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Si l'on ne devait pas travailler, le feriez-vous quand même ?


Invité brendan12

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Invité brendan12
Invités, Posté(e)
Invité brendan12
Invité brendan12 Invités 0 message
Posté(e)

Yo !

Aller, pour mon premier sujet en philosophie (enfin je crois....:o°), je vais parler du travail, dans le sens professionnel du terme. (métier, carrière, tout ça tout ça ! ;))

Actuellement, dans notre société de consommation, nous sommes "obligés" de travailler pour pouvoir subsister à nos besoins. Bien sûr, ce que je dis là est purement théorique....;)

Mais imaginez-vous dans un monde utopique où il n'est plus nécessaire de travailler pour vivre, mais où ça ne devient qu'optionnel. Alors, ma question est la suivante : si le travail était optionnel, est-ce que vous irez quand même bosser de votre plein gré ?

Pour ma part, je le ferai. Certes, ce serait bien de pouvoir s'occuper chez soi, à faire tout ce qu'on veut. Mais je m'em**** vite, parce que j'aurai le sentiment qu'il me manque quelque chose, qu'en quelque sorte, je ne serai pas épanoui ! Bref, je pense que le travail permet de sortir de chez soi, rencontrer des gens, faire d'autres activités,...:)

Aller, c'est à vous ! :D

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Animateur, Le gras c'est la vie, 36ans Posté(e)
Kyoshiro02 Animateur 22 990 messages
36ans‚ Le gras c'est la vie,
Posté(e)

je penses que non, mais fais attention avec ce genre de topic, on va dire que t'es communiste :D

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)

C'est interdit d'être communiste ?

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Animateur, Le gras c'est la vie, 36ans Posté(e)
Kyoshiro02 Animateur 22 990 messages
36ans‚ Le gras c'est la vie,
Posté(e)

je ne l'ai nullement dit et encore moins sous entendu :sleep:

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Membre, Posté(e)
Leste Membre 2 502 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

On a parlé récemment du revenu de base et je pense que si l'homme pouvait un jour faire le choix ou pas de ne plus travailler ce serait avec une situation semblable à celle-ci. Si un jour un revenu de base convenable devait entrer dans notre société, je continuerais toujours à travailler car comme le dit Jean-Marie Harribey ce serait une situation qui ne pourrait être que temporaire et non continue. Afin de me préparer à l'avenir et afin de continuer sur ma pensée capitalisme, je continuerais à verser mes efforts.

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Membre, "Emmerdeuse immigrée" , 34ans Posté(e)
Surimuchan Membre 3 824 messages
34ans‚ "Emmerdeuse immigrée" ,
Posté(e)

Oui c'est interdit.

Donc , en attendant, si je n'avais pas le besoin de travailler ni pour ma famille ou ma propre survie. Je ne travaillerais pas , je passerais mon temps à tenter d'apprendre un maximum de langues :3 (Je suis déjà plus que fluide en anglais, viet, et je me démerde en Thai ^^) C'est ce qui m'intéresse, donc je bosserais pas non x). Tant de choses à faire, si peu de temps. x)

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Invité 1107tang
Invités, Posté(e)
Invité 1107tang
Invité 1107tang Invités 0 message
Posté(e)

Je ferais la même chose que maintenant, mes projets.

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Membre, Posté(e)
Coincidence Membre 287 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Yo !

Aller, pour mon premier sujet en philosophie (enfin je crois....:o°), je vais parler du travail, dans le sens professionnel du terme. (métier, carrière, tout ça tout ça ! ;))

Actuellement, dans notre société de consommation, nous sommes "obligés" de travailler pour pouvoir subsister à nos besoins. Bien sûr, ce que je dis là est purement théorique....;)

Mais imaginez-vous dans un monde utopique où il n'est plus nécessaire de travailler pour vivre, mais où ça ne devient qu'optionnel. Alors, ma question est la suivante : si le travail était optionnel, est-ce que vous irez quand même bosser de votre plein gré ?

