Mort de Naomi : le Samu ne la prend pas au sérieux, elle décède quelques heures plus tard

Il y a 1 heure, LouiseAragon a dit :

 

 

Quand nous assistons à une telle multiplication des accidents médicaux, ce n’est pas une question de personne, c’est le système qui est à bout de souffle.

Ca c'est vrai.

il y a 7 minutes, chanou 34 a dit :

Ca c'est vrai.

Quand vous coupez les interventions des uns ou des autres, vous devez, au moins le signaler... Ce serait honnête de ne pas faire dire n'importe quoi aux participants ... Merci ! 

Il y a 2 heures, bcbg a dit :

Je parlais des facs de medecine 

Ah , ben il ne fallait citer que cette partie alors

Il y a 4 heures, LouiseAragon a dit :

Quand nous assistons à une telle multiplication des accidents médicaux, ce n’est pas une question de personne, c’est le système qui est à bout de souffle.

Et qui fait le système ?

Comme des co.. ils s'acharnent sur le samu . 

Bah , faut comprendre les gens , ils sont en colère , c'est quand même le contribuable qui paye pour avoir ce service.

Zont qu'à jeter le nom en pâture de l'opératrice , ils se défouleront dessus

Il n'y a pas que là l'état est incapable de gérer convenablement le service publique .

Il y a des métiers auxquels on ne pardonne pas l'erreur.

Des gens beurrés et shootés, au téléphone, en voiture qui dégomment une famille, ça choque mais sans plus, pourtant ça arrive pratiquement tous les jours. C'est devenu tellement banal qu'on n'en parle plus !

N'empêche , hier j'ai regardé l’émission 7 à 8 avec Harry Roselmack où on a entendu la bande entière

Elles étaient bien en train de se marrer quand même ,  l'opératrice et le service des  pompiers d'abord ,

puis l'opé toute seule.......et elle voudrait faire croire qu'elle était "stressée".......

Elle a dit que sa phrase était peut-être "malvenue"........rien de plus (pas de regrets , rien)

Elle dit aussi que si les gens connaissaient son nom , elle serait lynchée sur la place , en fait elle drouille pour elle

Pfffff dégueulasse , vraiment

Citation

Interrogé par M6, le directeur des hôpitaux universitaires de Strasbourg, Christophe Gautier, explique pourtant que le 29 décembre était une journée ordinaire. «Ce jour-là, les conditions n'étaient pas exceptionnelles. Cette opératrice en était à son deuxième jour de travail», explique-t-il, précisant ses horaires. Elle revenait de 15 jours de vacances et avait commencé sa journée à 7h30, l'appel ayant eu lieu en fin de matinée, à 11h30. «Nous sommes bien sur l'hypothèse d'une faute individuelle», conclut-il.

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/05/14/01016-20180514ARTFIG00086-mort-de-naomi-musenga-l-operatrice-du-samu-invoque-la-surcharge-de-travail.php

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/05/14/01016-20180514ARTFIG00086-mort-de-naomi-musenga-l-operatrice-du-samu-invoque-la-surcharge-de-travail.php

Je viens de voir la vidéo sur ce lien ci-dessus, je suis surprise que par téléphone sur une personne qui a fait une chute, le médecin lui demande de remettre lui-même son genou en place, on a du ensuite lui amputer sa jambe. 

--«Je pense que si les gens connaissaient mon visage et mon nom, je ne serais plus de ce monde aujourd'hui».

Toute façon les gens finiront par savoir

Ses proches (famille , travail , voisins ...) savent déjà bien qui elle est ,

suffit que l'un d'eux jette son nom et son adresse en pâture

Suis sûre qu'elle est vissée sur son chiotte H24   

Les frères de  la jeune fille décédée  prennent la défense des standardistes 

il y a 4 minutes, Mia Adaxo a dit :

--«Je pense que si les gens connaissaient mon visage et mon nom, je ne serais plus de ce monde aujourd'hui».

Toute façon les gens finiront par savoir

Ses proches (famille , travail , voisins ...) savent déjà bien qui elle est ,

suffit que l'un d'eux jette son nom et son adresse en pâture

Suis sûre qu'elle est vissée sur son chiotte H24

Même si elle a mal fait son travail et qu'elle n'avait pas à répondre de cette façon à Noémie...Les autres n'ont pas à la lyncher....

il y a 2 minutes, samira123 a dit :

Même si elle a mal fait son travail et qu'elle n'avait pas à répondre de cette façon à Noémie...Les autres n'ont pas à la lyncher....

Je n'ai  fais que citer ce qu'elle a dit , elle a peur d'être lynché

il y a 5 minutes, bcbg a dit :

Les frères de  la jeune fille décédée  prennent la défense des standardistes 

Peut-être une tactique d'avocat ?

il y a 1 minute, Mia Adaxo a dit :

Je n'ai  fais que citer ce qu'elle a dit , elle a peur d'être lynché

 

Oui je sais bien que tu ne fais que citer mais si elle a dit, c'est certainement parce que des personnes ont du l'agresser verbalement.

il y a 4 minutes, samira123 a dit :

Oui je sais bien que tu ne fais que citer mais si elle a dit, c'est certainement parce que des personnes ont du l'agresser verbalement.

Je ne sais pas si elle a été agressée verbalement , vu qu'elle est cloitrée chez elle (ou ailleurs)

Par contre le SAMU oui , ils ont été agressés verbalement ,

sûrement faute de ne pouvoir s'en prendre directement à l'interressée

il y a 2 minutes, samira123 a dit :

Oui je sais bien que tu ne fais que citer mais si elle a dit, c'est certainement parce que des personnes ont du l'agresser verbalement.

Elle dit qu'aujourd'hui elle est lynchée sur la place publique. Ce n'est pas au sens propre parce qu'on ne sait pas qui elle est, mais c'est à travers les médias, les réseaux sociaux, etc...

Rien qu'ici sur le forum elle a eu son compte.

Il y a 3 heures, PLS maker a dit :

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/05/14/01016-20180514ARTFIG00086-mort-de-naomi-musenga-l-operatrice-du-samu-invoque-la-surcharge-de-travail.php

Interrogé par M6, le directeur des hôpitaux universitaires de Strasbourg, Christophe Gautier, explique pourtant que le 29 décembre était une journée ordinaire. «Ce jour-là, les conditions n'étaient pas exceptionnelles. Cette opératrice en était à son deuxième jour de travail», explique-t-il, précisant ses horaires. Elle revenait de 15 jours de vacances et avait commencé sa journée à 7h30, l'appel ayant eu lieu en fin de matinée, à 11h30. «Nous sommes bien sur l'hypothèse d'une faute individuelle», conclut-il.