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yacinelevrailefou

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Tout ce qui a été posté par yacinelevrailefou

  1. Aleikoum salam cher yazid !

  2. Qu'y a t il de plus élevé à la justice ? La justice est utile, elle est nécessaire aussi... Mais on peut faire fi de la justice dans un combat dépassant celle ci, dans un combat non pas juste ou injuste mais le dernier combat, l'ultime combat, celui où l'on a que faire de la justice ou même de l'injustice. La dernière guerre... La paix ne s'embarrasse pas de la justice, elle l'ignore parfaitement : dans un monde en paix, la justice n'existe plus car aucun acte injuste vient former la société de sa jurisprudence, aucun acte contraire à l'état de paix ne vient troubler la société... Pourquoi encore créer la justice ? Et la dernière guerre de l'humanité, par sa définition ultime, recèle en elle même cet état de paix, une paix ultérieure qui n'aura de fin que celle de l'humanité. Vraiment la justice n'est pas la véritable cause en rapport de quoi il faut lutter. Non, la véritable cause est celle de la paix. On peut crier à l'injustice, souhaiter la justice, etc... Mais réellement, ce qui objectivement arrêterait tout désir, toute douleur, c'est la paix. Aller au delà de la justice c'est aussi aller vers la paix mais toujours dans ce souci de la dernière guerre, ce dernier mouvement libérateur, libérateur de toute douleur, de tout désir. Libérateur même de ce qu'est la justice, de ce que nous éprouvons comme injustice. Aller au delà de la justice c'est faire la guerre selon la seule cause qui mérite d'être, celle de la paix. Et en vérité, nous connaissons ce qu'est la paix, tous, chacun de nous en avons une idée, une grande idée, la plus grande d'ailleurs. Et c'est bien en cela qu'il faut s'interroger : la cause de ma lutte est elle bien la plus grande et sinon qu'elle est la plus grande des causes ? Allahou alam ! Allahou akbar !
  3. ...EnSuisse : « Gutentag Berne ! », ou confidencesd'un écrivain... Unjour, un écrivain fou fut trompé. Sa femme et leur mariagevoyageait tantôt à l'Ouest, tantôt à l'Est ; selon lemeilleur parti d'un divorce qui se doit d'être - et ne le peutseulement - prononcé. Voici ses sentiments... Ses écrits. -« De conséquences en conséquences, il y a des lecteurs quifont l'amour. Par exemple, ce qu'ils ont lu de moi les font plus queréfléchir. Ils y pensent et, plus grave, ils y mettent le cœur.Ils font péter leurs cœurs jusque vers les étoiles. Qu'est ce queces étoiles leur donnent ou, de quel espoir puisse se matérialiserun désir au même titre qu'un souhait ? Quel étrange affairececi que ne pourrions nous pas en conclure à de délirantesimpressions ?... En lecture, voici ma véritable visite deBerne, un soir de Septembre. Mevoilà à Berne. Il ne manquerait plus que j'écrive en dansk pour unbeau jour me retrouver à Copenhagen ! Me voilà à Berne sansréellement le savoir... Comme happé dans un chemin qui ne devaitêtre que le mien, à ce moment... Comme intrigué par le destin,guidé vers une femme dont l'appel résonnait en des sphèredépassant les choses physiques et même de l'esprit. Une descriptionde ce phénomène ne réussirait pas à donner son entière étendue.C'est une succession de circonstances envoûtantes que j'attribue aupouvoir de l'écrivain et donc en cela de l'écriture et encore plussûrement : de la lecture. Mais à vrai dire, seul la poésie oule théâtre absurde peuvent faire entrevoir dans l'imaginaire devous, lecteurs, la vraie nature de ce que j'ai vécu... La trahison,l'effet de la fornication. En voici un court extrait. Jesuis seul. Dans la cohue et le bourdonnement de la ville, mais seul.Que fais-je ici, dans le froid, avec mes remords, mes divagations,pendant que toi tu baises... Seul. Me prélassant tel un survivant,je suis sur des marches non loin de la gare, n'ayant pour nourritureque le voyage à l'ardeur vitale ; j'écris, le papier penchésur la pierre, à demi couché, soulevant la tête parfois commescrutant l'oracle de la manipulation phénoménale dont je montre làla preuve : « J'écris,tu baises, je galère, tu penses et j'écris... J'écriston mal ainsi qu'avec intelligence ta stupidité qui me meurt. J'écris,tu baises, je me meurs, tu baises , je meurs, tu baises,j'écris, tu y penses, je galère à en mourir, tu baises et celam 'achève ; tu baises encore... C'estvraiment très intelligent d'écrire ; les imbéciles en baisenttoute la gloire de l'auteur, ces lecteurs tuent l'auteur tropécrivain et condamné à le rester par leurs fautes, entre autres lafornication. Car j'affirme qu'il y a un sens caché qui fait officede conséquences en chaque acte de l'homme. Sans doute à la mortnous informera-t-on de ce que nous faisions véritablement. L'hommehistorique en témoigne. Et de par cette responsabilité, de faitspour causes et en tant que conscient moralement du mal de l'acted'aimer sans sacralisation de l'union ; la chose anodine, lebadinage, n'est en fait que la source invisible, caché, d'un malheurbien réel et palpable en chacun de nous. Ainsi la morale aurait unpouvoir sur nous, hommes historiques et d'un degrés moins rationnelque le bon sens. Tubaises, je galère, j'écris, tu y penses, tu baises, je galère,j'écris... Deconséquences en conséquences ; d'écrits en écrits,d'aventures en aventures, je meurs quand tu baises. Fusses-tu àBerne. Peut-être suis-je en bas de ta chambre, assis misérable,côtoyant pauvreté comme de riches industriels côtoie sans doute tachambre. Cette chambre où je ne suis pas, où je ne serais plus.Peut-être m'as tu aimé, peut-être m'aimes-tu encore en teslectures, faisant de ton amant le réceptacle de ta jouissance dem'avoir plus que lu, connu ? Peut-être m'as tu appeler sans levouloir, guidé jusqu'à toi sans le savoir. Inconsciente du mal quetu fais, auquel tu t’adonnes avec je ne sais qui... Tume répètes sans cesse : « fais cela ! Et tu verras,tu ne galéreras plus ! »... Quel triste fin de t'avoirgarder pour amie... Mais je m'y atèle, je prend tes conseils, lessuis avec la bonté qu'ils inspirent. J'écris donc, je produit, jetravaille. Je fais alors tout cela, ce que tu me dis. C'est alors queje réussi presque. Presque, car une fois que tu baises, pensant àmes écrits, à moi, ma galère ; tout ce que je fais dans lesens de ne plus gérer la misère est empêchements, comme ne pouvantêtre finalisé, ceci restant comme inabouti est devenu comme ayantété une peine inutile et stérile. Jen'ai plus d'eau pour me laver afin d'aller à ce rendez-vousimportant ; pas de crédits téléphoniques pour appeler afinque je récupère la chose qui en la donnant à un tel ferait que magalère s’arrêterait. Aujourd'hui, sous sans doute ton balcon, jeressens une vérité. Celle qu' avec même la plus grande courtoisieet un sens plus qu'aiguisé de l'angle le plus aigu de la chose, enl'expliquant, malgré tous les bons arguments et le peu de raison quel'on trouvera à me dire non, l'on me refusera. « Non. »L'on me dira non ! Toiaussi tu ne cesse de me dire non... quand je ne suis