j'ai passé une nuit debout

Le système est tellement verrouillé que le NPA, Melenchon ou les verts n'ont strictement aucune chance, ils sont à peine représentés à l'assemblée et pour certains pas représenté du tout.

D'un autre côté, le NPA, Mélenchon et les Verts ne représentent pas grand monde. Mais votre commentaire est vrai aussi pour le FN.

D'un autre côté, le NPA, Mélenchon et les Verts ne représentent pas grand monde. Mais votre commentaire est vrai aussi pour le FN.

Mélenchon fait plus dans les sondages que hollande, c'est dire !!!

Le moral des français est dans les chaussettes( trouées):smile2:

Ben Non, c'est Ambroize Croizat qui créa et mit en place

la Sécurité Sociale en 1945 !

http://ullimogesnord.reference-syndicale.fr/2015/12/ambroise-croizat-et-la-securite-sociale-quand-la-cgt-et-la-classe-ouvriere-simposerent-dans-la-vie-politique/

oh ! Quelle horreur, il était communiste et résistant !

durant la seconde guerre mondiale, à quelques exceptions près les grands patrons on montré leur "patriotisme" en collaborant avec l'occupant.

A la sortie de la guerre, l'occupant ayant de manière fort malencontreuse, perdu, cela a donné aux résistants dont beaucoup étaient communistes, une force incroyable pour forcer la main des patrons :D

en tout cas c'est certainement pas le capitalisme qui a créer la sécurité sociale mais plus la pression salariale sur les politiques.

Si ça tenait qu'au capitalisme on aurait même pas de contrat de travail et dans la précarité totale,demandes ce qu'il en pense à pierre gattaz

Expliques-moi comment créer la sécurité sociale sans l'argent généré par le capitalisme?

Expliques-moi comment créer la sécurité sociale sans l'argent généré par le capitalisme?

c'est pas plutôt le travail qui génère de l'argent plus que le capitalisme ?

je ne sais pas si on peut faire tourner la sécurité sociale sans argent, ce qui est sûr c'est que les riches capitalistes n'en veulent pas, parce que c'est une partie de l'argent qui ne peut pas être volé aux moins riches.

z'ont même une infirmerie de campagne place de la république.

C'est pour ceux du front ( de gauche).

Je n'ai rien contre la proportionnelle, donc vous pensez qu'avec la proportionnelle les partis dont nous parlons seraient boostes ?

Et la tout de suite pourquoi Mélenchon ne pourrait pas passer les 25% ?

Le pen n'en est plus loin après tout . Qu'est ce qui fait que votre esprit critique vous permets de ne pas voter pour les grands et que vos pairs votent mal ? ( c'était la question et au final la proportionnelle ne répond pas vraiment à la question )

Le FN est passé à 30% et a 2 élus au parlement.

Notre système électorale n'est pas un scrutin d'adhésion mais de rejet des autres partis.

Avec la proportionnelle les partis ne se heurteraient plus à cette contradiction.

Je pense que c'est facile à comprendre....!

durant la seconde guerre mondiale, à quelques exceptions près les grands patrons on montré leur "patriotisme" en collaborant avec l'occupant.

A la sortie de la guerre, l'occupant ayant de manière fort malencontreuse, perdu, cela a donné aux résistants dont beaucoup étaient communistes, une force incroyable pour forcer la main des patrons :D

Les patrons n'ont pas grand chose à voir dans l'affaire, le pays etait détruit et démocrate-chrétien , conservateur et communistes marchaient dans le même sens pour reconstruire le pays suite au CNR.

Jean Moulin et autres n'étaient pas communistes ( très nombreux ). Focalisez sur une appartenance alors que l'important, ce qui fait que ca a été possible fut le consensus, c'est ne rien avoir compris à l'histoire . C'est d'ailleurs bien ce qui manque aujourd'hui le consensus , chacun est persuadé d'avoir raison et se place dans un rapport de force . Le communisme français y a laissé pour partie son internationalisme, droite et chretien démocrate un certain libéralisme pour accoucher d'un projet commun.

Modifié le 19 avril 2016 par DroitDeRéponse

on est en tous cas sûr que ce projet de sécurité sociale n'est pas né au MEDEF d'alors :D

Le FN est passé à 30% et a 2 élus au parlement.

Notre système électorale n'est pas un scrutin d'adhésion mais de rejet des autres partis.

Avec la proportionnelle les partis ne se heurteraient plus à cette contradiction.

