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De l'utilisation du minoritarisme comme dogme politique

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Savonarol

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Beaucoup d'homme se faisaient bouffer par leur femmes. Certainement au moins autant que de femmes qui se faisaient bouffer par les hommes. Et à mon avis, un peu plus. Car les hommes étaient très occupés par leur travail en entreprise, à une époque où les 45h par semaine aurait été un rêve.

Mais bien sur. Les pauvres hommes qui violaient leurs femmes parce qu'elles les bouffaient. Je vais pleurer.

Et comme le dit mon père, qui adore faire les courses : "Celui qui a le pouvoir, c'est celui qui détermine ce qu'on fait avec l'argent. Pas celui qui apporte le fric à la maison".

C'est facile à dire ça quand on est celui qui apporte le fric à la maison et qui dont, en réalité a le véritable pouvoir.

"Nan mais en fait je l'ai pas, c'est toi qui l'a car tu détermines ce qu'on en fait".

ça s'appelle déléguer, mais le véritable pouvoir reste celui qui le rapporte car il peut arrêter.

Je t'affirme que c'était une très faible minorité, et qu'on a construit en "image" et en préjugé, pour faire peur, le cliché de la femme exploitée par un homme qui s'en foutait de sa gueule. La politique a toujours usée de cliché et d'images pour propager des préjugés, mais avec beaucoup plus d'efficacité à l'époque qu'aujourd'hui. Puisqu'on a appris à s'en méfier.

Je t'affirme que, comme de tout temps, la majeur partie des hommes aiment leur femme et leur enfants, les respectaient et travaillaient dur pour protéger leur petite famille, et leur permettre de s'épanouir.

ça c'était la réalité quotidienne de la majorité des foyers.

Et c'est pourquoi aujourd'hui encore les femmes agressées sexuellement sont presque aussi nombreuses en France que les autres, bien évidemment.

Connerie: la majeure partie des hommes aiment leurs femmes et enfants, clairement, en revanche, le respect était une notion bien différente à l'époque. Il impliquait soumission de la part de la femme et acceptation des divers désirs de l'homme.

Je ne dis pas que c'était bien. Mais je t'affirme que tout était fait pour que les femmes ai un pouvoir important au sein de leur foyer.

Faux. C'était un simple pouvoir délégué, donc un pouvoir fantôche.

Si tu cherches réellement à ce que les femmes ai plus de pouvoir, réfléchis sérieusement à la réalité. Est-ce qu'elles ont réellement plus de pouvoir maintenant ?

Des milliers de fois plus: l'indépendance n'a aucun prix.

Aujourd'hui, ce rôle est devenu méprisable et méprisé. C'est le féminisme qui a construit ça, pour des raisons politiques.

Mais à l'époque il était très valorisé.

Avoir des enfants bien élevé, avoir une maisons accueillante, un petit cocon bien entretenu pour recevoir la famille ou des amis, savoir faire une bonne cuisine c'était extrêmement valorisé.

Le fait qu'être soumise et dominée soit valorisé ne signifie pas que ce soit une bonne chose.

évidemment que la femme soumise et dépendante de l'homme était valorisée, mais ça ne signifie aucunement que c'était une bonne chose. La valorisation n'a rien à voir avec l'égalité, et dans le monde d'autrefois, la femme n'était rien de plus qu'un objet entièrement dépendant des hommes (son père au début, son mari ensuite, son fils à la fin si le mari mourrait).

C'est facile de dire que les femmes avaient le pouvoir quand on sait en réalité qu'elle n'avait le pouvoir que celui qu'on leur accordait. Mais ça pue.

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Membre, Aux grands mots les grands remèdes, Posté(e)
Fafaluna Membre 7 395 messages
Aux grands mots les grands remèdes,
Posté(e)

La faute est quand même dépendante de la volonté. Les femmes ont été instrumentalisée, puisqu'elles n'ont pas eu le choix. wink1.gif

La faute reviens à ceux qui on orchestré cette politique.

Mais oui. Il serait temps un jour de devenir adulte.

Si tu met deux fois plus de personne au travail dans les entreprises, sans augmenter la consommation. Tu crée du chômage.

C'est mécanique, et c'est exactement ce qui était recherché par ceux qui ont orchestré cette politique : diminuer le coût de la main d'œuvre

.

Bon bah pour les machos qui pensent cela, la solution est trouvée: ils arrêtent de bosser. Cela rendra service aux chomeurs si si.

Comme elles travaillaient réellement, même si ça n'était pas en entreprise, le fait qu'elle ne fournisse plus ce travail à créé un manque de mains d'œuvre.

S'occuper des enfants, faire le ménage, faire le psy, aider les autres à se trouver un travail (la vie sociale des femmes entre elles)... Tout ça a dû être comblé par des emplois salariés. Exercée majoritairement par des femmes d'ailleurs.

Et un homme ne peut pas le faire? Cette tache tellement valorisée...

Plutôt que de s'occuper de leur enfants et de leur ménage, elle font celui des autres et enrichissent au passage actionnaires de leur entreprise et surtout l'état. Alors qu'avant elles étaient seule bénéficiaires de leur travail.

Ah parce que une femme qui travaille ne s'occupe que d'enfants ou de ménage?

Question pas si con si tu avais creusé. Mais réponse con parce que tu as refusé de creuser.

Pas besoin de creuser, le fond est déjà atteint.

Dans les faits, ça a été ça. Dans la réalité du "combat", les féministes ont convaincu les femmes de l'époque, qui étaient très contentes d'être au foyer, qu'elles étaient des merdes asservies au hommes si elles ne travaillaient pas et ne devenait pas "indépendante". (C'est à dire plutôt, dépendante des entreprises, et pas du foyer qu'elle construisait avec leur mari)

Les féministes ont dit aux femmes qu'elles avaient les capacités de s'élever socialement, de devenir prof, directrice, journalistes et j'en passe.

Je comprend le vœux pieux. Mais moi je te parle de la réalité.

Puisque 99% des femmes étaient au foyer, dans les faits, le féminisme n'a fait que pousser les femmes au travail.

ET si on regarde le résultat, aujourd'hui les femmes au foyer sont rarissimes.

Parce qu'elle ont le choix. Tant mieux non?

Je pense qu'on peut clairement dire que c'est le féminisme qui a changé le comportement des femmes. Et le résultat réel de ce qui a été fait, c'est pas qu'il leur a offert le choix. C'est qu'il les a mis au travail.

À un moment, les vœux pieux, c'est bien gentil, mais il faut accepter de regarder la réalité de ce qui a été fait.

Tes délires ne sont pas la réalité.

L'impression du ridicule provient du fait qu'il va contre tes "évidences".

Les "évidences" c'est la marque d'un conditionnement dans lequel on a été endoctriné. C'est à dire, le truc qui nous a tellement été martelé qu'on n'y réfléchi surtout pas. Et qu'on résiste même au simple fait d'y réfléchir.

Alors prend le temps d'y réfléchir vraiment. wink1.gif

C'est ridicule car c'est des énormités. T'as vraiment pas les moyens de ta condescendance.

machiste dans laquelle tu as été endoctrinée

Tu la répète sans rire, celle là?

Beaucoup d'homme se faisaient bouffer par leur femmes. Certainement au moins autant que de femmes qui se faisaient bouffer par les hommes. Et à mon avis, un peu plus. Car les hommes étaient très occupés par leur travail en entreprise, à une époque où les 45h par semaine aurait été un rêve.

Et comme le dit mon père, qui adore faire les courses : "Celui qui a le pouvoir, c'est celui qui détermine ce qu'on fait avec l'argent. Pas celui qui apporte le fric à la maison".

Peut être que certains hommes étaient chiant quand ils étaient à la maison, mais c'était de rares moment.

Je t'affirme que c'était une très faible minorité, et qu'on a construit en "image" et en préjugé, pour faire peur, le cliché de la femme exploitée par un homme qui s'en foutait de sa gueule. La politique a toujours usée de cliché et d'images pour propager des préjugés, mais avec beaucoup plus d'efficacité à l'époque qu'aujourd'hui. Puisqu'on a appris à s'en méfier.

Je t'affirme que, comme de tout temps, la majeur partie des hommes aiment leur femme et leur enfants, les respectaient et travaillaient dur pour protéger leur petite famille, et leur permettre de s'épanouir.

ça c'était la réalité quotidienne de la majorité des foyers.

J'adore le ton péremptoire que tu prends et qui ne se base sur rien.

La réalité, c'est qu'on était beaucoup moins individualiste à l'époque. On se pensaient systématiquement en tant que membre d'un foyer. Que c'était le foyer qui gagnais de l'argent, le foyer qui le dépensait, s'occupait de ses enfants, s'épanouissait... Il y avait une certaine répartition des tâches, certes sexués, entre l'homme et la femme au sein du foyer, mais pas dévalorisantes, ni asservissantes.

