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Tout ce qui a été posté par Valona
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Sirielle J'adore tes goûts musicaux et la vidéo que tu as posté. C'est tout à fait en adéquation avec tes écrits et ce que je peux percevoir de ta personnalité à travers tes mots. Merci. Bisou
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Salope Il y a ceux qui ont compris que dans le cadre du sujet, ce terme appartient à la sphère privée. Qu'il n'y a pas là matière à s'offusquer. Qu'il y a peut-être au contraire de quoi engager des échanges sur des situations vécues. Des témoignages sur les réactions, les ressentis et les impressions. Peut-être même les sensations induites par cet adjectif particulier. Dans une sincérité qui n'appartient évidemment qu'à celles et ceux qui "pratiquent". Les autres devraient choisir un autre sujet. Comme la rubrique "cuisine", "bricolage" ou encore "loisirs" par exemple. Il y a les hypocrites qui viennent pontifier. Il y a les "jolis cœurs" qui pour se faire passer pour des vertueux montent au créneaux du ridicule en s'écriant : << insulte >> ou encore << injure >> en passant bien évidemment par les poncifs propres à ces individus peu fréquentables comme << manque de respect >> ! En tant que filles, dans le cadre stricte de la sexualité, cet adjectif résonne à mon oreille comme une sorte de "récompense" après une attitude, une situation ou encore après un acte. N'en déplaise à tous les "frileux", les chafouins, les menteurs, les manipulateurs de "vertus" et les faux moralistes... Bisou
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Salope Pour n'importe quel homme normalement constitué, il doit être d'un ennui profond d'être avec une femme qui ne l'est pas ! Non ? Bisou
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Salope J'avoue prendre beaucoup de plaisir à l'être parfois. Ce qu'en pensent les hommes m'indiffère complètement. C'est exclusivement pour moi et les émotions que cela me procure. Mes penchants exhibitionnistes s'en retrouvent sublimés. Je suis avant tout un être humain qui est fait d'un peu de tout. Je ne saurais trop recommander à chacune de l'être davantage de temps à autre. Bisou
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L'érotisme Une mise au point nécessaire. C'est mon sujet de prédilection. Après mes chères études, l'équitation, les arts martiaux et la nature, l'érotisme est une passion. Depuis le début de l'adolescence, j'ai toujours été attirée par l'érotisme. Peut-être même avant déjà. C'est apparu comme ça, d'une façon assez nébuleuse. Doucement. Insidieusement. Dans la solitude de ma chambre j'aime toujours encore me livrer à l'exploration de l'érotisme. Je m'auto érotise avec bonheur. A cet effet, le miroir de mon armoire reste mon plus fidèle ami. Tel Narcisse j'aime à m'y contempler. Lorsque j'avais 15 ans, j'ai commencé à me vêtir de manière suggestive. D'abord pour faire plaisir à mon miroir. Puis très rapidement pour me faire plaisir à moi-même. Je suis une de ces filles dont l'image renvoyée par le miroir flatte terriblement l'égo. J'aime y étudier mes vêtures, mes poses. J'aime me provoquer par des attitudes. J'adore l'image que je renvoie. Dans les positions que je prends en jupe, en robe, j'aime savoir jusqu'où je peux jouer. Je sais par cœur les limites que je dépasse lorsque je veux m'amuser. A l'adolescence j'ai fait une merveilleuse découverte. Je suis de nature exhibitionniste. Au début, je culpabilisais un peu. Cette vieille culpabilité judéo chrétienne alors que mes parents ont toujours pris le plus grand soin de m'éviter toutes éducations tendancieuses. M'évitant toutes les prisons mentales de la religion. Mais, dans un pays latin, il est impossible d'y échapper. Ne serait-ce que par les amis du lycée. Cette nature exhibitionniste m'a apporté tant de plaisirs, de satisfactions et il faut bien le préciser, de jouissances, que j'en nourrie chaque déclinaison avec amour. Je suis aussi voyeuse qu'exhibitionniste. Dans ce domaine j'ai le privilège d'avoir tous les vices. Je peux aller de l'un à l'autre avec un égal bonheur. Je l'assume totalement. J'en éprouve fierté et contentement. Dissimulée derrière l'anonymat d'un pseudo, sur les forums où j'enchante un lectorat fidèle, j'apprécie de publier régulièrement quelques récits tirés en "copié/collé" de mon Blog personnel. Ce sont toujours d'amusantes anecdotes où je relate d'authentiques petites histoires vécues. Ce n'est jamais pornographique. Je déteste la grossièreté et j'évite soigneusement toutes formes de vulgarités. J'aime l'excellence dans l'expression écrite. Dans la sémantique. Je me mets en scène aussi bien par l'écrit, dans l'univers virtuel que dans la réalité. Par contre il est tout à fait exclu de publier des photographies personnelles. Il y a une abondance de demandes dans ce sens sur la messagerie privée de mon Blog. C'est totalement exclu. Je le précise encore une fois sur cet espace. Mes récits seront autant d'exhibitions textuelles. De quoi alimenter n'importe quelle libido désireuse de s'encanailler un