année presque perdue et un président qui donna le sentiment de perdre sa boussole si précise de 2017.

Le voici, semble-t-il remonté sur son cheval, prêt à lancer de nouvelles réformes, à commencer par celle des retraites. Mais que sera la rentrée de septembre? Une fois encore, le sport fait souffler une brise agréable sur l'Hexagone. Les performances des coureurs français sur le Tour de France et la perspective d'une victoire tricolore le 28 juillet sur les Champs Elysées après 34 années de disette vont-elles contribuer à cet apaisement des esprits sur lequel le chef de l'Etat mise pour replacer sur de bons rails la seconde partie de son quinquennat? Le président en tout cas n'a pas hésité à passer deux jours sur la grande boucle pour partager les lauriers des deux champions français- Julian Alaphilippe et Thibaut Pinot – qui, depuis deux semaines, font rêver et espérer les amoureux de la petite reine et toute la France populaire d'une indéfectible fidélité à ce grand rendez-vous. Ou bien cet été ne sera-t-il qu'une parenthèse dans un Hexagone qui a dévoilé au cours des derniers mois l'ampleur de ses malaises et la profondeur des fractures qui le traversent?

La France est une nation devenue si imprévisible qu'il serait bien audacieux de se lancer dans des spéculations sur les mois à venir au cours desquels les élections municipales en mars prochain seront une étape politique majeure. La République en marche (LREM) pense y remporter des victoires symboliques qui lui donneraient une assise territoriale qui lui fait défaut. Les macroniens voient dans les résultats du scrutin européen des raisons d'espérer et ont réussi à imposer l'idée qu'ils y avaient remporté un résultat prometteur pour la suite. Il est vrai que deux formations aujourd'hui dominent au plan national le paysage politique: LREM et le Rassemblement national lepéniste. Dans les chiffres, la situation est beaucoup moins brillante puisque le parti du chef de l'Etat a perdu 1.312.264 suffrages par rapport aux législatives de 2017 alors que la participation était quasi identique (avec même 563.612 suffrages exprimés en plus au mois de mai dernier!). Bref, la partie est loin d'être gagnée et l'issue plus incertaine que ne laisse penser la confiance affichée par les dirigeants de la majorité.

L'optimisme est certes une méthode habituelle de gouvernement, mais il ne suffit pas de l'afficher pour convaincre l'opinion. François Hollande et Nicolas Sarkozy, adeptes chacun à leur manière de cette méthode Coué, n'en ont tiré aucun profit au terme de leur mandat. Emmanuel Macron use encore plus sur cette corde-là tout en n'hésitant pas à fustiger les Français. L'optimisme est sa religion avec la conviction que sa personnalité est telle qu'elle lui permettra de réveiller les croyants qui lui ont ouvert les portes de l'Elysée. Nul ne peut lui reprocher de déployer une énorme énergie mais, pour l'heure, elle ne se conjugue guère avec le mot d'ordre qui était au cœur de sa conquête: l'efficacité. Les résultats tardent. Les statistiques qui permettent d'évaluer la copie gouvernementale ne sont guère au rendez-vous: le déficit public ne se réduit pas vraiment, la dette reste sur des sommets, le solde du commerce extérieur ne se redresse pas, le chômage diminue mais moins vite que chez nos voisins, la croissance continue à paresser (autour de 1,3% en 2019) et ne donne pas les marges nécessaires pour déclencher un très fort rebond de notre économie.

Un record de pessimisme 

Pour convaincre, cependant, les mots ne suffisent pas. Il faut des preuves concrètes. Elles sont d'autant plus nécessaires que les Français, à force de déceptions, sont devenus d'un immense pessimisme. Selon une enquête conduite par l'institut Ipsos pour la Fondapol, le think tank dirigé par le politologue Dominique Reynié, 81% des Français considèrent que le pays va dans la mauvaise direction. Alors que dans les autres pays étudiés par Ipsos, 59% en moyenne des personnes interrogées voient l'avenir en noir. Certes, ces données montrent que le monde ne nage pas dans l'optimisme mais la noirceur française est un record. Deux items étudiés le démontrent: 7 Français sur 10 pensent que la situation du pays va se dégrader et 45% estiment que leur niveau de vie a baissé alors que la moyenne chez nos voisins européens sur ce sujet n'est que de 29%.