pas là et quetu baises. Et quand tu me parles, une fois réuni, toi et moi, tu mereproches de ne pas faire cela, de n'avoir point fait tout ceci,etc... Ces reproches et conseils sont comme tu dis, pour ma santé.Ce que tu dis... car tu m'aimes. Tu m'aimes tellement, tu aimestellement ce que j'écris, ce que je fus pour toi, tellement tu ne lecomprends pas, tellement mes écrits te touchent, toi, intelligenteet tellement belle ; tellement tu existes par ce que j'écris,tellement tu me connais, que tu veuilles que je t'aime, toi, end'autre bras pour en définitive m'oublier... Tellement tu baises. Tellementtu baises, tu me tues. Et en ma galère, par et de ta faute, tu mevoues à la misère, au feu ! Mauditetu es, et tes maudissures pleuvent nues sur ma vie, l'évaporant toutcomme la mort se fait de la pensée. Tu ne peux pas penser autrechose, baisant ce que je suis, tuant mon œuvre. Me voilà mort queje serais encore maudit par tes soins coupables vis-à-vis de mamémoire. Me voilà mort et tu baises encore le fait que tu m'asconnu, aimé, que j'ai écris sur toi, sur ta beauté, tonintelligence, mes incompréhensions magnifiques, mes ratés... Surton existence aussi, ceci qui m'a fait être ce que mes écrits sont,sur l'amour que j'ai eu pour toi, sur tes bons sentiments envers masanté... Auvue que nous ne pouvons plus être ensemble, écrire ensemble, etc...et sachant que tu ne puis pas m'oublier, une solution semble êtrel'ultime moyen de réchapper à ces temps maudits : tu doisdisparaître pour que je ne souffre plus de tes écarts. Me voilàici à Berne, et toi, sirène des sommets helvètes, ne m'auras pointà l'amour mais à la mort comme la haine que j'ai de toi. Toi quifis que je sois à ta recherche. » Aprésent Berne est au loin, oublié dans le cours du temps, gisantsous un amoncellement d'effets, de causes, ne subsistant à chaqueinstant que plus timidement. Je reprend ma marche avec toujours cettehaine qui m'y amena. Toi, femme, instant de vie, de la force de lamienne, la forçant, l'intensifiant même si elle fait mal ;j'aime ma vie telle toi, Femme, l'a voulant à ta façon. »
  4. La course aux flingues ou La société du pauvre. (Petit texte alambiqué écrit entre Orléans et Bordeaux) Dans mon emploi du terme "civilisation" et de ses nombreux sens qu'il contient, ainsi que les régressions épistémologiques que l'on lui attribut généralement historiquement -en réalité universelle- et plus particulièrement en langue française; je n'y vois qu'un foin électoral qu'il est convenu d'appeler démagogique ou plutôt hégémonique - d'un impérialisme oligarchique de l'injuste finance. Mais pourquoi ne pas en développer l'image pour non pas en apprécier la force véritable mais bien sa faiblesse que certains et même beaucoup trop s'efforcent de soutenir. Des menteurs qui renient leurs forces en s'associant en faiblesse, principe de la faute. C'est l’intelligence au service de la bêtise; si connues l'une et l'autre qui malheureusement peuvent faire sourire, mais qui n'ont de prétentions que les larmes et le sang. La contre-offensive nécessaire aux opprimés et à leurs propres survies s'égare parfois dans les réflexions de l'oppresseur, à savoir le désespoir "néant" et la logique avoisinant cela : Perdu pour perdu cessons le combat, jetons nos flingues, explosons les vers le néant, on ne sera pas touché... Or, l'on pourrait craindre qu'une fois jetés, l'explosion des flingues retentirait non pas dans le mensonge mais dans la matérialisation de ce mensonge niant l'univers physique par cette "vérité alors ontologiquement attestée" : le néant. Désastre humain, catastrophe planétaire, égarement éthique, production logique d'une science inhumaine élevée par orthodoxie humaniste/protestante à être l'image suprême, blasphème libérateur de l'inconscience... destructrice et destruction. C'est alors que subsisterait deux choix pour les survivants : la guerre pour la bataille, la bagarre pour se taper dessus, se battre pour pouvoir se battre... ou, concourir à la beauté de ce qu'ils sont... Et dans la mesure qu'il leur resterait ce qu'il suffit : le vie; ils s’évertueraient à pouvoir courir pour être premier dans la compétition que jamais nous ne devons gagner, ceci est vital, et c'est La Course aux Flingues : Quand la civilisation sera dépouillée de toutes ses attributions et qu'il ne restera que son nom majestueux. Ce nom ne sera plus le port de toutes les connaissances admises et reconnues par un ensemble alors "civilisationnel". Il ne dépendra que de celui qui s'en sera fait acquéreur. Le peuple politicien n'a déjà pas la souveraineté de la totalité de sa civilisation; l'arme de défense de celle-ci est entre les mains de personnes niant toutes implications dans ce qu'est "civilisation". Leur éducation est monétaire, leurs motivations sont financières et leur but est lucratif. C'est une association de malfaiteurs indépendants. Leur union réside finalement en une entente à appuyer sur le bouton de la Bombe persuasive et non à gérer un quelconque intérêt commun ou suprême par la maîtrise de la puissance destructrice nucléaire dans des schèmes interférant à ces intérêts unifiés en eux-même. Ces intérêts sont alors considérés détenus par d'autres puissants, puissants tout autant que leurs considérations à posséder ou à être la possession, leur liberté. La définition de la liberté est dans tous les cas une définition de puissance destructrice; la faiblesse attestée, envisagée et renouvelée par ces êtres la recherchant au lieu de la fuir. C'est, en somme, le propre de l'éternel insatisfait, ou l'insatisfait devant l’Éternel. Se croire libre est se croire éternel, or cela est faux; tout simplement et aussi simplement que la simplicité. Le penseur a sa responsabilité même si il ne peut rien, il doit dire "attention" comme à celui qui se dit posséder sa propre peau selon les couches épidermiques que la science ne cesse de disséquer, dissociant l'unité propre à la matière... Les puissants, donc. Mais la version du pouvoir appuyant l'inverse entre en désaccord par exemple, avec la sexualité freudienne, qui en toute logique s'y oppose et ce, comble mythique, envers Mr Freud et sa perversité synthétisée "analytique" ( farce à laquelle beaucoup trop ont cru et qui tient encore par supercherie et orgueil de cocu stupide. A n'en point douter, le recul fait apparaître de cette contre-science, cette anti-émancipation humaine, le fait même qu'il n'y a aucune recherche à guérir une pseudo-pathologie présent en syndromes "analysés" le plus objectivement (?) mais à émanciper ces derniers en tant que conscience d'une sale vérité; c'est l'essence de la passion des insensés, la teneur de la blancheur maculée du sang des bourreaux des tyrans, la perdition rendu pureté, ...oui, c'est cela, et non la folie et ces "pauvres fous"). Je rajoute à ces évidences/injustices une autre qui est peut-être la mère de toutes les précédentes et qui nourrit littéralement ce auquel il nous faut lutter: le monde appartient à chacun. Loin de désavouer non plus l’irréalisable