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Réflexion sur le travail


Eyilink

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Nouveau, 35ans Posté(e)
Eyilink Nouveau 2 messages
Baby Forumeur‚ 35ans‚
Posté(e)

Depuis l’aube d’un jour , l’homme convoitise la valeur ,il essaie par toutes conventions de s’élever socialement , le travail essence importante de l’homme, il l’a marchandisé après l’avènement de la société.Travailler moins , c’est vivre mieux? En quoi la quantité de travail peut-elle nous amener à la sublimation et dans quelles conditions est-elle marchandable ?

 

La réduction d’un temps de travail est-elle un bienfait. Cela varie en fonction des convictions de chacun.Si on réduit le temps de travail d’un travailleur engagé, cela réduira son temps d’épanouissement personnel.Par exemple, Rousseau écrivant la partie botanique de l’Encyclopédie, si on lui avait réduit son temps de travail, il aurait peut-être pu s’intégrer à la société au lieu de rester dans une situation précaire , en revanche il n’aurait pas été reconnu abouti à notre époque d’un point de vu extérieurement public, involontairement ou pas.

Au contraire, si on réduit le temps de travail marchandisé, d’un prolétaire qui en soit est enclavé dans une conduite forcée, alors peut-être qu’il s’engagera dans un travail ayant pour but de s’accomplir,alors il aura un épanouissement personnel et peut-être reflété à son entourage sûrement composé de la même catégorie sociale.Le bilan aboutira fréquemment à la sublimation.

La quantité de travail est une sorte de biomasse puisqu’elle est est comparable.La biomasse du travail est une comparaison qui permet de trouver un nombre d’heure de travail pour un certain ouvrier en fonction du capital du nombre d’heure et le nombre de personne travaillante. Cette biomasse du travail peut prouver que le temps de travail marchandisé d’un individu sera moyennement inégal au temps de travail marchandisé d’un autre individu. C’est à dire

que si on réduit le temps de travail marchandisé de ces deux individus de moitié , deux autre individus au chômage pourrait les remplacer sur les heures que les deux premiers cèdent et donc augmenter le nombre de personne et baisser cette biomasse.Si la biomasse du travail baisse alors le travailleur peut avoir plus de travail engagé et donc d’épanouissement personnel relatif à son temps libre,mais il ne pourra peut-être plus survivre en relation avec le système économique de la société.

 

Le travail est un faculté qui est forcément développer, mais il ne faut pas que travailler, il faut œuvrer. Grâce à l’expérience qui est le capital de travail en heure pour un individu,qui rend l’apprentissage de la technique plus efficace.Une œuvre est un travail reconnu par un nombre de personne, un groupe...L’ensemble des œuvres est le savoir.Travailler c’est vivre mieux, pour s’accomplir l’homme aurait-il besoin d’œuvrer?Le travail est il un des chemins qui mène à la sublimation ?

La sublimation est un moment à partir duquel l’homme ne regrette rien , elle est le fruit du progrès , l’homme a toujours cherché à progresser pour améliorer ses conditions .

L’aboutissement d’un point de vue extérieur plus couramment appelé la reconnaissance est plus clair , elle a souvent amené des gens à se sublimer en dépassant ceux pour lesquelles ils avaient de la reconnaissance par le moyen du travail mais aussi d’autres variables comme le quotient d’intelligence...Par exemple Einstein s’est servi du travail d’autres scientifiques et de cela en particulier puisque il avait forcément de la reconnaissance.

 

Le travail aliéné selon Marx, un travail marchandisé au 18ème siecle avec un but impersonnel.Le travail est une forme d’autonomie et nécesité qui s’est déplacé vers une forme d’autonomie et de nécessité collective depuis que la société est devenu capitaliste.Par exemple, chacun dans la société à une place respective quel-qu’elle soit , pour que la société fonctionne il faut que le travailleur travaille pour une communauté.Le prolétaire devient étrangé à son travail car il ne travaille pas pour se sublimer mais pour survivre car la système économique l’implique, il ne se sublime plus lui mais un groupe de personne voire une personne .En d’autres terme, la société devrait enclavé théoriquement le progrès puisque les prolétaires subliment une personne.Mais le déplacements de chacune de ces sublimations personnelles vers un capital démultiplie la sublimation commune.Par exemple , depuis que l’homme a institué la société capitaliste , il a extraordinairement progressé même si il doit abandonner le travail par nature.

 

Le travail marchandisé dans la société est une sorte d’enclave puisqu’il a pris le sens politique de « l’action de travailler »,puisqu’il vise le bien commun.On pourrait pratiquement dire que le travail par nature n’est plus envisageable dans notre société , puisque la concurrence et entre-autre la survie incite à prendre le dessus , et si le prolétaire envisageait d’arrêter son travail marchandisé ,

il ne pourrait pas garantir sa survie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Membre, Docteur Honoris Causa es "Patati & Patata ...", 62ans Posté(e)
BadKarma Membre 15 072 messages
62ans‚ Docteur Honoris Causa es "Patati & Patata ...",
Posté(e)

Un sujet qui nécessitera un bien trop considérable travail de réflexion pour ma part...

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Membre, Talon 1, 79ans Posté(e)
Talon 1 Membre 24 283 messages
79ans‚ Talon 1,
Posté(e)

Le travail nous rend utiles. Le métier est une composante de la personnalité. Le contrat de travail est une feuille magique qui transforme le temps en argent.

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Membre, Forumeur confit, Posté(e)
Enchantant Membre 17 949 messages
Forumeur confit,
Posté(e)
Il y a 3 heures, Eyilink a dit :

Le travail marchandisé dans la société est une sorte d’enclave puisqu’il a pris le sens politique de « l’action de travailler »,puisqu’il vise le bien commun.On pourrait pratiquement dire que le travail par nature n’est plus envisageable dans notre société , puisque la concurrence et entre-autre la survie incite à prendre le dessus , et si le prolétaire envisageait d’arrêter son travail marchandisé ,

il ne pourrait pas garantir sa survie.

