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Qu'est ce que la féminité ?

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Ahahahaha non...ahahahahha ..je disais ca a thissa

Dans ce cas la je suis tout a fait d'accord avec toi.

J'ai meme été bluffé par son intervention.

On en tient une !

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Membre, 53ans Posté(e)
Foraveur Membre 6 426 messages
Baby Forumeur‚ 53ans‚
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Oui...comme elle est ma femme...je voulais lui dire comme ça que j'approuvais ce qu'elle disait..une sorte de compliment....mais j'ai manqué ma cible ...ahahhahahaha

Modifié par Foraveur
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Invité
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Posté(e)

Oui...comme elle est ma femme...je voulais lui dire comme ça que j'approuvais ce qu'elle disait..une sorte de compliment....

Vraiment ?

Donc tu l'a connais beaucoup mieux que moi, ce qui prouve que je ne me suis pas trompé sur son intervention.

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Membre, 53ans Posté(e)
Foraveur Membre 6 426 messages
Baby Forumeur‚ 53ans‚
Posté(e)

oui vraiment....non tu ne te trompes pas....c'est pour ses qualités que je l'aime ...(bon elle a aussi du caractère hein...) :)

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Invité
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Invité Invités 0 message
Posté(e)

oui vraiment....non tu ne te trompes pas....c'est pour ses qualités que je l'aime ...(bon elle a aussi du caractère hein...) :)

ça n'empeche pas.

C'est bien de savoir qu'il y a au moins un homme heureux en amour.

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Membre, 106ans Posté(e)
eclipsepartielle Membre 4 565 messages
Baby Forumeur‚ 106ans‚
Posté(e)

oui vraiment....non tu ne te trompes pas....c'est pour ses qualités que je l'aime ...(bon elle a aussi du caractère hein...) :)

C'est mignon ça ! je vous souhaite beaucoup de bonheur à tous les deux :)

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Invité Lowy
Invités, Posté(e)
Invité Lowy
Invité Lowy Invités 0 message
Posté(e)

@Swam

( Heu…quand tu dis que le masculin est toujours en mouvement, cela veut dire que le feminin c’est la stagnation-la latence, ? …Et puis l’image du bourdon et de la fleur , c’est vraiment du lourd ( ça me laisse sans voix après un mega eclat de rire :) ) , tu es sérieux ?)

J’aime beaucoup Shakespeare et Molière avec leurs métaphores, prises de consciences et remises en question face à l’incohérence du monde et son inconstance

Hamlet est une pièce magistrale et le personnage est attachant mais exaspérant aussi : il est lucide mais tout autant agaçant; ses lamentations quoique justifiées l’occupent plus que nécessaire et ça tue Ophélia :) qu’il ne comprend vraiment qu’il l’aime que lorsqu’elle passe suicidée avec une couronne de fleurs sur la tête… (L’aime-t-il d’ailleurs ou n’est –elle qu’une raison de plus pour justifier son dégout de tout…)

je fais du hors sujet, je sais mais le verre d’eau vide parceque trop soif… :) et :) (trop)

La féminité, la masculinité c’est quoi ? ben c’est être tout simplement avec nos émotions et tout ce qui va avec…

Être, ou ne pas être, telle est la question. (comment les définir mieux qu’ainsi :))

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
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Gérard Pommier

Féminin, révolution sans fin

La femme n’est jamais tant célébrée par les poètes, de Pétrarque à Nerval, que lorsqu’elle

est inaccessible, idéalisée, absente, ou même morte. En revanche, quand des femmes bien vivantes descendent dans la rue et prennent une part active à la Révolution française,

les historiens n’en parlent guère.

Les seins nus parmi les plus célèbres de l’histoire de la peinture ne sont pas ceux

d’une femme mais ceux d’une allégorie, La Liberté guidant le peuple.

Objet de désir, et de ce fait facteur de désordre, le féminin est refoulé.

Souvent, aussi, par les femmes elles-mêmes.

Impossible à éradiquer, il est savamment éloigné et rêvé, paré, voilé,

ou fantasmé. Toutes les sociétés humaines, patriarcales à de rares exceptions près, mythifient la féminité pour mieux la tenir à distance.

