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un jour... un poème

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chirona

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Membre, 76ans Posté(e)
Blaquière Membre 18 869 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)
Il y a 6 heures, Axo lotl a dit :

Fini

Mais sans limites

L’univers. *

Nuit blanche -

Voir la vie en rose

Parfumer mon âme.

Pour assouvir ma soif

D’un ciel étoilé

Une lune laiteuse.

— Stéphen Moysan,
- * Michel Onfray
Autour du ciel

Tu me fais connaître Stéphen Moysan. Je viens un peu d'en lire : Merci !

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Membre, 76ans Posté(e)
Blaquière Membre 18 869 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)

Je vis dans un mur de coton

où je m'enfonce

sans écho 

J'y gesticule

et je m'enfibre

au plus serré :

Une momie de bandelettes !

Comme une chrysalide.

En sortirai-je un jour 

En papillon sucré

Pour un jour de vacance

toutes voiles dehors

bousculé par la brise ?

Et tout d'abord : le veux-je ?

 

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Membre, Posté(e)
Lowy Membre 1 338 messages
Mentor‚
Posté(e)

The laughing heart

your life is your life
don’t let it be clubbed into dank submission.
be on the watch.
there are ways out.
there is a light somewhere.
it may not be much light but
it beats the darkness.
be on the watch.
the gods will offer you chances.
know them.
take them.
you can’t beat death but
you can beat death in life, sometimes.
and the more often you learn to do it,
the more light there will be.
your life is your life.
know it while you have it.
you are marvelous
the gods wait to delight
in you.

Charles Bukowski

The more light there will be...

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Membre, 76ans Posté(e)
Blaquière Membre 18 869 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)
Il y a 11 heures, Lowy a dit :

The laughing heart

your life is your life
don’t let it be clubbed into dank submission.
be on the watch.
there are ways out.
there is a light somewhere.
it may not be much light but
it beats the darkness.
be on the watch.
the gods will offer you chances.
know them.
take them.
you can’t beat death but
you can beat death in life, sometimes.
and the more often you learn to do it,
the more light there will be.
your life is your life.
know it while you have it.
you are marvelous
the gods wait to delight
in you.

Charles Bukowski

The more light there will be...

 
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Membre, Posté(e)
Lowy Membre 1 338 messages
Mentor‚
Posté(e)

pendant mon enfance
je me cachais en catimini dans une étoile
surtout les nuits d’été
après les pluies rapides qui me surprenaient dans les champs
j’avais l’arc-en-ciel dans l’âme
je le gardais précieusement à l’endroit du cœur
pour ressentir les battements des couleurs
comme un éventail du temps
dispersé en secondes
dont je faisais souvent des petites barques en papier
les laissant s’en aller sur l’océan imaginaire
le ciel s’ouvrait de plus en plus pour que je puisse
y compter les ombres des pas
que je faisais avec une rapidité
digne de la vitesse de la lumière
et pour me sentir heureux
je courrais comme dans un rêve
sans me soucier de quoi que ce soit
vers mon étoile qui sûrement m’attendait
chaque soir quand j’étais nostalgique
à présent je n’ai de cesse de la chercher et je ne la retrouve plus
peut-être m’a-t-elle abandonné
peut-être ai-je changé
ou bien elle s’est cachée comme moi en catimini dans
une autre enfance
dans laquelle sans cesse et confiant je me suis glissé
en m’évertuant à vivre l’éternité

D i s s i m u l é d a n s u n e é t o i l e- George Schinteie

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Membre, Posté(e)
Lowy Membre 1 338 messages
Mentor‚
Posté(e)

l’océan est loin et
je ne sais pas nager non plus
je voudrais la mer étroite
l’engouffrer dans mon âme
et je n’y arrive pas
je me métamorphose en papillon
qui vole mais le vent
âpre qui vient de se lever
l’aile gauche me la blesse
et le temps s’ensanglante
dans un sablier les ombres
étranglent la lumière
filtrée par l’arc-en-ciel
et il les disperse ensuite
comme une poignée d’illusions
pas encore prononcées
affamées les mouettes viennent
de nulle part
et s’empiffrent du sang
de la journée que par erreur
j’ai oubliée hier devant le portail
de la vie sans songer
un seul instant que demain se retrouve dans
chaque oubli de pensée
 

Le désert de quartz -George schinteie

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  • 2 semaines après...
Membre, 45ans Posté(e)
Hyderabad Membre 1 052 messages
Mentor‚ 45ans‚
Posté(e)

