

yacinelevrailefou
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Tout ce qui a été posté par yacinelevrailefou
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oui, l' absurde n est pas compatible avec une vision deterministe. Ce qui revient au même: se passer du pourquoi. Chez l' un, il n y en a pas, chez l' autre c est hors compétence. Alors je suis curieux comment par la vision deterministe l' on pourrait traiter de l' absurde sachant que l impossible n est qu un possible parmi d autre .
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Rien qui vaille la peine d'en parler
yacinelevrailefou a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
la belle affaire: efficace et réaliste. -
si fait Tison... Voir islamique car les deux : Aristote et l' islam communique ( cf l' oeuvre de Ibn Arabi et de l' emir Abdel Kader)
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pour aller plus en avant dans la provocation pourquoi ne pas dire que dans l' existence il y a trois pôles extrêmes : le troisième serait le juste milieu, antithèse des deux autres. Parfois large, parfois étriqué il suffit d'un rien pour que l' on bascule dans l' excès...
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Je dirais que la vertu opposé à celle de justice est la (bonne) moralité, ce qui lui est complémentaire est le droit, la loi, le phénomène contractualisant. En effet, la bonne moralité chasse sur les terres de la justice sans que justice se fasse. Ainsi que la justice dépende de l'aspect de socialisation des individus en même temps qu'elle s'appuie sur les rapports de socialisation de l'individu. La justice répond à une chose (au droit pris dans le sens de règles) qui elle-même la demande. Pas de droit/règles sans justice, pas de justice sans droitrègles.
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la philosophie est un raisonnement logique, elle s appuit sur une chose essentielle et fondamental pour que tous ça fonctionne: une certitude. Et quoi de plus pratique que la vérité? je dirais que la vérité se cherche en philosophie pour pouvoir aligner une réflexion, une pensée. Chercher la vérité en philosophie c'est le carburant pour aller vers la chose philosophique. progrès philosophique? Pourquoi pas mais il faut alors pas mal de carburant
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Merci pour la synthèse, bonne synthèse mais les concepts sont tous flou, un peu pas trop beaucoup clair. On avance quand même.
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Il ne faudrait pas confondre la voie du milieu qui est entre deux valeurs absolues , l'opposé de l'excès et le contraire d’extrémisme , de névrose.... et les universaux. Chaud/froid, Humide/sec, etc.
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Loana nouvelle tentative de suicide
yacinelevrailefou a répondu à un(e) sujet de saint thomas dans People
Crabe, tu ne sais pas... Elle ne vit pas pour les photographes... On lui a fait beaucoup de mal tu sais... -
Loana nouvelle tentative de suicide
yacinelevrailefou a répondu à un(e) sujet de saint thomas dans People
Loana a énormément souffert dans sa vie.. Je ne peux dire que ça par respect pour elle et ce qu'elle m'a dit. -
Quand l'espoir n'est plus là, il me semble bien que c'est au désespoir qu'il faut se tenir... Kierkegaard rapproche la personnification du désespoir dans la synthèse qu'est le moi : "Le moi est formé d'infini et de fini. Mais sa synthèse est un rapport, qui, quoique dérivé, se rapporte à lui-même, ce qui est la liberté. Le moi est liberté. Mais la liberté est la dialectique de deux catégories du possible et du nécessaire." Traité du désespoir, Livre III. A la suite, il dit aussi que : "Plus il y a de conscience, plus il y a de moi ; car plus elle croît, plus croît la volonté, et plus il y a de volonté, plus il y a de moi. Chez un homme sans vouloir, le moi n'existe pas ; mais plus il en a, plus il a également conscience de lui-même." A propos du moi, sa réflexion le donne comme "synthèse consciente d'infini et de fini qui se rapporte à elle-même, ce qui ne peut se faire qu'en se rapportant à Dieu". Précision importante quand l'on continue la lecture : "Par contre le moi qui ne devient pas lui-même reste, à son insu ou non, désespéré... Tant qu'il n'arrive donc pas à devenir lui-même, le moi n'est pas lui-même ; mais ne pas être soi, c'est le désespoir." Le moi projeté dans l'infini de l'imaginaire se perd pour revenir vers lui-même par la volonté, celle de réaliser un objet fini. Ainsi l'espoir est le moi qui dans l'infini de l'imaginaire se perd pour ensuite revenir à lui-même et faire la preuve de ce qu'il est véritablement. Quand il n'y a plus d'espoir, c'est le moi qui ne peut plus devenir, ne pouvant plus revenir à lui-même, perdu dans l'infini, dans l'imaginaire, et , étant autre , n'étant plus soi-même , le sujet sombre dans une folie, une maladie nommée désespoir.
