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Oncle_Julien

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Tout ce qui a été posté par Oncle_Julien

  1. "Pimente" Quelle ne fut pas ma surprise, ce matin, de recevoir un message privé sur un des forums où je sévis pour mon plus grand plaisir et celui de mes lecteurs. Ce message émane d'un individu qui se prétend être une jeune femme de 23 ans. Intervenant sur ce forum sous le pseudonyme de "Pimente", la jeune femme me propose d'entrer rapidement en contact avec elle. Par acquis de conscience, avant tout chose, je vais découvrir quelques interventions de "Pimente" sur le forum. Je vais également voir les informations sur sa fiche de profil. Les interventions sont plutôt biens ficelées, intelligibles et permettent d'envisager qu'il s'agit bien d'une jeune fille. Les informations, sur sa fiche de profil, restent succintes. "Pimente" intervient le plus souvent dans la section "sexe" du forum. C'est là que, amusée par mes récits, elle prétend s'être identifiée à une des héroïnes de mon Blog sulfureux. Elle affirme y retrouver des situations qu'elle a bien connu avec un professeur. Soucieuse d'en apprendre plus, sa curiosité aiguisée, elle me contacte donc par ce premier message. Un message très bien écrit. Je m'empresse de répondre. Je précise que le récit et l'héroïne dont elle fait mention, sont des choses authentiques. Je lui donne quelques indications supplémentaires que la décence, (et le devoir de réserve), m'empêchent de dévoiler en public, ici, sur ce Blog bien fréquenté. Comme toujours, je lui propose un échange de photographies afin d'avoir la preuve absolue de n'avoir pas affaire, une fois encore à Benoît Chauzemol. Benoît qui, sous le pseudo de "Brenda", escroque pas mal de mâles. Des paumés qui, croyant avoir affaire à une fille, lui racontent leurs cochonneries. J'exige donc au moins deux photographies, datées. Deux clichés ou "Pimente" est invitée à tenir à la main une feuille de papier sur lequel elle aura écrit, de sa plus belle calligraphie : < Bonjour Gilbert >. Surtout pas de nus, ou d'érotisme. Non, de simples photographies en tenue "classique". "Pimente" assise dans un fauteuil, par exemple. Dans le second message, qui arrive cette fois dans la messagerie de mon opérateur, je reçois une réponse. "Pimente" est effectivement une belle jeune fille d'environ 23 ans. Pas de doute. Assise devant son ordinateur, à son bureau, vêtue d'un jean's, d'un sweat-shirt, chaussée de "basket", "Pimente", très simplement, tiens une feuille où je peux lire : < Bisous Talisman > juste sous la date du Jeudi 23 avril. J'ai donc la preuve exigée. Pas de Benoît planqué sous la table... Je me dépêche de faire deux photographies de ma personne. A la main, à mon tour, je tiens une ardoise sur laquelle, à la craie jaune, j'ai écrit : < Salut "Pimente" > juste sous la date du jour. Nous pouvons enfin, à présent, sur ces bases saines, entreprendre les échanges que me demande la jeune fille. Cette dernière me propose même de le faire par web-cam. Je décline l'offre car je déteste cette pratique frustrante, prosaïque et inutile. Rien ne vaut la réalité. "Pimente" s'est donc identifiée à une de mes héroïnes. Cette héroïne était une élève de 18 ans, (et un jour), avec qui nous avons vécu de sublimes aventures musicales, picturales et amoureuse. Il y a quelques années de cela. "Pimente", elle aussi, avait vécu une situation semblable avec un de ses professeurs, à l'université, durant sa première année. Elle joignait à son message son numéro de portable. Je lui envoyais le mien. Ainsi nous pourrions débattre de tout cela de vives voix et en temps réel. Nous avons passé trois heures au téléphone dès la première soirée. Nous décidâmes donc très rapidement de nous rencontrer dans la "vraie vie" le plus rapidement possible. Nous avons récidivé au téléphone le lendemain, durant trois nouvelles heures. Sans évoquer les trois courriels, longs et "sulfureux". Cette façon de se rencontrer, de plus en plus employée sur le Web, court-circuite tous ces sites de rencontres hypocrites, mesquins et payants. Fabuleux ! "Pimente" vit à quatre cent kilomètres de chez moi. Nous nous sommes rapidement mis d'accord sur les modalités d'une possible rencontre. Le plus rapidement possible. Pour le premier mardi du mois, durant ses vacances universitaires, nous avons défini notre premier rendez-vous. Nous ferons chacun les deux cent kilomètres qui nous séparent de la ville prévue. Une ville située à la moitié de la distance qui nous sépare. Si le "courant" passe, nous aviserons pour une éventuelle suite. Nous avons quelques jours à consacrer à du "bon temps"... A suivre... ___________________ Tous droits réservés - © - 2015 - Depuis mon Blog - (L'autre, le sulfureux) - :cool: :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  2. :cool: Ré-Elle Sur un des forums, où je sévis pour mon plus grand plaisir et celui de nombre d'internautes, hier matin, en me connectant, je découvre un mot dans la messagerie privée. Je 'm'empresse d'ouvrir pour découvrir le message de "Ré-Elle". Après une présentation succincte, la jeune femme m'invite à entrer en contact avec elle. "Ré-Elle" désire établir des échanges et une correspondance suivie. Pas acquis de conscience, je vais visiter le forum afin de découvrir les différentes interventions de la jeune femme. C'est un forum généraliste plutôt orienté sur l'inutile, le dispensable et l'indifférent. On y évoque autant la géopolitique auvergnate, que le dernier sac à main Vuitton en passant par le probable retour de la grippe aviaire. Bref, on y trouve de tout. Les interventions de "Ré-Elle" se résument, pour la plupart d'entre elles, à des commentaires de trois phrases. Phrases assez maladroites et mal ficelées. Ces interventions se retrouvent le plus souvent dans les rubriques "Sexualité", "Psychologie", "Beauté-Santé" ou encore dans "Le Bar des Amis". Rien que de plus banal pour une jeune femme de vingt cinq ans, récemment séparée et soucieuse de sa beauté et de sa santé. Après avoir étudié son "dossier", analysé quelques uns de ses développements intellectuels, je décide de répondre à "Ré-Elle". Comme toujours, dans mon premier message, je me présente. J'évoque mes centres d'intérêts, mes activités et mes passions de toutes natures. Toujours soucieux de ne pas perdre de temps avec des considérations autres que les miennes. La réponse ne se fait pas attendre. Vers midi trente, je reçois le second message de "Ré-Elle". la jeune femme évoque ses activités, ses centres d'intérêts et ses passions. Activités professionnelles sympathiques dans une grande entreprise nationale. Des intérêts pour les vacances au soleil, les bords de mer, les stations balnéaires et autres farnientes maritimes. Par contre, dans le rayon des passions, celui qui m'interpelle vraiment, c'est le vide absolu. Rien. Nada. Queue dalle. Macache. Dans mon second message, comme d'habitude, je lui propose, malgré tout, d'échanger quelques photographies respectives. Ce, afin de pouvoir mettre un visage sur nos hypothétiques échanges à venir. C'est la moindre des civilités et des convenances. Une sorte de politesse et de courtoisie virtuelles auxquelles je tiens tout particulièrement. Je n'ai rien à cacher et mon physique est plutôt avantageux. Cela me permet également d'éliminer les curieuses malsaines, les casse-pieds ou encore les "frileuses". Dans sa réponse, que je reçois en soirée, je découvre dans le message de "Ré-Elle", trois superbes photographies. "Ré-Elle" est le sosie parfait d'une actrice californienne que j'apprécie beaucoup. Une certaine India Summer dont les formes et les prouesses laissent admiratif. Ou bien "Ré-Elle" n'est autre que l'actrice, ou alors elle se moque du monde. Bref, ça sent la chasse aux pigeons. J'opte pour le bon et honnête "foutage-de-gueule". Aussi, ne laissant rien paraître de mon constat, je décide d'envoyer une réponse. Malgré tout. J'évoque les plages de Miami, des Caraïbes ou encore de l'Allemagne du Nord. J'évoque les belles piscines de bords de mer dans des hotels quatre étoiles. J'évoque Las Vegas et ses casinos. Bref, je fais semblant d'entrer dans le jeu de "Ré-Elle". A mon message, je joins trois belles photographies de Rocco Siffredi... _____________________________ Tous droits réservés - 2014 - Depuis mon Blog - :cool: :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  3. :cool: NOTE : Pour apprécier ce nouvel opus, j'invite le lecteur à découvrir l'épisode précédent. :cool: "Valériane" (Episode 2) Je ne suis pas un amateur de Web-Cam. Je trouve cette formule prosaïque. Comme pour tout ce qui touche aux univers virtuels, celui de la web-cam manque du plus élémentaire des moteurs émotionels. Des sensations, certes, des émotions, certainement pas. Donc, dans la mesure du possible, j'évite avec soin. Ce mercredi soir, je décidais donc de déroger à cette règle. Il y aurait fonctionnement de la Web-Cam. A vingt heure précise, vêtu d'un costume noir, d'une chemise blanche, cravaté de noir, j'allumais mon système de visonnage. J'avais installé une tasse de thé fumante et quelques petits gateaux à l'épautre devant l'ordinateur. Dans la minute, s'établissait la connection avec "Valériane". "Valériane" apparue