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yacinelevrailefou

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Tout ce qui a été posté par yacinelevrailefou

  1. Tout vent contraire dépend de la nécessité à lui opposer une force. Au cimetière Saint konogan le vent y est breton. Mon père y est enterré. Je lui parle quelques fois du haut de ma vie, debout à ses côtés, près du massif fleuri qui fait sa tombe. Je lui indique parfois la date, le jour et ma situation, puis je prie pour son âme, sorte de demande intermédiaire de miséricorde au Tout-Puissant. Le vent y est chagrin mais à la fatalité rime la réalité qu il nous faut accepter tous, nous, mortels. Arrive le moment de la salutation après avoir lu la sourate YaSin pour tourner le dos a mon père vers les habitants du royaume de la vie. Ceux-là habitent partout autours des cimetières. Ils y trouve le désir , celui de vivre. Vivre pour mourir, s effacer alors que l on ne cesse de porter les traces et empreintes que nous même nous faisont
  2. Le féminisme est une conséquence de l impérialisme. Le féminisme est l'un des appareils conceptuels fabriqués uniquement pour justifier la prétention américaine à vouloir imposé au monde son leader-ship, au même titre que ce concept fallacieux de "choc des civilisations" à moins que le féminisme s'y soit inscrit à corps perdus. A propos du choc des civilisation, Ilich Ramirez Sanchez, dit Carlos, parle ainsi : "La misère humaine engendrées par ces politiques est incommensurable, mais qui en parle ? C'est ce mépris de la personne humaine, mépris constitutif des principes et du système économique américains, c'est ce modèle qu'ils veulent imposer au reste de la planète, que nous rejetons de toute notre force. Mais ce sentiment d'injustice prend des formes plus actuelles et violentes dans la guerre sournoise faites au monde arabe, à l'islam, pour les soumettre aux critères de rentabilité du commerce international, au mépris de la Foi de millions de croyants, pour intégrer de vive force le monde musulman au marché universel. Comprenez bien, l'Islam véritable est radicalement incompatible avec les normes de la consommation inhérentes au monothéisme du marché. L'Islam est un verrou qu'il faut faire sauter parce qu'il freine l'expansion de la pseudo-religion des droits de l'homme, ce cache-sexe de l'idolâtrie marchande. De la même façon, le christianisme a été en grande partie détruit. Pensez que, dans les sondages d'opinion, la "famille" est classée systèmatiquement parmi les positions "conservatrices" pour ne pas dire réactionnaires. Je vous laisse apprécier la signification et les implications d'une telle dérive dans les moeurs. Ce qui fonde l'humain, appelez ça comme vous voudrez, loi naturelle, commandement divin, est devenu quelque chose de suspect, de contraire au "progrès" ! Car ce qui est "conservateur" est connoté de l'idée restrictive et péjorative de contrainte, elle s'oppose par définition à ce qui est moderne, "progressiste", synonyme de "libéré", de liberté. La famille et la morale familiale sont ainsi des valeurs négatives, des modèles dépassés. L'Eglise catholique a vu ses fondements ruinés sans réagir, en y participant même, mais ce n'est pas le cas de l'Islam qui ne se laissera pas facilement détruire et qui représente la dernière force spirituelle susceptible de s'opposer avec succès à l'idolâtrie marchande. C'est pourquoi l'Islam est une cible prioritaire, notamment en raison de son poids démographique : l'Oumma représente en effet plus d'un milliard d'hommes. Tel est aussi le marché qu'il faut définitivement conquérir et soumettre. Or les valeurs fondamentales, celles qui sont justement à la base de la civilisation, sont celles qui font obstacle à l'extension indéfinie du marché et cette liberté qui n'est qu'une forme déguisée de l'esclavage, liberté pour laquelle l'homme n'est plus qu'une marchandise qui se vend, s'achète et se détruit en fonction des besoins, des circonstances, de la conjoncture." Le féminisme aussi "révolutionnaire" soit-il, n'est il pas une partie intégrante du nouvel ordre, un sous-produit de "l'insane Macdonaldisation du monde "?
  3. Prenons positions sur quelques exemples: Pour ou contre la mixité en prison ? Pour ou contre la mixité dans les douches publiques? Dans les toilettes? Pourquoi? Ne sommes nous pas égaux et prétendant tous et toutes aux mêmes aspirations? On est différent et les droits des femmes sont différents que ceux des hommes car une femme a des droits sur l homme ainsi que l homme a des droits vis-à-vis de la femme. Nous ne sommes pas pareil, dire le contraire est une manigance pour se justifier de vouloir a bon "droit" passer outre ses devoirs sous l étendard de la pseudo liberté -émancipation de la femme. Et c'est pour l homme une insulte d être comparé à une femme. Cela n a rien a voir avec l éducation ou selon tout autre théorie comique et fumeuse des genres... Seulement que la femme est plus faible que l homme et que contrairement àl homme elle se fait sauter. ... On remarquera qu il y a plus que de la connivence entre féministe et lgbt... Défier ou nier les lois naturelles n est ce pas là la définition de la perversité?
