il y a 4 minutes, fx. a dit :

Si seulement ...

Dommage, t'as pas compris...

il y a 30 minutes, fx. a dit :

ouin ouin. La vérité c'est que le patronat a réalisé le casse du siècle et que plus on lui en donnera plus il en réclamera, Gattaz l'explique parfaitement dans la vidéo que j'ai posté.

Gattaz n'est pas plus le patronat que Martinez les travailleurs . 

A un argument simple tu ne sais finalement que répondre gattaz est president d'un syndicat patronal comme Martinez l'est d'un syndicat de travailleurs souvent fonctionnaires . Ça ne constitue pas un argument . 

à l’instant, DroitDeRéponse a dit :

Gattaz n'est pas plus le patronat que Martinez les travailleurs . 

A un argument simple tu ne sais finalement que répondre gattaz est president d'un syndicat patronal comme Martinez l'est d'un syndicat de travailleurs souvent fonctionnaires . Ça ne constitue pas un argument . 

Je ne répond pas à des arguments parfaitement malhonnêtes et manipulatoires du type désindustrialisation, Grèce et compagnie. Comme d'habitude devant l'évidence de l'inacceptable tu désignes de faux problèmes, tu peux garder ton outrance et t'étouffer avec.

Il y a 4 heures, pep-psy a dit :

 

Tu lis quoi toi ?

Je lis ce que j'ai raconté. Elle s'est juste mal exprimée, comme elle parle du CICE et de licenciements c'est assez évident ...

Il y a 4 heures, pep-psy a dit :

Donc tu n'as pas besoin que l'on t'explique à quel point un bilan peut être présenté de manière différentes !

Mais tu parles de 2014, et là on parle d'argent touché en 2016, non ?

Aveuglement ? Comme quand tu as contesté que le patron de mon ex boite était en croisière toute l'année, pep-psy tu ne peux pas croire toutes ces choses horribles c'est ça ? Pour toi les patrons sont forcément des gens vertueux ! Tu les tiens en si haute estime ? Pourquoi ? Tu rêves d'être patron ? T'es patron toi-même ? Qu'est-ce qui fait que tu as adopté leur vision des choses à 100% au point de contester tout et n'importe quoi de cette manière ?

il y a 52 minutes, fx. a dit :

Je ne répond pas à des arguments parfaitement malhonnêtes et manipulatoires du type désindustrialisation, Grèce et compagnie. Comme d'habitude devant l'évidence de l'inacceptable tu désignes de faux problèmes, tu peux garder ton outrance et t'étouffer avec.

Ah mais à l'origine l'argument portait sur les taux de marges

Mais bon vu qu'en réponse tu partais dans le risible je m'interrogeais sur ce qu'il y avait de risible à des décrochages économiques . Après évidemment on peut considérer que la non soutenabilité de la dette et le décrochage des entreprises est un faux problème , pourquoi pas . Ca n'a pas bien marché ailleurs , du coup même des gouvernements très très à gauche la rembourse rubis sur l'ongle à Goldman Sachs en faisant semblant d'être de vraies socialistes .

il y a 29 minutes, LouiseAragon a dit :

Patronat.

Le CAC 40 en passe de battre tous les records de profits

 

Olivier Brandicourt, PDG de Sanofi, vole la vedette à Total au premier semestre grâce à un profit en hausse de 200 %. éric Piermont/AFP

Avec 52 milliards au premier semestre, en hausse de 26,5 %, les bénéfices des 40 principales sociétés cotées ne se sont jamais mieux portés.

De quoi contredire l’argumentaire sur la casse du Code du travail menée au nom de « l’emploi ».

 

 

 

 

Voilà qui prouve l'argumentaire de la maladie française de la multinationale qui amène certains à vouloir légiférer en ne se préoccupant que des boîtes employant 10% des salariés francais et qui de toute manière ont elles les moyens de se barrer quand elles veulent , au mépris des 90% restants . A décharge cette maladie touche beaucoup des syndiqués de la fonction publique n'ayant jamais foutu un pied dans le privé .

il y a 18 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Ah mais à l'origine l'argument portait sur les taux de marges

 

Mais bon vu qu'en réponse tu partais dans le risible je m'interrogeais sur ce qu'il y avait de risible à des décrochages économiques .

