Aller au contenu

A quel moment peut-on dire que l'on va mal ?


pep-psy

Messages recommandés

Membre, Je n'en ai aucun, 52ans Posté(e)
pep-psy Membre 23 493 messages
52ans‚ Je n'en ai aucun,
Posté(e)

Hello tout le monde...

Nous avons tous des emmerdes, des problèmes, des soucis, des inquiètudes, des conflits, etc...

Certains s'en sortent sans trop de problème, mais d'autres sont vite submergés...

On dit souvent: "Il faut faire avec" ...

Mais à partir de quand, peut-on dire: "Je n'y arrive plus !" ?

A quel moment sait-on que l'on va mal ?

Jusqu'où peut-on aller dans la difficulté ou la souffrance ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 287 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Salut,

A partir de quand ?

Impossible de répondre, c'est très subjectif et ça doit probablement varier d'une personne à l'autre.

A quel moment sait-on que l'on va mal ? Euh..

Pourquoi attendre d'aller mal pour aller mieux ?

Jusqu'où peut-on aller ?

Certains vont jusqu'au suicide, c'est pourquoi : relire au dessus.

Et sinon, relire encore au dessus, impossible de répondre...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Je n'en ai aucun, 52ans Posté(e)
pep-psy Membre 23 493 messages
52ans‚ Je n'en ai aucun,
Posté(e)

Salut,

A partir de quand ?

Impossible de répondre, c'est très subjectif et ça doit probablement varier d'une personne à l'autre.

A quel moment sait-on que l'on va mal ? Euh..

Pourquoi attendre d'aller mal pour aller mieux ?

Jusqu'où peut-on aller ?

Certains vont jusqu'au suicide, c'est pourquoi : relire au dessus.

Et sinon, relire encore au dessus, impossible de répondre...

C'est peut-être là qu'est le pire... Parce que quand on va mal, quand on se sent mal, on pourrait dire que presque tout pourrait nous faire aller mieux !

Dans le sens d'opporunité ou de possibilité, mais malgré cela, on ne changera rien à notre situation générale qui sombrera à nouveau dans le doute, la souffrance, l'inquiètude, les problèmes, etc...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 287 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Dans le sens d'opporunité ou de possibilité, mais malgré cela, on ne changera rien à notre situation générale qui sombrera à nouveau dans le doute, la souffrance, l'inquiètude, les problèmes, etc...

Je ne comprends pas. Est-ce que tu veux dire que quoi qu'on fasse, on reviendra à un état négatif ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Je n'en ai aucun, 52ans Posté(e)
pep-psy Membre 23 493 messages
52ans‚ Je n'en ai aucun,
Posté(e)

Je ne comprends pas. Est-ce que tu veux dire que quoi qu'on fasse, on reviendra à un état négatif ?

Je dis que comme l'alcool ou les drogues, ce ne sera qu'un soulagement temporaire, les problèmes n'étant pas réglé au retour à la normale !

Les gens disent: "viens, on va s'amuser, te changer les idées, etc..." Mais ce n'est que poudre aux yeux, quand le corps souffre, que la tête fait mal, on va presque se forcer à être sociable pendant ce moment avec les autres, mais une fois de retour, on sera à nouveau SEUL devant ses propres problèmes !"

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 287 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Non mais l'alcool ou les drogues ne sont pas des outils de résolution de problème crying8vr.gif

Je pense qu'une seule minute de repos de l'esprit est bonne à prendre quand on va mal. Bien sûr si tu te dis : ça sert à rien que j'y aille parce-que quand je vais rentrer ce sera toujours pareil.. Admets que c'est une façon de n'accepter aucune possibilité de mieux.

On peut être soutenu tant et plus, il y a toujours un moment où on est seul avec son propre raisonnement devant ses difficultés. Ce moment, c'est celui où l'on prend une décision. Mais peut-on estimer que l'on est seul devant une décision à prendre si notre raisonnement a pu être éclairci quelque peu par le soutien des autres ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Talon 1, 79ans Posté(e)
Talon 1 Membre 24 283 messages
79ans‚ Talon 1,
Posté(e)

Les plus intelligents ont la capacité de s'adapter. C'est la marque de l'espèce humaine. Aucun autre animal n'a autant cette capacité.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 65ans Posté(e)
pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 65ans‚
Posté(e)

