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l’histoire de la France est cousue de fil noir

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J-Moriarty

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 830 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)

en plus, j'ai fait le choix librement consenti d'avorter... et de ne pas le cacher. sans compter ma vie sexuelle qui fut bisexuelle... bref, je fus vite cataloguer par dame morfou. à ce tantôt, DDR, jacky.[/b][/size][/c

Vous avez un certain culot de vouloir faire croire que parce que vous avez avorté et êtes bi sexuelle je vous aurait "catalogué".....

Mais bon, venant de vous....

Vous avez fait fuir quasiment toutes les internautes avec vos écrits...

Quand vous avez quelqu'un dans le "collimateur" vous êtes carrément infecte, injurieuse etc. je crois ne pas avoir de mots assez fort pour vous représenter!

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Membre, Posté(e)
J-Moriarty Membre 3 640 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Mais justement la Francophonie n'est pas la France relisez moi !

C'est bien ce qui en fait sa richesse, mais la Francophonie n'est pas la culture française, et c'est là mon désaccord avec Moriarty, la Francophonie est le creuset de plusieurs cultures où les différentes cultures peuvent s'exprimer et c'est cela qui est magique, lire La Ferrière est un régal, lire Sansal est un régal, lire Houellebecq est un régal. Un creuset, un vrai bonheur !

MDR DDR .....ce post. :bo: affichage de toutes vos contradictions qui jalonnent ce fil.

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 830 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)

MDR DDR .....ce post. :bo: affichage de toutes vos contradictions qui jalonnent ce fil.

Quand je dis que vous êtes un contorsionniste!

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 678 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

Quand je dis que vous êtes un contorsionniste!

Boarf laissez le, c'est très important dans sa culture d'avoir le dernier mot.

Pas une once de contradiction dans mon post, mais il en voit une.

Chacun pourra lire sa bonne foi .

Quand je dis que vous êtes un contorsionniste!

Non le contorsionniste est habile, là c'est un clown.

Modifié par DroitDeRéponse
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Membre, Posté(e)
'moiselle jeanne Membre 4 675 messages
Forumeur Débutant‚
Posté(e)

Oups là....vous restez cantonnée dans votre idée de littérature de France dans la Francophonie... ....je vous ai posé le débat autour de ces notions et il est bien plus complexe ...

Heu... "littérature de France" est un terme de votre propre invention, que jamais je n'aurais imaginé moi-meme.

Je répète, oui, pour moi, la littérature française fait partie de la littérature francophone ; et "faire partie" n'est pas synonyme de "cantonnée" (encore un terme que vous avez avancé vous-meme)

Vous me faites dire que "la francophonie est une "sous-rubrique" pour vous seulement."....????

Ce sont vos propres termes, "sous-rubrique" ; du pur copié-collé, je ne "vous fais dire" rien du tout ; et oui, sur ce fil au moins, c'est pour vous seulement que ça en est une.

Je ne fais que dire depuis le début qu'il n'y a qu'une seule et même culture...

Ah bon ?!

Mais toujours pas d'accord. Il y en a plein, justement, et des différentes, et des diverses. Et heureusement.

Ce que A mabanckou appelle "littérature monde". (lien que vous n'avez pas lu sans doute?)

Noyage de poissson ; tout le monde doué de 2 neurones place la litterature de n'importe quel pays dans la littérature monde.

Le sujet de ce topic est celui de la francophonie et ce qu'elle représente.

J'ai répondu sur le coté péjoratif ...et vous n'avez pas lu ou pas compris; péjoratif si envisagée comme sous culture par rapport à culture de France des quais de Seine. relisez donc ce post sur le débat autour de la notion de littérature francophone et notamment dans sa dimension historique.

En effet, je ne comprends pas ; la francophonie n'est pas péjorative, et n'est pas une sous-culture ; ce n'est certainement pas en tous cas, comment la présente Alain MABANCKOU.

Alain Mabanckou avance la notion de culture monde.

Reprenez au dessus aussi, la bibliothèque nationale de France classe bien une littérature francophone différente d'une française, c'est une classification souvent reprise, et c'est pour cela que je l'ai reprise.

Vous me faites dire que je pense qu'elle est moins prestigieuse????(sous rubrique pour moi)alors que je ne fais que dire qu'elles le sont toutes sans aucune distinction.

Nous, désolée, encore une fois, je ne "vous fais rien dire".. Vous l'avez bien qualifiée de sous-rubrique, mot pour mot ; avec la "littérature de France" comme voie de salut de cet obscur classement.