Ces données révèlent un doute profond du peuple français sur son avenir collectif et un sentiment de déclassement sur la scène mondiale. Cet état d'esprit dévoile en creux un immense scepticisme sur la capacité des gouvernants à assurer le futur de la nation, tâche dont il a la responsabilité première. La France vit en fait une crise collective d'autant plus frappante que l'enquête Ipsos montre que, à titre individuel, 72% des Français sont satisfaits de leur sort. Comme l'écrit dans Les Echos du 17 juillet, Chloé Morin, directrice des projets internationaux chez Ipsos, "Nous sommes donc individuellement plutôt heureux, mais incapables de nous projeter ensemble dans un avenir désirable, nous doutons de pouvoir relever collectivement les défis immenses qui sont devant nous [...] Les chiffres dessinent […] une crise du nous, tout simplement."

Ce constat devrait être au cœur des interrogations de la rentrée et nourrir les réflexions estivales du chef de l'Etat. Il est impératif pour lui de ressouder un pays victimes de multiples fractures -économiques, sociales, territoriales, culturelles- qui demeurent toutes ouvertes en dépit de la fin de la crise des gilets jaunes. Pour y parvenir, il lui faut bien sûr trouver les bonnes réformes mais il lui faut aussi redonner un projet collectif au pays à travers une vision que, jusqu'alors, il n'a pas su formuler. On se rappelle le beau slogan de John Fitzgerald Kennedy: "Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous. Demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays." La version française à inventer aujourd'hui pour Emmanuel Macron serait plutôt: "Je sais ce que vous pouvez faire pour votre pays, voici le dessein que je vous propose pour son avenir."

Mon cher versys oui arrêtons de nous scléroser sur les gilets jaunes l'avenir est tellement plus important sinon pour nous mais pour nos enfants et petits enfants ... Scrutons l'avenir et arrêtons de nous prendre "indiciduellement" pour moins bêtes que nos voisins ... nous sommes tous sur le même bateau allant vers le même horizon !

il y a 11 minutes, ouest35 a dit :

On se rappelle le beau slogan de John Fitzgerald Kennedy: "Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous. Demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays." La version française à inventer aujourd'hui pour Emmanuel Macron serait plutôt: "Je sais ce que vous pouvez faire pour votre pays, voici le dessein que je vous propose pour son avenir."

c'est bien ce qu'il fait , merci ... il l'a proposé avec le programme sur lequel il a été élu ... une minorité es français est très opposé à cette réforme , ou assez opposés  ... en tête les régimes spéciaux , on comprend ... c'est un système injuste ... quand on pense que celui des marins a été établi par Colbert ...

Il y a 1 heure, versys a dit :

.... mais ça fait neuf mois que les contestations sont "cristallisées"....

Tu dis toi même que, dans notre pays, les syndicats ne représentent qu'eux mêmes, et tu as raison, mais, dans la même logique, on peut affirmer sans risque de se tromper que les gilets jaunes ne représentent qu'eux mêmes...

De plus, tu sais très bien aussi que sans le concours actif et spectaculaire des BBs, les gilets jaunes n'existent pas médiatiquement....

... et quand on existe pas médiatiquement, on n'existe pas......... 

"...les syndicats ne représentent qu'eux mêmes, et tu as raison, mais, dans la même logique, on peut affirmer sans risque de se tromper que les gilets jaunes ne représentent qu'eux mêmes..."

Et les gilets jaunes:

La liste «Alliance jaune», menée par le chanteur Francis Lalanne, a récolté environ 0,54%...

La liste «Évolution citoyenne» 0,01%...

C'est ce qui s'appelle, "représenter" le peuple !

il y a 31 minutes, ouest35 a dit :

Tout dépend de quelle manière médiatique on parle de vous ... les médias on le pouvoir trop important de raser, neutraliser pulvériser etc ... une réputation ! En faire sa Bible et sa vérité c'est perdre son propre discernement !

