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Viabilité des tests de Q.I

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amissa somnium

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 774 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

La volonté, la détermination... Ce sont ces clefs là qui font la réussite.

ca me fera toujours rigoler quand j'entends une personne se vanter "j'ai 140 de QI", je lui rigole au nez... C'est de la pure grande gueule ! On fait pas ses preuves sur un papier...

L'intelligence est protéiforme et le QI ne mesure qu'une fraction de nos possibilités, et cette partie en elle même ne permet pas de présager de l'avenir, néanmoins nous ne sommes pas égaux, et d'aucuns fourniront peu pour obtenir beaucoup quand d'autre fournirons beaucoup pour obtenir peu, il en va de même avec le sport, c'est pour cela que souvent on parle volontiers de don pour cette réussite "facile", toutefois celui qui est doué au football n'est pas nécessairement mieux placé qu'un autre pour tout autre tâche.

Ce qui compte c'est d'arriver où l'on souhaite, il est également notoire qu'un type par exemple sportif, à l'esprit vif et grand ne cherchera pas à devenir basketeur, peut-être que sa passion sera la pêche, mais que si il décidait d'aller dans ce sens, il aurait indéniablement un avantage sur d'autres prétendants moins bien pourvus à la base, mais dans une certaine mesure quand on veut, on peut surmonter les obstacles, comme ces personnes qui pratiquent un handi-sport et fonct mieux que des valides non/peu sportifs.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 774 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

C'est faux. C'est d'ailleur la tous l'interet des tests de QI: pouvoir predire qui va reussir dans certaines filieres tres demandante sur le plan intellectuelle (comme par exemple la recherche en science dure, l'informatique de haut niveau, la finance, etc). Les etudes indiquent toutes qu'un fort QI est en forte correlation avec une grande reussite dans les domaines que je viens de citer. Ce qui tend a demontrer que les tests de QI mesurent bien l'intelligence.

Non, pas tout à fait, ce que mesure les tests, puisque c'est dans un temps imparti, ce sont des automatismes établis/effectifs, dit autrement et c'est un biais connu, plus on a la chance d'avoir un parcours initiatique plus on réussira au tests, que ce soit par l'école, l'environnement familial ou le plaisir de faire des épreuves psychotechniques: c'est un peu ce qui se passerait si l'on demandait de réagir en temps réel au volant virtuel d'un simulateur, un conducteur expérimenté et une personne n'ayant pas passé le permis, les réflexes priment sur la réflexion, et si intelligence il y a, c'est justement par l'art et la manière de trouver une réponse, ce qui demande une forte cogitation et donc du temps, et non point répondre du tac-o-tac ce que l'on sait, que l'on a intériorisé, sans forcément en comprendre les tenants et les aboutissants, mais juste par réponse mécanique, alors que notre novice si il avait le temps de composer son mouvement par la réflexion ferait montre certainement d'une réussite identique, la dextérité demande un entrainement qui en retour permet de réagir vite, mais ceci est indépendant des facultés intellectuelles à proprement parler.

De plus, le poulpe est réputé très intelligent, et à ma connaissance aucun n'a réussi le moindre test de QI, ce qui tend à montrer également que le test de QI est inutile quand nous ne sommes pas face à un cas pathologique, nous ne savons pas très bien ce que nous mesurons, pas plus que les électro-encéphalogrammes n'indiquent quelque chose de précis lorsque l'on a deux patients sains.

En fait dans la mesure où les test fonctionnent principalement sur un mode logico-mathématique, il n'y a rien d'étonnant que ceux qui les réussissent, s'épanouissent dans une branche qui utilise ce type de compétences, c'est comme si on faisait passer des épreuves de forces, puis que l'on constatait que les haltérophiles ou les types de la voirie réussissaient mieux que monsieur lambda dans leur tâche. Il y a des intelligences multiples!

Le souci, c'est le diagnostique. La definition du surdoue est en generale quelqu'un qui est plus intelligent que 98 ou 99% de la population (QI >135). Cela represente donc enormement de gens (bien plus que la petite centaine de "surdoues" que l'on voit a la tele et qui chialent parce que les profs ne veulent pas leur faire sautee une classe, etc.). Mais ceux qui font des tests de QI et vont voir des psy sont les surdoues qui en plus d'etre intelligent souffre d'autres maladies mentales (depression, trouble autistique, hyperactivitee, etc.). Du coup, les psy qui ne voyent que ce genre de surdoues en viennent a avoir une vision biaisee de la surdouance. Pour eux, les surdouees sont forcement "hyper-sensible".

Pour travailler parmi des personnes surdoues (dans le domaine informatique de pointes ou dans le domaine de la physique theorique), je peux vous confirmer que la plupart des personnes tres, voir extremement intelligentes, ne sont pas des hypersensibles pour autant.

Le terme surdoué est presque impropre, il vaudrait mieux parler de précocité, car ne soyons pas dupe, dans l'apprentissage/la progression qui s'essouffle avec l'âge, à l'instar du sportif, ceux qui auront pris une longueur d'avance risque fort bien de la garder toute leur vie, surtout si on a favorisé leur développement, comme le judoka ou le rugbyman qui a commencé à 6ans, difficile de lui arriver à la cheville à ses 20ans si il n'a jamais arrêté, n'importe qui élevé comme une bête de course aura un avantage sur les autres, dans son domaine de prédilection, certes le raisonnement peut s'appliquer à bien des sujets, mais il faut malgré tout un minimum de bagages pour dégager des idées dessus, impossible même au plus grand génie, de dire quelque chose sur le comportement d'un système à trois corps newtonien si il ne connait aucune des lois de Newton y compris celle de l'attraction universelle, d'un autre coté, être trop intelligent peut parfois être handicapant lorsque l'on ait entouré de gens ordinaires, imparfaits, irrationnels et limités, comment dès lors cerner ceux qui ne se comportent pas logiquement?

Sinon effectivement je pense aussi que l'hypersensibilité n'est pas spécifique aux QI élevés, car celle-ci est liée aux émotions qui peuvent être de touts sortes et suscitées par différents facteurs, tel l'apparence, le niveau social, les revenus, l'aisance, les habits, les biens matériels, un handicap, une malformation, un état de santé, etc... et sa façon d'appréhender le monde!

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 774 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

On parle seulement des surdoues qui sont allez chez le psy. Les autres sont en math Sup/Spe, hypocagne, etc.

Et les fils à papa! Car n'oublions pas le prix exorbitant pour faire une grande école.

J'ai explique le biais cognitif qui affecte les psychologues qui s'occupent des surdoues a probleme.

Comme toutes les bêtes de courses, lorsque l'on pousse trop loin la machine, au delà de son fonctionnement naturel, il apparait des troubles, comme chez les stars et autres célébrités, plus enclines a avoir des problèmes, alors qu'elles ne sont pas nécessairement précoces.

Comme Einstein, Dirac, Boltzman, Pointcarre, Feynman, Bill Gates, Mark Zukenberg, etc...?

