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Appel à la haine contre les français ! "mon pays c'est l'Algérie !"
echoo a répondu à un(e) sujet de Le martien dans France
Ce qui est clair, c'est que ces soit-disant citoyens français ne sont français que sur le passeport et les papiers de la sécu. Il n'y pas une once d'attachement à la France, contrairement à d'autres communautés arrivés en France il y'a plusieurs decenies . De plus de quel peuple au juste parles-tu? Du peuple français? Des algériens nés en France? Ben ils sont Français ou Algériens? Un peu des deux quoi, selon le plus avantageux... Et le pire du pire, c'est que tous ces petits connards qui crachent sur la France, brandissent le drapeau algérien sans y avoir foutu les pieds sons très souvent décriés par les algériens d'Algérie. Je bosse avec eux tous les jours. Je l'entends assez. Perso. je considére en toute objectivité que cette "catégorie" de citoyens français mérite une prise en charge sérieuse sur tous les plans.Il s'agit d'une troisiéme génération et la question qui mérite d'être posée consiste à connaitre les véritables raisons qui déclenchent ce genre de comportements négatifs au sein d'une société développée.Pour ma part je ne vois que les résultats d'un échec d'une politique d'intégration qui a fait naitre des citoyens de seconde zône.Des laissés pour compte qui se rebiffent pour "geuler" leurs frustrations a qui veut bien les entendre. En la matiére, il s'agit d'être humains marginalisés,sans considération qui veulent s'affirmer à travers le langage de la violence contre une politique d'exclusion. Il y a bien des franco-algériens qui ont bien réussi leur vie pour devenir de "véritables champions" dans divers domaines.Ils ne sont jamais cités comme bons exemples. -
Appel à la haine contre les français ! "mon pays c'est l'Algérie !"
echoo a répondu à un(e) sujet de Le martien dans France
Moi non plus, n'étant pas d'origine algérienne. Je suis "algérien d'origine" et dire des "conneries" pareilles aux votres ne fait pas partie de mes "gênes algériennes"... Mais il m'est bien arrivé dans mon passé de me rendre allergique aux personnes originaires de ce pays. Pareil pour moi, a l'ecole etant gamin,ce n'été pas facile, surtout a Marseille, mon seul tort : etre européen, a toute les récrées ils me tombaient dessus !!! Je détesté l algerie sans avoir mis un pied la bas !!! Bref un tres mauvais souvenir de cette période,a cause d'eux !!!:bad: Faut pas faire d'amalgames et faire des procés d'intention et extrapoler à partir d'un fait divers pour mettre au pilori tout un peuple, surtout dans la mesure où on n'a jamais mis les pieds dans ce bled. "Les gus" incriminés sont des "produits made in France" et,en tant que tels, s'il y a un quelconque "défaut de fabrication" , la faute est à imputer à l'usine . Et dans dans ce process,l'algérie n'est pas responsable des comportements des citoyens français et encore moins constituer une poubelle pour accueillir les déchets d'une autre société.. c'est clair ? -
Je ne sais pas trop pourquoi, mais la seule citation qui se présente à mon esprit et qui résume un peu mon "ressenti" à la lecture de ce beau billet : «Je voudrais rassurer les peuples qui meurent de faim dans le monde : ici, on mange pour vous.» (Coluche) Bon appétit !! :D
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Merci Eclipse :) Savais pas que j'ai tant de succés Je caricature pour me défouler,une façon à moi de "m'éxorciser" et partager quelque peu certaines vérités étouffées. Non franchement,je n'ai pas de projet d'expo (du moins dans mes priorités), pour l'instant. Peu être un théatre au "douar" j'y pense beaucoup ces derniers temps