Bref ... voici un article de Challenges pas plus idiot qu'un autre (parlons plutôt de ce qui risque d'advenir, déja dans la musette du Président,  que de s'appesantir et de rabâcher sur des gilets jaunes qui  pour le moment ne donnent que sporadiquement des nouvelles "réchauffées" ):

https://www.challenges.fr/politique/gilets-jaunes-fracture-territoriale-macron-aurait-tort-de-croire-que-la-crise-societale-est-finie_665507

" L'été 2018 se présentait sous les meilleurs auspices. Avec la victoire des Bleus en Coupe du monde de football, tout le monde pariait sur le retour de l'optimisme dans le pays. On connaît la suite: l'automne des gilets jaunes, la panique du pouvoir, cette grosse dizaine de milliards dépensée pour faire retomber la révolte, ce trimestre de grand débat pour apaiser le pays et la pause de l'action gouvernementale jusqu'à la fin mai et les élections européennes. Bref, une année presque perdue et un président qui donna le sentiment de perdre sa boussole si précise de 2017.

Le voici, semble-t-il remonté sur son cheval, prêt à lancer de nouvelles réformes, à commencer par celle des retraites. Mais que sera la rentrée de septembre? Une fois encore, le sport fait souffler une brise agréable sur l'Hexagone. Les performances des coureurs français sur le Tour de France et la perspective d'une victoire tricolore le 28 juillet sur les Champs Elysées après 34 années de disette vont-elles contribuer à cet apaisement des esprits sur lequel le chef de l'Etat mise pour replacer sur de bons rails la seconde partie de son quinquennat? Le président en tout cas n'a pas hésité à passer deux jours sur la grande boucle pour partager les lauriers des deux champions français- Julian Alaphilippe et Thibaut Pinot – qui, depuis deux semaines, font rêver et espérer les amoureux de la petite reine et toute la France populaire d'une indéfectible fidélité à ce grand rendez-vous. Ou bien cet été ne sera-t-il qu'une parenthèse dans un Hexagone qui a dévoilé au cours des derniers mois l'ampleur de ses malaises et la profondeur des fractures qui le traversent?

Le bilan mitigé de Macron à mi-mandat

La France est une nation devenue si imprévisible qu'il serait bien audacieux de se lancer dans des spéculations sur les mois à venir au cours desquels les élections municipales en mars prochain seront une étape politique majeure. La République en marche (LREM) pense y remporter des victoires symboliques qui lui donneraient une assise territoriale qui lui fait défaut. Les macroniens voient dans les résultats du scrutin européen des raisons d'espérer et ont réussi à imposer l'idée qu'ils y avaient remporté un résultat prometteur pour la suite. Il est vrai que deux formations aujourd'hui dominent au plan national le paysage politique: LREM et le Rassemblement national lepéniste. Dans les chiffres, la situation est beaucoup moins brillante puisque le parti du chef de l'Etat a perdu 1.312.264 suffrages par rapport aux législatives de 2017 alors que la participation était quasi identique (avec même 563.612 suffrages exprimés en plus au mois de mai dernier!). Bref, la partie est loin d'être gagnée et l'issue plus incertaine que ne laisse penser la confiance affichée par les dirigeants de la majorité.

L'optimisme est certes une méthode habituelle de gouvernement, mais il ne suffit pas de l'afficher pour convaincre l'opinion. François Hollande et Nicolas Sarkozy, adeptes chacun à leur manière de cette méthode Coué, n'en ont tiré aucun profit au terme de leur mandat. Emmanuel Macron use encore plus sur cette corde-là tout en n'hésitant pas à fustiger les Français. L'optimisme est sa religion avec la conviction que sa personnalité est telle qu'elle lui permettra de réveiller les croyants qui lui ont ouvert les portes de l'Elysée. Nul ne peut lui reprocher de déployer une énorme énergie mais, pour l'heure, elle ne se conjugue guère avec le mot d'ordre qui était au cœur de sa conquête: l'efficacité. Les résultats tardent. Les statistiques qui permettent d'évaluer la copie gouvernementale ne sont guère au rendez-vous: le déficit public ne se réduit pas vraiment, la dette reste sur des sommets, le solde du commerce extérieur ne se redresse pas, le chômage diminue mais moins vite que chez nos voisins, la croissance continue à paresser (autour de 1,3% en 2019) et ne donne pas les marges nécessaires pour déclencher un très fort rebond de notre économie.

