Déficit public : pour le FMI, la France s'y prend mal

Déficit public : pour le FMI, la France s'y prend mal

Dans son rapport annuel sur l'économie française, le FMI estime que le gouvernement doit "réduire les dépenses plutôt que d'augmenter les impôts".

La patronne du FMI, Christine Lagarde. © Hamilton / Sipa

Le Fonds monétaire international (FMI) estime que la France devrait ralentir son rythme de réduction du déficit public afin de soutenir la reprise économique, dans son rapport annuel sur l'économie française publié lundi. "D'ici la fin 2013, le gouvernement aura réalisé aux deux tiers l'effort entrepris en 2011 pour stabiliser les déficits. Étant donné ce bilan et le caractère toujours hésitant de la reprise, le gouvernement devrait ralentir le rythme de l'ajustement", argumente l'organisme international dans son rapport annuel sur l'économie française.

Le FMI prévoit que la France termine 2013 avec un déficit de 3,9 % du produit intérieur brut (PIB), contre 4,8 % en 2012. Il s'établirait ensuite à 3,5 % en 2014 et ne retomberait sous la barre des 3 % qu'en 2015, à 2,8 % du PIB. Le gouvernement français table officiellement sur un déficit de 3,7 % cette année, mais le ministre de l'Économie Pierre Moscovici a reconnu la semaine dernière qu'il pourrait être "légèrement au-dessus". La France, qui s'était engagée auprès de ses partenaires européens à ramener ses déficits à 3 % de son produit intérieur brut dès 2013, a obtenu deux ans de délai pour atteindre cet objectif. Le FMI juge par ailleurs que cette réduction du déficit devrait se faire davantage par une diminution des dépenses publiques, et moins par des augmentations fiscales.

Lire la suite (Le Point).

Le Fonds monétaire international (FMI) estime que la France devrait ralentir son rythme de réduction du déficit public afin de soutenir la reprise économique, dans son rapport annuel sur l'économie française publié lundi.

Ca c'était lundi.

Et mardi ils diront quoi ?

Et mercredi les fous de Bruxelles ils diront quoi ?

Un coup je dis oui, un coup je dis non.

Et c'est nous qui subissons les effets de ce tournicoti-tournicoton.

bonjour

attention , danger .réduire les dépenses amène à augmenter le chomage et à destabiliser l'économie national .

si vous supprimez des postes dans tous les secteurs pour faire des économies , vous augmentez le chomage inéluctablement .

aller trop loin dans cette politique est dangereux car , les effectifs , dans tout les domaines ne suffisent plus à assurer l'équilibre logique et nécessaire pour la bonne marche de l'ensemble .

bonne soirée

Au milieu de pas mal de conneries, il y a quelques propositions de bon sens... Le rigolo, c'est que ça soit le FMI qui écrive ça. Cette chère Christine Lagarde, la fan number one de Nicolas Sarkozy, aurait donc parfois des idées? Incroyable!

Le FMI; c'est 3000 fonctionnaires payés à dire des évidences ...

Evidences connues de tous sauf de Flamby et de sa bande de nuls.

Petite question en passant : en quoi le FMI serait fondamentalement plus compétent qu'un gouvernement dans une expertise ?

Surtout lorsque les dirigeants de ce FMI ont oeuvrés dans des gouvernements ....

Et je ne parle même pas de la subjectivité idéologique.

Le FMI juge par ailleurs que cette réduction du déficit devrait se faire davantage par une diminution des dépenses publiques, et moins par des augmentations fiscales.

Le FMI fait preuve d'un bon sens élémentaire, seulement "l'anomalie" élyséenne et sa bande de bras cassés ne sont pas capables de voir les choses autrement qu'à travers des augmentations d'impôts. Bilan : les français de plus en plus étranglés par la pression fiscale perdent du pouvoir d'achat et réduisent leur dépense d'où un ralentissement de l'économie qui forcément entraine des pertes de recettes pour l'Etat (moins de TVA) qu'il devra compenser par de nouvelles hausses d'impôts. Bref la spirale infernale. Au contraire, une baisse sensible des dépenses permettrait également une réduction de la pression fiscale et redonnerait du pouvoir d'achat aux français, seulement les syndicats brailleraient donc on préfère plomber les finances et la majorité des français pour éviter de contrarier les copains.