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Autre chose par rapport à l'esprit critique en religion : une religion ne se critique pas, c'est ainsi... Mais alors comment avoir de l'esprit critique en religion, sur les saintes écritures , sur le sacré ? Facile, il suffit de laisser voguer son esprit à la critique du monde dans le cadre de la vérité révélé. Or la vérité religieuse décrit le monde, les hommes, etc. , mettre en doute le monde ou une vision "actuel" du monde reviendrait à mettre en doute la vérité religieuse pour ne pas dire la vérité... Il n'en est rien; la vraie religion est universelle et intemporelle, ces écrits sont valables pour toute remise en questions et obligatoirement valide ou non les critiques, pouvant laisser la mauvaise critique, la fausse pourtant bien avancée, voire scientifiquement établit, avoir une réalité religieuse. Et ceci pouvant être par exemple inclue dans un jugement, un jugement plus général englobant et la critique et celui qui la professe... Et comme dans tout jugement il y a la rétribution. En religion, j'insiste sur l'intention ... et cela est si intime... comme un avis personnel, voire même la bon conseil...
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Les athées forcenés, militants, qui crachent comme des cowboys sur les religions comme sur leurs conceptions du divin, une fois face à un gros pépin et en secret, ça implore Dieu... LE plus grand service que l'on puisse donner à ce genre d'athée là c'est de lui montrer son impuissance ou de lui rappeler qu'il n'était qu'un projet dans l'histoire comme il est un être fragile que la mort va touché... Quant à ceux qui se révoltant sur les faits religieux plus que sur le sens de la religion, crachant au passage toutes leurs incompréhensions sur cette réalité religieuse qui a l'air de les dépasser, ceux là se disant croire en ce qu'ils voient, en leurs sensations, en bons materialistes qu'ils semblent être, ils ne réfléchissent pas, comme des vaches regardant passer les voitures, ils pâturent... Rien ne leur rappelle le transcendant, ils comprennent tout car sans doute ils ne cherchent pas à comprendre et que la pâture leur suffit ou bien ils pensent tout comprendre car ils pensent qu'il n'y a rien ou pas grand chose à comprendre... seulement quand la solitude les berce, quand , face aux étoiles ils commencent à s'interroger, la crise mystique n'est pas si loin et voilà qu'ils parlent à Dieu, l'invectivant ou alors se felicitant de tout comprendre, penchant pour l' absurde de leurs existences, ils vivent , retournent aux pâtures. Ce ne sont pas les yeux des non-croyants qui sont aveugles mais leurs coeurs. Ma volonté n'est pas ici d'être méchant, juste de constater avec mon approche toute personnelle que certains athées se moquant de la religion, ne se moquent en définitive que d'eux même.
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Quand on a perdu l'espoir c'est alors que l'on vit que par soi-même... On attend rien de la vie car on a deja tout (même si ce n'est que soi-même)... L'espoir est le moyen le moins douloureux pour vivre et qui pallie au fait que nous ne nous suffisons pas à nous même... L'espoir c'est le remède face au constat de nos propres limites, contraintes, de notre determination en fait... L'espoir se conjugue aussi par rapport à la liberté, c'est sans doute le seul moyen d'entrevoir notre liberté, ce conditionnel projet suspendu de par nos volontés à une réalité possible, envisageable ainsi même que l'espoir envisage, manoeuvrant alors tout ce que nous sommes vers cette proximité sous le coup du désir, ce futur recherché...
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Il n'y a pas de dieu... sauf Dieu. Tu exclues toutes divinités comme le fric, toi-même, le sexe, etc, la politique la nature, les dieux, etc... Il n'y a pas de dieu sauf Dieu. Tu pourras ajouté n'importe quoi ça restera n'importe quoi... Dieu est unique... Mais toi jean gislain, tu crois en quoi ? qu'elle est ta religion ?
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Meilleur passage... Ceci dit, l'intuition que l'on pourrait recadrer plus encore dans un certain déterminisme, n'est elle pas aussi la connaissance inconsciente de facteurs extérieurs ? Ou encore le résultat d'un calcul instinctif sur les causes et effets qui font du monde un monde causal justement ? C'est sans doute une capacité cachée ou une ignorance qu'on découvre à mesure que l'idée d'intuition chemine. On est d'accord, donc. Mais il est évident que l'aspect raisonné que tu entends écrire sur les sujets n'offre presque aucune contradiction... C'est désolant et suspect d'avoir toujours raison mais là où le determinisme nous dit le comment raisonnablement, il bute sur le pourquoi... La morale du deterministe est d'après moi dangereuse car quand il ne peut répondre au pourquoi de la chose, de lui-même, etc., il est aveugle et sourd tenant une épée de feu... A par ça, personne ne pourrait nier le fait qu'il y a un determinisme, et que ce concept est bien pratique pour définir les choses, un bel outil en somme, tendance materialiste qui plus est... Mais à présent comment peux tu régler, par exemple, la question de l'absurdité de la liberté ? ça m'interresse....
