Enchantant

Essayez d’établir une relation entre le suicide d’un élu et vouloir établir un lien politique avec son acte, est d’une absurdité sans nom. Nous ne connaissons rien de la vie privée de cet homme, en général ce ne sont pas les revers politiques qui justifie ce genre de décision intime, mais plus vraisemblablement des échecs de vie privées.

Pour la petite blague à la mode @G2LLOQ, c'est bien connu, quand on Sem, on ne compte pas !

Pourtant le suspens est à l'apogée de l'intense, dans cette aventure hors du commun, on attend la suite des évènements avec délectation et impatience, au feuilleton suivant donc !

A lire ce sujet, toutes mes pensées émues vont vers un copain de travail disparu aujourd’hui, qui était juif et que je charriais, en l’appelant le juif à la cantonade, lorsque nous étions à la cafétaria de l’entreprise. Il n’aimait pas trop cela et j’avoue que ce n’était pas très malin de ma part. Il s’appelait Paul, un jour il vient me confier qu’il ne peut pas avoir d’enfant, car ses spermatozoïde ne sont pas assez vivace, suite à une analyse à l’hôpital Béclère. Immédiatement, je lui réponds « je suis vraiment très touché de la confiance que tu m’accorde et j’ajoute que si j’avais été à ta place, j’aurais sans doute gardé secrète cette douleur intime pour moi » A partir de ses spermatozoïdes et l’ovule de son épouse, l’hôpital Béclère réalise une fécondation in vitro. Cela réussi tellement bien qu’il vient vers moi quelques mois plus tard et me dit : "A ma place tu ferais quoi, mon épouse attend des quadruplés » Je lui réponds, tu sais cette décision de les garder tous ou un seul, est un choix exclusif de ta part et de ton épouse, pas celui d’un copain de travail. Bref, quelques mois plus tard, leur beau petit garçon arrive au monde. Puis comme la pompe était amorcé, un petit frère survint quelques années plus tard. C'est beau la vie. Lorsqu’on me parle de juif, me revient immédiatement en tête cet anecdote.

Je pense que ce sont les barbapapa les premiers, puisqu’il n’y on vu que du bleu avec l’apparition des schtroumfs ? Hypothèse la plus vraisemblable !

Je crois en résumé qu'il veut dire..."On va tous mourir" Mais pas toute suite...

Etrangement je comprends très bien ce que veut dire @Elisa* mais ce que vous écrivez est absolument imbitable pour moi ! En entrée en matière vous écrivez : Dans l’hypermodernité mondialisée, tandis que s’affrontent la perversion du capitalisme paradoxant et la paranoïa des intégrismes dans l’égale barbarie de leurs complémentaires violences, d’assourdissants silences, d’inaudibles cris, d’improbables discours tentent de faire entendre ce que le bavardage médiatique et la cacophonie numérique recouvrent de leur bruyante nullité. ( j'avoue que je n'ai le niveau pour comprendre ce que vous vous voulez exprimer) Je vois bien que vous êtes en colère, mais sans trop savoir pourquoi ?

Merci Elisa d’avoir essayé de nous faire comprendre le charabia initial du sujet. Toutes techniques nouvelles de communication transforment les rapports humains de la collectivité. Lorsque le média dominant était seulement la presse, bien avant la radio, le grand art des politiques de l’époque était de faire de grands discours pompeux et alambiqués. Au début de la radio, ces politiques de la presse papier, s’exprimaient comme à la chambre des députés avec des discours ronflants. Le journaliste radio obligé de demandé aux politiques de faire bref et concis dans leurs réponses. Puis la télévision est entré dans les foyers, nous avions le son, l’image, chacun ayant le souci de l’image, prioritairement sur le sens final du débat. Les réseaux sociaux sont à mon sens, la quatrième nouvelle révolution du monde médiatique, tout le monde ramène sa fraise, peut importe la vérité ou le mensonge des uns ou des autres, le grand art c’est de conjuguer le verbe paraitre à tous les temps et justifier son existence. Appeler ce phénomène une nouvelle dictature, c’est à mon sens excessif, mais comporte une part de vérité. A chacun de faire le tri dans ce fatras de nouvelles fausses et vraies. L’élection de Trump aux USA a des effets collatéraux, de ce que d’aucun nomme la nouvelle dictature, ils n’ont sans doute pas complètement tort. (c'est ma façon de synthétiser et de comprendre le sujet)

Bonjour pic et repic, J’ai travaillé dans le privé toute mon existence, dans ce monde-là, celui ou celle qui n’est pas efficace à son poste est viré et je trouve cela tout à fait logique et sain. Lorsque j’évoque les privilèges des entreprises publics c’est au regard de la sécurité de l’emploi dont il bénéficie. Dans le public, celui qui ne fait pas l’affaire à son poste, on le mute ailleurs, on ne le vire pas de l’entreprise, ce n’est pas ce que l’on observe dans le privé. Par ailleurs, les syndicats du public veulent surtout montrer qu’ils existent, ils s’arrangent toujours pour lancer les préavis de grève et leur pouvoir de nuisance, au moment des périodes de coups de feu d’activité, ils n’ont absolument rien à foutre de l’intérêt général et collectif, seul compte pour eux la manifestation médiatique de leur existence.

Le marché concurrentiel SNCF & VELVET (bientôt) ainsi que le réseau italien et espagnol impose logiquement la rentabilité aux entreprises. Si l'une de ces entreprises devient très concurrentielle, les autres devront licencier une partie de leur personnel, c'est la loi du genre... Les syndicats n'y connaissent absolument rien en matière d'économie, leur point de vue sur le sujet ne vaut pas tripette.

