Il ou elle m'a trompé, pourquoi ?! Aurais-je pu l'éviter ?

Donc impossible pour toi de concevoir être responsable des actes de l'autre ?

Cela ne PEUT PAS être de ta faute et ce ne peut être qu'un boulet...

En même temps, si tu te fais tromper par un homme que tu aimes et qu'ensuite tu le traites de boulet, juste parce qu'à tes yeux tu es la princesse que l'on ne peut pas tromper...

Autant dire que ce n'est pas vraiment le bon chemin pour la confiance et la remise en question ... :blush:

Peut-être mais j'ai toujours veillé à plaire à ceux avec qui j'étais et je suis capable, sans faute de l'autre, de faire preuve d'autocritique et de me corriger ou m'améliorer si nécessaire.

En plus il m'est un peu facile de savoir à qui j'ai affaire, quand on s'intéresse aux autres avec confiance et sincérité, il est simple de voir en eux sans hostilité.

Je n'ai vraiment pas besoin d'être "la favorite" ni "l'officielle" d'un libertin, j'ai mieux à faire de ma vie, il y a des hommes bien plus séduisants que ça.

Je suis un peu morte de rire...CRabe et Pep-psy, vous êtes dans un délire pseudo libertaire, c'est la teuf, tout est relatif, l'épanouissement avant tout...

Je respecte ça, mais respecte que d'autre sont blessé par ce que vous trouvez légitime.

Dans un second temps, entre deux prêche sur la tolérance et les filles sympas qui donnent sans compter, j'ouvrirais bien un topic sur le femmes infidèles, histoire de savoir combien d'homme "malheureux" viennent y écrire le mot salope...

Je parle pas de vous deux, mais y a une sorte de deux poids, deux mesures, et souvent les hommes supportent pas la moitié des femmes en terme de coup de canif' dans le contrat.

Je me suis posé cette question... Pourquoi je dois souffrir que l'autre puisse prendre du plaisir ? Je l'aime ou pas ? Qui j'aime dans ce couple ? Lui/elle ou bien moi? Je t'en parle en ayant été celui qui a expérimenté un "ce weekend je monte à Paris pour me taper un mec que j'ai jamais vu". C'est pas un moment facile mais si je suis pour pisser sur la teuch de ma nana ? Ou l'enfermer ? En faire ma chose, ma propriété ?

Je comprend ton point de vu, mais franchement, pense pas que tous les mecs pensent comme toi, ni les filles d'ailleurs.

N'exagère rien, vouloir de la fidélité de signifie pas enfermer...justement, c'est se dire "je suis libre de la faire, mais je ne le fais".

Moi je ne trompe pas mon mec, parce que ça lui ferais de la peine, et que j'en ressens pas l'envie, il me suffit. S'il ne me suffit pas, je part, ou alors on part dans un autre genre de relation, ou lui et moi sommes libres...mais comprends que ça ne coule pas de source. Nous par exemple on a pas envie. J'aime qui me dise que je suis la plus jolie, j'aime lui dire que j'ai besoin que de lui.

Crabe, tu es très libre, mais je ne peux pas prendre tes posts pour un fait général.

C'est respectable, sauf que faut dire ce qui est, beaucoup de mecs qui trompent leurs femmes toléreraient jamais qu'elles fassent la même chose, idem chez certaines femmes. C'est juste le comble de l'hypocrisie. L'infidélité n'est pas le fait que de gens incompris et désespérés.

Il y a des gens malheureux, qui ne sentent pas partir (c'est pas glorieux, mais c'est pas affreux..) et ceux qui sont des boulets par définitions.

Je comprend ton point de vu, mais franchement, pense pas que tous les mecs pensent comme toi, ni les filles d'ailleurs.

N'exagère rien, vouloir de la fidélité de signifie pas enfermer...justement, c'est se dire "je suis libre de la faire, mais je ne le fais".

Moi je ne trompe pas mon mec, parce que ça lui ferais de la peine, et que j'en ressens pas l'envie, il me suffit. S'il ne me suffit pas, je part, ou alors on part dans un autre genre de relation, ou lui et moi sommes libres...mais comprends que ça ne coule pas de source. Nous par exemple on a pas envie. J'aime qui me dise que je suis la plus jolie, j'aime lui dire que j'ai besoin que de lui.