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- Fumisterie - Lors d'un festival du livre, un écrivain philosophe me posa cette question tout en se doutant de ma réponse -réponse majoritairement admise : "-Comment détermineriez vous la liberté ?" Je lui réponds scolairement en dépit de la dimension déterministe que : " la liberté, euh... c'est, euh... de pouvoir dire oui ou non, de pouvoir choisir." A cela il me répondit une chose que je n'oublierait jamais, une chose qui améliora mon rapport à moi-même ainsi qu'aux autres : " Votre détermination de la liberté est un état indéterminé du sujet. C'est l'espace qui se situe entre la proposition et la détermination qui n'est déjà plus une liberté en soi. La détermination objective est l’indéterminisme du sujet. Le caractère de cette dernière proposition ascrit le sujet et l'objet comme conscience unilatérale projetée ou provenue de par la situation, l'espace, voire bien évidemment le temps. Le pré-verbe ou l’auto-détermination de l'objet sans autre besoin que d'être l'objet propre à lui-même sans équivoque ou association à lui-même en tant que sujet est un "non-dit" que j’appellerai alors "tolérance". " "Évidemment, dis-je, et c'est si simple que je me demande pourquoi personne ne le sait.... enfin, vous les philosophes..." Et je me perdis dans d'immense flatterie puis me défila à l'annonce faite d'une conférence à propos des mythes et légendes sur le scarabée. Mon cerveau fumait encore...
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Après m'être fait viré d'un lieu public par deux vigiles pas très tendre, je partis dormir sur un banc, dans un parc... Avant de m'allonger, je pensais encore à ceux-là... Les combattre ? Je suis fatigué, ainsi que faire la guerre aux cons, on le devient forcément :"Mieux vaut deux cons qu'en être le troisième", me dis-je... Enfin, j'ai mal dormi sur ce banc, dans ce parc grillagé et fermé du 92. J'y ai mal dormi parce que c'était la nuit. Etrange ? Non, seulement y a plein de bruit autour, des voitures avec du son à fond ; ce sont des cons qui jalousent votre pauvreté, votre sommeil... Y a des cons partout ! Même dans les parcs la nuit ! 'Sont éveillés ces cons ! 'Peuvent même venir vous tuer par dessus un grillage, dans un parc fermé la nuit... J'essaie de dormir tranquille. Un bruit. Je me relève brusquement puis me recouche doucement. Cette nuit, pour moi, un banc c'était mieux qu'un brancard : j'ai pu y passer la nuit.... avec comme couverture mon keffier rouge et blanc par dessus la tête. Au matin, ça fait plus d'un quart d'heure que le balayeur balaye dans les vingt mètres carré qui m'entoure. Il ne dit rien, il balaye. Mais il balaye quoi depuis un quart d'heure autour de moi ? Je me lève. Bismillah ! Vais à la fontaine. Me lave le visage. Station service. Toilette. Rasage. Savon sur la gueule. Dent-qui-frissent. Brosse-à-dent. A la caisse, l'employé et un client qui paie... "excusez-moi, personne n'a soixante centimes à dépanner?". Café à la machine. Je bourre ma pipe à l'exterieur de la boutique par les mégots dans le cendrier en hauteur. Je bois et je fume. Une matiné et qu'est ce que Allah va faire de moi aujourd'hui? Inchallah kheir ! D'une voix douce et compatissante, l'employé vient me voir en me disant que je dois m'en aller, son chef le demande... Même pas huit minutes que j'étais là-bas à consommer devant la porte ! "Appelez moi vot' chef ! - il n'est pas là, il est derrière la camera je ne sais où... - Vous avez le téléphone ? dis-je en me moquant de lui. - Non mais moi je suis gentil et... dégagez maintenant, ça commence à suffir ! - Non, vous n'êtes pas gentil...Moi aussi, je peux parler avec douceur et dire que je suis gentil, espèce de (...)...