à l'écran, élégamment vêtue d'une veste "blaser", passée sur un chemisier blanc. Des cheveux chatains, mi-longs. La dame était aussi attractive que sur les clichés qu'elle m'avait envoyé. Ce fut donc un plaisir de nous présenter. Après le < Bonsoir > de circonstance, il y eut un long silence. Nous nous observâmes longuement en souriant. C'était délicieusement érotique. Dans une certaine obscurité, je pouvais dicerner la pièce dans laquelle le contact avait lieu. Devant elle, comme convenu, "Valériane" avait également déposé une tasse de thé et quelques carreaux de chocolat. Au bout de quelques minutes, nous engageâmes la conversation. Son thé était au romarin, le mien au jasmin, son chocolat était noir et mes petits gateaux "Bio". Pour mes goûts, rien n'est préférable à ces situations délicates et pleines de retenues. Cela permet un travail de l'imaginaire. Une activité cérébrale riche en "évocations". Un vecteur de fantasmes les plus attractifs. Les "connaisseurs" comprennent très bien là où je veux en venir. Je les en félicite. Qui a déjà vécu de telles situations sait les émotions et les sensations qu'elles génèrent. Nous bavardâmes longuement. Parlant de nos activités professionnelles, de nos situations sociales, de nos regards sur les choses de ce monde. Le temps passe toujours très vite dans ces conditions. Déjà une heure venait de s'écouler. Nous abordions maintenant nos passions respectives, dans différentes sphères d'intérêt. Nous n'en étions pas encore à évoquer la sexualité. Adroitement, avec ma virtuosité coutumière, doucement, avec ce tact qui me caractérise, j'introduisais le premier élément verbal à caractère sexuel. Désireux de ne jamais perdre mon temps, surtout dans ce domaine, j'allais immédiatement à l'essentiel. La fellation. Le cunilingus. Il y eut une curieuse réaction de la part de "Valériane". Sur les traits de son visage, je pouvais découvrir un profond embarras. Il y eut, une fois encore, un long silence. < Je ne fais pas "ça" ! J'aime faire l'amour de façon très "traditionnelle"> me fit la dame. Elle rajouta : < Ce qui m'intéresse, dans vos récits, c'est de découvrir l'intérêt que vous semblez porter à cette pratique. Justement parce que je ne le fais pas ! >. Je restais à observer "Valériane". Je comprenais qu'une fois encore j'avais affaire à une personne compliquée. Un de ces individus qui, au lieu de vivre ses pulsions, ses désirs, se contentait de les intellectualiser. Une personne qui vivait par "procuration" du virtuel. Sans doute une de ces habituées de ces forums inutiles où se déroulent, à longueur de soirées, ces échanges stupides, sans fins et stériles. < Je crois que ça va pas le faire ! > lui fis-je, à présent pressé de mettre un terme à ce qui devenait une pure perte de temps. < Non, je ne crois pas non plus ! > me fit-elle, à présent presque agressive. Je connais bien ces réactions triviales, dont font preuve certaines femmes, lorsqu'elles sont mal à l'aise. Aussi, je mis rapidement un terme à tout cela. < Je vous souhaite le bonsoir, je vais être obligé de me déconnecter. Je vous souhaite une bonne nuit. > lui fis-je poliment mais fermement. < A vous aussi ! > me fit-elle, comme soulagée de ne pas être obligée de faire une de ces pitoyables pirouettes verbales. Une de ces pirouettes ridicules dont sont coutumières celles qui se sont fourvoyées dans des situations qui sont autant "d'impasses"... Je mettais un terme à tout cela en éteignant la Web-Cam. Rendant ainsi service à "Valériane" que je n'ai jamais tenté de recontacter. Malgré deux couriels, dans les deux jours suivants, que je n'ai pas ouvert, j'ai préféré le principe parfait de l'autisme... ___________________________ Tous droits réservés - 2014 - Depuis mon Blog - :cool: :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  4. :cool: " Valériane" Ce dimanche matin, sur un des forums ou je sévis, je découvre deux messages privés. J'ouvre donc ma messagerie avec une certaine féblilité. La première de ces missives est un spam vantant les mérites de la petite pillule bleue. La seconde est envoyée par "Valériane"... J'ouvre donc ce message avec une grande impatience. "Valériane" se présente et témoigne des petites joies qu'elle éprouve à la découverte de mes récits. Chacune de mes nouvelles publications la ravi. Ce qui n'est pas sans me ravir également. J'éprouve un certain plaisir à rédiger mes petits textes. Je sais qu'ils sont lus par beaucoup d'individus sur nombres de forums. Certes, l'infime pourcentage des lecteurs qui me contactent est négligeable. Néanmoins, certains échanges réguliers, avec quelques uns d'entre eux, sont réellement gratifiants. "Valériane" est donc une de mes lectrices. Sans doute désireuse de tenter d'en savoir un peu plus sur l'auteur des récits érotiques qui l'émeuvent quelque peu. "Valériane" m'avoue, dans son message, avoir longtemps hésité avant de tenter le contact virtuel. "Valériane" précise même qu'elle a écrit plusieurs messages mais, qu'au moment fatidique du click sur "envoi", elle a "supprimé". Attitude typiquement féminine... Je m'empresse donc de répondre de ma meilleure plume toute virtuelle. Je me fais une joie de donner quelques indices sur des questions précises. Jamais de reélles "révélations", car il faut soigneusement laisser le lecteur dans une sorte de mystère non résolu. Une expectative souhaitable, source d'addiction. Ne jamais démentir, car démentir revient à cautionner... "Valériane" par le plus grand des hasards, habite à moins de cent kilomètres de chez moi. Je me garde bien de le lui révéler. Nous échangeons deux mails dans la journée. Comme toujours, sur ma demande, je reçois quelques clichés qui sont un premier pas vers une certitude. Etant parfaitement hétérosexuel, je ne désire absolument pas perdre mon temps avec un "clône" (clown ?). "Valériane" est plutôt belle, attractive et, sur un des clichés, conformément à ma demande, elle porte un petit carton sur lequel, d'une jolie écriture, elle a écrit < Bonjour de Valériane >. Je suis donc quasi-certain d'avoir affaire à une femme. Après cette "preuve" nous pouvons passer à la phase suivante. Le lundi matin, dans la boîte mail de mon opérateur, je reçois un nouveau message de "Valériane". Elle a bien reçu mes photographies. Elle est un peu étonnée. Elle s'attendait à découvrir un "intello", chaussé de petites lunettes rondes, portant une barbichette, l'air tourmenté et vêtu d'une vieille veste de velours. Alors qu'elle découvre un "moniteur de sport", souriant, respirant l'optimisme et la joie de vivre. Dans le second mail, vers midi et demi, je découvre le numéro du téléphone cellulaire de la Dame. Elle m'invite à la contacter en soirée, entre dix neuf heure et vingt heure. Ce que je m'empresse de faire à dix neuf heure trente précise. Le contact est des plus agréables. Immédiatement, je peux deviner, chez mon interlocutrice, l'optimisme et la joie de vivre. Nous bavardons une bonne heure. Dans un humour permanent, mais fin et subtil, nous devisons de tout et de rien. Il est toujours étrange, puis presque émouvant, d'entendre, pour la première fois, la voix d'une personne dont on ne connaît que la photographie. Depuis, nous échangeons des mails chaque jour et, ce soir, mercredi, nous allons procéder à notre premier contact par web-cam. Ce n'est pas du tout ma "tasse de thé". Je n'aime pas. Et ma condition est que nous soyons vêtus, tous deux, d'élégante façon, devant nos ordinateurs respectifs. Ce qui plaît beaucoup à la Dame. Point de vulgarités. De quelques natures qu'elles soient ! A suivre... :cool: :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  5. :cool: L'UMP devient "LES RIPOUX-BLICAINS" Non, ce n'est pas une farce, même si nous devinons la plaisanterie. Donc, on n'est prié de ne pas rire, là-bas, au fond ! Les casseroles de l'UMP, étant devenues assourdissantes et lourdes à traîner, (de vraies bassines), elles ont besoin d'êtres dissimulées derrière un camouflage de circonstance. Aussi, le nain, qui rêve d'un retour pour fuir les "affaires" qu'il traîne au cul, a eu cette idée remarquable. Notre "Mimie Mathy" de la politique veut donc changer un nom contre un autre ! Aussi, à cette "faim", l'UMP, le parti des crapules, va devenir "LES REPUBLICAINS". On ne rit pas, là-bas dans le fond. Parce que le PS, le parti des gangsters, envisage également de changer de nom et de devenir "LES DEMOCRATES". Chacun comprendra l'américanisation obligatoire des tendances. N'oublions pas que l'Union Européenne n'est qu'une simple émanation des Etats-Unis à qui elle doit obéissance. Notre Nicolas, puisque c'est de ce petit mafieux dont il est question, précise : < Si on appelle l'UMP, du nouveau nom "LES REPUBLICAINS", tous les gens qui voteront contre nous, voteront donc contre la République ! >. On voit le fin stratège... Nous voyons donc dans quelle nouvelle saloperie intellectuelle, notre petit salopiot veut entraîner l'opinion ! Il y croit le nabot ! Mais il semble bien être le seul. Car même Alain Juppé, (le meilleur d'entre eux), ne trouve pas cette idée judicieuse. Nous constatons donc, une fois encore, que toute cette crapule politicienne de gauche et de droite, cherche de nouvelles saloperies pour enfumer ce brave peuple de couillons ! Et, comme sur la plupart des forums "populaires", il se trouve toujours un crétin pour affirmer et demander : < Vous dénoncez ! Mais vous ne proposez rien ! > ERREUR ! Voilà LA SOLUTION, et elle est la seule, l'unique, radicale et définitive... < Lorsque nous avons des cafards sous nos éviers, nous les écrasons > ! - GILBERT - :cool:
  6. :cool: Chères amies lectrices "Passionnée" Comme j'aime sévir sur les forums les plus divers, mais toujours les mieux "tenus", il m'arrive, chaque semaine, quelques opportunités de contacts par messagerie privée. Mes fidèles lectrices ne sont pas sans ignorer l'existence de mon Blog. Un des Blogs les plus "sulfureux". Encore gratuit et accessible sur simple demande privée. Bientôt 17 000 visiteurs ! Mardi 20 mai 2014, le matin, vers sept heure, j'ouvre une de mes boîtes mail. Là, avec cette joie habituelle, que procure toujours ces agréables surprises, je découvre la formule suivante : < "Passionnée" vous a laissé un message. Pour le lire, vous pouvez cliquer sur le lien suivant >. Ce que je m'empresse de faire. Me voilà sur la messagerie privée du forum en question. J'ouvre donc l'encart qui m'est consacré. Je découvre le message de "Passionnée". "Passionnée", vit dans la Gironde. Elle a plaisir à découvrir mes textes au fur et à mesure de leurs parutions dans les différentes rubriques où je les édite. Tout comme je le fais sur le superbe forum où vous lisez ces lignes. "Passionnée" reste sous l'émotion d'un de mes récits. Un texte où je relate une aventure torride. Une histoire vraie que j'ai vécu sur un bateau où j'exerçais comme animateur et coach sportif. " Passionnée" m'écrivit donc pour en savoir davantage. Pour des raisons d'éthiques bien compréhensibles, j'évite toujours d'entrer dans des détails salaces qui n'apporteraient rien au récit. Je déteste la grossièreté et la vulgarité. Il m'est tout à fait possible de décrire les situations les plus affolantes avec un parfait usage des civilités les plus élémentaires. Mais, là, à la lecture des questions de "Passionnée", je découvrais que la jeune femme désirait découvrir les plus intimes détails. Avec bonheur, je remaniais le texte initial pour le parsemer de détails sulfureux. Satisfait de ce travail, je l'envoyais sur l'adresse mail de "Passionnée". Je garde toujours la version originale et "crue" dans mes dossiers virtuels, sur un disque dur externe. Je garde également un imprimé de mes récits. Mes écrits sont déposés et leurs droits sont réservés. J'ai une éditrice qui serait intéressé. Dans le cercle de mes amis, il s'en trouve une qui serait tenté par l'aventure. Mais c'est une autre histoire... "Passionnée", les sens "enflammés", ne tarda pas à me répondre le soir même. Me remerciant de ma bonté et de la qualité des détails offerts, "Passionnée" m'envoya un récit, bien écrit. Un texte relatant une expérience assez proche de la mienne. C'est donc avec une attention érectile que je découvrais la sulfureuse aventure de la dame. En prime, et je la remerciais pour cette attention remarquable, elle joignait à son message une photo d'elle devant l'écran de son ordinateur. Ecran d'ordinateur ou je pouvais voir la photo jointe à mon message affiché. Une preuve absolue qui me touchait particulièrement. "Passionnée", attractive jeune femme, quarante ans, mariée, me proposa, dès le message du mercredi 21 mai, l'éventualité d'une rencontre réelle, dans la vraie vie, un de ces prochains week-end. Je m'empressais de lui répondre que ce serait vraiment très agréable. Surtout qu'à la découverte des deux autres histoires envoyées, nul doute que nous avions de délicieux fantasmes en commun. Nous avons échangé plusieurs messages, quelques photographies très "correctes". Des photographies prises dans nos vies de tous les jours. Subitement, vendredi soir, mon dernier message resta sans réponse. Ce n'est que ce matin que je découvrais ce message sybillin : < Ce serait du meilleur goût de laisser ma femme tranquille et de ne pas tenter de la contacter à nouveau ! Merci. >... Tous droits réservés - © - 2014 - Depuis mon Blog - :cool: :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  7. Episode 8 Les vacances de Pâques arrivèrent après un second trimestre fort plaisant et studieux. Mes résultats scolaires enchantèrent mes parents qui m'offrirent la possibilité de partir trois jours avec mon parrain, ma marraine et Isabelle. La destination était un petit chalet en montagne appartenant à leur famille. Une belle récompense. Maman avait préparé ma valise et m'avait donné quelques dernières recommandations . Ce vendredi, en fin d'après-midi, la voiture de mon parrain se gara dans la cour de la propriété. Tout le monde avait le sourire et la joie de partir jusqu'à dimanche m'enivrait. Je chargeais mon bagage dans le coffre et m'installais à l'arrière du véhicule. Tout le long de la route sinueuse qui nous emmenait à la montagne, Nous bavardions en riant. La nuit était tombée depuis un long moment lorsque nous arrivâmes devant un petit chalet en bois. Un de ces chalets qui évoquait les jouets me permettant de construire de petites maisons de bois presque semblables. "Jeu-Jura" en était la marque... Ma marraine nous conseilla de monter à l'étage afin de préparer nos chambres et nos lits. Isabelle et moi montâmes donc à l'étage le long d'un escalier étroit et raide. Là, des deux côtés, il y avait une porte. Chacun choisi sa chambre. De toutes petites pièces d'environ quatre mètres sur trois contenant une armoire étroite, un lit de métal et une chaise devant une minuscule table sous la fenêtre aux volets fermés. De mon bagage, je sortai le sac de couchage afin de l'étaler sur le lit. Avisant une des deux couvertures, pliées et posées sur la table, j'en recouvrai le sac. Je disposais quelques affaires tirées du bagage pour les déposer sur la chaise. Je m'assis sur le lit en sautillant plusieurs fois, découvrant ce qui serait mon logis pour deux nuits. Je tapotais le pelochon... Isabelle vint me rejoindre pour m'annoncer qu'elle avait, elle aussi, déjà tout rangé. Nous ouvrîmes la fenêtre puis les volets. Dehors, la nuit était étoilée et, en bas, dans la vallée, les lumières du village offraient un spectacle grandiose et rassurant. Malgré la fraîcheur, nous restâmes ainsi à contempler la nuit. Soudain, brisant le silence, la voix de ma marraine, résonna au bas de l'escalier. On nous demandait si tout allait bien et si nous voulions bien descendre pour préparer la table. Arrivé en bas, une douce chaleur et une agréable odeur de flambée de bois nous procura une sensation de bien-être incomparable. Mon parrain avait allumé le feu dans la cuisinière. Ma marraine était entrain de réchauffer, au four, un délicieux gratin Dauphinois préparé à midi. D'agréables effluves de cuissons nous caressaient les narines, aiguisant nos appétits. Isabelle et moi étions conviés à préparer la table. Vers vingt heure, nous passions à table. Il faisait bien chaud et l'odeur du gratin avait définitivement envahi cette partie du petit chalet. La porte de la chambre des parents d'Isabelle soigneusement fermée et la porte de la minuscule salle de bain ouverte pour permettre à la chaleur d'y entrer. Nous nous régalâmes d'un dîner qui me paru le meilleur du monde. Surtout qu'en dessert, une sublime tarte aux prunes vint clore un repas somptueux. Nous aidâmes à la vaisselle avant d'avoir le droit de sortir, à condition toutefois, de rester aux abords immédiats de la demeure. Il était déjà vingt et une heure trente et à vingt deux heure, il nous fallait rejoindre nos chambres. Grace à une nuit étoilée, dans un ciel d'encre et dégagé, nous pouvions très bien dicerner les sapins, les hêtres et les grands chênes qui entouraient le chalet, formant un demi cercle parfait. En bas, scintillaient les lumières lointaines des habitations. En face, les sommets noirs se détachaient sur les étoiles. C'était grandiose. Malgré le froid... Nous faisions le tour du chalet. Chaudement vêtus, la buée sortant de nos narines et de nos bouches nous rappelait quand même qu'en altitude, l'hiver n'avait pas encore fait place au printemps. Nous devisions en chuchotant lorsque soudain, Isabelle me saisissant le bras, me montra une forme noire se détachant sur les lumières du village. Nous restâmes sans bouger, regardant cette silhoutte noire, immense, à quelques dizaine de mètres de nous. Un être qui semblait nous scruter avec la même attention que nous le faisions à son encontre. Cette "apparition" dura une bonne minute. Nous étions pétrifiés de peur, incapables de nous enfuir en courant, incapables de pousser le moindre cri. Le silence était total. Le temps était devenu soudain glacial. Lentement, la silhoutte sembla glisser vers la pente descendante pour disparaître presque instantanément, comme éteinte par un interrupteur. Curieusement, en même temps, les bruits de la forêt reprirent... Avec le recul, nous n'avions vu qu'une forme vaguement humaine, semblant plus grande que la "normale". Aucun détail, juste cette silhouette. Il était donc impossible d'y apporter une autre description. En rentrant, tremblants, nous avons relaté notre aventure aux adultes. Mon parrain est sorti pour faire le tour de la maison, ma marraine regardant par les fenêtres. Isabelle et moi, cessant de frissonner, n'avions plus trop envie de rester là, dans la solitude de la montagne. Mon parrain et marraine nous rassurèrent, nous affiramant qu'à quelque centaines de mètres se trouvait une Ferme-auberge. Qu'un promeneur était sans doute passé à proximité. Qu'il n'y avait pas lieu de s'inquiéter et que, pour la nuit, l'unique porte serait fermée à double tour. Une fois montés dans nos chambres, Isabelle vint me rejoindre et nous nous endormions ensemble dans l'innocence d'un sommeil d'enfants sans autres phénomènes ou manifestations pour perturber notre nuit. La journée de samedi fût faite de promenade, d'un repas de midi à la Ferme-auberge et d'un après-midi au centre hippique distant d'environ huit cent mètres. Nous ne pensions déjà plus à l'apparition de la veille. Ce n'est que dans la nuit suivante que... _______________________ Tous droits réservés - © - 2015 - Depuis mon Blog -