Un record de pessimisme 

Pour convaincre, cependant, les mots ne suffisent pas. Il faut des preuves concrètes. Elles sont d'autant plus nécessaires que les Français, à force de déceptions, sont devenus d'un immense pessimisme. Selon une enquête conduite par l'institut Ipsos pour la Fondapol, le think tank dirigé par le politologue Dominique Reynié, 81% des Français considèrent que le pays va dans la mauvaise direction. Alors que dans les autres pays étudiés par Ipsos, 59% en moyenne des personnes interrogées voient l'avenir en noir. Certes, ces données montrent que le monde ne nage pas dans l'optimisme mais la noirceur française est un record. Deux items étudiés le démontrent: 7 Français sur 10 pensent que la situation du pays va se dégrader et 45% estiment que leur niveau de vie a baissé alors que la moyenne chez nos voisins européens sur ce sujet n'est que de 29%.

Ces données révèlent un doute profond du peuple français sur son avenir collectif et un sentiment de déclassement sur la scène mondiale. Cet état d'esprit dévoile en creux un immense scepticisme sur la capacité des gouvernants à assurer le futur de la nation, tâche dont il a la responsabilité première. La France vit en fait une crise collective d'autant plus frappante que l'enquête Ipsos montre que, à titre individuel, 72% des Français sont satisfaits de leur sort. Comme l'écrit dans Les Echos du 17 juillet, Chloé Morin, directrice des projets internationaux chez Ipsos, "Nous sommes donc individuellement plutôt heureux, mais incapables de nous projeter ensemble dans un avenir désirable, nous doutons de pouvoir relever collectivement les défis immenses qui sont devant nous [...] Les chiffres dessinent […] une crise du nous, tout simplement."

Ce constat devrait être au cœur des interrogations de la rentrée et nourrir les réflexions estivales du chef de l'Etat. Il est impératif pour lui de ressouder un pays victimes de multiples fractures -économiques, sociales, territoriales, culturelles- qui demeurent toutes ouvertes en dépit de la fin de la crise des gilets jaunes. Pour y parvenir, il lui faut bien sûr trouver les bonnes réformes mais il lui faut aussi redonner un projet collectif au pays à travers une vision que, jusqu'alors, il n'a pas su formuler. On se rappelle le beau slogan de John Fitzgerald Kennedy: "Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous. Demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays." La version française à inventer aujourd'hui pour Emmanuel Macron serait plutôt: "Je sais ce que vous pouvez faire pour votre pays, voici le dessein que je vous propose pour son avenir."

Mon cher versys oui arrêtons de nous scléroser sur les gilets jaunes l'avenir est tellement plus important sinon pour nous mais pour nos enfants et petits enfants ... Scrutons l'avenir et arrêtons de nous prendre "indiciduellement" pour moins bêtes que nos voisins ... nous sommes tous sur le même bateau allant vers le même horizon !

 

Tout cela est parfaitement cohérent et réaliste, et le peuple de notre pays sanctionnera le bilan de  Macron en 2022.

.... mais "l'entreprise" jaune, et ses donneurs d'ordre, n'entend pas attendre jusque là et entend bien "démissionner" Macron par tous moyens à sa convenance, et c'est justement CES MOYENS que je dénonce...

... avec votre permission, ouest... 

il y a 16 minutes, stvi a dit :

c'est bien ce qu'il fait , merci ... il l'a proposé avec le programme sur lequel il a été élu ... une minorité es français est très opposé à cette réforme , ou assez opposés  ... en tête les régimes spéciaux , on comprend ... c'est un système injuste ... quand on pense que celui des marins a été établi par Colbert ...