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Resalut " Zozote" Ce matin,je me suis réveillé en forme,le coeur léger comme celui d' un pinson amoureux à l'approche du printemps. Because ? mon ami "georges l'immigri à la bavette rouge" a donné signe de vie.Il a toujours l'oeil vif, brillant et sifflote bien ,signes d'une bonne santé. Avant de quitter mon lit douillé , je me suis permi un instant de plaisir pour donner libre cours à mon imagination farfelue pour "usurper" la place de mon ami le volatil migrateur. Dans mon rêve insensé,je me suis vu partir comme lui , sans regarder en arriére,sans bagage et sans visas ,vers "Labamieukici", pour sillonner en toute liberté un monde sans haine et sans frontiéres avec, comme seul viatique,la paix et l'amour fou qui emplit mon coeur ,et que j'ai décidé d'ouvrir et d'offrir à qui veut bien en prendre... Rêve insensé qu'est le mien , moi qui cherche en vain à suivre le printemps à la trace et apprivoiser la liberté enfermée dans un douar merdique. Comme un rituel,avant même de goûter aux joies de mon petit déjeuner,je sors d'abord toutes mes "antennes" pour aller aux nouvelles du jour : - "un écolier de 11 ans a été retrouvé pendu à un arbre au douar x ", - "un écolier de 11 ans a été retrouvé pendu dans sa chambre au douar Y ", - "un écolier de 13 ans a été retrouvé pendu ..........au douar Z" , Une enquête a été ouverte pour élucider ces trois drames survenus en l'éspace de 2 jours dans la même localité. Se sont ils donné le mot pour conjuguer le verbe se pendre à la premiére personne ? Pourquoi ces suicides en pleine période de vacances scolaires ? En 2011, 47 cas de suicides ont été enregistrés dans la localité. Tous étaient des adultes".Maintenant que des mioches se mettent de la partie,il y a urgence en la demeure! - "Un officier de police a démontré tout son savoir faire de fonctionnaire abruti .Dans les locaux du commissariat, il aurait porté de manière grave à la dignité d'un jeune interpelé en lui caressant le visage avec son sexe.Ce geste a déclencher une manifestation dans le quartier pour protester... " -"Le célèbre psychiatre,le professeur B.R. n’est plus. Il est mort ce vendredi des suites d’un malaise cardiaque. Le collogue international de psychiatrie (prévu à la ville où ont eu lieu tous ces evênements) a été reporté à une date ultérieur". "Il y a un mois, il a participé à un congrès national sur la santé mentale des enfants et des jeunes où il avait présenté l’état des lieux sur ce sujet." - Un entrepreneur a été enlevé au douar, ce qui porte le nombre de cas de kidnappings dans la localité ,à 67 depuis 2005 soit une moyenne de 10 cas par an.Tout le douar est mobilisé pour réclamer sa libération sans conditions... (finalement j'apprends qui vient d'être libéré ) Le kidnapping est une profession qui rapportent gros et constitue une " monnaie courante" au douar. Par contre,les psychiatres sont tous au chômage forcé à cause des tabous . -"un taré djihadiste franco-salafiste ,tue froidement 7 personnes dont 3 collégiens juifs à Toulouse pour se faire plaisir et entrer au paradis d'office, sans visas..." A l'heure actuelle,il est entrain de goûter aux joies de l'enfer. - "un caporal de l'armée Malienne , autoproclamé chef ",a déstitué son président ,un certain ATT,suspend la constitution de son bled, et projette d'étaler sa mrde à toute la région ". "Dorénavant jusqu'à désormais,dit il avec ses copains,nous allons nous armer un peu plus pour régner sur le bled en ajoutant une couche de plus à la sinistrose imposée par "el qaida" dans la région. "La tri-partite africaine" concernée de prés et de loin s'est réunie en urgence pour : "entendre" ",voir et éxaminer" de trés prés la situation, avant de balbutier son unique premier et dernier mot, à qui