et dangereux projet de la vision où le monde appartient à tous; j'essaie moi-même de cultiver ma conscience en ce que le monde ne nous appartient pas, sans en renier l'existence. Ces puissants, donc, sont les ennemis d'eux-même en étant celui des peuples, de leurs civilisations, de l'humanité; de Dieu. Inconscients, je l'espère, de se vouloir homme en dépit de l'humanité, délivrons-les de ce mal pour le Droit. En justice, en vérité, cela est le bien du monde; et c'est bien..., et parce que c'est bien que cela en est évidence. Et pourquoi ne pas aimer en cette bonne évidence, celle que finalement nous aimons en Dieu ? Apprenons les consciences à être "consciencieusement". Être c'est parfois se battre pour les armes. Elles sont moyens du moyen pour aboutir à être. La pauvreté est la lutte du riche. Pour ou contre, il ne peut être le frère politique du pauvre qu'à moyens identiques, ou bien par l'amour sincère qu'il porte à Dieu lui-même en le portant lui-même à son frère. La fraternité dépasse la condition du pauvre, cet homme matériel, spirituellement trop ou trop peu. Elle ne se cache pas non plus en ce qu'elle est humaine/naturelle/historique... Non ! Elle est évidente en amour, en ce qu'elle est Amour de Dieu. La nécessité de se battre pour avoir les armes est la lutte du pauvre insoumis car oppressé. La "liberté" du peuple passe par la lutte armée. De quelle "liberté" ? , serait-on curieux de demander que je répondrais, en m'offrant à ses charognes légitimant l'absence en leurs inventions due à leur orgueil "d'êtres créateurs" de leurs destinés (de qui se moque-t-on !) en ce mensonge "liberté" - qui l'est d'ailleurs tout autant que leurs propres aperçus du "libre arbitre", ma liberté est celle que je ne reconnais pas en m'y soumettant de tout mon coeur. C'est hélas ma charogne, la noirceur dans mon coeur, l'impureté de celui-ci, ma mort repentie. Mon âme, donc, qui (ne -?-) peut vous l'expliquer. C'est l'âme que j'invente en ce que vous en avez (en vous y penchant de plus prêt) maintenant la très minime connaissance de la mienne. La lutte armée est la véritable lutte, celle pour le véritable pouvoir qui lui même la permet; la présence politique qu'atteste la lutte politique qui est permise par ce même politique. La lutte du pauvre c'est Le pouvoir, l'unique pouvoir, celui que ni vous ni moi n'avions, la volonté de pouvoir se soumettre. Se soumettre à l'échelle du pauvre (en mon cas seulement); c'est aussi à l'échelle du riche tout comme à l'échelle de la femme, à celle de l'homme ou plus simplement de l'Homme, mesure de toutes choses... Et l'Homme, en tant qu'être de raison, tend vers... Le devoir du pauvre est d'être 1er à la course aux flingues.
  5. Merci, c'est toujours un plaisir de reconnaître en la critique une marque de sympathie. Pour t'avouer tout d'un coup, mes écrits ont été lors de mes différents voyage un refuge et la fatigue alliée à un esprit bohème, pour ne pas dire vagabond leur ont donné cette forme.. Parfois bien sans doute trop souvent mauvais.... Ils refletent mes états dans des moments souvent durs , voire extremes... Dorenavant, bien loti, je ferais sans doute moins de fautes... Mais les corriger donnerais un autre sens à ceux ci, un autre caractère, les denaturant, leur enlevant toute l'histoire personnelle qui y est lié. Merci encore pour ce commentaire que je place en haut à droite dans mon coeur, juste à côté de mes anciennes muses...
  6. J'ai énormément voyager dans ma vie, et j'ai aussi eu la brillante idée pendant mes voyages, d'écrire sur divers choses, un peu incohérentes mais qui correspondaient à une réalité mise sous une forme prosaïque. Et bienque parfois j'écrivais pour être lu (moteur de l'écriture), j'ai tout le temps voulu échapper à toute compréhension; mes écrits ne sont un souvenir que pour moi et moi seul. C'est une richesse égoïste, ma production littéraire fut souvent intense mais ne concerne que moi. Tenter une approche raisonnée sur mes écrits n'est pas possible. Je fonctionnais ainsi , un peu à la faveur d'un Rousseau aux rêveries solitaires... Je m’entraînais à décrire mon état ou situation présente. Par exemple, en ce moment je suis assis sur mon sac noir sur le trottoir, écrivant... Voici comment ma phrase se tourne : " Assis côté jardin sur ma maison noire coté cours, je resplendis en écrivant cette phrase..." Et ensuite l'inspiration me vient. Et j'écris, j'écris sans plus finir, n'ayant aucun objectif seulement écrire... "Seul dans la nuit, ma plume vogue par les halos et mouvements des songes. Tout le monde dort dans cette ville, les âmes endormies vagabondent dans la rue, imperceptibles, je les sens pourtant, claquant mon visage, volant au dessus de moi... Moi qui ne dors pas, faute de maison plus grande que mon sac. Mais j'écris. J'écris les rêves qui tournoient là, juste au dessus, sortant d'une fenêtre pour s'abattre sur moi et repartir courir la nuit. Le sommeil a ces fantômes et qui se perd dans la nuit, éveillé, ne peut que ressentir leurs présences. Ils disparaissent au levé du jour lorsque la ville se réveille. Mais voici que ma tête bascule, un fantôme veut en sortir, c'est le mien qui m'appelle déjà à dormir... Je résiste mais voilà qu'il est bien trop tard. Je vous laisse, plume, avec regrets et vous souhaite une bonne nuit"
  7. Je me fou de l’or des Indes, j’aime voyager et les flots des atlantes. Je me fout des Louis d’or ou d’argent, c’est les gloires qui scintillent en poitrine par-dessus mon Nom, mon écharpe blanche sur le plat de mon bouclier puissant voilà mon bel accord. Je me fout des chaumières des décors gros en cocotiers de souffrances inconnues, j’aime les champs, la pierre neuve et les remparts, les murs ouverts aux vents, bien fiers, debout en dedans. Je me fout d’une adresse, j’ai mon nom dans mon cœur et veut le placer en dessus des sûretés. Mon esprit est mon nom, mon âme est à Dieu et mon service à celui qui les reconnaitra ! Et Dieu seul me garde, Lui qui me connait.. Oua Allahou AkbAr ! Et nous n’irons pas en Syrie faire le jeu d’Israël, car découvrir un secret c’est être dans le secret ; et en le divulgant c’est admettre en son pouvoir d’autres à mettre au secret ! DIRECTION Mont Royal, Québecques. Le vent de liberté, mon vœux inestimable, je veux et je n’ai pas de prix. Aucune perle n’en sera mon gage pas plus que les fouets de cuires d’où qu’ils se firent, quand bien même les terres australes défient les courronnes... *** Aux remparts de St Malo, je vois tranquile. De devant moi, le vent est proche. A quelques pas, pourtant baigné dans l’Océan, certains ont encore pieds jusqu’à la garnison qui fait face au Fort, la prison. Dans la garnison, au mat, rien n’est levé. On y est pourtant pour garder le front, regarder l’horizon, la mer. La route qui y mène est sans entrave. Gardons le bonheur des sables estivaux, la flèche hérissée en l’hermine érigée qu’un goeland couvre aux aguets : nul à secourir, la victoire est proche et, à couvert, l’enfant qui naitra aura , ici, la paix de Surcouf !