Je pense que c'est facile à comprendre....!

Avec la proportionnelle intégrale le FN serait sans doute au pouvoir, je le dis sans porter de jugement et Mélenchon , NPA etc toujours à moins de 10%. Si un parti avait une idée suscitant l'adhésion même avec le scrutin majoritaire serait au pouvoir .

C'est simple à comprendre.

Les esprits critiques voulant ouvrir les yeux du peuple se voient plus beaux qu'ils ne sont, ce n'est que mon avis.

La proportionnelle est une bonne idée si FG et FN sont à meme de dégager des idées communes. Sinon c'est une paralysie encore plus grande. Or PS et LR se pensant de gauche ou de droite n'arrivent déjà pas à converger car il paraîtrait qu'il y a des idées de droite et d'autres de gauche. Tout comme chacun est un esprit critique se demandant comment il va ouvrir les yeux du pèquenaud manipulé, de fait la proportionnelle intégrale peut ne paraître une bonne idée que sur le papier.

Modifié le 19 avril 2016 par DroitDeRéponse

on est en tous cas sûr que ce projet de sécurité sociale n'est pas né au MEDEF d'alors :D

https://fr.wikipedia.org/wiki/Programme_du_Conseil_national_de_la_R%C3%A9sistance

Les ordonnances du Gouvernement provisoire (août 1944- octobre 1945)[modifier | modifier le code]

À partir de septembre 1944, l'application de son programme devient la principale raison d'être du CNR qui perdure jusqu'en 1947. Louis Saillant succède à Georges Bidault nommé ministres des affaires étrangères. Le 7 octobre 1944, le CNR organise un vaste rassemblement au Vel d'Hiv et fait acclamer par une foule immense les grandes lignes de son programme^[32].

Au moment de la Libération, les socialistes de la SFIO représentent, avec les syndicalistes de la CGT réunifiée, les partisans les plus convaincus du programme du CNR. Les socialistes considèrent les nationalisations pas seulement comme des mesures socialistes, mais aussi des mesures patriotiques^[33]. Le PCF semble hésiter entre la promotion de son propre programme et celle du programme du CNR, mais il affirme plus clairement son adhésion au programme du CNR après le retour en France de Maurice Thorez et l'acceptation de la dissolution des Milices patriotiques en novembre 1944. En janvier 1945, Thorez se prononce pour « le retour à la nation des grands moyens de production monopolisés », c'est-à-dire pour les nationalisations, mais cette revendication est moins pressante que celle concernant l'épuration^[34]. Troisième tendance bien représentée dans la Résistance, les démocrates chrétiens fondent un parti, le Mouvement républicain populaire (MRP) en novembre 1944. Jusqu'au printemps 1945, ils sont animés d'une « foi révolutionnaire », selon les mots de Claire Andrieu qui fait remarquer qu'avec le quotidien socialiste Le Populaire, le journal d'inspiration démocrate chrétienne L'Aube appelle à la « Révolution » de façon récurrente alors qu'à la même époque les journaux communistes ne l'évoquent pas. Le MRP, selon ses objectifs annoncés le 5 septembre veut « en finir avec le régime capitaliste et la dictature de l'argent » mais marque sa réserve vis-à-vis des nationalisations en invoquant la « libéralisation de l'économie »^[35]. En décembre 1944, Emmanuel d'Astier de la Vigerie dépose à l'Assemblée consultative provisoire un ordre du jour réclamant d'urgence la nationalisation des grandes entreprises du pays, ordre du jour qui recueille l'unanimité des délégués prenant part au vote. En juillet 1945, Jacques Duclos fait adopter un ordre du jour qui réclame d'urgence les nationalisations et l'épuration économique. Il n'y a guère que Joseph Denais, membre de la Fédération républicaine qui tente de s'y opposer en déposant une proposition tendant à maintenir l'État dans le contrôle et la coordination en excluant toute étatisation ou socialisation^[36].

