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A propos
Quelques citations collées à mes basques:
Notre vie est un livre qui s'écrit tout seul. Nous sommes des personnages de roman qui ne comprennent pas toujours bien ce que veut l'auteur.
Green (Julien)
La vie et le mensonge sont synonymes.
Dostoïevski (Fedor Mikhaïlovitch)
n'existe que deux choses infinies, l'univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue.
Albert Einstein
La vérité d'un homme, c'est d'abord ce qu'il cache.J'ai appris qu'une vie ne vaut rien, mais que rien ne vaut une vie.
Malraux (André)
On tue un homme, on est un assassin. On tue des millions d'hommes, on est un conquérant. On les tue tous, on est un dieu.
Rostand (Jean)
Deux grands films parmi tant d'autres:
1.-"Le Jour le plus long"
2.- "La Colline oubliée" de Abderahmane Bouguermouh (il parait qu'il a mis 40 ans pour le réaliser)
Quelques extraits récoltés sur le net:
Pour Feuerbach, comme pour Hegel, le Dieu du christianisme est le miroir de l’homme. Mais cette projection de l’essence humaine hors d’elle-même est, pour Feuerbach, contrairement à Hegel, une aliénation.
« L’objet de l’homme n’est rien d’autre que son essence objective elle-même. Telle est la pensée de l’homme, tels ses sentiments, tel son Dieu : autant de valeur possède l’homme, autant et pas plus, son Dieu. La conscience de Dieu est la conscience de soi de l’homme, la connaissance de Dieu est la connaissance de soi de l’homme. A partir de son Dieu tu connais l’homme, et inversement à partir de l’homme son Dieu : les deux ne font qu’un. Ce que Dieu est pour l’homme, c’est son esprit, son âme, et ce qui est le propre de l’esprit humain, son âme, son coeur, c’est celà son Dieu : Dieu est l’intériorité manifeste, le soi exprimé de l’homme ; la religion est le solennel dévoilement des trésors cachés de l’homme, l’aveu de ses pensées les plus intimes, la confession publique de ses secrets d’amour.
Mais si la religion, consciente de Dieu, est désignée comme étant la conscience de soi de l’homme, cela ne peut signifier que l’homme religieux a directement conscience du fait que sa conscience de Dieu est la conscience de soi de son essence, puisque c’est la carence de cette conscience qui précisément fonde l’essence particulière de la religion. Pour écarter ce malentendu, il vaut mieux dire : la religion est la première conscience de soi de l’homme, mais indirecte. Partout, par suite, la religion précède la philosophie, aussi bien dans l’histoire de l’humanité que dans l’histoire de l’individu. L’homme déplace d’abord à l’extérieur de soi sa propre essence avant de la trouver en lui. La religion est l’essence infantile de l’humanité ».
Ludwig Feuerbach, L’essence du christianisme(1841), traduction Jean-Pierre Osier, Maspero 1968, pp 129-130
Marx
Dans la mesure où la religion, selon Marx, rend l’oppression supportable, elle peut être comparée à une drogue dure. Cependant, la religion n’est que le symptôme d’une aliénation plus générale et plus profonde.
« La religion est le soupir de la créature opprimée, la chaleur d’un monde sans coeur, comme elle est l’esprit de conditions sociales d’où l’esprit est exclu. Elle est l’opium du peuple.
Abolir la religion en tant que bonheur illusoire du peuple, c’est exiger son bonheur réel. Exiger qu’il renonce aux illusions sur sa situation c’est exiger qu’il renonce à une situation qui a besoin d’illusion. La critique de la religion est donc en germe la critique de cette vallée de larmes dont la religion est l’auréole.
La critique a dépouillé les chaînes des fleurs imaginaires qui les recouvraient, non pour que l’homme porte des chaînes sans fantaisie, désespérantes, mais pour qu’il rejette les chaînes et cueille la fleur vivante. La critique de la religion détruit les illusions de l’homme pour qu’il pense, agisse, façonne sa réalité comme un homme désillusionné parvenu à l’âge de la raison, pour qu’il gravite autour de lui-même, c’est-à-dire de son soleil réel. La religion n’est que le soleil illusoire qui gravite autour de l’homme en tant que l’homme ne gravite pas autour de lui-même.