Evariste Galois n'aura été que de passage sur cette Terre, il aura eu un trait de génie, mais ce sont ses re-découvreurs/continuateurs qui auront su développer ses travaux.

Bien sûr qu'il y a eu des génies, mais je rappelle que certains ont tout de même raté leur vie en dehors de leur passion, ou raconté des absurdités: TURIN, EINSTEIN, NEWTON, DESCARTES, CUVIER. Et que dire de ces personnes " surdouées" dans un domaine autre que leur domaine de prédilection?

Une etude avait montre qu'a moins d'avoir 125 de QI, dans certaines Universitees Americaines d'elite, en mathematique notament, il etait impossible de decrocher sa licence.

Maintenant je ne nie pas que certain, une minoritee de HQI ont des problemes mentaux. C'est notament le faite des personnes soufrant du syndrome d'Asperger. Mais la tres grande majoritee des HQI font de briallantes carrieres. C'est d'ailleurs comme cela qu'a ete construit les tests de QI. Afin de predire qui fairait carriere dans des domaines exigeants sur le plan intellectuel. C'est de cette maniere que les tests de QI sont calibres et valides.

Non les tests de QI sont né d'un besoin de caractriser des déficiences mentales, le système a été perverti pour l'utiliser chez des personnes saines.

On sait également aujourd'hui que le facteur le plus déterminant dans la réussite est le QE, le QI n'y serait que subordonné dans le meilleur des cas:

http://fr.wikipedia....3%A9motionnelle

http://www.journaldu...tionnel/1.shtml

http://le-manager-ur...de-la-reussite/

http://www.ufapec.be...e-emotionnelle/

http://www.atlantico...rps-359949.html

http://r.search.yaho...gb8uvDvSJiZgUo-

" L'intelligence émotionnelle est un concept nouveau ; son influence peut être importante voire supérieure à celle du QI dans le cours d'une vie. L'intelligence théorique n'est pas directement liée à la vie émotionnelle et un QI élevé ne met pas à l'abri des passions et des pulsions. Nombre de méfaits impulsifs et d'actes irrationnels commis par des êtres intelligents l'attestent.

L'intelligence théorique ne prépare pas l'individu à affronter les épreuves de l'existence et à saisir les opportunités qui se présentent. Bien qu'un QI élevé ne garantisse ni prospérité, ni prestige, ni bonheur, nos écoles et notre culture en font pourtant leur panacée et ignorent l'importance de

l'intelligence émotionnelle. L'aptitude émotionnelle est une méta-capacité qui détermine avec quel bonheur nous exploitons notre potentiel y compris notre intellect. Des habitudes de pensées qui stimulent notre propre productivité permettent de mener une vie plus satisfaisante et efficace. En revanche, les conflits intérieurs sabotent les facultés de concentration et la pensée claire. "

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 774 messages
If you don't want, you Kant...,
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Vous montrez la votre ignorance de ce sujet. L'intelligence est correlle a la reussite - en terme de cariere, de salaire

Je ne trouve aucune confirmation de cette hypothèse, si ce n'est celle inverse:

http://www.millionna...plus-eleve.html

http://www.millionna...plus-eleve.html

Ou de façon plus humoriste ( http://www.dorffer-p...i-42084055.html ):

Tout le monde connaît le Théorème du Salaire qui établit que les ingénieurs et les scientifiques ne peuvent JAMAIS gagner autant que les hommes d'affaires et les commerciaux. Ce théorème peut enfin se démontrer par la résolution d'une équation mathématique simple :Notre équation s'appuie sur deux postulats très connus :

Postulat N° 1 : La Connaissance c'est la Puissance

Postulat N° 2 : Le Temps c'est de l'Argent

Tout ingénieur sait que Puissance = Travail / Temps

Puisque Connaissance = Puissance et que Temps = Argent,

on a donc : Connaissance = Travail / Argent

On obtient alors facilement : Argent = Travail / Connaissance

Ainsi quand la Connaissance tend vers zéro, l'Argent tend vers l'infini Quelle que soit la valeur attribuée à Travail, cette valeur peut être très faible.

A l'inverse quand la Connaissance tend vers l'infini, l'Argent tend

alors vers zéro, même si la valeur Travail est élevée.

D'où, la conclusion évidente suivante :

Moins vous en connaissez, plus vous gagnez d'argent.

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Membre, Anarchiste épistémologique, 50ans Posté(e)
kyrilluk Membre 7 691 messages
50ans‚ Anarchiste épistémologique,
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Je ne trouve aucune confirmation de cette hypothèse, si ce n'est celle inverse:

http://www.millionna...plus-eleve.html

http://www.millionna...plus-eleve.html

Malheureusement, le lien que tu donnes n'est pas vers un article serieux mais vers un site pour faire de l'argent facile. En lisant quelques lignes il devient evident que la personne l'ayant redigee ne sait pas de quoi elle parle.

Par exemple, lorsqu'elle ecrit le fondateur de Facebook "n'a pas forcement un QI tres elevee", elle semble ignorer que Mark Zukenberg n'a jamais cache le faite qu'il faisait parti d'un classe de surdoue. D'autre part, pour integrer Havard il faut un QI de 140 au minimum. Le QI de Mark Zukenberg, Bill Gates et Jobs (ils ont tous ete teste quand ils etaient gamin) est de 160.

Sources:

New research suggests the rich may be smarter

The Scary Smart Are The Scary Rich

How much wealth is produced by high IQ people

Who Rises to the Top? Early Indicators

Citation:

Of Brainiacs and Billionaires (Psychologytoday)

To be sure, many billionaires are in the top 1 percent of brains. Mark Zuckerberg (Facebook) and Sergey Brin (Google) were each identified during adolescence by the Center for Talented Youth at Johns Hopkins University, and they attended a summer program there, which means they are in the top percentile of intellectual ability. Bill Gates is in the top 1 percent, as was Steve Jobs. Many high-profile nontechies are as well: Stefani Germanotta, a.k.a. Lady Gaga, was enrolled in the same program as Zuckerberg and Brin. Such data exist because every year over 200,000 students participate in talent searches across the country, taking the SAT in the 7th grade instead of the 11th grade. I am a research scientist at the Duke University Talent Identification Program, one of four major centers that perform such outreach.

Enfin, de nombreuses etudes montrent une correlation entre le salaire et le QI. Voir les liens que j'ai deja poste dans mes posts precedents.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 774 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Par exemple, lorsqu'elle ecrit le fondateur de Facebook "n'a pas forcement un QI tres elevee", elle semble ignorer que Mark Zukenberg n'a jamais cache le faite qu'il faisait parti d'un classe de surdoue. D'autre part, pour integrer Havard il faut un QI de 140 au minimum. Le QI de Mark Zukenberg, Bill Gates et Jobs (ils ont tous ete teste quand ils etaient gamin) est de 160.