Pour ma part, je le ferai. Certes, ce serait bien de pouvoir s'occuper chez soi, à faire tout ce qu'on veut. Mais je m'em**** vite, parce que j'aurai le sentiment qu'il me manque quelque chose, qu'en quelque sorte, je ne serai pas épanoui ! Bref, je pense que le travail permet de sortir de chez soi, rencontrer des gens, faire d'autres activités,...:)

Aller, c'est à vous ! :D

Ta théorie est intéressante.

Elle manque seulement d'une précision essentielle je crois, ce avec quoi la réflexion philosophique sera à mon sens mieux dirigée, je pense.

Ce monde fictif serai dans ta théorie nouvellement créé, donnant suite au monde de travail nécessaire que nous connaissons aujourd'hui ou bien existant depuis toujours ?

Dans le coup, je me permet de ne pas nécessairement être d'accord avec ton emploi du caractère "utopique" de ce genre de monde ou alors, je te demanderai de bien vouloir élargir tes propos...

Je donnerai sans aucun doute ma réponse sous un meilleur éclairage !

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Invité brendan12
Invités, Posté(e)
Invité brendan12
Invité brendan12 Invités 0 message
Posté(e)

Je pars sur la base que c'est un monde fictif qui existe depuis toujours. Certes, je le qualifierai d'utopique, parce que c'est un monde qu'on ne pourrait pas voir de sitôt...:smile2:

Comme dit, je ne savais pas trop si ma question est philosophique, donc du coup je l'ai mise là ! :o°

Ta théorie est intéressante.

Elle manque seulement d'une précision essentielle je crois, ce avec quoi la réflexion philosophique sera à mon sens mieux dirigée, je pense.

Ce monde fictif serai dans ta théorie nouvellement créé, donnant suite au monde de travail nécessaire que nous connaissons aujourd'hui ou bien existant depuis toujours ?

Dans le coup, je me permet de ne pas nécessairement être d'accord avec ton emploi du caractère "utopique" de ce genre de monde ou alors, je te demanderai de bien vouloir élargir tes propos...

Je donnerai sans aucun doute ma réponse sous un meilleur éclairage !

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Membre, Posté(e)
lucdf Membre 4 113 messages
Forumeur balbutiant‚
Posté(e)

Je ne travaillerais pas mais j'apprendrais des langues étrangères, je me cultiverais, j'apprendrais la peinture, la sculpture, la musique. je ferais du sport. Bref la vie est multiple et je ne raterais pas une occasion de la vivre pleinement.

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Membre, 45ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 45ans‚
Posté(e)

Oui, tout le monde travaillerai. Mais pas de la même façon ^^

La réticence que nous avons vis à vis du travail est une réaction à l'oppression de son obligation.

Et ce d'ailleurs dans sa forme la plus liberticide, avec un employeur qui nous dit ce qu'on doit faire et comment on doit le faire.

Rien d'étonnant à ce qu'on y résiste.

( Nous y résistons déjà beaucoup moins dans l'idée que ce serait nous-mêmes qui déciderions de ce que nous ferions, et de comment nous le ferions. )

Les humains possèdent de façon intrinsèques trois besoins sociaux vitaux.

J'entend par vitaux que si on ne les combles pas, on meurt. (on se suicide, on devient fou et on meurt très vite…)

Ces trois besoins sont :

Le besoin de pouvoir être sois-même. Pleurer quand on a mal, dire ce qu'on pense, exprimer ce qu'on ressent quand on le ressent. Agir en correspondance avec ce qu'on ressent vis à vis des autres, quand on le ressent.

C'est ce qui correspond à la sphère intime.

Le besoin d'être accepté par les autres. Se sentir faire partit d'un groupe qui nous accepte. Qui nous soutiens si nous allons mal. (quand nous ne pouvons plus leur être utile… mais qui sont là quand même. Voir qui nous accepte et ce malgré le fait qu'on leur soit plutôt nuisible parfois… ) C'est encré dans nos gènes comme un instinct de survie essentiel.

C'est ce qui correspond à la sphère sociale.