  8. Dans cet appartement, le rideau métallique baissé, je m'imagine dormir. Comme reposé de toutes luttes, ma vie n'aurait plus aucun goût. On ne vit bien qu'en luttant, d'ailleurs Dieu nous a assigné une vie de lutte... Dans cet appartement, disais-je, j'imagine la peine de cet autre monde, qui derrière le rideau métallique baissé se bat dans la division et se meut à l'unisson. Comme il est étrange de penser ! Je pensai curieusement à La Palestine... ainsi qu'à tous les conflits de la Terre. Les hommes se battent dans la division mais en sorte ne se meuvent sur terre qu'à l'unisson. Regardant un homme stupide élever la voix à la terrasse d'un café -souvenir lambda-, ma mémoire ne pourrait restituer en son entier son discours mais il s'entretenait de vive voix avec une femme , juive. Lui avait l'air arabe. Tous deux était assis côte à côte à la même tale, en d'autres occasions, en d'autres bavardages se devait être de bons camarades... Mais là, à cette heure tardive de la nuit et considérant la situation internationale d'alors, ce fut un jolie débat où chacun n'avait raisonnablement rien à dire, aucun fait explicite pouvant étayer les positions de l'un ou de l'autre... Ils ne parlaient qu'avec passion ! La raison n'avait pas de place et seuls leurs sentiments respectifs menaient la danse des mots qui bientôt se furent cris. Chacune des deux personnes campait sur ses positions, on essayait de prouver que la morale était d'un côté , tantôt de l'autre, si bien que le bien et le mal disparaissaient dans un flou passionnel... Mais à retenir, de cette guerre de bistrot, les deux avis se faisant face n'étaient pas conciliables, ils étaient donc différents et s'opérait alors intellectuellement une division spatio-temporelle. Or, le sujet ; cette bataille, emmenait nos deux belligérants au même endroit, au même moment, servir les mêmes injustices, ou plus surement apportait leurs intellects aux mêmes sphères, celles de la guerre,ce sur quoi ils débattaient. Le même phénomène est observable selon une autre échelle... Comme par exemple, porter attention au discours fasciste/raciste. Entrer dans les faux (pseudo) débats des personnes stupides revient à se battre contre la stupidité et sans contredire le fait que nos opinions sont tout autre car face à la stupidité c'est quand bien même évoluer dans la même sphère... C'est donc se mettre au même niveau que son adversaire que de tenter de le battre. La solution ? Elle est de deux types. Premièrement, le réflexe existentialiste : l'indifférence. Une idée n'existe que si on y prête attention, imaginez une idée inconnue car ignoré ? L'idée , hormis toutes les étiquettes qu'elle peut avoir en conscience ou non, n'a de valeur que selon la considération que l'on en fait. Aucune considération pour le fascisme/racisme et vous n'en avez plus. Deuxièmement, la logique anti-coloniale ou la fuite d’Afghanistan. Les américain et les autres sont aller en Afghanistan lutter contre les talibans... Il s'en suivit guerre sang horreur et regret. Enlevez les occidentaux d'Afghanistan et le problème taliban n'existe plus. Comme quoi, en Afghanistan, le problème taliban n'était en fait que le problème occidental... Alors à y appliquer l'un de ces deux moyens en Palestine, il ne reste plus qu'aux défenseurs des droits des oppresseurs que de quitter ce qui ne leur appartient pas, la terre qu'ils ne cessent de spolier. Moralement c'est bien, chacun y gagnera y compris la paix dans le monde. Ainsi que de ne plus prêter attention et surtout de sérieux aux thèses sionistes comme un banquier duquel vous sollicitez un prêt ou une petite avance correspondant à un projet et qu'il vous répond par la négative vous informant que votre niveau de crédibilité est nul et qu'il a déjà assez perdu de temps à vous écouter... Historiquement, même religieusement l'état d'israël, aujourd'hui n'est pas crédible. Tous bons juifs vous le dira. Les autres (le reste), sionistes écervelés ou de 200 de Q.I., vous sortiront de grands arguments tous plus immoraux que les autres afin de se donner une crédibilité que même le Dieu du peuple d'Israël leur refuse. C'est par la provocation aboutie, celle qui obtient un retour, que l'on se donne de l'importance. L'erreur ici est de prêter à ces gens là un caractère sérieux dans leurs propos.
