Ed.

Bravo ! Il faut lutter contre ce délire qui rend les textes incompréhensibles pour les personnes mal voyantes utilisant des outils de lecture avec synthèse vocale. Même moi, j'ai du mal à comprendre une phrase contenant ce type d'aberration ; ma petite voix intérieure stoppe net sur ces mots imprononçables dans ma tête ; à croire que la personne qui a inventé ce concept (l'invent·eur·rice ?) devait présenter des signes d'anendophasie (absence de monologue intérieur). Alors qu'en est-il des personnes ayant des problèmes de lecture ou de compréhension (dyslexie, déficience intellectuelle, non-maîtrise du français) ? L'écriture « inclusive » est, contrairement à ce que son nom voudrait bien faire croire, un facteur d'exclusion. Elle a été inventée par des désœuvrés en manque de reconnaissance. Pour contourner les problèmes de lecture sur le web, il existe des extensions pour navigateurs permettant réécrire en français correct les phrases incriminées mais les résultats ne sont pas toujours parfaits. Heureusement, avec l'IA, on devrait arriver à s'en sortir. En attendant, je lutte contre ce phénomène à ma façon en bannissant de mes flux d'actualités tous les sites faisant usage de ce mode d'écriture.

Oui, le niveau augmente rapidement...

Je viens de l'installer pour réviser (voire apprendre, pour certaines) mes tables de multiplication mais je sens que je vais vite être dépassé...

Non. Je regarde un film pour me détendre, pas pour me faire des nœuds au cerveau. Ma préférence se porte plutôt sur l'action et le premier degré.

Salut ! Bon, désolé, le fleuriste était fermé... Mais j'ai trouvé de l'ail des ours dans mon jardin, c'est presque pareil.

Sur Android, il est possible, en fonction des jours de la semaine, de définir des plages horaires durant lesquelles on ne souhaite pas être dérangé (notifications, appels, messages). On peut y ajouter des exceptions pour certains contacts ou en cas d'appels répétés d'une même personne en moins de 15 minutes ; cela permet de rester joignable en cas d'urgence.

Si-si, 'l a dit merci ! À ceux qui ont répondu.

L'avantage, c'est que, du coup, la pharmacie n'est pas bien loin.

Difficile de retourner dans les ténèbres après avoir connu la lumière, comme diraient ceux d'à côté. Aujourd'hui, on ne dit plus « Il faudra que je me renseigne » mais « Attends, je regarde... ». Accéder à presque toute information, quasiment n'importe où et n'importe quand ; ne plus se perdre en voiture ou même à pied, n'est-ce pas formidable ? Comment pourrais-je être heureux en sachant que je me prive d'un outil si pratique qui, un jour, pourrait même me sauver la vie ou celle de quelqu'un d'autre ?

Il y a quelques milliers d'années, des gens, sandales aux pieds, bâton de berger à la main et imagination débordante ont conclu à l'existence d'entités mystiques capables d'expliquer leur propre origine ainsi que celle de leur environnement. Aujourd'hui, on dispose d'accélérateurs de particules, on observe des galaxies situées à plus de 13 milliards d’années-lumière mais on n'est pas foutu de détecter ou de trouver quelque chose qui pourrait laisser supposer que ce qu'avait imaginé nos ancêtres existe vraiment... Il serait peut-être temps pour certains de se remettre en question...

Ou pour Tampax...

Je ne supporte pas non plus le véritable bruit blanc, celui qui ressemble au bruit que fait un vieux poste de radio qui ne capte aucune station. On trouve cependant beaucoup de vidéos qui sont présentées comme une diffusion de bruit blanc alors qu'il s'agit en fait de bruit brun (également connu sous le nom de bruit rouge) quand il ne s'agit pas carrément d'un enregistrement de clapotis... Pour en revenir au bruit brun, je le trouve plutôt apaisant, il ressemble à un bruit de ventilation assez étouffé, un peu comme si on se trouvait dans un vaisseau spatial. Pour écouter un échantillon de bruit de différentes couleurs, c'est par ici : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Bruits_colorés

Ou qui prend tout au pied de la lettre. L'utilisation occasionnelle d'un smiley pour réponse donne un aspect naturellement humain à la conversation, normal que cela se produise parfois. Ce type de formulation ultra courte fait donc partie des réponses possibles. Si tu lui as explicitement demandé d'être concis, la brièveté des réponses est devenu un paramètre important pour les échanges ; pas si surprenant qu'il choisisse alors la réponse la plus courte possible si celle-ci est correcte et suffisante. L'interprétation de vexation vient de toi et c'est toi qui l'injecte dans la conversation, ce qui te vaut sa réponse plus innocente que sarcastique à en juger par l'emploi du smiley plutôt que ou . Mais j'y pense... Ton post était peut-être juste une blague pour nous faire marrer... Ce qui voudrait dire qu'en matière d'interprétation, humains et IA ont encore des progrès à faire.

Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. Je me suis contenté, suite à la publication de votre source, de chercher le lien entre la présence manifeste d'opinels dans les sacs à dos et le récent intérêt des rappeurs pour ce couteau. Même si une trop grande part du rap fait l'apologie du crime en mettant en musique les « faits d'armes » supposés (ou présentés comme tels) des protagonistes, il est bien évident que ce n'est pas cette idéologie de gangsters qui engendre des tueries de masse. Cela dit, dis-moi quelles sont les paroles de la musique que tu écoutes et je te dirai qui tu es.