Maintenir l’ordre est une fonction d’homme.

Pourtant, engendré par le désir, le désordre lui-même, et tout ce qu’il draine

avec lui de remises en question, est aussi un facteur d’évolution.

A ce titre, le féminin n’est-il pas le ferment du progrès ?

L’histoire, cette fois, ne s’y est pas trompée : partout où l’oppression subie

par les femmes s’atténue, les hommes eux-mêmes sont plus libres.

Comme si le tableau de Delacroix était moins classiquement allégorique qu’authentiquement visionnaire : qui songerait à représenter la liberté sous des traits masculins ?

Gérard Pommier offre ici un essai singulier, une exploration littéraire et politique

de la féminité, dans ce qu’elle a de moins domesticable et de plus séditieux.

Psychiatre et psychanalyste, professeur des universités, Gérard Pommier est

l’auteur de nombreux ouvrages parmi lesquels Que veut dire « faire l’amour » ?

(Flammarion, 2010).

.

.

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Invité libredeparler
Invités, Posté(e)
Invité libredeparler
Invité libredeparler Invités 0 message
Posté(e)

Pour moi, la féminité , c'est tout simplement le fait qu'une femme assume son genre et sache le mettre en valeur...

...ce qui est de plus en plus rare de nos jours...

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Invité
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Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

@Swam

( Heu…quand tu dis que le masculin est toujours en mouvement, cela veut dire que le feminin c’est la stagnation-la latence, ? …Et puis l’image du bourdon et de la fleur , c’est vraiment du lourd ( ça me laisse sans voix après un mega eclat de rire :) ) , tu es sérieux ?)

J’aime beaucoup Shakespeare et Molière avec leurs métaphores, prises de consciences et remises en question face à l’incohérence du monde et son inconstance

Hamlet est une pièce magistrale et le personnage est attachant mais exaspérant aussi : il est lucide mais tout autant agaçant; ses lamentations quoique justifiées l’occupent plus que nécessaire et ça tue Ophélia :) qu’il ne comprend vraiment qu’il l’aime que lorsqu’elle passe suicidée avec une couronne de fleurs sur la tête… (L’aime-t-il d’ailleurs ou n’est –elle qu’une raison de plus pour justifier son dégout de tout…)

je fais du hors sujet, je sais mais le verre d’eau vide parceque trop soif… :) et :) (trop)

La féminité, la masculinité c’est quoi ? ben c’est être tout simplement avec nos émotions et tout ce qui va avec…

Être, ou ne pas être, telle est la question. (comment les définir mieux qu’ainsi :))

Mais non le féminin n'est certainement pas la stagnation, plutot épanouissement, ile printaniere et luxuriante sur laquelle le masculin reve de se poser :smile2:

Tu as trés bien fait de citer Hamlet !

Quelle richesse dans cette oeuvre !

Il ne se lamente pas, il pense tout haut.

Il est déçu par la vie jusqu'au dégout, il se dit a quoi bon subir tout ça et son fameux "etre ou ne pas etre" c'est une interrogation sur le choix entre subir la fortune ou se rebeller contre elle.

Il aime Ophélie a la folie, meme si celle ci est un peu nunuche, a un moment donné il a des paroles dures contre elle, mais elles sont dues a la souffrance que lui cause la conduite de sa mere apres la mort de son pere.

Que cette tirade est belle !

Oh Dieu! combien pesantes, usées, plates et stériles, me semblent toutes les jouissances de ce monde! Fi de la vie!

ah! fi! C'est un jardin de mauvaises herbes qui montent en

graine; une végétation fétide et grossiére est tout ce qui

l'occupe. Que les choses en soient venues la! Depuis deux

mois seulement qu'il est mort! Non, non, pas meme deux

mois! Un roi si excellent; qui était a celui-ci ce qu'Hypénon est a un satyre; si tendre pour ma mère qu'il ne voulait pas permettre aux vents du ciel d'atteindre trop rudement son visage! Ciel et terre! faut-il que je me souvienne? Quoi! elle se pendait a lui,comme si ses désirs grandissaient en se rassasiant. Et pourtant! En un mois...