C'est pour combler ce besoin d'être accepté par les autres, que nous faisons des compromis avec l'objectif précédent. Par exemple en acceptant d'obéir à des règles sociales. (en adoptant des comportements accepté et valorisé par le groupe. ex : vêtements, opinion politique "affirmée" etc… ) ;)

Et le troisième, celui d'être utile aux autres. Le besoin d'être reconnu par les autres.

C'est celui qui fonde la sphère professionnelle.

C'est un objectif différent de celui d'être simplement accepté. Et c'est cet objectif qui va nous pousser à nous dépasser, pour donner le meilleur de nous même. À travailler donc, qu'il s'agisse d'un travail salarié, libre voir même bénévole.

Nous travaillons pour obtenir une position sociale "importante". (pas forcément représenté par le salaire, à nous de voir ce que nous jugeons comme la position sociale valorisée ;) )

La reconnaissance est toujours obtenu par un travail, qui constitue un investissement. (ça fait chier au début, mais c'est après qu'on obtiendra la reconnaissance).

C'est ce besoin d'être reconnu qui va parfois faire que nous n'allons pas adopter le comportement "social" désiré, au risque d'être rejeté par les autres. Histoire d'avoir notre chance de pouvoir "prouver" notre utilité et obtenir notre reconnaissance.

Ou pour avoir une "position sociale" importante, ce qui est exactement une forme de reconnaissance.

Un dictateur est reconnu comme le type puissant à qui il faut obéir. ;)

ça n'a rien à voir avec le fait d'être "aimé" et "accepté".

Mais sans prendre cet extrême, de façon plus "louable", nous cherchons parfois à prendre des risques d'enfreindre la "bienséance", (les règles sociales) à prendre le risque d'être rejeté par les autres, pour réellement leur être utile, pour réellement être reconnu plus tard pour nos qualités.

Il n'est pas toujours évident de faire la distinction entre ces trois objectifs (être nous même, être accepté, être reconnu) Et la plupart du temps, la société ou les autres individus nous exploitent précisément en brouillant ces cartes.

De base ces trois objectifs entrent souvent en contradictions les uns avec les autres. C'est toute la difficulté de la vie d'arriver à les équilibrer. Mais nous ne pouvons pas y couper, et quel que soit les sociétés ces trois besoins sociaux vitaux ont toujours été présent. Ils sont profondément humain.

Que le travail soit ou non obligatoire, nous aurons toujours ce besoin vital d'être reconnu par les autres, pour nos compétences, pour notre utilité à la société.

Et nous travaillerons toujours pour obtenir cette reconnaissance. ;)

C'est seulement que ce travail ne serai plus conditionné par un rapport de pouvoir d'un employeur qui serait le seul à déterminer de notre utilité sociale, par notre salaire ou nos promotions.

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Membre, [Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible], Posté(e)
Anna Kronisme Membre 2 134 messages
[Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible],
Posté(e)

Actuellement, dans notre société de consommation, nous sommes "obligés" de travailler pour pouvoir subsister à nos besoins. Bien sûr, ce que je dis là est purement théorique....;)

Mais imaginez-vous dans un monde utopique où il n'est plus nécessaire de travailler pour vivre, mais où ça ne devient qu'optionnel. Alors, ma question est la suivante : si le travail était optionnel, est-ce que vous irez quand même bosser de votre plein gré ?

Nous avons déjà atteint ce stade de l'optionnel.

Il y a une toute petite correction à faire dans ta thèse :

"nous sommes "obligés" de travailler pour obtenir plus que nécessaire"

L'Etat subvient aux "besoins" de son peuple depuis belle lurette (Allocations logement, familiales, RSA, etc.)

Mais, ce qui est intéressant de constater, c'est que les "besoins" qui devraient être simplement "se nourrir, se loger, se laver et se vêtir" ont pris une dimension de normalité, puisque ils sont un droit acquis.

De ce fait, les "besoins" ne sont plus vitaux mais de l'ordre du confort.

Nous entrons dans le "plus que nécessaire", l'envie.

