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Bonjour à tous ! Nous sommes étudiants et étudiantes de l'IUT de Lille et nous menons une recherche sur l'écoute du rap des 15-24ans. Pouvez-vous répondre au questionnaire joint ? Cela ne dure que 5min et c’est anonyme. Merci beaucoup d’avance ! N’hésitez pas à partager https://url-r.fr/wxnWv
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Sur quel poste restreindre ses dépenses ? A contrario, sur lequel se lâcher ? Voici l'expérience de trois jeunes voyageurs. L'un a fait le tour de l'Italie, l'autre de l'Asie centrale et notre dernière baroudeuse a visité plusieurs pays d'Afrique. Respectivement partis un, quatre et huit mois, tous avaient un budget serré. Vianney recommande de dédier une partie de son budget à du matériel. Parti avec une tente ultralégère, un tapis de sol gonflable et un sac de couchage permettant de supporter une température allant jusqu'à – 12°C, il le reconnaît : « C'est indispensable au cas où vous ne trouvez pas où dormir, ou si la personne qui vous accueille n'a pas de lit supplémentaire. » En revanche, en dormant dans une tente ou chez des personnes qui lui préparaient à manger la plupart du temps, il n'a que très peu dépensé en trajet, hébergement et nourriture : « J'ai dépensé moins de cinq dollars par jour pendant quatre mois. » [...] Oriane : « Je prenais l'avion pour passer les frontières et, à l'intérieur des pays, je voyageais en train, où l'ambiance était incroyable. La traversée en train de nuit de la Tanzanie, surtout, m'a beaucoup marquée : il n'y avait que des locaux et tu traverses tout le pays à 50 km/h. » Dialoguer avec les habitants des pays a d'ailleurs facilité sa découverte des pays : « Je ne réservais jamais à l’avance, j'arrivais dans le village ou la ville et je demandais aux habitants où loger ou où étaient les guides pour faire des activités. » Celle qui est aujourd'hui photographe conseille ainsi de s'acclimater aux us et coutumes du pays et de « sortir de ses standards européens » : « Lorsque je ne mangeais pas chez l'habitant, j'avais plusieurs options. Par exemple, en Tanzanie, il y a toujours des vendeurs de nourriture sur le bord de la route, même la nuit : c'était hyper simple de se nourrir pour pas cher du tout. » Article complet : https://www.lefigaro.fr/voyages/j-ai-depense-moins-de-5-dollars-par-jour-comment-voyager-quand-on-est-jeune-et-fauche-20230728.
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VIDEO. Refus d'obtempérer : un jeune de 17 ans tué par balle par la police, les images du tir diffusées, l'IGPN saisie Le conducteur d'une voiture est mort après le tir d'un policier ce mardi 27 juin à Nanterre. L'agent assure qu'il lui avait foncé dessus. Mais des images filmées montrent une autre version.... Les images sont glaçantes. Sur une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, on voit des policiers élever la voix lors d'un contrôle routier... https://www.midilibre.fr/2023/06/27/video-refus-dobtemperer-un-jeune-de-17-ans-tue-par-balle-par-la-police-les-images-du-tir-diffusees-11304438.php
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Bonjour, si j’écris ce message ici c’est que je suis désespéré et j’ai personne pour en parler avec quelqu’un malheureusement. J’ai eu une relation avec une certaine fille pendant 1 an (j’ai 18 et elle aussi). Suite à la rentrée ma copine avait décidé de faire ses études ailleurs (je le savais depuis le début et elle aussi) ne voulant pas de relation a distance même si elle est pas si loin j’accepte le fait que cela aura une fin. Suite a la discussion de notre séparation qu’on a eu elle m’avoue vouloir rester « ami » j’étais plutôt retissant mais pour lui faire plaisir ok. Elle voulait selon elle garder contact parce que j’étais quelqu’un d’important pour elle. Cela fait 1 mois depuis notre séparation et j’ai vraiment du mal a passer a autre chose, tout va bien pendant plusieurs jour je l’oublie je parle a