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Frelser

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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
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Oui ! Exactement ça Zenalpha, ce que je soutiens... Merci pour ton intervension. Bonne soirée.

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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
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Bonsoir. Selon le modèle relativiste quantique fractal sur base bidimensionnelle obtenu de la fusion de la RG avec la MQ, on obtient apparamment un multivers réaliste présentant des apparences aléatoires. La causalité reste intrique fondamentalement...

timbre.jpg

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Invité au-temps-pour-moi
Invités, Posté(e)
Invité au-temps-pour-moi
Invité au-temps-pour-moi Invités 0 message
Posté(e)

Je pense qu'il s'agit de l'expansion de notre univers répondant aux lois de la RG

Univers qui serait asynchrone au sous espace temps quantique dont il est issu et qui lui est plus fondamental par brisure de symétrie d'autant plus asynchrone que le temps disparait au niveau quantique de même que l'espace générant au point de contact sur la surface de l'ère de Planck cette variation de métrique entre l'espace temps cosmologique et l'espace temps quantique qui générait un débordement de quantum depuis cette surface de l'ère de Planck où les deux physiques relativiste et quantique coïncideraient d'où l'expansion

Ce point de rupture ressemblerait à la zone où le temps imaginaire du modèle KLM ou du modèle des Bogdanoff avec l'instanton primordial de taille zéro prendrait une réalité physique et ou la célérité de la lumière se fixerait dans un espace temps relativiste ou l'espace comme le temps prenne la réalité de l'espace temps physique que nous lui connaissons.

J'ai présenté toutes les émissions des Bogdanoff en voix off je fais assez bien la chose.

Amen

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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)

Je pense qu'il s'agit de l'expansion de notre univers répondant aux lois de la RG

Univers qui serait asynchrone au sous espace temps quantique dont il est issu et qui lui est plus fondamental par brisure de symétrie d'autant plus asynchrone que le temps disparait au niveau quantique de même que l'espace générant au point de contact sur la surface de l'ère de Planck cette variation de métrique entre l'espace temps cosmologique et l'espace temps quantique qui générait un débordement de quantum depuis cette surface de l'ère de Planck où les deux physiques relativiste et quantique coïncideraient d'où l'expansion

Ce point de rupture ressemblerait à la zone où le temps imaginaire du modèle KLM ou du modèle des Bogdanoff avec l'instanton primordial de taille zéro prendrait une réalité physique et ou la célérité de la lumière se fixerait dans un espace temps relativiste ou l'espace comme le temps prenne la réalité de l'espace temps physique que nous lui connaissons.

J'ai présenté toutes les émissions des Bogdanoff en voix off je fais assez bien la chose.

Dis cher Zenalpha, est-ce que tu pourrais présenter le modèle sur youtube dans une vidéo ? Ce serait un bon moyen de le faire connaitre et éventuellement avoir une évaluation venant de spécialistes en physique théorique. Modifié par Frelser
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Membre, le corps sur Terre, l'esprit ailleurs , 54ans Posté(e)
pascalin Membre 15 340 messages
54ans‚ le corps sur Terre, l'esprit ailleurs ,
Posté(e)

Dis cher Zenalpha, est-ce que tu pourrais présenter le modèle sur youtube dans une vidéo ? Ce serait un bon moyen de le faire connaitre et éventuellement avoir une évaluation venant de spécialistes en physique théorique.

Il y a mieux que youtube si tu veux présenter The Modèle Ultimate .

Cela t'a été déjà suggéré... car forcément ici, nous ne pouvons comprendre(je passe les détails incohérents), et que l'incompréhensibilité créer de la poudre aux yeux,

car je ne vois pas bien l'utilité de poster sur ce forum généraliste,

cette problématique qui ne concerne qu'apparemment que des spécialistes, et ce que la personne lambda ne peut entrevoir, voir percevoir, sauf sur la forme, hein, non sur le fond, hein!

Hein ? Pourquoi poster The Théorie qui révolutionne The Science, sur ForumFr, qui n'est pas un forum spécialisé en science ?(la forme)

Pourquoi poster ce sujet, The Scoup, et faire le benêt avec youtube, tout en attendant la The reconnaissance scientifique mondiale !!! quand même !! The reconnaissance scientifique mondiale !!!

Nan mais là c'est du lourd,

Pourquoi perdre son temps et poster the méga théorie ici ?