Et je répète, mettre la littérature française en dehors de la francophone n'est qu'une vision très franco-française seulement ; je me permets de vous faire remarquer que meme la BNF la remet en doute.

Et si elle ne faisait pas assez, c'est à nous, Français, de le faire. Et pas de désigner comme suprême honneur "écrivain de France", le sauvant de la "sous-rubrique" francophone, un auteur congolais Prof Titulaire de Littérature Francophone aux USA traduit en 12 langues ! C'est lui, qui nous fait l'honneur d'enrichir la francophonie !

Non Moiselle Jeanne, vous n'avez sans doute pas lu tout ce que j'ai écrit sur fil ....c'est pourtant bien clair, je ne distingue qu'une seule et même culture universelle ....constituée de toutes les différences de cultures.

C'est écrit dès ce post.

Oui, mais c'est le sujet ici est celui de la littérature francophone, que vous qualifiez de sous-rubrique et relégation pour les ecrivains de langue française, qui deviendraient consacrés avec la qualification "ecrivains de France". Ben non ; ils ont pas envie d'être obligés de se retrouver catalogués "ecrivains de France" pour avoir droit à la grâce de la reconnaissance française.. . Ils veulent etre écrivains, reconnus dans la francophonie tels qu'ils sont, autant que les autres, et tels qu'ils écrivent.

Il n'y a en a pas une au dessus de l'autre, pas une en dessous non plus.

Précisément. Pas d'étiquette en ce cas à créer un titre supérieur qui serait "écrivain de France", au-dessus des autres francophones.

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Membre, Posté(e)
J-Moriarty Membre 3 640 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bon...vous persistez à vouloir me faire dire ce que je ne dis jamais.

A vrai dire je me demande quel est le but de votre propos.(littérature de France/ littérature française !!)

Je place tous les apports littéraires au même niveau de la culture.

Quelle évidence! bien sûr qu'ils proviennent d'horizons divers c'est ce qui fait la richesse de la culture.

Dans le lien que je vous mets sous les yeux il y a la définition de la "littérature monde" et elle vient de Alain Mabanckou, cette définition est discutée et votre point de vue "littérature francophone qui englobe celle de France est aussi critiquée.

En tout état de cause, sur le fond on en revient à la même chose, ce n'est qu'une question de terminologie.

Il n'y a qu'une seule et même littérature sans classement ni sous classement, elle regroupe toutes les différentes littératures.

Alain Mabanckou est bien le premier romancier africain à hériter de la création de la chaire de la création artistique au collège de France.

L'essentiel du message de Alain Mabanckou est bien de lutter contre une classification des différentes littératures et de les réunir toutes dans la même terminologie.(pour lui littérature monde)

C'est bien ce que je dis depuis le début sur ce fil Moiselle jeanne;

Je vous le précise sur votre post que vous reprenez, et c'est référencé.

C'est clair et ça contredit ce que vous tentez de me faire dire...

jamais je n'ai dit que la littérature francophone était rabaissée ...elle ne l'ai que si on l'oppose à une littérature référence qui est celle des quais de Seine. Relisez, c'est ce que je dis.

par contre, je dénonce ce que certains pensent ....par ex celui qui dit parle de culture gréco-judéo chrétienne pour la France.

relisez le lien dont je vous parle aussi, il détaille bien l'ambiguïté qui entoure cette notion de culture francophone.

Non Moiselle Jeanne, vous n'avez sans doute pas lu tout ce que j'ai écrit sur fil ....c'est pourtant bien clair, je ne distingue qu'une seule et même culture universelle ....constituée de toutes les différences de cultures.

C'est écrit dès ce post.

Modifié par J-Moriarty
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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 678 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

Bon...vous persistez à vouloir me faire dire ce que je ne dis jamais.

A vrai dire je me demande quel est le but de votre propos.(littérature de France/ littérature française !!)

Je place tous les apports littéraires au même niveau de la culture.

Quelle évidence! bien sûr qu'ils proviennent d'horizons divers c'est ce qui fait la richesse de la culture.

Dans le lien que je vous mets sous les yeux il y a la définition de la "littérature monde" et elle vient de Alain Mabanckou, cette définition est discutée et votre point de vue "littérature francophone qui englobe celle de France est aussi critiquée.

En tout état de cause, sur le fond on en revient à la même chose, ce n'est qu'une question de terminologie.