On va mal quand on parle à la gérante du Crédit Agricole d'affaires concernant le Crédit Mutuel. Comme moi avant-hier.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)

Si l'on traduit aller mal par douleur psychique, on peut dire qu'il est regrettable de souvent attendre que celle-ci ne devienne intolèrable pour être, dans le meilleur des cas poussé à la traiter, et dans le pire des cas, être definitivement abimé. Lorsqu'une dent commence à faire mal, il est prudent de consulter un dentiste au plus vite, car non seulement la douleur ne disparaitra pas d'elle même, mais la carie à l'origine de la douleur continura à s'etendre. Il en est de même pour la douleur psychique. C'est un signal utile pour appeller la personne à changer quelque chose en profondeur, avant que cela ne s'agrave, en quelque sorte.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 34ans Posté(e)
Empireofthesun Membre 844 messages
Baby Forumeur‚ 34ans‚
Posté(e)

A partir de quand?

Quand la goutte fait déborder le vase?

Je sors, c’était un plaisir.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Forumeur discret, 63ans Posté(e)
Kid_Ordinn Membre 9 594 messages
63ans‚ Forumeur discret,
Posté(e)
A quel moment peut-on dire que l'on va mal ?

Dans l'idéal,on ne devrait jamais se le dire,sinon on s'enfonce encore plus et on avance pas,on stagne dans notre mal-être.

Quand je vais mal,je me traite de con,je me dit "Allez,ça ira,il y en a qui sont dans un état pire que le mien !" J'évite de me plaindre le plus souvent mais il peut m'arriver d'en parler à un/e ami/e par écrit ou de vive voix,juste ça permet de "dégonfler" l'abcès (même s'il reste toujours en arrière-plan,en moins puissant).

A une époque,je fréquentais une Maison d’accueil spécialisée,j'y rencontrais beaucoup de jeunes accidentés de la vie,je jouais aux échecs avec un môme de 20 ans,paralysé,il déplaçait son fauteuil avec son menton et il était d'une humeur toujours joviale,on se tapait des fous rires,bon sang quelle fraîcheur,quelle leçon ! Quand j'en repartais,je peux t'assurer que mes soucis étaient devenus minimes,presque insignifiants,j'étais reboosté :)

Fin bref,3615 Mylife :D

J'en ai retenu cette leçon de vie,plus on se laisse aller à penser à nos soucis,plus on s'enfonce dans ces soucis et la porte reste fermée à toute possibilité d'amélioration.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)

A partir de quand?

Quand la goutte fait déborder le vase?

Je sors, c’était un plaisir.

Soit à partir du moment où la douleur est trop forte, et c'est dommage d'avoir attendu. Soit avant, lorsque les premieres douleurs apparaissent, si l'on a la chance d'avoir la lucidité de prevoir que cela ne s'arrange jamais tout seul ces choses là.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Titre, 36ans Posté(e)
Nemesis Knives Membre 6 234 messages
36ans‚ Titre,
Posté(e)

Ca va mal, à partir du moment ou tu es capable d'analyser ce mal être et le pourquoi. Chez certains cette phase est différente....ils savent qu'ils vont mal mais ce sera toujours la faute d'autrui.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, In love with life and truth, Posté(e)
Swannie Membre 10 264 messages
In love with life and truth,
Posté(e)

C'est lorsqu'on est descendu au plus bas, de ce que l'on peut personnellement supporter, qu'il devient possible de remonter (c'est ma propre expérience, je ne suis pas en train de dire qu'il peut en être pareil pour tout le monde).

Comme s'il devenait possible, après avoir connu le pire, d'entrapercevoir enfin le meilleur.

Cela s'est traduit pour ma part par 3 jours sans manger, errant comme un fantôme dans la maison, ne sortant pas, perdant la notion du temps. Jusqu'à la main tendue d'un ami, le soir du 3ème jour, ne me voyant pas et s'en inquiétant. Confidences sans rien omettre (il est important de tout déballer, de mettre au grand jour le poids qui nous oppresse), écoute remplie de compassion, promesses faites à partir de simples conseils avant de se quitter. Et la marche en avant venait de commencer. Suivi attentif de l'ami ensuite. C'était il y a 11 ans, il n'y a plus jamais eu de retour en arrière.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

On a tous des périodes de souffrance, plus ou moins longues, plus ou moins intenses, a tel point que si on modifiait la question comme suit:

" A quel moment peut-on dire que l'on va bien ?", cela me semblerait plus pertinent.