Crabe, tu es très libre, mais je ne peux pas prendre tes posts pour un fait général.

C'est respectable, sauf que faut dire ce qui est, beaucoup de mecs qui trompent leurs femmes toléreraient jamais qu'elles fassent la même chose, idem chez certaines femmes. C'est juste le comble de l'hypocrisie. L'infidélité n'est pas le fait que de gens incompris et désespérés.

Il y a des gens malheureux, qui ne sentent pas partir (c'est pas glorieux, mais c'est pas affreux..) et ceux qui sont des boulets par définitions.

Ce que font ou pensent les autres n'est pas important. Je vis avec moi même 24/24, autant faire en sorte d'être en harmonie un minimum.

Vouloir de la fidélité c'est vouloir du pouvoir sur la teuch ou la bite de l'autre. Or je ne souhaite pas entrer dans une guerre de pouvoir au sein de ma relation. Donner autant de pouvoir et de sacralitée à un truc qui nous sert pisser la plupart du temps, pour moi c'est ça la perte de temps.

Le "profil" de la personne cocufiée est toujours plus ou moins le même.

Il a été constaté que ces personnes sont en manque d'assurance, d'amour-propre et craignent l'abandon (perte d'amour). De ce fait, elles adoptent un comportement puéril envers leur(s) partenaire(s) amoureux.

Une demande constante mais néanmoins implicite d'être rassurée, (re)valorisée et la surveillance extrême de l'emploi du temps de l'autre afin qu'il ne "s'échappe" pas (ne pas être abandonnée).

La/le partenaire d'une telle personne prend souvent la place, bien malgré elle/lui, d'un objet de forme quasi identique à l'objet parental (pour donner une image). Tout ceci se fait insidieusement car l'élan amoureux des premiers temps de la relation ne voit aucune objection à fournir bien être et sécurité affective à l'autre. Mais, le temps affectera ce lien particulier et le désir, notamment sexuel, aura pris une telle dimension qu'il en deviendra presque interdit ; ce qui est assez logique. La recherche d'un(e) autre partenaire sera donc nécessaire afin de pallier à une frustration grandissante.

La/le partenaire de la personne cocufiée reste cependant attaché(e) à elle car elle/il s'est engagé(e) à la protéger et c'est là que peuvent intervenir les non-dits et les mensonges qui engendrent énormément de culpabilité... de part et d'autre.

Il me semble essentiel de souligner que tous les protagonistes souffrent dans ce type de relation.

C'est, à mon sens, vouloir prendre des raccourcis de pensées bien trop lapidaires que d'estimer que l'un est plus fautif que l'autre lorsqu'une troisième personne pointe le bout de son nez dans un couple.

En toute logique, l'amour dans un couple (puisqu'il est beaucoup cité dans ce sujet) et même de façon plus générale, ne devrait pas être le comblement d'un manque.

Ex : C'est ma moitié ; Sans elle/lui, je ne suis rien, elle/il est ma raison d'être ; J'ai besoin d'elle/lui ; Elle/il me manque ; etc.

L'amour dans un couple, ce devrait être de partager ce qui nous rend heureux individuellement et non l'unique raison et l'unique quête de notre bonheur.

Se remettre en question, être honnête envers soi et se dire "Ok, j'attends des choses d'un(e) autre comme si j'étais encore un(e) enfant dépendant(e)... y a un truc qui cloche, faut que je bosse là-dessus !"

Ce n'est pas un secret de réussite, c'est une sage suggestion.

Ce que font ou pensent les autres n'est pas important. Je vis avec moi même 24/24, autant faire en sorte d'être en harmonie un minimum.

Vouloir de la fidélité c'est vouloir du pouvoir sur la teuch ou la bite de l'autre. Or je ne souhaite pas entrer dans une guerre de pouvoir au sein de ma relation. Donner autant de pouvoir et de sacralitée à un truc qui nous sert pisser la plupart du temps, pour moi c'est ça la perte de temps.