C'est une perte de temps non?

où bien serait-ce une volonté d'enfumage facile, automatique, délibéré, obligatoire... ?

attention !!! je met un point d'interrogation mais il n'est pas ce qu'il parait être

Donc dans un premier temps voir ici https://hal.archives...fert-vers-arxiv

puis sur http://arxiv.org/

Ou sinon https://www.plos.org/

(https://doaj.org/) (http://www.myscience.ch/fr/research/open_access)

et là, si cas désespéré : http://guides-formad...ues_open_access

https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/page/faq

Modifié par pascalin
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Membre, nyctalope, 39ans Posté(e)
Criterium Membre 2 852 messages
39ans‚ nyctalope,
Posté(e)

Bonsoir Frelser, poignée de mains et grand plaisir de discuter avec toi de ces questions fondamentales.

Tu as tout à fait raison de dire que la lumière de l'espace orthogonal dédié c2 ne peut nous parvenir; même les philosophes phénoménologues ne pourront contredire cela. Ainsi une intersection à asynchronie hussarde ne peut que résonner à certaines intérférences sur la surface normalisée de Planck, et cela tient pour chaque espace-temps défini et indéfini additif et sous-jacent à la courbure commune isotope. Par contre je ne suis pas d'accord pour ne considérer que les puissances de 2 successives car il y a une nécessité cosmologique absolue re-normale pour les impairs et pour projecter en réciprocité quadratique (cf. Fermat) ce qui s'applique à l'anisotropie abélienne finie (cf. Gödel) et in extenso au multiples flèches de Knuth dont je parlais dans mon post précédent — ainsi cc^c est de même nécessaire par partitivité.

Une question fondamentale a à mon avis été mentionnée par Zenalpha qui a l'air de s'y connaître pas mal également, car il cite le modèle Bogdanoff qui m'avait scotché lorsque j'avais assisté à leur présentation de thèse, cette question c'est celle de l'orthoclivité de la constante gravitante de spin négatif. En théorie formelle, ce serait un cardinal d'Erdős; mais en MQ l'état devient bistable et bifurcant. As-tu re-calculé l'espace en tenant compte de ta valeur 3 - en étant certain qu'elle soit alors biclivée?

Amitiés,

:)

Edit: je crois qu'un outil intéressant à manier pour ré-exprimer la fractale sub-quantique formellement et mathématiquement sera la bijection de matrices fractales; dimensions sub-planes et en dimensions interférentes cosmologique atypique dé-vectoriée.

Modifié par Criterium
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Membre, Poisson rouge très très méchant, 38ans Posté(e)
Loopy Membre 3 109 messages
38ans‚ Poisson rouge très très méchant,
Posté(e)

Bonsoir Frelser, poignée de mains et grand plaisir de discuter avec toi de ces questions fondamentales.

Tu as tout à fait raison de dire que la lumière de l'espace orthogonal dédié c2 ne peut nous parvenir; même les philosophes phénoménologues ne pourront contredire cela. Ainsi une intersection à asynchronie hussarde ne peut que résonner à certaines intérférences sur la surface normalisée de Planck, et cela tient pour chaque espace-temps défini et indéfini additif et sous-jacent à la courbure commune isotope. Par contre je ne suis pas d'accord pour ne considérer que les puissances de 2 successives car il y a une nécessité cosmologique absolue re-normale pour les impairs et pour projecter en réciprocité quadratique (cf. Fermat) ce qui s'applique à l'anisotropie abélienne finie (cf. Gödel) et in extenso au multiples flèches de Knuth dont je parlais dans mon post précédent — ainsi cc^c est de même nécessaire par partitivité.

Une question fondamentale a à mon avis été mentionnée par Zenalpha qui a l'air de s'y connaître pas mal également, car il cite le modèle Bogdanoff qui m'avait scotché lorsque j'avais assisté à leur présentation de thèse, cette question c'est celle de l'orthoclivité de la constante gravitante de spin négatif. En théorie formelle, ce serait un cardinal d'Erdős; mais en MQ l'état devient bistable et bifurcant. As-tu re-calculé l'espace en tenant compte de ta valeur 3 - en étant certain qu'elle soit alors biclivée?

Amitiés,

:)

Edit: je crois qu'un outil intéressant à manier pour ré-exprimer la fractale sub-quantique formellement et mathématiquement sera la bijection de matrices fractales; dimensions sub-planes et en dimensions interférentes cosmologique atypique dé-vectoriée.

Attention, ceci à la condition nécessaire que l'espace de Minkowski se convolue sur la géodésique principale du photon primordial, ce qui exclut donc que le modèle s'étende au delà des singularités. Précision importante s'il en est afin de conserver un formalisme non euclidien d'entropie croissante au sens de Huygens.