peu. Femmes ou hommes. Celles et ceux que le sujet n'intéressent pas s'abstiennent de poster des commentaires inutiles auxquels je ne réponds jamais. Leurs avis et leurs opinions m'indiffèrent. Je ne viens pas débattre mais publier. L'érotisme étant à mes yeux un sujet bien trop "sacré" pour qu'il soit abordé par des individus n'ayant aucun sens du "sacré". J'invite donc les amateurs du genre, véritables voyeurs épistoliers à découvrir ici les histoires "croustillantes" que je me propose d'offrir de manière régulière. Jamais sur ce Blog mais sur ce superbe forum, dans la rubrique "sexualité". Allez-y, vous n'en reviendrez pas ! Je souhaite à toutes et à tous de bonnes découvertes. Dans la joie. Dans le respect. Dans l'humour. Sans vulgarité. Avec "doigté"... Bisou
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L'indicible plaisir de la transgression J'ai le privilège de vivre à la campagne, dans un endroit retiré, isolé. Dans notre grande demeure, avec mes parents, nous pouvons vivre cette situation particulière dans les toutes meilleures conditions. J'ai ma chambre à l'étage. Une grande salle de bain pour moi toute seule. Au fond du large couloir il y le balcon qui donne sur la petite colline, sa forêt. C'est une image majestueuse. Source de calme intérieur, de sérénité et d'une douce plénitude. La saveur élégiaque d'une vie loin de tous tourments. Depuis toute petite je vis ici une existence exaltante. Lorsque je sors par une des deux portes fenêtres du grand salon, que je descends les quatre marches en demi cercle du perron, je me retrouve sur la pelouse. Le grand bassin. Son petit pont en bois. Avec les beaux jours, nous mangeons dehors, à l'ombre du saule pleureur. Papa a sorti le mobilier de jardin dès la mi avril. Je retrouve la balancelle où j'aime à m'installer sur les épais coussins pour lire. Lorsque maman vient me rejoindre, je la sollicite. Elle me pose des questions et je donne les réponses. Cela l'amuse. Ce sont des exercices. Mes cours en ligne en abondent. Je descends le long de la rangée de cyprès. Là, entre les haies de lauriers et de houx, je peux observer sans être vue. Il y a environs trois cent mètres jusqu'à la poterne. De là, je peux sortir de notre propriété à la hauteur du pré. Il fait environ deux cent mètres dans sa largeur. Je le traverse en longeant les fourrés sur sa gauche. J'arrive sur le sentier qui longe la rivière. C'est un sentier escarpé. En contre bas, la rivière. Large de six mètres. En marchant trois cent nouveaux mètres, ses eaux deviennent tumultueuses pour se transformer en torrent. Deux mètres plus bas. Il est impossible d'emprunter ce sentier, sur ses trois kilomètres autrement qu'à pieds. Il y a des endroits réellement dangereux. A tel point que sur son côté gauche, une chaîne est fixée dans la roche. Le torrent est à trois mètres plus bas. Les roches forment là les marches d'un escalier naturel. Je connais ce sentier dans ses moindres méandres. Je viens y rôder seule depuis mon adolescence. Il y a deux miradors. On y accède par une étroite sente qui grimpe la pente sur une vingtaine de mètres. Je monte sur un des miradors encore très souvent au premiers beaux jours. Là, en haut de l'échelle que je tire, je peux surveiller les deux sens du sentier. J'ai passé là tant d'après-midi avec mes livres, des petits gâteaux, ma bouteille de jus de fruits. Ma petite paire de jumelles. C'est ici que je me suis initiée aux plaisirs de "voir". Rester dissimulée pour observer. J'en ai vu des choses ! Pas sur le sentier. Mais de l'autre côté, à une cinquantaine de mètres. Un lieu de rendez-vous "secrets". Mais aussi un lieu de promenade des cueilleurs de champignons à l'automne. Ils s'en passent quelquefois de "belles" dans les coins retirés. Exquis. J'ai donc passé beaucoup de temps ici durant ce confinement. Au-dessus du sentier, un peu partout, l'épais feuillage des acacias. Je peux donc évoluer ici, comme en temps normal, tout en restant totalement invisible. Je n'y ai jamais croisé personne. A part un agriculteur, sur son tracteur, de l'autre côté de la rivière, dans son champs. Jusqu'à lundi dernier. Un promeneur. Un autre "évadé" vivant les indicibles plaisirs de la transgression. Le bourg est tout de même à près de 4 km. Il ne m'a pas vu. Je reste invisible. Prudente. Secrète. Mais moi je l'ai vu. Deux fois. Je n'ai absolument aucune intention d'entrer en contact avec qui que ce soit. J'aime la solitude. J'ai l'extrême privilège d'être fille unique. Personne pour disputer ma couronne de "Reine". Depuis quelques jours, je suis "confinée" à l'intérieur. Il fait une météo épouvantable. La pluie. Le vent. Cette détestable fraîcheur. Je mets cette fatalité à profit pour prendre de l'avance sur mes cours en ligne. J'aime surprendre mes professeurs. Leurs visages étonnés quand ils m'entendent développer les prémices du concept qu'ils enseignent. Mais j'attends mes prochaines escapades. Bisou