Vouloir la fidélité c'est plutôt savoir ce que l'on veut faire de ses fesses et se mettre en couple avec quelqu'un avec qui c'est compatible. La plupart du temps un caniche ne ferait pas l'amour avec un chat, même s'ils s'aiment bien, comme quelqu'un de fidèle ne ferait pas l'amour avec un libertin (Alors qu'un libertin ferait l'amour avec quelqu'un de fidèle). C'est pourquoi si le libertin feignait d'être fidèle pour avoir ou garder l'autre, ce serait un peu comme du viol car c'est de l'abus de confiance et la personne fidèle aurait refusé si elle avait su, la tromperie implique donc aussi l'abus sexuel. (Sauf si le couple n'a plus ou pas de relations sexuelles, ce qui est rarissime.)

Vouloir la fidélité c'est plutôt savoir ce que l'on veut faire de ses fesses et se mettre en couple avec quelqu'un avec qui c'est compatible. La plupart du temps un caniche ne ferait pas l'amour avec un chat, même s'ils s'aiment bien, comme quelqu'un de fidèle ne ferait pas l'amour avec un libertin (Alors qu'un libertin ferait l'amour avec quelqu'un de fidèle). C'est pourquoi si le libertin feignait d'être fidèle pour avoir ou garder l'autre, ce serait un peu comme du viol car c'est de l'abus de confiance et la personne fidèle aurait refusé si elle avait su, la tromperie implique donc aussi l'abus sexuel. (Sauf si le couple n'a plus ou pas de relations sexuelles, ce qui est rarissime.)

100% des personnes infidèles ont été fidèles... Bon courage pour ta sélection...

La fidélité est une frustation.

Qu'est ce qu'il ne faut pas lire ! un réel plaisir ! :smile2:

:D

Le "profil" de la personne cocufiée est toujours plus ou moins le même.

Il a été constaté que ces personnes sont en manque d'assurance, d'amour-propre et craignent l'abandon (perte d'amour). De ce fait, elles adoptent un comportement puéril envers leur(s) partenaire(s) amoureux.

Une demande constante mais néanmoins implicite d'être rassurée, (re)valorisée et la surveillance extrême de l'emploi du temps de l'autre afin qu'il ne "s'échappe" pas (ne pas être abandonnée).

La/le partenaire d'une telle personne prend souvent la place, bien malgré elle/lui, d'un objet de forme quasi identique à l'objet parental (pour donner une image). Tout ceci se fait insidieusement car l'élan amoureux des premiers temps de la relation ne voit aucune objection à fournir bien être et sécurité affective à l'autre. Mais, le temps affectera ce lien particulier et le désir, notamment sexuel, aura pris une telle dimension qu'il en deviendra presque interdit ; ce qui est assez logique. La recherche d'un(e) autre partenaire sera donc nécessaire afin de pallier à une frustration grandissante.

La/le partenaire de la personne cocufiée reste cependant attaché(e) à elle car elle/il s'est engagé(e) à la protéger et c'est là que peuvent intervenir les non-dits et les mensonges qui engendrent énormément de culpabilité... de part et d'autre.

Il me semble essentiel de souligner que tous les protagonistes souffrent dans ce type de relation.

C'est, à mon sens, vouloir prendre des raccourcis de pensées bien trop lapidaires que d'estimer que l'un est plus fautif que l'autre lorsqu'une troisième personne pointe le bout de son nez dans un couple.

En toute logique, l'amour dans un couple (puisqu'il est beaucoup cité dans ce sujet) et même de façon plus générale, ne devrait pas être le comblement d'un manque.

Ex : C'est ma moitié ; Sans elle/lui, je ne suis rien, elle/il est ma raison d'être ; J'ai besoin d'elle/lui ; Elle/il me manque ; etc.

L'amour dans un couple, ce devrait être de partager ce qui nous rend heureux individuellement et non l'unique raison et l'unique quête de notre bonheur.

Se remettre en question, être honnête envers soi et se dire "Ok, j'attends des choses d'un(e) autre comme si j'étais encore un(e) enfant dépendant(e)... y a un truc qui cloche, faut que je bosse là-dessus !"

Ce n'est pas un secret de réussite, c'est une sage suggestion.

Tu écris trop bien, je pense que beacoup ne comprendront pas tout...

Mais je suis assez d'accord avec beaucoup de points dont tu parles... Les gens veulent définir le ou la coupable, simplement parce que "physiquement" il aura fauté...

Alors que l'on peut faire plein d'autres choses ailleurs, qui ne sont pas sexuelles !!!

Devoir déjà s'éloigner de l'autre, lui laisser de la distance, avoir plus de peine à être en sa présence, c'est très mauvais signe sur la souffrance de celui qui est obligé de le faire...