Admettons que mes liens n'étaient pas exempts de travers, mais à la lecture des tiens, je ne suis pas pleinement convaincu non plus, reprenons:

Primo:

Un QI de 160 ça veut dire quoi:

"Steve Jobs likely had an IQ roughly 160 or above. In Walter Isaacson's biography, near the end of 4th grade Jobs was tested. Jobs said: 'I scored at the high school sophomore level.' This means he was a 4th grader performing at the 10th grade level. The average 4th grader is 9 or 10 years old and the average 10th grader is 15 or 16 years old. Using the standard mental age/chronological age x 100 = IQ formula, we can create rough boundaries. Lower bound: 15/10 x 100 = 150 IQ. Upper bound: 16/9 x 100 = 178 IQ. Average of the bounds is 164 IQ. Of course, if Jobs was a young 4th grader then his IQ would be even higher. Steve Jobs clearly had exceptional intelligence, regardless of what his exact IQ score was. This makes sense, considering that Bill Gates, the other wunderkind, said 'Software is an IQ business.'"

Ça veut dire qu'à dix ans il était précoce et avait les connaissances d'un gamin de 16ans en ce qui concerne les performances typiques des tests de QI, c'est à dire logico-mathématique, uniquement. Le résultat est extrapolé/supposé ( alleged ) identique ou supérieur à son age adulte, mais de quel droit? Si on constate qu'un enfant de 10 ans a la force physique habituelle de ceux de 16ans, je ne vois pas comment on peut préjuger qu'une fois adulte cet écart important demeurera!

Secundo:

Lorsque tu dis, mais tu n'es pas le seul, que le " top 1% des super cerveaux " est corrélé avec le " top 1% des plus hommes les plus talentueux économiquement ", tu oublies que cela ne concerne principalement que le secteur particulier des technologies de pointes et les investissements ( et encore: " The financial rewards for brains are much higher today in various occupations up and down the ladder than they were in the past." ), qui demandent effectivement des compétences en rapport avec les mathématiques, alors que cela n'est pas nécessairement vrai, aussi pertinent avec d'autres secteurs d'activités:

image.jpg

In the figure above (which includes data on 332 American billionaires), attendance at “Elite Schools” (blue) indicates top 1% in brains status. The designation of “Graduate” (red) indicates a graduate degree and likely top 1% in brains status. “Bachelors” (green) indicates college attendance. “No College” (purple) indicates no college attendance.

Tertio:

Je rappelle que les tests de QI fonctionnent relativement à une moyenne, entre autre ici Nord Américaine, c'est à dire que si la grande majorité des américains ne sont pas doués pour les mathématiques, ce qui semble être le cas ( " Yet ironically, America undervalues math and spatial skills—it is socially acceptable to be bad at math. (Not exactly the case when it comes to reading.) " ), la valeur moyenne définissant la référence risque fort d'être "basse" mais indexée à 100, comme n'importe quel autre pays! Alors que par exemple la France a autant si ce n'est plus de médailles FIELDS que les USA pourtant 5 fois plus nombreux, je n'irai pas jusqu'à dire que nous sommes 5 fois plus intelligents, mais il est fort à parier que leur niveau 100 dans les Test QI ne corresponde qu'à un niveau moindre dans les nôtres de 10 ou 20 points, ou plus?

Ce qui implique qu'un individu américain avec un QI de 160 au USA, n'aurait sans doute pas le même résultat en France, très certainement moindre, le ramenant dans les "doués", quand bien même une même personne qui passe des tests différents obtient aussi des scores différents jusqu'à 30%! ( j'ai perdu la citation et le lien )

D'ailleurs les Indiens ne sont pas en reste non plus:

" Erik Hanushek, Paul Peterson, and Ludger Woessmann examined American students who scored in the top 6 percent on the mathematics section of the Program for International Student Assessment (PISA) and compared the percentages of students from other countries who also scored at this advanced level. Most European countries have two times the percentage at the advanced level; Taiwan's population boasts almost five times the percentage at the advanced level. "

Quarto:

Enfin, dans le "top 0.01% des supers intelligences" ont trouve essentiellement des personnes des sciences ou des mathématiciens, qui eux n'ont pas de réussite économique particulière, ne sont pas de brillants hommes d'affaires, que devons nous en conclure, que la corrélation souffre d'exceptions? " Those who score above 160 are primarily the very smartest mathematicians and physicists, whose success depends to a great deal on their raw mental processing power. "

Sans compter d'autres facteurs, comme l'accès aux grandes écoles, où les parents sont prêts à tout pour que l'enfant suive un cursus noble/prestigieux, de plus il faudrait jeter un oeil à l'environnement familiale qui joue un rôle important de ces " scary smart " , tant dans la conception de la vie, que des voies déjà tracées. Et n'oublions pas le facteur chance qui intervient dans l'équation, mais qui sourira plus volontiers aux audacieux, dont le cadre de vie peut faciliter l'émergence!

Il serait également bien venu de regarder de plus près la réussite de ces "grands" hommes, n'ont-ils tout simplement pas l'intelligence d'exploiter celles d'autres plus performantes/pointues que les leurs dans un domaine poussé, et en l'occurrence de la main d'oeuvre chinoise?: " Bill Gates applied the same logic to select Ph.D.-level scientists for Microsoft Research Asia in Beijing (Friedman,2007); by administering successively more difficult IQ, mathematics, and computer-science tests, he eventually selected 20 people out of an initial pool of 2,000! "

**********************

Ne pouvant "démontrer" l'erreur commise et répandue, et qui est aussi problématique même chez les experts quant à la place véritable du QI dans la réussite ( Cf: le quotient émotionnel: QE ), j'espère au moins avoir montrer la bonne voie!

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Membre, Posté(e)
Zelig Membre 5 446 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

D'autre part, pour integrer Havard il faut un QI de 140 au minimum.

C'est totalement et ridiculement faux et j'en sais quelque chose vu que j'y ai travaillé et que mon père est professeur là-bas.

Les tests d'entrée fournis par l'université d'Harvard n'ont strictement rien à voir avec une notion aussi floue et arbitraire que le QI. Ils sont beaucoup plus pragmatiques, beaucoup plus malins aussi, et varient énormément selon les disciplines abordées. Et tout se décide, au final, durant la phase d'entretien avec les personnes et professeurs concernés.

Si Harvard finit par former autant de brillants étudiants, c'est précisément parce qu'ils ont l'intelligence de ne pas se baser sur les chiffres fournis par les tests ou même les équivalents des notes du Bac, mais sont prêts en revanche à passer et dépenser beaucoup de temps et d'argent à étudier chaque cas pris individuellement et ses réelles potentialités, du moins dès qu'ils décèlent une "anomalie fertile" (je cite un collègue). C'est cela leur secret.

Au MIT (qui crèche juste en face), la méthode n'est pas si éloignée que ça.