C'est les premières concernées à en juger, ça.

Les femmes étaient dépendante de quelque chose qu'elle construisait avec leur homme, ou dans lequel elles étaient née. À savoir un foyer.

Homme qui n'avait pas été choisi par hasard non plus. Certes c'était les parents qui choisissaient plus que les femmes elles-même. Encore que beaucoup avaient le choix quand même malgré toutes les histoires à la con dont on nous abreuve.

Les parents n'étaient pas non plus des imbéciles profonds, n'aimant pas leur enfants, et cherchant surtout à les marier par intérêt personnel.

HS

autre cliché bidon. La culture de l'époque était très protectrices, et jamais les parents se fichaient de mal marier leur fille.

Comme tous les parents, ils aimaient leur fille, et ils voulaient que leur fille soient heureuse, et puisse s'épanouir avec quelqu'un de bien qui prendrait soin d'elle.

Oui,la faible femme doit être protégée... je connais la chanson machiste.

Je ne dis pas que c'était bien. Mais je t'affirme que tout était fait pour que les femmes ai un pouvoir important au sein de leur foyer.

Et vu qu'elle sont passé d'un asservissement à leur foyer à un asservissement à une entreprise (ou pire, au marché du travail)

J'adore car tu pars du principe qu'une femme qui travaille est forcément à des taches ingrates, préjugé machiste encore une fois

e te pose la question : crois tu qu'elles ont beaucoup plus de pouvoir dans leur entreprise qu'elles n'en avaient dans leur foyer ?

Réfléchis sérieusement à la question.

Une femme peut t'elle s'engager dans des postes à responsabilités?

Le pouvait elle avant?

Une femme doit elle obtenir la signature de son mari pour ouvrir un compte en banque, travailler, s'engager dans une association?

Le pouvait elle avant?

Une femme a t'elle le droit de voter?

Le pouvait t'elle avant

de conduire?

Les femmes avaient un rôle à l'époque. On peut trouver ça bien ou mal, qu'importe. Elles avaient un rôle et était valorisée dans ce rôle.

Aujourd'hui, ce rôle est devenu méprisable et méprisé. C'est le féminisme qui a construit ça, pour des raisons politiques.

Mais à l'époque il était très valorisé.

Mensonges, encore une fois

Avoir des enfants bien élevé, avoir une maisons accueillante, un petit cocon bien entretenu pour recevoir la famille ou des amis, savoir faire une bonne cuisine c'était extrêmement valorisé.

Plus même qu'avoir un bon salaire aujourd'hui.

ça avait un impact même sur les hommes.

Un homme qui n'avait pas de foyer, qui n'avait pas de maison avec des enfants, une femme heureuse, une maison accueillante, était dévalorisé. Il n'était pas respectable, pas fiable, et comme la respectabilité jouaient considérablement à l'époque en matière de promotion même professionnel, je t'assure que ça avait un impact énorme sur le niveau de vie des hommes.

On ne manque pas de livre dans la littérature qui témoignent de cette nécessité pour les hommes d'être bien marié pour réussir professionnellement.

Oui voila un homme se devait d'être chef de famille.

Bien sûr la plupart aimaient leur femmes, mais la société les poussaient à avoir un role condescendant envers elle.

Tu peux continuer de te voiler la face, te dépêtrer dans tes mensonges, mais c'est la réalité historique.

Je te retourne le conseil. Vivement.

La femme avait un rôle primordiale.

Les esclaves aussi fut un temps, est ce pour cela qu'ils étaient considérés?

Mais nier que les femmes étaient valorisé dans leur rôle social, c'est un mensonge.

Ce que tu appelles mensonge est bel et bien la vérité que tu le veuille, ou non.

Non.

À la limite, on peut travailler et payer des gens pour éduquer nos enfants. (directement ou par nos impôt qui entretiennent un service public.)

Toujours ces mêmes affirmations gratuites et péremptoires.

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Membre, 44ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 44ans‚
Posté(e)

C'est à mourir de rire. Tu veux que je parle de l'acceptation du désir de la femme par la société?

Encore une foi, je parle d'un problème des hommes. Et il est nié sous prétexte que les femmes en ont. Mais que viennent faire les femmes là dedans ?

Arrête de penser que les problèmes des femmes font que les hommes n'en n'ont pas, ça sera déjà un début.

C'est fou d'être endoctriné à ce point dans la lutte et la compétition, à vouloir "vaincre" et "détruire" l'autre camps, au point de nier simplement qu'ils puisse avoir des problème. Et à penser qu'a partir du moment où les femmes en ont tant pis pour les hommes, ils sont "forcément" heureux et épanouis dans leur situation. >_<

Un homme qui collectionne les aventures va être valorisé, une femme une p****, une nympho.

Les hommes qui collectionnent les aventures sont très très très rares. C'est même un mythe.

Peux tu m'en citer un seul sur ce forum ?... rien que pour voir. En connais-tu un seul, personnellement ? ou convient tu que ça n'existe pas ?

Par contre ceux qui veulent collectionner les aventures, c'est à dire, les hommes réels, eux sont très rarement valorisés. Leur désir de vouloir collectionner les aventures n'a rien de valorisé, je t'assure.

Je te parle de la réalité des hommes. Et il y a une grosse différence entre les hommes réels et ton poncif/excuse toute faite pour victimiser les femmes.

C'est pas plus adapté, on estimait à l'époque que les névroses étaient uniquement féminine. "hystérie" vient de utérus. Vachement valorisant, hein?

Enfin bon....la psychanalyse....

Vi j'en convient, les début de la psychanalyse n'était pas très glorieux pour les femmes.

Reste qu'elle a quand même été développée pour aider les femmes, que ces défauts ont été corrigé.

Et je me demande quand même si, du coup, dans la forme ou dans la façon de procéder, elle n'est pas plus adaptée aux femmes qu'aux hommes.

C'est une hypothèse qu'il faudrait creuser.

Rien que le fait de la référence au mot où à la parole, qui fait quand même bouger plus de choses dans le cerveaux des femmes que des hommes (puisqu'elles pensent en mot bien plus qu'en concept), je pense que ça peut jouer.

Il y aurait peut être un mode opératoire à développer, qui utiliserai plus le cerveau droit des hommes, pour faire ressortir ce qu'ils associeraient aux concepts non-verbaux.

ça délire sec. Une personne homme et femme qui déprime va être fuie.

Fait le test sur le forum, tu verra par toi même. ;)

Une multitude d'homme "bien intentionnés" vont pulluler pour tenter de réconforter la nana... et plus si affinité.

Quelques personnes vont aller réconforter l'homme... mais certainement pas plus. ^^

Je ne dis pas non plus que c'est l'idéal, mais le fait est que ça tisse et consolide des liens sociaux, et c'est souvent une solution réelle au problème.

Ah ouais quand même.... donc je récapitule: une femme qui déprime va être victime des hommes qui veulent en profiter. Mais finalement comme c'est quand même pas des salauds finis, la femme va être favorisée....

L'argumentation quoi!

Exactement. Rien dans la vie ne correspond à l'idéal. Mais dans les faits, mieux vaux être soutenus par des gens, même pas "idéaux" que d'être laissé coulé.

Le fait qu'ils cherchent à "profiter" de la situation ne signifie pas que c'est forcément au dépend de la femme.

Dans le monde réel, ça n'existe pas quelqu'un qui agit sans intérêt personnel, ne serait-ce que celui d'être quelqu'un de bien.

Et ça n'est pas parce qu'un mec essaye de profiter d'une situation que c'est forcément un salaud profond qui t'enfoncera plutôt que de t'aider.

La majorité des mecs ne sont pas des salauds, donc globalement ce comportement favorise les femmes.

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Membre, Aux grands mots les grands remèdes, Posté(e)
Fafaluna Membre 7 395 messages
Aux grands mots les grands remèdes,
Posté(e)
Encore une foi, je parle d'un problème des hommes. Et il est nié sous prétexte que les femmes en ont. Mais que viennent faire les femmes là dedans ?

Arrête de penser que les problèmes des femmes font que les hommes n'en n'ont pas, ça sera déjà un débu

Faux. Je disais juste que les femmes n'était pas avantagés sur ce sujet, contrairement à tes mensonges.

Les hommes qui collectionnent les aventures sont très très très rares. C'est même un mythe.

Peux tu m'en citer un seul sur ce forum ?... rien que pour voir. En connais-tu un seul, personnellement ? ou convient tu que ça n'existe pas ?

Je ne connais pas la vie sexuelle des forumiens :D Par contre dire qu'ils sont rares dans la réalité....:smile2:

Par contre ceux qui veulent collectionner les aventures, c'est à dire, les hommes réels, eux sont très rarement valorisés. Leur désir de vouloir collectionner les aventures n'a rien de valorisé, je t'assure.

En quoi ce comportement est sexué? C'est différents chez les femmes?