Alors qu'en amour, on est toujours ensemble, on ne se tape pas sur le système, bien au contraire, on est en manque dès que l'autre n'est pas là...

Non pas que l'on est rien sans l'autre, mais que l'on se sent quelqu'un d'autre, quelqu'un plein d'énergie, comme-ci notre corps devenait plus agréable à vivre...

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Je ne suis pas certain qu'un homme comme celui qu'elle a décrit prennent avec lui, la vaisselle de mémé !

:p

Et sur la tête ? *sourire en coin*

C'est tout de suite plus possible... :smile2:

C'est tout de suite plus possible... :smile2:

Ah bah voilààààà...

Pour bien répondre au sujet, je pense que oui, on peut parfois éviter d'être trompé(e), avec un peu d'intuition, dans le choix d'abord du compagnon ou de la compagne (certain(e)s sont beaucoup plus tranquilles que d'autres), et par la suite par le dialogue, en l'engageant toujours, en mettant à plat, les désaccords, et même les plus petits...

Dans tous les cas, il est toujours possible d'être correct, de se séparer si on a des envie d'aller voir ailleurs, ou d'en parler peut-être que "l'autre" voudrait aussi faire de même. C'est un autre "style de vie" du couple, qui peut peut-être fonctionner.

On peut pousser très certainement quelqu'un à rompre, en ayant un caractère exécrable, en étant invivable, voire imbuvable ; mais jamais à tromper.

Les responsables restent celui ou celle qui trompe, ainsi que sa conquête (quand elle est au courant).

Si l'un subit "par amour", par peur de perdre l'autre ou de freiner son épanouissement sexuel, alors il a la place du con... jusqu'au réveil.

Certains ne se réveillent jamais, hélas, même après s'être fait largué. C'est vraiment triste.

Rester avec quelqu'un pour les enfants, ou des questions matérielles, suite à une, voire des infidélités, n'est jamais une bonne solution : perte de temps, de sa "vie d'homme ou de femme".

Quelques uns de mes amis ont été trompés, et dans 100% des cas ont soit été avertis par un tiers, soit sont tombés sur un SMS qu'ils "n'auraient pas dû lire", soit directement avertis par l'amant ou la maîtresse qui en a ras le bol de devoir partager...et dans 100% de ces cas ces messieurs dames les queutards ont supplié, pleuré, juré "sur maman" qu'ils ne recommenceraient plus jamais pourvu qu'ils ne soient pas lourdés.

Ce qui ressort toujours, c'est l'amertume, avoir été floué, trahi, les mensonges récurrents, ce manque de respect finalement ; la colère...mais l'attachement quand même.

Quand une de ces amies m'a demandé, il y a quelques temps : "Qu'est-ce que tu ferais à ma place ?", je lui ai répondu catégoriquement que je le quitterai, parce que c'est une chose rédhibitoire, pour moi.

Quand elle m'a répondu : "Oui mais je l'aime, et ça fait 15 ans que je suis avec lui, je n'ai jamais connu aucun autre homme dans ma vie...et tout allez bien, on parlait même de faire un enfant".

Je lui ai conseillé puisqu'elle n'avait jamais connu d'autres hommes, mais qu'elle tenait encore à son mari, d'explorer de nouveaux horizons tout en restant avec lui, comme ils y tenaient tous les 2.

Elle a attendu quelques mois, toujours malheureuse, et trompée au quotidien, puis l'idée a germé. Quand elle a fait part de ses envies à monsieur, et qu'elle lui a révélé qu'elle avait peut-être trouvé le "candidat idéal", en plus, celui-ci a lui-même demandé le divorce, et ça n'a pas traîné.

C'est marrant quand même...

Et c'est une chose qui se vérifie souvent : "Je te trompe dans ton dos, mais toi ne t'y avise jamais".

Le "profil" de la personne cocufiée est toujours plus ou moins le même.

Il a été constaté que ces personnes sont en manque d'assurance, d'amour-propre et craignent l'abandon (perte d'amour). De ce fait, elles adoptent un comportement puéril envers leur(s) partenaire(s) amoureux.

Une demande constante mais néanmoins implicite d'être rassurée, (re)valorisée et la surveillance extrême de l'emploi du temps de l'autre afin qu'il ne "s'échappe" pas (ne pas être abandonnée).