Il n'y a qu'une seule et même littérature sans classement ni sous classement, elle regroupe toutes les différentes littératures.

Alain Mabanckou est bien le premier romancier africain à hériter de la création de la chaire de la création artistique au collège de France.

L'essentiel du message de Alain Mabanckou est bien de lutter contre une classification des différentes littératures et de les réunir toutes dans la même terminologie.(pour lui littérature monde)

C'est bien ce que je dis depuis le début sur ce fil Moiselle jeanne;

Je vous le précise sur votre post que vous reprenez, et c'est référencé.

C'est clair et ça contredit ce que vous tentez de me faire dire...

jamais je n'ai dit que la littérature francophone était rabaissée ...elle ne l'ai que si on l'oppose à une culture référence qui est celle des quais de Seine. Relisez, c'est ce que je dis.

Non Moiselle Jeanne, vous n'avez sans doute pas lu tout ce que j'ai écrit sur fil ....c'est pourtant bien clair, je ne distingue qu'une seule et même culture universelle ....constituée de toutes les différences de cultures.

C'est écrit dès ce post.

Non il refuse une hiérarchie. Mais parler de littératures africaines d'expression française est une classification .

Quand à vous faire dire ce que vous ne dites pas , c'est l'hôpital qui se fout de la charité

Modifié par DroitDeRéponse
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Membre, Posté(e)
J-Moriarty Membre 3 640 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Non il refuse une hiérarchie. Mais parler de littératures africaines d'expression française est une classification .

Quand à vous faire dire ce que vous ne dites pas , c'est l'hôpital qui se fout de la charité

C'est ce que j'écris depuis le début et que vous avez contesté oui....il n'y en a pas une au dessus des autres et pas une en dessous aussi.

Je l'ai écrit deux posts au dessus.

C'est la dernière phrase de ce post. :bo:

Et pour votre dernière phrase c'est encore une accusation gratuite. Mais vous allez bien sûr me corriger ça..et m'afficher les propos en question.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 678 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

C'est ce que j'écris depuis le début et que vous avez contesté oui....il n'y en a pas une au dessus des autres et pas une en dessous aussi.

Je l'ai écrit deux posts au dessus.

C'est la dernière phrase de ce post. :bo:

Et pour votre dernière phrase c'est encore une accusation gratuite. Mais vous allez bien sûr me corriger ça..et m'afficher les propos en question.

Je ne vais rien faire du tout. Les lecteurs pourront librement constater qui déforme les propos.

Sur ce je vous souhaite une bonne nuit et regrette ne pas avoir eu votre avis sur son dernier bouquin, pas grave je trouverai un autre forumeur pour me livrer ses impressions , un qui s'intéresse réellement à la littérature et qui n'appelle pas Arendt monsieur en nous expliquant qu'il pense bien ce qu'il veut.

Personnellement je regrette ce que j'ai perçu comme un détournement d'un sujet qui aurait pu être passionnant à des fins politiciennes, et invite les lecteurs à visualiser le discours de Mr mabanckou ( mis en ligne quelques pages avant ) qui est passionnant une fois retire le filtre clivant que vous tentiez d'y apposer.

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Membre, Posté(e)
J-Moriarty Membre 3 640 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je ne vais rien faire du tout. Les lecteurs pourront librement constater qui déforme les propos.....blabla

:)

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Membre, Posté(e)
J-Moriarty Membre 3 640 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Mais justement la Francophonie n'est pas la France relisez moi !

C'est bien ce qui en fait sa richesse, mais la Francophonie n'est pas la culture française, et c'est là mon désaccord avec Moriarty, la Francophonie est le creuset de plusieurs cultures où les différentes cultures peuvent s'exprimer et c'est cela qui est magique, lire La Ferrière est un régal, lire Sansal est un régal, lire Houellebecq est un régal. Un creuset, un vrai bonheur !

C'est bien ça que Alain Mabanckou dénonce et que je ne fais que reprendre depuis le début de vos interventions. :bo:

Non Monsieur DDR, pas de différence, il n'y a si je prends la terminologie proposée par Alain Mabanckou qu'une seule "littérature monde" dans laquelle on trouve les auteurs français et ceux qui écrivent en langue française des pays étrangers au même niveau car réunis dans la même appellation.

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Membre, Posté(e)
J-Moriarty Membre 3 640 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Je cite Alain Mabanckou, dans cet interview la veille de la leçon inaugurale au collège de France....il s'agit de mettre la littérature africaine dans le grand concert des littératures.