  4. La prostitution des femmes, d après le membre phallique manquant koadeg, Moralement c'est donc bien . Vendre son corps à la domination patriarcale des besoins sexuels est en soi légitime... Ou sans doute l appât du gain jusqu'à vendre des pipes dans un camion élève la féminité au rang respectable de la dignité humaine.... C'est une vision comme une autre. Certaines choisissent le combat féministe pour se libérer de leurs conditions de membre inferieur de la race humaine pour justifier la prostitution ou en d autres termes l esclavage sexuel ... C'est difficile à concevoir. On notera aussi que c'est dans le sempiternel rapport homme femme que le combat continue. Pour les féministe c'est clair c'est contre la domination naturel de l homme qu'il faut s activer. Dommage que l horizon féministe ne puisse s émanciper de sa filiation masculine... Mais l espoir fait vivre : La condition féministe trouvera sa liberté dans la procréation sans membres prédominants (entendez homme lol). Femme libérez vous en tuant le père qui vous accuse de ne pouvoir être père à votre tour. Un jour peut être vous reussirez à le devenir... Bon j avoue c'est n imp mais moi ça me fait rire
  5. Stvi relis moi , je n ai rien dis de tel... Il semblerait que tu projettes sur mes dires des choses que ta pensée trahie , c est à dire : Le mariage forcé etc... Tu te fais de fausses idées sur ce que je pense à travestir de la sorte mes propos. Me traiter de réactionnaire alors que rien dans ce que j'ai dit n y fait allusion (encore une fois relis bien) me paraît plutôt révéler tes pensée . En somme tu es un mauvais avocat de la lutte féministe, enfonçant le pli pour mieux l ouvrir à qui s en délectera. Ma vision est tout autre notamment de provoquer un sursaut de conscience chez la femme féministe afin de mettre fin à cette guerre des sexes. La famille et par delà les société s en trouveront grandis
  6. A vanter le caractère élitiste de sa personne dans un commentaire stérile vis-à-vis du sujet, on se vautre dans la soutenance d arguments. Ceci serait totalement dépréciatif si il n y avait pas une preuve de l ineffable. Bouche bée quand tu nous tiens!
  7. Sinon ? A part des élucubrations en guise de jugement de valeurs sans aucune valeur d ailleurs, que peut dire Magus du haut de sa haute culture et de son éducation tant enviée? Ou bien en facilitant sa réponse, que retient Magus de sa lecture si spirituelle ? A t elle à voir avec notre sujet ? Au fait, pour ou contre la prostitution des femmes ? A part dédaigner du haut de ses petitesses, Magus accuse t il un sérieux doute face à mes propos? Si oui, lesquels? Curiosité
  8. Comment lutter efficacement contre le féminisme? Il suffit de débattre sur la prostitution. Puisqu'elles semblent porter atteinte et faire leurs beurres sur le rapport homme femme... Et bien parlons en. Et là, inutile de porter un avis, de prendre position, il s agit de poser simplement les faits, de mettre en lumière toutes les problématiques liées à la prostitution, et elles se boufferont entre elles. Pourquoi? Car elles ne peuvent avoir une position morale claire et surtout aboutie. Pourquoi cela? Elles ne savent pas qui elles doivent être, ne se comprennent pas elles-mêmes d après elles même. Il leur faut le miroir masculin pour exister en tant que femme. Dans le cas de la prostitution, elles sont seules face à elles mêmes. Du coup c'est super marrant de les voir dans toutes leurs contradictions, bassesses, voire horreurs. Mais attention, un regard objectif est nécessaire et nous en tant que homme devons apprécier ce genre de débat en faisant preuve de gentillesse. C'est la seule prérogatives à ce que cela soit constructif et nous aide à ne pas haïr la femme qui par trop de fois mériterait bien de retourner à une place qui n'est pas la notre. Chacun à sa place, selon sa fonction, en garantissant les droits et devoirs de chacun qui sont bien différents . Différents car nous sommes homme et femme différents . Égaux mais différent... Et l homme est prédominant. C'est évident... Faut être pétri d une sacrée mauvaise foi pour le nier. Définir ou expliquer l évidence reviendrait à la dénaturer et bien sur à faire disparaître le bon sens, ce qui est vrai, visible....à rendre obscure, cacher ce qui est en ce qui n'est pas et ne peut pas être.... D avance "de rien !"
  9. Etat d'âme  au commissariat ou hystérie maternelle grave. «- Allo  ?...oui, bonjour  ; je suis le brigadier Schminhg de Villeneuve d'Ascquon...- Oui... - Madame Zapati Mouche  ?- Oui...-Voilà  : je vous appelle car j'ai devant moi la fiche de recherche que vous avez faite concernant votre fils. Il a 57 ans, grand, une cicatrice sur le nez et un regard belliqueux, c'est bien ça? - Oui...-...Psychopathe et sociopathe, il est armé et fait parti d'une secte mondiale terroriste liée à l'extrême centre, responsable entre autres de la tarte à la choucroute, de la mélasse de St-Pierre-et-Miquelon en novembre 1999 et de l'omelette aux yaourts  ?- Ah oui  ! J'en pleure de joie, encore et déjà  ! ...Et vous l'avez abattu où  ? Sûrement dans un bois... C'est à côté de chez moi  ? A quelle heure aura lieu l'office funéraires  ? Il faut quand même que je lui dise au revoir, c'est que je suis mère  ; et pour avoir été la sienne, la meilleure et la plus digne, croyez moi  ! Surtout que les derniers sacrements n'ont sans doute pu être donnés vue l'état avancée de la présence du malin en mon cher fils dont l'agressivité à provoquée le juste trépas...- Euh, non Madame, comment dire  ; ce n'est pas...