La/le partenaire d'une telle personne prend souvent la place, bien malgré elle/lui, d'un objet de forme quasi identique à l'objet parental (pour donner une image). Tout ceci se fait insidieusement car l'élan amoureux des premiers temps de la relation ne voit aucune objection à fournir bien être et sécurité affective à l'autre. Mais, le temps affectera ce lien particulier et le désir, notamment sexuel, aura pris une telle dimension qu'il en deviendra presque interdit ; ce qui est assez logique. La recherche d'un(e) autre partenaire sera donc nécessaire afin de pallier à une frustration grandissante.

La/le partenaire de la personne cocufiée reste cependant attaché(e) à elle car elle/il s'est engagé(e) à la protéger et c'est là que peuvent intervenir les non-dits et les mensonges qui engendrent énormément de culpabilité... de part et d'autre.

Il me semble essentiel de souligner que tous les protagonistes souffrent dans ce type de relation.

C'est, à mon sens, vouloir prendre des raccourcis de pensées bien trop lapidaires que d'estimer que l'un est plus fautif que l'autre lorsqu'une troisième personne pointe le bout de son nez dans un couple.

En toute logique, l'amour dans un couple (puisqu'il est beaucoup cité dans ce sujet) et même de façon plus générale, ne devrait pas être le comblement d'un manque.

Ex : C'est ma moitié ; Sans elle/lui, je ne suis rien, elle/il est ma raison d'être ; J'ai besoin d'elle/lui ; Elle/il me manque ; etc.

L'amour dans un couple, ce devrait être de partager ce qui nous rend heureux individuellement et non l'unique raison et l'unique quête de notre bonheur.

C'est ce que je pense aussi...d'où le manque de compassion pour ceux disent tromper parce qu'ils sont 'malheureux" et pas totalement comblé par leur partenaire.

C'est pas toujours à l'autre de donner, d'être la béquille. C'est partager des trucs, mais pas être assistante sociale.

Donc, je pense comme toi que c'est immature d'être totalement dépendant, à surveiller et à flipper ce que fait l'autre. D'un autre côté, je pense aussi que c'est immature de se trouver des excuses quand on est infidèle.

Ah bah voilààààà...

Pour bien répondre au sujet, je pense que oui, on peut parfois éviter d'être trompé(e), avec un peu d'intuition, dans le choix d'abord du compagnon ou de la compagne (certain(e)s sont beaucoup plus tranquilles que d'autres), et par la suite par le dialogue, en l'engageant toujours, en mettant à plat, les désaccords, et même les plus petits...

Dans tous les cas, il est toujours possible d'être correct, de se séparer si on a des envie d'aller voir ailleurs, ou d'en parler peut-être que "l'autre" voudrait aussi faire de même. C'est un autre "style de vie" du couple, qui peut peut-être fonctionner.

On peut pousser très certainement quelqu'un à rompre, en ayant un caractère exécrable, en étant invivable, voire imbuvable ; mais jamais à tromper.

Les responsables restent celui ou celle qui trompe, ainsi que sa conquête (quand elle est au courant).

Si l'un subit "par amour", par peur de perdre l'autre ou de freiner son épanouissement sexuel, alors il a la place du con... jusqu'au réveil.

Certains ne se réveillent jamais, hélas, même après s'être fait largué. C'est vraiment triste.

Rester avec quelqu'un pour les enfants, ou des questions matérielles, suite à une, voire des infidélités, n'est jamais une bonne solution : perte de temps, de sa "vie d'homme ou de femme".

Quelques uns de mes amis ont été trompés, et dans 100% des cas ont soit été avertis par un tiers, soit sont tombés sur un SMS qu'ils "n'auraient pas dû lire", soit directement avertis par l'amant ou la maîtresse qui en a ras le bol de devoir partager...et dans 100% de ces cas ces messieurs dames les queutards ont supplié, pleuré, juré "sur maman" qu'ils ne recommenceraient plus jamais pourvu qu'ils ne soient pas lourdés.

Ce qui ressort toujours, c'est l'amertume, avoir été floué, trahi, les mensonges récurrents, ce manque de respect finalement ; la colère...mais l'attachement quand même.