d’autres fille etc mais a chaque fois c’est comme si je tombais dans ce trou encore une fois et je broie du noir et pleure son manque. Pour être honnête je ne sais pas si je pourrais un jour passer a autre chose j’avoue que je l’aime toujours et je l’aimerai toujours. Notre relation s’est finit par les aléas de la vie et j’aurais préféré qu’elle me fasse du mal pour l’oublier plus facilement. Depuis notre séparation nous nous sommes pas dit quoi que ce soit et je l’as vois a travers les réseaux sociaux. J’hésite a la bloquer pour vraiment passer a autre chose quitte a ne plus du tout garder contact. En même temps selon elle elle voulait garder contact mais ne m’as pas dit un mot depuis alors qu’on est censé être « ami ». Au fond je me demande si elle m’as déjà oublié et si elle pense encore a moi. J’ai envie de l’oublier mais faire comme si on était de parfait inconnu est horrible. J’avais une vraie relation si parfaite avec elle et nous étions très connectés. j’attends pas de réponse et j’imagine que juste écrire ça me soulage
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Bonjour, j'ignore si quelqu'un lira ce "sujet" qui concerne le BTS CI (Commerce International), mais voilà c'est la veille de ma rentrée en 1ère année dans ce BTS et je suppose être un peu stressé. Je n'es pas l'habitude de parler sur des forums (je les croyais vides/d'une autre époque...) mais j'avoue avoir l'envie de parler (ce qui est inédit en ce qui me concerne mais ça fera une histoire à raconter dans quelques années). C'est pour cela que j'ai crée ce "sujet" même si je pense que personne ne commentera ou même le lira (ce qui est compréhensible en fin de compte) ou alors dans plusieurs années. Je ne sais pas vraiment de quoi parler en réalité : des études; de l'avenir; de la société et de sa façon de "gérer" ses jeunes etc etc... Je tiens peut-être cette discussion comme une sorte de journal intime mais public, ce qui en fait un journal public (?) bien que je sois anonyme, bref je ne sais pas (je ne sais pas beaucoup de choses au final, je ne suis qu'un jeune ignare). Il est possible que je revienne sur ce "sujet" / discussion demain ou dans quelques jours pour l'agrémenter de mes sentiments concernant cette fameuse rentrée scolaire ou je disparaitrais aussi silencieusement que je suis arrivé.
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Un jeune va aujourd’hui dénoncer les imperfections notables de l’éducation nationale française. Travaillant dans un collège, je suis amené à travailler avec les élèves, les professeurs, et l’administration. Ayant déjà dénoncé les grosses lacunes littéraires de la plupart des élèves ici, je vais aller plus en profondeur dans ce coup de gueule en parlant non seulement de l’imperfection de l’éducation nationale, mais aussi et surtout du laxisme de l’éducation parental. Dans le cadre de mes études en psychologie, je suis venu à me demander pourquoi des élèves de troisième ne savent ni lire, ni écrire, ni compter, ni même parler, ou encore être respectueux envers leurs pairs, ou envers nous. Les professeurs pensent que ces élèves sont cons ; les parents pensent que les professeurs manquent de pédégogie. En travaillant avec et les professeurs, et les parents, je peux affirmer certaines choses : certains élèves sont influençables, et immitent les leaders (négatifs pour beaucoup) ; certains professeurs manquent clairement de pédagogie, cela se voit sur les moyennes, les rapports qu’ils ont avec leurs élèves, le comportement qu’ils adoptent en classe, leur manque de patience et de self-control, etc. Mais je peux également affirmer que certains parents ne font pas leur job comme il faut... Prenons l’exemple de l’élève qui manque de respect quand son professeur lui dit « non », qui est arrogant, et insultant avec ceux qui lui tiennent tête. Pourquoi cet élève est comme ça ? Pourquoi réagit-il comme ça ? Posons-nous ces questions. Les professeurs ne comprennent pas ce