Ajoutons également que d'après ce que je sais (Zenalpha me corrigera), l'orthoclovité de la constante gravitante de spin négatif n'a de sens que si elle s'exprime sous la forme d'un tenseur réfringent d'ordre 2 (ou 4 si on se trouve sous le mur de Planck), de sorte qu'il soit homogène au tenseur d'Einstein au moins dans le domaine relativiste. Cette condition imposerait donc la réécriture de l'équation de Boltzmann de manière généralisée (c'est à dire dans sa forme tensorielle refringente inversable), ce qui par définition entraînerait la perte de la propriété d'ordre de la dimension temporelle. En gros, le temps n'aurait plus de sens (et ce n'est pas le seul dans ce cas...) et l'entropie pourrait décroître, ce qui nous autorise à penser que nous suivons en réalité la courbe d'une fractale (qui serait la structure sub quantique de l'univers) et que l'annulation du paramètre anisotropique (selon le formalisme de Godel) représenterait une connexité locale. L'instabilité notoire générée pourrait alors expliquer la formation des trous de vers.

Une réflexion qui nous mène finalement à un jeu d'esprit plutôt bien ficelé. Critérium nous aura bien deminé le terrain :)

(Bon la recrée est fini, tous au lit :D.... :hu: ... et chacun dans le sien s'il vous plaît :bad: )

A la tienne mon cher et au plaisir :bo:

Modifié par Loopy
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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)

Cher criterium, merci encore pour ta participation au sujet. Comme souligné par Loopy, pour éviter la singularité, j'ai retenu comme critère guidant isotropiquement mon multivers C comme un paramètre qui est réduit à sa racine par sauts lors de chaque passage d'un univers au suivant. Il devient un tenseur de courbure (de Ricci/de Kleinerman) en L^2. Lors de l'extension, la valeur de C est réduite juste pour l'amener à sa racine carrée. C'est ainsi, autrement, on tombe sur une sigularité qui fait s'effondrer la théorie.

L'Univers est complètement chargée de quantum, la matière ordinaire interagit avec ses jumelles qui obéissent au même niveau de potentiel par isotropie et par interférence (masse manquante), par un etat synchronisé d'intrication... Tous les quantums de cet espace obéissent à la limite C de façon synchrone.

Mais en profondeur, la désintégration nuccléaire conduit de la matière à traverser par effet tunnel le potentiel critique, pour se briser en deux et passer en mode racine de C qui les rend indétectables. Du point de vue géodésique et différentiel, on quite une branche de la fractale en bifurquant au seuil critique atteint. Les deux surfaces d'espace incurvés se séparent par sauts. Ces sauts sont assimilés dans mon modèle à une variable 3 permettant de lier RG et MQ de manière orthonormée.

Pour ces particules, tout l'espace se réduit et passe dans un sous-espace de dimension infinitésimale comme prédit par la RG, leurs longeurs les réduisent de moitié.

A l'intérieur de l'espace-temps, le passage en super-espace des quantum décélérés induit une perte de masse, qui fait accélérer l'expansion.

La désynchronisation spatio-temporelle fait que le sous-espace en mode C^2 toujours chargé complètement selon le potentiel C^2, figeant celui-ci et le condamnant à une réduction relativiste quantique à l'état d'un volume de Planck de taille infinitésimale formant le sous-plan du nouvel espace qui fonctionne si lentement que cette dislocation censure toute possibilité d'observation sous Planck.

On obtient ainsi un multivers ou chaque espace se superpose sur le précédant suivant un modèle géodésique inviolable, isotrope et asynchrone, avec conservation relative d'échelle. Les quantum de chaque univers qui le quittent en bifurquant de façon scalaire, orthonormé respectant une courbure canonique (L^|2n|^2) n'ont plus comme lien physique que le point de contact d'intrication fondamentale au point de bifurcation canonique lors du saut.

>> On obtient à chaque saut des univers jumaux intriqués en réseaux, agissant par interférence uniquement jusqu'à ce que la norme du tenseur de courbure dépasse le seuil critique, induisant le fait de l'intrication canonique permise est limitée géométriquement jusqu'au saut suivant, induisant une illusion d'aléatoire du fait d'une structure géodésique fractale hautement non linéaire.

>> Le tout se produisant dans un hyper-espace de dimension infiniment petite, grandissant à vitesse décélérant à une vitesse asymptotique.

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Membre, Enigmologue, Posté(e)
contrexemple Membre 6 293 messages
Enigmologue,
Posté(e)

Bonjour,

Ah j'ai compris, la quintiscion de ce problème est exponentiellement liée à une variété algébrique au sens de Poincaré sans singularité de dimension négative, mais on peut admettre des singularités de dimension nulle à condition qu'elle n'ait pas d'adhérence et une métrique de groupe de Lie inexistante ou réduit à une expression triviale.