  8. :cool: Chères amies lectrices "Divine" Samedi matin, comme tous les jours à la même heure, vers 7 h 15, juste avant mon petit déjeuner, j'ouvre ma boîte mail destinée à recevoir toutes les "merdouilles". C'est avec cette adresse mail, totalement "bidon", que je m'inscris un peu partout. Ainsi, dès l'ouverture, j'ai la certitude que ce ne sera que du "spam", des tentatives de contacts venues de l'étranger, ou encore des tentatives d'escroqueries plus grossières les unes que les autres. Plus rarement des "propositions" salaces, donc, parfois, intéressantes. Ce samedi matin, entre des mails de PNB-Paribas, de Monoprix ou encore de "BANK of AFRICA", je découvre le message de "Divine". Avec un tel pseudo, je me dis que c'est encore un truc ramassé sur un des sites de cul que je fréquente de façon cyclique. Que nenni, c'était un message qui faisait suite à un échange sur un forum littéraire où je sévis sous un pseudo très littéraire. "Divine" m'apprenait qu'elle avait toujours beaucoup d'étonnement à découvrir mes écrits. "Divine" me faisait également part de la satisfaction du bon déroulement d'une de mes fictions. Un récit où le héros, un certain "James Bande", se tirait d'une mauvaise passe grace à son astucieuse stratégie. Dans cette histoire, dont l'intitulé est "Zéro-Zéro-Sexe", le héros, James Bande, déjoue l'attaque d'une entité galactique venue piller les secrets industriels d'une fabrique de Sex-Toys en kévlar. Sous ce fallacieux prétexte, "Divine" tentait sans aucun doute une approche. Bien qu'à chacune de ces amusantes tentatives, dont sont devenues expertes certaines intervenantes, sur nombre de forums, je reste méfiant, je ne pouvais m'empêcher de m'en trouver fort flatté. Surtout que "Divine" avait les mots, la mise en forme et l'habileté sémantique qui ne manquaient nullement de me charmer. En priorité absolue, cliquant sur l'onglet "accusé-reception" de ma boîte mail, je me dépêchais de répondre à cette agréable missive. Par le plus grand des hasards, vers neuf heure quinze, après mon entraînement matinal et ma douche libératrice, j'ouvrais à nouveau cette boîte mail. Entre un spam de chez TOTAL, une publicité pour "Converse", surprise ! Il y avait déjà la réponse de "Divine". Une réponse accompagnée d'une photographie... C'est là, qu'une fois de plus, mon enthousiasme, ma curiosité et, il faut bien l'écrire, mon excitation, s'écroulèrent dans un fracas mental notable. On ne peut pas faire un constat philosophique et intellectuel sur une simple apparence physique, certes, mais on peut parfaitement avoir une déception légitime. Je m'empressais de remercier "Divine", dont le pseudo était à des abysses sidérales de l'apparence physique. Je rajoutais même un très gros mensonge. En effet, en post-scriptum, je rajoutais que j'étais marié, que j'avais quatre enfants et que je ne désirais absolument pas donner suite à une relation de quelque nature qu'elle soit. Réelle ou virtuelle. Pour conclure, je mettais l'adresse électronique de "Divine" dans les "indésirables". Les identités virtuelles que je supprime sans les ouvrir... S'il vous plaît, à toutes les "Divines" à venir, sur le cliché ci-dessous, voilà ma préférence. Tout le reste me laisse d'une indifférence abyssale. Si vous pouviez en prendre bonne note. Merci... Tous droits réservés - © - 2014 - Depuis mon Blog - :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  9. :cool: Chères amies lectrices Sur nombre de forums où je sévis, pour mon plus grand plaisir et celui de mes lecteurs, je reçois régulièrement, en messagerie privée, des propositions de contact. Je vais donc publier quelques épisodes relatant ces amusantes tentatives de contacts. Voilà l'épisode 3. Dans la plus parfaite déontologie de ce Blog. Tout cela n'est que de l'écume et reste sans conséquences. Nous sommes là pour passer du bon temps. Bonne lecture et bonne découverte... :cool: Et voilà qu'apparaît, il y a quinze jours, dans le paysage virtuel de mon ordinateur, une certaine "Vivante-06" ! "Vivante-06" m'a envoyé son premier mail , mercredi dernier. Un texte bien écrit, concis et, surtout sans fautes de grammaire, sans fautes de conjugaison et sans fautes d'orthographe. Même pas la moindre faute de goût. De quoi me ravir et susciter mon intérêt. "Vivante-06", originaire de l'arrière pays niçois, me raconte donc plein de petites choses biens sympathiques, voire amusantes. Le tout en éxactement vingt sept lignes bien agencées. Un plaisir de lecture auquel je m'empressais de répondre. De mon plus bel index, je tapais donc mon petit texte de bienvenue avec un enthousiasme qui faisait plaisir à voir, par reflet, dans l'écran de mon ordinateur. Surtout que la coquine semblait assez directe, précise et remarquablement descriptive dans ses désirs... Au bout de quatre échanges, sur quatre jours, c'est le dimanche que je commençais à déchanter quelque peu. Pourtant, tout semblait bien parti. Une impulsion, un élan, animés par un désir réciproque de franchir la première étape, se faisaient pourtant sentir. "Vivante-06" m'informait même d'un possible déplacement professionnel dans le département voisin du mien, entre le lundi et le vendredi. Laissant entrevoir une première rencontre pleine de "promesses"... Ardente, curieuse, "Vivante-06" me demanda, dans son mail du samedi, de lui faire savoir ce que j'aimais chez une femme ! Partant du principe qu'une image vaut toujours beaucoup mieux qu'un long discours, je lui envoyais cette magnifique et rassurante image. Une image qui n'a strictement rien de choquant. En précisant que je ne "fonctionnais" qu'à "ça" ! Je précisais, en parfaite honnêteté que "je bloquais" dans la plupart des autres cas de figure. Je déteste perdre mon temps. Il me faut toujours le support de l'image pour me préparer mentalement. . Je n'ai plus jamais eu de réponse... Tous droits réservés - © - 2014 - Depuis mon Blog - :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  10. :cool: Chères amies lectrices Sur nombre de forums où je sévis, pour mon plus grand plaisir et celui de mes lecteurs, je reçois régulièrement, en messagerie privée, des propositions de contact. Je vais donc publier quelques épisodes relatant ces amusantes tentatives de contacts. Voilà l'épisode 2. Dans la plus parfaite déontologie de ce Blog. Tout cela n'est que de l'écume et reste sans conséquences. Nous sommes là pour passer du bon temps. Bonne lecture et bonne découverte... :cool: " Alberta" Il y a une certaine "Alberta" qui m'envoie régulièrement d'agréables messages, dont la teneur, hautement libidineuse, n'est pas sans me séduire et me charmer. Cela a commencé en décembre. Je me fais donc un devoir de lui répondre en respectant l'ambiance et l'atmosphère de ses propos. C'est délicieux. Pour les deux premiers messages, j'ai un peu douté. Je restais convaincu que sous le pseudo "Alberta", il y avait ce vieux salop de Kévin Glaoui qui sévit sur nombre de forum en utilisant des pseudos féminins afin de piéger les naïfs. "Brenda" par exemple... Les crédules lui racontent donc très rapidement leurs cochonneries en étant convaincus de correspondre par MP avec une fille ! Vous imaginez facilement la jubilation de Kévin en lisant les messages qu'il reçoit de toute une bande d'imbéciles. Me voilà rassuré, depuis peu... Mais là, très rapidement, "Alberta" me donna son adresse mail et nous avons commençé à échanger. Nous nous sommes envoyés des clichés nous représentant en "pieds" ou en "buste". Comme toujours en tenant une feuille de papier où nous avons écrit, de nos plus belles écritures : < Bonjour GILBERT >, ou encore : < Bonjour Alberta >. Pour être entièrement sécurisés sur nos identités sexuelles respectives, une rencontre en web-cam de quelques minutes acheva de nous rassurer. Avec les "signes" convenus... Une web-cam "sobre" et pleine de civilités. Le "reste" ne nous interesse pas vraiment par le virtuel. Depuis, nos échanges sont gratifiants. Surtout lorsqu'on peut mettre un visage sur des mots échangés par boîtes mails. Par contre Johnatan Lamolle, ( allias "Coquette28"), Benoît Chauzemol, (allias "Caressante12") ou encore Lucas Mouyet, (allias "Amitieuse"), peuvent toujours se brosser ! On les repère vite et bien, incapables de s'exprimer par l'écrit avec plus de deux phrases mal ficelées, pleines de fautes d'orthographe, de grammaire et de conjugaison. Sans évoquer une