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Fêtes Dans beaucoup de domaines, je déteste suivre les tendances, les modes et les mouvements. J'aime à conserver ma réflexion intacte. J'aime à garder un certain recul. Que ce soit envers les actualités, les informations ou encore les "nouvelles". Je partage l'avis de papa. Pour lui, il n'existe plus de véritables journalistes. Ce ne sont plus que des animateurs d'actualités. Sachant que les médias ne sont absolument plus soucieux de la moindre vérité, il est préférable de conserver ses facultés mentales. Elles permettent la légitime défense devant les agressions médiatiques. La saint Valentin s'inscrit tout à fait dans ce dictat médiatique. Il est question de nous faire dépenser de l'argent pour autant de futilités inutiles. Contrairement à Noël par exemple, qui reste une fête civilisationnelle, la saint Valentin n'est rien d'autre une invention mercantile sans fondements. Si j'avais un chéri, la saint Valentin serait le seul jour où je refuserai toute invitation. Par respect pour nous. Par respect pour nos sentiments qui valent infiniment mieux qu'une "célébration" gastronomique. Comme c'est souvent le cas. Je trouve cela aussi commun que la Chandeleur. Par contre, il y a une fête à laquelle je sacrifie tous les dimanches en fin d'après-midi. C'est la saint Jonathan. Le lecteur qui suit mes interventions sur le forum, sait à quel point la saint Jonathan est devenue un véritable rituel. J'y voue un véritable culte. Une fête autrement plus gratifiante qu'une saint Valentin ou qu'une saint Dupont. Et cela ne se passe dans aucun restaurant. La saint Jonathan se fête dans la chambre de Jonathan. Les bijoux qu'il m'offre sont de famille. J'aime leurs opalescence laiteuses. Leurs reliefs secrets et mystérieux. Pas besoin d'écrin. Et comme me le dit Jonathan entre deux cours, à la Fac, la saint Claude qui suit la saint valentin, est une fête infiniment plus plaisante. Saint Claude, dans le Jura. La capitale d'un artisanat très particulier. Jonathan, plein de malice, m'invite d'ailleurs à aller découvrir cette petite ville. D'y fêter la saint Claude au printemps. A Pâques par exemple. Il me fait beaucoup rire. J'aime les garçons qui me font rire. << Si nous fêtons la saint-Claude, tu auras le plus délicieux des "festins" ! >> me promet il. Bien évidemment, je sais parfaitement à quoi il fait allusion. Le coquin. Je ne connaissais pas cette petite ville du Jura. Je suis allée visiter des sites touristiques. Il y a des vidéos sur Youtube. Lorsque j'ai découvert l'artisanat local qui a fait la réputation de Saint-Claude, j'étais pliée de rire. Je comprenais enfin les allusions de Jonathan. Je ne suis pas contre la visite de cette commune du Jura. Lorsque j'en ai parlé avec papa, il a éclaté de rire. << Valona ! Voyons ! >> a rajouté maman qui avait beaucoup de peine à cacher le fou rire qui la gagnait. Ainsi, papa et maman connaissaient Saint-Claude ! J'ai encore bien des choses à découvrir. Toujours est-il que je vais fêter la saint Jonathan dès demain, dimanche. Et je m'en réjouie... Bisou
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J'aime écrire C'est un de mes plus grands plaisirs. Pas seulement parce que j'aime partager mais parce que le simple fait d'écrire me projette dans un indicible bien être. C'est à la fois revigorant, gratifiant et satisfaisant. Ce qui explique ma propension à publier du texte. Je le fais évidemment de préférence sur mon Blog. Mais je le fais également sur les forums où j'interviens. J'ai mon panel de lecteurs fidèles. Sur mon Blog, à ce jour, (dimanche 18 janvier 2020), il y a 2878 visites. Et 2207 lectures. La différence s'explique par un phénomène très simple. L'album photos. C'est un blog érotique. Ce qui explique que 671 visiteurs sont allés directement dans l'album photos. Dans l'espoir d'y découvrir quelques grivoiseries. Hors, dans l'album photos de mon Blog, ce ne sont que les paysages que je mets en vignettes sous mes récits. Ces 671 visiteurs ont tout simplement zappé les textes. 671 visiteurs sans doute confrontés à des difficultés de lecture, d'un niveau d'instruction trop bas ou alors exclusivement animés de la pulsion imbécile de découvrir d'éventuels clichés cochons. Que nenni. Le voyeur en est pour ses frais. Cela m'amuse beaucoup. C'est d'ailleurs un piège que je tends aux curieux, aux voyeurs et aux incultes. Pourtant, celles et ceux qui suivent mes récits, ici ou ailleurs, savent à quel point ces derniers sont attrayants, attractifs et "torrides". Si pas "croustillants". Je les laisse imaginer les écrits sulfureux de mon Blog. Un Blog que je ne désire pas référencer. Un Blog qui n'apparaît donc sur aucun moteur de recherche. Un Blog pourtant visité plusieurs fois par jour depuis sa création, en mai 2019. Une moyenne de 319 visites mensuelles. Un succès. J'en suis assez fière. C'est une joie. Lorsque je publie un nouveau récit sur mon Blog, j'en compose un résumé succin. Je peux ainsi le partager avec mon lectorat. C'est un exercice que j'aime pratiquer. Cela oblige à se limiter. J'excelle dans cette discipline. Au lycée, mes professeurs m'encourageaient à l'écriture. Ils étaient ravis de découvrir mes proses. Je me souviens qu'un de mes textes avait été affiché durant un mois sur le tableau