C'est finalement canonique.

Bonne journée.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 261 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Dis cher Zenalpha, est-ce que tu pourrais présenter le modèle sur youtube dans une vidéo ? Ce serait un bon moyen de le faire connaitre et éventuellement avoir une évaluation venant de spécialistes en physique théorique.

Coucou mon ami.

Je suis touché et honoré.

C'est Alain Connes qui prétendait qu'aucun développement en mathématiques ne se faisait chez lui avant d'en conceptualiser les représentations, les grandeurs, les 'réalités' dans son propre esprit.

Un tour à pieds est son pré-requis de réflexion, il doit pouvoir calculer dans sa tête, sans papier.

J'ai ce sentiment au travers de mes bases de données quand je perçois les réalités et les inférences dans un foutu bordel de chiffres, de colonnes, d'informations diverses comme si l'information traversait le chaos des données pour me suggérer à l'oreille ce qui est fondamental, et ce petit souffle à mon niveau me suggère ce que doit être la force du génie... que je n'ai pas, je suis pas équipé dans la tête comme j'aurai voulu l'être... sniffff

Mais je n'ai jamais fait une segmentation, une typologie, une régression, un score sans être intimement relié à ce que j'en ressortais et au delà des mathématiques qui servent mes algorithmes, l'intuition comme la conceptualisation précèdent le résultat concret.

A partir de là, je comprends tes intuitions et tes développements mais je ne maîtrise rien de ces sujets ni des mathématiques ni même des objets mathématiques manipulés sur le fonds.

Ta force est ton intuition et je suis persuadé que celui qui regardera ces équations de la RG et de la MQ pour en sortir le plus petit dénominateur commun qui les réunit aura force d'intuition au travers de l'intuition mathématique pure.

Une première piste...les équations nous donnent de l'information

Aujourd'hui en physique théorique, il n'y a que peu d'autres choix et c'est parfois un piège

Il y a aussi cette intuition de celui qui conceptualise une forme de conception physique qui unirait la gravitation aux autres forces à partir d'une intuition fondamentale (Comme Einstein a construit sa conception relativiste de la gravité au travers de ses expériences de pensées en révolutionnant mathématiquement dans la foulée le concept même d'espace temps, le rapport énergie masse etc etc)

Bref, tes expériences de pensées sont fondamentales... c'est LA pensée

Il me semble que, comme Einstein, ce serait le développement des mathématiques spécifiques à ce rapprochement qui devrait faire ressortir la pertinence de ton modèle.

C'est bien ce travail mathématiques qui lui a permis de lever dans la foulée une faille dans le calcul de l'orbite de Mercure et valider le modèle. il s'est battu avec ce gros con d'Hilbert qui a failli lui piquer son boulot (salops de matheux !!!)

Comment à ces niveaux d'énergie sans possibilité d'expérimentation va tu trouver la faille permettant d'apporter une pierre factuelle à l'édifice ?

Regarde ce qu'ont fait les Bogdanoff et regarde les résistances sur un sujet pourtant pas moins spéculatif que la théorie des cordes... Partir de la communication est un poids il faut partir de la démonstration.

La légitimité viendra des référents en sciences physiques et mathématiques et être un bon communicant n'est une force que dans la pédagogie grand public et c'est bien le seul point que je sais faire.

J'attire ton attention sur une limite des mathématiques. Le bon sens... c'est ce qui séparer les physiciens ancienne école des physiciens théoriciens souvent voir tous ces débats ici...

Je suis capable de construire un modèle qui explique les variations boursières passées et qui recoupent l'évolution des cours avec précision sauf que ces modèles ne seront pas robustes ni prédictifs, ce sont justes des astuces mathématiques...

La force d'Einstein est d'avoir révolutionné des concepts physique par intuition et en se servant des mathématiques.

Avec 150 dimensions, on serait capables de réunifier n'importe quoi... mais est ce que c'est parce que mathématiquement nous tenons une solution à la con que c'est LA solution ?

il faut un concept intuitif physique, un rapprochement mathématique entre différentes théories puis une vérification empiriques sur des 'failles' actuelles et là tout le monde sera convaincu.

Tu tiens une idée qui peut être vraie mais visiblement tant dans la conception des cordes que la gravité quantique à boucle, l'idée de singularité même disparait..

Donc bon, moi je sais rien du tout la dedans.

PS - Un univers total fractal me semble pas être une idée à la con...