Ne pensons pas a cela... Fragilité, ton nom est femme! En

un petit mois, avant d'avoir usé les souliers avec lesquels

elle suivait le corps de mon pauvre père, comme Niobé,

tout en pleurs. Eh quoi! elle, elle-mème! O ciel! Une béte,

qui n'a pas de réflexion, aurait gardé le deuil plus

longtemps... Mariée avec mon oncle, le frére de mon père,

mais pas plus semblable a mon père que moi a Hercule!

En un mois! Avant meme que le sel de ses larmes

menteuses eut cessé d'irriter ses yeux rougis, elle s'est mariée! o ardeur criminelle! courir avec une telle vivacité a des draps incestueux! C'est une mauvaise action qui ne peut mener a rien de bon. Mais tais-toi, mon coeur! car il faut que je retienne ma langue.

Gérard Pommier

Féminin, révolution sans fin

La femme n’est jamais tant célébrée par les poètes, de Pétrarque à Nerval, que lorsqu’elle

est inaccessible, idéalisée, absente, ou même morte. En revanche, quand des femmes bien vivantes descendent dans la rue et prennent une part active à la Révolution française,

les historiens n’en parlent guère.

Les seins nus parmi les plus célèbres de l’histoire de la peinture ne sont pas ceux

d’une femme mais ceux d’une allégorie, La Liberté guidant le peuple.

Objet de désir, et de ce fait facteur de désordre, le féminin est refoulé.

Souvent, aussi, par les femmes elles-mêmes.

Impossible à éradiquer, il est savamment éloigné et rêvé, paré, voilé,

ou fantasmé. Toutes les sociétés humaines, patriarcales à de rares exceptions près, mythifient la féminité pour mieux la tenir à distance.

Maintenir l’ordre est une fonction d’homme.

Pourtant, engendré par le désir, le désordre lui-même, et tout ce qu’il draine

avec lui de remises en question, est aussi un facteur d’évolution.

A ce titre, le féminin n’est-il pas le ferment du progrès ?

L’histoire, cette fois, ne s’y est pas trompée : partout où l’oppression subie

par les femmes s’atténue, les hommes eux-mêmes sont plus libres.

Comme si le tableau de Delacroix était moins classiquement allégorique qu’authentiquement visionnaire : qui songerait à représenter la liberté sous des traits masculins ?

Gérard Pommier offre ici un essai singulier, une exploration littéraire et politique

de la féminité, dans ce qu’elle a de moins domesticable et de plus séditieux.

Psychiatre et psychanalyste, professeur des universités, Gérard Pommier est

l’auteur de nombreux ouvrages parmi lesquels Que veut dire « faire l’amour » ?

(Flammarion, 2010).

.

.

C'est en étant féminines que les femmes ont le plus de pouvoir sur les hommes, cela est certain.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Alors, petit indice : si y a peu de femmes qui rentrent dans ta définition de la féminité, c'est sans doute parce qu'elle est fantasmée.

Cela dit, j'imagine qu'après ton évaluation quand tu te seras fait "une idée assez précise", je pourrais enfin connaître mon taux de féminité (14.002 % ? smiley_ohwell.gif)

C'est un concept, un ressenti. Y a pas d'indicateurs précis, de critères quantifiables... pour ça, y a d'autre sujet, tu peux faire de l'économétrie si ça te tente.

Tu parles de douceur ? C'est quoi la douceur ? Le fait de se caresser doucement en chantonnant ? La douceur de la peau ? Parler avec une petite voix calme ? Faire des calins ? Etre gentil ? Ca aussi c'est flou.

On va dire une chose : celles qui naissent avec des organes génitaux féminins, et qui sont satisfaites de cette identité biologique, elles font preuve de féminité. Même en survêt, même sans enfant, même en jurant.

J'aime pas du tout ces jugements...dire à un homme qu'il n'est pas masculin, à une femme qu'elle n'est pas féminine c'est lui dire : t'es un raté, tu ne sais pas être toi même. A quoi ça sert à part à exclure des gens ce genre de question ? Est feminin(e) celui/celle qui se ressent comme telle, et si les autres ne trouvent pas, ils n'ont rien à redire.