Pourquoi en faire un combat anti féministes?

:p

Je te parle de la réalité des hommes. Et il y a une grosse différence entre les hommes réels et ton poncif/excuse toute faite pour victimiser les femmes.

Parle moi donc de ces poncifs?

Vi j'en convient, les début de la psychanalyse n'était pas très glorieux pour les femmes.

Reste qu'elle a quand même été développée pour aider les femmes, que ces défauts ont été corrigé.

Et je me demande quand même si, du coup, dans la forme ou dans la façon de procéder, elle n'est pas plus adaptée aux femmes qu'aux hommes.

C'est une hypothèse qu'il faudrait creuser.

Rien que le fait de la référence au mot où à la parole, qui fait quand même bouger plus de choses dans le cerveaux des femmes que des hommes (puisqu'elles pensent en mot bien plus qu'en concept), je pense que ça peut jouer.

Il y aurait peut être un mode opératoire à développer, qui utiliserai plus le cerveau droit des hommes, pour faire ressortir ce qu'ils associeraient aux concepts non-verbaux.

Attends voir... en gros la psychologie défavoriserait les hommes car ces derniers sont par nature peu apte à l'expression des sentiments?

BOn sang t'es un cliché ambulant toi! Epargne moi tes fadaises sur le cerveau droit/ gauche, ça fait un bail que les neurologues ont mis à mal cette dichotomie.

Fait le test sur le forum, tu verra par toi même. wink1.gif

Une multitude d'homme "bien intentionnés" vont pulluler pour tenter de réconforter la nana... et plus si affinité.

Quelques personnes vont aller réconforter l'homme... mais certainement pas plus. ^^

Ouais c'est favorisant en effet de se confier et de voir des dragueurs débarquer.

Ceci dit ce phénomène n'est pas sexué encore une fois: un beau gosse qui dit déprimer verra vite des filles à l'affut " lui donner des conseils".

C'est comment dire... les relations humaines ( et chiant quant tu veux vraiment avoir des conseils constructifs et non un plan drague).

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Membre, Posté(e)
frunobulax Membre 17 563 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Pas de problème.

Un seul chiffre suffit. Les hommes se suicident 4 fois plus que les femmes aujourd'hui, en France.

Ils sont soumis à considérablement plus de pressions sociales.

Petit bémol ...

Moins de mortalité chez les femmes ... mais plus de tentatives.

"la mortalité est masculine, avec trois fois plus d’hommes que de femmes qui décèdent par suicide, mais les tentatives sont majoritairement féminines. Mais les femmes n’utilisent pas les moyens les plus létaux", explique Françoise Façy, vice-présidente de l’Union Nationale pour la prévention du suicide (UNPS) et directeur de recherche à l’Inserm.

En effet, parmi les personnes qui parviennent à mettre fin à leurs jours, la pendaison est la "technique" la plus souvent utilisée, suivies des armes à feu pour les hommes, tandis que les femmes se tournent plutôt vers les médicaments, qui ont plus de chances d'"échouer".

Quel que soit le pays, la prévalence de la dépression est 2 à 3 fois plus importante chez la femme que chez l’homme.

Mais, bon, qu'elles ne se plaignent pas ... si elles se retrouvent à la rue, elles peuvent utiliser leur cul pour se faire héberger, les veinardes !

Modifié par frunobulax
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Membre, 44ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 44ans‚
Posté(e)

Mais bien sur. Les pauvres hommes qui violaient leurs femmes parce qu'elles les bouffaient. Je vais pleurer.

à fond dans le cliché. ^^

Donc selon toi, la situation réelle de la majorité des femmes de l'époque, c'était "être violée par leur homme" ?

Nan mais tu te rend quand même compte de l'aveuglement complet dans lequel tu te trouve, sur la réalité de la situation de l'époque ?

Sans nier qu'il y en avait, d'une je ne pense pas qu'il y en ai moins qu'aujourd'hui, j'aurais même tendance à penser qu'il y en a plus.

De deux on parlait de la situation réelle des femmes. Pas des faits divers minoritaires.

Contre lesquelles ils faut lutter bien sûr. Mais qui restent minoritaires comparée à la vie moyenne de la majorité des femmes.

C'est facile à dire ça quand on est celui qui apporte le fric à la maison et qui dont, en réalité a le véritable pouvoir.

"Nan mais en fait je l'ai pas, c'est toi qui l'a car tu détermines ce qu'on en fait".

ça s'appelle déléguer, mais le véritable pouvoir reste celui qui le rapporte car il peut arrêter.

ha ? Il peut arrêter ? :D De travailler ?

T'es sérieux là ?

Réfléchis deux secondes tu veux ?

Et c'est pourquoi aujourd'hui encore les femmes agressées sexuellement sont presque aussi nombreuses en France que les autres, bien évidemment.

Connerie: la majeure partie des hommes aiment leurs femmes et enfants, clairement, en revanche, le respect était une notion bien différente à l'époque. Il impliquait soumission de la part de la femme et acceptation des divers désirs de l'homme.

Tu rêves, et tu es dans le cliché complet.

Genre les désirs des femmes n'étaient pas du tout pris en comptes. ^^ Et bien qu'elles aient le pouvoir d'acheter un peu ce qu'elles voulaient, bien sûr elles ne le faisaient pas...

Et les hommes n'étaient que des salauds qui enfermait les femmes et les violait...

J'attendais moins d'aveuglement et moins de cliché de ta part. >_<

Ensuite, tu mélanges la soumission au foyer et la soumission aux hommes. Je t'assure que beaucoup de femmes ne couchaient pas, ou très peu avec leur maris. Et que nombreux étaient les maris qui avaient une amante pour pouvoir combler leur besoins sexuels. (et ne va pas me dire que les femmes n'avait pas d'amant >_< à un moment, il faut arrêter d'être con aussi. )

Une femme qui n'en foutait pas une au foyer était effectivement dévalorisé, puisqu'elle ne remplissait pas sa part des efforts commun.

Comme je le disais, la reconnaissance sociale dépend forcément d'une part de travail effectué. Bien sûr.

En revanche, celles qui faisait bien son travail était très valorisée.

ça a toujours été comme ça, et ça n'a pas changé. C'est seulement le travail demandé qui est différent.

Faux. C'était un simple pouvoir délégué, donc un pouvoir fantôche.

Préjugé.

Délégué, sans vrai contrôle possible, et sans vrai possibilités d'arrêter.

Si tu cherches réellement à ce que les femmes ai plus de pouvoir, réfléchis sérieusement à la réalité. Est-ce qu'elles ont réellement plus de pouvoir maintenant ?

Des milliers de fois plus: l'indépendance n'a aucun prix.

Je te parlais de pouvoir réel.

L'indépendance, ça s'acquière avec du pouvoir.

Et si tu me parle de liberté, je te conseillerai de regarder l'ille au fleur (tu trouvera sur le net.) Il y a une très belle définition de ce que c'est que la liberté.

Le fait qu'être soumise et dominée soit valorisé ne signifie pas que ce soit une bonne chose.

Oui, je suis d'accord. Mais le fait est qu'elles étaient valorisée à l'époque.

La valorisation sociale est toujours liée à une soumission. Autrefois, c'était au foyer, aujourd'hui c'est aux nécessités de l'entreprise.

Il n'y a heureusement pas que la valorisation sociale dans la vie. Il y a la valorisation intime.

Mais ça, ça dépend de ce qui se passait réellement dans l'intimité des couples, et si tu arrêtes avec les clichés à la con, il n'y a pas de raison que les choses aient réellement changé sur ce point entre les gens.

Les gens s'aimaient aussi avant. Et, surtout à l'époque, il y avait une énorme différence entre l'apparence et les règles sociale, et la réalité intime au sein du couple.

évidemment que la femme soumise et dépendante de l'homme était valorisée, mais ça ne signifie aucunement que c'était une bonne chose. La valorisation n'a rien à voir avec l'égalité, et dans le monde d'autrefois, la femme n'était rien de plus qu'un objet entièrement dépendant des hommes (son père au début, son mari ensuite, son fils à la fin si le mari mourrait).

C'est facile de dire que les femmes avaient le pouvoir quand on sait en réalité qu'elle n'avait le pouvoir que celui qu'on leur accordait. Mais ça pue.

Ce qui pue vraiment, c'est de penser que les femmes n'avaient forcément aucun pouvoir. Ce qui se passait au seins des foyers était une histoire privée, et il n'y a aucune raison, ni aucune preuve, pouvant montrer que c'est les femmes ou les hommes qui détenaient réellement le pouvoir.

Par contre, les femmes détenaient de façon certaines certains pouvoir, comme celui de choisir dans quoi elle allait dépenser les sous.