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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)

Merci quand-même Zenalpha. En réalité, mon modèle, comme je le soulignes viens se poser en toile de fond aux deux théories (la RG et la MQ). Conceptuellement, elle permet de jeter un pont et elle résoud de façon élégante les énigmes comme la courbure de l'espace-temps, les étrangetés de la MQ, la genèse de l'ordre...

Je vais faire un mea culpa, je ne suis pas diplome en physique théorique. Voilà pourquoi, je ne sais pas publier mon modèle, ni le soumettre à des experts pour la faire évaluer. Mais, je suis convaincu, peut-être a tord : ceci constitue une révolution potentielle pertinente de la physique théorique. J'ai envoyé des couriels à des personnalités renommées, mais aucune n'a considéré mon appel digne d'une réponse : même pas une moquerie. Alors, je postes sur internet, en espérant qu'une personne capable de m'aider à la rendre "publiable" me tendrait une main. Ou m'expliquerait pourquoi elle n'est pas digne de publication...

Et si c'était une théorie dont la démonstration aurait précédé la formulation, mais n'avait pas été coorrectement interprétée ?

Cordialement.

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Membre, Poisson rouge très très méchant, 38ans Posté(e)
Loopy Membre 3 109 messages
38ans‚ Poisson rouge très très méchant,
Posté(e)

....

En prolongement du post de zen, j'attire une nouvelle fois ton attention sur le fait qu'à mon avis, il manque du sens à ton propos.

Si je te dis :

"Mon livre est allé à la fenêtre pour périmer son ventilateur",

comprends tu le sens de ma phrase ? ... Non... parce qu'elle n'en n'a pas. Pourtant chaque mot est bien français, et chaque mot a bien un sens qui lui est propre qu'on ne peut contester de sorte que pour quelqu'un qui ne parle pas français, mais qui en connait vaguement le graphisme et la sonorité cette phrase paraîtra tout à fait normale. Dès lors que ce quelqu'un comprend un tout petit peu le français, il comprendra rapidement que cette phrase n'a pas de sens. Si je souhaite que la phrase ait un sens, je n'ai que deux solutions. Soit j'explique que :

livre = frère

fenêtre = poste

périmer = récupérer

ventilateur = colis

Soit j'écris directement la bonne phrase avec les mots :

"Mon frère est allé à la poste pour récupérer son colis"

C'est exactement l'effet que produit ton texte. Je suis en mesure, moyennant documentation, de mettre un sens sur chaque mot que tu utilises et de comprendre ce sens. Cependant, je n'en comprend pas plus les phrases que tu formes avec. J'ai fait exactement cela dans mon post précédent. Il n'avait aucun sens. Je n'ai fait qu'aligner des termes qui traînaient vaguement dans ma tête et qui ont un sens, pourtant j'ai pris soin de faire en sorte que mon texte ne signifie rien. Et à moins que mes lacunes en physique théoriques dépassent de très très très loin ce que j'imaginais, Criterium a fait de même à peu de chose près. Pourtant tu en as tiré du sens. C'est qu'au final du doit conceptualiser quelque chose sans mettre les bons termes dessus.

Note que je ne dis pas que tu es idiot ou quoique ce soit. Je n'exclut pas du tout l'hypothèse que mon ignorance soit trop grande pour saisir quoique ce soit, bien au contraire, je me garde bien de croire être en mesure de critiquer ou même comprendre en profondeur ta théorie. Toutefois, je pense disposer des bases nécessaires pour pouvoir comprendre les grandes lignes d'un texte de physique théorique traitant du sujet de l'unification, de la RG ou de la MQ. Je ne serai pas capable d'apporter un avis critique, mais je pense être en mesure de comprendre les grandes lignes et les idées fondatrices. Sans vouloir être vaniteux, je pense que si en disposant de ces bases je ne suis pas en mesure de comprendre le sens de ton texte,la majorité des lecteurs de ce forum seront dans le même cas que moi.

Comme le dit Zenalpha, une théorie physique nait toujours d'un concept simple, d'une idée qu'on peut expliquer clairement sans faire appel à un l'arsenal complexe du lexique spécifique d'un domaine pointu. Je repose donc ma question : qu'elle est l'idée fondatrice de ta théorie, en terme simple, et quel raisonnement te mène à cette idée, toujours en terme simple.

J'insiste sur le fait que ce n'est pas une critique sur le fond (puisque je n'ai pas trouvé le fond...) mais simplement une demande de clarification. Par ailleurs, si tu as réussi à mettre du sens sur mon post précédent, c'est qu'il y a clairement et sans doute possible des confusions monumentales dans ta conception des termes que tu utilises.