Tiens Ninous qui est revenu, contente de te relire. rolleyes.gif

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Membre, 108ans Posté(e)
Cheragaz Membre 6 492 messages
Mentor‚ 108ans‚
Posté(e)

Ma femme est grande, dynamique, décidée, parfois autoriraire et ni la douceur, ni la délicatesse ne sont des traits de caractère très marquants chez elle.

Pourtant, quand elle marche tous les hommes se retournent sur son passage, et sa voix et ses gestes subjuguent tous ceux qui l'écoutent.

Il faudrait que tu acceptes que ce que TU TROUVES FEMININ chez une femme est sa douceur.

Moi, ce sont celles qui "dégagent" qui me font de l'effet.

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Membre, 110ans Posté(e)
Encéphale Membre 4 476 messages
Baby Forumeur‚ 110ans‚
Posté(e)

Alors, petit indice : si y a peu de femmes qui rentrent dans ta définition de la féminité, c'est sans doute parce qu'elle est fantasmée.

Cela dit, j'imagine qu'après ton évaluation quand tu te seras fait "une idée assez précise", je pourrais enfin connaître mon taux de féminité (14.002 % ? smiley_ohwell.gif)

C'est un concept, un ressenti. Y a pas d'indicateurs précis, de critères quantifiables... pour ça, y a d'autre sujet, tu peux faire de l'économétrie si ça te tente.

Tu parles de douceur ? C'est quoi la douceur ? Le fait de se caresser doucement en chantonnant ? La douceur de la peau ? Parler avec une petite voix calme ? Faire des calins ? Etre gentil ? Ca aussi c'est flou.

On va dire une chose : celles qui naissent avec des organes génitaux féminins, et qui sont satisfaites de cette identité biologique, elles font preuve de féminité. Même en survêt, même sans enfant, même en jurant.

J'aime pas du tout ces jugements...dire à un homme qu'il n'est pas masculin, à une femme qu'elle n'est pas féminine c'est lui dire : t'es un raté, tu ne sais pas être toi même. A quoi ça sert à part à exclure des gens ce genre de question ? Est feminin(e) celui/celle qui se ressent comme telle, et si les autres ne trouvent pas, ils n'ont rien à redire.

Ca sent un peu la mauvaise foi quand on commence par demandé ce que c'est que la douceur, je te mettrait un nourrisson dans les mains je suis sur que tu ne demanderais pas une définition précise pour en faire preuve... Non désolé une femme en survêt qui jure n'est pas féminine (ni masculine d'ailleurs, elle n'en est qu'une caricature), la définition que tu donnes n'a pas de sens puisque à ce moment la quelle différence existe-t-il entre être simplement une femme et être une femme féminine? Aucune, les deux termes ce confondent et on a plus qu'à viré le terme féminité du dictionnaire. La féminité ne ce définit pas par ce qui ce trouve chez la femme mais qu'on ne trouve jamais chez l'homme puisqu'il est largement admit que chacun à une part de féminité et de masculinité, c'est donc plus une histoire de proportion variable chez tout le monde mais pas totalement indépendante du sexe biologique. Après les jugements de valeur regarde chacun c'est autre chose...

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Membre, 157ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
Posté(e)

Non tu n'y es pas, et c'est compréhensible.

J'ai une certaine expérience concrete au sujet de l'amour, je l'ai vécu intensément de l'extérieur et de l'intérieur.

Je ne fantasme pas, c'est le contraire, j'essaye d'analyser en profondeur ce qui est susceptible de me faire fantasmer.

Je sais bien que chez beaucoup de gens il y a la façade et ce qu'il y a derriere.

Des personnes un peu brusques ou bourrues extérieurement peuvent etre des grands sensibles, et des personnes qui ont des abords assez doux peuvent etre des mister ou miss Hyde.

Mais avec l'expérience et un peu de temps on parvient a voir clair en elles.

Et je sais aussi qu'a l'origine d'une passion brusque et soudaine il y a toujours, ou presque, l'illusion.