sémantique qui ferait passer Jean-Claude Van Damme pour un prix Nobel de littérature. Ils devraient s'abstenir avec politesse... Tous droits réservés - © - 2014 - Depuis mon Blog - :cool: :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  11. Episode 7 Premier lundi des vacances de février . Nous étions arrivés aux vacances de carnaval. Ce jour-là était particulièrement gris et froid. Je me souviens du contraste qu'il y avait entre la fraîcheur du jardin, derrière la maison, où j'étais allé faire un tour et la douce chaleur distillée par un des poêles de la maison. Dehors, il y avait même une brume persistante qui dura tout le jour. Il devait être dix sept heure quinze, le jour commençait à décliner pour faire place à l'obscurité grandissante de la soirée. J'allumais donc la lumière électrique de la grande lampe de chevet posée sur le bureau de ma chambre. Mon petit frère, espiègle, avait décidé de me taquiner un peu. Entrant et sortant à intervalles réguliers de ma chambre, en faisant bouger fortement la poignée sonore de la porte un peu dure, il était particulièrement joueur. Ce bruit sourd et métallique, causé par le vieux mécanisme, me causait toujours un certain malaise. Un peu comme lorsque les ongles des doigts de l'instituteur, ayant lâché la craie, grattaient malencontreusement l'ardoise du tableau noir. Nous en gardons tous ce douloureux souvenir. J'étais absorbé par le rangement de mes jouets depuis un moment. Je rangeais mes petits personnages, figurines de guerrires Templiers et Teutoniques que je faisais s'affronter autour d'un beau chateau-fort. Il y avait environ une centaine de ces "chevaliers", à pieds ou à cheval, dans chaque camps. Je prenais un soin particulier à bien les ranger dans des boîtes qui en contenaient vingt chacune. Je rangeais chacune de ces boîtes dans la cour intérieure du chateau. Durant tout ce temps, le bruit de la poignée de la porte se faisait entendre, jusqu'à commencer par m'énerver quelque peu. Je redressais la tête afin de fixer cette poignée qui me cassait les oreilles. Elle bougeait sans arrêt. Je me doutais bien que mon petit frère était encore entrain de me taquiner, sans doute tout sourire, dans le couloir, derrière la porte. Le bougre ! Me levant, m'apprêtant à ouvrir la porte prestement pour demander à mon frère de cesser, j'entendis soudain sa voix à l'autre bout du couloir, en haut des escaliers qui menaient au rez-de-chaussée. Il parlait avec maman qui était en bas des marches. Soudain, prenant conscience que j'étais absolument seul dans cette partie de la maison, je fûs pris de panique. Comme pétrifié par la crainte, paralysé par la peur, je restais sans bouger, retenant ma respiration. Je regardais bouger cette poignée de porte. Mon regard ne pouvait s'en détourner, je restais comme hypnotisé. Le phénomène dura un moment qu'il m'est impossible de quantifier aujourd'hui. Même si la plupart de ces faits étranges, gravés dans ma mémoire, dans leurs contextes de l'époque, sont présents, il y a des détails qui ont quitté mes souvenirs. Lorsque cela cessa enfin, je m'assis au sol, comme épuisé. Avec le recul, je me souviens que lorsque ces manifestations cessaient, je me sentais souvent fatigué. Comme si la cause du phénomène utilisait mon énergie... Je restais assis dans ma chambre au pied du lit. Maman monta pour venir me chercher afin de prendre le goûter. Ma chambre étant rangée, elle m'aida à monter le chateau-fort en bois sur le haut de l'armoire. Je la suivais immédiatement pour descendre à la cuisine . Il n'y eut plus d'autres faits remarquables durant le reste des vacances scolaires. Ce n'est qu'aux vacances de Pâques que ... ______________________ Tous droits réservés - 2014 - Depuis mon Blog - :cool:
  12. :cool: Chères amies lectrices Sur nombre de forums où je sévis, pour mon plus grand plaisir et celui de mes lecteurs, je reçois régulièrement, en messagerie privée, des propositions de contact. Je vais donc publier quelques épisodes relatant ces amusantes tentatives de contacts. Dans la plus parfaite déontologie de ce Blog. Tout cela n'est que de l'écume et reste sans conséquences. Nous sommes là pour passer du bon temps. Bonne lecture et bonne découverte...* :cool: Elle veut le contact (Episode 1) Un matin de cette semaine de janvier, en ouvrant une de mes boîtes mails, je tombe, (sans me faire le moindre mal), sur un intitulé sybillin. En règle générale, lorsque le mail a une provenance inconnue, je ne l'ouvre pas et il passe à la corbeille. Mais là, une certaine originalité poétique du titre éveilla ma curiosité. J'ouvrais le message et le lisais à plusieurs reprises. C'était le message d'une personne, sans doute du sexe féminin, (mon préféré), à qui je donnerais, ici, le pseudo de "Académia". Dans sa réalité, le pseudo était moins beau, mais j'ai besoin de rendre les choses plus belles pour en relater le déroulement. Sur Internet, nous ne sommes jamais certain de l'identité sexuelle de notre interlocuteur, sauf pas le biais de la web-cam qui reste la formule la plus sûre. Je reste donc toujours très méfiant. Il y a toujours, quelque part, une erreur ou une inadvertance, qui peuvent nous éclairer, voire nous apporter un début de certitude. Surtout dans l'expression écrite. "Académia" m'invita donc à échanger, plus ou moins régulièrement, de tout et de rien. Je suis un homme, un vrai, avec les attributs et la libido qui vont avec. Donc, très rapidement, au-delà des trois ou quatre premiers échanges de circonstances, j'aime évoquer la sexualité. Ce qui est parfaitement normal. Je déteste perdre mon temps en évoquant la cueillette des champignons, les recettes de cuisines ou encore les soldes chez Auchan. Je n'exerce pas en tant que psychanalyste bénévole... "Académia" semblait partante et plutôt complice de mes premières "avances" virtuelles. J'apprécie l'honnêteté, je suis direct, je déteste l'hypocrisie, les faux-derjes et les peine-à-jouir. Dans ce sens, dans ma quatrième prose, je joignais à mon message, long et sympathique, une belle photographie de moi, en randonnée, prise deux ou trois jours plus tôt. Comme je suis plutôt bel homme, athlétique, sportif, je n'ai pas honte de ma plastique avantageuse. Je suis "partageur"... Curieusement, "Académia", trouva mon initiative photographique un peu "cavalière". Un peu comme une chose insurmontable. Je ne lui demandais strictement rien en retour. Mais j'espérais une réciprocité qui permettrait de mettre une image sur des mots. Ce qui est, il faut bien l'admettre, la première des civilités, un des tous premiers processus de sociabilisation, dans notre condition virtuelle. Rien de plus efficace pour commencer le basculement du virtuel au réel. Bref, la moindre des convenances... Je ne "pratique" pas de la moche. Il me faut un physique en rapport, attractif et évocateur... Jouer carte sur table. Jouer franc jeu. Tel est mon fonctionnement d'homme intègre. La réponse fut toutefois sympathique et, comme si "Académia" occultait ma "transparence", son message fut long et agréable. Je ne sais toujours pas sur quel forum, j'ai eu le premier contact avec "Académia", car je sévis sur un grand nombre. En tant qu'administrateur, en tant que modérateur ou en tant qu'intervenant, comme sur celui-ci. "Académia" restait évasive, pas vraiment secrète, mais "amnésique". Ce qui n'avait pas grande importance... Je n'ai plus répondu. Laissant "Académia" avec mon silence et une absence définitive. Elle m'a encore fait deux messages avant de comprendre. Et là, je m'adresse à toutes les "Académias" passées et à venir : Dans l'impossibilité de pouvoir mettre un visage sur des mots, ces derniers achêvent de se diluer dans une abstraction qui m'est inutile... Tous droits réservés - © - 2014 - Depuis mon Blog - :cool: :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  13. :cool: Chères amies lectrices Voilà le sixième opus d'une série d'anecdotes amusantes que je vais publier ici, sur mon Blog. Pour savourer ce nouveau récit, j'invite la lectrice à découvrir les cinqs précédents épisodes. Ici-même. Ces récits vont relater quelques uns de mes contacts, par messageries privées. Ce, sur quelques forums et sites où j'interviens pour mon plus grand plaisir. Sans les citer. Et bien sûr pour le plaisir des lecteurs assidus de mes petites histoires. Ils sont nombreux. Elles sont nombreuses. Pour respecter l'anonymat des protagonistes, les prénoms employés ne seront qu'autant de pseudonymes. Bien sûr, tout cela n'est qu'écume et reste sans conséquences. Ces récits sont destinés à nous divertir dans la joie et la bonne humeur. Dans la plus parfaite déontologie de ce forum. Bonnes découvertes... :cool: Contacté par "Câlina" Voilà donc qu'en ce dimanche matin, 18 janvier, en ouvrant ma boîte mail, je découvre que j'ai un message privé sur un des forums où je sévis. Je m'empresse de m'y rendre afin de découvrir ce mot. Comme toujours, lorsqu'on est pressé, on découvre qu'il faut se reconnecter. Le temps d'ouvrir le carnet secret où se trouve les mots de passe. Je suis fébrile... C'est un message d'une jeune femme, (ou se présentant comme tel), dont le pseudo est "Câlina". Outre le ridicule de ce pseudo, il me faut admettre que ce qu'il sous-entend, ne correspond pas du tout à l'esprit du