central en salle de documentation. De façon anonyme. Il était demandé aux élèves qui le lisaient de laisser une appréciation. C'était souvent dithyrambique. Ces simulations d'auteurs connus mais volontairement gardés anonymes, me flattaient. J'en remerciais mon professeur de français. Cela m'encourageait bien évidemment à continuer. J'exigeais toutefois un total anonymat. Dans une classe de lycée, c'est comme sur un forum, il y a les jaloux et leurs commentaires acerbes. Déjà au lycée, les plus stupides prétendaient, plein de suffisance et de fatuité : << C'est un garçon qui écrit ça ! Pas une fille ! >>. Evidemment, pour les sots, les filles ne sont pas capables de telles choses. Chacun comprendra. Et nous sommes en 2020 ! Mon fantasme de publier un jour me taraude. Lorsque je m'attellerai à ce projet, je n'aurai qu'à puiser dans mon Blog pour aller chercher l'inspiration. Mon Blog restera comme une archive infaillible. J'ai d'ailleurs en projet de tirer tous mes récits, (plus de 40), sur papier. Il faut simplement que je trouve l'endroit idoine, (et secret), où je pourrai conserver mes documents "papier". Il est évidemment hors de question qu'ils tombent entre d'autres mains. Surtout celles de mes parents. Même si maman me connaît bien, elle ne sait pas tout. Heureusement. J'aime aller sur mon Blog comme j'aime à aller sur les forums où je publie. Même si le temps d'écrire, à cause de mes études, me manque cruellement... Bisou
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La drague = crime masculin. Vers la fin de la séduction hétérosexuelle
Valona a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
La drague = crime masculin. Vers la fin de la séduction hétérosexuelle Messieurs, rassurez-vous, nous ne sommes pas toutes sottes et stupides. Certaines d'entre nous, dont je fais partie, aimons même à draguer. Parfois effrontément. Pour nous l'égalité des sexes n'est pas une chimère. Ou un concept abstrait à la mode. Même si certains messieurs ont un comportement d'homme des cavernes, lourdingues, pénibles et mal rasés... Courage. Ce n'est qu'une sale époque à passer... Bisou -
La drague = crime masculin. Vers la fin de la séduction hétérosexuelle
Valona a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
Je ne suis pas féministe mais je déteste les machos. Je m'estime suffisamment intègre et réfléchie pour ne pas avoir à appartenir à un dogme. Je suis aussi indépendante d'esprit que je le suis physiquement. J'aime beaucoup feuilleter "Marie-Claire" dans une salle d'attente. Partout ailleurs c'est sans aucun intérêt... Bisou -
La drague = crime masculin. Vers la fin de la séduction hétérosexuelle
Valona a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
Ne vous y prenez pas. Laissez vous faire. Nous sommes une immense majorité à aimer "ça"... Bisou -
La drague = crime masculin. Vers la fin de la séduction hétérosexuelle
Valona a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
Féminisme Je suis une fille. J'aime les garçons. Dans ma fac aussi, il y a des féministes. Ces petites grosses aux cheveux courts, aux pieds plats et mal habillées. Tellement frustrées qu'aucun garçon ne s'intéressent à elles, qu'elles en éprouvent de la haine. Ce désintérêt se manifeste par toutes sortes d'attitudes aussi médiocres qu'insanes. Un manque d'intérêt manifeste qui pousse à la revanche, à la vengeance et à la méchanceté. S'en suivent l'intolérance pour terminer par un sexisme pitoyable. Je conseille à tous les garçons, ayant un minimum de dignité, de se détourner à tout jamais de ces individus... Bisou -
Stratégies Il y a des filles, à la fac, qui mettent au point de véritables stratégies pour piéger des mecs. Pour se venger d'un "ex" par exemple. Tous les chantages les plus ignobles sont passés en revue par de véritables salopes. Certaines n'hésitent pas à mentir. Prétendants même avoir été victimes de harcèlements sexuels ou même encore carrément de tentatives de viols. Elles avancent de telles assertions par vengeance ou par rancune. Mais aussi pour suivre un "plan" bien préparé. Ça devient vraiment malsain chez certaines. A tel point qu'il y a des mecs qui les menacent à leurs tour de leurs faire passer l'envie de continuer les hostilités. Il y a toutes sortes de rumeurs. Entre celles qui exercent de véritables racket pour le prix de leur silence et celles qui se font intimider par des mecs masqués armés de matraques pour leurs faire passer l'envie de continuer. Ce ne sont que des rumeurs. mais cela devient tout de même très inquiétant dans les rapports entre les mecs et les meufs. Et nous sommes dans une fac de sciences. Qu'est-ce ça doit être dans les sections "bac pro" chez les esthéticiennes et les coiffeuses ! Entre les vérités et les mensonges il y a tout l'éventail des manipulations, des chantages et des intimidations. C'est lamentable. J'ai même des consœurs qui envisagent de se marier, d'avoir un enfant rien que pour pouvoir divorcer le plus rapidement possible et toucher la pension. Beaucoup de mecs, tellement cons se précipitent dans le piège. Un sexe à la place du cerveau. Mais également victimes d'un romantisme d'un autre âge que l'immense majorité des femmes ont laissé depuis longtemps au passé. Comme je suis contente d'être loin de tout ça. Mes petites manies, mes petites déviances, me comblent mille fois plus... Bisou ____________________________________________-