Il y a encore une chose qui me déçoit chez la gente féminine,

Leurs désirs, leurs passions sont nettement moins forts que chez nous les hommes, excepté quand cela est basé sur une attirance-dépendance physique, disons sexuelle, qui fait naitre la passion amoureuse.

Bref, je suis a peu prés persuadé que je finirai ma vie tout seul, et ce a partir de maintenant.

Et sinon t'en pecho beaucoup avec ce sytème ?

J'ai rien compris :snif:

MDR

Modifié par chapati
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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Et sinon t'en pecho beaucoup avec ce sytème ?

Beaucoup n'est pas le but, je n'en cherche plus qu'une, la seule, l'unique, la spéciale, l'improbable.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Un exemple de femme douce ( ça transparait dans la voix et c'est un délice )

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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 35 355 messages
Grégairophobe...,
Posté(e)

C'est drôle que tu évoques la voix, parce que j'avais une prof qui l'avait suave. Jamais un mot plus haut que l'autre, il fallait même parfois tendre l'oreille pour l'entendre.

C'est la plus belle peau de vache que j'ai jamais eu. Elle pouvait dire des horreurs avec cette voix de velours. C'était étrange et déstabilisant.

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Membre, Brise-noix devant l'éternel, 29ans Posté(e)
Ninouschkaya Membre 3 047 messages
29ans‚ Brise-noix devant l'éternel,
Posté(e)

Ca sent un peu la mauvaise foi quand on commence par demandé ce que c'est que la douceur, je te mettrait un nourrisson dans les mains je suis sur que tu ne demanderais pas une définition précise pour en faire preuve... Non désolé une femme en survêt qui jure n'est pas féminine (ni masculine d'ailleurs, elle n'en est qu'une caricature), la définition que tu donnes n'a pas de sens puisque à ce moment la quelle différence existe-t-il entre être simplement une femme et être une femme féminine? Aucune, les deux termes ce confondent et on a plus qu'à viré le terme féminité du dictionnaire. La féminité ne ce définit pas par ce qui ce trouve chez la femme mais qu'on ne trouve jamais chez l'homme puisqu'il est largement admit que chacun à une part de féminité et de masculinité, c'est donc plus une histoire de proportion variable chez tout le monde mais pas totalement indépendante du sexe biologique. Après les jugements de valeur regarde chacun c'est autre chose...

Donc la douceur c'est s'occuper d'un nourrisson ? Alors je pense que tous les gens sensés et équilibrés peuvent faire preuve de douceur laugh.gif

Ta remarque sur l'absence de différence entre une femme et une femme féminine, c'est exactement là où je voulais en venir : faire une distinction entre les deux ne sert a rien, à part faire un jugement de valeur entre les femmes/ et les femmes qui correspondent à tes normes/ aux normes sociétales.

Très franchement ces histoires de part de féminté/masculinté c'est vraiment de la psychologie de comptoir. Ce serait bien plus simple de dire : il ya des gens délicats/ des gens grossiers/ des gens endurants/ des gens fragile.

Lafâme est une humain comme les autres. Après, si tu as une préférence pour les talons, les robes rouges, les mains qui sentent le lait pour bébé, tant mieux, mais celles qui n'entrent pas dans ces critères n'ont pas à subir un jugement sur la base féminine/ pas féminine.

Féminité et masculinité sont des concepts fourre tout, chacun y met de ce qu'il veut, le beauf moyen va donc y insérer les stéréotypes les plus courants du sens commun : Charles Ingalls pour la virilité, Sa môman pour la femme respectable, sa prof de lycée pour la femme désirable....

C'est totalement subjectif, donc je vois pas trop l'intérêt du débat, du jugement de valeur permanent sur des critères aussi inconsistants que chimériques.

Tu parles du virer le mot du dictionnaire...bah regarde la gueule de la définition larousse, tu as le sens 1 (celui que je donne) et le sens 2, très vague dans lequel on met ce qu'on veut et qui varie en fonction de "sagesse" populaire :

féminité

nom féminin

  • Ensemble des caractères anatomiques et physiologiques propres à la femme.
  • Ensemble des traits psychologiques considérés comme féminins : Elle manque de féminité.

Merci Larousse.fr santa2.gif

Modifié par Ninouschkaya
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