Le titre de la leçon inaugurale est ; "de la littérature coloniale à la littérature négro-africaine"....donc vers la liberté. "le passage de la liberté".

Ou "lettres noires; des ténèbres à la lumière".

Il remercie le collège de France .....de donner la parole à quelqu'un qui va poser les questions de la conséquence de la colonisation ...sur l'homme post colonial aujourd'hui....sur les dictatures, sur les guerres civiles...

Les grands intellectuels doivent repenser et réécrire l'Afrique.

il s'agit de mettre la littérature africaine dans le grand concert des littératures.......

Ca signifie quoi? dans le grand concert des littératures ....ou de la "littérature monde".

Et pourquoi est-ce une préoccupation? ben, il suffit de vous lire avec votre différenciation des cultures qui fleure bon le néo colonialisme.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 678 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

il s'agit de mettre la littérature africaine dans le grand concert des littératures.......

Ca signifie quoi? dans le grand concert des littératures ....ou de la "littérature monde".

Et pourquoi est-ce une préoccupation? ben, il suffit de vous lire avec votre différenciation des cultures qui fleure bon le néo colonialisme.

Monsieur est hargneux, quiconque me lira pourra constater que ma différenciation ne fleure en rien bon le néocolonialisme , mais est reconnaissance des différences sans pour autant hierarchiser, ce que fait d'ailleurs bien Mabanckou en parlant des littératures africaines d'expression française, mais promis je ferai une autocritique à ma prochaine rencontre avec ma belle mère malgache :smile2:. J'aurais aimé avoir un avis sur son dernier bouquin, visiblement ce sera sans vous. La déformation du fond doit sans doute vous importez plus que le fond lui même :(

Je sais que vous ne lâchez rien, mais sincèrement vous devriez y songer, vous sombrez dans le ridicule .

Je vous souhaite cependant une très bonne journée.

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Membre, 71ans Posté(e)
jacky29 Membre 40 501 messages
Maitre des forums‚ 71ans‚
Posté(e)

en plus, j'ai fait le choix librement consenti d'avorter... et de ne pas le cacher. sans compter ma vie sexuelle qui fut bisexuelle... bref, je fus vite cataloguer par dame morfou. à ce tantôt, DDR, jacky.[/b][/size][/c

Vous avez un certain culot de vouloir faire croire que parce que vous avez avorté et êtes bi sexuelle je vous aurait "catalogué".....

Mais bon, venant de vous....

Vous avez fait fuir quasiment toutes les internautes avec vos écrits...

Quand vous avez quelqu'un dans le "collimateur" vous êtes carrément infecte, injurieuse etc. je crois ne pas avoir de mots assez fort pour vous représenter!

c'est ce que tu as fait, morfou et dire le contraire serait oublier. avant l'affaire DSK, cela allait bien entre nous puis tout a basculé entrainant tes mots, plus tard, de "brouteuse" et de "pute"... tu m'as même dit que ce n'était pas une insulte... encore une ambassade de France à Miami! salutations. jacky.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 678 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

c'est ce que tu as fait, morfou et dire le contraire serait oublier. avant l'affaire DSK, cela allait bien entre nous puis tout a basculé entrainant tes mots,

Il m'avait bien semblé à vous lire toutes deux que vous n'étiez pas si incompatibles ;)

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Invité soupeaulait
Invités, Posté(e)
Invité soupeaulait
Invité soupeaulait Invités 0 message
Posté(e)

cousue de fils noir,blanc, rouge ,ou autres, la France est comme tous les pays du monde,une nation ne se construit pas en un jours,de la tribu locale de cent ou dix mille sujets, avant de faire une nation,il y aura des centaines de conflits ,locaux,régionaux,

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Quand on est français comme Alain Mabanckou ...

550px-Frenchempire.png

ALAIN MABANCKOU "Ce qu’on appelle les anciennes colonies françaises sont des bastions de la langue française.

Il y a peut-être une compétition à mener pour le français en raison de l’impérialisme culturel

venu principalement des États-Unis.

On sait bien que la puissance économique influe sur les cultures.

Dès lors, nous avons peur de voir notre culture s’unifier, s’aseptiser,

devenir anglophone jusque dans nos habitudes quotidiennes.

L’espoir est permis. La France passe trop de temps à pleurer en se disant

que sa langue est en train de mourir au lieu de concentrer son énergie 
à

fortifier les bastions où elle est encore parlée, respectée, magnifiée.