Mais bon, tu a dis pleins de choses intéressantes... je les reprend une à une.

de l'homme : de son foyer. 90% de son temps, l'homme n'était pas là. Imagine un instant ce que serait une entreprise où on laisse un employé 90% du temps sans surveillance d'un chef de projet, avec un chef de projet qui n'a pas les outils de surveillance dont on dispose aujourd'hui. Tu te fera une idée de la situation réelle que subissait les femmes. Si la maison était bien tenu, les enfants bien élevée, et la bouffe pas trop mauvaise, le reste était libre.

l'égalité : Valeur très forte aujourd'hui. Mais je suis d'accord. La valorisation n'a rien à voir avec l'égalité. ça n'a pas changé, c'est même antinomique.

Par définition, la valorisation ne peut se faire que sur ce qui nous différentie des autres. Le fait est là, si on a plus d'égalité, on a forcément moins de valorisation.

Après, on pourrait réfléchir sur la différence entre l'égalité et la non-différentiation des sexes. L'égalité exige t'elle que la nature sexuée soit effacés ?

Pour ma part, je préfère la non-supériorité à "l'égalité". Ce qui nous permet d'être différents dans notre nature même, sans être dominés ou asservis.

Une société avec des rôles sexués déterminés n'est pas forcément une société ou l'un domine l'autre. Je sais que c'est contraire aux préjugés politique répandu pour favoriser la mise au travaille des femmes. Mais il serait temps de passer outre, et d'oser regarder un peu la réalité en face, pour se poser réellement la question.

objet : Préjugé. Déjà socialement (professionnellement en fait), on est toujours un peu pris pour des "objets". L'homme dans son usine l'était tout autant. Mais il n'y a pas que l'aspect social/professionnel des choses.

Les hommes sont toujours des objets, mais les femmes ne l'étaient pas à l'époque, ou en tout cas beaucoup moins qu'aujourd'hui.

Les relations étaient très familiales, intime, amoureuse. Tu ne peux pas enlever toute forme d'affection dans ces relations, pour après dire que les femmes étaient des objets.

C'est aujourd'hui que les relations avec la société sont beaucoup plus informelle, beaucoup moins intime, que les humains (homme ou femme) sont considérés comme des objets interchangeable.

On peut juger ça bien ou mal, mais la réalité est là : on a surtout œuvré à rendre informel et a desaffectiver les rapports à la société. Alors qu'autrefois, pour les femmes en tout cas, c'était toujours mêlé.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Donc selon toi, la situation réelle de la majorité des femmes de l'époque, c'était "être violée par leur homme" ?

Nan mais tu te rend quand même compte de l'aveuglement complet dans lequel tu te trouve, sur la réalité de la situation de l'époque ?

Tu sais ce que signifie devoir conjugal ? Merci. Au revoir.

ha ? Il peut arrêter ? :D De travailler ?

T'es sérieux là ?

Réfléchis deux secondes tu veux ?

Fais pas semblant de ne pas comprendre: il peut arrêter de le ramener.

Et accessoirement il peut tabasser sa femme si elle ne l'écoute pas.

Genre les désirs des femmes n'étaient pas du tout pris en comptes. ^^ Et bien qu'elles aient le pouvoir d'acheter un peu ce qu'elles voulaient, bien sûr elles ne le faisaient pas...

Et les hommes n'étaient que des salauds qui enfermait les femmes et les violait...

J'attendais moins d'aveuglement et moins de cliché de ta part. >_<

Le plaisir de la femme est un concept tellement récent que ça te ferait frémir. C'est le 20ème siècle.

Quand aux hommes, pas besoin d'enfermer quelqu'un pour le violer, suffit de lui faire comprendre depuis sa naissance que si elle est en couple avec un homme elle doit le satisfaire sexuellement, et pouf, ça marche.

En revanche, celles qui faisait bien son travail était très valorisée.

ça a toujours été comme ça, et ça n'a pas changé. C'est seulement le travail demandé qui est différent

Ce qui a changé c'est que maintenant la femme a le choix, et son travail lui offre une égalité, alors qu'auparavant elle était valorisée comme on valorise son clebs quand il a chié en dehors de la maison.

Préjugé.

Délégué, sans vrai contrôle possible, et sans vrai possibilités d'arrêter.

Connerie. Délégué avec un contrôle total vu que la femme n'avait pas accès à l'argent sans l'autorisation expresse du mari.

Je te parlais de pouvoir réel.

L'indépendance, ça s'acquière avec du pouvoir.

Et si tu me parle de liberté, je te conseillerai de regarder l'ille au fleur (tu trouvera sur le net.) Il y a une très belle définition de ce que c'est que la liberté.

L'indépendance est un pouvoir réel pour qui ne l'avait pas. Bon c'est sur que pour toi et moi, ça va de soi.

La valorisation sociale est toujours liée à une soumission. Autrefois, c'était au foyer, aujourd'hui c'est aux nécessités de l'entreprise.

Il n'y a heureusement pas que la valorisation sociale dans la vie. Il y a la valorisation intime.

Mais ça, ça dépend de ce qui se passait réellement dans l'intimité des couples, et si tu arrêtes avec les clichés à la con, il n'y a pas de raison que les choses aient réellement changé sur ce point entre les gens.

Les gens s'aimaient aussi avant. Et, surtout à l'époque, il y avait une énorme différence entre l'apparence et les règles sociale, et la réalité intime au sein du couple.

Avant la femme était soumise et inférieure.

Aujourd'hui on essaie de la rendre égale et indépendante.

La valorisation d'avant c'était donner un susucre à son chienchien car il a rapporté le bâton. Valorisé, ouais. Mais rien à voir avec quelque chose de bien.

Par contre, les femmes détenaient de façon certaines certains pouvoir, comme celui de choisir dans quoi elle allait dépenser les sous.

such power. Et surtout le pouvoir d'écarter les cuisses pour que le mari fasse son affaire.

Si la maison était bien tenu, les enfants bien élevée, et la bouffe pas trop mauvaise, le reste était libre.

putain mais tu te rends compte de ce que tu écris bordel de merde ? c'est même plus puant à ce niveau là c'est gerbant !

Merde y a un moment faut arrêter. la condescendance et le machisme à fond les ballons ça va cinq minutes/

Une société avec des rôles sexués déterminés n'est pas forcément une société ou l'un domine l'autre. Je sais que c'est contraire aux préjugés politique répandu pour favoriser la mise au travaille des femmes. Mais il serait temps de passer outre, et d'oser regarder un peu la réalité en face, pour se poser réellement la question.

Tellement plus simple de dire ça quand on est du bon côté. "mais non, on vous dominait pas, vous inquiétez pas, aller, retournez au fourneau"

Comme le disait Fafaluna, si tu geins sur ce point, pourquoi tu n'inverses pas ? Toi au fourneau, à la vaisselle, à éduquer les gosses, et ta femme qui bosse. Après tout, c'est une société sans domination donc pas de soucis ?

*

C'est aujourd'hui que les relations avec la société sont beaucoup plus informelle, beaucoup moins intime, que les humains (homme ou femme) sont considérés comme des objets interchangeable.

Hahaha. Va dire ça aux femmes battues et violées, hum ? Nan parce que tu vois, c'était même pas monnaie courante avant, c'était la base. Camille Claudel, Gentileschi, Madame de Pompadour, en fait, je ne vois pas une seule femme avant le 20ème siècle qui ait réussi à ne pas se faire cogner sur la gueule à un moment ou un autre, ou à ne pas être obligée de coucher avec un type. Si t'as des noms, je veux bien. (Cléopâtre ne marche pas non plus)

Mais encore une fois, si tu es trop triste en dedans qu'une société sans dominant/dominé ait été abandonné: prends l'antique rôle de la femme à la maison, et on verra ce que ça donnera :D

Modifié par casdenor
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Membre, 44ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 44ans‚
Posté(e)

Et un homme ne peut pas le faire? Cette tache tellement valorisée...

=> ha c'est sûr, elle ne l'est plus du tout aujourd'hui, justement. Puisque tout à été fait pour dévaloriser le rôle des femmes, et valoriser celui des hommes.

Mais remarque que le féminisme à l'époque aurait pu être différent, et plutôt que de dévaloriser ces tâches, valoriser le travail effectué par les femmes, pour inciter les hommes à le faire.

ça n'a pas été ce qui a été fait.

On a valorisé le travail salarié, comme étant le seul pouvant offrir un réel épanouissement.

Et c'était le but.

Ah parce que une femme qui travaille ne s'occupe que d'enfants ou de ménage?

Tu a beau faire de gros effort pour me faire passer pour un macho (ce qui prouve que je n'en suis pas un, quelque part...)

Je parlais de la part du travail salarié créé pour compenser celui qu'effectuaient les femmes au foyer autrefois, pour leur propre intérêt.

Les féministes ont dit aux femmes qu'elles avaient les capacités de s'élever socialement, de devenir prof, directrice, journalistes et j'en passe.

Oui, exactement.