 

[Sondage] 47 % des Français opposés à la réforme des retraites ...

 

https://www.institutmontaigne.org/.../sondage-47-des-francais-opposes-la-r...

 

 

4 juil. 2019 - Les Français sont partagés sur la réforme des retraites prévue par Emmanuel Macron et le gouvernement d'Edouard Philippe : 47 % y sont ...

Mais parce que les réformes baisent toujours une partie, et toujours la même. 

il y a 7 minutes, versys a dit :

Tout cela est parfaitement cohérent et réaliste, et le peuple de notre pays sanctionnera le bilan de  Macron en 2022.

.... mais "l'entreprise" jaune, et ses donneurs d'ordre, n'entend pas attendre jusque là et entend bien "démissionner" Macron par tous moyens à sa convenance, et c'est justement CES MOYENS que je dénonce...

... avec votre permission, ouest... 

Versys vous en êtes encore aux élucubrations de certains meneurs de revue ! Mais voyons les "véritables" GJS n'en sont plus là (une Levavasseur demande-t-elle la démission de Macron ? si oui dites-le moi j'aurais zappé quelque chose !) et en tout cas les 4/5 que je connais ici s'investissaient déja dans la vie de la Cité et se prépare pour Mars et 2022 non pas en briguant eux-mêmes "les places" mais en oeuvrant près des citoyens de manière très cohérente ! Ceux-là ne feront sans doute jamais parlé d'eux dans les médias mais ils seront petit a petit très présents ! Versys je ne retiens que ceux-là les casseurs copains des blacks machins je les ignore et les fuies je n'aime que les gens constructifs et responsables ... !

Ma prédiction pour 2022 vu que personne de sérieux en face Jupiter : il repassera faute de grive les gens mangeront du merle ! Mais le parti gagnant sera celui des abstentions et des blancs ... comme il compte pour du beurre on dira encore que le Président sera élu a une majorité écrasante ! (sauf un miracle ... je serais du second groupe ... blanc ) !

il y a 9 minutes, Anatole1949 a dit :

"...les syndicats ne représentent qu'eux mêmes, et tu as raison, mais, dans la même logique, on peut affirmer sans risque de se tromper que les gilets jaunes ne représentent qu'eux mêmes..."

Et les gilets jaunes:

La liste «Alliance jaune», menée par le chanteur Francis Lalanne, a récolté environ 0,54%...

La liste «Évolution citoyenne» 0,01%...

C'est ce qui s'appelle, "représenter" le peuple !

 

Absolument, Anatole... et j'évoquais plus haut le problème de représentativité dont souffrent les jaunes, persuadés de réunir 78% d'opinions favorables dans notre pays...

N'oublions pas que cette illusion est savamment entretenue par les mouvances idéologiques extrémistes de notre pays qui portent ce mouvement à bout de bras... 

il y a une heure, ouest35 a dit :

Ce constat devrait être au cœur des interrogations de la rentrée et nourrir les réflexions estivales du chef de l'Etat. Il est impératif pour lui de ressouder un pays victimes de multiples fractures -économiques, sociales, territoriales, culturelles- qui demeurent toutes ouvertes en dépit de la fin de la crise des gilets jaunes. Pour y parvenir, il lui faut bien sûr trouver les bonnes réformes mais il lui faut aussi redonner un projet collectif au pays à travers une vision que, jusqu'alors, il n'a pas su formuler.  "Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous. Demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays." La version française à inventer aujourd'hui pour Emmanuel Macron serait plutôt: "Je sais ce que vous pouvez faire pour votre pays, voici le dessein que je vous propose pour son avenir."

 

Macron ne veut pas changer la situation. 

Cette phrase signifie être contre le lien social.

Il fait une politique pour les très riches.

il y a 4 minutes, Pensée philo a dit :

Macron ne veut pas changer la situation. 

Cette phrase signifie être contre le lien social.

Il fait une politique pour les très riches.

La France archaïque doit être réformée, c'est pour ça qu'il a été élu, il le fait !