Mourir pour un sourire 

Souffrir pour une nuit

Offrir tous ses ennuis 

Pour un éclat de rire 

Je traverse ce soir

A travers ton miroir 

Je te donne mon vor

Je recevrai le tien

Nos âmes ne feront qu’un 

Je prendrai tout les torts

Pour que tu vives en moi

Et que je meurs pour toi 

 

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  • 2 semaines après...
Membre, Conteuse aux fils d'argent, 93ans Posté(e)
Ludwige Membre 788 messages
Forumeur alchimiste ‚ 93ans‚ Conteuse aux fils d'argent,
Posté(e)

REGRETS 

Sur un vieux banc de pierre

Tout près d'une chaumière

J'observais en silence

Ce lieu de mon enfance...

J'y venais bien souvent

Mais peu à peu le temps

Avait tout effacé

Peu de choses il restait ...

Quelques enfants jouaient

Tout comme hier riaient

Et leur belle insouciance

Reflétait l'innocence ...

Moi seule avait changé

Les traces du passé

Sur mes mains se mêlaient

Mais leur paume gardait

Toujours cette douceur

Pour effacer les pleurs

Hier déjà s'efface

Seulement quelques traces ....

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  • 3 semaines après...
Membre, Conteuse aux fils d'argent, 93ans Posté(e)
Ludwige Membre 788 messages
Forumeur alchimiste ‚ 93ans‚ Conteuse aux fils d'argent,
Posté(e)

Le bal des oubliés 

Où vont-ils tous ces mots

Emportés par le vent

Ils sonnent tristes, faux

Ils étaient si troublants ...

Sont-ils devenus maux

Lorsque tu les surprends

Se noyant dans les eaux

Sous l'orage du temps ...

Les feuilles sur les arbres

Reverdissent souvent

Mais tous ces beaux palabres

Se meurent doucement ...

Auprès de la rivière

J'écoutais son murmure

Il me semblait qu'hier

Sa voix était si pure ...

Orages et tempêtes 

Font les mots disperser

Il n'y a plus de fête

Au bal des oubliés ...

M-C 

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  • 2 semaines après...
Membre, 49ans Posté(e)
Axo lotl Membre 10 487 messages
Maitre des forums‚ 49ans‚
Posté(e)

Révolte

Ne scelle pas mes lèvres au cadenas du silence
Car j'ai dans le cœur une histoire irracontée
Délivre mes pieds de ces fers qui les retiennent
Car cette passion m'a bouleversée

Viens, homme, viens, égoïste
Viens ouvrir les portes de la cage
Toute une vie, tu m'as voulue en prison
Dans le souffle de cet instant, enfin, délivre-moi

Je suis l'oiseau, cet oiseau qui depuis longtemps
Songe à prendre son envol
Mon chant s'est fait plainte dans ma poitrine serrée
Et dans les désirs, ma vie a reflué

Ne scelle pas mes lèvres au cadenas du silence
Car il me faut dire mes secrets
Et que je fasse entendre au monde entier
Le crépitement enflammé de mes chants

Viens, ouvre la porte, que je m'envole
Vers le ciel limpide du poème
Si tu me laisses m'envoler
Je me ferai rose à la roseraie du poème

Mes lèvres sucrées par tes baisers
Mon corps parfumé à ton corps
Mon regard avec ses étincelles cachées
Mon cœur plaintif, par toi rougi

Mais ô homme, homme égoïste
Ne dis pas c'est une honte, que mon poème est honteux
Pour ceux dont le cœur est enfiévré, le sais-tu,
L'espace de cette cage est étroite, si étroite ?

 

Ne dis pas que mon poème était péché tout entier
De cette honte, de ce péché, laisse-moi ma part
Je te laisse le paradis, ses houris et ses sources
Toi, laisse-moi un abri au cœur de l'enfer

Livre, intimité, poème, silence
Voilà pour moi, les sources de l'ivresse
Qu'importe de n'avoir pas voie au paradis
Puisqu'en mon cœur est un paradis éternel !

