"Je serais tellement plus utile au chômage"

"Je serais tellement plus utile au chômage" :

http://jcfrog.com/blog/je-serais-tellement-plus-utile-au-chomage-emploi-hasbeen/

C'est vrai que chômeur, c'est une vie de rêve. Surtout quand tu es en fin de droits, avec moins de 500 euros par mois pour (sur)vivre.

La vérité, c'est qu'on est tous dans la merde

100% en accord avec ce billet.

La vérité, c'est qu'on est tous dans la merde

Oui, mais, c'est les optimistes qui disent çà, car les pessimistes disent "qu'il y en aura pas pour tout le monde"...

Chômeur et petits boulots par derrière..............pour certains c'est le pied !

Pas de contrainte d'horaire, pas de chef pour te commander :p

C'est tentant, en effet !

Ce type bouscule les schémas de pensée figés. Encourageons-le !

Bien que le salaire est aussi grand que l'aide sociale, c'est mieux pour des hommes et femmes travailler. C'est plus social et on n'a pas des problèmes. Vous vous souviendez que malgré notre systéme economic souligne l'individualité, la collectivité n'est pas mort.

C'est vrai que chômeur, c'est une vie de rêve. Surtout quand tu es en fin de droits, avec moins de 500 euros par mois pour (sur)vivre.

Nombreux salariés n'ont même pas ça une fois qu'ils ont tout payé, car les salariés payent des impôts locaux, une dedevance, des frais de garde et de transport, sont moins pris en charge par la CAF en matière d'allocations logement et ne bénéficient pas des transports gratuits, des tarifs sociaux de l'EDF et des restaus du cœur...

Bien sure, et si tout le monde se met a glander chez soit, qui va faire pousser nos patates ? Fabriquer les ordi sur lesquels ont passe notre temps a se plaindre ? Si tout le monde se met a glander, il n'y aura plus rien qui nous permettent de glander. C'est moche, a moins de remettre en place une aristocratie de branleurs qui profiteront d'une majorité de bosseurs. A merde, c'est déjà le cas

je gagnais mieux ma vie quand je travaillais au noir que je déclarais riens , même pas mon existence a un tel point que durant 10 ans pour l'administration Française j’existais plus , y a fallut que je prouve que j'existe , j’aurais peu être pas du , j’aurais du fuir , c'est un autres monde

Bien sure, et si tout le monde se met a glander chez soit, qui va faire pousser nos patates ? Fabriquer les ordi sur lesquels ont passe notre temps a se plaindre ? Si tout le monde se met a glander, il n'y aura plus rien qui nous permettent de glander. C'est moche, a moins de remettre en place une aristocratie de branleurs qui profiteront d'une majorité de bosseurs. A merde, c'est déjà le cas

L'idée n'est pas tant celle-ci.

Il s'agirait plutôt de définir le travail en fonction de la société vers laquelle il serait souhaitable d'aspirer, plutôt que de définir la société d'après le travail.

Bref, au lieu de partir du modèle selon lequel tout le monde doit travailler à temps plein la majorité de la semaine, et que pour cela il faut donc créer une activité économique, de la croissance, du gaspillage s'il le faut, etc .... uniquement pour créer suffisamment de postes (en sachant que, parallèlement, les intérêts financiers des grands groupes s'opposent également à ce système là, tentant de rationaliser, d'abaisser le plus possible le "coût" humain), bref au lieu de s'enfermer dans ce schéma, concevoir autrement la participation au travail - qu'elle devienne une contribution et non plus la quasi-exclusivité de notre activité humaine - et la nécessité même de ce travail dans son intégralité (on aura sans doute toujours besoin de faire pousser des patates - sans doute autrement -, mais on pourrait arrêter de fabriquer des produits en masses, conçus pour être dépassés ou tomber en rade en quelques années, ou développer des domaines de "services" sans utilité réelle en dehors du schéma économique actuel du profit). Dès lors que l'on évacue la nécessité absolue de travailler à plein temps pour tout le monde, on pourrait en effet concevoir différemment les choses. L'idée centrale reste le partage du travail, mais elle n'a effectivement peu de sens dans un système d'exploitation et de compétition économique tel que le notre (mais travailler n'en a pas plus pour les travailleurs, uniquement, comme tu le dis, pour une "aristocratie de branleurs").

Sauf que, a part quelque exception, ont ne travail déjà pas a temps plein. 8 h pour le boulot, 8 h pour dormir, reste 8 h pour faire ce que l'ont veut.

mouais ... les 8h qui restent partent bien souvent dans le transport (allez, 3h en moyenne), les tâches ménagères et se retrouvent de toute façons "gaspillées" dans le rythme des journées.

Mais bon, ce n'est pas le volume horaire dont je parlais en particulier : actuellement, on passe 5j/7 au boulot (pour la plupart), et bien des activités débordent aussi intellectuellement sur le reste de la semaine. On pourrait aspirer à changer la tendance, d'autant plus lorsque l'on s'interroge sur l'utilité fondamentale (outre payer son loyer et sa bouffe) de son travail.