Surement ta Façon de faire dans le misérabilisme cosette et de ne pas tenir compte de la crise de 2009.

D'autre part comme l'histoire l'a maintes fois prouvé, de fortes marges et des bénéfices records n'empêchent en rien les entreprises de délocaliser pour en faire encore plus là où l'herbe est plus verte.

Bref les actionnaires allemands se portent mieux que les français, je comprends ta ferveur à défendre la marge et à faire passer ça pour le critère primordial de réussite ...

il y a 11 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Voilà qui prouve l'argumentaire de la maladie française de la multinationale qui amène certains à vouloir légiférer en ne se préoccupant que des boîtes employant 10% des salariés francais et qui de toute manière ont elles les moyens de se barrer quand elles veulent , au mépris des 90% restants . A décharge cette maladie touche beaucoup des syndiqués de la fonction publique n'ayant jamais foutu un pied dans le privé .

DDR ! C'est une nouvelle AFP septembre 2017 ! Je comprends que celà puisse gâcher votre propagande mais c'est ainsi !

Je ne résiste pas à la remontrer, au cas où ... Où je travaille importe peu, DDR, votre argument n'a pas de valeur ... Tout le monde peut lire la presse ... bon, certains, c'est vrai lisent sans rien y comprendre, ça arrive ... 

Patronat. Le CAC 40 en passe de battre tous les records de profits 

Olivier Brandicourt, PDG de Sanofi, vole la vedette à Total au premier semestre grâce à un profit en hausse de 200 %. 

Avec 52 milliards au premier semestre, en hausse de 26,5 %, les bénéfices des 40 principales sociétés cotées ne se sont jamais mieux portés. De quoi contredire l’argumentaire sur la casse du Code du travail menée au nom de « l’emploi ».

Il y a 2 heures, fx. a dit :

Surement ta Façon de faire dans le misérabilisme cosette et de ne pas tenir compte de la crise de 2009.

Si tu prêtes attention à la courbe tu verras la courbe en Rouge du pavillon France flancher . Quand la marge devient trop faible, le licenciement suit, ainsi que l'OPA . Je ne défends rien d'autre que l'économie française et son industrie , libre à toi d'opter pour l'option dépeçage par amour de l'idéologie , mais ça ne marche pas bien ailleurs . Bien sur qu'il s'agit du contrecoup de 2008, mais comme tu peux le constater sur la courbe pavillon France à compter de 2009 seul se pavillon périclite . Maintenant bien sur on peut souhaiter à tous ces salauds de patrons de crever avec leurs entreprises, est ce réellement l'intérêt du travailleur ? Ou la nationalisation , mais il se dit sous d'autres tropiques qu'utilisée sans modération, elle mène à la ruine .

Il y a 2 heures, fx. a dit :

D'autre part comme l'histoire l'a maintes fois prouvé, de fortes marges et des bénéfices records n'empêchent en rien les entreprises de délocaliser pour en faire encore plus là où l'herbe est plus verte.

 

Mais précisément la courbe ne montrent pas de fortes marges, et comme tu le dis l'histoire l'a prouvé , de faibles marges amènent au mieux à terme une perte de marché ou une OPA au profit de celle qui aura généré le cash nécessaire pour soit racheter soit tuer le concurrent par l'innovation ,une guerre de prix ,... , et pas de marges le licenciement de tous les salariés et la faillite .

Rappelons que le chiffre de Sanofi est largement porté par la session de son activité santé animale à Boerhinger .