Lorsque dans la nuit, la lune danse en silence
Dans le ciel confus et éteint
Toi, tu dors et moi, ivre de désirs inassouvis
Je prends contre moi le corps du clair de lune

La brise m'a déjà pris des milliers de baisers
Et j'ai mille fois embrassé le soleil
Dans cette prison dont tu étais le geôlier
Une nuit, au profond de mon être un baiser me fit vaciller

Rejette loin de toi l'illusion de l'honneur, homme
Car ma honte m'est jouissance ivre
Et je sais que Dieu me pardonnera
Car il a donné au poète un cœur fou

 

Viens, ouvre la porte, que je déploie mes ailes
Vers le ciel limpide du poème
Si tu me laissais m'envoler

Je me ferais rose à la roseraie du poème

In Côté femmes d'un poème l'autre, © Espace-libre, 2010.  Forough Farrokhzad

 

 

 

 

 

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  • 2 semaines après...
Membre, exLilineige, 50ans Posté(e)
PtitAngelina Membre 14 934 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚ exLilineige,
Posté(e)

Aux arbres

Victor Hugo

Arbres de la forêt, vous connaissez mon âme!
Au gré des envieux, la foule loue et blâme ;
Vous me connaissez, vous! – vous m’avez vu souvent,
Seul dans vos profondeurs, regardant et rêvant.
Vous le savez, la pierre où court un scarabée,
Une humble goutte d’eau de fleur en fleur tombée,
Un nuage, un oiseau, m’occupent tout un jour.
La contemplation m’emplit le coeur d’amour.
Vous m’avez vu cent fois, dans la vallée obscure,
Avec ces mots que dit l’esprit à la nature,
Questionner tout bas vos rameaux palpitants,
Et du même regard poursuivre en même temps,
Pensif, le front baissé, l’oeil dans l’herbe profonde,
L’étude d’un atome et l’étude du monde.
Attentif à vos bruits qui parlent tous un peu,
Arbres, vous m’avez vu fuir l’homme et chercher Dieu!
Feuilles qui tressaillez à la pointe des branches,
Nids dont le vent au loin sème les plumes blanches,
Clairières, vallons verts, déserts sombres et doux,
Vous savez que je suis calme et pur comme vous.
Comme au ciel vos parfums, mon culte à Dieu s’élance,
Et je suis plein d’oubli comme vous de silence!
La haine sur mon nom répand en vain son fiel ;
Toujours, – je vous atteste, ô bois aimés du ciel! –
J’ai chassé loin de moi toute pensée amère,
Et mon coeur est encor tel que le fit ma mère!

Arbres de ces grands bois qui frissonnez toujours,
Je vous aime, et vous, lierre au seuil des antres sourds,
Ravins où l’on entend filtrer les sources vives,
Buissons que les oiseaux pillent, joyeux convives!
Quand je suis parmi vous, arbres de ces grands bois,
Dans tout ce qui m’entoure et me cache à la fois,
Dans votre solitude où je rentre en moi-même,
Je sens quelqu’un de grand qui m’écoute et qui m’aime!
Aussi, taillis sacrés où Dieu même apparaît,
Arbres religieux, chênes, mousses, forêt,
Forêt! c’est dans votre ombre et dans votre mystère,
C’est sous votre branchage auguste et solitaire,
Que je veux abriter mon sépulcre ignoré,
Et que je veux dormir quand je m’endormirai.

Victor Hugo, Les Contemplations, Nelson, 1856

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  • 3 semaines après...
Membre, 49ans Posté(e)
Axo lotl Membre 10 487 messages
Maitre des forums‚ 49ans‚
Posté(e)

Les séparés (N'écris pas...)

 

N'écris pas. Je suis triste, et je voudrais m'éteindre.

Les beaux étés sans toi, c'est la nuit sans flambeau.

J'ai refermé mes bras qui ne peuvent t'atteindre,

Et frapper à mon coeur, c'est frapper au tombeau.

N'écris pas !

 

N'écris pas. N'apprenons qu'à mourir à nous-mêmes.

Ne demande qu'à Dieu... qu'à toi, si je t'aimais !

Au fond de ton absence écouter que tu m'aimes,

C'est entendre le ciel sans y monter jamais.

N'écris pas !

 

N'écris pas. Je te crains ; j'ai peur de ma mémoire ;

Elle a gardé ta voix qui m'appelle souvent.

Ne montre pas l'eau vive à qui ne peut la boire.

Une chère écriture est un portrait vivant.

N'écris pas !

 

N'écris pas ces doux mots que je n'ose plus lire :

Il semble que ta voix les répand sur mon coeur ;

Que je les vois brûler à travers ton sourire ;

Il semble qu'un baiser les empreint sur mon coeur.

N'écris pas !

 

 

Marceline Desbordes-Valmore

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Sérial Banneur, `, Posté(e)
Tequila Moor Sérial Banneur 14 868 messages
`,
Posté(e)
A l'est, un faisceau de lumière grise monta dans la nuit, puis ce fut une opalescence nacrée et les étoiles en furent estompées.
 