En revanche, se baser sur les chiffres purs avant toute chose, c'est la méthode Cambridge, c'est à dire la méthode britannique qui est une méthode sélection/ségrégation de classe sociale avant toute chose, histoire de pouvoir se débarrasser de tous les pouilleux non issus de la gentry. Certes, la méthode Cambridge permet d'optimiser un très bon niveau moyen, mais ne produit au final rien de dément non plus: il n'y a plus aucune individualité fantastique à même de se démarquer comme se qui se passe dans la Ivy League américaine, ou du moins, nettement moins. C'est d'ailleurs pour cela que dans la plupart des domaines créatifs, la LSE ou l'UCL sont devenus meilleures et nettement plus compétitives que Cambridge, parce qu'elles appliquent en partie les méthodes vues outre Atlantique.

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Membre, Anarchiste épistémologique, 50ans Posté(e)
kyrilluk Membre 7 691 messages
50ans‚ Anarchiste épistémologique,
Posté(e)

C'est totalement et ridiculement faux et j'en sais quelque chose vu que j'y ai travaillé et que mon père est professeur là-bas.

Si tu y as travaille, tu peux nous rappeller le SAT score minimum pour rentrer a Havard?

Les tests d'entrée fournis par l'université d'Harvard n'ont strictement rien à voir avec une notion aussi floue et arbitraire que le QI. Ils sont beaucoup plus pragmatiques, beaucoup plus malins aussi, et varient énormément selon les disciplines abordées.

Ils ne se basent pas uniquement sur les scores SAT. C'est un minimum. En plus ils demandent d'autres qualitees.

C'est d'ailleurs pour cela que dans la plupart des domaines créatifs, la LSE ou l'UCL sont devenus meilleures et nettement plus compétitives que Cambridge, parce qu'elles appliquent en partie les méthodes vues outre Atlantique.

J'ai etudier a UCL et je ne suis pas d'accord. Comme pour Imperial, Oxford, Cambridge ou Durham, le processus de selection y est feroce. La selection y est par dossier . La chance qu'ont ceux qui etudient a Cambridge c'est qu'au lieu d'avoir uniquement des cours en amphi, ils ont des cours en One to One.

Mais pour revenir au sujet, a partir du moment ou tu selectione sur des criteres objectifs - comme des notes - tu vas favoriser les personnes ayant un fort QI. Pour Havard, l'exception est faite pour ceux qui y entre via les voies paralleles (parce qu'un de leur parents y a fait sa licence par exemple, etc).

Modifié par kyrilluk
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Membre, 87ans Posté(e)
BenPocaCosa Membre 134 messages
Baby Forumeur‚ 87ans‚
Posté(e)

Vous n’espérez pas ! que je vous remercie? A la lecture des différents avis , sur les tests " QI "! j'ai tenté l'expérience , au vu du résultat: je n'ose plus ! me regarder dans un miroir cool.gif depuis même mon chat un Siamois me boude !! whistling1.gif vous pensez que ça se soigne ???biggrin.gifbiggrin.gif

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Membre, Posté(e)
Zelig Membre 5 446 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Si tu y as travaille, tu peux nous rappeller le SAT score minimum pour rentrer a Havard?

Ils ne se basent pas uniquement sur les scores SAT. C'est un minimum. En plus ils demandent d'autres qualitees.

Et bien tu sais, avoir un score SAT de plus de 2100, ce n'est pas très difficile. C'est une personne sur trente, c'est à dire l'équivalent, en France, d'une personne avec 13.5 de moyenne au Bac.

L'admission à Harvard ne se base pas sur cet indice, dans la mesure où le minimum demandé est en réalité assez bas et tout à fait atteignable. Ce n'est pas le vrai problème.

L'examen d'admission dépend en revanche d'un entretien beaucoup plus individualisé que ce que tu sembles croire, et varie énormément de sections en sections, et c'est cet examen ad hoc qui est vraiment élitiste.

J'ai etudier a UCL et je ne suis pas d'accord. Comme pour Imperial, Oxford, Cambridge ou Durham, le processus de selection y est feroce. La selection y est par dossier . La chance qu'ont ceux qui etudient a Cambridge c'est qu'au lieu d'avoir uniquement des cours en amphi, ils ont des cours en One to One.

Non, entrer à la UCL, c'est facile. Désolé pour toi si tu penses avoir la grosse tête après ce très modeste exploit. En revanche, entrer à Cambridge quand tu n'es pas un locuteur anglais natif généralement issu d'une classe fortunée, c'est presque impossible. Mais cela ne veut pas dire que Cambridge soit meilleure, au contraire, car les critères en question ne reposent pas sur l'intelligence ou le talent.

Mais pour revenir au sujet, a partir du moment ou tu selectione sur des criteres objectifs - comme des notes - tu vas favoriser les personnes ayant un fort QI.

Non.

Pour Havard, l'exception est faite pour ceux qui y entre via les voies paralleles (parce qu'un de leur parents y a fait sa licence par exemple, etc).

Non.

Dans la plupart des sections d'Harvard, l'examen d'entrée est grosso modo le même pour tous. Le principal problème n'est pas d'être admissible, mais de décrocher une bourse ou d'avoir des moyens financiers suffisants pour y étudier, et manifestement tu sembles confondre et amalgamer plusieurs de ces critères.

Modifié par Zelig
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Membre, Aux grands mots les grands remèdes, Posté(e)
Fafaluna Membre 7 395 messages
Aux grands mots les grands remèdes,
Posté(e)
Les etudes que je viens de te donner sont faite par des scientifiques, des economistes, en bref, des matheux, et pas des vieilles femmes ayant eu leur licence de psychologie il y a 30 ans et dont la culture mathematique se limite a faire des additions et des soustractions (j'exagere a peine).

Mais quelle fatuité! Les psys sont quand même les plus au fait concernant la surdouance et ses conséquences.

Ce n'est pas parce que côtoies des (soi disant) surdoués que tu connais leur vécu, leur parcours scolaire et surtout que tu peux faire une généralité qui viendrait te permettre de contredire à toi seul les recherches à ce sujet.

Il faut rétablir quelques truc:

- Un test de QI ne chiffre pas ton intelligence, c'est vraiment simpliste de penser cela. Chaque psy sait que si tu fais passer le même test au même gamin le résultat va changer au gré de son attention, sa fatigue, du fait qu'il connaisse les exercice. LE CHIFFRE EN LUI MEME NE VEUT RIEN DIRE.

Il permet cependant d'avoir une idée objective des compétences du gamin en le comparant à une norme.

Ainsi un psy qui utilise ce test va pouvoir détecter des retards d'apprentissages ou au contraire une précocité de l'enfant.

Le QI n'a pas vocation à autre chose.

Du reste l'idée reçue du petit surdouée bon à l'école est méga éculé. Surtout à l'école et au collège voire début lycée le par coeur est de mise.

Les enfants qui vont avoir des bonnes notes sont ceux qui vont mettre ce que le prof attend: la brillance, la créativité, le génie n'est pas de mise.