Par contre dire que les bénéfices des 40 sociétés ne s'est jamais aussi bien porté n'est pas exact , l'activité d'Airbus est en repli , tout comme celle d'Orange ou de Vivendi .

http://www.lefigaro.fr/societes/2017/08/31/20005-20170831ARTFIG00394-cac-40-plus-de-52-milliards-d-euros-de-profits-au-premier-semestre.php

Ce qui est cependant rassérénant est que les industrielles semblent reprendre du poil de la bête , c'est une bonne nouvelle , à cependant relativiser puisqu'une bonne part de l'activité de ces multinationales ne se fait pas sur le sol français et que depuis la fin du néocolonialisme avec des émergents avides de transferts de technos et de joint venture pour développer leurs pays , il faut évidemment s'attendre à des investissements en premier lieu sur ces pays en développement . Même le camarade Maduro ou Chavez n'aurait évidemment pas accepter l'implantation de nombreuses multinationales qui auraient rapatrié travail et bénéfices sur une lointaine métropole . Il faut se faire une raison , ces anciens fleurons ne porteront pas notre croissance ,et il est grand temps de cesser de gérer notre marché du travail en fonction de ces entreprises , mais bien nous tourner vers ces PMIs qui n'existent pas en France et qui nous font tant défaut en essayant de faire pousser toutes nos PMEs maintenues la tête sous l'eau par une politique folle qui consiste à leur appliquer des lois faites pour les mastodontes afin de donner des gages à des partenaires sociaux obnubilés par un CAC qui ne représente pourtant que 10% de nos emplois ....

Il y a 3 heures, DroitDeRéponse a dit :

Voilà qui prouve l'argumentaire de la maladie française de la multinationale qui amène certains à vouloir légiférer en ne se préoccupant que des boîtes employant 10% des salariés francais et qui de toute manière ont elles les moyens de se barrer quand elles veulent , au mépris des 90% restants . A décharge cette maladie touche beaucoup des syndiqués de la fonction publique n'ayant jamais foutu un pied dans le privé .

 

Il y a 2 heures, LouiseAragon a dit :

DDR ! C'est une nouvelle AFP septembre 2017 ! Je comprends que celà puisse gâcher votre propagande mais c'est ainsi !

Je ne résiste pas à la remontrer, au cas où ... Où je travaille importe peu, DDR, votre argument n'a pas de valeur ... Tout le monde peut lire la presse ... bon, certains, c'est vrai lisent sans rien y comprendre, ça arrive ... 

Patronat. Le CAC 40 en passe de battre tous les records de profits 

Olivier Brandicourt, PDG de Sanofi, vole la vedette à Total au premier semestre grâce à un profit en hausse de 200 %. 

Avec 52 milliards au premier semestre, en hausse de 26,5 %, les bénéfices des 40 principales sociétés cotées ne se sont jamais mieux portés. De quoi contredire l’argumentaire sur la casse du Code du travail menée au nom de « l’emploi ».

Ca confirme un peu plus mon post je vous le remets donc .

Quant au fait de ne pas lire et donc de ne pas comprendre , c'était inutile de le confirmer .

Il y a 8 heures, DroitDeRéponse a dit :

Si tu prêtes attention à la courbe tu verras la courbe en Rouge du pavillon France flancher . Quand la marge devient trop faible, le licenciement suit, ainsi que l'OPA . Je ne défends rien d'autre que l'économie française et son industrie , libre à toi d'opter pour l'option dépeçage par amour de l'idéologie , mais ça ne marche pas bien ailleurs . Bien sur qu'il s'agit du contrecoup de 2008, mais comme tu peux le constater sur la courbe pavillon France à compter de 2009 seul se pavillon périclite . Maintenant bien sur on peut souhaiter à tous ces salauds de patrons de crever avec leurs entreprises, est ce réellement l'intérêt du travailleur ? Ou la nationalisation , mais il se dit sous d'autres tropiques qu'utilisée sans modération, elle mène à la ruine .

Mais précisément la courbe ne montrent pas de fortes marges, et comme tu le dis l'histoire l'a prouvé , de faibles marges amènent au mieux à terme une perte de marché ou une OPA au profit de celle qui aura généré le cash nécessaire pour soit racheter soit tuer le concurrent par l'innovation ,une guerre de prix ,... , et pas de marges le licenciement de tous les salariés et la faillite .