Mais pour répondre directement, il faut peut etre envisager notre etre comme un ressort, tant qu'il n'est pas cassé on peut encore avancer, rebondir.

Mais a trop tirer sur la corde ( ou le ressort ) il arrive qu'elle se casse.

Chacun a ses limites.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 64ans Posté(e)
S.A.S Membre 3 368 messages
Baby Forumeur‚ 64ans‚
Posté(e)

On sait que l'on va mal ( très mal ) quand le ressort qui nous fait rebondir se casse ... comme le dit swam .

Et là , on a un très gros problème .

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Soleil d'Hiver, 60ans Posté(e)
Cassandre 0101 Membre 9 857 messages
60ans‚ Soleil d'Hiver,
Posté(e)

Dans l'idéal,on ne devrait jamais se le dire,sinon on s'enfonce encore plus et on avance pas,on stagne dans notre mal-être.

Quand je vais mal,je me traite de con,je me dit "Allez,ça ira,il y en a qui sont dans un état pire que le mien !" J'évite de me plaindre le plus souvent mais il peut m'arriver d'en parler à un/e ami/e par écrit ou de vive voix,juste ça permet de "dégonfler" l'abcès (même s'il reste toujours en arrière-plan,en moins puissant).

A une époque,je fréquentais une Maison d’accueil spécialisée,j'y rencontrais beaucoup de jeunes accidentés de la vie,je jouais aux échecs avec un môme de 20 ans,paralysé,il déplaçait son fauteuil avec son menton et il était d'une humeur toujours joviale,on se tapait des fous rires,bon sang quelle fraîcheur,quelle leçon ! Quand j'en repartais,je peux t'assurer que mes soucis étaient devenus minimes,presque insignifiants,j'étais reboosté :)

Fin bref,3615 Mylife :D

J'en ai retenu cette leçon de vie,plus on se laisse aller à penser à nos soucis,plus on s'enfonce dans ces soucis et la porte reste fermée à toute possibilité d'amélioration.

tout à fait d'accord avec toi

mais parfois ce n'est pas facile alors on tombe et puis on se met un coup d e pied aux fesses :D

ou on en parle à quelqu'un de confiance

ça aide!:bo::bo: à relativiser

et toujours se dire qu'il y a pire ds la vie

car si on se met à envier ce qui est mieux alors on ne s'en sortira jamais!

et croire toujours croire!

je n'ai jamais voulu regarder plus haut, les gens à qui tout réussi ne m'intéressent pas afin d e me préserver de mauvais ressentis, je suis humaine je peux aussi envier l'autre

et mon travail de bénévolat qui me place parmi les plus pauvres est une leçon pour moi pour toujours positiver quoiqu'il arrive

tant qu'on se tient sur nos 2 jambes et qu'on puisse marcher, bouger se déplacer là est le principal

tant d e personnes ne peuvent même pas marcher!

apprendre à ne plus regarder son nombril se tourner sur lui même! :dev: aussi...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 55ans Posté(e)
Foraveur Membre 6 426 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)

Quand on devient dépendant des autres....ou que leur jugement a prise sur nous....

Quand on choisit soi même quelle sera sa derniere limite et que il n'y en aura pas d'autre...on est en accord avec soi même donc on va bien.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Docteur Honoris Causa es "Patati & Patata ...", 62ans Posté(e)
BadKarma Membre 15 077 messages
62ans‚ Docteur Honoris Causa es "Patati & Patata ...",
Posté(e)

L' on peut dire que l' on va mal lorsque l' on ne voit plus de personnes qui aillent encore plus mal que nous, tout du moins lorsque l' on possède un minimum du sens de la dignité et de son humble courage... sleep8ge.gif

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, In love with life and truth, Posté(e)
Swannie Membre 10 264 messages
In love with life and truth,
Posté(e)

mais parfois ce n'est pas facile alors on tombe et puis on se met un coup de pied aux fesses :D

ou on en parle à quelqu'un de confiance

ça aide!:bo::bo: à relativiser

et ce quelqu'un de confiance nous mènera à relativiser, c'est le coup de ressort dont on avait besoin à ce moment là :)

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×