- … Comment  ?! Vous voulez interdire à sa mère de faire honneur à son sang, de mon rang, la dernière jetée de terre sur le tombeau de la chair de ma chair que j'ai tant aimé  ?! Il faut bien que tout cela finisse  !- Ce n'est pas...- ...Dites-moi au moins à quand remonte le décès... si il a beaucoup souffert et quel est le grade de l'officier me rendant ainsi justice, faisant de lui le héros de La France de toujours. Ainsi que dès à présent je désire le citer aux dictionnaires des noms propres et en faire le titre de tous les manuels scolaires d'Histoire de France et Navarre  ! Que l'on se souvienne de lui comme le sauveur de naguère  ! Vous savez, je suis française  et, bien plus je suis La France et encore bien plus  ; je suis une femme, une mère sacrée qui a énormément souffert de ce démon que j'ai chié à la maternité s'en retrouvant souillée. Grâce à vous, La France, Monsieur le Brigadier, et le monde entier en est sauvé. Que l'on dise bien loin que vous nous avez sauvé, nous et le monde, de la folie que portait hélas, mon fils adoré. Je n'ai eu de cesse de le maintenir en vie malgré son mal incurable... Votre nom, Monsieur le Glorieux  ! A moi le sauveur, laissez moi embrasser votre couronne de laurier dont je vois proche s'avancer vos ornement  ! Venez à moi, vous, la gloire que retient encore le devoir  ; celui, achevé, du sang impur de cet être maintenant répandu qui se fut mon fils malgré moi  ! Et pour vous le redire en toutes justices et l'affirmer plus grandement en d'autres thèmes appartenant au mérite invincible  : je ne suis en rien responsable de lui tant ses atrocités se firent dans toutes les villes qui l'ont pu voir traverser, violer, égorger... et que savons nous de ce qu'il ne peux plus avouer de pire encore  ?... D'ailleurs j'ai alerté toutes les autorités de ce pays – quand on est femme  ; vous savez, Monsieur le Brigadier... -… Schminhg...- Oui, Schminhg  ; dans ce monde d'hommes  , on ne peut que guère de choses mais ce peu est souvent assez grand pour sauver le monde...-...Oui, je comprend...- Nous sommes d'accord, vous connaissez ma valeur superbe pour avoir vous aussi une mère formidable  !... Concernant sa description physique, je m'y suis appliqué, ne connaissant que trop sa folie furieuse, criminelle et sa morale de violence maladive, de ses pulsions meurtrières... Et c'est moi qui mis à la beauté du monde ce monstre...  ! Ô rage  ! ô désespoir  !ô vieillesse ennemie  ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie  ?, juste ciel,... J'aurais préféré, vous savez, qu'on l'enferme en prison, qu'on lui laisse la vie  ; c'était quand même un fils... Mais le sort en a voulu autrement... Vous même en votre arme furent la volonté de Damoclès, fière et fatale justice dont déjà je ressent, sur mon chef, les bienfaits de son cadre.- Je comprend bien, Madame Mouche...-… Zapati, Madame Zapati...- Excusez moi, Madame, et écoutez moi  : sachez que je suis de tout cœur avec vous et que je vous comprend très bien. Et à ce propos, en vous écoutant, considérez que la cible vous a entendue, car, et j'en suis navré, il est devant moi vivant. Mes agents l'on interpellé  ; un habitant de l'immeuble (Monsieur Frissons-Roches, élu du Front National en Savoie) nous l'a dénoncé la main tendue vers le ciel, les doigts «  éclairs  » en ordre et l'alerte en bouche d'abord au téléphone, chez lui aux étages, puis à la police en voiture faisant mine d'une tranquille patrouille. La perspicacité et la sagacité de ce brave homme égalent la haute altitude de vos principaux sentiments contre le «  prévenue  »  : votre fils, en son très lourd sommeil, a été cette nuit à 1 heure 40 du matin, un élément très dangereux, sournoisement placé, discrètement allongé dans l'entrée du hall. Il menaçait d'ailleurs son labrador joufflu de ses yeux fatigué par la route incessante, étant S.D.F.. A sa décharge, il me soutient ne pas pouvoir mieux faire, vous, l'y contraignant par des motifs cachés dont mon service en est ce matin, véritablement informé, ...je suis, en ma très haute hiérarchie, brigadier comme vous le savez Madame... Ceci dit, j'ai une question à vous poser  : il me dit, en toute cohérence avec une politesse des plus rare, qu'il fait grands efforts pour ne pas sombrer dans un comportement antisocial grave alors qu'il a toutes les raisons de l'avoir... On le pousse à hésiter, me dit-il entre le AK 47 à la sortie du Mac DO' et "la villageoise" à la sortie de la banque... Et tout cela est bien entendue improuvable, accusant non l'invisible mais d'obscure autorité  ; bien loin du mysticisme à la mode où sortie de son esprit... Un très court récit de ce qu'il vécut ailleurs m'en a assurer la réelle matière qu'il ne put inventé et correspondant à ce qui est fait et appartenant à des protocoles qui sont, outre plausibles, vérifiés... ailleurs.- Ah  ?! Mais comment  ?!... Méfiez-vous  !!!! C'est un Docteur Hannibal  !... Sous ses airs inoffensifs, il vous manipule pour ensuite combler son appétit et avoir le champs libre pour commettre encore d'autres de ses crimes affreux dont chaque instants il tempère les pulsions et en rumine que mieux la perversité et l'horreur...- Ah  ?- Attention  !!! Je vous aurais prévenue  !- Ah  ?- Oui, oui, oui  ! Je vous le dis  ! Arrêtez le  ! Il veut me tuer  ! Et toutes les femmes avec  ! Vous même aussi  !... et, de source sûr, il prépare un attentat sur J.P. II  !!!- Hein  ?- Oui, sa pathologie le pousse à vouloir tuer sa mère  ! J'ai, ici chez moi, un grand dossier de psychiatres très importants (et comme dirait Molière  : très éminents  ! ). Dans ce dossier que j'ai du mal à porter  ; il pèse une humanité et demi ( d'ailleurs je vous le laisse à disposition. Vous devez venir ici le consulter, je vous invite!), cette douzaine de professeurs attirés de toute la francophonie ainsi que leurs docteurs asservis aux doigts d'étudiants des derniers cycles l'affirment  ; Freud à l'appuie  ! Arrêtez le  ! Il est dangereux  !