  9. Ne vous offusquez pas de ce texte, il est volontairement "alambiqué". Hangar 20 – Quai de Bacalan- Bordeaux, la ville où il ne faut surtout pas vous rendre, vous y trouverez sans doute plus à y cultiver que la suffisance de votre peine. Travaillez, prenez de la peine c'est de cultures qui, ici, en manquent le moins. Entrez-observez-découvrez.. Entrez ou non dans l'univers des ponts, magnifiques ouvrages d'art ou véritables exploits techniques. L'exposition permanente de Cap Sciences, conçue et réalisée par Cap Sciences et CUBE INGENIEURS, avec le soutien de la Communauté Urbaine de Bordeaux et la participation de Vinci. Ce dernier saura vous plongez au cœur du chantier du pont désormais "Pont Chaban-Delams", au nom d'un illustre libérateur de La France aux côtés du Général Leclerc; désigné comme un "homme hors du commun" par un élu communiste l'ayant connu de son vivant dans l'exercice de la fonction de Maire de la ville de Bordeaux, tout comme Monsieur Alain Juppé au sein de la CUB. Sans être mécontent de l'air des anciennement mauvaises eaux coulant en cet estuaire bien que critiquant vivement l'étendue de cette mode qui a prétention de faire de la Nation un ensemble de sujets autonomes-sortes de Barons républicains pour un état absolutiste; de renommer une administration en vertu de communautés de communes-métropoles liberticides par un "centralisme" appauvrissant et le paysage et nos concitoyens; desservant l'intérêt même d'entreprendre pour celui d'une administration conquérante, privative, privé, soumise aux marchés plus centrés encore sur le monde. Monde qui, hélas, est de finance (réalisation d'une machine "trop humaine", nihiliste, œuvre des monnaies de métal, fusion des œuvres de la monnaie)… Finances de métal et non métallurgiste des finances, la ferronnerie des âmes, les âmes fêlons, le feu du fer et non le fer du feu… L'enfer de nos réalisations, la réalisation de nos âmes brûlantes trempées dans la finance qui n'est pas d'eau mais de feu. Feux d'inconsciences, feu la conscience, l'oubli de la culture, celui de la réalisation du bien-être de tous, de chacun ou d'un Soi à travers une volonté au dessus de nos yeux, de notre tête : l'épée circulaire, le tranchant de nos vies, le tableau de nos guerres, celui de nos espoirs, La Vie. A noté que les avancées techniques et hydrographiques en cette région furent d'une importance capitale dans l'effort d'ingénierie français. Je souligne le caractère exceptionnel de tous les secteurs liés à la construction : ouvriers, cadres, ingénieurs, architecte, héritiers du savoir-faire non pas d'une civilisation mais du monde entier à travers la communication de chaque rives, à travers tous les ponts que l'homme à su entreprendre, construire et utiliser dans l'intérêt du monde, de tous; hommes et femmes, de leur région, de la Gironde autant que de La France ou du Japon. Il est nécessaire au monde d'admettre la spécificité de la culture en ce qu'elle soit socialement neutre; au sein d'un monde qui derrière chaque fleuve, chaque mur, toutes les barrières visibles ou non. Cet effort de conscience de Soi, de l'autre, de ce "extérieur" qui nous entoure tous, se doit d'être en chacun de ce "tous", d'être sans cesse défini, redéfini et plus encore construit. Construisons tous les ponts dont nous réclamons la nécessité afin d'entreprendre un enrichissement dépassant le fait ouvrier ou bien financier et autre accumulation de n'importe- quelles richesses, dans le simple but que l'inévitable demeure cette paix extérieure en nos intérieure définitivement reliés. Construisons de par la science universelle les ponts entre les mondes pour que soit reconnu l'éducation suprême, celle qui est et non celle que nous sommes légitimement à la recherche, non pas la nôtre, ni la leur, mais la découverte de ce permanent, de cet invariant qui nous fait être parmi les hommes, parmi les mondes, dans l'univers. L'éducation ne se transmet pas, ni ne se construit, ni ne s'apprend; elle se découvre à mesure que nous prenons conscience des intentions qui nous animent, celles que nous observons dans ce qui ne peut s'animer, n'y trouvant pas nos âmes ni ne se reconnaissant en tant que nous, mais bien en tant qu'appartenant à ce qui nous dépasse, se faisant alors notre culture, celle que notre éducation se doit sans cesse au bien, la Connaissance de Soi, de l'autre, des mondes; le Bon : la miséricorde, et non l'outil qui se dit meilleur car l'avenir nous en apprendra ce qu'il y avait de pire à abolir le bon de nos sociétés, la justice qui marquait l'appartenance de Soi en cet autre aux mondes; ce qui fît Lois et miséricorde et non ce qui se veut Règles et laxisme. Du dogme et des doctes, il n'y a que l'aspect exceptionnel, ce qui est révélé, l'extrahumain, l'extra-universel… Ou bien, non; le sujet métaphysique voire l'au-delà de l'ontologie, l'acte de discourir en nous, ce nous qu'il nous faut chercher par le discours non dans son origine mais par delà, cet au-delà qu'il est nécessaire à nous, aux mondes, de désirer pour qu'universellement nous construisions de bons ponts. Et qu'il soit le meilleur atout d'un bon jeu, la girondine des stades; le Louvre de Bordeaux, l'œuvre d'un Chaban-Delmas…du Japon à l'Aquitaine : le pont Chaban-Delmas.
  10. La peste. Place Pelletan. La cité "cécité" ou la nécessité de la citer : la nécessaire naissance de la conscience de la cité; son essence, la Santé. Un rat gît et l'indifférence le nettoie. Place Pelletan, aucune mode ne veut y voir la mort ou plus sûrement un cadavre… L'annonce même pestilentielle d'un tel dégoût ne ravive nullement l'esprit de voisinage ni celui patriotique de la Nation en danger… Au cœur de la ville, la mort est plantée. Personne n'y prend garde et bien plus, tout le monde s'en garde ; à croire que ce cadavre gît depuis des habitudes trop commerçantes pour en avoir l'air pauvre. Pauvre quartier en effet, qui se voulait pourtant de carrière sanitaire et sociale. La santé est l'indifférence générale, à moins biensûr que des âmes charitables baisse leurs fonctions à ce qu'il sont devenu de par leur amour du quartier, de la Nation. Fiers patriote, ils œuvreraient pour la santé publique. La conscience de ce rat mort, la conscience d'un danger que d'autres cultivent le risque de voir se propager La Peste, autre virus d'un temps oublié, d'un temps oublieux comme ce jour, où trois jours suivant ce constat, je fus aux désolations planétaire sujet de cette réprobation, celle qui me fut encore en ma vue : le corps gras d'un rongeur étalé de dos, me faisait face. Comme la mort, il ne bouge pas. Comme la mort, personne ne vient le nettoyer, excepté les âmes charitables, innocentes et non naïves, ne voyant en cette place plus aucun beau pavé mais l'annonce d'un danger qui à l'approche ne demeure pas en suspend, ni de dos ni immobile : La peste d'Alger est trop lucrative pour que d'un seul coup d'un seul truc, elle disparaisse pour ne plus revenir. Sa forme rätzen effraie jusqu'à même les katzen de la ville, de La France, du pèlerin magnifique via Tours, Stockholm, ou Jeddah. -"Appelez la Mairie ! Moi, la dernière fois que je leur ai demandé un avantage injuste ils m'ont répondu trop poliment pour que je puisse en profiter ! Alors, voyez… Je ne ramasserai rien, et retourne en mon salon des coiffes lesbos. Et débrouillez vous, je n'y vois rien !" -"Ah non, je n'ai ni pelle, ni balai dans mon garage aux multiples engins… Et bien que Camus fut un familier de mon bureau d'étude d'adolescent; sa lecture m'a échappé comme… la vue de ce rat ! Au revoir Monsieur, et je vous espère en d'autre découverte plus heureuse !" La santé serait elle à ce point le prix de l'indifférence ? La charité serait elle devenu bassesses ? A tout voir, je préfère tourner la rue et diligenter une rumeur en la bonne personne généreuse qui à mon écoute, s'indigna tout en me souhaitant la sincérité de son don qui l'affirme plus hautement encore que dit ici : -"bonne journée!" -"Vous de même, Madame, et merci pour la cigarette !"
