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"La marée populaire" du 26 mai, un "ovni" politique et syndical pour "faire reculer Macron"

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versys Membre 18 344 messages
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Il y a 18 heures, voileux a dit :

La rue effectivement c'est la concrétisation de la volonté populaire, je me fiche du reste, s'avérer incapable de comprendre cela , relève du handicap...

Mais il y a toujours quelqu'un qui exploite et compte bien tirer bénéfice de cette "concrétisation", en l'occurrence, il s'agit de JLM...

Je note qu'à vos yeux, ceux qui raisonnent différemment sont qualifiés d'handicapés.

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voileux Membre 7 613 messages
Mentor‚
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il y a 51 minutes, versys a dit :

Mais il y a toujours quelqu'un qui exploite et compte bien tirer bénéfice de cette "concrétisation", en l'occurrence, il s'agit de JLM...

Je note qu'à vos yeux, ceux qui raisonnent différemment sont qualifiés d'handicapés.

Tiens donc, en abatant un mensonge grotesque, notamment sur Mélenchon, tout cela en oubliant qu'hier , tous les syndicats mêmes les pro macrons à savoir la CFDT et FO ont défilé...La spécificité de ces deux syndicats pourris (quoi que le dernier semble redresser la barre avec son nouveau président), reste d'avoir intégré avec deux délégués l'équipe Macron, la CFDT s'était prostituée auparavant avec Sarkosy , puis Hollande...

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Scrongneugneu Membre 6 135 messages
Forumeur vétéran‚ 77ans‚
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Il y a 5 heures, voileux a dit :

Un salarié du privé non seulement c'est 62 ans , mais il ne peut travailler s'il n'a pas cotisé 42 ans...Un militaire ou gendarme peut lui travailler et il percevra en plus bien souvent une autre paie de l'état...Chez nous ils sont trois l'un est garde municipal , les deux autres conduisent le bus du conseil général. Ajoutons une autre injustice, une ou un veuf fonctionnaire touchera 62% de la pension de reversion de son conjoint, et cela sans la limitation du privé (si déjà il ou elle touche un montant équivalent au smic, il ou elle ne touchera rien) aucun cheminot ,ni aucun privé n'a ces avantages honteux. Pour la grande théorie de ceux qui risquent leur peau, peut on comparer les gendarmes et les soldats avec les ouvriers du batiment. 183 morts ,nombre en baisse car le batiment a perdu beaucoup d'emplois, la même année 13 morts chez les flics ou soldats, soit 10 plus fois moins...La même année, le nombre de décès suite à un accident du travail pour les travailleur-euse-s inscrit-e-s au régime général (l’essentiel des travailleur-euse-s civiles) est de 541. Que les effectifs civils soient bien plus importants que les effectifs militaires ne fait que révéler les postes prioritaires du complexe militaro-industriel français. [2].

Il parait honnête de préciser à Paris, mais l'honnêteté chez Macron ou ses les chèvres qui ont voté pour lui, , il est vrai trop girouettes pour en posséder une once

Les accidents du travail sont une chose, les régimes spéciaux une autre. Hors de tout baratin, je suis pour la suppression de tous les régimes spéciaux, inclus nos élus. En dehors des indépendants, les heures travaillées devraient être les mêmes pour tous. Ne devrait être pris en compte que la pénibilité réelle, non liée a un statut donnant réduction, si c'est un travail de bureau par exemple. Les avantages à vie aussi. En activité pourquoi pas.

Des pays ont mis des graduation sur la pénibilité ( non pénible, pénible pour exemple, garde de nuit, permanence, horaires variables, et pénible tel que physique et debout ) mais cela ne va pas au delà de 5 ans. La retraite à point est aussi bien plus juste.

De toute manière notre système en l'état va droit dans le mur, au regard des droits de certaines catégories que n'ont pas les autres, ainsi que la longévité et la dépendance.

 

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voileux Membre 7 613 messages
Mentor‚
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il y a 13 minutes, Scrongneugneu a dit :

Les accidents du travail sont une chose, les régimes spéciaux une autre. Hors de tout baratin, je suis pour la suppression de tous les régimes spéciaux, inclus nos élus. En dehors des indépendants, les heures travaillées devraient être les mêmes pour tous. Ne devrait être pris en compte que la pénibilité réelle, non liée a un statut donnant réduction, si c'est un travail de bureau par exemple. Les avantages à vie aussi. En activité pourquoi pas.

Des pays ont mis des graduation sur la pénibilité ( non pénible, pénible pour exemple, garde de nuit, permanence, horaires variables, et pénible tel que physique et debout ) mais cela ne va pas au delà de 5 ans. La retraite à point est aussi bien plus juste.