Alors ce n'est guère étonnant que beaucoup de surdoués soient en échec scolaire. Cela peut être dû à un décalage qu'il ressentent par rapport aux autres, à l'ennuie face aux cours. Sans compter leur facilité qui va leur permettre de glander tout en ayant les résultats "juste ce qu'il faut" et passer inaperçu, ça il y en a plein!

Bref dire que ceux qui ont de bonnes notes ont les meilleurs QI est d'une simplicité crasse. Si on faisait passer dans une classe donné des tests aux petiots il y aurait des surprises.

Hé bien sûr cela ne détermine pas leur salaire, leur bonheur et leur santé mdr! On dirait vraiment que tu parles du surhomme là.

Ca dépend de tant de paramètres, quelque soit ton QI.

Modifié par Fafaluna
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Membre, Délinquant du forum, Posté(e)
Badboy_ Membre 3 158 messages
Délinquant du forum,
Posté(e)

L'intelligence est protéiforme et le QI ne mesure qu'une fraction de nos possibilités, et cette partie en elle même ne permet pas de présager de l'avenir, néanmoins nous ne sommes pas égaux, et d'aucuns fourniront peu pour obtenir beaucoup quand d'autre fournirons beaucoup pour obtenir peu, il en va de même avec le sport, c'est pour cela que souvent on parle volontiers de don pour cette réussite "facile", toutefois celui qui est doué au football n'est pas nécessairement mieux placé qu'un autre pour tout autre tâche.

Ce qui compte c'est d'arriver où l'on souhaite, il est également notoire qu'un type par exemple sportif, à l'esprit vif et grand ne cherchera pas à devenir basketeur, peut-être que sa passion sera la pêche, mais que si il décidait d'aller dans ce sens, il aurait indéniablement un avantage sur d'autres prétendants moins bien pourvus à la base, mais dans une certaine mesure quand on veut, on peut surmonter les obstacles, comme ces personnes qui pratiquent un handi-sport et fonct mieux que des valides non/peu sportifs.

Tout à fait ! Je suis d'accord avec ça. On peut avoir des prédispositions, c'est indéniable.

Mais "QI" ça me revoit l'image d'un chiffre...

Alors je renie pas que ça peut être un indicatif. Comme quelqu'un qui démontrerait sa capacité à soulever 130kg en développé couché.

Mais là où ça coince, je pense que malgré les facilités, tout se travaille. La force, la condition physique, mais également les capacités intellectuelles, ça se travaille tout bêtement.

Faire passer un test de QI papier n'a absolument rien de révélateur. Soit il échoue, parce qu'il n'a pas l'habitude, soit réussit parce qu'il s'est entrainé aux suites logiques, aux sudoku, ou il joue régulièrement aux échecs. Ya plein de façons d'exercer ses facultés cérébrales.

Modifié par Badboy_
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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 774 messages
If you don't want, you Kant...,
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@Kyrilluk

Je vois que tu n'as pas voulu répondre à mes objections, ce n'est pas grave, mais je voudrais rajouter une chose, dont je pense tu n'as peut-être pas fait le lien, certaines études montrent aussi des différences de QI entre hommes et femmes, mais aussi suivant l'ethnie/la couleur de peau, alors soit tu continues sur ta lancée en acceptant aussi les autres résultats corollaires, soit tu prends le QI pour ce qu'il est, un outil avant tout de diagnostic pour les gens avec des difficultés cognitives.

Je vais même te dire que j'ai l'un de mes enfants qui a été évalué, par la maman, comme "surdoué"/précoce, et bien que je l'aime, il a quelques difficultés à comprendre des choses qui sont pour beaucoup naturelles/instinctives, il est très doué pour des "épreuves" de type scolaire/test/énigme, mais à coté/en décalage pour les choses de la vie réelle, qui pourtant font appel parfois aux mêmes raisonnements, sans compter son immaturité. Comme je lui dis souvent, il fonctionne comme un pépé au volant d'une Ferrari, avec son cerveau j'aurai pu faire de bien plus grandes choses, j'aurai su l'exploiter pleinement, alors qu'il n'en est pas capable ( pour l'instant ). Et je crois même que ce "don" l'handicape plus qu'il ne lui rend service, ce n'est donc pas un cadeau de la nature dans son cas. Peu importe le score qu'il a, ce que je vois c'est qu'il n'arrive pas à s'adapter correctement au quotidien, et ça risque de lui pourrir la vie un moment, car ce qui compte vraiment, c'est d'être le plus épanoui possible dans la vie, pas d'être "intelligent"!

Je me considère comme n'étant pas intelligent, je fais avec les moyens en ma possession, une réflexion lente mais poussée et une mémoire faiblarde, et j'ai la vague impression que c'est souvent mieux que ceux qui sont soit-disant intelligents, la fable du lièvre et de la tortue, version cognitive!

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 774 messages
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Il faut rétablir quelques truc:

- Un test de QI ne chiffre pas ton intelligence, c'est vraiment simpliste de penser cela. Chaque psy sait que si tu fais passer le même test au même gamin le résultat va changer au gré de son attention, sa fatigue, du fait qu'il connaisse les exercice. LE CHIFFRE EN LUI MEME NE VEUT RIEN DIRE.

Il permet cependant d'avoir une idée objective des compétences du gamin en le comparant à une norme.

Ainsi un psy qui utilise ce test va pouvoir détecter des retards d'apprentissages ou au contraire une précocité de l'enfant.

Le QI n'a pas vocation à autre chose.

( http://www.reseaupsychologues.eu/Des-psychologues-s-interrogent-sur-le-QI-et-certains-de-ses-usages_a570.html )

" On observe, en effet, une attente sociale de plus en plus forte visant à faire évaluer et caractériser par les psychologues les capacités mentales d’un être humain (et particulièrement celles d’un enfant) uniquement par un chiffre. Ces demandes et leurs réponses raccourcies reposent sur une croyance qu’elles renforcent : le Q.I. serait une « mesure » aussi élémentaire qu’un poids de naissance ou qu’un taux de glycémie sanguine.

Or, le QI est l’expression d’un classement par rang à différentes épreuves. Un sujet moyen idéal se classe avec un QI égal à 100. Il serait absurde de dire qu’avec un QI de 120, on est « deux fois plus » intelligent qu’avec un QI de 60. De même dans une course, la durée de course du 50ème n’est pas la moitié de celle du 100ème, ni le double de celle du premier.

Avec la conviction qu’un QI est une mesure simple, un public fragilisé tente de trouver des principes explicatifs aux difficultés et obstacles qu’il rencontre. Un Q.I. bas ou élevé devient alors la cause unique de difficultés pourtant complexes. Cet indice dirige des parents en désarroi vers des solutions inappropriées et caricaturales, alors que des analyses psychologiques approfondies pourraient fournir une aide pertinente et efficace.