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Hôpital Tenon. 20ème arrondissement. Paris. Un nouveau bâtiment a été construit juxtaposé à la bouche de métro Pelleport sur l'emplacement d'un lieu de socialisation et de solidarité pour personnes sans-abris, sans ressource ou bien en détresse sociale. C'était un lieu où les démunis de tous horizons pouvaient s'y distraire, avoir de quoi survivre. Café, thé, biscuits, petite bibliothèque, livres, personnel à l'écoute, espoir, repos, électricité, eau, chaleur humaine et, en période hivernale, une température ambiante salvatrice : en somme un lieu de vie. Anciennement derrière la Mairie du 20ème, après la Place Gambetta, cet espace fut celui d'une association qui y menait un rude combat contre la précarité, la pauvreté : là-bas, on aimait les pauvres... Aujourd'hui, à Palais-Royal, une autre association de bienfaisance et de charité a fermé et cela depuis deux jours. « Une histoire de subvention ou un truc comme ça.... » m'a à peu prés dit ce soir le standardiste du 115 (Samu social). On chasse les pauvres de Paris ! On y achète des mètres carrés pour ne pas y habiter... Les murs de la capitale sont devenus plus qu'un produit et moins qu'une marchandise : ce sont des valeurs immobilières (de la finance...)... Elles s'échangent avec intérêts sans aucune autres fonctions que le renom des murs, de la plaque en fer collée sur les bâtisses extérieures avec dessus le nom de la rue et l'arrondissement... Ces riches n'aiment pas les pauvres, leur être est fonction de l'avoir, de la côte du quartier, de la rue , de l'arrondissement. Achat-vente. Acheter et vendre, puis parfois construire. Construire pour vendre et acheter. Il n'est plus question de loger mais de vendre, d'acheter. Ainsi l'hôpital Tenon s'est agrandit. Cette nuit les urgences sont combles : personne à part moi... Les agents de sécurité en ronde, le bureau de l'accueil vide : l'infirmière après en avoir eu assez d'internet est partie ; peut-être pour tailler la bavette avec ce service « over-booké »... Et moi qui écrit, assis, attendant quelques soins... Le moteur de l'ordinateur flambant neuf fait un bruit « d'enfer ». On veille, tranquille et calme. J'ai compté les sièges de la salle d'attente qui fait face à l'accueil : 12 x 3 sièges + 1 x 2 sièges + 3 fauteuils roulants d'un style simple et épuré, d'allure sportive, je pense aisément que l'on va vite avec, surtout que les pneus sont gonflés... Je m'emmerde... J’attends dans ce silence de « achat-vente ». Ici rien, le silence, mais ça doit sentir la mort ailleurs, d'ailleurs je la sens d'ici, en ce silence. Un cimetière sans âme, sans décédé ni malade ou presque : moi, mes pieds me font mal... « La pauvreté, vous comprenez, c'est pas bon pour la santé... » L'infirmière qui a donc fort à faire a pris ma tension, histoire de facturer quand bien même il n'y aurait rien à faire : 13,8. C'est avec une machine dernier cri qui permet aujourd'hui de ne plus remplir des papiers inutiles qu'elle me prend la tension. Grâce à elle on peut faire mille et une choses, rendant inutile les anciennes pratiques... Inutile, à la vie... ? A la mort ? J'ai intérêt d'en profiter... 13,8... Et rien pour nettoyer mes pieds ni aucuns bandages ou pansements. « - Auriez-vous l'obligeance de me mettre à disposition une bassine ou quelques choses de ce genre, avec de l'eau iodée (bétadine ou même gros sel) ? Le médecin va arriver... non, je ne peux pas... il me faut l'autorisation du médecin. Non mais, je n'ai juste que quelques contusions à cause de mes marches incessantes car je n'ai pas de domicile, et …. Non, désolé, je ne peux rien... Vous êtes infirmière ? Oui, pourquoi ? » … Infirmière, une vocation … Ah tiens, on passe l'aspirateur à l'étage... Je l'entends bien car il n'y a aucun bruit, plus personne et moi qui a mal d'avoir trop marcher pour mes pieds d'errant... On a détruit un endroit simple mais ô combien utile pour construire la suite d'un hôpital dernier cri où personne ou presque ne vient s'y faire soigner . Achat-vente.
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Le sud appelle FFR, je répète le sud appelle FFR.
yacinelevrailefou a répondu à un(e) sujet de Nounouille dans Près de chez vous
Je confirme ma presence... -
Le sud appelle FFR, je répète le sud appelle FFR.
yacinelevrailefou a répondu à un(e) sujet de Nounouille dans Près de chez vous
ah ok, merci -
Le sud appelle FFR, je répète le sud appelle FFR.
yacinelevrailefou a répondu à un(e) sujet de Nounouille dans Près de chez vous
Est ce qu'on peut faire le récapépete de qui qui vient ? -
Dernier Peuple Colonisé..........
yacinelevrailefou a répondu à un(e) sujet de Pales dans International
C'est un discours de Tariq Ramadan, peu importe le titre de la vidéo trop accrocheur et donc mal venu, j'invite quiconque à prendre au sérieux ce qui y est dit. -
Les fascistes de demain....... ou la fausse citation de Churchill
yacinelevrailefou a répondu à un(e) sujet de grandfred dans Politique
rien a dire , belle analyse de PASDEPARANOIA -
Les fascistes de demain....... ou la fausse citation de Churchill
yacinelevrailefou a répondu à un(e) sujet de grandfred dans Politique
mea maxima culpa