veut bien l'entendre",bien sûr. Il faut agir vite avant que la "mrde" ne prenne des proportions incontrôlables et ne finisse par se mélanger au pétrole de la région.... "Scuse-moi "zozote" ! J'ai comme une petite larme à l'oeil et, sans ta présence à mes côtés, je risque à tout instant de déposer les armes pour me mettre à cultiver des fleurs ou des pois-chiches! C'est plus poétique,plus cool et çà rapporte gros au douar . Oui ! çà commence vraiment à sentir mauvais et c'est pour çà que Je préfére ( avec tous mes respects), tirer 3 fois la chasse pour passer à autre chose,mon sujet favorit : l'humour et la dérision. "Une exposition commune de dessins de presse de caricaturistes algériens et français a été inaugurée jeudi soir à la Bibliothèque nationale de France (BNF) à Paris, devant un public nombreux et visiblement séduit par la liberté de ton des caricatures présentées. Organisée à l'initiative de l'Association France-Algérie, présidée par Jean-Pierre Chevènement, cette exposition parcoure cinquante ans d'histoire de relations entre les deux sociétés algérienne et française à travers un regard chargé d'humour et de dérision de douze caricaturistes. Dimension politique, culturelle, économique, historique, les multiples volets des relations algéro-françaises ont été abordés avec humour et sobriété par Haroun, père du héros de M'kideche, le Hic (Baba-Ahmed Hicham), Nasser, Rachid Djellal, Massinissa Selmani, et les caricaturistes français Plantu, Loup, Aurel, Coco, Valère et Wingz. Cruelles, tendres, moqueuses et cyniques, mais aussi chaleureuses et passionnées, les caricatures exposées, déjà parues dans la presse algérienne et française, ou bien inédites, rendent compte des évolutions qui apparaissent au fil des générations, et proposent une lecture en images des relations entre l'Algérie et la France. "Pour illustrer les relations complexes entre la France et l'Algérie, le dessin de presse nous a semblé une bonne porte dÆentrée", ont déclaré les commissaires de l'exposition à l'APS. "On voulait de l'humour sur le regard croisé des Algériens sur les Français et des Français sur les Algériens pour rester dans une perspective amicale et détendue", ont-ils ajouté. "L'exposition a aussi pour ambition d'apporter un message d'amitié et de confiance dans l'avenir des relations franco-algériennes et cet espace offert aux dessinateurs en est un témoignage", ont-ils encore expliqué. A travers cette exposition, l'Association France-Algérie a également voulu apporter des éclairages sur le degré de liberté d'expression qui prévaut dans la presse algérienne et dévoiler au public français la qualité de ses caricatures de presse". Je quitte Paris pour revenir à mon douar. D'aprés "Fifi la géologue",le "douar" s'est formé accidentellement par simples plissements tectoniques ,l'érosion ayant fini avec le temps de modeler le relief pour lui donner sa forme "bêbête" actuelle,celle d'un chameau accroupi ,la tête toujours dans les nuages et les testicules coincées entre l'oued et le grand rocher. La "bêbête" est restée figée dans cette posture depuis la nuit des temps et semble se complaire dans cette position pour vivre sa vie à l'écart de l'évolution du monde . Les langues fourchues prétendent qu'il a adopté cette tactique comme stratégie pour faire face aux invasions répétitives,plus particuliérement celle des "Banou Hillal" ,qui ont tout fait pour phagocyter son âme. Chameau qu'il est,il est tétu et s'en moque du temps qui passe et des bouleversements tectoniques qui risquent tôt ou tard par finir à lui tordre le cou. "Fifi la géologue" n'aime pas le chameau.Il a une forme bizarre et disgracieuse avec ses bosses,un cou en forme de spaguetti mi- cuit,sans parler d'un museau biscornu. Et