De telles demandes, émanant la plupart du temps des familles elles-mêmes, mais aussi d’organismes comme d’institutions publiques ou privées qui imposent des évaluations intellectuelles, s’appuient le plus souvent sur une conception réductrice et dépassée de l’intelligence, considérée comme unidimensionnelle, statique et facilement mesurable. Avec parallèlement l’idée fausse que cette « intelligence » est seule déterminante dans les difficultés qu’un enfant peut présenter à un moment de son histoire.

Un Q.I. n’est ni une fatalité, ni un destin.

1. La représentation sociale du Q.I. dans la société (c’est-à-dire la connaissance relative que l’opinion publique a de la notion de quotient d’intelligence) repose sur une conception qui a maintenant près d’un siècle. Elle ne prend pas en compte les nombreuses recherches qui ont considérablement enrichi le domaine de la mesure en psychologie - et principalement celui de l’évaluation de l’intelligence. Plusieurs indices permettent aujourd’hui d’apprécier les expressions et le fonctionnement de l’intelligence et de la pensée. Les observations cliniques et les travaux les plus récents témoignent ainsi d’une intelligence propre à chacun, qui prend des formes diverses et porte en elle des possibilités d’évolution. Il est connu que le chiffre de Q.I. est indissociable du test et du modèle théorique qui servent à son élaboration et à son calcul. Certains sujets peuvent ainsi montrer de grands écarts dans les compétences intellectuelles selon la démarche évaluative utilisée. De bonnes valeurs de corrélation entre des épreuves n’impliquent pas automatiquement à l’échelle individuelle des résultats identiques ou similaires et les résultats d’une évaluation intellectuelle sont susceptibles de varier chez une même personne selon le test utilisé. On constate un écart considérable entre la règle générale concernant le groupe ou l’échantillon de référence et son application au sujet toujours singulier. Dans certains cas, il est même nécessaire de pratiquer deux épreuves globales de développement intellectuel pour apprécier finement, dans des modalités différentes, le fonctionnement mental d’un enfant.

Si la grande majorité des psychologues accède aujourd’hui à ces connaissances fondamentales, il en est tout autrement des autres professionnels de la santé, de l’éducation ou du social, et a fortiori, du grand public.

2. Les données chiffrées tirées d’un test, qu’il s’agisse de Q.I. ou du rang obtenu par le sujet dans un échantillon de référence, ne sont pas un but en soi. Elles représentent le point de départ d’hypothèses et d’investigations et doivent être confrontées aux autres informations fournies par l’examen psychologique approfondi (observations qualitatives et cliniques, conditions de vie familiale, culturelle et éducative de l’enfant, investigations complémentaires, fonctionnement de la personnalité, etc.). Elles permettent de rendre compte de la présence et de la qualité de processus de pensée propres à chacun, d’en dégager les forces et les faiblesses. Seule la mise en relation des différentes données psychologiques aident à construire une interprétation cohérente et dynamique du fonctionnement mental. C’est la convergence des signes et des indices qui donne ensuite du sens à la démarche d’examen. Le psychologue peut alors en communiquer la synthèse sous la forme appropriée à ceux qui le consultent. L’énoncé isolé d’un chiffre quelconque, voire d’une série d’indices ou de moyennes, n’a, à lui seul, aucune signification. Le Q.I. est une écriture condensée et signifiante dont l’interprétation nécessite une formation clinique solide et une connaissance experte de la méthode utilisée. Chaque psychologue est personnellement touché dans son identité professionnelle quand il est confronté à des utilisations simplificatrices et restrictives de ces notions.

3. Les démarches évaluatives en Sciences humaines, et notamment en Psychologie, se basent sur des calculs de statistiques et de probabilités de plus en plus précis et performants. Le recours à des modèles mathématiques n’élimine pas l’approximation des mesures. Le calcul des marges d’erreurs et des intervalles de confiance, le recours de plus en plus fréquent à des fourchettes de valeurs, la mise en garde même et le rappel des éditeurs de tests psychologiques pour une utilisation réfléchie des données chiffrées, invitent tous les psychologues à l’usage prudent, raisonné et maîtrisé des résultats. La connaissance des principes de construction, des qualités métriques et des limites interprétatives des épreuves d’évaluation psychologique est une condition première à leur pratique éclairée. Les épreuves sont de remarquables outils de mesure et d’investigation si leur usage est conduit avec rigueur, sens clinique, réflexion critique et déontologie. Les résultats et conclusions qui en sont issus reflètent ces exigences et leur transmission aux personnes en tient nécessairement compte.

4. Plus directement, ces réserves et rappels de prudence amènent certains psychologues à ne pas communiquer un Q.I. Il peut s’agir de refus occasionnels car les conditions de l’examen psychologique ne leur paraissent pas satisfaisantes, ou d’une position permanente : un certain nombre de professionnels craint à juste titre la surinterprétation des résultats, les utilisations réductionnistes ou les exploitations administratives et sociales d’un Q.I. bas, élevé ou même dans la moyenne. Ces réserves éthiques sont respectables et doivent être reconnues, surtout si les destinataires ou les commanditaires ne présentent pas toutes les garanties d’une utilisation adaptée et appropriée des informations communiquées.

La « révélation » du QI de leur enfant est, pour la plupart des parents, le début d’un malentendu ou d’une obnubilation qui masque durablement la démarche d’interrogation et d’analyse qui les a conduits à la consultation psychologique. Que penser de cet argument qui prend le prétexte de la transparence et du droit d’accès de chacun à son « dossier » pour délivrer sans réserve ni scrupule des informations chiffrées dont la signification complexe échappe au plus grand nombre ?

L’annonce du Q.I. à l’enfant et aux parents a des implications profondes et pose une vraie question morale et déontologique dont les psychologues doivent absolument évaluer les conséquences. Il leur faut en débattre.

5. Au départ animés, on l’espère, d’un souci de clarification, certains médias se sont emparés de la notion de Q.I. (avec, il faut vivement le regretter, la participation maladroite ou même la complicité de quelques professionnels) et ont fait exprimer à des tests bien autre chose qu’ils ne le peuvent, bien plus qu’ils ne le permettent. L’illusion simplificatrice des nombres conduit à des malentendus majeurs dont les enfants peuvent parfois pâtir durablement. Trop largement assimilée à un exercice simple et banal, l’évaluation du développement et du fonctionnement intellectuels est pourtant un acte psychologique majeur qui prend toute sa valeur dans une démarche professionnelle d’ensemble, impliquant la demande initiale, la dynamique individuelle et familiale, les manifestations psychologiques et comportementales ainsi que la part subjective et intime du sujet. Les implications de cette investigation peuvent être importantes pour l’enfant et sa famille sur le plan personnel, narcissique et même identitaire.

L’évaluation d’un QI et sa signification se situent bien au-delà des marges étroites dans

lesquelles on tend à les confiner. "

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 774 messages
If you don't want, you Kant...,
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Tout à fait ! Je suis d'accord avec ça. On peut avoir des prédispositions, c'est indéniable.