Et donc ils ont dis aux femmes qu'être femme au foyer, c'était être tout en bas de l'échelle sociale. ^^ Réfléchis bien à ça, c'est pernicieux, mais c'était le but.

C'est exactement ce que j'ai toujours dis. ça n'était pas le cas avant et le féminisme a sabordé la reconnaissance sociale des femmes.

En s'arrangeant pour propager le message qu'il n'y avait qu'en étant salarié qu'on pouvait s'élever socialement. Et certainement pas en étant femme au foyer.

Dans les faits, le féminisme n'a donc certainement pas milité pour le choix. Mais bel et bien pour la mise au travail salarié des femmes.

Parce qu'elle ont le choix. Tant mieux non?

Non elles n'ont pas le choix. Notre société transforme en clochard toute personne qui ne travaille pas.

Tu n'es pas aveuglé à ce point quand même, pour ne pas te rendre compte qu'il est très difficile de vivre aujourd'hui sans que les deux travaille ?

Dans les faits encore, rien n'a été fait pour favoriser l'indépendance de celles qui choisissaient de rester au foyer.

L'auteur du sujet avait parlé de fournir un salaire à toute femme (ou homme) au foyer, du fait des services qu'il rendait à la nation.

ça aurait pu être une solution réelle, si vraiment c'était rendre indépendante les femmes qui avait été recherché.

Où même encore plus simplement de leur verser automatiquement sur un compte à leur nom la moitié du salaire du mari.

Mais ça n'est pas ce qui a été choisi. On a choisi de ne surtout pas leur laisser le choix, et de les mettre au travail. ^^

Bien que ça demande de changer radicalement la société.

hasard ?

C'est quand même rare qu'en politique on choisisse de changer radicalement la société, quand il existes de moyens très simple d'arranger les choses, sans avoir à le faire. :)

Tu la répète sans rire, celle là?

Oui : Tu considère que les femmes d'autrefois étaient des êtres incapable d'avoir le moindre pouvoir sur leur homme.

C'est une vision extrêmement machiste.

Les femmes d'autrefois n'étaient pas plus faible qu'aujourd'hui. Elles n'avait pas moins de pouvoir sur les hommes qu'aujourd'hui, au seins de leur foyer.

J'aurai même tendance à penser qu'elles en ont moins maintenant.

Car on a allègrement abattu toutes les règles sociales qui visait à les défendre, (sous l'appellation infamante de "machiste“... ce qui n'est pas faux, mais ça servait quand même leur intérêt), sans vraiment leur en donner d'autres pour de se protéger.

J'adore le ton péremptoire que tu prends et qui ne se base sur rien.

Si, sur le non-machisme de ma pensée. Les femmes n'étaient pas des imbéciles et des pauvres cruches. Et à défaut de preuve réelle sur ce qu'il se passait au seins du couple, je n'ai pas de raison de penser que les femmes étaient particulièrement dominée. Et vous ne m'apportez aucun argument réel dans ce sens. Que des poncif et des préjugés.

Toi tu es persuadée du contraire, parce que tu es profondément machiste. Et le pire, c'est que tu ne t'en rend même pas compte.

C'est les premières concernées à en juger, ça.

Exactement. Les premières concernée ne comprenaient même pas pourquoi les militantes féministes cherchais à les "libérer", de situation qui leur convenaient très bien telle qu'elles étaient.

Précisément parce qu'à l'époque, elles étaient reconnue pour ça.

Mais à force de militantisme, et de propagation de cliché politique et de sabrage de la reconnaissance du travail des femmes de l'époque, cette reconnaissance à disparu.

Mécaniquement, comme la reconnaissance est vital pour tout être humain, les femmes se sont mit à vouloir travailler "comme les hommes", parce que c'était tellement mieux... (machisme, quand tu nous tiens...)

C'était d'ailleurs exactement ce qui était planifié : dévaloriser le travail libre effectué par les femmes, et valoriser le travail salarié des hommes, pour combler le manque de main d'œuvre des entreprises.

Oui,la faible femme doit être protégée... je connais la chanson machiste.

Ouf. Enfin ! au moins tu reconnais que la situation féminine n'était à l'époque pas si dépourvue de pouvoir et d'intérêt.

Les femmes pouvait très facilement bénéficier de protection puissante à l'époque, les hommes qui les maltraitais ou les exploitait risquaient gros. (même si c'était leur mari. si si, je t'assure. Pas mal d'homme se faisaient tuer s'ils maltraitait leur femme. )

Et tout le monde s'occupais de leur épanouissement.

Ok, elles étaient peut-être un peu trop considérée comme des princesses... reste que ça n'est pas forcément une position inconfortable.

Et en tout cas, c'était une position qui leur donnais un certain pouvoir. Qu'elles savaient très bien utiliser, car contrairement à ce que tu penses, les femmes de l'époque n'étaient pas des cruches.

ça manifeste d'une époque qui est partiellement révolue. (reste que les femmes se prennent toujours un peu trop pour des princesses, et que les hommes aiment un peu trop leur laisser ce rôle)

Je suis plutôt content de cette évolution, mais tu ne peux pas nier que ça offrait un pouvoir à qui savait manier ces règles.

J'adore car tu pars du principe qu'une femme qui travaille est forcément à des taches ingrates, préjugé machiste encore une fois

Ne m'applique pas tes propres préjugés. C'est toi la machiste ici. ^^

Je pas du principe que tout travail dans une entreprise est une forme d'asservissement à l'entreprise.

J'aurait même tendance à penser que les postes à responsabilités sont encore plus asservissant. Même si la contrepartie financière et en reconnaissance sociale est souvent bien avantageuse.

Une femme peut t'elle s'engager dans des postes à responsabilités?

Le pouvait elle avant?

Une femme doit elle obtenir la signature de son mari pour ouvrir un compte en banque, travailler, s'engager dans une association?

Le pouvait elle avant?

Une femme a t'elle le droit de voter?

Le pouvait t'elle avant

de conduire?

Elles pouvaient s'engager dans des associations, bien sûr ^^

Qu'est-ce qui les en aurait empêchée ?

Pour ce qui est du travail en entreprise, ça a été effectivement une ouverture, puisque c'était le but. J'ai rien contre non plus, heureusement.

Reste qu'on aurai très bien pu leur donner le vote, ou le droit d'ouvrir un compte sans changer radicalement leur mode de vie.

Mais le but a surtout été de changer leur mode de vie.

Et les femmes pouvaient toujours ouvrir un compte avec un prête nom, se choisir un "tuteur" ou un parent compatissant qui les aurait laissé faire ce qu'elle veulent. Il faut quand même savoir faire la différence entre le droit et la pratique. L'important, c'est de connaître la réalité de leur situation.

Et je suis désolé d'attaquer tes clichés machistes, mais les femmes n'étaient pas plus connes et cruche à l'époque qu'aujourd'hui.

Oui voila un homme se devait d'être chef de famille.

Bien sûr la plupart aimaient leur femmes, mais la société les poussaient à avoir un role condescendant envers elle.

Et dans beaucoup de couple, c'était la femme qui tenais la culotte.

Et dans la majeure partie des cas, c'était la femme qui tenais la culotte et préservait sagement les apparences sociale, pour ne pas qu'on se moque trop de son mari.

Les esclaves aussi fut un temps, est ce pour cela qu'ils étaient considérés?

Non. Les esclaves n'étaient pas considérés et reconnu pour leur travail.

Les femmes si. On valorisait énormément les femmes qui remplissaient leur devoir. Bien plus même qu'on ne valorise aujourd'hui quelqu'un qui se sacrifie pour son entreprise.

Le changement leur a peut être apporté l'égalité, ou "l'indépendance" comme dis casdenor, mais ça ne leur a certainement pas apporté plus de reconnaissance sociale, au contraire.

ça serait pas mal que tu arrives à t'en rendre compte. ^^

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

On attend toujours le moment où tu diras que tu es paré pour rester à la maison t'occuper des gosses et de tout le reste comme les femmes d'autrefois.

Mais curieusement, même si tu le dis, même si on fait l'effort de te croire (faudra se triturer les méninges, mais bon, l’acrobatie intellectuelle c'est fun) chacun sait que ce n'est pas le cas pour l'immense majorité des hommes. Ces hommes qui disent que le ménage c'est un truc de femme, que le sport c'est pour les mecs, bref, ces mâles, ces vrais, qui pullulent un peu partout.

Lire que la femme d'hier était mieux lotie que celle d'aujourd'hui c'est juste dingue quoi. Tu te rends compte de ce que t'écris ? Qu'en écrivant ça tu légitimes un système meurtrier ?

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

à fond dans le cliché. ^^

Donc selon toi, la situation réelle de la majorité des femmes de l'époque, c'était "être violée par leur homme" ?

Nan mais tu te rend quand même compte de l'aveuglement complet dans lequel tu te trouve, sur la réalité de la situation de l'époque ?