  11. excuse moi chris, mais c'est ce que m'inspire ce sujet.... A la limite de cela est dans la culture d'un tel d'être violent ou bien que c'est dans les gènes de certains d'être vilent. Re desolé
  12. Non, l'islam c'est le bon conseil, le bon comportement. C'est donc , comme il y a plus d'un musulman sur terre, aussi une communauté qui pratique l'islam, ce rassemblement sous ce bon comportement, celui du prophete Mouhammad. Et dans tous bons comportements, il y a des choses a faire et d'autres pas. Cela fait assez pour que des esprits comme toi, manipuler par l'époque ou bien qui n'arrive pas a comprendre cela catégorise l'islam comme politique. En islam il y a une jurisprudence, des preceptes qui ne sont guider que par Dieu et pour toi si tu veux : par la foi. Vu de ton niveau , l'islam est politique mais a y reflechir, c'est plus que cela. La politique est au service de ce monde, des hommes, etc... L'islam n'est pas une fonction... C'est une religion.
  13. Dieu sait tout, il sait que le porc est un animal impur, c'est lui qui l'a créé... Il nous enjoint le bien, donc nous interdit d'en manger. Mais qu'est ce que la pureté ? Le matin, beaucoup en se levant vont à la douche pour se laver, puis se font beau / belle pour la journée.... Il prenne soin de leur corps, il le purifie. Un musulman , lui aussi se lave mais il lave son intérieur, son âme des souillures. Comment ? En se purifiant avec de l'eau (ou si il n'y en a pas, de la terre/cailloux ) selon un rituel religieux (musulman), c'est à dire selon la tradition du prophète de l'islam qui lui est agréé par Dieu. Ce qui diffère chez ces deux pratiques réside dans l'acte et l'intention. Le bain rituel, qui a donc vocation à purifier le croyant commence par l'intention de se purifier et Dieu aime ceux qui se purifie. Par des gestes précis selon la tradition prophétique, le croyant souhaitant se rapprocher de Dieu qui est miséricordieux, grand pardonneur, le très pur, se lave certains membres de son corps puis d'autres, etc... L'intention ici est de se purifier des souillures que l'on a, des péchés que l'on a accumuler et qui nous empeche d'avancer, de se rapprocher de Lui, de son pardon. Se purifier c'est en islam, purifier son coeur, ses intentions. Nos intentions doivent être les meilleures, et qui de meilleur à part Dieu, Le parfait, Le Bon ? Regardez vous et dites moi si vous vous aimez... Vous n'aimez pas sans doute cette vie et l'on s'y accroche quand même. L'on aime pas cette vie, ce monde, surement et parce que l'on a du mal à s'aimer nous même. Nos actes, nos intentions font de nous ce qui nous sommes. Que dire quand nos actes et nos intentions sont impures ? La meilleure des intentions, le plus bel acte, sont ceux qui sont entierement tourné, dédier à Dieu car qui voudrait faire le bien sans y prétendre ? Certains donnent l' aumone (donner a manger a un sdf) , font le bien mais soit c'est par ostentation, pour bien se faire voir, d'autre le font juste pour la cause de solidarité (comme si solidarité était un absolu, comme si solidarité était dénué d'un desinteret sur sa propre personne, c'est a dire, de faire l'aumone afin que soi-même l'on puisse se sentir bon...), d'autre le font pour Dieu, en Dieu. Ces derniers ne le font pas par principe pour qu'il puisse manger, il le font pour se rapprocher de Dieu et Dieu nous enjoint la bonté, de faire l'aumone. Je fais un acte en Dieu, c'est a dire que je m'en remet à l'absolu bonté. Mon intention est donc forcément bonne. Celui qui le matin se lave, le fait pour etre presentable pour ses collegues, pour sa/son compagnon, etc... Mais votre interieur, comment pouvez vous le purifié, le lavé ? Votre âme, vous-même ! Comment arriver à trouver le pardon de nos fautes qui nous mine l'existence ? Il y en a qui se sont fait une raison, ils assument tout, voire le revendique. Leurs méfaits, leurs immoralités ils s'en sont fait eux-mêmes. Il ne peuvent pas faire preuve de bonté. Ce sont des personnes mauvaises qui n'ont pas réussi à trouver le pardon. D'autres ont trouver le pardon, ils s'en sont remis à Dieu, le plus grand pardonneur, se purifie en lui et essaient de faire le bien, le véritable bien, celui qui fait pour Dieu, vers Lui, l'unique, le parfait, le bon, le magnifique, c'est Dieu ! Voilà comment devenir meilleur : se purifier et ne pas consommer de chair impure, le porc donc. PS : on ne dit pas islamiste pour designer les musulmans car l'islam n'est pas une doctrine comme le communisme, ou autre, cela n'est pas politique etc, c'est religieux, merci de corriger. Au cas ou l'erreur ne disparait pas, je conviendrais du fait que l'auteur du sujet est un imbécile ou un militant aveugle au bon sens.
  14. Question viciée, débat qui n'a pas lieu d'être, faux problème, bref, c'est un sujet de fasciste.
  15. La nuit Aux douceurs du soir, le fou préfère le repas de la nuit profonde. Comme un dessin sur l'eau, il ne peut que l'imaginer bien que pourtant la nuit est accomplie. La nuit du fou est semblable à ce parc dans Séville, à son soleil de juin, aux bassins et fontaines vides, aux contours de poussières, sable fin et dépôt de lumière. De grands rosiers courent sur le marbre et les mosaïques bleues, laissant aux épines le blanc des statues. Et je suis là, parmi l'inanimé, je pèse ma faim. Les orangers des rues de cette ville donnent en cette saison des fruits pourris. Je me meurs de faim jusqu'à la nuit, une nuit de marche et d’errances. La nuit du fou c'est aussi le devant d'un rêve, d'un espoir, d'une volonté farouche. Comme débarqué du sommeil depuis des mois, je suis au port de Tarifa fasciné par ce vent, cette mer, ce tout qui me dépasse, ces rues noires où vogue parfois un rat, une ombre, une mort rapprochée. J'ai envie de mourir, là, sur ce muret, face à l'Afrique. Ou bien non, je partirai en barque volé. Ou bien non, je m'endormirai sur ce muret pour oublier de mourir cette nuit, cette nuit chaude comme le sang, comme le ciel aveugle qui ne sent plus rien, le noir de mon existence. La nuit du fou, c'est à ciel fermé la raison de tout l'univers bercé en lui avec les étoiles. Ma nuit est emplie de liberté que j'ai en moi, prisonnière tout comme moi de ma folie. Folie que je peine à appeler nuit, ce que je suis.