De toute manière notre système en l'état va droit dans le mur, au regard des droits de certaines catégories que n'ont pas les autres, ainsi que la longévité et la dépendance.

 

Je suis entièrement d'accord, mais je suis plus que septique sur la mise en place d'un système si égalitaire...Pour cela il faut des politiques honnêtes et cela n'existe pas...

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LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
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Il y a 6 heures, versys a dit :

Mais il y a toujours quelqu'un qui exploite et compte bien tirer bénéfice de cette "concrétisation", en l'occurrence, il s'agit de JLM... Je note qu'à vos yeux, ceux qui raisonnent différemment sont qualifiés d'handicapés.

Il y a une catégorie de gens qui est obsédée par JLM ! C'est flagrant ! Ils étalent et font tourner leurs obsessions en boucle ! Il pourrait y avoir contamination, non ? :smile2: Est-ce bon pour la santé mentale des français ? 

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Face à un gouvernement inflexible, l’arme incontournable de la manifestation

Les syndicats de fonctionnaires se mobilisent mardi et une « marée populaire » est organisée samedi par une cinquantaine d’organisations.

 

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Encore une semaine chargée sur le plan social et à haut risque pour l’exécutif. Une nouvelle mobilisation des fonctionnaires – la troisième en moins d’un an – est organisée mardi 22 mai. Cette fois unis, les neuf syndicats représentatifs de la fonction publique appelent à faire grève et à défiler pour dénoncer les mesures envisagées pour les agents. Samedi 26 mai, c’est une cinquantaine d’associations, de syndicats et de partis politiques, dont la CGT et La France insoumise (LFI), qui entendent provoquer une « marée populaire » à Paris et en province contre les réformes voulues par Emmanuel Macron.

Une colère à laquelle, au sommet de l’Etat, on dit être attentif. Lundi, Olivier Dussopt, secrétaire d’Etat auprès de Gérald Darmanin, ministre de l’action et des comptes publics, a cherché à rassurer les fonctionnaires sur leur statut. « Il y aura des ajustements, une modernisation, mais pas de remise en cause », a-t-il déclaré à Libération. Des propos qui se veulent apaisants sur la forme, mais, sur le fond, l’ancien socialiste rallié au nouveau pouvoir ne lâche rien. 

Lire aussi :   Manifestation du 22 mai : le salaire des fonctionnaires reste un point de crispation

Dans ces conditions, face à un gouvernement qui se montre inflexible et qui veut faire de ce bras de fer avec les grévistes la preuve ultime de son réformisme, descendre dans la rue sert-il encore à quelque chose ? Oui, selon Olivier Fillieule, auteur avec Danielle Tartakowsky, de La Manifestation (2013, Presses de Sciences Po). « En France, entre deux élections, c’est le seul moyen de se faire entendre, indique ce professeur de sociologie politique à l’université de Lausanne (Suisse). C’est une soupape qui permet d’exprimer le mécontentement et d’alerter sur la défaveur d’une partie de l’opinion. Cela permet aussi aux syndicats de tenir leur base et de resserrer les rangs, de construire du collectif et de la solidarité. »

De plus en plus de mal à « faire masse »

Il s’agit alors de se compter, de se reconnaître, de se motiver mais surtout d’instaurer un rapport de force avec les pouvoirs publics. D’où le traditionnel débat sur les chiffres de participation entre les syndicats et la police, dont plusieurs médias, notamment Le Monde, tentent de sortir en proposant un comptage indépendant. « La manif ne fonctionne que si on fait masse, admet Clémentine Autain, députée LFI de Seine-Saint-Denis. Mais si des formes démocratiques suscitent le mépris du pouvoir en place, y compris avec des termes comme “grévitudes”, et que la seule légitimité est celle des urnes, on peut basculer dans un régime autoritaire de nature à radicaliser les formes d’action. »

Problème : les syndicats ont de plus en plus de mal à « faire masse ». Il faut remonter à 2010 pour voir 1,2 million de personnes selon le ministère de l’intérieur, 3,5 millions selon la CGT, défiler contre la réforme des retraites voulue par Nicolas Sarkozy. Depuis, les cortèges n’ont plus jamais atteint un tel niveau. En cause notamment : une division syndicale qui persiste et une certaine désillusion des manifestants qui ont intégré les défaites passées. Depuis le début des années 2000, à de rares exceptions près, comme le mouvement contre le contrat première embauche (CPE) en 2006, les différents gouvernements ont en effet choisi de ne pas reculer.