Il suffit que ce pays accepte qu’il n’est plus le centre de gravité.

Nous aurions tout intérêt à soutenir l’enseignement du français aux États-Unis.

Il ne s’agit plus seulement aujourd’hui de porter la culture française,

mais aussi les cultures francophones.

Nous avons un peu trop tendance à croire que la langue française s’est faite sur

les bords de la Seine alors qu’elle est plus tumultueuse sur les rives du fleuve Congo

ou à Douala.

Sa richesse est présente aussi du côté de la Côte d’Ivoire et du Sénégal,

pays qui nous a donné le premier agrégé de grammaire africain, Léopold Sédar Senghor."

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Membre, Posté(e)
'moiselle jeanne Membre 4 675 messages
Forumeur Débutant‚
Posté(e)

Bon...vous persistez à vouloir me faire dire ce que je ne dis jamais.

A vrai dire je me demande quel est le but de votre propos.(littérature de France/ littérature française !!)

Je place tous les apports littéraires au même niveau de la culture.

Quelle évidence! bien sûr qu'ils proviennent d'horizons divers c'est ce qui fait la richesse de la culture.

Dans le lien que je vous mets sous les yeux il y a la définition de la "littérature monde" et elle vient de Alain Mabanckou, cette définition est discutée et votre point de vue "littérature francophone qui englobe celle de France est aussi critiquée.

En tout état de cause, sur le fond on en revient à la même chose, ce n'est qu'une question de terminologie.

Il n'y a qu'une seule et même littérature sans classement ni sous classement, elle regroupe toutes les différentes littératures.

Alain Mabanckou est bien le premier romancier africain à hériter de la création de la chaire de la création artistique au collège de France.

L'essentiel du message de Alain Mabanckou est bien de lutter contre une classification des différentes littératures et de les réunir toutes dans la même terminologie.(pour lui littérature monde)

C'est bien ce que je dis depuis le début sur ce fil Moiselle jeanne;

Je vous le précise sur votre post que vous reprenez, et c'est référencé.

C'est clair et ça contredit ce que vous tentez de me faire dire...

jamais je n'ai dit que la littérature francophone était rabaissée ...elle ne l'ai que si on l'oppose à une littérature référence qui est celle des quais de Seine. Relisez, c'est ce que je dis.

par contre, je dénonce ce que certains pensent ....par ex celui qui dit parle de culture gréco-judéo chrétienne pour la France.

relisez le lien dont je vous parle aussi, il détaille bien l'ambiguïté qui entoure cette notion de culture francophone.

Non Moiselle Jeanne, vous n'avez sans doute pas lu tout ce que j'ai écrit sur fil ....c'est pourtant bien clair, je ne distingue qu'une seule et même culture universelle ....constituée de toutes les différences de cultures.

C'est écrit dès ce post.

Excusez-moi, Moriarty, mais vous avez bien dit, texto, que la littérature francophone est un sous-produit de la littérature française, que les ecrivains francophones ne doivent pas y etre restreints car ils sont "ecrivains de France". Je ne vous prete pas des propos que vous n'auriez "jamais dits".

http://www.forumfr.c...post,p,10175437

C'est là-dessus, (vous m'aviez fait bondir..) que je vous ai repris.

Je vous ai répondu que ce que j'entends, moi, est que au contraire, la littérature francophone est un ensemble de toutes les littératures de langue française, à ne plus restreindre à une étiquette "littérature de France", car précisément, la francophonie n'appartient pas à une France chef-de-file. C'est la littérature française qui est francophone, et pas l'inverse.

Ce qu'en dit Alain Mabanckou :

Etre francophone, cela empêcherait-il d'être écrivain ?

L'ombre de la France serait-elle si pesante

qu'elle nous empêche d'écrire en toute liberté ?

N'avons-nous pas encore compris qu'il y a longtemps que la langue française

est devenue une langue détachée de la France, et que sa vitalité

est également assurée par des créateurs venus des cinq continents ?

Donc pour lui, la langue française n'est plus l'apanage de la France, la France n'a pas à peser sur la Francophonie pour empecher les francophones non-hexagonaux de s'exprimer.. Il refuse qu'on enferme la litterature francophone dans la française.

Ce qu'il en dit encore :

Nous aurions tout intérêt à soutenir l’enseignement du français aux États-Unis.

Il ne s’agit plus seulement aujourd’hui de porter la culture française,

mais aussi les cultures francophones.