Le gouvernement provisoire lui-même n'a jamais reconnu le programme du CNR. De Gaulle lui-même se garde bien de se référer au CNR lorsque le 12 septembre 1944, au palais de Chaillot, il annonce les « principes » qui vont guider son action^[37] :

« ...tout en assurant à tous le maximum de liberté, et tout en favorisant en toute matière l'esprit d'entreprise, elle (la France) veut faire en sorte que l'intérêt particulier soit toujours contraint de céder à l'intérêt général, que les grandes sources de la richesse commune soient exploitées et dirigées ... pour l'avantage de tous, que les coalitions d'intérêt ... soient abolies une fois pour tous, et qu'enfin chacun de ses fils, chacune de ses filles puisse vivre, travailler, élever ses enfants dans la sécurité et la dignité... »

Entre décembre 1944 et octobre 1945, le gouvernement provisoire est amené à prendre une série d'ordonnances allant dans le sens des mesures préconisées par le programme du CNR^[38] :

==================================================================================================

@micro onde

4 octobre 1945, ordonnance de base de la Sécurité sociale ;<li>26 avril 1946, généralisation de la Sécurité sociale incluant la Retraite des vieux.<li><li>================================================================================================

Mais pour info :

Avec 28 % des suffrages, le PCF sort renforcé des élections législatives du 10 novembre 1946 et tente d'apparaître comme un parti de gouvernement

Ce n'est donc pas avec un PC majoritaire que les réformes se sont faites

Le programme du CNR dans la Mémoire[modifier | modifier le code]

Une longue nuit[modifier | modifier le code]

Après avoir revêtu une valeur emblématique dans laquelle se reconnaissaient les acteurs de la Libération au cours de la période 1944-1947, le programme du CNR disparaît de la scène publique pendant près d'un demi-siècle, à partir de 1947 où avec l'arrivée de la guerre froide et la fondation du RPF, l'éclatement de l'union née de la Résistance est consommé^[57].

De 1972 à 1981, alors que le Programme commun débattu entre les partis de gauche est mis à l'ordre du jour, le souvenir du programme du CNR n'est pas réactivé. Claire Andrieu explique cet oubli par le fait que la bipolarisation de la vie politique et la problématique de l'union de la gauche rendent inopportune la référence à une expérience d'union nationale^[57]. C'est à la suite de l'effondrement des régimes communistes de l'Europe de l'Est symbolisé par la Chute du mur de Berlin et du succès apparent des conceptions libérales de l'économie que l'on a appelé néolibéralisme que la référence au programme du CNR, à fort contenu dirigiste, a retrouvé une utilité^[57].

===================================================================================================

Un petit lien que l'on ne pourra pas qualifier de partisan

===================================================================================================

https://npa2009.org/idees/propos-du-programme-du-conseil-national-de-la-resistance

Au-delà, on peut dire que ce document reflétait deux grandes tendances de l’époque. D’une part, les besoins de la reconstruction de l’économie capitaliste dévastée par la guerre, besoins qui déboucheront, en France comme ailleurs, sur la période de croissance continue des Trente Glorieuses. D’autre part, des rapports de forces caractérisés par la puissance retrouvée du mouvement ouvrier et par une faiblesse structurelle de la bourgeoisie, contrainte dans ces conditions à faire de nombreuses concessions. Le tout, dans un cadre marqué par la pression de l’URSS et la place particulière du parti stalinien français. Bref, une ère depuis longtemps révolue.

===================================================================================================

Je note

Au-delà, on peut dire que ce document reflétait deux grandes tendances de l’époque. D’une part, les besoins de la reconstruction de l’économie capitaliste dévastée par la guerre, besoins qui déboucheront, en France comme ailleurs, sur la période de croissance continue des Trente Glorieuses.

Avec la proportionnelle intégrale le FN serait sans doute au pouvoir, je le dis sans porter de jugement et Mélenchon , NPA etc toujours à moins de 10%. Si un parti avait une idée suscitant l'adhésion même avec le scrutin majoritaire serait au pouvoir .

C'est simple à comprendre.

Les esprits critiques voulant ouvrir les yeux du peuple se voient plus beaux qu'ils ne sont, ce n'est que mon avis.

La proportionnelle est une bonne idée si FG et FN sont à meme de dégager des idées communes. Sinon c'est une paralysie encore plus grande. Or PS et LR se pensant de gauche ou de droite n'arrivent déjà pas à converger car il paraîtrait qu'il y a des idées de droite et d'autres de gauche. Tout comme chacun est un esprit critique se demandant comment il va ouvrir les yeux du pèquenaud manipulé, de fait la proportionnelle intégrale peut ne paraître une bonne idée que sur le papier.

Avec 30 % le FN ne serait pas au pouvoir et pour le reste ce n'est que pure spéculation. Il faut qu'un parti soit représenté pour juger de son action, à partir de là il peut croître ou baisser.