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Réponses 1 - Si, bien évidemment. Il suffit de découvrir mes récits sur ce forum. J'y étale mes petites aventures. 2 - Oui, j'ai 21 ans depuis mars. Bisou
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Oui. Car c'est toujours moi qui décide ce qui est bon pour moi. Tout comme le fait un homme. Je suis une fille de mon époque souvent confrontée à des hommes surgit de la préhistoire... Je vous embrasse
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Drague Je n'apprécie pas trop de me faire draguer. Je déteste me faire aborder. Par contre j'aime bavarder avec des inconnus dont je perçois la "neutralité". Il y a parfois de ces "boulets", de ces "lourdingues", de ces pénibles. Je les plante là sans même leurs répondre. Ils le prennent comme ils veulent, je m'en moque éperdument. Par contre, lorsqu'un garçon m'attire, je sais le lui faire comprendre. Après, c'est à lui de "briller". Ce qui est hélas rarement le cas. Ils se dévoilent rapidement. C'est dommage. La vie, c'est un peu comme à l'école. Les filles sont souvent travailleuses et intelligentes. Les garçons sont souvent attirés par les futilités et un peu stupides. Je n'hésite pas à draguer. Mais c'est toujours pour m'amuser et certainement pas pour "conclure"... Bisou
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Xavier Dupont de Ligonnès arrêté en Écosse
Valona a répondu à un(e) sujet de Constantinople dans France
Xavier Dupont de Limonade Pshitttttttttttttttt -
C'est ça le problème. Le communautarisme. Ce nouveau communautarisme qui s'apparente à du sexisme et qui perdure. Je suis une fille mais jamais de la vie je ne voudrai appartenir à une telle communauté. Il y a quand même énormément de connes dans le tas. Je préfère restée indépendante. Tant dans mes actes qu'en esprit. Dès qu'on est plus de quatre, on est une bande de cons. (Georges Brassens) Bisou
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Masculinité En tant que fille, je suis beaucoup plus intéressée par la masculinité. Votre vision des choses est délicieusement romantique. D'un romantisme légèrement surannée. Si je regarde les femmes dans les médias, autour de moi, dans mon tissu social ou en fac, je n'y vois pas beaucoup de retenue. Je n'y vois pas beaucoup de délicatesse. Je n'y vois aucune discrétion, (et certainement pas éclairée). Mes consœurs manquent quand même cruellement de tout ce que vous leurs prêtez. De l'éloquence ? Vous voulez évoquer des "pointures" capable de s'exprimer par l'écriture ? Amélie Nothomb. Sandrine Sarroche. Emily Brontë. Et quelques autres littéraires de hauts niveaux ? Forcer un homme ? Il y a quelques méthodes plus efficace pour forcer l'homme à l'écoute. Mais pourquoi le "forcer" ? A t-il vraiment besoin d'être forcé à quoi que ce soit ? Laissons lui son libre arbitre afin qu'il nous ravisse de ses initiatives. Les parfums ? C'est vrai que dans certains endroits, (restaurants, avions, salle d'attente, etc...), ça sent parfois très fort la cocotte, sinon la "poule". Un homme qui ne serait rien sans la femme, serait-il réellement intéressant auprès de celle-ci ? Chacune d'entre nous le désire au contraire brillant, attractif, intelligent et capable d'une réflexion propre. Ras-le-bol de les materner. J'aime beaucoup votre vision très XIXème de la femme. Vous êtes adorable... Bisou
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Féminité Il y a autant de façon d'être féminine qu'il y a de femmes. Vouloir mettre une étiquette sur les comportements humains, c'est faire le jeu des psychanalystes à la petite semaine... Bisou
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Un curieux ressenti Cet après-midi, avec maman, nous sommes allées à la FNAC. C'est la grande librairie dans la ville voisine à 12 km. C'est toujours un peu la fête lorsque nous partons toutes les deux en "expéditions". J'ai commandé les livres demandés pour ma rentrée de lundi. Ils sont tous arrivés. Nous garons la voiture à dix minutes du centre. Il faut marcher un peu. Nous flânons en regardant les vitrines des boutiques qui nous plaisent. Moi, j'en profite pour lorgner un peu du côté des garçons. Voire un peu "ce qui se fait " pour la rentrée prochaine. Discrète, maman fait pareil. Nous en rions toutes les deux. J'adore ses commentaires. C'est toujours une vision très juste et pleine d'à propos. De dérisions également. La mode pour les garçons, car il existe forcément une mode digne de ce nom, n'a pas l'air de connaître le succès. Entre les crétins en survêtements, souvent à capuche avec ce soleil, les idiots dont le fond du jeans pend entre les cuisses au point qu'ils donnent l'impression d'avoir chié dedans, les types en "pantacourts" et au T-shirt comme une affiche publicitaire, c'est assez déconcertant. Parfois, heureusement, il