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Membre, Poisson rouge très très méchant, 38ans Posté(e)
Loopy Membre 3 109 messages
38ans‚ Poisson rouge très très méchant,
Posté(e)

Alors, je postes sur internet, en espérant qu'une personne capable de m'aider à la rendre "publiable" me tendrait une main. Ou m'expliquerait pourquoi elle n'est pas digne de publication...

Il faut être sacrément trapu en physique théorique pour être capable de "rendre publiable" quoique ce soit dans le domaine. Sur internet (en général, pas ici nécessairement) tu trouveras plutôt des moyens de clarifier des idées naissantes et de rencontrer des critiques simples (mais souvent très constructives quand il s'agit d'idées ou de concepts naissants). Je suis intimement convaincu que si les chercheurs que tu as contactés n'ont pas répondu, c'est simplement que tu leur a envoyé un texte qui dit, pour filer la métaphore, que "ton livre est allé à la fenêtre pour périmer son ventilateur". Quelqu'un pour qui le langage de la physique théorique n'a aucun secret lira les 2 premières lignes, voire même se contentera du titre, et te classera en spam au coté de "Laetitia la cochonne" et "Grand Gourou Fred", auxquels il ne prend pas non plus la peine de répondre.

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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)

Bonjour Loopy. Et ce texte-ci, tu en pense quoi :

http://convanquisme.blogspot.be/2016/02/pour-ta-participation-au-sujet.html?m=1

Et du point IX (origine des forces physiques et densité d'intrications) ici :

http://convanquisme.blogspot.com/2016/01/v-expansion-unilaterale-avec.html

# Merci pour tes interventions. Sincèrement.

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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)

P.S. : Je ne sais pas si cela peut tenir lieu d'un moyen de tester ma théorie en C^|2n|^2 à chaque passage à un espace-supérieur, mais j'obtiens ceci concernant la matière noire (la matière en mode C parrallèle intriquée dans des univers séparés spatio-temporellement, mais encore en interaction relativiste quantique par densité d'intrication) :

4,9e2 = 24,01%

# Pour l'énergie noire, qui est l'éloignement en mode VCe4 :

4,9/2 = 2,45

(2,45^4) = 36,03

36,03 * 2 = 72,06 %

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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)

Bonsoir, désolé dans le post précédant j'ai écrit de mémoire et à la va vite car j'étais occupé à d'autres choses... A l'attention des personnes qui s'y connaissent, je reformules parceque c'est important.

Je vais, sur les conseils de Loopy, essayer de décrire mon raisonnement de façon plus intelligible. Car, comme j'ai du développer un paradigme tout à fait différent de ceux qui sont en usage en physique théorique, mes propos restent obscurs si une personne ne lit pas complètement et lentement.

1. Donc, selon mon modèle l'Univers obéit à une géométrie fractale gaussienne. La matière est composée de quantum bidimensionnels de dimension infiniment petite canonique en nombre infini qui voyagent du centre vers l'extérieur.

2. Leur vitesse se réduit au gré des contacts de proches en proches, qui induit par inertie chez elles des comportements giratoires et de mouvements compliques hautement non-linéaires persistants de façon à les synchroniser de proche en proches.

3. Lorsque le seuil de densité volumétrique diminue, et que leurs mouvements se réduisent à la racine carrée de leur vitesse antérieure, il se produit une brisure de symétrie, induisant des comportements asynchrones miroirs par paquets de quantum de vitesse réduite au carré de leur vitesse antérieure, transformée en masse et en propriétés synchronisés en miroirs.

4. Ce processus se répète à l'infini, chaque étape transformant les paquets décélérés en particules de quantum qui maintiennent au niveau des quantum une mémoire rémanante de leur mouvements mécaniques hérités de leur passé suivant une loi hautement non linéaire.

5. Les particules adoptent des comportements mécaniques inertiels qui coordonnent des systèmes canoniques stables. Chaque étape de division nuccléaire génère un système plus complexe que dans le passé, de façon fractale.

6. Les espaces obéissant à une vitesse équivalante à une racine paire de la valeur absolue de la vitesse critique permise propre, étant séparées des espaces à chaque bifurcation bijective, correspondanr à une réduction de vitesse à la racine carrée de leur vitesse précédante.

7. La matière de l'espace-temps obéit ainsi à la vitesse de C^2 à l'échelle quantique, et à la vitesse C^1 à l'échelle macroscopique. Les objets ne se touchent plus, mais agissent suivant l'intrication de l'infinité de quantums qui se communiquent les lois héritées maintenant les propriétés des particules caractéristiques : obéissant à des symétries étranges par paire.