Mais "QI" ça me revoit l'image d'un chiffre...

Alors je renie pas que ça peut être un indicatif. Comme quelqu'un qui démontrerait sa capacité à soulever 130kg en développé couché.

Mais là où ça coince, je pense que malgré les facilités, tout se travaille. La force, la condition physique, mais également les capacités intellectuelles, ça se travaille tout bêtement.

Faire passer un test de QI papier n'a absolument rien de révélateur. Soit il échoue, parce qu'il n'a pas l'habitude, soit réussit parce qu'il s'est entrainé aux suites logiques, aux sudoku, ou il joue régulièrement aux échecs. Ya plein de façons d'exercer ses facultés cérébrales.

Je suis également d'accord, y compris sur la motivation que tu avais précédemment soulevée!

Il existe très certainement des gens qui aurait un fort QI, mais qui vivent simplement, quand d'autres ont moins, mais avec une détermination sans faille, ils arriveront à faire des choses d'extraordinaires.

******************

D'ailleurs, il serait bon de se demander pourquoi les ricains ont plus de milliardaires et de supers cerveaux affichés, alors qu'on peut subodorer sans risque, que dans les autres pays, ou au sein de l'Europe, nous avons également des esprits très brillants, mais moins de réussites ( financières ) individuelles, médiatisées ou pas.

Je pense tout simplement que c'est l'état d'esprit de ce grand pays, qui de plus a trouvé la recette qui permet à celui qui le souhaite ardemment de réussir, ce qui a été vrai aussi en France à une autre époque, celle allant des lumières à l'époque moderne, avant que justement la politique économiste agressive américaine ne change la donne! ( sans rentrer dans des explications plus détaillées, plus nuancées )

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Membre, 110ans Posté(e)
Encéphale Membre 4 476 messages
Baby Forumeur‚ 110ans‚
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Hé bien sûr cela ne détermine pas leur salaire, leur bonheur et leur santé mdr! On dirait vraiment que tu parles du surhomme là.

Ca dépend de tant de paramètres, quelque soit ton QI.

Ce n'est pas ce qu'il dit, il dit qu'il y a des corrélations entre QI et salaire/bonheur/santé/réussite des études supérieurs pas que c'est l'unique déterminant. Donc, si je m'en tient à ce que vous dites (quand je dit vous je parles au autre contradicteur également)une personnes avec 100 de QI a autant de chance de réussir ses études supérieurs qu'une personne avec 150 de QI? Le QI moyen ne varie pas selon le statut social et/ou la profession ?

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Membre, Délinquant du forum, Posté(e)
Badboy_ Membre 3 158 messages
Délinquant du forum,
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Je suis également d'accord, y compris sur la motivation que tu avais précédemment soulevée!

Il existe très certainement des gens qui aurait un fort QI, mais qui vivent simplement, quand d'autres ont moins, mais avec une détermination sans faille, ils arriveront à faire des choses d'extraordinaires.

******************

D'ailleurs, il serait bon de se demander pourquoi les ricains ont plus de milliardaires et de supers cerveaux affichés, alors qu'on peut subodorer sans risque, que dans les autres pays, ou au sein de l'Europe, nous avons également des esprits très brillants, mais moins de réussites ( financières ) individuelles, médiatisées ou pas.

Je pense tout simplement que c'est l'état d'esprit de ce grand pays, qui de plus a trouvé la recette qui permet à celui qui le souhaite ardemment de réussir, ce qui a été vrai aussi en France à une autre époque, celle allant des lumières à l'époque moderne, avant que justement la politique économiste agressive américaine ne change la donne! ( sans rentrer dans des explications plus détaillées, plus nuancées )

Je pense en effet que c'est la motivation qui détermine tout. Après, l'argent n'est pas forcément le but. Oui avoir un bon métier, un bon salaire rime forcément avec réussite sociale.

Mais la vraie réussite sociale, c'est d'etre heureux par rapport aux choix qu'on fait.

Je connais des éboueurs par exemple, bah ils sont parfaitement heureux, quand je parle avec eux, ils sont loin d'être cons...

Le fait qu'il existe des milliardaires qui renvoient l'image d'avoir que 2 neuronnes... Je pense que celui qui est parti de rien, qui arrive milliardaire, il démontre une réussite sans précédent, un certain sens de la stratégie et donc d'intelligence (avec un bon facteur chance aussi).

Mais ensuite, quand on se rend compte qu'avec du pognon, on a le pouvoir de faire la pluie et le beau temps, ça peut corrompre n'importe quel esprit de se sentir tout puissant et intouchable.

Je pense que c'est rentrer dans un autre sujet.

Modifié par Badboy_
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Membre, Anarchiste épistémologique, 50ans Posté(e)
kyrilluk Membre 7 691 messages
50ans‚ Anarchiste épistémologique,
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Et bien tu sais, avoir un score SAT de plus de 2100, ce n'est pas très difficile. C'est une personne sur trente, c'est à dire l'équivalent, en France, d'une personne avec 13.5 de moyenne au Bac.

L'admission à Harvard ne se base pas sur cet indice, dans la mesure où le minimum demandé est en réalité assez bas et tout à fait atteignable. Ce n'est pas le vrai problème.

[/Quote]

Non, c'est faux. Deja d'une il ne s'agit pas d'un score SAT de 2100 mais 2255. C'est a dire qu'il faut:

Critical Reading: 750

Math: 750

Writing: 755

Maintenant si tu regardes en pourcentile ce que cela donne, on arrive non pas a 1 personne sur 30 comme tu l'ecris, mais a 2 personnes sur 100!! Donc non, n'importe qui ne peut atteindre - par definition - ce genre de resultats. D'autre part, en plus de ce critere deja drastique, ils utilisent d'autres criteres plus subjectifs (ce qui controversial etant donne que certains commentateur font etat d'un racisme envers les asiatiques dans le processus de recrutement).

Tu peux en apprendre plus sur ce lien entre Intelligence et reussite Universitaire et financiere en lisant cet article: Investigating America's elite: Cognitive ability, education, and sex differences

Non, entrer à la UCL, c'est facile. Désolé pour toi si tu penses avoir la grosse tête après ce très modeste exploit.

Vu ton ignorance sur ce qui se passe reellement a Harvard (que tu pretend connaitre) , je ne m'attend pas a ce que tu connaisses veritablement le systeme Anglais. Ce qui est vrai c'est que - tout depends aussi de la section que l'on choisie - entrer a Cambridge/Oxford est plus difficile qu'entrer a UCL. C'est indeniable.

Ce qui est bizard c'est que tu crois que le systeme de Cambrige est seulement base sur des criteres objectifs comme les notes (ce qui a tes yeux est une maniere de discriminer contre les pauvres). Ce n'est absolument pas le cas. Comme a Harvard, les postulants ont un entretien ou l'on verifie leur motivation, on prend en compte leur background, etc. Si tu desires t'informer sur la question, voici les liens: So who is good enough to get into Cambridge ou le site officiel d'admission a Cambrige.