- Ah, vous avez monté un dossier médical contre lui ?- Oui ! Il a une cicatrice sur le nez et mesure plus de la moyenne... Je n'ai plus le fax mais je peux vous montrer son visage la dernière fois que je l'ai vu... J'avais très peur et pour mieux le coincer une fois qu'il m'aurait tué, pour vous facilité la tache, j'ai trois dizaines de clichés quand, au toilette, il s'est curé le nez... Je peux vous prouver aussi, par la facture du vivarium du quartier, remplacé il y a de ça neuf ans et demi par une boutique qui change de franchise tous les ans...bref, encore de la faute de ses arabes de bases  (!) qu'il a toujours eu une prédominance au mal et à la folie, et ce depuis la maternelle  : plus jeune donc, son serpent favori s'appelait Roberto Succo  ! Alors, là, personne ne peut plus dire quoique ce soit... Une bavure, Monsieur, juste une, la seule de votre carrière  ; ce n'est pas demander autre chose que votre avancement et la paix investie en votre ville, en La France toute entière  !- Oui,... c'est cela... Oui, on l'a attrapé, et ma foi,...- Ses propos incohérents ne vous ont pas échappés... Ah la fierté que d'être policier...  ! J'en étais sûr  ! C'est lui  ! Enfermez le  ! Arrêtez le  ! Tuez le  ! Il est dangereux et fais courir de très grave risque à quiconque s'en approche car c'est en lui même Le Mal, il est le mal en soi et ne peut plus courir de risque autre que sa mort à laquelle je vous somme de procéder... ou extradez le au Texas où en Érythrée -je ne sais où-, un crime en porte-figure... Je ne sais plus quoi faire... Je suis dépassé, j'ai peur, extrêmement peur. Peur de lui  !- De qui  ? (je n'ai pas entendu  …) De vous  ?- Non  ! De ce monstre  ! - Roberto Succo  ?- Oui  ! ...Euh, non... presque,... peut-être pire  : mon fils  ! Il n'a plus le droit à la vie, ne l'a jamais eu, c'est un imposteur  ! Ce n'est pas mon fils... On l'a échangé pendant mon sommeil à la maternité et son père, complice, m'a volé mon véritable fils... Il me manque, lui que je n'ai jamais pu connaître, le fruit de mes entrailles disparu avant que je puisse pour la première fois le porter  ! La seule fois que je n'ai pas eu l'occasion d'avoir  ! Et me voilà sur les bras ce monstre  ! Cet être d'imposture... Même pas français  ! Et musulman communiste avec ça  ! Quel toupet  ! Faut vraiment le tuer, ou... l'enterrer vivant, tiens ! Ça ne se verra pas et puis, loin d'être un crime déguisé, ce ne sera pas un meurtre non plus...  ? On l'aura laissé respirant, attaché certes mais en vie... Je lui mettrais des biscuit à côté, avec un peu de lait  ; ça lui fera plaisir, et puis l'honneur sera sauf  ! Ah la Ste Mère que je suis, que je vous dis être et dont vous comprenez les meilleures et les plus grandes aspirations  ! Que je suis «  humaine  »  ! Ne trouvez vous pas  ? Et pour vous en dire rassuré, tenez  : dés à présent, de par ma signature, je m'engage à faire tout mon possible pour qu'il soit maudit par son ordre islamiste de musulmans cancer de mon pays, pourriture de communiste chiant sur la cathédrale comme sur ma Jeanne de France que je suis... Qu'on l'enterre maudit ! Il est encore plus malfaisant que ce que, d'après mes dires, vous en avez compris toute l'horreur de ce type, de ce parasyte, criminel, imposteur, trafiquant international, corrupteur des mœurs, de la morale, de nos ancêtres, de l'histoire de l'humanité, communiste, extremiste, islamiste, integriste, terroriste... Vous avez la haine contre qui, vous, Monsieur  ? - Moi  ?- Oui, quelles sortes de haine animent vos peurs  ?- Bin,.. je hais les araignées  !- Et bien, Monsieur, saviez vous que ce qui se prétend Homme face à vous, Monsieur, vous trompe ainsi que tout le monde ? Malgré son apparence semblable à vous, aux hommes, aux vrais, il n'est en fait que le produit d'une manipulation génétique entre la semence de mon ex-mari biologiste - meurtrier aussi (les chien ne font pas des chats) – et une araignée appelée «  Phyton  ». Phyton qui, pour les besoins du labo' alors basée dans la forêt burkinabé, avait déjà au préalable reçu des rayonnements radio-actif appelés «rayonnement  Marvel-Ponti  » par injections destinées à faire de «  Phyton  » la première mygale mi-poilue mi-poilant. Et je vous le jure sur la République et sur mes ancêtres morts à la guerre, en martyr, face aux allemands, pour défendre le pays  ! Avec ses yeux, mon ex-mari, a pu, à force d’expérimentations, fabriquer le laser le plus sophistiqué de l'histoire et, en l'essayant sur sa semence, la technologie sur son support biologique «  Phyton  » se réalisa en cet être, «  homme  » assis, je suppose, devant vous. Regardez bien au-dessus de ses yeux, vous y verrez alors la preuve des restes de Phyton la poilue... Le connaissant bien, je suis sûr que là, il vous cligne de l'oeil, non  ?- Si fait  !- Attention  ! Cela veut dire que si dans 3 heures il n'a pas son traitement que son père à mis au point , il sera automatiquement en proie à des accès de folie pure et où son regard surgira, le chaos et le feu portera  ! Vite  ! Monsieur le Brigadier  ! ...appelez les urgences psy' et enfermez le dans une cellule sûr à la maison d'arrêt des dangereux triple X ceux là qui au 7ème chromosome se partage en une nouvelle paire, unie à ce chromosome qu'en apparence  ! … C'est une question de temps avant qu'il ne soit trop tard  ! Courez  ! Faites ce que je vous dis  ! C'est une priorité nationale, code noir foncé  ! Une question de vie ou de mort  !