Lire aussi :   Berger, Martinez et Pavageau ensemble pour les fonctionnaires

« Pour nous, c’est un affichage de ne pas céder à la rue », affirme Fabrice Angei, membre du bureau confédéral de la CGT. Il souligne ainsi que des avancées, certes « insuffisantes », ont pu être obtenues ces derniers mois après les manifestations des personnels pénitentiaires, des retraités ou de salariés des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad). « Mais ce qui prend le dessus aujourd’hui, ce sont des questions de sens du travail, analyse-t-il. Ce que dénoncent les personnels des hôpitaux ou des Ehpad est aussi une forme de maltraitance institutionnelle. A partir de là, il y a des barrières qui sautent. »

Reste que son syndicat bute toujours sur une difficulté : il n’y a toujours pas de « convergence des luttes » malgré les manifestations interprofessionnelles à répétition que la CGT organise. Une stratégie critiquée par Laurent Berger. « Notre capacité à reprendre l’initiative ne se fera pas manif après manif, mais sur le modèle social que l’on veut construire, confie au Monde le secrétaire général de la CFDT. Le gouvernement veut nous renvoyer vers la radicalité. La voie, c’est faire le boulot dans les entreprises et faire des propositions solides. »

« Stratégie risquée »

Pour peser, la manifestation doit s’articuler avec d’autres modes d’action collectifs, notamment la grève. Elle donne alors à voir la colère et la mise en mouvement de salariés qui ont cessé le travail, ce qui est plus difficile à visualiser. A ce titre, Eric Beynel, porte-parole de Solidaires, reconnaît qu’« il manque quelque chose dans le rapport de force » pour la « marée populaire » du 26 mai qui n’est adossée qu’à elle-même. A la SNCF, les syndicats de cheminots, eux, n’ont eu que peu recours à la manifestation, exception faite du 22 mars, et ont privilégié des modalités d’action plus innovantes comme la grève en pointillé ou le référendum d’entreprise dont le résultat sera connu mercredi.

L’efficacité immédiate d’une manifestation n’est pas seule en jeu. Une mobilisation peut avoir des répercussions qui rebondissent dans le temps et sont difficiles à mesurer. « Le pari du gouvernement, c’est de se dire qu’ils ont un syndicalisme affaibli en France, note Baptiste Giraud, maître de conférences en science politique à l’université d’Aix-Marseille. Ils envoient l’idée qu’ils ne comptent sur aucun syndicat. Mais le risque, comme par exemple à la SNCF, est de s’aliéner le soutien potentiel des syndicats réformistes pour d’autres réformes. » Notamment celle des retraites que prépare Jean-Paul Delevoye, le haut-commissaire chargé de repenser de fond en comble le système, un texte attendu fin 2018 ou début 2019 et potentiellement explosif.

Au cours des années, les manifestations ont aussi évolué dans leur forme et des transformations profondes y sont à l’œuvre. Pendant la loi travail de 2016, le mouvement Nuit debout a tenté de repenser et de dépasser le défilé traditionnel en s’installant place de la République, à Paris. Toujours cette année-là, le déploiement du « cortège de tête », composé de black blocs mais aussi de manifestants qui font masse autour d’eux sans pour autant participer aux violences, a également bousculé les formes classiques.

L’exemple le plus frappant reste le 1er mai 2018 où le « cortège de tête » était, à Paris, quasiment aussi important que le défilé syndical. « La perception de l’efficacité de la manifestation a décru, estime M. Fillieule. C’est aussi le produit de la manière dont le gouvernement répond aux manifestants. Adopter une forme de rigidité est une stratégie risquée qui pousse à la radicalisation des modes d’action. Même lorsque l’on n’entend pas céder, il importe de donner a minima le sentiment de ne pas rester sourd à la rue. »

https://abonnes.lemonde.fr/politique/article/2018/05/22/face-a-un-gouvernement-inflexible-l-arme-incontournable-de-la-manifestation_5302535_823448.html

 
 
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Membre, Posté(e)
versys Membre 18 344 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, LouiseAragon a dit :

Il y a une catégorie de gens qui est obsédée par JLM ! C'est flagrant ! Ils étalent et font tourner leurs obsessions en boucle ! Il pourrait y avoir contamination, non ? :smile2: Est-ce bon pour la santé mentale des français ? 

Il n'y a aucune inquiétude à avoir concernant la santé mentale des français, ils sont parfaitement lucides.