Je crois que le gouvernement s'est engagé dans la diminution des dépenses aussi.

Mais la diminution des dépenses fera aussi hurler les mêmes qui l’encensent , en tout cas j'en fait le pari avec les reformes sur les retraites a' venir.

De plus les impôts ce n'est pas de l'argent qui est enfoui dans un puits sans fond, mais de l'argent investi l’activité économique ,dans des équipements, qui fait travailler des entreprises et rémunérer des gens.

Dans notre pays nos entreprises sont incapables de prendre le relai, elles aussi mendient auprès de l’État pour qu'il leur trouve de l’activité.

Alors réduire les dépenses profitera a' qui ?

Je ne dis pas que rien n'est a' faire, mais il faut faire attention pour éviter de tout déséquilibrer.

Roooo c'est marrant :D

Encore des imbéciles qui essayent de faire croire qu'ils ont la solution à la crise.

Et que, eux, ils savent ce qu'il faudrait faire ^^

(bien sûr :D :D )

Quels fumistes ces types ! >_<

Comment les gens peuvent continuer à croire ces imbéciles prétentieux, et avaler leur couleuvre sans la moindre réflexion, ou le moindre esprit critique ?

Comment, à notre époque, on peut encore se laisser vendre de l'eau en poudre par des hurluberlus dont l'incompétence et l'inefficacité a été de nombreuses fois démontré ?

Le jour où un pays arrivera à sortir de la crise, ok, on pourra dire que c'est "comme ça" qu'il faut faire.

Pour l'instant c'est pas le cas, donc qu'ils ferment leur gueule et qu'ils laisse essayer chacun de faire comme il a envie de tester.

C'est vraiment pas le moment pour que tous les pays se comportent pareil. >_<

C'est le moment de tester des trucs différents pour trouver comment s'en sortir.

Le fond monétaire international sort de son rôle quand il s'imagine que sa place, c'est de dire comment les pays devraient se gérer. Où même de leur priorité politique (là vous devriez financer l'éducation, là les écoles... pi laissez les pauvres pauvre, pas de solidarité !) je croyais qu'on était en démocratie, et que c'était le peuple qui décidais de ce qu'il devait financer.

Ils reçoivent des sous des différents pays, et les redistribuent. Point.

Le FMI n'a aucune compétence réelles pour juger de ce qu'il faudrait en faire, de ce que les pays souhaitent en faire, et pas même de comment redresser une économie.

Qu'ils tiennent leur place, joue leur rôle, et ne se préoccupent que de leur gestion interne. Et laissent les pays choisir leur politique.

ça sera largement suffisant.

Le FMI fait preuve d'un bon sens élémentaire,

lorsqu'il va dans votre sens.

Et quand il a dit/dira le contraire vous chouignerez "tous des cons".

bonjour

attention , danger .réduire les dépenses amène à augmenter le chomage et à destabiliser l'économie national .

si vous supprimez des postes dans tous les secteurs pour faire des économies , vous augmentez le chomage inéluctablement .

aller trop loin dans cette politique est dangereux car , les effectifs , dans tout les domaines ne suffisent plus à assurer l'équilibre logique et nécessaire pour la bonne marche de l'ensemble .

bonne soirée

Sauf que...pour financer tous ces emplois ,parfois bidon, il faut prélever sur ceux qui travaillent durs .Alors on décourage ces derniers qui freinent leurs consommations et qui n'ont plus envie de travailler pour des prunes.

Sauf que...pour financer tous ces emplois ,parfois bidon, il faut prélever sur ceux qui travaillent durs .Alors on décourage ces derniers qui freinent leurs consommations et qui n'ont plus envie de travailler pour des prunes.

Vous parlez de quels emplois bidons ?

Emplois bidons : policiers, infirmières, agents de la DDE

Emplois pas bidons : patron du CAC40

Emplois bidons : policiers, infirmières, agents de la DDE

Emplois pas bidons : patron du CAC40

C'est qu'il est comique notre bon Dino! :D

Vous parlez de quels emplois bidons ?