8. Les forces d'interactions sont ainsi un comportement gaussien de synchronisation des quantums en nombre infini rendant la matière stable, obéissant à des lois qui sont dues à une causalité hautement non-linéaire.

# Chaque passage d'une génératrice à deux branches filles jumelles, les particules obéissent à une mécanique suivant la racine carrée de la vitesse de C (sa valeur absolue).

# Les objets ont des comportements plus ou moins maintenus synchronisés selon leur distance spatio-temporelle.

# Chaque étape qui remonte à plus loin que la bifurcation antérieure ou future* devient asynchrone et invisible physiquement.

# Chaque passage à un nouvel espace, obéit à e=mC^ dans un espace en 2x2 dimensions. Héritée de la géométrie fractale qui dérive par loi normale de ce processus universel.

Ce processus explique les étrangetés de la MQ, des forces d'interactions, da relativité, l'absence apparente d'antimatière (ayant bifurqué en amon)... Mais aussi, l'énergie noire, et la matière noire.

--------------

* La RG associe cela à des déformation spatio-temporelles. La MQ montre la puissance de l'intrication.

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Membre, le corps sur Terre, l'esprit ailleurs , 54ans Posté(e)
pascalin Membre 15 340 messages
54ans‚ le corps sur Terre, l'esprit ailleurs ,
Posté(e)

Merci d'avoir un peu clarifier par ce dernier post

Pour faire court, si j'ai bien compris, désolé si c'est pas le cas,

Prenons le point 1° que tu exposes:

Est-ce à dire que la lumière est la toile de fond de l'Univers, les quantums de photons sont présent partout, cf en nombre infini que tu sous-entends , mais qui voyagent du centre vers l'extérieur de quoi ?

Du centre de quoi ? et de l'extérieur de quoi ?

Si tu veux un scoop qui n'en n'est pas un, enfin peut-être, peut-être pas ? qui sait ?

Je n'ai pas les compétences pour modéliser cette intuition que j'ai depuis belle lurette, peut-être que tu pourrais m'aider ?

en fait la lumière ne se déplace pas, ceci explique sa stabilité ultimate^^ , sa constance !

En fait l'Univers est statique mais fluctue quand même

ça, c'est juste une idée de derrière les fagots ...

Point 2°:

La synchronisation de quoi ? de proche en proche ? what ?

Point 3°:

Quelle est cette vitesse antérieur des photons ?

Point 4°:

Les processus se répétant à l'infini ne sont pas une démonstration valide d'une théorie, puisque l'on ne peut reproduire, ni affirmer ni infirmer cette dite théorie.

Point 5°:

De quel passé ? ~ ces particules peuvent adopter un tel comportement ?

Point 6°:

étant séparées des espaces à chaque bifurcation bijective, correspondanr à une réduction de vitesse à la racine carrée de leur vitesse précédante.

>Pardon ? tu peux expliquer autrement ?

Point 7°:

Bon là j'avoue que je conceptualise un tout petit peu, mais vraiment un peu, ton cadre luminifère sous-jacent

Point 8°:

"obéissant à des lois qui sont dues à une causalité hautement non-linéaire"

Ce qui veut dire en d'autres termes ? peux-tu l'exprimer avec d'autres mots ?

Causalité hautement non linéaire c'est quoi ?

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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
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Bonsoir Pascalin. En fait, je peines à placer les termes exacts sur les représentations mentales.

La physique quantique obéirait à une échelle de métriques spatio-temporelle de 1/C comparée à l'espace-temps relativiste. Notre Univers ayant un temps d'écoulement égale à Ce C de l'unité de temps propre de la métrique spatio-temporelle quantique.. Cela serait l'effet du passage du tenseur de courbure de L à son carré.d'une dimension à l'autre.

Je vais essayer expliquer encore une fois.

L'Univers serait composé de quantum d'énergie infinitésimaux, encore plus fondamentaux que le photon, bidimensionnels et de dimension infinitésimale.

Le tenseur de courbure qui induit l'émergence de l'espace aux points de recoupement des géodésiques n'est jamais complètement aligné, mais induit une déviation d'un indice équivalent 1/C en sous-plan quantique, par rapport à ce qu'Einstein avait trouvé.

Décalage ou déviation, indécelable dans la métrique relativiste, car sous les limites des unités de Planck. Qui, cumulé explique l'illusion d'énergie noire et de masse manquante (matière noire).

Ainsi, la vitesse limite permise à l'échelle quantique devient égale à t^(-1).