Le problème dans ce pays c'est que les gens qui veulent le changement le souhaitent à la condition que cela concerne que les autres.

il y a 23 minutes, ouest35 a dit :

Ma prédiction pour 2022 vu que personne de sérieux en face Jupiter : il repassera faute de grive les gens mangeront du merle ! Mais le parti gagnant sera celui des abstentions et des blancs ... comme il compte pour du beurre on dira encore que le Président sera élu a une majorité écrasante ! (sauf un miracle ... je serais du second groupe ... blanc ) !

La seule chance pour Macron d'être réélu c'est que l'on pense qu'il va être réélu.

On nous dit qu'il n'y a pas d'alternatives crédibles pour que l'on pense qu'il n'y en a pas.

Macron a montré qu'il faisait une politique injuste. Il fait monter l'extrême droite exprès, donc voter Macron, c'est voter pour l'extrême droite. Il divise le pays. Les travailleurs et les chômeurs, les Français et la police.

il y a 29 minutes, versys a dit :

Absolument, Anatole... et j'évoquais plus haut le problème de représentativité dont souffrent les jaunes, persuadés de réunir 78% d'opinions favorables dans notre pays...

N'oublions pas que cette illusion est savamment entretenue par les mouvances idéologiques extrémistes de notre pays qui portent ce mouvement à bout de bras... 

L'illusion savamment entretenue ce ne serait pas surtout par vous et vos comparses versys ?? Ou vous prenez la majorité des lambdas, dont je suis,  pour des idiots ... je puis vous assurer qu'on sait encore réfléchir et faire la différence entre le jaune brun et le jaune clair voir l'incolore ... et n'en penser que ce qu'on veut mais surtout pas se mettre dans les 78% créés de toute pièce par les médias  "eux" certes très honnêtes n'est-ce pas et a croire comme paroles d'Evangiles  ! Mais Versys les lambdas se foutent royalement des illusionnistes ils ont les pieds bien ancrés dans la glaise et besognent très souvent sans l'ouvrir (et sans beaucoup m'avancer ce serait ceux-là les 78% dont un très grand nombre ont depuis longtemps "perdu" leurs illusions et font ce qu'ils peuvent mais oublient le chemin des urnes ... (le jour où les nuls et blancs seront décompter la donne sera moins cocoricotante pour l'élu ... qui celui-ci comme ses prédécesseurs ne marque pas d'empressement a légiférer sur le sujet )   !  

il y a 3 minutes, Anatole1949 a dit :

La France archaïque doit être réformée, c'est pour ça qu'il a été élu, il le fait !

Le problème dans ce pays c'est que les gens qui veulent le changement le souhaitent à la condition que cela concerne que les autres.

Alors il ne fallait pas voter pour Macron.

Tu parles des très riches ?

il y a 5 minutes, Pensée philo a dit :

La seule chance pour Macron d'être réélu c'est que l'on pense qu'il va être réélu.

On nous dit qu'il n'y a pas d'alternatives crédibles pour que l'on pense qu'il n'y en a pas.

Macron a montré qu'il faisait une politique injuste. Il fait monter l'extrême droite exprès, donc voter Macron, c'est voter pour l'extrême droite. Il divise le pays. Les travailleurs et les chômeurs, les Français et la police.

Philosophe vous allez vous faire étriper ici !

La parade aller voter mais blanc ! C'est quand même montrer son désaccord et surtout ne plus retomber dans la trouille Le Penniste !

il y a 5 minutes, Pensée philo a dit :

La seule chance pour Macron d'être réélu c'est que l'on pense qu'il va être réélu.

On nous dit qu'il n'y a pas d'alternatives crédibles pour que l'on pense qu'il n'y en a pas.

Macron a montré qu'il faisait une politique injuste. Il fait monter l'extrême droite exprès, donc voter Macron, c'est voter pour l'extrême droite. Il divise le pays. Les travailleurs et les chômeurs, les Français et la police.

Tout ça, quel Homme !!!!

C'est la France Insoumise qui parle ... au nom du peuple ?

6,31% aux dernière élections, hummmm ça arrache °°°°