Interdire le droit de grève ce n’est pas possible. Cependant la notion de perte de salaire automatique au cours d’une grève pour des salariés relativement protégés, auquel il faudrait ajouter à mon sens, une perte financière complémentaire de la participation en fin d’année, proportionnel à la durée des grèves. Ces quelques privilégiés employés, capricieux de surcroît, ne se rendent pas compte a quel point un faible nombre d’individu peut faire de tort à l’économie générale et à la collectivité tout entière. Toucher au porte-monnaie immédiatement et en différé sur la participation (13 ou 14ème mois) est à mon sens, plus efficace qu’une loi administrative interdisant la grève.

Non bien sûr, mais j'en déduis que t'es un mec qui prétend en avoir ! (c'est un autre sujet, bien que tu n'a aucun mérite particulier de l'être, moi non plus du reste)

Si je me réfère à la définition du mérite… Caractère qui rend une personne plus ou moins digne d'éloges ou de reproches. Avons-nous un mérite quelconque d’exister et d’être en vie ? Aucun, d’autant plus que nous ne sommes même pas les initiateurs de notre naissance…

Il y a 2000 ans le tour à bois n’existait pas encore pour fabriquer des sabots, cependant les cordonniers fabriquaient des chaussures pour les particuliers, mais aussi des harnais, des selles pour les chevaux. Au service des agriculteurs, des militaires … Utiliser le cuir et les matériaux d’usages courant, ainsi que des savoirs faire d'une époque, n’est pas si absurde qu’il y paraît ! On a envie de la croquer cette pâtisserie en forme de chaussure, cela devrait inspirer les professionnelles du secteur !

Je suis d'accord avec vous et me pose cette question : "Peut-on-répondre intelligemment à une affirmation mal posée ?" je ne le crois pas... Cela dit, ne m'empêche pas d'apprécier mon ami du forum, potier, poète @Engardin

N'en jetez plus Eliza, vous me faites rougir !

Faut-il établir une relation directe entre la dimension d’un pied et la taille d’une chaussure ? Autrefois, dans les campagnes françaises, ceux qui vivaient à la ferme avaient des sabots de bois, qu’ils s’empressaient de laisser à la porte de la ferme, pour marcher avec leurs chaussures ordinaires ou leurs chaussons pour ne pas salir leur intérieur. Et si cette chaussure de taille 49 était tout simplement une grande chaussure susceptible d’en contenir une autre, pour un usage bien précis ?

Un dictateur n’est jamais élu, il s’impose par la force et la terreur, s’entoure d’une équipe qu’il charge d’éliminer physiquement la concurrence, Poutine comme les autres, vous n'avez plus le souvenir de Prigogine, Navalny, Khodorkovsky, pour ne nommer que ceux-là, parmi de nombreux autres liquidés, éliminés en douce…. vous avez la mémoire courte assurément ! La preuve irréfutable en dictature, les dictateurs restent au pouvoir des décennies sans interruption, alors que dans un système démocratique véritable, on observe une alternance cyclique des responsables politiques élus. Affirmer que Poutine a été élu par les russes, vous nous prenez vraiment pour des demeurés, vous les suppôts de Poutine ?

Appartient à la grammaire anglaise ou latine, du peu que je sais !

J'admet que je raisonne quelquefois "brut de décoffrage", mais il me semble que le bien et le mal sont indissociable de la morale, celle en général dont on se prétend le dépositaire. C'est ce que je voulais exprimer !

La valeur morale est un critère de choix qui guide le jugement moral des individus et des sociétés. Le respect de ces valeurs morales se désigne comme « le bien », l’inverse, son non respect c’est « le mal ». Ne pas faire aux autres ce que l’on n’aimerait pas que l’on nous fasse est un bon indicateur sur la moralité prétendues de nos actes. A quoi bon, faire des phrases au kilomètre ou tortiller du popotin pendant des heures, alors que chacun de nous sait parfaitement comment distinguer le bien du mal ?

et le tort tue...p'taing j'ai mis une plombe à comprendre !

Pour les régimes dictatoriaux comme l’Iran, la Russie, le Chine, la Corée du Nord, le Hamas à Gaza, les otages sont des monnaies d’échanges d’un rapport de force diplomatique en cours. Les procès inventés de toutes pièces contre des individus, notamment en ex-URSS à l’époque de Staline étaient utilisés pour entretenir la terreur et la peur des opposants. Le drame absolu pour les 30 prisonniers du Hamas à Gaza ou bien celui de nos deux ressortissants français en Iran sont de même nature, pour ces régimes-là, ne plus avoir d’otages c’est ne plus rien avoir comme pression diplomatique d’échange. Pour cette triste et évidente raison, nos deux compatriotes ne sont pas prêt de sortir des geôles iranienne.

Je n’ai pas lu l’article, mais cela me semble tout à fait normal que des réfugiés contraints comme peut l’être une communauté déplacée pour raison de guerre, ait un profond désir de retrouver son territoire, ses traditions, son climat, une façon d’être et de penser ensemble, qui donne à chacun des membres un sentiment d’appartenance et de sécurité. Ce qui n’a rien de comparable avec des réfugiés économiques et c’est bien dommage.

Vérifier deux choses... (peut-être ?) Réinitialise ton ordinateur en l'éteignant puis en le rallumant ? Accepter de recevoir les cookies du fofo, c'est souvent la condition d'accès à un site ? Si cela ne marche pas...laisse pisser le mérinos !