Pas bien.

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Membre, Posté(e)
Coincidence Membre 287 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je pars sur la base que c'est un monde fictif qui existe depuis toujours. Certes, je le qualifierai d'utopique, parce que c'est un monde qu'on ne pourrait pas voir de sitôt...:smile2:

Comme dit, je ne savais pas trop si ma question est philosophique, donc du coup je l'ai mise là ! :o°

Voilà qui est alors intéressant, quoique l'autre base ne l'aurait pas nécessairement été moins.

Nonobstant, je vais partir de cette base-ci et puisque nous sommes dans un sujet philo, je vais répondre philosophiquement.

- Premier paradoxe : "utopique" ; en partant de la base que ce genre de monde fictif existe depuis toujours et qu'il soit inconnu que le travail puisse être nécessaire, comment dire que ce genre de monde puisse être utopique ? Il peut l'être pour nous, dans notre monde, extrapolant sur l’existence totale d'un autre monde tel que tu l'exposes. Notre monde pourrait alors tout aussi bien être utopique par extrapolation sur celui-ci par nos homonymes pensants, de l'autre monde que tu exposes théoriquement. Ma réponse à ce paradoxe est que tout dépend du référentiel dans lequel on se base pour exposer ce genre de terme. Précisons !

- Second paradoxe : Comment peux-tu affirmer que tu aurais le sentiment qu'il te manque quelque chose, si dans ce monde fictif, le travail était optionnel ? Je m'explique... L'affinage de ton hypothèse, dans lequel tu dis que ce monde existerai depuis toujours, affirme par déduction que tu ne connaîtrais pour seul monde "réel", celui où le travail étant optionnel, tu n'aurais pas nécessairement besoin de travailler. Tu ne peux donc pas ressentir un manque de ce que tu ne connais pas ; de même que tu ne ressens pas un manque de "non travail" dans notre monde actuel.

- Enfin, qui n'est pas des moindres sans toutefois être un paradoxe, tu dis que sans travailler, tu t'emmerderais vite, tu ne te sentirais pas "épanouis" et par opposition aux "avantages" que le travail confère, que tu sortirais peu de chez toi, que tu ferais moins de rencontres, moins d'activités... Etc.

Et cela te déplairait.

Cependant, n'oublies pas que tu parles d'un monde fictif ENTIER et qui serai fait comme telle depuis toujours. Tu ne connaîtrais rien d'autre que ce genre de système sociétaire (si on accepte l'idée qu'une telle société puisse fonctionner), ainsi tu aurais un autre système de penser, une autre vision du monde, d'autres envies (peut-être), un autre mode de vie ; en bref tu serais différent.

En acceptant l'idée que dans ce monde "miroir" tu ais ce genre de réflexion et en imaginant que tu penses globalement de la même manière, tu aurais très certainement le même genre de discours que tu as là mais à l’extrême inverse.

A présent pour faire un brève conclusion, je dirais que d'une manière générale l'être humain est et restera en n'importe quel "environnement" ou situation, un système complexe réceptif aux environnements et autres systèmes complexes ; il a autant d'influence sur ces deux précédents, qu'ils en ont sur lui. Ce qui veut dire plus simplement que volontairement ou non, un être humain "X" à la capacité d'influencer sont environnement ou ces semblables de type "vivants", autant que la réciproque est exacte. Et pour faire encore plus simple, j'affirme qu'en grande majeure partie, l'Homme est grossièrement parlant un "mouton" qui suit instinctivement les mouvement de foule ; généralement par sécurité. Et je te le demande : qu'est plus sécurisant auprès d'une société, que la conformité ?

De plus, l'être humain est comme tout autre système dans notre univers, qu'il soit complexe ou non, vivant ou non : il ira vers le plus simple, le moins fatiguant et globalement vers ce qui demande le moins d'énergie ; c'est naturel et valable pour tous.

Par cela, j'affirme que l'Homme est et restera en quelque situation que ce soit, mouton et feignant.