D'après l'article, les jeunes ayant adopté cette arme (car dans ce cas, il s'agit bien d'une arme) seraient des amateurs de rap. Ce couteau semble avoir séduit quelques quelques rappeurs (peut-être pour la rime en « el ») au point qu'ils en vantent les mérites dans leur clips. Mais pourquoi le rap serait-il plus coupable que le cinéma ou les séries violentes ? Tout simplement parce que dans la tête de ces jeunes et parfois même dans la réalité, il n'y a pas de grande différence entre le personnage joué sur scène et l'homme qui se cache derrière. Pour eux, c'est clair, ce que le rappeur chante, c'est ce qu'il a vécu et c'est l'exemple à suivre.

Oui mais c'est parce qu'il s'agi(ssai)t d'un outil basique indispensable au quotidien pour casser la croûte en forêt ou dans les champs, pour effectuer une réparation de fortune sur un équipement agricole, etc. Moi-même, quand j'avais dix ans, j'avais mon opinel dans la poche car je passais une bonne partie de mon temps libre dans le jardin ou dans les bois. Même si le couteau de poche a encore aujourd'hui son utilité en pleine nature, sur un chantier ou dans un atelier, il n'a plus de place légitime dans la société urbaine où l'individu n'est plus autant exposé à des situations imprévues susceptibles d'être réglées à l'aide de cet outil.

Au Japon aussi, depuis 20 ans : https://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2005/06/13/a-tokyo-les-wagons-reserves-aux-femmes-font-l-unanimite_661399_3216.html . Mais cela n'a pas totalement résolu le problème. Même si ce pays est réputé pour le respect qu'ont les gens les uns envers les autres, ce type d'agression est un fléau depuis des années. Une application mobile a également été développée ; pas pour prévenir la police, simplement pour demander à voix haute à l'agresseur de cesser ces agissements (parce que c'est mal vu de parler dans les transports en commun).

Normalement, pas besoin ; la sirène est censée surprendre l'agresseur et le faire fuir dès que l'attention de tout le monde alentour est portée sur lui et sa victime.

Le problème, dans ce genre de situation stressante, c'est que parfois, bien qu'on ait envie de hurler, aucun son ne sort. Un équipement qui ne pose pas de problème de légalité : la sirène miniature 130 dB. Si toutefois c'est bien aussi bruyant qu'annoncé.

Il faudrait déjà se demander si la mauvaise humeur du matin ne serait pas tout simplement due à un manque de sommeil. Car le manque de sommeil nuit à compréhension de l'environnement et rend irritable. Il peut alors en résulter des problèmes d'inattention et de maladresse pouvant mener à toute sorte de bévues, incidents, accidents ou catastrophes.

Je reviens juste pour apporter une petite précision à propos de cette suspicion de misanthropie à mon égard. J'aime mes semblables (hormis ceux qui font preuve d'arrogance et/ou de méchanceté) et je fais tout pour les aider au quotidien, que ce soit au travail ou en dehors et j'y prends même du plaisir ; c'est juste leur compagnie qui est, pour moi, comme une privation de ma liberté, a fortiori lorsqu'il s'agit pour eux de venir m'importuner dans mes occupations pour un motif futile.

Accepter le contact avec les autres, c'est prendre le risque de ne plus pouvoir s'en débarrasser ou de devoir batailler ferme pour refuser tout ce qu'ils sont susceptibles de nous proposer. C'est pourquoi, chez moi, je fais le mort. En vingt ans, la seule fois où j'ai ouvert les volets et où je me suis assis devant ma porte-fenêtre pour réparer ma vieille horloge comtoise, c'était en 2020, durant le confinement. Les quelques joggeurs improvisés qui pouvaient passer devant chez moi n'avaient d'autre choix que de tracer leur route. Image d'illustration.

Bonjour, Déjà, ce pseudo-sujet est bien orienté dans ce sens ; comme si, dans chaque manga, il y avait forcément des combats... Ensuite, la vision du manga qu'ont la plupart des gens est celle véhiculée par les anime diffusés à la TV depuis des décennies tels que les interminables incontournables séries Dragon Ball ou Naruto. Mais bon, c'est un peu normal, ce genre d'histoire est facilement compréhensible par le jeune public : le gentil se bat contre le méchant. Si on creuse un peu, on s'aperçoit que les mangas classés dans cette catégorie sont loin de représenter la majorité des œuvres disponibles. Après une rapide recherche dans la base de données d'un site spécialisé, parmi tous les mangas qui y sont répertoriés, tous publics confondus (hors interdit -18 ans), le genre action ne représente qu'un quart des publications ; le tag combats n'y étant présent que pour 5 % d'entre elles.

N'étant pas trop dépensier, j'ai rarement besoin de compter tout mon argent. Durant les vingt dernières années, ça a du m'arriver trois fois : une fois pour un prêt immobilier et deux fois pour changer de voiture. La plupart du temps, je me contente de surveiller le solde de mes comptes sans pour autant faire le total.