C’est donc la tâche de l’histoire, après la disparition de l’Au-delà de la vérité, d’établir la vérité de ce monde-ci. C’est en premier lieu la tâche de la philosophie, qui est au service de l’histoire, une fois démasquée la forme sacrée de l’auto-aliénation de l’homme, de démasquer l’auto-aliénation dans ses formes non sacrées. La critique du ciel se transforme par là en critique de la terre, la critique de la religion en critique du droit, la critique de la théologie en critique de la politique ».
Karl Marx, Contribution à la critique de la philosophie du droit de Hegel (1844), traduction A. Baraquin, dans Critique du droit politique hégélien, Editions Sociales, 1975, p197,
Freud
La religion comme illusion
Pour Freud la religion est une illusion, et non pas une erreur. Freud fournit cependant une explication de l’illusion religieuse tout à fait différente de celle de Marx.
« Ces idées, qui professent d’être des dogmes, ne sont pas le résidu de l’expérience ou le résultat final de la réflexion : elles sont des illusions, la réalisation des désirs les plus anciens, les plus forts, les plus pressants de l’humanité ; le secret de leur force est la force de ces désirs. Nous le savons déjà : l’impression terrifiante de la détresse infantile avait éveillé le besoin d’être protégé –protégé en étant aimé – besoin auquel le père a satisfait ; la reconnaissance du fait que cette détresse dure toute la vie a fait que l’homme s’est cramponné à un père, à un père cette fois plus puissant. L’angoisse humaine en face des dangers de la vie s’apaise à la pensée du règne bienveillant de la Providence divine, l’institution d’un ordre moral de l’univers assure la réalisation des exigences de la justice, si souvent demeurées irréalisées dans les civilisations humaines, et la prolongation de l’existence terrestre par une vie future fournit les cadres de temps et de lieu où ces désirs se réaliseront. Des réponses aux questions que se pose la curiosité humaine touchant ces énigmes : la genèse de l’univers, le rapport entre le corporel et le spirituel, s’élaborent suivant les prémisses du système religieux. Et c’est un formidable allègement pour l’âme individuelle que de voir les conflits de l’enfance émanés du complexe paternel –conflits jamais entièrement résolus -, lui être pour ainsi dire enlevés et recevoir une solution acceptée de tous.
Quand je dis : tout cela ce sont des illusions, il me faut délimiter le sens de ce terme. Une illusion n’est pas la même chose qu’une erreur, une illusion n’est pas non plus nécessairement une erreur. L’opinion d’Aristote, d’après laquelle la vermine serait engendrée par l’ordure –opinion qui est encore celle du peuple ignorant -, était une erreur ; de même l’opinion qu’avait une génération antérieure de médecins, et d’après laquelle le tabès (nom ancien de la syphillis), aurait été la conséquence d’excès sexuels. Il serait impropre d’appeler ces erreurs des illusions, alors que c’était une illusion de la part de Christophe Colomb, quand il croyait avoir trouvé une nouvelle route maritime des Indes. La part de désir que comportait cette erreur est manifeste ».
Sigmund Freud, L’avenir d’une illusion (1927), traduction Marie Bonaparte , Ed. PUF, Coll. Quadrige, 1993, pp 43-44 .
Quelques caricatures pour se faire plaisir:
"Binôme" islamiste fondamentaliste
"Chacha" et sa langue de bois
Le chasseur de chardonnerets
"Tonton Ben"
"No Fly Zone"
Tête de fou
Ce n'est pas en enfermant ton prochain dans une maison de santé que tu prouveras ta raison.
Dostoïevski (Fedor Mikhaïlovitch)
"Douar Salafoumal" vu de loin
"Salafoumal" vu de prés.
Les "Yous Yous" de madame "Jeronimo"
OVNI Objets Voilés Non Identifiés
Sache souffrir,mais ne dis rien qui puisse troubler la souffrance des autres (Fargue Léon Paul)
La foi soulève des montagnes, oui : des montagnes d'absurdité.
Gide (André)
"Sidi Salafoumal" maitrise la techno.
"Salafoumal" perd les pédales
"Bahbouh le mécréant"
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"Salafoumal" sur sa "Pigeout"
"Leon" rugit et ménace
"Leon" met à éxécution ses menaces et ajoute une couche à la couche d'ozone..
"Salafoumal" dans la peau d'un para commando "team six"
" P'tit con" : "one-two-tree"... ou le supporter insupportable...
Seuls les artistes et les enfants voient la vie telle qu'elle est.
Hofmannsthal