Alors vint le long, le lent sillage de l'aube sur l'horizon brisé.
 
La scène était d'une telle beauté que toute l'attention du Duc fut capturée en cet instant.
 
Certaines choses, pensa-t-il, mendient notre amour.
 
Frank Herbert, "Dune"
 
 
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  • 2 semaines après...
Membre, 49ans Posté(e)
Axo lotl Membre 10 487 messages
Maitre des forums‚ 49ans‚
Posté(e)

Les Murs De La Tolérance

Dans l’écho lointain d’un monde aux mille voix,
Sur la toile vierge du silence, un souffle se déploie;
Les mots, en artisans de l’âme et du cœur,
Tissent un récit que l’on nomme tolérance – l’éclat d’un jour meilleur.

Sous la lune claire où les rêves prennent forme,
Où chaque histoire est un phare dans la nocturne norme,
J’entends la voix subtile des coeurs qui s’éveillent,
Dans leurs murmures je vis, je meurs, et puis renaît l’émerveille.

Dans l’aube tendre des pensées embrumées,
Qui sourd langoureusement dans les champs dorés,
S’élève lentement le chant de l’espérance,
D’une patience fleurie, bourgeon de persévérance.

Des murs invisibles érigés entre les hommes,
Des barrières soufflées par les vents et les idiomes,
S’effacent en douceur sous la caresse de la plume,
Là où les mots deviennent pont, et le cœur, bitume.

Les regards se croisent, lueurs d’infinies nuances,
Chargés de vérités, d’histoires, et puis de danse,
L’humanité toute entière est un ballet sans fin,
Chaque geste est une caresse, tissant les routes en lien.

Au gré des flots de vie qui coulent dans nos veines,
L’amour sème ses graines dans le jardin des âmes à peine,

Et c’est là, parmi les roses, les épines et les joncs,
Que se dessine le courage de dire « nous » au lieu de « moi », sans vergogne.

Chaque geste est un vers qui s’ajoute à la strophe,
Chaque sourire est un mot plus doux que l’étoffe,
Dans la grande poésie de ces jours tissés serrés,
Nous lisons les pages blanches de l’humanité.

Des rires et des larmes, tels les ruisseaux des montagnes,
Dévalent les pentes de nos visages, tracent nos campagnes,
Chaque goutte porte l’essence d’une histoire à conter,
Dans le grand livre de nos vies, un chapitre à noter.

Autour de ce feu naissant, chaleur des âmes qui s’épurent,
Se forge une alliance, celle des cœurs qui murmurent,
Sagesse des ancêtres et passion des jeunes pousses,
La tolérance est un pont, et nous, les bâtisseurs de la douce.

Nous errons, voyageurs de ce siècle étrange,
Où chaque mot écrit est une voile qui prend l’ange,
Au gré de vents divers, portés par nos écrans,
Nous voguons vers demain, poètes enivrants.

Quand la tempête gronde et que nos âmes chavirent,
Quand la houle des préjugés ne cesse de nous ravir,
Regardons nos mains liées par les vers de l’entente,
Et dans cette solidarité, trouvons une force suprême, riante.

Aucun mur dressé n’est éternel, pas même de pierre,
Toute barrière tombée devient le sol de nos prières,
La tolérance, clé de voûte d’un édifice plus beau,
Bâti sur l’entendement, dans l’espoir d’un monde nouveau.

Et lorsque viendra le soir, que l’encre se fera rare,
Que nos yeux fatigués chercheront une étoile pour phare,
Souvenons-nous des vers, des proses, et des rimes,
Qui ont fait de ce monde, un poème sublime.

Nous sommes l’architecte de demain, frères d’espérance,
De nos différences tissées, naît une mélopée de clémence,
Où le refrain perpétuel de l’harmonie éternelle
Chante l’union des cœurs, dans la beauté plurielle.

Ainsi va la vie, telle une mélodie secrète,
Où chaque note jouée est un pas vers la fête,
La tolérance est l’art, et l’homme, son artiste,
Dans ce grand chef-d’œuvre, l’amour en soliste.

Car c’est en partageant nos souffles et nos soupirs,
Que nous construisons les ponts, que nous ouvrons les loirs,
C’est en écrivant ensemble, main dans la main,
Que nous élevons les murs de la tolérance, pour demain.

Ainsi finit ce chant, cette ode à l’unisson,
Où se mêle l’espoir à l’encre de ma raison,
Pour que demain émerge, libre de toute nuisance,
Un monde construit sur l’édifice immortel de la tolérance.

 

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