  16. je laisse tombé, continuer a te parler serait une petre de temps et surtout d'energie... il y a des personne comme ça qui ne peuvent pas comprendre certaines choses ... faut l'accepter, se resoudre a avancer avec ces personnes là, en esperant qu'ils comprendront... En tous cas, ce soir, je suis trop fatigué pour t'expliquer ce que tu ne comprend pas, surtout avec ton genre de reponse encore plus a coté de ce qu'il te faut pour bien comprendre. Mais, la motivation me vient .... Par exemple, parlons des cons... (y en a plein, c'est une realité, faut s'y faire).... Un mec te dis ce qui ne va pas quelque part. Un con va lui repondre que c'est pire ailleurs et que par conséquent il devrait être content d'être ici. Mais ce que le con n'a pas compris c'est que cela ne resoud pas les problemes evoqué par le mec et de plus , cela stoppe toutes bonnes évolutions ou bonnes volontés si le mec se met au même niveau que le con pour lui dire toute la connerie de sa reponse.... Bref, chui fatigué moi, mais alors... fatigué.. Tient, a pu motiv'... ciao , vais dodo
  17. L'immigration dite clandestine ne peut etre un delit ou pire un crime... tuer, voler, etc, ça oui... Mais parcourir la terre qui ne nous appartient pas, ça non ! Je suis pour qu'il 'y ait plus de frontiere. Pourquoi la vie d'un européen ou d'un français vaudrait elle plus que celle d'un africain ou autre ? Nous sommes tous freres en humanité...Le slogan "français d'abord" c'est une grosse grosse connerie. Je suis humain, ça c'est la réalité... Français ? ça c'est une idée que j'ai hérité. Je parle la langue que j'ai herité (de l'école, de mes parents , de l'éducation, de la forme administrative qui est du , etc...), mais en fait, quelle difference y a t il entre un rom et moi ? Rien, c'est un homme tout comme moi avec son propre héritage, tout comme moi. Et avant de taxer l'immigré de parasite ou autre venant empiéter sur Mon "espace vital", soyons frere et enrichissons nous l'un de l'autre avec nos héritages... Discute, parle d'une belle façon avec ces "immigrés" que tu nommes péjorativement, et tu verras la claque (psychologique) que tu vas prendre... Ils sont autant digne de respect que toi ou surement plus que le gros con qui hurle "français d'abord"...
  18. L'art de l'illusion serait plutôt de diviser la population française (république une et indivisible) pour faire oublier les problemes centraux tels que le chomage ou la finance qui affame le monde... L'illusion est au fn qui prend son électorat pour un con. On stigmatise l'immigré, faisant de la couleur de peau ou de la religion un débat puant en reléguant les vraies priorités au rang secondaire des débats dit "gaucho". Vous n'arrivez plus à manger ? Taper sur l'immigré arabe islamiste ! A gauche on dirait, prolétaires de tous pays unissez vous ! Répondre à un débat frontiste c'est rentré dans un sujet qui n'a pas lieu d'être... Les clauses du débat tiennent d'une réalité stupide. La question est viciée, la logique est imperturbable sans pour autant avoir une base cohérente ou bonne. Quant à savoir comment remedier à l'insécurité et à l'immigration, qui sont deux sujets éructant la haine et une pathologie qui a plus à voir avec un mal de vivre, tenant du aigri ou de toutes émotions du même acabit, il faudrait connaitre le pourquoi de ces choses... Or au fn, on a des réponses qui tiennent d'un livre d'hitler. Quand j'ai entendu le pitoyable numero 2 de ce parti de merde dire en gros que les roms étaient tous des voleurs, que c'était dans leurs gênes et que à cause de ça il ne fallait pas qu'il puisse se rendre en France et de taxer de "criminelle" ou délinquant tout les roms sur le territoire... ça fait froid dans le dos. Roms, le peuple le plus européen du monde ! Quant au sans papiers, pareil qu'il disait... Mais là n'est pas le vrai débat ! La véritable priorité ! L'illusion c'est de faire passer des lois à l'encontre de la société par ses représentant (par ex les retraites) en substituant dans le débat ce sujet à un autre (la burqa, par ex, ou le terrorisme islamiste)... En gros l'illusion c'est de voter fn pour la france. Je ne parle pas des intention du votant, je parle de ses faits ... Il crois voter pour la france mais en fait il vote contre ses propres intérets, ceux de la france. Hitler a stigmatiser les juifs et tous les non aryens avant de tenter de les exterminer de toutes l'europe en pretendant que ce sera la cause de richesse. Le debat était pourri d'avance : qu'est ce qu'un aryen sinon une these raciste ? La logique fut implaccable, la base de ce raisonnement completement stupide et sûr d'une maladie de l'âme.... Et la question ? L'on doit se souvenir du "probleme juif" des pourritures nazis ... Le bombardement médiatique islamophobe porte ses fruits maudis, le fn a retrouver vigueur en en bouffant et les cons instrumentalisés leurs disent amen... L'illusion c'est dans le coeur de ceux qui disent et pensent oeuvrer pour la france , votent nationaliste , alors l'idée de la france (car La France n'est qu'une idée !) les combat. Le combat de la France c'est contre tous les nationalismes. Le visage de la France a rayonné sur toute la planete, son empire fut immense, sa langue est apprise partout, etc... Et la France ne sera jamais Frankreich über alles ! Le combat de tous français est contre tout les fascistes, du fn ou d'ailleurs. Et peu importe ce que l'époque donne de respectabilité au front national, ces gens là sont des inconscients, aveuglés par une haine irrationnelle : comment penser l'humanité par la "race" ? Pourquoi penser par des frontières politiques qui ont et évolueront ? Cela me rappelle l'histoire d'Algerie où des milliers de personnes sont morte pour une Algérie libre dans des frontières dessinées par le colon français ? ça n'a pas de sens ... Et en plus de ça , la plupart des algeriens sont fiers de leur pays, montrant au coup le pendantif de cette algerie libre au contours tellement coloniale !