La seule obsession qui court, c'est celle de JLM qui cherche désespérément à déclencher la "déferlante" de salut public, genre "Lutte Finale" depuis sa défaite de 2017... :D

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Membre, 77ans Posté(e)
Scrongneugneu Membre 6 135 messages
Forumeur vétéran‚ 77ans‚
Posté(e)
Il y a 14 heures, voileux a dit :

Je suis entièrement d'accord, mais je suis plus que septique sur la mise en place d'un système si égalitaire...Pour cela il faut des politiques honnêtes et cela n'existe pas...

Exact !

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Constitution ! http://www.conseil-constitutionnel.fr/conseil-constitutionnel/francais/la-constitution/la-constitution-du-4-octobre-1958/preambule-de-la-constitution-du-27-octobre-1946.5077.html
 5. Chacun a le devoir de travailler et le droit d'obtenir un emploi. Nul ne peut être lésé, dans son travail ou son emploi, en raison de ses origines, de ses opinions ou de ses croyances.

6. Tout homme peut défendre ses droits et ses intérêts par l'action syndicale et adhérer au syndicat de son choix.

7. Le droit de grève s'exerce dans le cadre des lois qui le réglementent.

8. Tout travailleur participe, par l'intermédiaire de ses délégués, à la détermination collective des conditions de travail ainsi qu'à la gestion des entreprises.

Entre deux élections, les citoyens ont encore et toujours des Droits démocratiques de grève, de manifester, de s'associer, de s'exprimer, de pétitionner, de s'organiser, d'informer ... 

Le Pouvoir présidentiel s'exprime dans les médias et prend la parole à la TV, dans les journaux ... Les citoyens n'ont pas d'autre moyen que la rue lorsque le Pouvoir 'droit dans ses bottes" refuse d'écouter et de négocier dans les instances constitutionnelles prévues ! 

Le pouvoir fait mine de ne pas voir les grèves et manifestations des gardiens de prison, des policiers, des hospitaliers, des enseignants, des personnels de maisons de retraite, des cheminots, des taxis, des postiers, des routiers, des salariés de Carrefour, Lidl (...) de PSA, de Bosh, de l'hôtellerie, des centres d'appels (...) ... le pouvoir pousse à la poursuite  des mouvements sociaux ! Jusqu'où ? 

:hum: 

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Membre, 88ans Posté(e)
ouest35 Membre 28 230 messages
Maitre des forums‚ 88ans‚
Posté(e)

:crazy: Pour les bretons du coin ...

A Rennes y'a déjà les mouettes, la marée c'est samedi  a 14 heures Place Charles de Gaulle.

N'oubliez pas les chapeaux et la bouteille d'eau va faire chaud !!! J'apporte les cerises ....vous me reconnaitrez j'aurais un Panama aux couleurs  arc-en-ciel  avec des rubans bleu blanc rouge :crazy:

Modifié par ouest35
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Membre, 88ans Posté(e)
ouest35 Membre 28 230 messages
Maitre des forums‚ 88ans‚
Posté(e)
Il y a 14 heures, versys a dit :

Il n'y a aucune inquiétude à avoir concernant la santé mentale des français, ils sont parfaitement lucides.

La seule obsession qui court, c'est celle de JLM qui cherche désespérément à déclencher la "déferlante" de salut public, genre "Lutte Finale" depuis sa défaite de 2017... :D

Si on n'en parlait pas autant en boucle sur ce forum on l'aurait oublié depuis belle lurette ... :rolle: (on parle Cahuzac, Fillon, Beaupin, etc ... etc ... ) !

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 63 050 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Le 22/05/2018 à 08:22, PLS maker a dit :

Emmerder, emmerder, c'est vite dit. 

Vous voulez de l'emmerde ? Eh ben, grève des profs et des transports pendant le BAC puis le brevet :spiteful: là on pourra parler d'emmerde. 

C'est pas déjà arrivé?

https://www.francetvinfo.fr/societe/education/retard-au-bac-pour-cause-de-greve-que-faire_1690653.html

 

Au moins pour les transports...

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 63 050 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Le 23/05/2018 à 07:22, fx. a dit :

Sur près de 6 millions...une goute d'eau dans la mer!

Faut croire qu'il y en a un maximum qui est conscient d'être privilégié..

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il y a une heure, Morfou a dit :

Sur près de 6 millions...une goute d'eau dans la mer!

Faut croire qu'il y en a un maximum qui est conscient d'être privilégié..

Alors déjà c'est moins de 5.5 millions, ensuite la territoriale qui est la moins concernée par les réformes est la plus grosse pourvoyeuse et enfin, un agent sur cinq est contractuel, voilà de quoi calmer ton petit bashing habituel.

