Le BREXIT a gagné

La livre britannique dégringolait face à l'euro, à 85,27 pence pour un euro - atteignant même vers 13H00 GMT 85,44 pence, son niveau le plus faible depuis fin octobre 2013 - contre 83,93 pence lundi.

Donc pas la fin du monde, du déjà vu, ça vaut le coup d'aller faire une petite virée chez nos charmants amis.:smile2:

Les électeurs pro-Brexit ne sont pas tous stupides. Il y a aussi beaucoup de racistes, de xénophobes, d'islamophobes...etc dans le camp de Brexit.

Quant à "l'ignorance" de certains électeurs britanniques, elle a été parfaitement illustrée par le Top 5 des requêtes Google les plus populaires au Royaume-Uni juste après le vote (voir image ci-dessous).

Malgré la campagne intense qui avait précédé le vote, beaucoup d'électeurs britanniques ne s'avaient même pas ce qu'était l'UE le jour du vote.

Mais c'est bien ça le probléme.

comment ce fait-il que les peuples connaissent aussi mal l'Europe et ce qu'elle est sensée nous apporter???

C'est trop compliqué de pondre un truc de quelques pages pour expliquer la chose....ou alors y a-t-il plus de choses qu'il ne vaut mieux pas expliquer??

Comme direz l'autre: "quand c'est flou, y'a un loup".........

Depuis qu'il y'a l'europe, on parle pas en france des questions des français mais d'une europe et dans chaque pays c'est comme ça, on parle au nom d'un grand modele et ils faut accepter les grandes décisions, ça n'arrange pas les interets des citoyens, les anglais par exemple veulent discuter de l'angleterre surtout et non de la grece et portugal et tout les peuples c'est comme ça, je commence par mes questions et non une entité grandiose avec objectifs irréalistes

Mais c'est bien ça le probléme.

comment ce fait-il que les peuples connaissent aussi mal l'Europe et ce qu'elle est sensée nous apporter???

C'est trop compliqué de pondre un truc de quelques pages pour expliquer la chose....ou alors y a-t-il plus de choses qu'il ne vaut mieux pas expliquer??

Comme direz l'autre: "quand c'est flou, y'a un loup".........

Faut juste chercher, parfois !

J'ai dit....quelques pages accessibles à tous :cool: :cool: :cool:

Sinon, j'adore cette série "pour les nuls"; c'est souvent trés instructif effectivement

Et pendant ce temps là, l'effondrement de la livre sterling se poursuit, inexorablement ....

http://www.lefigaro....e-au-dollar.php

Comme l'euro, et tu as vu une différence?

Non, le peuple anglais fait ses courses comme dab, faut arrêté de vouloir faire peur et faire du catastrophisme.

Le referendum est passé..

Les électeurs pro-Brexit ne sont pas tous stupides. Il y a aussi beaucoup de racistes, de xénophobes, d'islamophobes...etc dans le camp de Brexit.

Quant à "l'ignorance" de certains électeurs britanniques, elle a été parfaitement illustrée par le Top 5 des requêtes Google les plus populaires au Royaume-Uni juste après le vote (voir image ci-dessous).

Malgré la campagne intense qui avait précédé le vote, beaucoup d'électeurs britanniques ne s'avaient même pas ce qu'était l'UE le jour du vote.

Encore et toujours des préjugés!

Un peuple qui souffre du travail précaire. Un peuple qui n'a aucun intérêt à se faire manipuler par Bruxelles, et de l'autre des médias qui montrent du doigt, qui désinforment pour mieux servir la soupe populiste aux idiots utiles pro Bruxelles.

Royaume-Uni : le pro-Brexit Nigel Farage, leader du parti Ukip, annonce sa démission

Le pro-Brexit Nigel Farage a annoncé lundi qu'il démissionnait de la tête du parti europhobe et anti-immigration Ukip, jugeant "avoir fait sa part" après le succès des partisans de la sortie du Royaume-Uni de l'UE au référendum du 23 juin.

Surprise au sein du parti europhobe et anti-immigration Ukip : le pro-Brexit Nigel Farage a annoncé lundi 4 juillet qu'il démissionnait de la tête du parti maintenant qu'il avait atteint son objectif : la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne. "Mon objectif de sortir de l'UE est atteint [...] j'ai accompli ma mission", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse, ajoutant qu'il quittait donc la tête de l'Ukip.