y a parfois un garçon bien coiffé, en polo Ralf Lauren, en pantalon clair à plis et chaussé de mocassins. En plus, ce sont souvent des mecs supers beaux. Look tennisman qui leurs va à me ravir. J'en soupire. Même maman me fait parfois du coude en me chuchotant : << Regarde. Celui-là, il est beau comme un dieu. Et quelle classe ! >>. Maman est une femme de goût. Je n'ai qu'à regarder papa pour en avoir chaque jour la confirmation. Sur les photos où ils avaient tous deux 20 ans, il est aussi beau qu'un acteur américain d'Hollywood. C'est à la FNAC, au rayon des livres universitaires, qu'il y a les plus beaux "spécimens" ce vendredi après-midi. Les étudiants venus chercher leurs fournitures. Si je voulais me mettre à la colle avec un garçon, c'est probablement ici que je viendrai faire mon marché. Il y a d'ailleurs certains d'entre eux que je verrai lundi, à la rentrée. Mon dieu, qu'ils sont craquants avec leurs mèches rebelles, leurs polos et leurs pantalons blancs. Il y a aussi le style "banlieue" qui me débecte à en vomir et qui me laisse d'une indifférence abyssale. Le look de l'horreur. Ce soir, sur l'ordinateur, je suis allé sur des sites de mode masculine. Wouah ! Il y a de ces mecs. C'est un comme ça qu'il me faut. Papa en jeune. Je veux qu'il me fasse craquer toute ma vie. Qu'il soit évidemment doté de l'intelligence d'exception en adéquation avec un physique d'exception. Attention. Gare ! Je suis jalouse et possessive. Mais je sais pouvoir accaparer toute son attention. De la façon dont tous ces beaux garçons me regardent, pas de doute, je suis à la hauteur de mes attentes. C'est merveilleux de se sentir admirée, désirée et déjà adulée... Bisou
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Mes petites histoires J'en profite. Je suis en vacances avec mes parents. J'ai enfin une excellente connexion immédiate. Nous sommes chez mon tonton et ma tata. Je suis souvent obligé de materner ma cousine. Nous nous voyons tous les ans. En été. Cette fois, je me rends compte à quel point cette fille de 20 ans devient de plus plus ennuyeuse. Gourde parfois. Aussi, je n'ai plus qu'un impérieux besoin, m'en isoler à chaque fois que c'est possible. Je reste souriante et affable. Je ne suis pas du genre à montrer mes ressentis ni mes sentiments. Même ennuyée. Jamais frontale. Nous sommes le 11 aout 2019. Encore un mois avant de rentrer avec l'avion. J'attends avec impatience le moment du départ. Ici, chaque déplacement dure des heures sur des autoroutes à huit voies dans une ville qui n'en finie plus d'étaler ses 80 km de banlieues alternants avec de faux centres ville. Tout est à une échelle différente. Gigantesque. Il fait beau. La température extérieure ne dépasse que rarement les 28°, toute l'année. Il n'y a pas de réelles saisons. La nuit il fait 22°. C'est donc un climat des plus agréables. Très supportable. Les gens sont assez superficiels. Je me demande s'il est possible de nouer de véritables relations d'amitiés avec quelqu'un. Tout est tellement surfait, obséquieux, plein de fatuité et de suffisance. Vivement mon groupe d'amis, mon université et la rentrée du lundi 16 septembre. C'est la toute première année où ce sentiment d'ennui est aussi récurrent. Nous partons trop longtemps. Chaque été c'est au moins deux mois. Et toujours dans cet Etat, dans ce pays immense. Je crois que maman partage ce même sentiment. Elle n'en parle pas. Aussi, j'écris beaucoup. Ces petits récits que j'aime à poster sur mon Blog lorsque la connexion le permet. Je les garde dans mes archives, sur Word. Il y a déjà là de quoi amuser mes lecteurs pour de futures publications. J'y relate mes petites expéditions coquines. Mes expériences ludiques. Mes aventures exhibitionnistes. Je suis pressée de me retrouver chez nous. Dans notre région. Retrouver mes petits endroits secrets. Renouer avec mes mises en scènes et les situations dont je raffole. Ici, ce n'est pas possible. Pas judicieux. Tout le monde est "fermé". Ici, les féministes ont fait tellement de mal à tout l'environnement social que dès qu'un homme croise une fille seule, il prend peur et s'enfuit en courant. J'exagère à peine. Les ravages causées par ces frustrées de leur condition de femme sont devenus un drame dans le rapport entre hommes et femmes. Les types ont tellement la trouille de se voir coller un procès pour harcèlement parce qu'ils ont demandé l'heure à une fille, qu'ils portent deux montres. Au cas ou une cessait de fonctionner. J'exagère à peine. C'est tellement pitoyable. Minable. Aussi, moi, si souriante, entrant facilement en contact, je risque de me faire taxer de "racoleuse" par toutes ces redoutables salopes qui s'obstinent à pourrir la vie sociale "normale". Ici, elles sont carrément organisées en "milices", créant des pièges pour pouvoir déclencher des procédures judiciaires afin de récupérer de l'argent. Un regard appuyé de la part d'un homme est perçu comme une agression sexuelle. C'est devenu délirant. Heureusement il y a des mecs qui commencent à s'organiser. Les faits divers en deviennent d'ailleurs inquiétants. Représailles. Voilà. Je viens de m'épancher un peu sur ce Blog bien sage ou je peux me confier en toute impunité. Merci Forum.fr... Bisou