- De mort surtout...- Oui  !!! Je vois que vous êtes intelligent et que vous respectez la femme et la grandeur de Mère  ! Faites moi honneur et du votre défendez moi..., je vous sens admirateur de la vertu  ! A moi  ! A moi  ! Tuez ce fléau avant qu'il ne vous tue  ! C'est lui ou l'humanité  !- Ne bougez surtout pas Madame  ! Nous arrivons... Allumez votre télé et regardez tranquillement votre série, ne raccrochez cependant pas votre téléphone et éloignez vous de la gazinière et de vos fenêtres  ; renversez toutes vos chaises et tabourets, faites un peu de ménage...Mais surtout Madame, surtout, ayez confiance en nous... Nous sommes quand même policier  !- Et pour l’exécution de mon fils  ?... Il est dangereux et il faut...- Oui, oui... Tiens d'ailleurs mon collègue vient de glisser et sans aucune gloire vient de lui loger une balle en pleine tête  ! Sale mort et sale histoire, enfin... C'était pas beau à voir, mais, que voulez vous... notre devoir avant tout  !- Vive La France  !- Comme vous dites, Madame Zapati, vive la France et ne raccrochez pas, j'envoie une équipe.- Très bien, j'attends... Vous croyez que c'est sans doute un peu tôt pour me vêtir de noir  ? Mmm  ? Ne croyez vous pas  ?- Un peu, oui, en effet... [la main sur le combiné, discrètement, Brigadier Schminhg s'adresse à son collègue  : "... Euh, Christophe, tu m'envoies une équipe du Samu chez Madame Zapati Mouche, elle est en grande souffrance psychique, et appelle une unité, qu'ils les accompagnent, direction les urgences psy... Aller  !... On se dépêche  !... Euh, pour vous Monsieur, c'est bon, comme vous l'avez entendu Madame votre mère va mal... vous pouvez y aller, j'enlève l'avis de disparition «  personne dangereuse  » et bonne chance pour le logement... De rien... Au revoir... Vous aussi..." ] ...- Allo  ?... Allo  ?...- Oui madame... Vous allumez la télé  ?- Ah oui..., je vous attend alors  ?- Oui, voilà, c'est ça... On va s'occuper de vous. Attendez nous...
  10. Paris, 5ème. Métro Place Monge. C'est bientôt l'heure de la prière de la nuit. Je marche d'un pas tranquille jusqu'à la porte de La Grande Mosquée de Paris, splendide édifice construit peu après la grande guerre en l'honneur des musulmans d'Afrique du Nord morts aux combats. Ce soir encore, on se bouscule pour tenter d'atteindre la miséricorde d'Allah... Incha Allah. Je file vers la salle des ablutions : énorme capharnaüm où sur un parterre de scandales, chaussures s'entrelacent les flaques d'eau, les bruits et vapeurs berbères, ainsi que les odeurs. Ces odeurs sont les vestiges de cette journée d'été, conséquence de la pauvreté, des errances dans la saleté parisienne, qui, une fois lavé, s'évaporeront vers la lune. La sueur alliée à la crasse parfois vagabonde au gré des mouvements des fidèles dans l'enceinte de cette salle d'eau. Là, un homme enveloppé dans une couverture marron-jaune, à la chevelure dense et sauvage, semble déraisonner à mi-voix, le regard fixé sur les mosaïques d'un lavoir; ici, un groupe d'amis plaisantant sur l'atrait qu'ont leurs compatriotes tunisiens pour la France ou sur l'élegance des démarches administratives pour obtenir un récepissé de séjour, se rasent au savon de Marseille... et moi, voyageur, surveillant ma valise noire du coin de l'oeil, je me lave les mains, le visage, jusqu'à passer de l'eau sur mes chaussettes en guise de purification rituelle. Avant de partir de cet endroit, à la sortie, un vieil homme, un bâton à la main, m'adresse le salut pour me vendre une montre Cartier de contre-bande. Je n'ai pas un sous, mais je fais semblant d'être interressé... Je marchande pour rien, mais cela fait du bien de parler "affaire". Un autre homme, plus petit et coiffé d'une taguia, vient se coller à notre discussion. Il se dit médecin autodidacte. Son blouson est rappiécé et il sent les pieds. Après nous avoir donné quelques conseils odonthologiques, notamment de faire frequemment des bains de bouche avec du gros sel, l'appel à la prière retentit au fond du haut-parleur usé, tenant au dessus de nos têtes par une bobine de fil de fer rouillée... La salle de prière est bondée. Plusieurs lecteurs de coran ferment leur livre tandis que d'autres prient. L'office va commencer. J'arrive à me faufiler jusqu'au premier rang : quel bonheur ! En suite de la prière en commun, les invocations fusent. Toutes demandes sont adressées à Allah, Dieu unique de la création. Je fais les miennes. Je fais le voeux de dormir dans un endroit sûr et confortable. Avec beaucoup d'espoir, j'ai foi en mon seigneur. Puis, le monde sort de la mosquée. Elle va fermer pour la nuit. Nul ne doit plus s'y trouver. Je suis embêté, ne sachant où aller je tente de repérer les lieux. Non loin de la salle des ablutions, un vieux puit couvert d'une planche de bois décort l'allée. Me souvenant du récit coranique sur le prophète Youssef, je soulève la planche. Surprise,au fond de ce puit, je peux voir une salle de cours vide encore éclairée. Il y a donc un sous sol et on y fait la classe... Mais j'entend le gardien du lieu qui s'approche. Je rentre dans le puits, m'aidant de mes jambes et de mon dos pour me tenir aux parois. Comme suspendue, je repense à la sagesse et à la patience de Youssef. Voilà bien une heure que je tiens en place à l'interieur du puits quand les lumières de la classe que je surplombe s'éteignent. Prétant l'oreille vers l'extérieur, je n'entend plus rien. Je sors de ma cachette. La Grande Mosquée était alors tout à moi ! Et du haut des remparts, la rue paraissait loin. Cette nuit, j'ai bien dormi. Merci mon Dieu !