quand il blatére,il ne peut s'empêcher de baver,et on ne sait pas s'il rit ou s'il pleure . Il est affreux, dit elle. Notre amie " Fifi la géologue" est une experte qui a bien analysé la situation et qui sait de quoi elle parle quand il s'agit de chameau surtout avec une c..... enfouie dans le lit d'un oued . En tout cas,moi je lui fais confiance dans ce domaine et dans bien d'autres,puisqu'elle à su défaire la corde fixée à sa patte pour retrouver sa liberté d'éternelle amoureuse. Elle ne le cache pas et le déclare ouvertement à travers ses beaux yeux. Un véritable régal que celui de plonger dans son doux regard pour chercher un moment d'évasion loin des tabous hypocrites et autres clivages politico-religieux qui empoisonnent notre vie au douar ! La queue du camelidé , constituée d'une forêt d'oliviers centenaires , a été ravagée en partie par un incendie au mois de juillet dernier,en attendant la suite l'été prochain. De toute façon ,une armada de bull-dozer et autres engins de terrassement sont à pied d'oeuvre pour détruire à jamais ce qui a été épargné par le feu pour faire passer la nouvelle " bretelle" contournant la ville, "el billage" ,comme aiment la nommer les gens du douar. Prenant naissance juste sous la couille du chameau, "El-Billage" s'étend, ou plutôt s'affale, le long de l'oued ,dans toute sa laideur ,comme une matrone étalée sur son sofa,sa "paillasse" usée par les " va-et-vient" incessants d'une clientéle en mal de vivre ,pour partager toute ses frivolités avec ses privautés, en attendant le dernier client retardataire , avant de fermer boutique pour enfin compter tranquillement le contenu du tiroir caisse. A peine le soleil couché ,les retardataires pressent le pas pour rejoindre au plus vite leurs "sweet-home" et laisser le champ libre aux vagabonds nocturnes de tous bords et de tous poils. C'est le moment que choisit " Gros nez" pour sortir de sa taniére pour aller inspecter ses quartiers,verifier son bornage, marquer son périmétre pour prévenir toute intrusion dans ce qui fait son territoire exclusif l'espace d'une nuit. "Gros Nez" a pris la place de "chkoupi" emporté dans son sommeil par le froid de l'hiver. Ceux qui l'ont côtoyé disent "qu'il a décroché le gros lot,le veinard" , en quittant précipitamment l'enfer du douar. Même "Niaka" sa concubine occasionnelle n'a pas versé une seule larme . Elle lui préfére "Big Noise"! Sdf de pére en fils,il a l'avantage d'être un peu plus philosophe malgré son air abruti. Tout le monde se rappelle le jour où "Niaka" et "Chkoupi" ont traversé le douar collés l'un à l'autre,queue contre queue,"Niaka" faisant office de "draisine" pour entrainer "Chkoupi" en marche arriére forcée ,dans une position impudique des plus inconfortable. De toute sa vie de chien sdf, "Chkoupi" n'a jamais subi une telle humiliation en publique au point de maudire l'instant où il mis pied dans ce bas monde pour voir son "machin" bloqué dans la "machine" de "Niaka".Plus il tire,plus elle serre comme un systéme de noeud coulant; Il a essayé toutes les astuces pour ce liberer de cet engrenage mais en vain.De guerre las et dégouté par son état "de post Niakatum animal triste" il se laisse entrainé par sa partenaire sans trop réagir ,ses pattes arriéres touchant à peine le sol comme une brouette. Ce jour là, "crache partout" ne savait plus quoi faire pour séparer le duo, et mettre un terme au spectacle inédit qui se jouait juste devant ses yeux . Les premiers coups de savate commençaient à pleuvoir sur le dos du malheureux "chkoupi" qui n'a dû son salut qu'à l'intervention inattendue et providentielle de madame "crache partout" qui a remis en place son mari. Aprés avoir cracher deux fois sur ce qui porte atteinte à sa vision