Moi, je parle d'un régime qui existe partout en Europe et qu'aucun pays ne remet en cause. Ce n'est pas une idée théorique, il suffit de regarder nos voisins.

https://fr.wikipedia...R%C3%A9sistance

Les ordonnances du Gouvernement provisoire (août 1944- octobre 1945)[modifier | modifier le code]

À partir de septembre 1944, l'application de son programme devient la principale raison d'être du CNR qui perdure jusqu'en 1947. Louis Saillant succède à Georges Bidault nommé ministres des affaires étrangères. Le 7 octobre 1944, le CNR organise un vaste rassemblement au Vel d'Hiv et fait acclamer par une foule immense les grandes lignes de son programme^[32].

Au moment de la Libération, les socialistes de la SFIO représentent, avec les syndicalistes de la CGT réunifiée, les partisans les plus convaincus du programme du CNR. Les socialistes considèrent les nationalisations pas seulement comme des mesures socialistes, mais aussi des mesures patriotiques^[33]. Le PCF semble hésiter entre la promotion de son propre programme et celle du programme du CNR, mais il affirme plus clairement son adhésion au programme du CNR après le retour en France de Maurice Thorez et l'acceptation de la dissolution des Milices patriotiques en novembre 1944. En janvier 1945, Thorez se prononce pour « le retour à la nation des grands moyens de production monopolisés », c'est-à-dire pour les nationalisations, mais cette revendication est moins pressante que celle concernant l'épuration^[34]. Troisième tendance bien représentée dans la Résistance, les démocrates chrétiens fondent un parti, le Mouvement républicain populaire (MRP) en novembre 1944. Jusqu'au printemps 1945, ils sont animés d'une « foi révolutionnaire », selon les mots de Claire Andrieu qui fait remarquer qu'avec le quotidien socialiste Le Populaire, le journal d'inspiration démocrate chrétienne L'Aube appelle à la « Révolution » de façon récurrente alors qu'à la même époque les journaux communistes ne l'évoquent pas. Le MRP, selon ses objectifs annoncés le 5 septembre veut « en finir avec le régime capitaliste et la dictature de l'argent » mais marque sa réserve vis-à-vis des nationalisations en invoquant la « libéralisation de l'économie »^[35]. En décembre 1944, Emmanuel d'Astier de la Vigerie dépose à l'Assemblée consultative provisoire un ordre du jour réclamant d'urgence la nationalisation des grandes entreprises du pays, ordre du jour qui recueille l'unanimité des délégués prenant part au vote. En juillet 1945, Jacques Duclos fait adopter un ordre du jour qui réclame d'urgence les nationalisations et l'épuration économique. Il n'y a guère que Joseph Denais, membre de la Fédération républicaine qui tente de s'y opposer en déposant une proposition tendant à maintenir l'État dans le contrôle et la coordination en excluant toute étatisation ou socialisation^[36].

Le gouvernement provisoire lui-même n'a jamais reconnu le programme du CNR. De Gaulle lui-même se garde bien de se référer au CNR lorsque le 12 septembre 1944, au palais de Chaillot, il annonce les « principes » qui vont guider son action^[37] :

« ...tout en assurant à tous le maximum de liberté, et tout en favorisant en toute matière l'esprit d'entreprise, elle (la France) veut faire en sorte que l'intérêt particulier soit toujours contraint de céder à l'intérêt général, que les grandes sources de la richesse commune soient exploitées et dirigées ... pour l'avantage de tous, que les coalitions d'intérêt ... soient abolies une fois pour tous, et qu'enfin chacun de ses fils, chacune de ses filles puisse vivre, travailler, élever ses enfants dans la sécurité et la dignité... »

Entre décembre 1944 et octobre 1945, le gouvernement provisoire est amené à prendre une série d'ordonnances allant dans le sens des mesures préconisées par le programme du CNR^[38] :

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@micro onde

4 octobre 1945, ordonnance de base de la Sécurité sociale ;<li>26 avril 1946, généralisation de la Sécurité sociale incluant la Retraite des vieux.<li><li>================================================================================================

Mais pour info :

Avec 28 % des suffrages, le PCF sort renforcé des élections législatives du 10 novembre 1946 et tente d'apparaître comme un parti de gouvernement

Ce n'est donc pas avec un PC majoritaire que les réformes se sont faites

Le programme du CNR dans la Mémoire[modifier | modifier le code]

Une longue nuit[modifier | modifier le code]

Après avoir revêtu une valeur emblématique dans laquelle se reconnaissaient les acteurs de la Libération au cours de la période 1944-1947, le programme du CNR disparaît de la scène publique pendant près d'un demi-siècle, à partir de 1947 où avec l'arrivée de la guerre froide et la fondation du RPF, l'éclatement de l'union née de la Résistance est consommé^[57].