Modifié par fx.
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Invité fx.
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Vous avez dit « Front populaire »…

C’est tout un ordre qu’il faudrait bousculer. L’ordre d’une Europe forte avec les faibles et faible avec les forts.

 

Se faire entendre du pouvoir est l’objectif premier de toute manifestation. Mais il faudra, samedi, que les manifestants soient nombreux et crient fort pour ce qui ressemble à une journée décisive, au cœur d’une crise sociale longue et à l’issue toujours incertaine. Car celui que le hasard démocratique nous a donné pour Président, voici tout juste un an, s’est montré jusqu’ici sourd aux slogans. Flanqué d’une armada d’experts, d’instituts et d’économistes « raisonnables », il n’est pas seulement bardé de certitudes, il défend des intérêts parfaitement identifiés. Plus qu’une certaine arrogance – qu’il a, de surcroît –, c’est la matérialité de son combat qui le rend insensible aux protestations. Qu’importent les criailleries de la plèbe, Emmanuel Macron trace sa route, raide comme un traité européen. Armé d’un alibi qu’il veut irréfragable : la dette.

Il tente de nous convaincre que sa politique de classe est d’intérêt général. La suppression de l’impôt sur la fortune, et de l’exit tax, c’est, à terme, bon pour les Français, nous dit-il. Ce qui rappelle le mot de Keynes. À un économiste libéral qui lui promettait qu’à « moyen terme » les résultats se feraient sentir pour le peuple, il répondit : « Oui, mais à moyen terme, nous serons tous morts. » Avec Emmanuel Macron, c’est à peu près pareil. Il nous promet le jardin d’Eden, mais, en attendant, des gares ferment, les Ehpad sont en péril, les hôpitaux sont désorganisés, le pouvoir d’achat des retraités est raboté, des territoires sont oubliés, les collectivités locales sont privées de ressources… Liste non exhaustive. Rien ni personne des catégories inférieures ou moyennes de la société n’est épargné par une sorte de rouleau compresseur antisocial.

Il ne s’agit donc pas seulement de faire entendre une revendication, mais de renverser une logique. Le défi est d’autant plus audacieux qu’Emmanuel Macron est l’homme d’un système dont il n’est ni l’inventeur ni l’adepte le plus zélé. Il a même pu, récemment, s’offrir le luxe de faire la leçon à des libéraux allemands plus dévots que lui. C’est donc tout un ordre qu’il faudrait bousculer. L’ordre d’une Europe forte avec les faibles et faible avec les forts. Voir le dossier du nucléaire iranien. Et ce n’est pas une manifestation qui y parviendra. Personne, d’ailleurs, n’y prétend. C’est pourquoi les cortèges de samedi s’adresseront peut-être moins au président de la République qu’à cette partie de l’opinion encore hésitante.

À lire aussi >> Un front unitaire pour faire barrage à Macron

« Rendre l’espoir » : c’est le mot employé par les deux porte-parole du collectif organisateur, Annick Coupé, pour Attac, et Willy Pelletier, pour la Fondation Copernic. Montrer qu’il y a le nombre, et la détermination. Et qu’une manifestation peut être le début de quelque chose. Pour la première fois depuis longtemps, celle de samedi semble à hauteur des nécessités. Cela, pour une raison qui devrait être évidente pour tout le monde. Et qui ne l’est pas toujours, hélas. Une raison qui tient en un mot : unité.

Les rendez-vous de samedi, à Paris et dans les régions, sont unitaires. Une cinquantaine d’organisations, de syndicats et d’associations sont de la partie. Les querelles de préséance ont été surmontées. Ce n’est pas la manifestation de la France insoumise à laquelle se serait alliée la CGT, ni non plus l’inverse. Les problèmes casuistiques sur la charte d’Amiens de 1906 ont été dépassés. La confédération de Philippe Martinez n’abjurera pas son indépendance parce qu’elle manifestera un après-midi au côté de Jean-Luc Mélenchon, mais aussi de Pierre Laurent, Benoît Hamon et Olivier Besancenot. Et Mélenchon ne cessera pas d’être le principal opposant « de gauche » à Macron parce qu’il manifestera dans un cadre unitaire. Est-ce la gauche qui sera dans la rue ou est-ce le peuple ? Voilà bien encore quelques problèmes théologiques qui se sont vite effacés. On a « décloisonné » à tour de bras ! Et c’est très bien ainsi.