pudique,le mari ajuste son turban et s'engouffre tête baissée dans sa chaumiére en grommelant quelques mots inaudibles,du genre "ahoudu billah min chitane radjim"(qu'Allah me protége contre satan le lapidé) Contrairement à son mari,force est de reconnaitre que madame "crache partout" adore les canidés qui se pratiquent librement ,comme ils l'entendent. Oui,les pratiques amoureuses recelent toutes cette noblesse que seuls les coeurs tendres et sensibles savent apprécier à leur juste valeur.Il ne faut jamais contrarier la nature dans ce qu'elle a de plus beau : l'amour !. A ce sujet, "chkoupi" est entré par la petite porte,presque par effraction, dans les "annales sexo" du douar. "Big -nose " est trés méthodique,trés méticuleux et ne laisse rien au hasard et reproduit exactement les mêmes comportements que "feu Chkoupi". Dans son ratissage,il passe tout au peigne fin en surfant avec délicatesse sur chaque pouce de son iténéraire. D'un simple clic,il dépose son premier "zig" juste au pied du premier lampadaire point de départ de son parcours,alors que le "zag", plus consistant, sera largué un peu plus loin, juste à l'angle de la premiére rue marquant les limites de son quartier général.. Arrivé à ce point précis, il pousse son cri de guerre rituel ,fàçon de signifier qu'il est toujours là,autoproclamé maitre des lieux ,incontestable Jusqu'au petit matin où il céde son royaume aux humains et rejoint son gîte la queue bien collée entre les jambes. Dans ses rêves de corniaud, il passe et repasse sans cesse les images de "Laika" ,cette "chienne aboyeuse" qui a été la premiére à faire jadis le tour de la terre sur le premier vesseau spacial habité, bien avant les hommes. C'était un certain 13 novembre 1957. Il en tire une certaine fiéreté en poussant un "hurlement nostalgique" pour faire chier "El Billage" qu'il n'a jamais quitté depuis sa naissance... à suivre...
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Donc en fait quoi qu'il arrive c'est de la faute de la France. Pratique. La faute est à imputer à "El Gaida" ? A ce que je sache,le "gus" est un citoyen français. Je ne connais pas son C.V ,ni son parcours idéologique mais tout porte à croire que les "services français" connaissaient parfaitement les penchants "djihadistes" de ce citoyen,comme ils doivent en certainement connaitre d'autres radicaux muslims et autres activistes qui n'attendent que le moment prpice pour passer à l'action. Sans parler des lieux d'endoctrinement au niveau du territoire français et sur la toile du web qui sont répertoriés et évalués.
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Les réponses à tes questions sont résumées dans mon intervention par un seul mot et "constat d'échec de la politique d'intégration tant pronée par les différents gouvernement français". La france est une république "mére des droits de l'Homme et du Citoyen" qui posséde tous les moyens de sa (ses) politique(s)capable de prévenir ce phénoméne d'intégration bien longtemps,la France étant une terre d'accueille des flux migratoires issus de ses anciennes colonies.Je ne vis pas en France et pourtant,je m'efforce de maitriser les autres langues dont le français et je ne développe aucun compléxe pour dire que mon petit douar est le centre du monde au même titre que Paris ou NY. A mons avis, les marginaux qui détestent leur "pays adoptif" sont d'aprés ma vision des choses,de pure produits sociaux fabriqués par ce même pays qui les à vu naitre et au sein duquel ils vivent.La tare est à imputer au systémes politique économique et social qui a engendre des disparité au sein de la communauté française au point de faire naitre des frustrations chez les exclus. Ce n'est qu'une simple opinion parmi d'autres hypothéses.