forum. C'est un forum de "bricolage", tournant exclusivement autour de la menuiserie, l'ébènisterie et autres travaux de charpentes. "Câlina" me propose de me donner le lien pour découvrir son Blog en échange du mien. Je lis soigneusement le message, plutôt bien écrit. L'expression écrite ainsi que la composition des phrases, laissent envisager une "construction" mentale certaine. Une capacité à l'échange et à la communication. Mais, comment se fesse que sur ce forum de bricolage, où je n'ai jamais posté autre chose que des sujets concernant le façonnage du bois, "Câlina" a pû découvrir que j'avais un Blog "Torride". En plus des deux autres Blogs consacrés à des passions biens réelles ? C'est un mystère que j'ai voulu résoudre avant toute chose. J'ai donc répondu à "Câlina" pour lui poser un certain nombre de questions. Les énigmes sont toujours excitantes. Ce dimanche matin, commençait donc très "fort". Il était huit heure. J'étais entrain de prendre mon petit déjeuner devant l'ordinateur. La réponse n'a pas tardé. "Câlina" avait trouvé quelques similitudes dans les formulations des sujets proposés sur des forums "légers", généralistes ou encore de cul et ce forum de "bricolage". L'utilisation du participe passé par exemple, juste avant le complément d'objet direct. Dans sa réponse, "Câlina" m'envoyait même une photographie d'elle, tenant à la main une feuille de papier sur lequel était écrit : < Bonjour GILBERT >. Et ce, avant même que je n'en formule la demande. Ravi de cette attention, je m'empressais de me prendre en photo, en pyjama, tenant un pannonceau sur lequel j'ai griffonné : < Bonjour Câlina >. Je lui envoyais tout cela avec le lien pour avoir accès à mon Blog "Torride" et mon Blog "artistique". Là aussi, dix minutes plus tard, j'avais un message contenant le lien pour découvrir ses deux Blogs. Le "Coquin" et l'autre consacré à ses réalisations picturales. Une belle découverte que celle de ces peintures extraordinaires. Une belle découverte que ces récits délicieusement érotiques. En plus, "Câlina" me gratifiait de deux autres photographies. Une belle jeune femme, quadragénaire et terriblement "bourgeoise". Je lui renvoyais deux photographies de moi, très récentes. L'une où je suis vêtu d'un de mes élégants costumes achetés sur Savile road et une autre où je suis en tenue de vacances, mettant mon physique athlétique en évidence. Je lui donnais encore le lien du dernier Blog consacré à une autre passion créatrice. Il est onze heure quinze et nous en sommes là. "Câlina" vit à environ trois cent kilomètres de chez moi. Il est donc probable que du virtuel, pour d'évidentes raisons de réciprocités et d'affinités, nous passions rapidement à la réalité. Je n'hésiterai pas à parcourir cette distance, même en voiture, moi qui déteste rouler plus de cent kilomètres. Je file donc ouvrir ma boîte mail pour savoir où en sont les choses... Tous droits réservés - © - 2014 - Depuis mon Blog - :cool: :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  14. :cool: Chères amies lectrices Voilà le cinquième opus d'une série d'anecdotes amusantes que je vais publier ici, sur mon Blog. Pour savourer ce nouveau récit, j'invite la lectrice à découvrir les quatres précédents épisodes. Ici-même. Ces récits vont relater quelques uns de mes contacts, par messageries privées. Ce, sur quelques forums et sites où j'interviens pour mon plus grand plaisir. Sans les citer. Et bien sûr pour le plaisir des lecteurs assidus de mes petites histoires. Ils sont nombreux. Elles sont nombreuses. Pour respecter l'anonymat des protagonistes, les prénoms employés ne seront qu'autant de pseudonymes. Bien sûr, tout cela n'est qu'écume et reste sans conséquences. Ces récits sont destinés à nous divertir dans la joie et la bonne humeur. Dans la plus parfaite déontologie de ce forum. Bonnes découvertes... :cool: Je suis contacté par "Framboisine" le vendredi 2 janvier 2015 "Framboisine" me laisse un petit message sur la messagerie d'un des nombreux forums où je sévis pour mon plus grand plaisir. Et cellui de nombreux internautes ayant bon goût. "Framboisine" me demande de lui offrir le lien de mon Blog. Moi qui n'offre jamais rien que mes petites histoires sur l'espace virtuel, j'éxamine soigneusement la demande de la jeune femme. D'abord, j'analyse soigneusement la sémantique de son expression écrite. En effet, on décele toujours facilement, (et avec un peu d'expérience), les "fakes" de cet ordre. En effet, Jonathan Dugland, lorsqu'il prend le pseudo féminin de "Brenda", laisse souvent des fautes qui révèlent sa civilité. "Framboisine", outre ce pseudo ridicule, me propose même d'établir une relation suivie de façon à me donner ses impressions quand à la lecture de mes récits. Moi qui n'en ai que faire des impressions des uns et des autres, surtout quand à mes textes, je reste donc avec une réflexion de quelques secondes. Le lendemain, je me fends d'une réponse à "Framboisine". Conformément aux règles immuables que j'ai institué dans mon univers virtuel, j'éxige donc une ptotographie de "Framboisine". Je lui demande de me fournir une photographie d'elle, tenant dans sa main, une feuille de papier sur lequel elle aurait écrit, de sa plus belle écriture : < Bonjour GILBERT >. A ce jour, samedi 17 janvier, j'attends encore la réponse... Tous droits réservés - © - 2014 - Depuis mon Blog - :cool: :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  15. :cool: Chères amies lectrices Voilà le quatrième opus d'une série d'anecdotes amusantes que je vais publier ici, sur mon Blog. Pour savourer ce nouveau récit, j'invite la lectrice à découvrir les trois précédents épisodes. Ici-même. Ces récits vont relater quelques uns de mes contacts, par messageries privées. Ce, sur quelques forums et sites où j'interviens pour mon plus grand plaisir. Sans les citer. Et bien sûr pour le plaisir des lecteurs assidus de mes petites histoires. Ils sont nombreux. Elles sont nombreuses. Pour respecter l'anonymat des protagonistes, les prénoms employés ne seront qu'autant de pseudonymes. Bien sûr, tout cela n'est qu'écume et reste sans conséquences. Ces récits sont destinés à nous divertir dans la joie et la bonne humeur. Dans la plus parfaite déontologie de ce forum. Bonnes découvertes... :cool: Je découvre le Blog de cette délicieuse "Atlantide". "Atlantide" est une jeune femme de 29 ans. Elle m'a envoyé un message privé, ici, sur ce site. "Atlantide" m'offrait le lien de son Blog et me proposait de lui donner le mien. Rappellons que la messagerie privée de ce site, tout comme celles de tous les autres sites existants sur Internet, est faite pour que l'on s'en serve. Encore et encore sans avoir à se justifier de le faire. Même auprès d'imbéciles pathétiques... Je vais donc pour découvrir le Blog de "Atlantide" en installant le lien offert dans ma barre de navigation. Je clique sur la flèche. J'arrive dans un espace coloré, charmant, féminin en diable. Je me promène un peu dans l'album photographique. Je découvre une jeune femme extrêment attractive, sexy et attirante. Il n'y a pourtant rien de la gourdasse, de la bimbo ou encore de la "poseuse". La découverte des textes et des récits m'impressionne considérablement. En effet, chacun des textes et des récits est un "acte littéraire". C'est somptueusement écrit. Une maîtrise du verbe, de la sémantique qui sont exemplaires. Je me délecte longuement de toutes ces narrations délicates, hautement sensuelles et terriblement excitantes. Je reviens sur les photographies de "Atlantide". Il y a une symbiose parfaite entre les récits et l'image de "Atlantide". Que la jeune femme soit à bicyclette, dans les champs, chez elle à son bureau ou encore devant la table ronde de la terrasse d'un café, il y a toujours ce charme "confortable" et une densité constante de la personnalité. Je m'empresse donc de donner le lien de mon Blog personnel (l'autre) à "Atlantide". Je lui envoie également mon adresse électronique. Je l'invite à me contacter afin de pouvoir lui envoyer, à mon tour, quelques photographies de ma personne. Celles qui sont visibles sur mon Blog personnel (l'autre) sont spécialement "formatées" pour mon "marketing". Il n'y a rien de naturel comme moi au Jogging, en bicyclette, ou encore à mon bureau de travail, par exemple. Très rapidement je reçois les impressions de "Atlantide" qui est ravie des miennes. Nous sommes tous deux admiratifs du travail de l'autre. En plus, je reçois quelques autres photographies qui viennent conforter mes impressions suaves. "Atlantide" me raconte que, comme moi, elle choisit avec soin qui pourra découvrir son Blog. Elle me raconte les tentatives deséspérées de ce crétin de Guillaume qui, en parfait "Fouille-merde", a cherché, encore et encore, partout, pour tenter de trouver une piste ! Sans résultats... Merci "Atlantide" pour ces échanges et cette amitié virtuelle qui n'en est certainement qu'à son tout début. Vous seule, vous vous reconnaîtrez là. Surtout si je précise l'anecdote que nous sommes rares à connaître de : < La grotte aux pieds de la falaise >. Votre obligé ____________________________ Tous droits réservés - 2015 - Depuis mon Blog - :cool: :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  16. Très bon choix de photographie d'avatar !