Faut-il pour autant prédire que la « marée populaire » se transformera le lendemain en « Front populaire », comme le souhaite Mélenchon ? C’est une autre histoire. Deux grandes manifestations avaient donné l’élan qui conduisit à la victoire électorale de juin 1936. Celle du 12 février 1934, en riposte à la menace fasciste. Dieu merci, l’ennemi n’est pas le même aujourd’hui. Et, surtout, celle du 14 juillet 1935 qui rassembla un demi-million de manifestants. Là encore, le spectre du fascisme fut pour beaucoup dans la prise de conscience citoyenne. Pas sûr que le libéral Macron inspire la même frayeur. Même si l’impasse néolibérale peut conduire au pire. Mais Mélenchon connaît bien son histoire. Sans tomber dans un lyrisme révolutionnaire évidemment hors de saison, prenons la formule du leader de la France insoumise pour ce qu’elle peut avoir de réaliste : la volonté de structurer et, peut-être, de pérenniser une entente qui, sans cela, risque fort d’être sans lendemain. Voilà pourquoi il est bien préférable de se référer à 1936 qu’à 1968, qui s’est terminé en Chambre « bleu horizon ». Mais « Front populaire » est aussi synonyme de grève générale. Une grève qui ne précéda pas la victoire de la gauche, mais la suivit, et qui força la main aux nouveaux dirigeants plus qu’elle ne les accompagna dans la conquête du pouvoir. Toute référence historique a évidemment ses limites.

 

https://www.politis.fr/articles/2018/05/vous-avez-dit-front-populaire-38844/

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 63 050 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
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il y a 29 minutes, fx. a dit :

Alors déjà c'est moins de 5.5 millions, ensuite la territoriale qui est la moins concernée par les réformes est la plus grosse pourvoyeuse et enfin, un agent sur cinq est contractuel, voilà de quoi calmer ton petit bashing habituel.

https://www.ouest-france.fr/economie/social/fonctionnaires-combien-sont-ils-combien-gagnent-ils-5301485

Ils se retrouvent tous concernés par les (futures, j'espère) réformes des régimes spéciaux!

Inutile de faire croire le contraire!

Il y a 2 heures, ouest35 a dit :

Si on n'en parlait pas autant en boucle sur ce forum on l'aurait oublié depuis belle lurette ... :rolle: (on parle Cahuzac, Fillon, Beaupin, etc ... etc ... ) !

Difficile d'oublier quelqu'un qui pousse sans arrêt à l'insurrection le peuple français pour cause d'illégitimité de l'élection de son président...

Qui est derrière toutes les manifestations, qui ne cache pas sa position anti flics, anti journalistes, anti tout sauf lui...

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Macron sur la grève et ses concitoyens grévistes, florilège 

Citation

«celles et ceux qui veulent bloquer le pays»

(...)

se félicitant d'avoir «mis fin à l'impuissance française». 

(...)

"les syndicats ne sauraient se substituer à la représentation nationale et à la démocratie populaire»

(...)

«J'assume de ne pas présider à la lumière des sondages ou des manifestations - on l'a trop fait»

(...)

«Aucun désordre ne m'arrêtera, et le calme reviendra».

http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2018/05/25/25001-20180525ARTFIG00357-manifestations-aucun-desordre-ne-m-arretera-le-calme-reviendra-previent-macron.php

Des propos assez étrange alors qu'ils concernent l'exercice d'un droit assuré par son propre pays. Sans compter le coup de ce "président jeune et dynamique", parangon du renouvellement politique "ni à droite ni à gauche", reprendre les éléments de langage d'un pouvoir hautement conservateur, délégitimant toute action d'ampleur (sur la durée comme en nombre) qui s'opposerait à lui. Ah non, une nouveauté, reconnaissons-la lui : à "l'immobilisme français", il substitue "l'impuissance française". Sympa. 

Sans compter le tour du programme et de la légitimité. Ben oui, la démocratie à coups de "il faut faire barrage à", c'est tout de suite plus légitime que les syndicats :rolle: 

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Ah purée, ptdr l'article du Figaro (le titre suffit à lui-même, le contenu osef)

Dans l'ombre de Mélenchon, la menace Ruffin inquiète Macron

Je dis "ptdr", parce que jusque maintenant, Ruffin apparaissait dans le Figaro comme l'électron libre, on mettait même en avant ses dissenssions avec les autres députés de la LFI. 

Preuve que les manifs ont peut-être encore une certaine efficacité, on met maintenant en scène sa dangerosité ("dans l'ombre", "menace", "inquiéter"). 

C'est bon signe ça, tant pis si j'ai plein de discordance avec la FI, ce petit changement sémantique dans le traitement du député me plaît. 

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La "Marée populaire" sera "la manifestation de tous ceux qui souffrent de la politique d'Emmanuel Macron", annonce Éric Coquerel

Le député de La France insoumise de Seine-Saint-Denis Éric Coquerel était l'invité de franceinfo vendredi soir, à la veille d'une journée de manifestation nationale organisée par le mouvement de Jean-Luc Mélenchon.