Ma réponse est la suivant car je n'échappe pas à la règle :

A la question si par ta théorie, un tel monde existait et existant depuis toujours, travaillerai-je tout de même ?

Je te répond que considérant que je ne connaisse d'autre monde que celui où le travail n'est pas nécessaire, que je suis au moins un minimum "conforme" et que je suis feignant : bien sur que non !

Et c'est à mon sens bien hypocrite de répondre le contraire ou alors le sujet n'est pas comprit ou travaillé...

Après si tu me dis que le travail "optionnel" pourrai être rémunéré d'une quelconque façon que ce soit, je reconsidérerait certainement ma réponse. Mais laisse moi en retour te demander si dans notre monde actuel, tu accepterais de travailler bénévolement, même si on t'octroyai le minimum à survivre ?

Sujet intéressant que j'aimerai bien développer mais je crains que mes messages traînent un peu en longueur et ne vous poussent à ne les lire qu'à moitié, voire pas du tout. Bien que je ne sois pas convaincu que celui-ci même soit lu dans sont intégralité... :smile2:

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Invité Lily.A
Invités, Posté(e)
Invité Lily.A
Invité Lily.A Invités 0 message
Posté(e)

Je réponds simplement à ta question :

Moi, je continuerais mes études, très sereinement !! Puis, une fois mes études terminée (c'est à dire dans 5 ans), je pense que je travaillerais mais à temps partiel uniquement !! Pour moi, car ce sera un métier qui me plaira beaucoup.

Par contre, j'en profiterais pour continuer mes études, du moins continuer à m'instruire dans tous les domaines qui m’intéressent.

Puis, je pourrais consacrer plus de temps à la danse et à la musique, ainsi qu'a enrichir ma culture :)

Ça donne envie tiens :)

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Membre, Posté(e)
Gerinimo Membre 825 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

C'est interdit d'être communiste ?

Non bien sur , mais c'est archaïque !

Ou alors faut ètre coréen .

Pour répondre à la question posée :

Tout dépendrait de mes moyens financiers , entre autres .

Il y a tellement de domaines à découvrir , de pays à explorer , de cultures à rencontrer , de musées à visiter , d'opéras à écouter , d'amis à préserver , de gens à épauler , de connaissances à acquérir , de sports à pratiquer etc etc avant de mourir , que je trouverais idiot de m'aliéner par le boulot si je peux m'en exonérer .

Sauf bien sur si c'est un boulot passion qui en lui mème me donne toute satisfaction pour mener ma vie comme je l'entends .

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Membre, 45ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 45ans‚
Posté(e)

Nous avons déjà atteint ce stade de l'optionnel.

Il y a une toute petite correction à faire dans ta thèse :

"nous sommes "obligés" de travailler pour obtenir plus que nécessaire"

L'Etat subvient aux "besoins" de son peuple depuis belle lurette (Allocations logement, familiales, RSA, etc.)

Mais, ce qui est intéressant de constater, c'est que les "besoins" qui devraient être simplement "se nourrir, se loger, se laver et se vêtir" ont pris une dimension de normalité, puisque ils sont un droit acquis.

De ce fait, les "besoins" ne sont plus vitaux mais de l'ordre du confort.

Nous entrons dans le "plus que nécessaire", l'envie.

Pas bien.

C'est pas faux, mais pas totalement vrai non plus.

Le RSA est un peu juste pour survivre quand même.

Tu admettra qu'avec 450€ par mois, tu va quand même pas très loin sans soutiens parental pour le loyer.

De surcroit, je pense qu'il y a une différence entre assurer la survie et assurer la vie.

Les progrès technologiques et les gains de productivités ont été tel en 50/60 ans qu'on devrait théoriquement aujourd'hui ne pouvoir avoir que 10 ou 15% de la population active au travail, pour le même niveau de vie et de confort qu'un foyer moyen pendant les trente glorieuses.

Et je parle de ne plus du tout travailler… le travail bénévole, ou pour l'épanouissement personnel réduirait encore très largement ce pourcentage, et pourrait même très largement compenser quasiment toute forme de travail obligatoire.