"Pendant la campagne du référendum, j'ai déclaré que je voulais récupérer mon pays. Maintenant, je dis que je veux récupérer ma vie", a ajouté cet europhobe de toujours qui a mené une campagne acharnée et controversée pour quitter l'UE. Une affiche de campagne montrant une colonne de réfugiés et barrée du commentaire "Point de rupture" avait notamment choqué, jusque dans les rangs des pro-Brexit.

Un retrait définitif ?

"On est toutefois en droit de se demander si ce retrait est bien définitif, estime Caroline de Camaret, journaliste de France 24 spécialiste des questions européennes. En 2009, il avait déjà démissionné de la tête de l’Ukip, qu’il avait cofondé en 1993, au motif que le système de majorité l’empêchait d’entrer au Parlement à Westminster. De fait, il n’est que député européen – depuis 1999. Et il ne semble pas vouloir renoncer à ce siège ni à ses émoluments.

suite de l`article

Ou, comment les Anglais se réveillent avec des brulures anales après leur connerie historique......

Ou, comment les Anglais se réveillent avec des brulures anales après leur connerie historique......

Les brulures anales apparemment elles seraient plus du coté des euro béats qui n'arrêtent pas d'en parler.

Les Anglais vaquent à leurs occupations en toute quiétude, hier j'en ai encore croisé, ils en ont rien à foutre, ça se passe dans les têtes vides de certains paranos la fin du monde!

Cameron a démissionné

Johnson a abandonné

et Farage veut avoir plus de temps pour dépenser son salaire européen.

Le dernier homme debout sera probablement une femme...en référence à Theresa May qui a pour l'instant les faveurs des pronostics pour succéder à David Cameron.

Les rats au moins, ils n'abandonnent pas leurs compatriotes quand une catastrophe majeure les menace !

C'est vrai et hallucinant, c'est comme si un candidat français élu démissionnait le lendemain du vote.

Cameron râlait toujours contre les subventions à donner à l'UE (il oubliait celles octroyées à ses agriculteurs) eh bien on voit le résultat !

Les brulures anales apparemment elles seraient plus du coté des euro béats qui n'arrêtent pas d'en parler.

Les Anglais vaquent à leurs occupations en toute quiétude, hier j'en ai encore croisé, ils en ont rien à foutre, ça se passe dans les têtes vides de certains paranos la fin du monde!

Il ne vont quand même pas s'arrêter de respirer parce qu'ils ont voté pour une bande d'escrocs en se basant sur les mensonges de ces mêmes escrocs.

Parce que la campagne des pro-Brexit, dans le genre solo de pipeau, c'était pas mal quand même

Il ne vont quand même pas s'arrêter de respirer parce qu'ils ont voté pour une bande d'escrocs en se basant sur les mensonges de ces mêmes escrocs.

Tu répètes des âneries, , ils ont voté surtout pour les problèmes qu'ils rencontrent, c'est la presse qui est mensongère.

Bien sur....

Je savais bien que tu disais ça pour provoquer.:)

Les brulures anales apparemment elles seraient plus du coté des euro béats qui n'arrêtent pas d'en parler.

Les Anglais vaquent à leurs occupations en toute quiétude, hier j'en ai encore croisé, ils en ont rien à foutre, ça se passe dans les têtes vides de certains paranos la fin du monde!

C'est n'importe quoi ce que tu dis là ! :smile2:

Les nord irlandais font des demandes massives de naturalisation irlandaise, les investisseurs se désengagent massivement des fonds immobiliers britanniques, Londres en est réduite à mettre en place du dumping fiscal, donc social, et le gus, il nous la chante "tout va très bien madame la Marquise" ! ! :smile2:

Un tel déni de réalité est stupéfiant et grotesque ! :smile2:

Tu me fais penser à Eva Braun en train d'organiser une "fête" avec les dignitaires nazis, alors que les soviétiques venaient d'achever l'encerclement de Berlin !

http://lexpansion.le...ie_1809720.html

http://www.capital.fr/bourse/analyses-seances/brexit-les-premiers-effets-palpables-alarment-les-marches-1145055

Ceux qui nous disaient (les mêmes ) que l on ne pouvait pas devaluer l euro .

Depuis l euro a chuté et pas de pluie de crapauds. .:)

http://www.lesechos....ues-2012355.php

+ VIDEO. Est-ce l’indice d’un début de panique, voire d’une crise plus profonde ? Trois fonds immobiliers britanniques suspendent les rachats.