Bla bla bla

Le CICE, un scandale d'Etat ?

Une aubaine pour les entreprises en difficulté

En fait, comme l'admet le rapport, le CICE a surtout été une aubaine pour les entreprises ayant des difficultés de trésorerie, notamment les plus fragiles d'entre elles, les TPE et les PME. Des difficultés souvent provoquées par les retards de paiement de leurs clients, et notamment des grands comptes publics et privés. "Le CICE a pallié les défaillances des banques commerciales qui ne refusent d'accorder des prêts à court terme pour financer le besoin en fond de roulement des entreprises ayant des tensions de trésorerie ", constate la sénatrice qui a également bien du mal à discerner un effet du CICE sur les salaires " Il est impossible d'avoir des informations sur ce point. Le CICE a été intégré aux bilans par les services comptables sans que l'on connaisse, même dans les grandes lignes, quel a été l'usage de cette rentrée financière. Exceptionnels sont les cas des directions des ressources humaines ayant développé une stratégie portant sur l'utilisation du CICE ", déclare Marie-France Beaufils.

En clair, le CICE est donc un cadeau sans contrepartie fait aux entreprises, une rentrée financière supplémentaire soumise à aucun contrôle qui aura surtout permis d'atténuer l'envolée des défaillances d'entreprises. "Le nombre de bénéficiaires rend la tâche impossible pour les services fiscaux. (...) Pour les entreprises assujetties à l'impôt sur les sociétés, il est demandé de ne pas réaliser de contrôle a posteriori sur restitutions et imputations (...)", précise le rapport qui aboutit à la conclusion suivante : "le contrôle réalisé se limite donc ici à une vérification du calcul du crédit d'impôt". L'utilisation du CICE est donc laissée à la discrétion des dirigeants ? Pas tout à fait. Le rapport dévoile la communication internet du ministère de l'Economie - et pas des Finances qui est pourtant en charge de ce dossier ! - concernant les risques de contrôle liés au CICE. Elle indique noir sur blanc que "le suivi de son utilisation repose sur le dialogue social. L'entreprise a une obligation de transparence par rapport à l'utilisation du CICE, vis-à-vis des partenaires sociaux". Pour l'instant, quatre ans après le lancement de ce dispositif, aucune information relative à cette volonté de transparence n'a été dévoilée.

http://www.latribune.fr/economie/france/le-cice-un-scandale-d-etat-587387.html

Il y a 13 heures, Morfou a dit :

C'est simple : dans les hôpitaux, 1/3 pour les soignants, le reste pour les cols blancs, les investissements, et l'achat de matériel haut de gamme!

Mais il manque du personnel soignant et avec les 35h, c'est l'bordel m'sieur m'n'adjudant...

hôpitaux publics ?

il y a une heure, fx. a dit :

Bla bla bla

Le CICE, un scandale d'Etat ?

Une aubaine pour les entreprises en difficulté

En fait, comme l'admet le rapport, le CICE a surtout été une aubaine pour les entreprises ayant des difficultés de trésorerie, notamment les plus fragiles d'entre elles, les TPE et les PME. Des difficultés souvent provoquées par les retards de paiement de leurs clients, et notamment des grands comptes publics et privés. "Le CICE a pallié les défaillances des banques commerciales qui ne refusent d'accorder des prêts à court terme pour financer le besoin en fond de roulement des entreprises ayant des tensions de trésorerie ", constate la sénatrice qui a également bien du mal à discerner un effet du CICE sur les salaires " Il est impossible d'avoir des informations sur ce point. Le CICE a été intégré aux bilans par les services comptables sans que l'on connaisse, même dans les grandes lignes, quel a été l'usage de cette rentrée financière. Exceptionnels sont les cas des directions des ressources humaines ayant développé une stratégie portant sur l'utilisation du CICE ", déclare Marie-France Beaufils.