Nous avons un peu trop tendance à croire que la langue française s’est faite sur

les bords de la Seine alors qu’elle est plus tumultueuse sur les rives du fleuve Congo

ou à Douala.

Sa richesse est présente aussi du côté de la Côte d’Ivoire et du Sénégal,

pays qui nous a donné le premier agrégé de grammaire africain, Léopold Sédar Senghor."

Il me semble que c'est bien clair.

Les cultures francophones ne sont pas incluses dans la culture française et méritent toute leur reconnaissance, la langue française (francophonie) étant aussi riche dans l'hexagone que dans les autres pays francophones.

Mais je ne vous ai jamais accusé de penser vous-meme que telle culture est moins bonne qu'une autre... mais j'ai réagi sur les points cités plus haut.. Vous savez, mal s'exprimer, ça peut arriver à tout le monde, même à des gens très bien... .mais c'est plus intelligent de le reconnaitre que nier avoir émis des propos ;-)

la terminologie proposée par Alain Mabanckou qu'une seule "littérature monde" dans laquelle on trouve les auteurs français et ceux qui écrivent en langue française des pays étrangers au même niveau car réunis dans la même appellation.

Non Moiselle Jeanne, vous n'avez sans doute pas lu tout ce que j'ai écrit sur fil ....c'est pourtant bien clair, je ne distingue qu'une seule et même culture universelle ....constituée de toutes les différences de cultures.

Dans le lien que je vous mets sous les yeux il y a la définition de la "littérature monde" et elle vient de Alain Mabanckou, cette définition est discutée et votre point de vue "littérature francophone qui englobe celle de France est aussi critiquée.

ce lien "que vous me mettez sous les yeux" (3 fois..) ne concerne pas la définition de "litterature monde" mais un taclage de DDR..:-)

Définition wiki :

La littérature-monde est un concept apparu en mars 2007 lors de la publication par le journal Le Monde le 16 mars 2007, au cœur de la campagne présidentielle qui allait mener à l'élection de Nicolas Sarkozy, d'un manifeste intitulé Pour une littérature-monde en français, suivi, en mai de la même année, d'un ouvrage collectif intitulé Pour une littérature-monde, édité par Michel Le Bris, Jean Rouaud et Eva Almassy et regroupant les contributions de plusieurs auteurs d'expression françaises venus du monde entier. Une année avant la parution du Manifeste pour une littérature-monde et de l'ouvrage collectif, dans un article publié le 19 mars 2006 dans Le Monde et intitulé, Alain Mabanckou dénonçait déjà le centralisme de la littérature française et la marginalisation d'autres espaces d'expression française 1. Son texte, augmenté, sera publié l'année suivante dans l'ouvrage collectif Pour une littérature-monde en français.

Article en question :

La Francophonie, oui... Le ghetto, non !

"Pendant longtemps, ingénu, j’ai rêvé de l’intégration de la littérature francophone dans la littérature française. Avec le temps, je me suis aperçu que je me trompais d’analyse. La littérature francophone est un grand ensemble dont les tentacules enlacent plusieurs continents. Son histoire se précise, son autonomie éclate désormais au grand jour, surtout dans les universités anglophones. La littérature française, elle, nous l’oublions trop, est une littérature nationale.

C’est à elle d’entrer dans ce grand ensemble francophone. Ce n’est qu’à ce prix que nous bâtirons une tour de contrôle afin de mieux préserver notre langue commune, lui redonner son prestige et sa place d’antan. Il nous faut au préalable effacer nos préjugés, revenir sur certaines définitions et reconnaître qu’il est suicidaire d’opposer d’une part la littérature française, de l’autre la littérature francophone.

Etre un écrivain francophone, c’est être dépositaire de cultures, d’un tourbillon d’univers. Etre un écrivain francophone, c’est certes bénéficier de l’héritage des lettres françaises, mais c’est surtout apporter sa touche dans un grand ensemble, cette touche qui brise les frontières, efface les races, amoindrit la distance des continents pour ne plus établir que la fraternité par la langue et l’univers. La fratrie francophone est en route. Nous ne viendrons plus de tel pays, de tel continent, mais de telle langue. Et notre proximité de créateurs ne sera plus que celle des univers..."

http://archive.wikiw...ghetto-non.html

Le terme "litterature monde" a donc été créé en tant que réactif à la mauvaise image qu'auraient certains de la francophonie -un sous-produit de la France coloniale et ethno-centrale- alors que la langue s'étend sur les 5 continents ; et non parce que les écrivains refusent ou renient leur francophonie.