L'immobilier de bureau britannique sera-t-il le déclencheur d'une nouvelle crise financière ? Il est bien sûr beaucoup trop tôt pour se prononcer, mais certaines similitudes ont de quoi inquiéter. Après Standard Life lundi, c'est Aviva Investment puis M& G qui bloquent les transactions sur pour les investisseurs particuliers sur leurs fonds immobiliers.

Pour rappel, en 2007, la crise avait commencé en sourdine par la suspension de rachats sur des fonds monétaires. Impactés par la crise des subprimes, ils n'étaient plus en mesure d'assurer la liquidité, ce qui est particulièrement grave pour des produits de trésorerie.

Des milliers de mètres carrés libérés

Aujourd'hui, ce sont les fonds immobiliers britanniques qui sont confrontés à ce problème de liquidité. « Dans l'intérêt de l'ensemble des investisseurs, nous avons décidé de suspendre les transactions sur ce fonds avec effet immédiat », a annoncé le gérant du fonds Aviva Investors Property Trust.

...

D'autres fonds devraient suivre le mouvement. Faut-il craindre un effet domino alors qu'un troisième fonds vient d'annoncer le gel de transactions ? Au-delà des particuliers, qui se voient - provisoirement - refuser la possibilité des retirer leur argent de ces fonds immobiliers, le sentiment de défiance pourrait gagner l'ensemble de la place. S'il ne faut pas sous-estimer l'effet délétère de ce type d'annonce, les Britanniques n'entendent pas laisser la City se vider, les bras croisés.

L'annonce de la baisse prochaine du taux d'impôt sur les sociétés à 15 % pourrait en effet inciter nombre d'entreprises à ne pas déserter. Enfin, « la décision d'interrompre les transactions laissera aux investisseurs le temps de se reprendre et de mesurer les effets concrets du Brexit. Une nouvelle fiscalité très avantageuse Outre-Manche pourrait au contraire avoir un effet d'aimant », confie un banquier.

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/monde/europe/0211100107297-brexit-vent-de-panique-sur-les-fonds-immobiliers-britanniques-2012355.php?gHvefE6kis72I128.99

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http://tempsreel.nouvelobs.com/brexit/20160705.OBS3990/brexit-apres-les-calins-et-les-croissants-place-a-la-bataille-juridique.html

Autre souci : le Premier ministre britannique peut-il décider seul de déclencher l'article 50 ? Le gouvernement britannique avait jusqu'au mardi 5 juillet au soir pour répondre à la question. Ses avocats, questionnés cinq jours après le référendum par un juge de la Haute cour de justice, ont eu une semaine pour plancher. La requête a été formulée par un avocat londonien, qui estime que si l'entrée du Royaume-Uni dans la CEE (Communauté économique européenne) en 1972 a été approuvée par une loi du Parlement, seul le Parlement peut la défaire.

...

Un cabinet d'avocats londonien, Mishcon de Reya, a lancé une procédure similaire. On ignore qui sont ses clients, mais on sait qu'il va mener une action contre le gouvernement britannique pour s'assurer que la clause de retrait ne soit pas utilisée sans un vote du Parlement. Là aussi, c'est du concret. Selon le "Guardian", des discussions sont engagées avec le gouvernement depuis le 27 juin pour obtenir des garanties.

Ceux qui nous disaient (les mêmes ) que l on ne pouvait pas devaluer l euro .

Depuis l euro a chuté et pas de pluie de crapauds. .:)

L'euro, c'est la monnaie unique de trois grandes puissances mondiales, la France, l'Italie, l'Allemagne, unies avec d'autres puissances moyennes dans un marché de 500 millions de consommateurs ! Rien à voir avec les 60 millions de consommateurs britanniques, aujourd'hui coupés de ce marché !

Sais tu au moins de quoi on parle ?

Sais tu au moins le prix social extraordinairement lourd que les britanniques les plus modestes vont devoir payer pour cette folie ? En as-tu seulement conscience ?

Ceux qui nous disaient (les mêmes ) que l on ne pouvait pas devaluer l euro .

Depuis l euro a chuté et pas de pluie de crapauds. .:)

http://fr.exchange-rates.org/history/USD/EUR/G/180

Personne n'a pleurniché lors des baisses?