  17. :cool: Chères amies lectrices Voilà le troisième opus d'une série d'anecdotes amusantes que je vais publier ici, sur mon Blog. Pour savourer ce nouveau récit, j'invite la lectrice à découvrir les deux précédents épisodes. Ici-même. Ces récits vont relater quelques uns de mes contacts, par messageries privées. Ce, sur quelques forums et sites où j'interviens pour mon plus grand plaisir. Sans les citer. Et bien sûr pour le plaisir des lecteurs assidus de mes petites histoires. Ils sont nombreux. Elles sont nombreuses. Pour respecter l'anonymat des protagonistes, les prénoms employés ne seront qu'autant de pseudonymes. Bien sûr, tout cela n'est qu'écume et reste sans conséquences. Ces récits sont destinés à nous divertir dans la joie et la bonne humeur. Dans la plus parfaite déontologie de ce forum. Bonnes découvertes... :cool: Le superbe Blog de "Paradisia" "Paradisia" aussi m'a contacté par MP. Elle a 23 ans, cultivée et plutôt intellectuelle. Superbe brune. Elle aussi voulait savoir à quoi ressemblait ce Blog dont je mentionne l'existence sans en révéler l'accès. "Paradisia" m'a donc fait un premier MP auquel je n'ai pas répondu. Voyou que je suis. Quelques jours plus tard, je reçois un second message dans la messagerie privée de ce site. "Paradisia", pour la seconde fois, me fait la même requête. Je lui réponds que je suis un de ces rares exemplaires d'hétérosexuels purs et durs qui ne désirent de contacts qu'avec des jeunes femmes. Jeunes femmes pouvant évidemment prouver leurs parfaites civilités autrement qu'avec des mots. Hors de question d'entrer en contact avec Monsieur "Plume-dans-le-cul" ou encore avec ce crétin boutonneux de Kevin. Kevin qui sévit sous son pseudo habituel de "Brenda" sur nombre de forums où il fait son malin. "Paradisia" m'envoit donc une belle photographie d'elle tenant à la main une feuille de papier où elle a écrit, de sa plus belle écriture : < Bonjour Maître GILBERT > ! ! ! Quelle preuve magnifique et indubitable. (Bitable)... Les filles commencent à connaître les formalités éxigées pour avoir accès à mon Blog et à ses privilèges. Presque plus une journée sans qu'il n'y ait une demande. Et sur bon nombre de forums où je sévis avec la grâce et la nonchalance dont je suis coutumier. Je suis un coquin et elles ont compris la "combine". Je vous embrasse les filles... Je m'empresse donc de répondre et de lui envoyer le lien pour découvrir mon Blog. Avec ma photographie en "buste" tenant un papier similaire. Papier sur lequel j'ai écrit, de ma plus belle calligraphie : < Bonjour Paradisia >. Deux jours après, "Paradisia" m'écrit pour me remercier des plaisirs éprouvés à la découverte de mes récits et des somptueuses photographies qui parsèment mes textes. La jeune fille déplore toutefois ne pas pouvoir déposer de commentaires au bas des textes et clichés qui l'ont ravi. Je lui explique immédiatement que j'ai désactivé la fonction "commentaires". Ce, afin d'éviter les commentaires désobligeants. Des commentaires faisant plus souvent penser à des déjections canines au bas d'un réverbère qu'à des phrases intelligibles. Dès qu'il y a possibilité d'apposer des commentaires, toutes sortes de marioles en profitent pour faire leur triste "numéro"... Au bout de quelques jours, quelle n'est pas ma surprise de recevoir le lien me permettant de découvrir le Blog de "Paradisia" ! Ainsi, la belle et ravissante inconnue possède et gère un Blog plein d'érotisme et de récits plus sulfureux les uns que les autres ! Je m'empresse de lui témoigner l'immense satisfaction de découvrir un peu de son univers. C'est sublime... Ce con de Jéremy et ce crétin de Jonathan voudraient que je leur donne le lien du Blog de "Paradisia" ! Vous pouvez toujours rêver. Tristes imbéciles... Je respecte le secret le plus absolu et moi, personnellement, je ne divulguerais jamais aucune information. Je tiens juste à témoigner qu'il y a quelques fois d'agréables surprises dans un contact à priori anodin. Même (et surtout) sur ce site... Chère "Paradisia", chère nouvelle amie virtuelle, soyez rassurée. Je suis aussi secret qu'une pierre tombale templière. Les secrets qui me sont confiés tombent à tout jamais dans un gouffre sans fond. Votre obligé Tous droits réservés - © - 2015 - Depuis mon Blog - :cool: :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  18. :cool: Chères amies lectrices Voilà le second opus d'une série d'anecdotes amusantes que je vais publier ici, sur mon Blog. Ces récits vont relater quelques uns de mes contacts, par messageries privées. Ce, sur quelques forums et sites où j'interviens pour mon plus grand plaisir. Sans les citer. Et bien sûr pour le plaisir des lecteurs assidus de mes petites histoires. Ils sont nombreux. Elles sont nombreuses. Pour respecter l'anonymat des protagonistes, les prénoms employés ne seront qu'autant de pseudonymes. Bien sûr, tout cela n'est qu'écume et reste sans conséquences. Ces récits sont destinés à nous divertir dans la joie et la bonne humeur. Dans la plus parfaite déontologie de ce forum. Bonnes découvertes... :cool: "Magalie" J'ai donc donné le lien de mon Blog (l'autre) à une autre admiratrice. Une autre lectrice de mes récits, ici, sur ce superbe forum. Je lui donnerais le pseudonyme de "Magalie". D'abord parce que c'est beau "Magalie" et parce que cela préserve l'anonymat de la personne. Donc, mêmes principes de contacts et mêmes formalités d'acceptations. Par contre, "Magalie" regrette qu'elle ne puisse pas déposer de commentaires au bas de mes récits, de mes photographies ou encore de mes textes autobiographiques. En effet, pour éviter toutes désobligeances inutiles, sur mon Blog (l'autre), j'ai désactivé la fonction "Commentaires". Je ne suis pas un démocrate et mon Blog (l'autre), ne l'est pas non plus. Il n'y a donc aucune raison d'autoriser les abus de quelque nature qu'ils soient. Par contre, sur mon Blog personnel (l'autre), il y a un forum. Un forum très bien fréquenté. Plus d'une trentaine de femmes et d'hommes qui échangent dans la plus parfaite cordialité. En tant qu'administrateur et en tant que modérateur, je n'ai jamais à intervenir. C'est un espace de liberté, d'échanges et de convivialités très sympathique. Les intervenants peuvent y évoquer tout ce qui est en conformité avec les lois en vigueur. Donc, avis aux prochaines postulantes, il est impossible de laisser une trace de son passage sur mon Blog (l'autre). Par contre, il est tout à fait possible de me donner vos impressions en cliquant sur l'onglet < Contacter l'auteur >. A bientôt chères petites coquines. Votre obligé :cool: :cool: ____________________________________________ Tous droits réservés - 2014 - Depuis mon Blog personnel - L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 . ______________________________​_____ Tous droits réservés - 2014 - Depuis mon Blog personnel -
  19. :cool: Chères amies lectrices Voilà le premier opus d'une série d'anecdotes amusantes que je vais publier ici, sur mon Blog. Ces récits vont relater quelques uns de mes contacts, par messageries privées. Ce, sur quelques forums et sites où j'interviens pour mon plus grand plaisir. Sans les citer. Et bien sûr pour le plaisir des lecteurs assidus de mes petites histoires. Ils sont nombreux. Elles sont nombreuses. Pour respecter l'anonymat des protagonistes, les prénoms employés ne seront qu'autant de pseudonymes. Bien sûr, tout cela n'est qu'écume et reste sans conséquences. Ces récits sont destinés à nous divertir dans la joie et la bonne humeur. Dans la plus parfaite déontologie de ce forum. Bonnes découvertes... "Patricia" Oui, je lui donnerais le pseudonyme de "Patricia". C'est un peu "rétro" mais sympathique. Elle a des lunettes. Dans la messagerie privée du site, "Patricia" m'a fait un petit mot. Avec courtoisie et politesse, elle m'envoyait son message pour me demander de lui donner le lien de mon autre Blog, (le "sulfureux"). Elle désirait découvrir cet espace privé et personnel. C'est fort compréhensible à la lecture de mes récits souvent affriolants qu'elle découvre sur les forums "spécialisés" qu'elle fréquente. Discrètement. Au premier message, je suis resté totalement silencieux. Aucune réponse à "Patricia". Je m'en suis excusé par la suite. Je suis resté silencieux pour deux raisons. D'abord, parce que "Patricia" pouvait bien être ce sacré vieux Jonathan qui cherche à piéger des crédules. Sous son habituel sobriquet de "Brenda". Combien de naïfs lui racontent leurs cochonneries en croyant avoir affaire à une fille ! Ensuite parce que "Patricia" pouvait également être un de ces "brouteurs" pitoyables. Un de ces "brouteurs" qui nous "gonflent" depuis leurs lointaines contrées par d'ennuyeuses tentatives d'escroqueries plus minables les unes que les autres.. Au second message reçu, j'ai demandé à "Patricia" de me fournir la preuve irréfutable de sa civilité. Je voulais savoir si "Patricia" était bien une femme du sexe féminin. Et pas cette pitoyable "Brenda". En effet, pour l'hétérosexuel que je suis, l'idée d'avoir un contact, même virtuel, avec autre chose qu'une fille, me hérisse le poil pubien. C'est comme ça. Et pas autrement. Je n'ai pas à justifier de mes préférences... Dans le troisième message, "Patricia" m'envoyait une belle photographie d'elle tenant à la main une feuille de papier Canson 220 gr/m. Ce papier qui permet de peindre à l'aquarelle ou encore à la gouache sans gonflements de la surface. Sur cette magnifique feuille blanche, de sa plus belle écriture, "Patricia" avait écrit : < Bonjour GILBERT >. Confortablement installée dans un fauteuil, vêtue "ville", elle me faisait un grand sourire en me présentant la feuille de papier ! Je n'avais plus de doute sur l'identité de "Patricia". J'avais à présent la certitude que ce n'était pas "une" rigolo en string à paillettes ou encore "Brenda" et sa plume dans le cul. La messagerie privée de tous les forums est faite pour que l'on s'en serve. Encore et encore. Il y en a parfois que cela dérange. Mais c'est comme ça ! Je m'empressais donc d'envoyer à "Patricia" le lien pour découvrir mon Blog, (l'autre, le "sulfureux"), ainsi qu'une belle photographie de moi, en maillot de bain, au bord de la mer, durant mon séjour à Sète, l'été dernier. Svelte, mince, harmonieusement entretenu par mes entraînements quotidiens, je suis toujours à mon avantage. C'est toujours un élément positif supplémentaire. Même si cet imbécile de Bruno Chauzemol ou encore cette andouille de Chantal Mouyet se moquent... "Patricia", ravie de sa découverte ne cesse de m'envoyer de remarquables petits avis sur les textes et photographies qu'elle découvre sur mon Blog, (l'autre, le "sulfureux") ! C'est très agréable. Sur mon Blog, (l'autre, le "sulfureux"), il se trouve quand même plus de quatre vingt récits et plus de trentes superbes photographies. A présent, "Patricia" et moi, nous échangeons sur les boîtes privées de nos opérateurs respectifs. "Patricia" fait maintenant partie des plus de 15 milles visiteurs de mon Blog, (l'autre, le "sulfureux"), depuis sa création. Il y a deux ans. "Patricia" est devenue une amie virtuelle... "Patricia", douce