  11. J espère qu'il ne lui ont pas retiré son passeport... Y peut encore nous faire rire en Iran ... Magie d internet....
  12. Je suis d accord avec Tequila Moor. C'est l un des meilleurs textes que j'ai lu de toi.
  13. A la question de savoir comment philosopher il faut d abord savoir qu est ce qui est de la philo ou pas... Une brève de comptoir du style l oeuf ou la poule ? Un passage de Victor Hugo? l abécédaire du parfait médecin ? bref, quand reconnaît on la philosophie...?
  14. De plus il n'y a pas d effet sans cause ni de cause sans but ainsi que le sens des choses réside dans l objectif pour lequel elles ont été faites. Les causes et effets des choses existantes ont un sens. Elles obéissent à des lois en rapport au but auquel elles répondent par leurs existences. C'est ainsi que tout ce qui est, qui a été et qui sera n a d existence logique que dans le sens de leurs existence. Le sens de toutes choses sans rentrer dans des hypothèses mystiques ou métaphysiques dépend d'un projet. L existence des choses est en quelque sorte une projection d'une volonté en lien avec le sens des choses. L univers existe logiquement avec un but donné
  15. Il y aurait la connaissance pure dont les mathématiques sont une partie. La connaissance pure que l homme appréhenderait selon l esprit qui est le sien... C'est très cartésien.
  16. Les mathématiques ne peuvent philosopher. Les mathématiques ne répondent pas au pourquoi mais au comment. Il n'y a que la philosophie qui puisse donner la différence entre deux segment continus et deux segments contigus. Autre exemple, les mathématiques ne peuvent faire la part entre (dissocier) le dissociant du dissocié. Les mathématiques ne peuvent prendre position si c'est de l'unité la multitude ou bien si c'est de la multitude l'unité. Il en va de même pour le produit des mathématiques qui est la technologie : il ne rentre pas dans le champs de la technologie d'étudier la machine comme le fait la philosophie : De l'homme la machine ou de la machine l'homme...la technologie se fiche de prendre position sur l'un ou l'autre de ces postulats. Et il ne peut y avoir qu'en philosophie que le constat suivant aux allures faussement sociologiques ait du sens : "Ce n'est donc pas la conscience des hommes qui détermine leur être ; c'est inversement leur être social qui détermine leur conscience". Marx. Mathématiques, technologie, sociologie, ... autant de sciences dont le champs d'étude est étranger à la philosophie bienqu' la philosophie n'y soit pas étrangère. Il sembe bien qu'il en aille ainsi de toutes les sciences. Et donc je dis avec Husserl, que la philosophie est la couronne de toutes les sciences.
  17. La philosophie est la couronne de toutes les sciences. Elle s appuie parfois sur la science mais demeure la signification d'une pensée qui se réfléchis. Philosopher c'est voir, comme voir nos pensées, les connaitre, les expliquer, et repenser. Il s agit bien de repenser l impossible impensable. Penser sur la pensée ou sans doute image de la pensée... Pour cela la philosophie ne peut avoir de méthode. On y étudie bien les poèmes non en tant que preuve sérieuse pour abattre des théorie philosophique... Mais en tant que source de réflexion, comme une inspiration qui pourrait nous faire entrevoir une vision sensé de l impensée.
  18. L'on pourra chercher dans la physique toutes les causes et conséquences, c'est le système même de penser qu'il faut repenser. C'est en dehors de la mécanique cause conséquence qu'il faut se projeter. Du néant l'être ? C'est ça la question ici ? Et pourquoi pas que de l'être pur ? Le néant symbolise ce tout que l'on ne comprend pas. C'est en fait, nos peurs, l'ignorance. Je dis que l'être pur est à concevoir comme la continuité d'un projet dont le début ne se tient plus dans un raisonnement causes-conséquences. Il faut regarder le monde par valeur par exemple, par phénomènes, par idées existantes ou même par espoir. Le monde a un début car c'est le produit d'un projet. L'idée du projet est la volonté. C'est par la seul volonté qu'un projet puisse exister. Mais, il fallu qu'en puissance un tel projet fut possible. Ainsi que la "possibilité" doit rencontrer un ensemble de facteurs à sa réalisation. Qui dit réalisation, dit un ensemble de mécanique créateur. Pourquoi ne pas en conclure simplement à un acte créateur, à la création ?
  19. yacinelevrailefou

    Soit

    Beau texte. Tu y as mis tes tripes.