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Gros Doudou Gros Doudou est un intervenant de ce forum. C'est un garçon charmant. Ses interventions le rendent adorable. Ses interventions toujours éclairées en font un incontournable de ce site ô combien déjà bien pourvu en personnalités. Des personnalités atypiques. Des personnalités "flamboyantes". Des personnalités remarquables. Des personnalités hautes en couleurs. Gros Doudou relève à la fois des quatre catégories. Ce qui participe de le rendre attachant. C'est un plaisir de découvrir ses interventions de ci, de là. Je recommande à chacun ses écrits à nuls autres pareils. Gros Doudou est un de mes plus fidèles admirateurs. Il m'est impossible de poster un sujet quelconque sans découvrir, souvent le jour même, le témoignage de son admiration. Sous forme d'un de ces commentaires dont lui seul a le secret. Un secret qui se transmet sans doute de père en fils, dans le secret familial. C'est quelquefois tellement dense et fourni qu'ils sont probablement plusieurs à travailler sur une sémantique qui ne manque jamais de cet à propos qui nous rend sa lecture tant attractive. Cela laisse pantois. Tant de qualité d'écriture. De quoi être jalouse. Personnellement, j'apprécie la multitude de sujets que propose Gros Doudou. Dans une variété qui laisse deviner une culture générale exemplaire. Que ce soit dans le domaine des Arts, du cinéma, de la littérature ou encore dans celui de la chanson, Gros Doudou se montre un érudit qui suscite l'admiration. Il y a cette expression écrite qui laisse augurer une formation universitaire de troisième cycle. Mais c'est dans l'univers sportif que Gros Doudou inflige la plus sévère sentence envers celles et ceux qui ne s'intéressent pas assez au ping-pong, au Volley ou encore au Badminton. Gros Doudou, depuis son inscription sur ce forum, en 2018, n'a pas cessé d'enchanter un lectorat sans cesse grandissant. Ce qui est bien mérité. D'aucun l'imagine, assis à sa table de travail, penché sur le clavier usé de son ordinateur, entrain de créer. Une Kronenbourg 1614, bien fraîche, posée devant lui. Hors, il n'en est rien. Gros Doudou ne consomme que de la Budweiser à température ambiante. Perclus de fatigue, Gros Doudou, harassé de travail reste toutefois d'une sobriété qui fait sa réputation dans tous les milieux épistoliers du Web. Depuis toujours. Certes, nous ne saurions trop recommander à Gros Doudou de contacter l'administration du site afin de faire changer le pseudo qu'il s'est choisi un soir de déprime. En effet, souvent "Crevé" après ses interventions littéraires sur tous les forums où il intervient, Gros Doudou ne garde pas toujours en perspective le recul nécessaire pour garder toute sa lucidité. A lire ses interventions, le lecteur sidéré par tant de lucidité, ne peut qu'apprécier la présence de Gros Doudou qui enlumine ce forum. Et de tant produire, de tant écrire, ça "crève". Chacun le comprendra. Gros Doudou est mon plus grand admirateur. Je le répète ici car c'est important. Gros Doudou est un peu devenu mon inconditionnel. Un inconditionnel de mes récits. un inconditionnel de ma prose. Un inconditionnel de mes interventions. Parfois, je suis toute confuse par ses témoignages amoureux. Parfois, je suis toute gênée de découvrir toute cette pudeur dont Gros Doudou fait preuve lorsque, du bout de ses doigts doux et fragiles, il dépose un timide commentaire au bas d'un de mes textes. C'est toujours tellement beau. Tellement pur. Tellement gentil et bien intentionné. Aussi, cher Gros Doudou, devant tout les intervenants de ce forum, je vous embrasse tendrement. Tant pis si je fais de nombreuses jalouses dans votre "Fan Club". Tant pis si je dévoile un peu de mon ressenti intime devant les nombreux lecteurs qui jalousent la qualité indicible de vos interventions. Oui ! Tant pis. Je m'en moque. Je prends ce risque fou. A chaque fois que je posterai un nouveau sujet, soyez convaincu, cher Gros Doudou, mon grand fou, que j'aurai une douce pensée à votre encontre. Je vous le chuchote délicatement à l'oreille. J'aime l'inconnu. Mon cher Gros Doudou, mon délicat grand fou, recevez l'expression de toute ma considération... Bisou
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La condition humaineJ'entends souvent des garçons prétendre que c'est plus difficile pour eux que pour nous les filles. Ils font évidemment allusion à la sexualité. Il me faut ici les rassurer et peut-être les dissuader d'avoir de telles croyances. Car ce sont autant de légendes urbaines qui se propagent comme autant de fakes news. Ce n'est tout simplement pas vrai. C'est même tout simplement impossible. Sinon grotesque. Je vais tâcher de bien leurs expliquer. Accrochez-vous les garçons.Nous autres les filles, nous sommes beaucoup plus sélectives. Beaucoup plus exigeantes. Il nous est souvent impossible de pouvoir nous abandonner au premier crétin qui nous drague. Que ce soit le crétin obséquieux. Le crétin "boulet" ou encore le crétin lourdingue. Il y