complice virtuelle, vous ne manquerez certainement pas de vous reconnaître ici. Car je soupçonne que vous fréquentez également cet espace. Et tout spécialement si j'évoque le "Chalet Tyrolien" avec le clin d'oeil que vous devinez. Et vous savez pourquoi... Je vous embrasse affectueusement. A bientôt adorable coquine... ________________________ Tous droits réservés - © - 2014 - Depuis mon Blog - :cool: :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  20. :cool: SOUVENIRS D'UNE EPOQUE REVOLUE... Etudiants, avec des amis, nous faisions régulièrement des soirées. Un de nos condisciples de l'école des Beaux-Arts, Laurent, était fils de restaurateur. Nous avions donc la possibilité d'organiser nos petites "sauteries" dans l'arrière salle du restaurant de ses parents. Nous étions un noyau d'une dizaine d'amis. Issus de différentes facultés, il y avait donc toujours pas mal de monde à nos soirées festives. Jean-François s'occupait des disques. Disques qui étaient en vinyls et qui tournaient en trente trois tours, en cette époque déjà lointaine mais formidable. Alain s'occupait du bar et de l'ambiance qui allait avec. Chantal et Muriel s'occupaient de la décoration, des cotillons et des différents accessoires. Ces soirées étaient toujours de grandes réussites. Au son du groupe Led Zeppelin, de l'ami Eric Clapton, des Rolling Stones ou encore de l'Allman Brothers Band, nous dansions, nous devisions et nous nous amusions agréablement. Nous avions en commun de détester toutes les productions Françaises de l'époque. Avec Johnatan, Francis et Christian, nous avions une "spécialité" particulière. La veille de la soirée, qui avait en générale lieu le samedi soir, nous nous retrouvions chez Laurent. Là, dans un grand verre d'eau, nous procédions à quelques épanchements spermiques sous l'oeil amusé de Nathalie, la frangine de Laurent. Après ce petit jeu, bien innocent et potache, nous versions l'eau dans un bac à glaçons du congélateur familiale. Le lendemain soir, nous disposions les glaçons ainsi obtenus dans le seau à glace, sur le bar. Alain, lui aussi dans la "combine", plaçait, avec la pince à glace, un ou deux glaçons dans la boisson des filles. Choisissant ses "victimes" parmis les plus "frimeuses". Dieu sait qu'à l'époque, il y en avait déjà un paquet. Combien de fois étions-nous écroulés de rire derrière le bar ! Alors, parfois, l'un d'entre nous allait se mêler à un groupe de convives qui discutaient, le verre à la main. Jean-François, par exemple, n'avait pas son pareil pour emmener la conversation sur la sexualité. Evoquant, avec les filles du groupe, en nous faisant des clins d'oeil, la pratique de la fellation . Combien de fois n'avons-nous pas entendu l'une de ces filles, très droite et très fière, affirmer, presque offusquée : < Quoi ? Moi ? J'amais je ne ferais une chose pareille ! > La fille, affirmant cela, le plus sérieusement du monde, en sirotant son Coca, dans lequel flottaient les fameux glaçons ! Nous étions pliés de rire... Par la suite, par des amis "branchés", nous avons découvert que cette pratique (les glaçons) étaient très fréquente dans les milieux des "Night-Clubs" et, en règle générale, dans les milieux du monde de la nuit. Boîtes, discothèque et autres "Clubs"... Aujourd'hui encore, lorsque je vois une fille se la "pêter" avec un verre à la main, dans une soirée, je ne peux m'empêcher de vérifier l'opalescence des glaçons de son verre... Nous étions jeunes, insouciants, optimistes, plein d'humour et facétieux. Tous droits réservés - © - 2014 - Depuis mon Blog - :cool: Glaçons au sperme... :cool: :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  21. :cool: Depuis ce matin, je porte mon anneau. Il y a des périodes où je le porte en permanence plusieurs jours de suite. Lorsque je marche, en ville, lorsque je fais mes courses et même chez moi, cet anneau me procure d'agréables sensations. De plus, dans certaines situations, cet anneau est un excellent garrot. Je le recommande à tous les hédonistes... :cool: :cool: :cool: Tous droits réservés - © - 2014 - Depuis mon Blog - L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  22. :cool: Maître Gilbert C'est ainsi qu'elle m'appelle dans des situations particulières où elle aime nous entraîner pour nos plus grands plaisirs. Même si, dans ce "rôle", je me sent un peu à côté de mes chaussures de marque "Paraboot" dans lesquelles je suis à l'aise. Que ne ferais-je pas pour lui faire plaisir ? A 19 ans, on peut encore croire au Père-Fouettard ! Donc, avec zèle, avec concentration, avec acharnement, je m'obstine à être à la hauteur des attentes et des demandes. Parfois, je suis moi-même embarrassé par les situations dans lesquelles, je nous mets. Elle adore... Le samedi soir, j'endosse donc la panoplie de "Maître Gilbert". Parfois même encore le dimanche après-midi. :cool: Témoignage émouvant... :cool: Maître Gilbert... :cool: Tous droits réservés - © - 2014 - Depuis mon Blog - L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  23. :cool: Je fréquente quelques sites de rencontres gratuits, sympathiques et "directs". Grace au traducteur Google, je fréquente de très bons sites Allemands et Hollandais. J'ai souvent l'opportunité très agréable de découvrir, dans la boîte mail de mon opérateur, destinée à cet usage, de gentils petits messages. Les Allemandes et les hollandaises sont beaucoup plus nombreuses à savoir et à afficher ce qu'elles aiment et ce qu'elles recherchent. Sans êtres vénales, précisions-le. Il n'est pas question, dans mon propos, de faire l'éloge de "professionnelles". Qu'on se le dise... Beaucoup moins inhibées que leurs congénères françaises, les allemandes et les hollandaises affichent franchement ce qui les préoccupent. C'est donc beaucoup plus agréable de partager et d'échanger sans hypocrisies et sans faux-semblants. Suite à une de mes annonces dont voici le copié-collé, publiée début juin 2014, j'ai déjà vécu quelques rencontres dans la vie réelle qui furent autant de superbes week-end. Les allemandes et les hollandaises, sans faire de déplorables généralités, reçoivent avec une déconcertante facilité. Sans êtres vénales, il faut bien le souligner une fois encore à l'attention des "bas-de-plafonds"... Précisons également que le "Français" a une certaine "côte" en Allemagne. Un peu moins en Hollande ou on lui préfère l'Anglais. Le "Français" a une réputation de "Frensh lover" qui, même si à cause de sinistres imbéciles, elle s'émousse quelque peu, profite encore aux autres. Costume, cravatte, sportif, athlétique, pas d'alcool, pas de drogues, pas de tabac, sont, toutefois, les options obligatoires. Les Allemandes, encore une fois sans donner dans les affligeantes généralités, sont très portées sur la qualité de vie, l'hygiène de vie, le "Bio". Les gros-lards, les ventrus ne sont pas vraiment leurs types d'hommes... Voilà le copié-collé de cette annonce ( dont je garde la meilleure partie "secrète") : _______________________________________________ Contact non vénal uniquement. Je n'accepte le contact qu'avec une fille non vénale, européenne, de type européen, vivant en Europe et pouvant le prouver par des détails probants. Il faudra joindre trois photographies réelles et personnelles. J'aime découvrir des messages écrits sans fautes et dans une sémantique parfaite. Je réponds avec plaisir si les conditions demandées sont réunies. Je suis fidèle en amitié - Je suis un gentlemen - Je suis secret - Discrétion absolue - Réciprocité éxigée - Je ne désire pas me marier - Je ne désire pas d'enfants - J'aime le sexe - Je ne désire que l'amitié et la complicité, uniquement - J'apprécie les personnes optimistes, positives, hédonistes et désireuses de vivre pleinement leurs désirs et leurs passions - Les névrosées, les dépressives ainsi que les déprimées devront s'abstenir - Je déteste le manque de culture générale, le manque d'instruction - La bêtise me fait fuir - Le contact virtuel sera le prélude d'un contact réel - Je me déplace - Je reçois - _____________________________________________________________ Et bien, il me faut le confesser, c'est une excellente annonce. J'ai essayé en France . Rien. Quelques frileuses, quelques tarlouzes sous pseudos féminins, ou encore des femmes désaxées cherchant à nourrir leur curiosité malsaine... De plus, la plupart des sites de rencontres gratuits, en France, sont de véritables poubelles. On peut y retrouver toutes les misères sexuelles d'un peuple de frimeurs, de gens sans talents, de râleurs et d'incapables. Les sites payants, Français, eux ont cette particularité de faire "mousser" les inscrits avec de fausses annonces. Des fausses annonces animées par des "hotesses" dont le travail consiste à "ferrer" le con de base. Fidéliser le crétin naïf. Non, moi, avec certaines formules que je garde précieusement secrètes, je sévis dans le milieu de la rencontre, avec la délicatesse d'un lutteur ukrainien... :cool: Tous droits réservés - © - 2014 - Depuis mon Blog - L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  24. :cool: Hier, sur ma "tablette", elle m'a rappelé qu'elle avait une semaine de congé du lundi 25 août au dimanche 31 août. Elle m'a également rappelé que nous avions en projet d'aller courir, pour notre jogging quotidien, tous les matins à 8 h. Il faut juste espérer que les chemins de la forêt voisine, ne soient pas détrempés comme ils le sont en ce moment. Elle en profite pour me faire savoir qu'elle adore aller se promener sur mon "vrai" Blog, l'autre, le Blog "coquin". En effet, elle y trouve de troublants récits érotiques, terriblement torrides et excitants. Des histoires authentiques. Des textes biens ficelés agrémentés de délicates photographies. Un vrai "must". Les filles aiment... Ce Blog étant sous dépot légal, les droits de mes textes sont donc réservés. Déposés. De plus, la fréquentation de ce forum avoisine, à ce jour près de quatorze mille visites (14 000) ! Ici, c'est juste un Blog pour rire... J'attends donc, avec une certaine impatience, la dernière semaine d'août pour son agréable compagnie. Nous avons déja couru ensemble à la fin juillet. J'aimais sa compagnie. Attractive et sexy. :cool: Tous droits réservés - © - 2014 - Depuis mon Blog - L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  25. :cool: Et voilà une confession intime. Celle de droite. Des deux, c'est toujours la droite qui me gratte. Toujours et quoi que je fasse. Et elle me gratte n'importe où, surtout dans les lieux où il y a des gens. C'est ennuyeux, parfois embarassant. Je suis entrain de faire mes courses, poussant mon caddie, lorsque là, soudain, dans le rayon des yaourts, elle se rappelle à moi. Il me faut donc ruser pour aller me la gratter dans un rayon plus discret. Je me rends donc au rayon des vêtements et là, enfin, je peux me la gratter discrètement. A peine de retour dans le rayon des confitures, crac, elle me gratte à nouveau. Sa frangine, la gauche, me laisse tranquille... :cool: :cool: Tous droits réservés - © - 2014 - Depuis mon Blog - L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
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