En clair, le CICE est donc un cadeau sans contrepartie fait aux entreprises, une rentrée financière supplémentaire soumise à aucun contrôle qui aura surtout permis d'atténuer l'envolée des défaillances d'entreprises. "Le nombre de bénéficiaires rend la tâche impossible pour les services fiscaux. (...) Pour les entreprises assujetties à l'impôt sur les sociétés, il est demandé de ne pas réaliser de contrôle a posteriori sur restitutions et imputations (...)", précise le rapport qui aboutit à la conclusion suivante : "le contrôle réalisé se limite donc ici à une vérification du calcul du crédit d'impôt". L'utilisation du CICE est donc laissée à la discrétion des dirigeants ? Pas tout à fait. Le rapport dévoile la communication internet du ministère de l'Economie - et pas des Finances qui est pourtant en charge de ce dossier ! - concernant les risques de contrôle liés au CICE. Elle indique noir sur blanc que "le suivi de son utilisation repose sur le dialogue social. L'entreprise a une obligation de transparence par rapport à l'utilisation du CICE, vis-à-vis des partenaires sociaux". Pour l'instant, quatre ans après le lancement de ce dispositif, aucune information relative à cette volonté de transparence n'a été dévoilée.

 

http://www.latribune.fr/economie/france/le-cice-un-scandale-d-etat-587387.html

 

 

J'aime quand tu cites la tribune pour au final confirmer mon propos :

"à aucun contrôle qui aura surtout permis d'atténuer l'envolée des défaillances d'entreprises "

CQFD 

une défaillance d'entreprise , ça fait des chômeurs . Merci pour la démo. 

N'hesite pas à lire ton excellent article il y est aussi question de PME parfois étouffées par les maîtres d'œuvre , multinationale ou ... Etat , l'état a bien du mal à respecter les échéances . Il est finalement bien peu question des boites "nos vies valent bien leurs profits " mais c'est mieux tu as raison de ne parler que d'elles, même quand ton article finalement en parle bien peu .

Il y a 2 heures, pep-psy a dit :

hôpitaux publics ?

Oui!

Macron et ses sbires ont le mérite de l'originalité pour lutter contre le chômage : mettre des emplois aidés au chômdu, mettant en difficulté des assos comme les restos du coeur comme à Grenoble où çà sera ceinture pour les pauvres qui n'ont plus qu'à claquer. 

En plus ça fera de l'emploi pour les pompes funèbres. Même Eric Ciotti, qui passerait à côté pour un gauchiste, ne l'aurait pas osé.

Il y a 2 heures, Morfou a dit :

Oui!

Donc cela se réfère plus à des administrations qu'à des entreprises dans leur manière d'être géré !

à l’instant, pep-psy a dit :

Donc cela se réfère plus à des administrations qu'à des entreprises dans leur manière d'être géré !

 

D'un autre coté un hôpital public est géré par une administration et un ministère...suite logique donc!

il y a 5 minutes, Morfou a dit :

D'un autre coté un hôpital public est géré par une administration et un ministère...suite logique donc!

 

Et déjà que les entreprises privées ne sont pas toutes bien gérées, on peut dire que quand quelque chose est géré par l'administration, il y a toujours un sérieux manque de sérieux !

Mais qu'est-ce qu'il dit le ministre ? 

Pris de vertige devant l’énormité de la supercherie vendue aux salariés comme prix de leur sacrifice, le premier ministre a eu, jeudi, un éclair de sincérité  « Agir sur le droit du travail (…) peut constituer un outil » contre le chômage, mais « ce n’est pas le seul », a-t-il lâché. 

Il y a un échec annoncé dans cet aveu d’Édouard Philippe. Car le premier ministre sait bien qu’il n’y pas de lien entre chômage et niveau de protection des salariés, toutes les études le montrent.

Mais il y a aussi un avertissement et une justification. Ce n’est que le début, nous dit l’hôte de Matignon, il faudra  aller plus loin, toujours dans le même sens – celui réclamé à cor et à cri par le Medef –, sur le « coût du travail », les retraites, la formation…