Oh ? :D

Sache que nous sommes dans un pays où le viol est autorisé, le racisme érigé en code de lois, et comme tu le sais, la femme ( oui "la" femme) rase les murs pour éviter de se faire violer par des machistes patriarcales. Bienvenue dans l'hallucination de casdenor, la vision d'hier explique le regard d'aujourd'hui. Je te souhaite bien du courage.

Modifié par Savonarol
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Membre+, 52ans Posté(e)
Ocytocine Membre+ 17 770 messages
Forumeur Débutant‚ 52ans‚
Posté(e)

De tout temps la femme a été "le sexe faible". Ce n'est pas une hallucination.

Mais decrivez-moi cette "réalité" soudaine où l'homme est le sexe faible, ça m'intéresse, pour l'instant les preuves sont faibles elles-mêmes.

Ceci dit, ce n'est plus tout à fait le sujet sur l'utilisation du travail féminin par le pouvoir.

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Membre, 44ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 44ans‚
Posté(e)

Tu sais ce que signifie devoir conjugal ? Merci. Au revoir.

Oulala... donc t'es vraiment persuadé que la majorité des femmes étaient violée à l'époque. >_<

T'as pas été un peu amoché par la propagande toi... >_<

Tu sais ce que signifie le devoir de s'occuper de ses enfants ?

Au secourt !!! les parents sont exploités par leurs enfants !! Il faut à tout prix enlever les enfants au parents pour libérer les parents de cette vile domination !!

Es-tu assez aveuglé pour ne pas voir que dans la majorité des cas, les parents aiment leur enfants ?

Et ça a beau être un devoir légal, dans la majorité des cas les parents s'occupent de leur enfant avec plaisir.

Je te rappelle que le devoir conjugal était aussi fort à l'époque que le devoir de ne pas taper une femme.

ça relativise quand même un peu les choses tu ne crois pas ?

Oui, il y a eu des femmes violé dans les couples, et je pense qu'il y en a plus aujourd'hui qu'avant.

Reste que c'était (et ça reste) quand même des comportements très minoritaires.

Enlever cette connerie de la loi a été une bonne chose.

L'immense majorité des couples se formait par amour. Faut être deumeuré pour ne pas le savoir.

Et puisque tu as l'air d'apprécier la loi et les fait divers, est-ce que tu comptes le nombres d'hommes qui ont été abattus de sang froid par quelqu'un de la famille parce qu'ils battaient leur femme ?

Oui, les choses se sont améliorée là dessus. Mais si tu veux faire croire qu'on viole moins les femmes aujourd'hui qu'autrefois au seins des foyer, je te demanderai d'apporter un peu plus que tes préjugés.

Fais pas semblant de ne pas comprendre: il peut arrêter de le ramener.

Et accessoirement il peut tabasser sa femme si elle ne l'écoute pas.

En pratique ils ne pouvaient pas.

Les hommes n'avaient matériellement pas la possibilités de faire les courses, de s'occuper de la bouffe etc...

Tabasser sa femme étaient considérablement plus grave à l'époque qu'aujourd'hui. Justement "à cause" de toutes les règles machiste qui soutenaient la société à l'époque. La solidarité entre femmes, ou au seins de la famille était considérablement plus développée qu'aujourd'hui, sur ces cas.

Il est toujours facile de taper sur le passé avec des préjugés. Les faits divers exceptionnels n'ont jamais été des études sérieuses.

Le plaisir de la femme est un concept tellement récent que ça te ferait frémir. C'est le 20ème siècle.

Quand aux hommes, pas besoin d'enfermer quelqu'un pour le violer, suffit de lui faire comprendre depuis sa naissance que si elle est en couple avec un homme elle doit le satisfaire sexuellement, et pouf, ça marche.

Et du coup, elle n'est pas violée.

Le viol implique un non-conscentement. Si elle a été formé depuis sa naissance à accepter, alors elle accepte.

Elle n'y prend peut être pas beaucoup de plaisir, pas plus qu'une prostitué ne doit en prendre, mais dans les faits comme dans sa tête (et c'est le plus important), il n'y a pas de viol.

Simplement quelque chose d'un peu étrange et d'ordinaire, qu'il faut bien faire.

De surcroit, j'en rajoute une couche parce que tu es quand même assez coltiné, si tu sort un peu des faits divers exceptionnels, je pense que la majeur partie des couples s'entendaient quand même pas si mal au pieux.

Et pour ce qui est de la découverte du plaisir, les femmes qui ne le découvraient pas avec leur maris le découvraient avec des amants, pendant que le maris était au boulot.

ça discutait pas mal entre les femmes. Ce qui a changé depuis le 20ème siècle, c'est qu'on ose publier des choses en parlant. ça ne veux pas dire que la culture orale était inexistante.

Ce qui a changé c'est que maintenant la femme a le choix, et son travail lui offre une égalité, alors qu'auparavant elle était valorisée comme on valorise son clebs quand il a chié en dehors de la maison.

Non. Je te parle de reconnaissance sociale. Personne ne reconnais socialement les chiens.

Et je te rappelle que la plupart des hommes aimaient leur femmes, et ce comme une personne à part entière.

Tes aveuglements et ta propagande obscurantiste est écœurante.

Connerie. Délégué avec un contrôle total vu que la femme n'avait pas accès à l'argent sans l'autorisation expresse du mari.

Oui, et une fois l'argent donné, il n'y en avait plus vraiment, de contrôle.

Il devait bien y avoir des maris qui surveillaient jusqu'aux centime dépensée par leur femme. Mais ils devaient être sacrément rare.

C'était des histoires de femmes, et la plupart des hommes n'avaient pas la moindre idée de ce que coûtais tel ou tel produit.

L'indépendance est un pouvoir réel pour qui ne l'avait pas. Bon c'est sur que pour toi et moi, ça va de soi.

Non, l'indépendance n'est pas un pouvoir. C'est un état qui peut être obtenu avec un pouvoir suffisant.

Il y a aussi un autre état plus intéressant encore. L'autonomie.

La différence c'est que l'autonomie accepte qu'on ne fasse pas tout, tout seul. Mais qu'on vive avec les autres, qu'on se répartisse des tâches. Et qu'on s'arme de façon à ne pas être trop dépendant des tâches qu'effectuent l'autre.

Les adolescent cherchent l'indépendance, la conséquence est la solitude. Les adultes cherchent l'autonomie. Parce qu'ils ont intégré le fait que ça n'est pas parce qu'on se répartis des tâches qu'on est "dominé", et que le pouvoir est une question d'équilibre de dépendance, pas seulement d'armure pour se couper de l'autre.

Les femmes sont peut être plus indépendante, je ne suis pas sûr qu'avec l'infantilisation de la société, elles soient plus autonomes.

( Même si je suis d'accord que la loi a plutôt évolué dans le bon sens. Mais la loi, ça n'est qu'une toute petite partie de la société. Et certainement pas une représentation du réel. )

Avant la femme était soumise et inférieure.
bin voyons !! :D :D

Tu as trop lu d'histoire romantiques. ^^ La réalité était bien différente.

La valorisation d'avant c'était donner un susucre à son chienchien car il a rapporté le bâton. Valorisé, ouais. Mais rien à voir avec quelque chose de bien.

:D Parce que la prime à la fin de mois, ou le payement d'heure supplémentaire, c'est mieux ? :D :D

Non, autrefois la reconnaissance avait plus de valeur, parce qu'elle n'était pas "commerciale". Il ne s'agissait pas d'argent, mais d'acceptation sociale.

Quelqu'un de reconnu était accepté par les autres. ça permettais de faire corps. D'obtenir une vraie place dans la société, en tant que personne "bien". D'avoir des soutiens en cas de problèmes, ou de réelles opportunités. C'était beaucoup plus valorisant que de recevoir des sous, car la reconnaissance sociale ne s'achète pas. (ou vraiment très cher)

Si la maison était bien tenu, les enfants bien élevée, et la bouffe pas trop mauvaise, le reste était libre.

putain mais tu te rends compte de ce que tu écris bordel de merde ? c'est même plus puant à ce niveau là c'est gerbant !

Merde y a un moment faut arrêter. la condescendance et le machisme à fond les ballons ça va cinq minutes/

Je décris la réalité de l'époque.

D'une il n'y a que les imbéciles qui pensent que je souhaite un retours à ces rôles (mais les imbéciles sont légions sur ce topic)

De deux, il s'agissait réellement du travail des femmes. Un travail, un vrai. Qui était certes réservée au femme, comme celui de l'usine l'était aux hommes.

Je comprend que tu trouve le travail gerbant remarque, quelque part...

Mais si tu n'arrive pas à comprendre que c'était exactement et très précisément le travail des femmes, tu n'arrivera jamais à comprendre ce qu'était la reconnaissance qui pouvait y être associée. Exactement comme la reconnaissance actuel qu'on a pour quelqu'un qui fait son travail en entreprise.