  19. Aurions nous encore tous les droits, tous les moyens que nous ne serions pas libre d en avoir aucun... La liberté est la seule chose qui nous soit étranger, et qui pourtant nous défini. Nous sommes autre que libre quoi que nous soyons et c'est au degré de liberté que soi même est attaché. Suis je libre ? Oui, selon les limites qui me sont données... Et accepter ses propres limites, se soumettre à un projet, à des contraintes de par sa volonté propre, c'est se libérer, être libre, en accord avec la réalité, en accord avec la vérité... Encore faut il trouver la vérité... Et la vérité est évidente, nul mot ne pourrait la définir, c'est l' évidence même. Certains en niant celle-ci, en essayant de la définir, de la montrer, de faire de l' évidence la dénature et tombent dans l' erreur... Une erreur qui en nourri d autres et voile l évidence, la vérité et par là même le bonheur de vivre libre, en adéquation avec la réalité, la vérité qui est autrement que définissable. Pour vivre heureux, soyez le, simplement! Pour vivre libre, soumettez vous, simplement! Quant à la vérité... C'est l' évidence, simplement!
  20. La musulmane porte le voile en public en soumission à son Dieu, pas aux hommes. Mais comme pour les non-croyants Dieu n'existe pas, ils/elles font l'erreur de croire comprendre quelque chose d'horrible en soi : la femme inégal de l'homme. La grande majorité des non-croyants ne peuvent comprendre que c'est pour Dieu que les musulmanes mettent le voile vue que pour eux Dieu n'existe pas. Donc le débat sur le hijab est une incompréhension encore plus grande que la liberté/ soumission de la femme c'est dans l'essence même du monothéisme : croyez vous en un Dieu unique ou bien pas du tout ? Les termes du débat peuvent s'articuler surtout je pense sur la fracture qu'il y a entre le musulman et l'athée. Le reste, le hijab, etc., sont des sommes d'incompréhensions, de mal entendu et pire : d'impossibilité intellectuelle aux athée de comprendre quelque chose à l'islam... Alors parler de Dieu avec ceux qui ne croient en rien tient de l'absurde, c'est comme parler de physique fondamental avec un écureuil : ça ne mène à rien...
  21. Ma réponse est que cela ne doit pas te preoccuper : tu portes le hijab convenablement et interdire plus que ce qui est interdit est une erreur et toutes erreurs est un egarement et tout egarement conduit au feu... que Allah nous guide. Fais do3a pour moi min fadlek. Assalam aleikoum !
  22. J'attendais ce sujet depuis quelques jours déjà, à l'annonce que tu (Dompteur) avais faite dans le fil d'une discussion ici ou là... Je trouve que cette petite étude vaut quelque chose, elle nous montre parfois nos défauts et souvent ce que nous ne voulons pas lire, ce que nous détesterions être... Le vulgaire ou comment généraliser une attitude, une expression, pire un style de pensée... Cela me parait coïncider avec l'idée que la philosophie est nécessairement élitiste. Il faudrait alors un certain niveau de réflexion, d'Intelligence pour pouvoir philosopher ou du moins en parler. La philosophie est souvent (ici) encombré par ce que tu nommes le vulgaire... Je suis d'accord, mais ce n'est pas très vertueux de l'avouer car, en effet, il en va du vulgaire telle la "subjection" de l'élite. Mais à essayer de définir le vulgaire cela suppose un point de vu extérieur, dégagé de tous les torts que l'on serait tenté de lui attribuer... Et puisque tu confesse toi aussi (dans ton astérisque) que nous sommes tous le con de quelqu'un, permet à d'autre de définir le vulgaire selon une autre échelle de réflexion... La philosophie comme le dit si bien Husserl est la couronne de toutes les sciences. En cela, la philosophie appartient au champs de la connaissance. Une connaissance qui est un pur produit de la pensée. Donc, celui qui souhaite se lancer dans ce domaine donnera efforts sur l’accomplissement de ses pensées, il usera de son intelligence. Dire que faire de la philosophie est un exercice d'intelligence n'est pas faux bienque cela ne soit pas le but de la philosophie. En philosophie, celui que l'on remarque le plus est celui qui est le plus intelligent, le plus sage. Le vulgaire, lui, croit philosopher alors qu'il balbutie des inepties, des idioties : la pensée du vulgaire est presque vide, son intelligence est proche du seuil du débile ; il ne sait rien bienqu'il fasse comme si il savait. Or , classer dans "le vulgaire" toutes entreprises modestes (entendez la moins intelligente ou comme on le dit à la fac, la moins pertinente) à faire de la philosophie est un jugement qui répond à des codes, à des attentes, en bref, c'est raisonner en bon professeur, avec un programme où une certaine qualité de l'expression est demandée ainsi qu'un travail ou une approche philosophique. Mais à quoi reconnait on le philosophe/un travail philosophique ? Voyons ; on se reconnait d'abord, selon sa considération propre, aux caractères qui ne sont pas les siens ou que l'on ne possède pas... Le vulgaire se reconnait par certains que je nommerais "élite" selon la considération d'un présupposé mauvais usage philosophique lui-même présupposé par ces mêmes qui se placent en tant qu'élite, connaissant ce que la philosophie et plus encore ce que eux-même. C'est donc une frontière arbitraire selon le codes des usages philosophiques que certains dressent, excluant d'autres sous les traits d'un débile appelé vulgaire pour mieux former un "nous" incluant tous ceux qui répondent correctement au code des usages philosophiques (désolé , je n'ai pas d'autres mots)... Il faut bien, enfin, dégagé l'objectif de ce procédé ou sinon le motif : faire de la philosophie un rapport qualitatif à soi-même, de l' intelligence à la valeur que l'on se donne. La philosophie comme un jolie miroir, sans taches , sans vulgaire ou plutôt avec le vulgaire afin de mieux voir ses qualités... Mais ces qualités se sont nous qui les présupposons; tout comme la classe du vulgaire. Mise à part tout ceci, je note que toi, Dompteur, as toujours pris le soin d'expliquer à moins savant que toi ce que tu avais compris de la philosophie (et tu en as compris énormément)... Alors pourquoi ce sujet quelque peu orgueilleux qui tranche avec ton humilité ? Un raz-le-bol peut-être ?
  23. je suis d'accord avec toi blaquiere mais je dirais a la place d individualité... Identité
  24. c'est prêter à la philosophie des intentions qu elle n a pas. Pour moi elle se doit d exprimer le monde, de l expliquer... Changer le monde impliquerait une dimension politique qui ne regarde aucunement la philosophie bienqu elle induise par ses progrès une nouvelle donne. Se servir de la philosophie pour répondre à des attente permissive c'est occulter le fait de la vertu qui consiste à nmaitriser ses passions pour mieux se dominer, pour mieux se connaître et savoir ce que l'on veut, ce que l'on vaut... Et ce, toujours dans l idée de bien
  25. On peut faire des efforts extrèmes à être dans le juste milieu....
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