A mon sens, c'est une mauvaise solution à une bonne cause. Comment, en effet, réserver une "littérature monde" aux littératures de langue française ?

De plus, la spécificité de la langue, là-dedans, celle que précisément enrichissent les écrivains du Congo, du Quebec, etc.. et dont ils revendiquent leur part, deviendra cantonnée à "littérature française" uniquement.

En fait, avec ce terme on ne peut plus générique, on reconnait encore moins les ecrivains francophones hors hexagone.

Je suis 1000 fois plus en accord avec le texte de Manoukian ci-dessus..

Pour moi, la langue française, sa richesse, mérite largement d'être reconnue, considérée et encouragée ; précisément en ne limitant pas dans une littérature hexagonale ; mais comme un langage héritage de la France certes, mais sans cesse en creation, en évolution avec tous les francophones de tous les continents..

Apparement maintenant il ne s'axe plus sur une revendication de ce terme.

Mais simplement l'essentiel, de faire reconnaitre la littérature africaine en tant que telle, en l'affranchissant d'une image litterature coloniale, sans pour autant remettre en question ses attaches avec la littérature française.

"J’appartiens à la génération du Togolais Kossi Efoui, du Djiboutien Abdourahman Waberi, de la Suisso-Gabonaise Bessora, du Malgache Jean-Luc Rahimanana, des Camerounais Gaston-Paul Effa et Patrice Nganang.

En même temps, j’appartiens aussi à la génération de Serge Joncour, de Virginie Despentes, de Mathias Enard, de David Van Reybrouck – avec Congo, une histoire –, de Marie NDiaye – avec Trois femmes puissantes –, de Laurent Gaudé – avec La Mort du roi Tsongor –, de Marie Darrieussecq – avec Il faut beaucoup aimer les hommes –, d’Alexis Jenni – avec L’Art français de la guerre – et de quelques autres encore, qui brisent les barrières, refusent la départementalisation de l’imaginaire parce qu’ils sont conscients que notre salut réside dans l’écriture, loin d’une factice fraternité définie par la couleur de peau ou la température de nos pays d’origine."

http://www.jeuneafri...lege-de-france/

Modifié par 'moiselle jeanne
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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 678 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

Excusez-moi, Moriarty, mais vous avez bien dit, texto, que la littérature francophone est un sous-produit de la littérature française, que les ecrivains francophones ne doivent pas y etre restreints car ils sont "ecrivains de France". Je ne vous prete pas des propos que vous n'auriez "jamais dits".

http://www.forumfr.c...post,p,10175437

C'est là-dessus, (vous m'aviez fait bondir..) que je vous ai repris.

Je vous ai répondu que ce que j'entends, moi, est que au contraire, la littérature francophone est un ensemble de toutes les littératures de langue française, à ne plus restreindre à une étiquette "littérature de France", car précisément, la francophonie n'appartient pas à une France chef-de-file. C'est la littérature française qui est francophone, et pas l'inverse.

Ce qu'en dit Alain Mabanckou :

Etre francophone, cela empêcherait-il d'être écrivain ?

L'ombre de la France serait-elle si pesante

qu'elle nous empêche d'écrire en toute liberté ?

N'avons-nous pas encore compris qu'il y a longtemps que la langue française

est devenue une langue détachée de la France, et que sa vitalité

est également assurée par des créateurs venus des cinq continents ?

Donc pour lui, la langue française n'est plus l'apanage de la France, la France n'a pas à peser sur la Francophonie pour empecher les francophones non-hexagonaux de s'exprimer.. Il refuse qu'on enferme la litterature francophone dans la française.

Ce qu'il en dit encore :

Nous aurions tout intérêt à soutenir l’enseignement du français aux États-Unis.

Il ne s’agit plus seulement aujourd’hui de porter la culture française,

mais aussi les cultures francophones.

Nous avons un peu trop tendance à croire que la langue française s’est faite sur

les bords de la Seine alors qu’elle est plus tumultueuse sur les rives du fleuve Congo

ou à Douala.

Sa richesse est présente aussi du côté de la Côte d’Ivoire et du Sénégal,

pays qui nous a donné le premier agrégé de grammaire africain, Léopold Sédar Senghor."

Il me semble que c'est bien clair.

Les cultures francophones ne sont pas incluses dans la culture française et méritent toute leur reconnaissance, la langue française (francophonie) étant aussi riche dans l'hexagone que dans les autres pays francophones.