 

La France insoumise organise, samedi 26 mai, une journée d'action baptisée "Marée populaire". Une manifestation lancée contre la politique d’Emmanuel Macron. On espère "des centaines de milliers de personnes" dans la rue a déclaré Éric Coquerel, vendredi sur franceinfo. Pour le député La France Insoumise de Seine-Saint-Denis, il s'agit "de permettre à tous ceux qui ne peuvent pas participer aux grèves, de se mobiliser".

franceinfo : De combien de personnes avez-vous besoin dans la rue pour que le bras de fer avec Emmanuel Macron vous soit favorable ?

Éric Coquerel : Des centaines de milliers de personnes. Je ne vais pas vous dire un chiffre, vous allez donner vos chiffres, on donnera les nôtres. Chacun voit bien ce qui est succès. On a fait la "Fête à Macron" le 5 [mai], il n'y avait pas les syndicats qui sont là aujourd'hui, c'est ce qui donne à cette date [26 mai] son caractère historique. Même la FCPE, la plus importante des fédérations de parents d'élèves, appelle aujourd'hui [à cette manifestation]. On était 150-160 000 le 5 [mai]. On espère être des centaines de milliers de personnes. On veut que ce soit un vrai raz-de-marée dans toute la France. Il y a une dynamique car, aujourd'hui, il y a des mobilisations sociales importantes dans ce pays, les cheminots qui n'arrêtent pas leur grève, les lycéens, les étudiants qui se mettent dans la danse parce que Parcoursup se révèle catastrophique, car c'est une machine à sélectionner. Tout cela donne un air du temps. Ce qu'on a voulu faire avec cette marche [le 26 mai], c'est de permettre à tous ceux qui ne peuvent pas participer aux grèves de venir, de se mobiliser.

On a quand même l'impression que la grogne sociale s'essouffle, y compris à la SNCF et dans les blocages des universités... 

Je ne crois pas. D'ailleurs, en parlant de blocages des facs, on est en train de s'apercevoir que les vrais bloqueurs ce sont ceux qui pour l'instant laissent sur le carreau 400 000 lycéens qui n'ont pas encore trouvé de fac. Ce n'est pas parce que vous envoyez des policiers débloquer une fac que forcément les étudiants, les lycéens rentrent dans le rang. Ce n'est pas ce que nous sentons sur le terrain, ce n'est pas ce qui s'exprime. Il y a une exaspération dans ce pays. Demain, ce que nous voulons, c'est que cette exaspération prenne la rue de manière festive, conviviale, combattive. Les associations qui représentent les quartiers populaires vont venir à cette manifestation et c'est bien parce que c'est la manifestation de tous ceux qui souffrent de la politique d'Emmanuel Macron. Pour l'instant le débouché politique, c'est de faire grossir les mobilisations, d'apporter notre soutien aux cheminots. Nous, par exemple, on pense qu'il faut retirer la loi ferroviaire parce qu'elle est mauvaise pour le pays, elle est mauvaise pour le service public et pour les transports. Les cheminots sont en grève et nous, on va les appuyer. C'est un premier objectif de faire en sorte qu'Emmanuel Macron soit obligé de retirer cette loi qui pour ma part n'a aucune légitimité. Jamais les Français n'ont mis un bulletin dans l'urne pour l'ouverture à la concurrence [à la SNCF]. Tout cela s'est fait dans leur dos en catimini à Bruxelles. C'est un objectif politique que de faire plier le gouvernement sur la loi ferroviaire.

Après cette troisième manifestation, qu'allez-vous faire. C'est la rue qui doit faire plier Emmanuel Macron ?

Oui, bien sûr, mais pas [Emmanuel] Macron en tant que personne, mais sa politique et ça s'est déjà fait dans le pays, ça fait partie de la démocratie. On souhaite mobiliser dans la rue. Par ailleurs, la CGT nous a proposé la date [du 26 mai] lors des réunions de ce comité "Marée populaire", bien sûr, les militants de la CGT, Philippe Martinez, seront dans la rue. On sera tous dans la rue. C'est inédit et historique. Moi, la dernière fois que j'ai vu cela, c'était en 1986 après la mort de Malik Oussekine. C'est la première fois qu'il y a une unité populaire qui se manifeste dans la rue avec autant de syndicats. Demain, on veut matérialiser le fait qu'il y a une unité populaire pouvant rassembler au-delà de nos spécificités à chacun qui doivent être respectées. On veut manifester le fait qu'il y a dans ce pays, des millions et des millions de gens qui ne veulent plus de cette politique, et pour cause, elle ne favorise que 5% des Français. On a matière à convaincre tous ceux qui en souffrent.