  20. Chamonix, Juillet 2012. Un éboueur trouva au sol un sac de sport noir. A l’intérieur, près d'un million d'Euro. On ne sait si c'est par honnêteté ou maladresse mais on eut vent de cette découverte et ce sac fut remis au service de police... Le sac disparut avec tout ce qu'il contenait. Quelques jours plus tôt, un très gros casse fut orchestré par une équipe de quatre à cinq personnes dans la région. En effet, plus de dix-neuf millions d'euro furent dérobés lors d'un braquage resté hors toutes médiatisations pour les besoins de l'enquête. La gendarmerie nationale s'occupant de l'affaire recoupa les deux faits car l'équipe de braqueurs avaient pris , quelques temps après le casse, des chambres d’hôtel à Chamonix. Vivant en incognito, ils se planquaient. Le sac noir fut trouvé le matin, après leur départ, à côté de cet hôtel. Il semblerait que ces grands voyous auraient oubliés un peu de leur butin. Les gendarmes sont sur le qui-vive... C'est en ce contexte que je suis dirigé par le 115 d'abord sur Aix-les-Bains où je dormis sur les berges du lac du Bourget puis Annecy. A Annecy, c'est au commissariat que je passa la nuit à cause d'un homme promenant son chien vers les deux heure du matin. En effet, il me surpris allongé, caché sous les boites aux lettres dans le hall son immeuble. J'essayais de dormir sans grand succès malgré les nombreuses mauvaises nuits que j'avais alors collectionnées. Me menaçant avec son gros chien, il réussit à me mettre dehors... S'en suit une altercation verbale dans laquelle je me posais en victime, plaidant que je n'étais qu'un vagabond à bout de force. Lui, avec son chien, me tint des propos racistes, se félicitant de connaître la famille Frison-Roche dont l'un des membres briguait un mandat politique. Sa fierté tenait dans le fait que cette personne était d'extrême droite. Je l'ai traité de nazi. Sûrement alertée par le voisinage, une voiture de police arriva à vive allure vers nous. Le nazi se mit au milieu de la route et encouragé par mes provocations fit le salut nazi à maints reprises en direction des policiers. Je fis ma version, lui la sienne. Je fus emmené au commissariat où l'on m'installa libre, à l'accueil,sur un banc pour dormir après m'avoir donner à manger. Les policiers étaient très compréhensifs, on m'offrit même plusieurs cigarettes que je fumais à l'extérieur, côté cours. J'eus le plaisir de rencontrer l'ami d'un homme placé en garde à vue pour conduite en état d'ébriété... On parla. La nuit touchait à son terme et c'est donc au petit matin, après avoir été entendu par un officier, que je quittais cette ville non sans avoir le 115 au téléphone. Après avoir décliné mon identité,on me demanda si je pouvais aller à Chamonix. Je répondis par l'affirmative. Un chalet était mis à la disposition des services sociaux et il restait une place. Ce serait pour une dizaine de jours,pas plus. Je devais m'y rendre le jour même avant 17 heure. J'avais rendez-vous à la mairie avec une certaine dame. On devait m'y enregistrer et me donner dix euro en bons d'achat -hors alcool- dans une épicerie de la ville. En train, au départ d'Annecy, il faut prendre jusqu'à La Roche-sur-Foron puis changer en direction de St-Gervais-le-Fayet pour enfin prolonger vers Chamonix. J'arrive un quart d'heure en avance. Assis sur un banc en pierre, dos à la mairie, un homme fume sa pipe en bois. Lui aussi attend d'être conduit au chalet Saint-Michel. C'est alors un retraité aux traits tirés, coiffé d'un bonnet bleu, il portait un manteau de marine. La cause de sa misère était, d'après lui, que sa pension de retraite ne lui avait pas été versé depuis des mois. Il venait de Saint-Malo. Les formalités faites, à l'abri dans ce beau chalet, je pris une douche. De plain-pied, ce chalet était une ancienne dépendance de l'église... Quatre lits étaient disposés dans deux pièces suivant la cuisine. Nous y serons alors quatre personnes. Les mêmes à cohabiter pendant dix jours. Une fois sorti de la salle-de-bain, je fis la connaissance de Thomas. Il sortait de trois années de prison pour hacking. Il avait la vingtaine, rêvait de fonder un foyer... Il se rendait souvent sur Genève. Il me confia qu'il s'adonnait à un trafic de cartes-bleues achetées en Suisse. C'était de toutes évidences un escroc... Mais un escroc sympathique. Peu avant la nuit, Eddy apparut. De petite taille et d'allure propre, une casquette pour cacher son début de calvitie, il me salua. Je me présenta en lui montrant ce que j'avais épinglé sur une porte : un tract que j'avais écrit pour le parti communiste français. Après quelques notes d'humour,on décida des places que chacun allait prendre pour cette nuit...Cette nuit, je dormis très mal. J'ai écouté un opéra retransmis à la radio : le festival d'Orange, avec les chœurs des opéras de Marseille et de Nice, fut cette année-là magnifique... Avignon était aussi en fête et je pus même écouter la folle jalousie d'Othello sur les ondes de Radio-France. Le lendemain, Eddy, qui avait garder son sac à ses pieds toute la nuit tel un paquetage, se réveilla. Il me retrouva attablé dans la cuisine à écrire sur mon petit ordinateur portable. En effet, j’avais acheté cette« machine-à-écrire » premier prix avec l'argent de mon chômage. Dans cette vie de vagabond où peu d'espoir vient vous occuper, je me mis en tête d'écrire. Écrire pour ne pas devenir fou, pour avoir un lien avec le monde, celui de l'écriture. On discuta longuement, et c'est alors que je compris que Eddy n'était pas un vagabond ; bienqu'officiellement il l'était. Les gens de la rue ont une sagacité très poussée du fait de leur malheur et de ces conséquences. Leurs sens se sont aiguisés au fur-et-à-mesure des nuits sans sommeil passées dehors, à errer... Il est évident que Eddy évoluait dans notre sphère sociale sans lui appartenir... Trop de détails clochaient. Il y avait une différence entre ce qu'il était et ce qu'il montrait... De plus, il savait énormément de choses sur la survie, la Corse, les pays asiatiques, le pétrole, le sultanat de Bruneï, etc... Et il ne peut y avoir que quelqu'un de réellement très bien informé pour donner ce genre de détails. Il me dit notamment une chose à propos d'une famille saoudienne. Les riches saoudiens vont souvent de leurs personnes jusqu'en Suisse déposer des lingots d'or. Mais parfois,les hôtels correspondant à leurs attentes sur Genève sont complets. Ils doivent donc prendre une chambre dans un des grands hôtels en France, non loin de leurs banques. Un jour, un équipier d'étage travaillant dans un de ces hôtels fit l'erreur qu'il paya de sa vie : tenter de voler les Ben Laden. Un grand coups d'épée suffit. Je vis dans les yeux d'Eddy, lorsqu'il me fit part du nom de cette famille, beaucoup de peur... Il exprima le regret de me l'avoir dévoilé ainsi qu'il me prévint qu'ils étaient très dangereux. Bref, Thomas se leva, puis ce fut autour du malouin. Et Eddy, le regard fuyant nous raconta qu'un million d'Euro avait disparu dans Chamonix il y a quelques jours et que les gendarmes surveillaient la ville. Après nous avoir dit un peu sur ce qu'il savait sur cette affaire, je lui demandais comment cela était-il possible. Il me répondit : « Tu sais,même les flics aiment le fric... » Qui était-il vraiment ? Que venait-il faire en notre compagnie au pied du Mont-Blanc ?