Ceci dis, je quitte le sujet… ^^

La question ne porte pas sur la réalisation économique de la chose.

^^

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Membre, Explorateur de Nuages, 47ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 25 241 messages
47ans‚ Explorateur de Nuages,
Posté(e)

L'Etat subvient aux "besoins" de son peuple depuis belle lurette (Allocations logement, familiales, RSA, etc.)

Mais, ce qui est intéressant de constater, c'est que les "besoins" qui devraient être simplement "se nourrir, se loger, se laver et se vêtir" ont pris une dimension de normalité, puisque ils sont un droit acquis.

De ce fait, les "besoins" ne sont plus vitaux mais de l'ordre du confort.

Nous entrons dans le "plus que nécessaire", l'envie.

Un discours qui devrait trouver de fervents auditeurs, entre autres parmi les 24% de SDF qui ont un travail.

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Membre, Explorateur de Nuages, 47ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 25 241 messages
47ans‚ Explorateur de Nuages,
Posté(e)

Pour ma part, je le ferai. Certes, ce serait bien de pouvoir s'occuper chez soi, à faire tout ce qu'on veut. Mais je m'em**** vite, parce que j'aurai le sentiment qu'il me manque quelque chose, qu'en quelque sorte, je ne serai pas épanoui ! Bref, je pense que le travail permet de sortir de chez soi, rencontrer des gens, faire d'autres activités,...:)

Tu confonds travail et activité alors.

Car, qu'est-ce qui empêcherait dans ton monde que des volonté d'entreprendre (dans le sens premier du terme), que des projets réunissant des individus de leur plein gré voient le jour ?

Pour ma part, si demain je n'étais plus contraint d'aller bosser pour vivre, je pourrais peut-être poursuivre mon activité professionnelle (et encore, uniquement parce que j'éprouve un peu d'intérêt pour ce que je fais), mais certainement pas dans les mêmes conditions : je bosserais davantage pour le projet et son utilité, et non une logique financière.

Ou je serais peut-être intéressé par d'autres activités ou projets.

Mais je serais alors libre de décider vers quelle activité porter mon intérêt, et dans quelle proportion. Quelles activités faire cohabiter ou non.

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Membre, Brise-noix devant l'éternel, 31ans Posté(e)
Ninouschkaya Membre 3 047 messages
31ans‚ Brise-noix devant l'éternel,
Posté(e)

*Bah je ferais la même chose que les sims après deux ou trois coups de motherlode, je sympathiserais avec des gens, je ferais en sorte que mes gosses soient plus intelligent du monde, j'enverrais mon mari regarder les étoiles pour qu'il finisse mis en cloque par des extaterrestres...*

Non, plus sérieusement, je pense que je ferais ce que je fais aujourd'hui (enfin partiellement): lire, écrire, discuter avec les autres...et puis, tout travail n'est pas horrible pour peu qu'il nous plaise et nous paraisse enrichissant sur le plan personnel et éthique.

Je pense que c'est une question de maturité...si on m'avais posé la même question y a 5 ans, j'aurais répondu "Courir à poil dans les prairies avec des jolis garçons, et fumer des gros pet' ", avec l'âge on se rend compte qu'il y a un temps pour tout, que le corps a ses limites..donc je dirais culture et réflexion et débauche le week end.

Un autre point, qui a tout de même son importance: je pense que j'irais vivre au bord de la mer, et je ferais en sorte de convaincre les gens que j'aime le plus de m'y rejoindre pour faire des barbeuc sur la plage: oui, parce que souvent, les gens qu'on aime bien sont loin, la faute aux obligations pro de chacun...

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Membre, 42ans Posté(e)
Yoannbzh Membre 11 816 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
Posté(e)

Alors, ma question est la suivante : si le travail était optionnel, est-ce que vous irez quand même bosser de votre plein gré ?

Oui je me vois mal ne faire que, les loisirs, profiter de la famille, faire des voyages,... à la fin je m'en lasserais. ça sera la routine !

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