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L'esprit xénophobe à la tête dure.Il persiste et signe en reproduisant les mêmes "avatars" qui ont creusé les fossés entre les peuples,les communautés ,de races et de religions différentes vivant sur le même territoire ( français) ou en dehors (surtout issues des anciennes colonies maghrébines). Les mêmes erreurs de discrimination ont été faites par la France coloniale en algérie en instituant deux colléges distincts sur un même territoire,au sein d'une même république qui fait la séparation entre français (citoyen à part entiére) et "français musulman" (citoyen indigéne de seconde zône),la mention de la religion musulmane étant portée sur la carte d'identité des "sujets" français colonisés,documents d'état civil institués par la république française sous le triptique Liberté,Egalité Fraternité. Mentionner qu'un tueur "psycho- terroriste" auteur d'un fait criminel est "un français d'origine algérienne" , n'est pas tellement innocent en soit et vise à stigmatiser , à créer des amalgames pour renforcer les clivages et exacerber encore plus l'esprit communautariste néfaste au sein des citoyens vivant sous l'égide des mêmes principes républicains. C'est du moins la lecture que j'en fais de cette mention : "produit social d'origine autre que...,véhiculant dans son patrimoine génétique ancestral violence et systéme cultuel incompatible avec nos valeurs hautement civilisatrices..) Peut être une maniére de dévier le regard pour dédouaner les Gouvernants face à leurs echecs en matiére de politique d'intégration des générations issues de l'immigration,pourtant citoyens français, nés en france,étudient en france, endoctérinés en france,se marient en France,procraient en France ,tuent par conviction idéologique en france et sont soumis au mêmes droits constitutionnels français. Nous savons que les idéologies n'ont pas de frontiéres et peuvent prendre racine et croître et prospérer comme des mauvaises herbes là où elles trouvent un terreau favorable, à savoir le laxisme et l'absence de l'Etat. C'est le gouvernement français,responsable de la sécurité de ses citoyens qui est à pointer du doigt,qui a faillit à ses responsabilité et qui n'a pas sû anticiper sur les deux attentats successifs surtout dans la mesure où le ou les auteurs présumés étaient connus et fichés par les services de sécurité. Ce qui explique la célérité à retrouver la trace du tueur. Criminel de nationalité Y,d'origine X ne constitue qu'un leurre déstiné à la consommation éléctoraliste.Un genre de plécébo politique qui n'a qu'un effet psychologique en cette période électorale où tout est permis. Dans mon bled à moi,nous sommes des millions d'hommes et femmes à tier plusieurs fois par jour "la chasse" pour faire disparaitre cette mrde salafiste. C'est un combat quotidien,civilisationnel pour faire la part des choses au sein de "l'islam unique et authentique" en tant que religion révélée universellement reconnue d'une part , et d'autre part, la multitudes de pseudo-musulmans,faux devots,charlatans salafistes,fondamentalistes véhiculant des idéologies archaiques et criminelles qui portent atteinte à toute l'humanité islam compris.Avant de conclure je tire encore une fois "la chasse".
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D’une théorie de la propriété, ou la possession.
echoo a commenté un(e) billet du blog de Mazzepa dans La mine
Les comportements de l'Homme sont régis par la cupidité. Il est de nature humaine de vouloir posséder les trois éléments qui font le propriétaire :l'abusus,l'usus le fructus (et + si affinité) : ma voiture,ma femme,mes voisins,ma maison, ma ville, mon douar... En chacun(e)de nous sommeille un "Pacha" boulimique. -
Un sujet à consommer cru ,tel quel, sans assaisonnement,seulement avec les mains et les yeux sans faire intervenir "autre chose" en dehors du Je parle de la pose évidemment
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Salut Camille :) Moi, en situation de "blues", je n'arrive pas à me concentrer pour lire.Dans ce cas,je préfére prendre dans mes bras ma guitare pour lui faire un tas de confidences à la faire pleurer.Une fois fait,j'essuie mes propres larmes qui font vibrer ses cordes et,comme par magie, tout rentre dans l'ordre comme si de rien n'était
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Une simple petite caricature de Ayoub pour mieux illustrer le "binôme" islamiste fondamentaliste:
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Je pense que tu viens de résumer tous les principes républicains qui régissent la vie dans une société laique plurielle[/u]. Pour le reste,en matiére de religion ou tout autre idéologie,chacun peut voir "midi à sa porte" comme bon lui semble en fonction de ses convictions intimes,sans empiéter sur la liberté des autres. Force demeure à la loi qui doit s'imposer en toute circonstance. Personne ne détient (ou tout le monde prétend détenir) la vérité absolue dans un "milieu mystique" dominé par le maraboutisme et le charlatanisme médiéval. Dans notre monde moderne,les choix idéologiques se paient trés chér et ne font qu'enfoncer d'avantage certaines "sociétés fondamentalistes tétues" pour creuser encore plus l'ecarte de leur retard par rapport au monde émancipé. Dans ce monde,le voile,le kamis , la barbe ou tout autre accoutrement camisolé ne font pas l'islam.De même que l'interdiction faite aux femmes musulmanes de conduire un véhicule...ou de regarder droit dans les yeux un homme...Ce ne sont que mensonges forgés par des "pseudos muslims" et autres nervis ignorant l'apport des religions à l'enrichissement du patrimoine culturel universel. De même que l'habit ne fait pas le moine,il ne peut faire l'islam et le musulman(e) authentique .L'ignorance a de beau jours ....