En revanche, entrer à Cambridge quand tu n'es pas un locuteur anglais natif généralement issu d'une classe fortunée, c'est presque impossible. Mais cela ne veut pas dire que Cambridge soit meilleure, au contraire, car les critères en question ne reposent pas sur l'intelligence ou le talent.

Commentaire qui suinte l'ignorance. Ce n'est absolument pas vrai. Voir les liens plus haut.

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Membre, Posté(e)
Zelig Membre 5 446 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Non, c'est faux. Deja d'une il ne s'agit pas d'un score SAT de 2100 mais 2255.

NON.

Tu n'as rien compris même à tes liens alors comment continuer?

2255, c'est le score moyen des étudiants qui sont pris. Mais le seuil minimal requis est en réalité bien plus faible, preuve que ce n'est pas sur ce critère-là que se fait vraiment la sélection.

En réalité, ils acceptent de nombreux cas qui ont des scores bien plus faibles (dans le cas de la HGSD, le seuil est même à 1800), du moins si l'entretien se passe bien.

A partir de là, tout ton argumentaire est faux. Quant à Cambridge et Oxford, j'ai suffisamment soupé de leurs concours d'entrée à la noix pour avoir une idée de comment cela se passe vraiment [Non, ce n'était pas pour entrer là-bas, c'était dans le cadre de négociations sur les échanges universitaires européens]. Les responsables de Cambridge étaient tout simplement odieux et totalement rétrogrades, et ne voulaient pas accepter même des étudiants issus de l'ENS ou Polytechnique qui pourtant étaient accueillis à bras ouvert dans la Ivy League. A Oxford, c'est heureusement un peu différent.

Et pour revenir au QI, c'est un critère trop flou dont la scientificité est souvent remise en doute. Avoir un haut score ne démontre par que tu es intelligent, mais juste que tu sais très bien passer des tests de QI ce qui témoigne d'une logique entièrement circulaire.

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Membre, Anarchiste épistémologique, 50ans Posté(e)
kyrilluk Membre 7 691 messages
50ans‚ Anarchiste épistémologique,
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Primo:

Un QI de 160 ça veut dire quoi:

Ça veut dire qu'à dix ans il était précoce et avait les connaissances d'un gamin de 16ans en ce qui concerne les performances typiques des tests de QI, c'est à dire logico-mathématique, uniquement. Le résultat est extrapolé/supposé ( alleged ) identique ou supérieur à son age adulte, mais de quel droit? Si on constate qu'un enfant de 10 ans a la force physique habituelle de ceux de 16ans, je ne vois pas comment on peut préjuger qu'une fois adulte cet écart important demeurera!

L'intelligence est plutot statique au cours d'une vie (a moins d'avoir un gros pepin du genre accident cardio-vasculaire, depression, drogue, etc). D'autre part, en ce qui concerne ces individus, leur passe montre qu'ils ont une vie intellectuel intense, bien plus intense que la plupart des gens. D'autre part, tous les Americains passent un test en terminal qui est fortement correlle avec le QI. C'est la raison pour laquelle il est si facile de connaitre le QI de tous le monde (y compris des presidents).

Secundo:

Lorsque tu dis, mais tu n'es pas le seul, que le " top 1% des super cerveaux " est corrélé avec le " top 1% des plus hommes les plus talentueux économiquement ", tu oublies que cela ne concerne principalement que le secteur particulier des technologies de pointes et les investissements ( et encore: " The financial rewards for brains are much higher today in various occupations up and down the ladder than they were in the past." ), qui demandent effectivement des compétences en rapport avec les mathématiques, alors que cela n'est pas nécessairement vrai, aussi pertinent avec d'autres secteurs d'activités:

image.jpg

In the figure above (which includes data on 332 American billionaires), attendance at “Elite Schools” (blue) indicates top 1% in brains status. The designation of “Graduate” (red) indicates a graduate degree and likely top 1% in brains status. “Bachelors” (green) indicates college attendance. “No College” (purple) indicates no college attendance.

Tu as tout a fait raison. Mais meme parmi ces autres activitees, apprendre rapidement est un atout. Or il se trouve que les personnes ayant un haut QI ont en moyenne une vitesse d'apprentissage plus haute que ceux ayant un faible QI.

Tertio:

Je rappelle que les tests de QI fonctionnent relativement à une moyenne, entre autre ici Nord Américaine.

La difference moyenne d'intelligence entre les Americains et les Francais n'est pas - Dieu merci - de 20 points! Et ensuite, meme dans nos grandes societees, les dirigeants ne sont pas necessairements francais.

Quarto:

Enfin, dans le "top 0.01% des supers intelligences" ont trouve essentiellement des personnes des sciences ou des mathématiciens, qui eux n'ont pas de réussite économique particulière, ne sont pas de brillants hommes d'affaires, que devons nous en conclure, que la corrélation souffre d'exceptions? " Those who score above 160 are primarily the very smartest mathematicians and physicists, whose success depends to a great deal on their raw mental processing power. "

La reussite est relative. Pour les mathematiciens/physiciens/etc cela va se voir sur leur fiche de paye ainsi que sur la qualite de leur recherche.

Sans compter d'autres facteurs, comme l'accès aux grandes écoles, où les parents sont prêts à tout pour que l'enfant suive un cursus noble/prestigieux, de plus il faudrait jeter un oeil à l'environnement familiale qui joue un rôle important de ces " scary smart " , tant dans la conception de la vie, que des voies déjà tracées. Et n'oublions pas le facteur chance qui intervient dans l'équation, mais qui sourira plus volontiers aux audacieux, dont le cadre de vie peut faciliter l'émergence!

Ne pas non plus oublier que la forte intelligence est un trait heritable. C'est a dire que si tes parents sont intelligents, il y a de grande chance qu'ils gagnent plutot bien leur vie, et donc de grande chance qu'ils puissent se permettre de t'envoyer en grande ecole. Rappelle -toi le graphique que tu as mis plus haut: les personnes intelligentes ont un salaire plus elevee, surtout si elles travaillent dans les domaines de la technologie ou de la finance.

Il serait également bien venu de regarder de plus près la réussite de ces "grands" hommes, n'ont-ils tout simplement pas l'intelligence d'exploiter celles d'autres plus performantes/pointues que les leurs dans un domaine poussé, et en l'occurrence de la main d'oeuvre chinoise?: " Bill Gates applied the same logic to select Ph.D.-level scientists for Microsoft Research Asia in Beijing (Friedman,2007); by administering successively more difficult IQ, mathematics, and computer-science tests, he eventually selected 20 people out of an initial pool of 2,000! "

Ce qui refute ton idee d'intelligence emotionelle (concept non verifiable scientifiquement par ailleur). Bill Gate, de meme que Mark Zukenberg etaient des durs, de vrais trous du cul et pourtant ils ont plutot bien reussi, non?whistling1.gif

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