 

https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/l-interview-J-1/la-maree-humaine-sera-la-manifestation-de-tous-ceux-qui-souffrent-de-la-politique-d-emmanuel-macron-annonce-eric-coquerel_2746231.html

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Des dizaines d’organisations appellent à des « marées populaires » contre la politique de Macron

 

Un important dispositif de sécurité sera mobilisé à Paris. La manifestation doit démarrer en début d’après-midi

Des « marées populaires » avec des dizaines de milliers de personnes sont attendues samedi 26 mai dans tout le pays, à l’appel d’une soixantaine de syndicats, partis politiques et associations, pour protester contre la politique d’Emmanuel Macron, qui répond par avance que « ça ne l’arrêtera pas ».

A Paris, la manifestation partira en début d’après-midi de la Gare de l’Est en direction de Bastille, en passant par la place de la République. D’autres défilés auront lieu un peu partout en France, notamment à Marseille avec Jean-Luc Mélenchon.

Au moins 65 organisations ont appelé à manifester, dont le Parti communiste français, le Nouveau Parti anticapitaliste ou Europe Ecologie-Les Verts, Attac, Act’up, la Confédération paysanne, Les Effronté. es ! et le Syndicat de la magistrature. Fait inédit, la CGT et La France insoumise (LFI) défileront côte à côte.

Lire aussi :   Manifestation du 26 mai : le comité Adama s’invite dans le cortège

« Le pays est en ébullition »

En revanche, l’Unsa, la CFDT et FO ont refusé de participer aux défilés de samedi, tout comme le Parti socialiste (PS). « Il y a un moment social qu’il faut respecter. Et puis il y aura un moment politique. Il ne faut pas les confondre, parce qu’à trop vouloir confondre les moments, à trop faire craindre le risque de récupération, on n’aide pas le mouvement social, on l’affaiblit », justifie Olivier Faure, premier secrétaire du PS.

Malgré ces absences notables, la gauche de la gauche a salué vendredi l’« unité » entre organisations syndicales, partis politiques et associations, estimant que « le rapport de force » avec le chef de l’Etat « continue ».

Dans un entretien accordé à Libération, le leader de LFI, Jean-Luc Mélenchon, estime que « le pays est en ébullition ». « Ce qui l’emporte aujourd’hui dans les esprits, que l’on ait ou pas participé au blocage de sa fac, c’est que ce monde est pourri. Et que ses valeurs ne valent pas la peine d’être vécues. Je me souviens du monde étudiant à la fin des années 90. La mentalité générale était largement acquise aux idées libérales. C’est fini. M. Macron vient de divorcer d’avec cette jeunesse », affirme-t-il.

Que Mélenchon promette « une marée humaine, ça ne nous arrête pas », a cinglé le chef de l’Etat depuis Saint-Pétersbourg, où il est en déplacement. « J’écoute les gens en permanence » mais « écouter les gens, ça ne veut pas dire être la girouette de l’opinion publique et donc j’assume de ne pas présider à la lumière des sondages ou des manifestations parce qu’on l’a trop fait », a ajouté Emmanuel Macron. Quant à « ceux qui veulent manifester pour bloquer le pays, eh bien, ils ne le bloqueront pas », a-t-il prévenu en prenant les Français à témoin.

« Nombreux contrôles en amont »

La préfecture de police de Paris a prévenu vendredi que de « nombreux contrôles » seront effectués en amont de la manifestation pour détecter d’éventuelles armes et personnes violentes. Un important dispositif de sécurité sera mobilisé et un large périmètre de déviation pour les automobilistes sera instauré pour cette manifestation.

Les contrôles seront faits « sur réquisitions du procureur de la République », déclare la préfecture, en rappelant que « le fait pour une personne de participer sciemment à un groupement, même formé de façon temporaire, en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, de violences volontaires contre les personnes ou de destructions ou dégradations de biens est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende ».

Des précisions qui interviennent alors que plus d’une centaine de personnes, dont des mineurs, ont été arrêtées mardi en marge de la manifestation des fonctionnaires pour avoir tenté d’occuper le lycée Arago (12e arrondissement), des arrestations qui ont créé la polémique.

 

https://abonnes.lemonde.fr/societe/article/2018/05/25/la-prefecture-de-police-de-paris-annonce-de-nombreux-controles-en-amont-de-la-manifestation-de-samedi_5304859_3224.html

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