Sauf que là, c'était pas en entreprise, c'est tout. À l'époque, l'important, c'était que tu fasse bien ton travail, on s'en foutait complètement que ça soit en entreprise ou pas.

Il n'y a rien de gerbant à faire un travail.

Le conditionnement dans la dévalorisation de ce travail, c'est pas rien dis donc...

On en tiens une pelleté d'endoctriné sur ce fil... >_<

Tellement plus simple de dire ça quand on est du bon côté. "mais non, on vous dominait pas, vous inquiétez pas, aller, retournez au fourneau"

Et la femme répondait avec caractère : "mais non, on ne vous dominait pas, vous inquiétez pas, allez retourner à l'usine pour rapporter du blé. Sinon je vais raconter à tout le monde que tu n'es qu'un fainéant. Ouste !! Et sape toi bien, on dirait que t'es un dépravé !"

Une répartition des tâches n'est pas une domination. C'est dur, mais met-toi ça dans le ciboulot.

Comme le disait Fafaluna, si tu geins sur ce point, pourquoi tu n'inverses pas ? Toi au fourneau, à la vaisselle, à éduquer les gosses, et ta femme qui bosse. Après tout, c'est une société sans domination donc pas de soucis ?

Je ne geint pas. J'essaye de vous ouvrir un peu les yeux la réalité de la vie à l'époque. Parce que vous êtes tellement pris dans vos clichés bidons qu'il y a vraiment du taf.

Vous êtes tellement dans la lutte aveugle, que quelqu'un qui vous présente objectivement les choses, ils est forcément "machiste" parce qu'il est pas dans votre camps.

Après, vous réussissez à vous auto-convaincre de mon machisme... C'est plutôt marrant ^^

Je n'ai rien contre le fait de m'occuper des enfants, ou de faire le ménage à la maison... d'ailleurs en ce moment, c'est plutôt moi la "femme au foyer", et ma coloc qui bosse, donc bon...

Je vous dirais que c'est déjà un peu ce que je fais. ^^

Et ça ne me dérange absolument pas.

Hahaha. Va dire ça aux femmes battues et violées, hum ? Nan parce que tu vois, c'était même pas monnaie courante avant, c'était la base. Camille Claudel, Gentileschi, Madame de Pompadour, en fait, je ne vois pas une seule femme avant le 20ème siècle qui ait réussi à ne pas se faire cogner sur la gueule à un moment ou un autre, ou à ne pas être obligée de coucher avec un type. Si t'as des noms, je veux bien. (Cléopâtre ne marche pas non plus)

Les femmes célèbres sont des exceptions, j'espère que tu en as conscience. Bousculer les croyances d'une civilisation, ça t'attire forcément des expériences difficile.

Mais visiblement tu es réellement persuadé que toutes les femmes étaient violé à l'époque... je ne crois pas que je puisse te ramener à la raison devant la force de l'abrutissement de ton conditionnement. :/

Mais encore une fois, si tu es trop triste en dedans qu'une société sans dominant/dominé ait été abandonné: prends l'antique rôle de la femme à la maison, et on verra ce que ça donnera :D

:D

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

De tout temps la femme a été "le sexe faible". Ce n'est pas une hallucination.

Mais decrivez-moi cette "réalité" soudaine où l'homme est le sexe faible, ça m'intéresse, pour l'instant les preuves sont faibles elles-mêmes.

Ceci dit, ce n'est plus tout à fait le sujet sur l'utilisation du travail féminin par le pouvoir.

Il me semble que la locution "sexe faible" est somme toute très récente, qu'elle date de la fin du XIXe , début du XXe, et n'est pas attribué à la manière dont les hommes désignaient les femmes sous l'ancien régime.

"Sexe faible" rentrerait dans la logique de compétition féministe qui érige le fait que la femme est un homme comme les autres (un mâle comme les autres), et donc pécherait pas jalousie et orgueil.

C'est quand même pas crédible la manière dont on nous décrit l'ancien monde comme un endroit peuplé de violeurs où la femme serait un jouet qu'on se refile entre pote : la religion, omniprésente à l'époque, sacralisait la femme. Si un type faisait mumuse avec sa femme, il le faisait CONTRE l'avis de sa religion. Puisque la femme était la mère, que la mère était sacrée puisqu'elle donnait la vie.

Les réductions du monde d'avant à "c'était les talibans", c'est quand même une manipulation dialectique bien grasse, parce que les codes moraux de l'époque sur-protégeait la femme, le salariat lui a donné le droit de se faire mépriser par la direction d'une entreprise à égalité avec un homme.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Les femmes célèbres sont une exception, tu le dis mais ça fait pas tilt dans ta tête ? T'as pas l'impression qu'il y a un soucis quelque part ? Non, bien sur, c'est normal, l'homme, c'est pour les trucs sérieux.

Oulala... donc t'es vraiment persuadé que la majorité des femmes étaient violée à l'époque. >_<

T'as pas été un peu amoché par la propagande toi... >_<

Tu sais ce que signifie le devoir de s'occuper de ses enfants ?

Au secourt !!! les parents sont exploités par leurs enfants !! Il faut à tout prix enlever les enfants au parents pour libérer les parents de cette vile domination !!

ALLO, DEVOIR CONJUGAL = DEVOIR DE SEXE = VIOL.

ALLO, ON SE REVEILLE LA !

Oui, il y a eu des femmes violé dans les couples, et je pense qu'il y en a plus aujourd'hui qu'avant.

Reste que c'était (et ça reste) quand même des comportements très minoritaires.

UNE FEMME SUR TROIS EST AGRESSEE SEXUELLEMENT DANS SA VIE

l'immense majorité sont agressée par un proche, mari, frère, cousin, ami.

Tabasser sa femme étaient considérablement plus grave à l'époque qu'aujourd'hui. Justement "à cause" de toutes les règles machiste qui soutenaient la société à l'époque. La solidarité entre femmes, ou au seins de la famille était considérablement plus développée qu'aujourd'hui, sur ces cas.

Mais ça va pas la tête ? Les femmes battues étaient extrêmement courantes ! Mais réveille toi mec, bordel, là t'es dans le n'importe quoi.

Et du coup, elle n'est pas violée.

Le viol implique un non-conscentement. Si elle a été formé depuis sa naissance à accepter, alors elle accepte.

MAIS JE REVE ?

JE CAUCHEMARDE ?

ALLO ? ON SE REVEILLE ?

C'est un PUTAIN DE VIOL.

Arrête les conneries là ! Laver le cerveau de quelqu'un pour pouvoir le violer reste un viol.

C'est l'équivalent du ghb dans le verre.

Et je te rappelle que la plupart des hommes aimaient leur femmes, et ce comme une personne à part entière.

Une personne qui était inférieure.

Et la femme répondait avec caractère : "mais non, on ne vous dominait pas, vous inquiétez pas, allez retourner à l'usine pour rapporter du blé. Sinon je vais raconter à tout le monde que tu n'es qu'un fainéant. Ouste !! Et sape toi bien, on dirait que t'es un dépravé !"

Une répartition des tâches n'est pas une domination. C'est dur, mais met-toi ça dans le ciboulot.

Et c'ets pour ça BIEN ENTENDU que la domination de la femme n'existait pas...

MAIS BIEN SUR.

mec t'as fumé et c'est à vomir.

Sérieusement, tu arrives à nous sortir doctement que les femmes célèbres étaient rares, sans y voir le moindre signe de domination masculine.

Que le test de bechdel soit passé par à peine 46% des films ça te fait pas tilt.

Qu'il y ait 1 femme sur trois agressée sexuellement ça te fait pas tilt.

Que le simple fait pour un homme d'être comparé à une femme a toujours été une insulte, ça te fait pas tilt.

Que le fait pour une femme d'agir comme un homme a toujours été un compliment, ça te fait pas tilt.

Mais non, mais non, bien sur, tout va bien, le monde est parfait, bobonne retourne au fourneau.

Sérieusement tes propos sont meurtriers. Et je parle au sens littéral. Tu es en train de dire littéralement que les femmes qui crèvent, c'est normal et c'est bien

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Membre, 44ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 44ans‚
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On attend toujours le moment où tu diras que tu es paré pour rester à la maison t'occuper des gosses et de tout le reste comme les femmes d'autrefois.

Mais curieusement, même si tu le dis, même si on fait l'effort de te croire (faudra se triturer les méninges, mais bon, l’acrobatie intellectuelle c'est fun) chacun sait que ce n'est pas le cas pour l'immense majorité des hommes. Ces hommes qui disent que le ménage c'est un truc de femme, que le sport c'est pour les mecs, bref, ces mâles, ces vrais, qui pullulent un peu partout.