a aussi le crétin sans scrupule. Le crétin facétieux. Le crétin prétentieux. Le crétin qui se comporte comme un barbare. Le crétin hussard. Le crétin inconscient. Le crétin mythomane. Le crétin jaloux. Le crétin sans scrupule.Comme on peut le découvrir dans mon exposé, le crétin se décline à l'infini. Nous pourrions également analyser l'imbécile qui se prend pour un incontournable. L'imbécile heureux. L'imbécile qui fréquente les discothèques pour tenter l'impossible. L'imbécile pathétique. L'imbécile qui se trouve irrésistible. L'imbécile qui se prétend diplômé des hautes sciences de la sexualité. L'imbécile qui roule des mécaniques. L'imbécile impétueux. L'imbécile qui allume une cigarette pour se donner de grands airs.Comme nous pouvons le voir, l'imbécile, tout comme le crétin, se décline en variétés infinies. Pour tous ces individus, nous comprenons bien que "conclure un plan cul", c'est très loin d'être gagné. Surtout si l'on prend en considération que parmi les crétins il y la les idiots. Que parmi les imbéciles il y a les cons. Sans évoquer les connards qui deviennent agressifs, insultants et injurieux quant toutes leurs manœuvres d'approches ont échoué. Et ceux-là sont surtout nombreux sur les forums.La différence entre un con et un connard n'est pas immédiatement perceptible chez la jeune fille "innocente" et naïve". J'évoque ici une expérience personnelle. Le con, c'est dans sa nature. Il est naturellement con. Il ne le fait pas exprès. Il est parfois tellement con qu'il pourrait en devenir sympathique. On a envie de lui venir en aide. Alors que le connard est une sorte de pervers. Il imite le con mais dans un but cynique. Avec le désir de faire du mal. Le connard ne se détecte pas toujours si vite.On détecte le connard à son comportement. Le plus simple est de l'observer au volant d'une voiture. De l'observer vautré dans son canapé devant un match de football. De l'observer devant un débat politique à la télévision. De lire ses interventions sur des forums. De l'écouter parler "femmes" avec ses potes au bistrot. De le voir faire son numéro dans son jogging Adidas tout neuf, chaussé de ses Nike toutes neuves et surtout coiffé de sa casquette d'abruti. En parodiant un con. Alors prétendre que pour les filles ce serait plus facile que pour les garçons reste un concept ridicule, stupide, voire inepte. Comment pourrait-on avoir le moindre désir pour cette immense majorité de garçons ? Non ! Pour les filles c'est encore plus difficile. Il nous faut tout de même un minimum de classe, d'intelligence, de raffinement et d'élégance pour être séduites. Sans évoquer l'émotion qui prédomine sur la bestialité et le premier degré dont font preuve les "primates". Ce n'est pas simple.Comme on peut le constater, et enfin le comprendre, l'égalité entre les garçons et les filles, c'est encore très loin d'être acquis. Sans doute même une chimère…Bisou
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A la découverteLa piste cyclable qui longe le canal est parfaitement sécurisée. Il n'y a que les véhicules des VNF, (Voies Navigable de France), qui y circulent. Les employés sont d'une prudence remarquable. C'est un plaisir de chaque instant de pratiquer ce petit ruban goudronné sur une distance de 30 km. De chez moi jusqu'à l'océan, il y a 25 km. C'est facile, toujours plat, presque de la ligne droite en continu. Je vais y rouler le plus souvent avec mon VTC, (Vélo Tous Chemins).Ce n'est que le Week-end que sa fréquentation est la plus dense. A partir du vendredi après-midi. Et encore, uniquement à la belle saison et aux beaux jours. J'y croise des cyclistes de tout âge. Le plus souvent ce sont quand même des retraités. Il y en a qui sont vieux. Il y a beaucoup de filles en rollers. Depuis quelques temps on croise des individus en trottinettes électriques. Des couples de séniors en vélos électriques. Des loufoques sur un gyro-roue ou des adolescents sur des gyropodes.Les vents dominants sont d'Ouest. Il me faut donc souvent pédaler contre le vent. Par contre, pour le retour, il me suffit de me laisser pousser. Je pédale alors avec une facilité déconcertante. Quand je vais avec mes parents, nous pouvons bavarder sur le retour. Il faut faire attention aux imbéciles de fin d'après-midi. C'est l'heure des crétins qui promènent leurs chiens sans les attacher à la laisse. Qui vous insultent lorsque vous leurs faites remarquer que la loi l'exige et que c'est écrit sur les panneaux.Il y a les inconscients qui circulent malgré l'interdiction sur la piste cyclable en scooter, louvoyant dangereusement entre les cyclistes. Il suffit de prévenir les gens des VNF qui les bloquent avec leurs véhicules de services en attendant l'arrivée des gendarmes. Ces petits cons ont une toute autre attitude avant la sanction qui les attend. C'est 80 euros. Le scooter est souvent confisqué lorsque le petit malin est mineur. Ses parents doivent le récupérer à la gendarmerie. Fini de faire les marioles. La piste cyclable est un parcours sécurisé où il fait bon se promener en toute quiétude. Parfois, on peut même y faire d'agréables rencontres…Bisou