On peut intellectualiser à l’infini, sans nécessairement avoir raison, restons simple si vous le voulez bien.

Si on admet que l’homme est un être vivant dépendant entièrement de la nature, on est déjà sur une bonne base pour dresser la perspective du sujet.

Par exemple, l’oiseau, lui aussi, comme nous-mêmes, dépendons de la nature, sa préoccupation principale pour survivre, est la recherche de nourriture, lorsque ce premier objectif est atteint, il cherche à se reproduire pour perpétuer l’espèce. Qu’il en soit conscient ou pas ne change rien, c’est ce qu’il fait et que nous observons. Puis lorsque la nichée survient, redouble d’effort pour se nourrir lui et sa nichée, juste sur un laps de temps, permettant aux oisillons de voler de leurs propres ailes.

 Cette préoccupation essentielle de l’oiseau est ce que j’appelle la contingence.

L’homme, lui aussi est soumis à cette même contingence, celle de se nourrir, c’est une contrainte, puis de se reproduire, qu’il en est conscience ou pas, ne change rien.

Le travail, pour l’oiseau, c’est de se débrouiller seul pour assurer son minimum vital.

La division des tâches chez l’homme, lui a fait perdre cette notion essentielle, qu’il est lui aussi, soumis à cette contingence, qu’il le veuille ou pas.

Or le travail, dans la société humaine, c’est le moyen exclusif et unique pour chaque individu, de répondre à cette contrainte indispensable et existentielle d’assurer ses besoins de base.

De croire que l’organisation des sociétés humaine devrait répondre aux besoins de l’individu, cela en tout lieu, en tout temps, à tout moment, partout, est une terrible illusion mentale.

Par ailleurs, le travail est la seule façon qui permet à l’individu de se socialiser, de comprendre, d’appréhender le sens de l’existence, de prendre conscience qu’il dépend de lui mais aussi des autres et qu’il s’inscrit dans un tout cohérent.

Que vous traitiez ce sujet essentiel, celui du travail, manifeste de votre saine préoccupation de l’esprit à ce sujet, c’est bien la raison pour laquelle vous échafaudez des théories, certes un peu fumeuse, mais c’est bien quand même,  cela permet de réfléchir  ensemble à ce sujet hautement complexe !

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Membre, Posté(e)
Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Pour moi cela est une réelle question. Est ce qu'on marchande de la douleur ou du négatif pour effort car cela relèverait d'une relation perverse sado-masochiste pour recueille de son bien être ?

Et peut être est ce pour cela qu'on ne cesse d'être ergonomique ...

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Membre, Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé, Posté(e)
azad2B Membre 5 932 messages
Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé,
Posté(e)

Pour vous, je ne sais pas. Mais pour moi, c'est net et tranché : je ne pourrais jamais faire quelque chose qui ne m' amuse pas. Et j' ai dû naître sous une bonne étoile car je considère que jamais je n' ai travaillé de ma vie. En Corse les racines latines des mots en Fançais, sont très bien perçues : travail = torture ) Mais ce n'est pas parce que j' habite en Corse que le travail me répugne, mais parce que ce que je fais oscille entre mes deux centres d' attractions préférés l'informatique et l' électronique. Et pour moi, ces occupations sont tout le contraire d'une torture. Je peux me lever à 4 h du matin si la nuit m' a conseillé une solution pour résoudre le problème qui m'occupe en ce moment et rester ensuite éveillé jusque' à minuit pour le résoudre définitivement ou en tout cas pour avoir éliminé les plus grosses difficultés. Et cela sans manger, simplement à force de café. Par contre ne me demandez pas de faire le ménage ou la vaisselle à la maison. Ca c'est du vrai travail. Pouahhh ! Heureusement il y a des gens qui font cela très bien, très vite et sans sembler en souffrir le moins du monde. Je paye plus du  double de ce qu'ils touchent chez les patrons qui les exploitent et à 25 € de l' heure, ils sont très heureux de venir passer l' aspirateur chez moi.

Avouez que j'ai de la chance.

 

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, azad2B a dit :

Pour vous, je ne sais pas. Mais pour moi, c'est net et tranché : je ne pourrais jamais faire quelque chose qui ne m' amuse pas. Et j' ai dû naître sous une bonne étoile car je considère que jamais je n' ai travaillé de ma vie. En Corse les racines latines des mots en Fançais, sont très bien perçues : travail = torture ) Mais ce n'est pas parce que j' habite en Corse que le travail me répugne, mais parce que ce que je fais oscille entre mes deux centres d' attractions préférés l'informatique et l' électronique. Et pour moi, ces occupations sont tout le contraire d'une torture. Je peux me lever à 4 h du matin si la nuit m' a conseillé une solution pour résoudre le problème qui m'occupe en ce moment et rester ensuite éveillé jusque' à minuit pour le résoudre définitivement ou en tout cas pour avoir éliminé les plus grosses difficultés. Et cela sans manger, simplement à force de café. Par contre ne me demandez pas de faire le ménage ou la vaisselle à la maison. Ca c'est du vrai travail. Pouahhh ! Heureusement il y a des gens qui font cela très bien, très vite et sans sembler en souffrir le moins du monde. Je paye plus du  double de ce qu'ils touchent chez les patrons qui les exploitent et à 25 € de l' heure, ils sont très heureux de venir passer l' aspirateur chez moi.

Avouez que j'ai de la chance.

 

Tu es corse ? Tiens, finalement y'a des corses sympas !

La Bruyère :

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