En conséquence de quoi, nous n'avons pas un espace unique à 4 dimensions, mais un hyperespace dynamique à géométrie fractale dont chaque point d'espace obéit à une géométrie obéissant à variation scalaire de déviation en tangente entre chaque strate de dimension d'un indice indiscernable par la nouvelle métrique atteinte à ce sueil critique en tangante.

C'est cela la gravitation quantique (avec pour indexe canonique de la valeur de G de 1/C limitant la vitesse maximale des quantum et fixant une nouvelle métrique), qui fait que chaque espace reste en contact avec la dimension qui la précède à la limite critique autorisée à la surface de l'espace-temps, jusqu'à un seuil critique en tangante au sous-plan d'espace, mais avec un décalage de métrique fonctionnant par sauts le tenseur de courbure s'élève à son propre carré en cascades fractale, sans jamais complètement s'aligner.

Ainsi, l'espace-temps se trouve superposé au sous-plan quantique, qui obéit à une limitation de pour sa propre valeur de C, équivalente mais décalée d'un indice canonique de \/¯C, de la racine de la valeur de la métrique à laquelle est soumis l'espace-temps.

Cela suffit à maintenir l'image figée de ce qui se passe là-bas depuis la surface de l'espace-temps, comme une rémanence du mur de la limite temporelle de l'échelle quantique : indiscernable en RG ou le temps s'écoule au ralentit comparé à celui de la mécanique quantique de façon à rendre la dimension temps quantique indiscernable depuis la surface de l'espace-temps.

Un variation d'échelle de l'ordre de L à L^2 se répète de façon canonique à l'infini. Et permet d'unifier RG et MQ.

>> Du fait que le tenseur de courbure induit un décalage de la valeur absolue de L en la réduisant à la racine de sa valeur absolue, par des sauts canoniques, la frontière physique entre une dimension et la suivante demeure inviolable juste au point de contact, chacune commençant au seuil critique du voisin. L'espace suivant prend le relais à la tangante.

>> Les événements qui se produisent à l'échelle quantique à une vitesse équivalente a 1/C restent immobiles du fait que la limite de C à notre échelle. Le temps quantique s'écoulant donc à une vitesse équivalente à 1/t par rapport à nous.

>> Lors de la mesure, nous parvenons à observer les objets quantiques ponctuellement, au temps relativiste, induisant un effet de relativisme quantique qui nous permet d'observer un état ponctuel d'une observable quantique à la fois.

P.S. : Le temps s'écoule donc à une vitesse indiscernable depuis la surface de l'espace-temps.

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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
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Bonjour. J' modifié mon post principal, et postes juste les idées directrices de mon modèle théorique sur un moyen théorique d'unifier la Relativité Générale et la Mecanique quantique dans un modèle plus étendu et fondamental, sous forme de relativité quantique à géométrie fractale guidé par (1) d'une parts une expansion soumise à un tenseur de courbure variable du genre du tenseur de Riemann/Klainerman en L^2 ou une dérivée de celle-là*, et (2) d'autres parts par les interactions de quantum bidimensionnels de dimension infinitésimales en nombre infini voyageant depuis le centre d'un bulbe fractal vers sa surface en interagissant et s'organisant sous le guidage de l'intrication, (3) cette densité d'intrication étant soumise à un schéma qui se répète par des bijections de génératrice à bijectives soeurs du genre : (2X2)^n.

Voici la présentation mise à jour sur laquelle je travailles encore ici, sur mon blog :

http://convanquisme.blogspot.com/2016/01/v-expansion-unilaterale-avec.html

---------------------

* Du genre : [(L^-2)-L^-2)]. Désalignant les géodésiques suivant une marge d'incertitude située sous le seuil mathématique de la métrique relativiste censurant ce qui se passe sous les limites de Planck. (a) L'espace devient un hyper-espace fractal, un Multivers. (b) Il n'y a aucune anisotropie détectable dans les limites de la métrique relativiste, du fait de la censure de la plage des événéments sub-quantiques situées très en-deçà des limites métriques de Planck fixées par C devenant variable, qui serait limité au seuil critique de C^-1 dans les sous-plans se décalant spatio-temporellement de façon asynchrone et asymptotique par rapport à notre temps dans notre dimension. Ce décalage spatio-temporel relativiste quantique serait la source du clivage métrique entre RG et MQ. Les événements se déroulant au delà des limites du décalage devenant figées temporellement, ce qui induit les étrangetés quantiques, comme la dualité onde corpuscule, l'intrication, la persistance de marge d'incertitude, les effets tunnels, ..., mais aussi l'effet d'expansion accéléée, résolvant l'énigme de la matière noire, l'absence de matière baryonique lévogyre, la parité des quarck...

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