chomage

Bonjour, 

La réforme sur l'assurance chômage a crée une crise de la précarité de conditions de travail et d'inégalités sociales de l'accès à l'emploi. Quant est-il aujourd'hui des revenus journalier de compensation au travail comme en cas de maladie professionnelle ou d'inaptitude partielle à l'emploi? Doivent ils être revaloriser au nom du respect de l'égale dignité de chaque travailleurs ? Voir de la situation des travailleurs précaires ou encore des travailleurs protégés qui font l'objet de peu de promotion ? Pourquoi ne pas accepter un repos journalier de l'ensemble des travailleurs plus régulier sans perte de salaire ? Je serait aussi plutôt favorable d'imposer une obligation de principe d'un droit de mise en négociation d'une épargne salariale solidaire aux seins des comités d'entreprise aux seins UES pour contribuer à l'effort de redistribution des richesses sociales de nos groupes de sociétés françaises au nom des questions d'exclusion sociale par le handicap au travail. De même que je suis favorable d'imposer à nos élus locaux une obligation de soumettre la conclusion des concessions de service public à une obligation de mise en concurrence préalable entre des entreprises d'utilités publiques avec un avis consultatifs libres et éclairés d'une citoyenneté participative locale en toute transparence. Je considère aussi que le jeu de la libre concurrence des entreprises aux seins de l'union européenne doit  s'infléchir au profit d'un entreprenariat européen plus responsable (extension du délit d'obsolescence programmée, indemnisation plus conséquente du préjudice écologique ou matérielle résultant d'une atteinte à la dignité et à la santé des travailleurs              

En attendant, le nombre de chômeurs diminue :

Le 08/05/2022 à 13:45, Fersi a dit :

Bonjour, 

La réforme sur l'assurance chômage a créé une crise de la précarité de nos conditions de travail en entreprise et de nos inégalités sociales face à l'accès à un emploi digne. Quant est-il aujourd'hui des revenus journaliers de compensation au travail comme par exemple en cas de maladie professionnelle ou d'inaptitude partielle à l'emploi sans possibilité de réintégration pour cause de handicap ? Doivent ils être revaloriser au nom du respect d'une philosophie du respect de l'égale dignité des travailleurs au travail ? Voire de la situation des travailleurs précaires ou même encore pire  des travailleurs invisibles  qui font l'objet de très peu d'évolution de carrière ? Faut-il davantage accréditer leur compte d'épargne-formation par l'accredition d'un compte d'épargne-formation de sociétés de groupe pour réconcilier les valeurs de la valorisation du travail et de l'esprit de la liberté d'entreprendre par le capital? Bien sûr, avec une suppression d'un tiers des cotisations sociales sur les bas salaires. Pourquoi ne pas accepter un repos journalier de l'ensemble des travailleurs avec des pauses plus régulières dans la journée sans causer de perte de salaire pour prévenir le burn out au travail ? Pourquoi pas instaurer une huitième semaine de congés payés toujours pour prévenir la santé au travail et rendre les travailleurs plus productifs ? 

Le 28/12/2022 à 17:26, pluc89 a dit :

En attendant, le nombre de chômeurs diminue :

 

Questions à mon avis à se poser avant d'entreprendre une réforme du travail 

En attendant la réforme du travail, ... (au cas où toutes et tous ne seraient pas au courant !)

CENTRE FRANCE 06/05/2023

Je pense que les divers indicateurs du niveau de chômage ne sont pas pertinents.

Je pense que le critère de l'activité économique serait plutôt le nombre de personnes ayant une activité économique car ainsi ils cotisent pour les retraites, pour les divers droits sociaux, éducation etc.

Ensuite, bien évidemment, la qualité du travail (rémunération, horaires, autonomie etc.). est essentielle.

le travail sans l'espérance de perspectives de vie meilleure a coté

n'a aucun sens de mon point de vue.

ne sommes nous,  nous les humains que bons a travailler et consommer ce qu'il reste.

ne valons nous pas mieux en projection d'avenir?

de mon coté je pense que si,  notre valeur de vie est beaucoup plus importe que le bien etre des exploiteurs.

Le 06/05/2023 à 20:01, Pierrot89 a dit :

Je pense que les divers indicateurs du niveau de chômage ne sont pas pertinents.

Je pense que le critère de l'activité économique serait plutôt le nombre de personnes ayant une activité économique car ainsi ils cotisent pour les retraites, pour les divers droits sociaux, éducation etc.

Ensuite, bien évidemment, la qualité du travail (rémunération, horaires, autonomie etc.). est essentielle.

Oui, la qualité au travail doit  surtout porter sur des enjeux de multiplications des facteurs de risques de maladies professionnelles en entreprise et de bien-être au travail (une part plus grande d'epargne salariale sur les dividendes, le versement d'une 8eme semaine de congés  payes et un plus grand repos journalier pour prevenir le burn out au travail, une plus grande autonomie des taches de production et d'accomplissement en entreprise...) Pourquoi pas en intaurant entre autres aussi une obligation de moyens renforce pour l'employeur de maintenir en toutes circonstances la sécurité des travailleurs dans les groupes de sociétés d'entreprises et dans les chaines de production des contrats de sous-traitances.Mais également aussi en permettant aux partenaires sociaux une liberté de dialogue social sur la négociation collective des grilles d'écarts de salaires possibles dans nos groupes de sociétés en entreprises pour les rendrent plus attractives et plus compétitives par rapport a l'innovation écologique par la productivité de nos entreprises. Enfin l'obligation d'une plus grande transparence du marché est aussi un problème par rapport a l'intelligence prédictive de nos marques et brevets  de nos concurrents. D'ailleurs, etes-vous pour que l'employeur soit tenu d'une obligation de relogement en cas de mutation professionnelle ?

Le 06/05/2023 à 20:01, Pierrot89 a dit :

Je pense que les divers indicateurs du niveau de chômage ne sont pas pertinents.

Je pense que le critère de l'activité économique serait plutôt le nombre de personnes ayant une activité économique car ainsi ils cotisent pour les retraites, pour les divers droits sociaux, éducation etc.

Ensuite, bien évidemment, la qualité du travail (rémunération, horaires, autonomie etc.). est essentielle.

Ce n'est qu'avec une qualité des conditions de travail et une prévention efficace des facteurs de risques de maladies professionnelles en entreprise que l'on rendra nos entreprise françaises plus attractives et plus compétitives sur le marche du travail européen .

Le 06/05/2023 à 20:20, cobrananas a dit :

le travail sans l'espérance de perspectives de vie meilleure a coté

n'a aucun sens de mon point de vue.

Il y a des métiers que l'on exerce, non pas pour  la perspectives de SA vie meilleure mais pour LA vie meilleure  des  autres : métiers de  la santé; services à la personne, sécurité, secours, ...