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des emplois doublons . On peut supprimer le conseil général.Une partie des emplois aux finances en prélevant l’impôt à la source par exemple .

une partie du travail des préfectures. réduction du nombre de députés,de sénateurs, des employés de l'Elysée.. des ministères etc

des emplois doublons . On peut supprimer le conseil général.Une partie des emplois aux finances en prélevant l’impôt à la source par exemple .

une partie du travail des préfectures. réduction du nombre de députés,de sénateurs, des employés de l'Elysée.. des ministères etc

Quand on sait que depuis que certaines fonctions ont été déléguées aux régions, là où l'Etat employait 150 000 fonctionnaires il y en à aujourd'hui 400 000 on est en droit de se poser des questions.

des emplois doublons . On peut supprimer le conseil général.Une partie des emplois aux finances en prélevant l’impôt à la source par exemple .

une partie du travail des préfectures. réduction du nombre de députés,de sénateurs, des employés de l'Elysée.. des ministères etc

Je suis daccord sur certains points.

Quand on sait que depuis que certaines fonctions ont été déléguées aux régions, là où l'Etat employait 150 000 fonctionnaires il y en à aujourd'hui 400 000 on est en droit de se poser des questions.

Source ?

Source ?

Des embauches massives dans les collectivités locales

Lors de la dernière décennie, les collectivités locales ont embauché à tour de bras. Entre 2002 et 2009, elles ont créé plus de 262.500 postes, selon un rapport du ministère du Budget publié à l'automne dernier. Ce chiffre ne tient pas compte des emplois transférés par l'État suite à la dernière décentralisation. Il s'agit bien d'embauches «pures». Même l'hôpital a été plus raisonnable: les effectifs y ont crû de 1,8% par an en moyenne de 2002 à 2009, contre une hausse annuelle de 2,5% dans les communes, départements et régions. Et le contraste est évident avec l'État, qui a vu le nombre de ses agents fondre de 0,2% par an sur la période. Il faut dire que 150.000 postes de fonctionnaires d'État auront été supprimés de 2008 à 2012, du fait du non-remplacement d'un départ à la retraite sur deux.

C'est au niveau communal que les dérapages ont été les plus nombreux. Au cours des vingt dernières années, les communes se sont de plus en plus regroupées en «intercommunalités», pour gérer ensemble les transports, les déchets, l'eau… Loin de générer des économies d'échelle, la création des intercommunalités a conduit à des doublons. Entre 2002 et 2009, les intercommunalités ont créé 101.500 emplois et les communes, 86.600. Les élus se défendent en expliquant qu'ils ont dû pallier à des désaffections de l'État. D'où, par exemple, le développement des polices municipales. «Nous avons aussi répondu aux nouveaux besoins de la population, typiquement en offrant des services de petite enfance en milieu rural», ajoute-t-on à l'Assemblée des communautés de France (Adcf). Les collectivités accusent aussi l'État d'alourdir leurs charges en leur imposant des normes sur l'environnement, la construction, etc. La facture atteindrait près de 600 millions par an (à comparer à des dépenses totales de 160 milliards).

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Mouais, rien de transcendant.

Le FMI exerce une surveillance des états membres qui se traduit par un rapport concernant la France.

Néanmoins, il faut aussi avoir à l'esprit que le FMI malgré les informations qu'il reçoit et analyse a été parfaitement incapable de prévenir la crise financière et qu'en mai 2008 Strauss Kahn déclarait gaiement "Les pires nouvelles sont derrière nous".

Si le FMI représente une manne financière afin de taiter les principales difficultés financières et monétaires et contribuer à la stabilité économique des états membres, ce sont des rigolos en matière de contrôle et de prévisions.

D'ailleurs, c'est marrant qu'on leur fournisse nos données, nos principales politiques et qu'ils fassent tourner leurs modèles sur ces bases comme si le contexte économique international global était à périmètre constant.

Comme il faut bien justifier une plus value dans ce rôle quelque part, il faut bien trouver quelque chose à signaler.

Au moins, ça change de l'éléphant du couloir qu'ils avaient raté.