Mais je ne vous ai jamais accusé de penser vous-meme que telle culture est moins bonne qu'une autre... mais j'ai réagi sur les points cités plus haut.. Vous savez, mal s'exprimer, ça peut arriver à tout le monde, même à des gens très bien... .mais c'est plus intelligent de le reconnaitre que nier avoir émis des propos ;-)

ce lien "que vous me mettez sous les yeux" (3 fois..) ne concerne pas la définition de "litterature monde" mais un taclage de DDR..:-)

Définition wiki :

Article en question :

La Francophonie, oui... Le ghetto, non !

"Pendant longtemps, ingénu, j’ai rêvé de l’intégration de la littérature francophone dans la littérature française. Avec le temps, je me suis aperçu que je me trompais d’analyse. La littérature francophone est un grand ensemble dont les tentacules enlacent plusieurs continents. Son histoire se précise, son autonomie éclate désormais au grand jour, surtout dans les universités anglophones. La littérature française, elle, nous l’oublions trop, est une littérature nationale.

C’est à elle d’entrer dans ce grand ensemble francophone. Ce n’est qu’à ce prix que nous bâtirons une tour de contrôle afin de mieux préserver notre langue commune, lui redonner son prestige et sa place d’antan. Il nous faut au préalable effacer nos préjugés, revenir sur certaines définitions et reconnaître qu’il est suicidaire d’opposer d’une part la littérature française, de l’autre la littérature francophone.

Etre un écrivain francophone, c’est être dépositaire de cultures, d’un tourbillon d’univers. Etre un écrivain francophone, c’est certes bénéficier de l’héritage des lettres françaises, mais c’est surtout apporter sa touche dans un grand ensemble, cette touche qui brise les frontières, efface les races, amoindrit la distance des continents pour ne plus établir que la fraternité par la langue et l’univers. La fratrie francophone est en route. Nous ne viendrons plus de tel pays, de tel continent, mais de telle langue. Et notre proximité de créateurs ne sera plus que celle des univers..."

http://archive.wikiw...ghetto-non.html

Le terme "litterature monde" a donc été créé en tant que réactif à la mauvaise image qu'auraient certains de la francophonie -un sous-produit de la France coloniale et ethno-centrale- alors que la langue s'étend sur les 5 continents ; et non parce que les écrivains refusent ou renient leur francophonie.

A mon sens, c'est une mauvaise solution à une bonne cause. Comment, en effet, réserver une "littérature monde" aux littératures de langue française ?

De plus, la spécificité de la langue, là-dedans, celle que précisément enrichissent les écrivains du Congo, du Quebec, etc.. et dont ils revendiquent leur part, deviendra cantonnée à "littérature française" uniquement.

En fait, avec ce terme on ne peut plus générique, on reconnait encore moins les ecrivains francophones hors hexagone.

Je suis 1000 fois plus en accord avec le texte de Manoukian ci-dessus..

Pour moi, la langue française, sa richesse, mérite largement d'être reconnue, considérée et encouragée ; précisément en ne limitant pas dans une littérature hexagonale ; mais comme un langage héritage de la France certes, mais sans cesse en creation, en évolution avec tous les francophones de tous les continents..

Apparement maintenant il ne s'axe plus sur une revendication de ce terme.

Mais simplement l'essentiel, de faire reconnaitre la littérature africaine en tant que telle, en l'affranchissant d'une image litterature coloniale, sans pour autant remettre en question ses attaches avec la littérature française.

"J’appartiens à la génération du Togolais Kossi Efoui, du Djiboutien Abdourahman Waberi, de la Suisso-Gabonaise Bessora, du Malgache Jean-Luc Rahimanana, des Camerounais Gaston-Paul Effa et Patrice Nganang.

En même temps, j’appartiens aussi à la génération de Serge Joncour, de Virginie Despentes, de Mathias Enard, de David Van Reybrouck – avec Congo, une histoire –, de Marie NDiaye – avec Trois femmes puissantes –, de Laurent Gaudé – avec La Mort du roi Tsongor –, de Marie Darrieussecq – avec Il faut beaucoup aimer les hommes –, d’Alexis Jenni – avec L’Art français de la guerre – et de quelques autres encore, qui brisent les barrières, refusent la départementalisation de l’imaginaire parce qu’ils sont conscients que notre salut réside dans l’écriture, loin d’une factice fraternité définie par la couleur de peau ou la température de nos pays d’origine."

http://www.jeuneafri...lege-de-france/

:bo:

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