Je ne pense pas que les machos soient majoritaires chez les hommes. ;)

On paye aujourd'hui le fait d'avoir dévalorisé à mort ces tâches. Comme si s'occuper d'avoir un environnement sain, ou de l'éducation des enfants, c'était un travail de merde.

On a aussi et surtout beaucoup trop valorisé le travail salarié, comparé au travail libre.

Donc forcément les gens (homme ou femme) y vont à reculons sur ces tâches.

Lire que la femme d'hier était mieux lotie que celle d'aujourd'hui c'est juste dingue quoi. Tu te rends compte de ce que t'écris ? Qu'en écrivant ça tu légitimes un système meurtrier ?

Je n'ai jamais légitimé les lois de l'époque. Mais les lois sont un reflets très mineur de la réalité d'une situation.

Je trouve que la suppression du devoir conjugal est une bonne chose. Que le fait de permettre aux femmes d'ouvrir un compte, ou de voter sont évidement d'excellente choses.

Mais ça n'a rien à voir avec la non-répartition des tâches dans la société.

Et surtout, ça ne veux pas dire que les femmes étaient des merdes, des cruches imbéciles, vivant dans le malheur et la misère autrefois. Il y en avait, oui. Comme il y en a toujours aujourd'hui d'ailleurs, (et je ne pense pas qu'il y en ai moins)

Et les aveuglement dont vous faites preuve sur la condition féminine réelle d'autrefois me dérange d'autant plus que ce militantisme aveugle empêche de regarder la réalité de la situation. Et de son évolution réelle.

Il empêche d'observer scientifiquement et objectivement les conséquences et résultats de ce qui a été fait autrefois.

De voir qui en a réellement profité, et aussi de dévoiler la grosse supercherie de l'époque que tout ça a été très fortement guidé par une politique économique.

Que les hommes comme les femmes ont été instrumentalisée dans cette histoire.

Je ne suis effectivement absolument pas certain que la condition, ni des femmes ni des hommes, ne se soit réellement améliorée.

Et j'aimerai beaucoup un peu plus d'objectivité, et un peu moins de propagande, dans l'analyse de la situation.

Modifié par Titsta
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Membre+, 52ans Posté(e)
Ocytocine Membre+ 17 770 messages
Forumeur Débutant‚ 52ans‚
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@ Savonarol : Mais le viol est une réalité depuis l'aube des temps, meme encore aujourd'hui il est parfois une arme de guerre...

Oui, la femme était comme un jouet, elle était une monnaie d'échange, elle était vendue par sa famille ou bien donnée avec une dote pour sa capacité procreative. Pas de choix, pas d'amour dans l'Union. Donc la nuit de noces était comme un viol à ceci près que les usages l'obligeait à consentir. C'était un objet, sur valorisé je ne sais pas, mais une mineure, une inférieure, le sexe faible, qu'il ait l'appellation ou non. La religion ne sacralisait pas la femme, elle en faisait un outil du mal, une tentatrice, une sorcière, sauf sous la tutelle masculine.

Non l'homme n'est pas un prédateur. Mais la femme physiquement plus faible (à des exceptions prêts) est culturellement une proie potentielle (pas seulement pour un viol) et on grandit avec ce spectre, ce qui est difficile à comprendre pour un homme, j'imagine.

Par contre, je veux bien croire que le féminisme, par défaut, entretienne la notion de sexe faible, meme si ce n'est plus une réalité dans notre pays.

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

ALLO, DEVOIR CONJUGAL = DEVOIR DE SEXE = VIOL.

ALLO, ON SE REVEILLE LA !

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/le-devoir-conjugal-tu-honoreras_1083055.html

:)

Oh zut, mais voilà donc la preuve que nous vivons une société où le viol est légal ! (

Le mariage établi un contrat, comme tout contrat il liste des règles auxquelles se tenir et sur lesquelles on pourra se baser pour justifier le divorce en cas de non-respect. Ainsi, un homme qui demande le divorce parce que sa femme ne veut pas coucher avec lui ( on peut se demander pourquoi elle l'a épousé alors) peut invoquer ce paramètre.

C'est cette règle des droits et des devoirs, de la règle contre l'anarchie.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
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Je ne pense pas que les machos soient majoritaires chez les hommes.

Que tu ne penses pas on avait remarqué. Mais ça reste le cas.

Je n'ai jamais légitimé les lois de l'époque. Mais les lois sont un reflets très mineur de la réalité d'une situation.

Je trouve que la suppression du devoir conjugal est une bonne chose. Que le fait de permettre aux femmes d'ouvrir un compte, ou de voter sont évidement d'excellente choses.

Mais ça n'a rien à voir avec la non-répartition des tâches dans la société.

ça a tout à voir, c'est né du même concept: les femmes inférieures et les hommes supérieurs.

Je ne suis effectivement absolument pas certain que la condition, ni des femmes ni des hommes, ne se soit réellement améliorée.

Mais on s'en fout que tu sois incapable de le voir. C'est pas un problème de certitude ou de doute, c'est un fait indubitable. La condition de la femme était atroce, et elle est encore dans un sale état à l'heure actuelle.

Alors c'est sur que c'est facile de dire que tout va bien, tout en riant aux blagues sexistes, en insultant l'autre type de tapette et en hurlant au complot dès qu'un DSK viole quelqu'un, parce que bon, quand même, hein c'est DSK.

La culture du viol, j'imagine que pour toi, ça non plus ça n'existe pas ? De la part de quelqu'un qui considère qu'on a le droit de faire du lavage de cerveau à quelqu'un pour qu'elle consente à écarter les cuisses, ça m'étonnerait même pas.

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Membre+, 52ans Posté(e)
Ocytocine Membre+ 17 770 messages
Forumeur Débutant‚ 52ans‚
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On paye aujourd'hui le fait d'avoir dévalorisé à mort ces tâches. Comme si s'occuper d'avoir un environnement sain, ou de l'éducation des enfants, c'était un travail de merde.

:smile2:

Il y a des fois où tu mets les mains dans la merde alors du coup ça l'est... :D

On a aussi et surtout beaucoup trop valorisé le travail salarié, comparé au travail libre.

Donc forcément les gens (homme ou femme) y vont à reculons sur ces tâches.

Oui, mais le travail (trependium = instrument de torture, si ma mémoire est bonne), n'est valorisé que parce que moyen de survie pour le plus grand nombre, parce qu'une classe moyenne qui doit travailler s'est étendue. C'est l'argent la clé. Si chacun faisait pousser ses carottes pour manger, sans rémunération, ne pas travailler serait valorisé (je grossis à peine le trait).

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

@ Savonarol : Mais le viol est une réalité depuis l'aube des temps, meme encore aujourd'hui il est parfois une arme de guerre...

Oui, la femme était comme un jouet, elle était une monnaie d'échange, elle était vendue par sa famille ou bien donnée avec une dote pour sa capacité procreative. Pas de choix, pas d'amour dans l'Union. Donc la nuit de noces était comme un viol à ceci près que les usages l'obligeait à consentir. C'était un objet, sur valorisé je ne sais pas, mais une mineure, une inférieure, le sexe faible, qu'il ait l'appellation ou non. La religion ne sacralisait pas la femme, elle en faisait un outil du mal, une tentatrice, une sorcière, sauf sous la tutelle masculine.

Non l'homme n'est pas un prédateur. Mais la femme physiquement plus faible (à des exceptions prêts) est culturellement une proie potentielle (pas seulement pour un viol) et on grandit avec ce spectre, ce qui est difficile à comprendre pour un homme, j'imagine.

Par contre, je veux bien croire que le féminisme, par défaut, entretienne la notion de sexe faible, meme si ce n'est plus une réalité dans notre pays.

Disons que la religion en faisait une mère et une fille, c'est à dire par essence celle qui donne la vie et celle qui la prolonge. Lorsque la chaine de commandement est basée sur un "chef de famille", sur l'autorité, on est pas à l'abri de tomber sur de mauvais chefs ou sur des chefs corrompus, des personnes grisées par le pouvoir qui en useront et en abuseront.

Simplement l'ancien régime n'est pas l'Afghanistan; et on aurait des choses à redire c'est sûr, sur le fait que la société envisageait différemment le monde pour les sujets du Roi selon qu'ils étaient hommes ou femmes. En revanche, le viol était honni à l'époque, les violeurs considérés comme des boucs puants, même si dans les faits il est très vraisemblable que les arrangements aient dépassé la Loi, et c'est sans doute une des raisons de la fin de l'ancien régime.

Oui, mais le travail (trependium = instrument de torture, si ma mémoire est bonne), n'est valorisé que parce que moyen de survie pour le plus grand nombre, parce qu'une classe moyenne qui doit travailler s'est étendue. C'est l'argent la clé. Si chacun faisait pousser ses carottes pour manger, sans rémunération, ne pas travailler serait valorisé (je grossis à peine le trait).

http://fr.wiktionary.org/wiki/tripalium

(tri-pal = trois pals)

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