De 1972 à 1981, alors que le Programme commun débattu entre les partis de gauche est mis à l'ordre du jour, le souvenir du programme du CNR n'est pas réactivé. Claire Andrieu explique cet oubli par le fait que la bipolarisation de la vie politique et la problématique de l'union de la gauche rendent inopportune la référence à une expérience d'union nationale^[57]. C'est à la suite de l'effondrement des régimes communistes de l'Europe de l'Est symbolisé par la Chute du mur de Berlin et du succès apparent des conceptions libérales de l'économie que l'on a appelé néolibéralisme que la référence au programme du CNR, à fort contenu dirigiste, a retrouvé une utilité^[57].

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Un petit lien que l'on ne pourra pas qualifier de partisan

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https://npa2009.org/...e-la-resistance

Au-delà, on peut dire que ce document reflétait deux grandes tendances de l’époque. D’une part, les besoins de la reconstruction de l’économie capitaliste dévastée par la guerre, besoins qui déboucheront, en France comme ailleurs, sur la période de croissance continue des Trente Glorieuses. D’autre part, des rapports de forces caractérisés par la puissance retrouvée du mouvement ouvrier et par une faiblesse structurelle de la bourgeoisie, contrainte dans ces conditions à faire de nombreuses concessions. Le tout, dans un cadre marqué par la pression de l’URSS et la place particulière du parti stalinien français. Bref, une ère depuis longtemps révolue.

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Je note

Au-delà, on peut dire que ce document reflétait deux grandes tendances de l’époque. D’une part, les besoins de la reconstruction de l’économie capitaliste dévastée par la guerre, besoins qui déboucheront, en France comme ailleurs, sur la période de croissance continue des Trente Glorieuses.

à ta santé !

Avec 30 % le FN ne serait pas au pouvoir et pour le reste ce n'est que pure spéculation. Il faut qu'un parti soit représenté pour juger de son action, à partir de là il peut croître ou baisser.

Moi, je parle d'un régime qui existe partout en Europe et qu'aucun pays ne remet en cause. Ce n'est pas une idée théorique, il suffit de regarder nos voisins.

L'UK a le même scrutin, et excuse moi de n'avoir pas vu ce que ça changeait en terme de bipartisme concernant les autres pays européens, effectivement ça a l'air de tout changer .

Modifié le 19 avril 2016 par DroitDeRéponse

j'aimerai vous remercier tous pour votre participation active sur le sujet.

Nous connaissons + ou - le fonctionnement , le financement ... de notre modèle de société mais la question est de savoir : Si de simples reformes seront suffisantes pour maintenir a flot un système qui sombre dans l'élitisme de quelques uns au detriment des masses ?

Rome civilisation des civilisations s'est écroulée un jour( après des siècles d'existences ) notre système lui après seulement 1 siècle a fait + de victimes économiques que toutes les croisades du monde , il s'essouffle de + en + vite , pouvons encore lui faire confiance sans passer radicalement a une autre forme de gestion du monde et de ses ressources humaines et matérielles ?

pouvons encore lui faire confiance sans passer radicalement a une autre forme de gestion du monde et de ses ressources humaines et matérielles ?

Poser la question avant de poser le système proposé a t'il un sens ?

Un des problème de la France, ce n'est pas la gauche au sens large du terme, c'est la gauche française qui est archaïque, ringarde, déconnectée des réalités non pas de la France, mais du monde car aujourd'hui on est dans la mondialisation, cette gauche là en est encore à l'époque du Front Populaire...

Dès qu'un dirigeant essaye d'évoluer un peu, il est brisé !

L'UK a le même scrutin, et excuse moi de n'avoir pas vu ce que ça changeait en terme de bipartisme concernant les autres pays européens, effectivement ça a l'air de tout changer .

Le grand changement avec les autres pays c'est que les lois sont discutées au parlement devant une représentation élargie et non contestées par la rue ou par des grèves.

Le grand changement avec les autres pays c'est que les lois sont discutées au parlement devant une représentation élargie et non contestées par la rue ou par des grèves.

Le bipartisme règne en maître et la représentation n'est guère élargie . Quand elle l'est comme en Italie ca se termine aussi dans la rue du fait d'une assemblée paralysée par des arrangements type 4eme republique.