comportement déviant, et décide de rectifier la trajectoire en punissant l’élève ; récidivant, l’élève se voit être convoqué à un conseil de discipline. Il est viré une semaine de l’établissement, et en revenant, il ressent de la haine envers l’établissement, les professeurs, l’administration... Et ça recommence. Que faudrait-il faire ? Sans doute se demander pourquoi cela se passe comme ça. En travaillant avec cet élève, en évitant le rapport de force, en me mettant à son niveau, les tensions étaient moindres. Pourquoi ? Parce qu’en faisant preuve d’intelligence, et en ne répondant pas bêtement à ces paroles bêtes et sans aucun sens, cet élève a appris qu’il perdait son temps à essayer de me faire péter un plomb. En prenant rendez-vous avec ses parents, j’ai rapidement compris d’où venait le problème. Des parents largement aisés, un père un peu trop naïf, une mère qui lui pique tout son argent (parce qu’elle ne travaille), hautaine et sans rien dans la tête, il y a de quoi débloquer. L’enfant, habitué à ce que son père lui donne tout, imprégné du comportement insupportable de sa mère, devient rapidement hautaine et insupportable avec ses professeurs. Souffrant d’un net complexe de supériorité, elle ne supporte pas que quelqu’un se hisse au-dessus d’elle. En bref, que faut-il comprendre ? Ce n’est pas la faute des professeurs, ni même celle de l’administration, si l’élève est comme ça. C’est la faute des parents, et aussi de l’éducation nationale. Pourquoi ? L’école est devenu une usine de fabrication à la chaîne. On ne cherche plus à prendre le temps d’enseigner. Il faut que ça aille vite, parce que le programme est long, mais que l’année est courte, entre les vacances, les jours feriés, les ponts, les manifestations, etc. Les conséquences de cette nouvelle éducation sont donc néfastes au bon développement de l’enfant : il ne sait plus rien faire, parce qu’on ne lui laisse pas le temps de comprendre. D’ailleurs, on ne lui demande pas de comprendre, mais d’apprendre par coeur (par exemple, le professeur de français donne la dictée à apprendre par coeur, ce que les élèves font, sans comprendre pourquoi tel mot est écrit comme ça). C’est inutile...
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Aujourd’hui, un jeune veut parler de la religion, cette manière de penser et de voir le monde, cette manière d’agir sur celui-ci. Veut-il en parler, ou veut-il simplement la condamner ? Ca, c’est à vous d’en juger. La religion, qu’est-ce que c’est ? Dans le dictionnaire, il est dit que la religion est un « système de représsentation du monde et de croyances fondé sur la foi, et consolidé par l’accomplissement de rites dans le cadre d’un culte rendu à une puissance céleste ». Poétique, n’est-ce pas ? Allons plus loin, dans cette définition. Quelle est donc cette puissance céleste ? De qui, ou de quoi, parle-t-on ? Que ce soit dans les polythéismes (mythologies), ou les monothéismes (christianisme, islam, judaïsme), LE dieu principal est toujours de sexe masculin. Pourquoi prête-t-on un sexe à une entité que personne n’a jamais vu ? Pourquoi dieu est-il idéalisé sur les statues, les tableaux de maître ? Alors que dieu, s’il existe, pourrait être une femme, une guerrière ? Cela fait ici partie des questions que l’on peut se poser. Dans l’Ancien Testament, chapitre 3, on découvre le premier homme, et la première femme, Adam et Eve. Je ne vous conte pas l’histoire, mais c’est bien Eve qui croque dans la pomme, et non Adam. C’est assez incroyable quand même, qu’encore une fois, la personne qui fait l’erreur, ce soit la femme. Depuis ce jour, la Femme est considérée, dans la religion, mais aussi dans la société, comme le sexe inférieur, le péché originel, le mal en personne. Et après, on cherche l’égalité ? Je pense qu’avant d’obtenir l’égalité, il faut faire table rase de Notre Histoire millénaire, et que l’on recommence tout à zéro, depuis l’an 1.
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