  21. Un con te mettra dedans meme si il s'y met lui meme aussi tellement il est con, obeissant a une logique "conne"... Le juge lui a le pouvoir de te nuire... Donc les deux a eviter...
  22. Feu mon pere m'as dit un jour : il faut éviter les cons et les juges.
  23. En effet, les femmes se sont battues pour la mini jupe, pourquoi ne pas concevoir qu'elles puisses se battre pour le voile.... La pudeur n'est pas une question culturelle ou religieuse de fait publique, c'est intime et personnelle ... De plus , au regard de la moral, c'est a dire le rapport à la notion de bien et de mal : qu'y a t il de mal à se couvrir ? Qu'y a t il de bien à se dénuder comme un lézard ? Où est la faculté de l'homme à se juger en tant qu'humain et non animal ? D'un point de vue humain, et seulement humain (comme humaniste), il est plus sain, plus humain de se couvrir, de couvrir sa nudité que d'en faire un étalage vulgaire. En suite, une fois que moralement l'on a pris position sans autre forme que personnellement, c'est a dire sans porter atteinte aux droits de ceux et de celles qui s'exhibent, l'éthique entre en jeu, c'est à dire "ce qui doit être"... et c'est a ce niveau que toutes les passions s'enveniment. Faut il être bon, c'est a dire respecter sa propre pudeur ? Nous l'avons vu, moralement -et humainement- oui... Mais faut il être bon en respectant la pudeur des autres ? Nous l'avons vu, sans porter atteinte à ceux et celles qui s'exhibent, oui... Mais alors faut il être bon en respectant la Pudeur ? Moralement , humainement oui, mais il y a conflit entre le coté passionnelle et le coté raisonné de tous ceux et toute celles qui refusent de couvrir leur nudité. Nous sommes dans un pays libre, où chacun et chacune peut concevoir ou non sa propre pudeur ainsi que chacun et chacune ne doit pas concevoir la pudeur de l'autre... et cela va dans les deux sens, autant Morano ne doit en aucun cas juger cette femme voilée autant la femme voilée ne doit juger Morano cette grosse vache toute débridée à ventre ouvert soleil midi... Je m'excuse Dans les "vrais" pays musulmans (si ils existent !) les codes de la pudeur ne sont pas donner a l'appreciation de chacun, ils sont clairement exposé dans les ecritures et se doivent selon la chari'a être appliqué. Dans un etat laïc, tu veux avoir la pudeur de ton idole Madonna bin , t'as le droit quitte a choquer la vieille France , tu veux avoir la pudeur d'une soeur catholique sur la plage ? Bin , t'as le droit aussi quitte a se faire comme amie au terrain de beach soccer khalti Fatima au voile sportif ! C'est ça qui est bon dans la laicité, c'est que t'es libre ou non d'être libre ou non lol
  24. La democratie c'est a dire le pouvoir par le peuple incorpore la notion de citoyenneté or la Oumma (communauté de MouHammad sala Allah aleyhi oua salam) n'a pas de rapport avec une quelconque citoyenneté puisque le musulman se refere à la charia pour tous ce qui est du sort contractuel entre tous les individus. La communauté musulmane ne possède cependant pas de clergé. Dans le cadre politique la sphere religieuse n'interfere que pour faire valoir la loi divine, qui est en premier lieu de reconnaitre Allah comme Dieu unique sans associé et que MouHammad (sala Allahou aleyhi oua salam) est le messager d'Allah, puis de s'interresser sur les different decret pris par les institutions politiques quant à leurs conformités avec les textes c'est a dire la chari'a. Dans le cas ou le demos (le peuple) soit musulman ou a majorité musulmane, il est tout a fait concevable que l'application de la chari'a soit le souhait du peuple (pour ne pas dire pays/nation qui entrerait en conflit avec le terme de Oumma - à noter que le prophete de l'islam MouHammad sala Allahou aleyhi oua salam avait defini le nationalisme ou l'esprit de clan tel que les tribus avaient de pourriture... Quand l'on pense au chauvinisme exacerbé de ceux qui se disent par exemple algeriens cela fait peur ! bref ).... Le pouvoir du peuple sur les decisions politique quand il est en accord avec la chari'a est "islamiquement" licite... Mais ce n'est que mon avis... J'insiste sur la chari'a et la notion de Oumma. Pour moi, dans la guerre a Riba (qui est l'usure ou le pret a interet), voter communiste est licite car sur ce point le PCF est a la pointe de cette guerre ! La democratie n'est pas mauvaise seulement lorsqu'elle est representative des mauvais penchant de la majorité de ceux qui sont appeler a s'exprimer... Souvenez vous de ce passage où les quatre tribu à la mecque , au temps du prophete sala Allahou aleyhi oua salam, se disputaient le droit de deposer la pierre noire... Puis ils ont demander a El Amin (autre nom de MouHammad sala Allahou aleyhi oua salam qui veut dire "le digne de confiance "/ "l'honnete") de trancher leur different... Le prophete (sala Allahou aleyhi oua salam -priere d'Allah sur lui et la paix) leur a donner la solution : chacun des representant des quatre tribu ont pris un coin d'un tissus sur lequel était posé la pierre et ainsi ils ont pu tous ensemble avoir eu l'honneur de deposer la pierre noire. Ce fut , je crois au temps preislamique appelé Jahiliya (le temps de l'ignorance) ... Detail qui figure dans la sounna du prophete sala Allahou aleyhi oua salam. Comme quoi apres lutte d'interet opposé, apres concertation et consensus , politiquement, faire d'un objectif le commun c'est poser l'acte individuel dans un esprit collectif... Cela a a voir je crois avec la legitimité d'une sorte de democratie.
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