Quand une de ces amies m'a demandé, il y a quelques temps : "Qu'est-ce que tu ferais à ma place ?", je lui ai répondu catégoriquement que je le quitterai, parce que c'est une chose rédhibitoire, pour moi.

Quand elle m'a répondu : "Oui mais je l'aime, et ça fait 15 ans que je suis avec lui, je n'ai jamais connu aucun autre homme dans ma vie...et tout allez bien, on parlait même de faire un enfant".

Je lui ai conseillé puisqu'elle n'avait jamais connu d'autres hommes, mais qu'elle tenait encore à son mari, d'explorer de nouveaux horizons tout en restant avec lui, comme ils y tenaient tous les 2.

Elle a attendu quelques mois, toujours malheureuse, et trompée au quotidien, puis l'idée a germé.

Quand elle a fait part de ses envies à monsieur, et qu'elle lui a révélé qu'elle avait peut-être trouvé le "candidat idéal",

en plus, celui-ci a lui-même demandé le divorce, et ça n'a pas traîné.

C'est marrant quand même...

Et c'est une chose qui se vérifie souvent : "Je te trompe dans ton dos, mais toi ne t'y avise jamais".

Excellent, c'est tellement vrai... Genre: "si tu veux accepter, tant mieux pour moi, mais moi, jamais je n'accepterais de te partager"...

là c'est vraiment un problème d'EGO et de MÂLE !

Excellent, c'est tellement vrai... Genre: "si tu veux accepter, tant mieux pour moi, mais moi, jamais je n'accepterais de te partager"...

là c'est vraiment un problème d'EGO et de MÂLE !

Parce que la femme devient dans ce cas beaucoup moins attractive et dévouée à lui tandis qu'être lui même moins séduisant et dévoué à sa partenaire en allant voir ailleurs est moins évident à comprendre pour eux car ce n'est plus recevoir mais donner et cela les intéresse souvent beaucoup moins (à tort) mais ça peut être vrai pour les femmes aussi.

Ce sujet est unisexe... Et quand je parle d'aller ailleurs, je ne parle pas forcément d'avoir des rapports sexuels avec d'autres personnes !

Mais simplement de s'éloigner pour commencer avant de se retrouver dans les brais d'un ou d'une autre...

Pffiou sacré coco...vous n'avez pas dû vous marrer tous les jours.

Et avec le recul, vous n'avez pas la sensation d'avoir perdu un peu votre temps, avec cet homme ?

"Non, rien de rien, tatata," pardon, j'ai un peu mal au crâne, fiesta hier, mon birthday ...

Plus sérieusement, vraiment, je ne regrette rien, mes choix, même "l'échec" de notre couple, c'est la vie, on risque, mais au moins j'ai vécu un amour très fort, intense, passionnel. Il n'y a pas eu que du mauvais de sa part, et je préfère garder que le meilleur (comme mon fils)...

Et surtout pas radoter sur le passé, perdre ou gâcher ses meilleures années.

Elle a l'air aussi d'une sacrée cocotte !

Il t'en faut peu, je suis un ange à côté de certaines amies, connaissances, soeurs ...

Et de ne pas s'être ennuyée.

Grave !

Qui n'a pas connu les joies du parloir, de l'attente et des nuits de solitude ne sait pas les joy et happiness qu'il rate, amha.

Peut-être mais j'ai toujours veillé à plaire à ceux avec qui j'étais et je suis capable, sans faute de l'autre, de faire preuve d'autocritique et de me corriger ou m'améliorer si nécessaire.

En plus il m'est un peu facile de savoir à qui j'ai affaire, quand on s'intéresse aux autres avec confiance et sincérité, il est simple de voir en eux sans hostilité.

Je n'ai vraiment pas besoin d'être "la favorite" ni "l'officielle" d'un libertin, j'ai mieux à faire de ma vie, il y a des hommes bien plus séduisants que ça.

Tes choix, tes principes et valeurs sont tout aussi respectables que les miens à mes yeux, tant que tu t'y tiens.

J'ai, oui , aussi mes valeurs, ma notion "d'honneur", de fierté, juste, le sexe "exclusif", la jalousie, l'exclusivité, la possessivité n'en font pas partie.

Tant mieux pour toi si tu as mieux à faire de ta vie, mais je sens (peut-être à tort) un certain jugement de valeur négatif dans ta dernière phrase.