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2016/07/06/20002-20160706ARTFIG00250-en-grande-bretagne-l-economie-reelle-commence-a-patir-du-brexit.php

Les plus grands économistes avaient prévenu: en cas de Brexit, l'économie britannique prenait le risque d'entrer en récession. Les sombres scénarios de ces prévisionnistes de renom commencent à devenir réalité. De fait, moins de deux semaines après la décision du Royaume-Uni de quitter l'Union Européenne, les effets se font ressentir sur l'économie réelle. «Les acheteurs sont moins nombreux dans les magasins, les offres d'emploi diminuent et la confiance décline», alerte le Financial Times.

Les données les plus précises pour évaluer la santé de l'économie britannique sont publiées avec un décalage et ne seront pas disponibles avant mi-août. «Mais les responsables du Trésor affirment, en privé, que les signes sont bien pire que ce qui avait été estimé et on ne sait pas encore ce qu'il se passe dans tout le pays», indique le très sérieux journal britannique. Certaines mesures permettent d'ores et déjà d'évaluer les premières conséquences de ce fait sans précédent, ajoute le quotidien des affaires.

● Baisse des dépenses

.....

● Chute du nombre d'offres d'emploi

.....

● Choc sur le marché immobilier

...

Chute de la livre

Au plus bas depuis 31 ans face au billet vert, la livre s'est effondrée de près de 15% par rapport au dollar et à l'euro depuis le vote sur le Brexit. Avant que les premiers signes probables d'une inflation importée ne se matérialisent en raison du renchérissement des nombreux produits achetés à l'étranger, la chute de la livre a déjà un impact concret pour les Britanniques partant en vacances en Espagne ou en France notamment, qui vont voir leur budget fortement amputé. La conséquence est similaire pour leurs nombreux compatriotes installés dans le sud de l'Europe pour leur retraite.

Les entreprises exportatrices tirent en revanche profit de cette baisse de la monnaie britannique, leurs produits devenant plus compétitifs outre-Manche et au-delà.

Ces prémices inquiétants sur la santé de l'économie britannique pourrait être confirmés, ou infirmés, par les données officielles qui seront publiées courant août. En attendant, l'économie britannique continuera d'être sous haute surveillance.

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A suivre avec les publis d'Août .

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http://www.lemonde.fr/referendum-sur-le-brexit/article/2016/07/06/brexit-les-annonces-du-gouvernement-francais-pour-attirer-les-entreprises-britanniques_4965035_4872498.html

Disant vouloir « une France attractive » dans ce « nouvel environnement qui se dessine », le chef du gouvernement a annoncé une série de mesures pour améliorer le cadre fiscal et réglementaire afin d’« accueillir encore de nombreuses entreprises » et « faire de Paris la capitale de la Smart finance » :

• une modification du régime des « impatriés », qui permet aux salariés venus de l’étranger de bénéficier de réductions fiscales. Ce régime sera « applicable pendant huit ans, contre cinq aujourd’hui » et la prime d’impatriation sera « exonérée de taxe sur les salaires », a souligné M. Valls ;

• la confirmation de la baisse de l’impôt sur les sociétés (IS), annoncée par François Hollande. « Nous avons, dès cette année, supprimé la contribution exceptionnelle à l’IS. Et le taux normal d’impôt sur les sociétés sera progressivement ramené à 28 % », contre 33 % aujourd’hui, a détaillé Manuel Valls ;

• mise en place d’un « point d’entrée unique », coordonné par l’agence de promotion de l’attractivité française Business France, pour faciliter les démarches administratives des entreprises étrangères souhaitant s’implanter en France. Ce service « permettra une prise en charge globale des entreprises comme de leurs salariés », en répondant à « leurs questions sur l’immobilier, la délivrance des titres de séjour, la scolarisation des enfants », a détaillé M. Valls, qui souhaite que ce dispositif soit en place « dès cette rentrée ». Le premier ministre souhaite que ce dispositif soit opérationnel dès la rentrée ;

• ouverture d’« autant de sections internationales que nécessaire dans les établissements scolaires » afin de permettre aux enfants d’expatriés de « suivre des cours dans leur langue maternelle ».

Le vote des Britanniques en faveur du « Brexit » a suscité l’appétit de plusieurs places financières européennes, qui espèrent gagner en attractivité face à la City de Londres. La place de Paris, qui dispose d’un pôle de gestion d’actifs de 3 600 milliards d’euros, a ainsi multiplié les appels du pied au monde de la finance et des grandes entreprises ces derniers jours, tout comme ses principales concurrentes Francfort ou Dublin.