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Merci Eclipse ! :) j'apprécie également beaucoup tes oeuvres d'art et tes billets.ça fait "belle lurette" que tu t'es "éclipsée" du blog.Faut revenir sans trop tarder.
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Chez l'animal le mal est absent. Pourquoi est-il présent chez l'homme, qui en est aussi un ?
echoo a répondu à un sujet dans Philosophie
Le mal est un concept forgé par l'être humain pour le distinguer du bien. Ces deux notions se disputent la place dans la conscience humaine codifiée dans la vie en société. L'animal n'a pas de raison,ni de morale ou un retour de conscience quelconque et ne ressent pas les effets de ses "crimes". L'animal obeît à ses seuls instincts pour assurer sa place dans son environnement et quand ces instincts font défaut,il risque gros face aux prédateurs.Sa seule morale est celle des lois naturelles et quand il tue,c'est pour manger,se défendre ...sans le risque d'une poursuite pour meurtre ou crime.Quelque soit son comportement,il est innocenté par son statut d'animal,à la différence de l'être humain qui distingue entre le bien et le mal d'une façon innée. bonsoir echoo ton message correspond très bien il rationnel sauf peut être cette phrase que je comprend mal si tu pouvais t'expliquer ou développer (à la différence de l'être humain qui distingue entre le bien et le mal d'une façon innée.) dans l'ensemble j'adhère pour le reste de ton message.... Je ne suis pas expert en comportements animaliers mais je pense que tout est lié à l'hérédité.Chaque espéce recueille ,conserve et transmet dans ses génes toutes les "données" permettant la survie et la conservation de l'éspéce.Avec le temps l'instinct de conservation est mis dans l'obligation,la necessité de se développer pour affronter des situations mettant en péril l'espéce ; dans le cas contraire,l'animal perd ses capacités naturelles devant le danger et l'espéce risque de disparaitre face à la concurrence (cas des animaux domestiques qui ne peuvent vivre et perpétuer leur espéce dans un milieu sauvage : expl. lacher les poules ou les moutons dans la nature en présence de prédateurs. A la différence de l'animal,l'être humain est avantagé par sa "cervelle" qui a accumulé des connaissances dans tous les domaines pour les transmettre à son espéce. Le bien qui s'oppose au mal s'est inscrit comme constante dans les génes humaines, civilisé ou non.Ce dilem (rapport bien/mal) est sanctionné par la morale qui est le propre de l'Homme.En définitif,l'Homme avec sa morale innée (inscrite dans ses génes) n'est qu'un animal religieux,doué de raison qui rétablit l'équilibre avec l'instinct inné. Désolé je rejoint femzy quand il dit : d'une part le MAL dont tu parles est une notion PUREMENT humain. c'est NOUS les hommes qui decidons ce qui est mal et ce qui est bien. il a raison le mal n'est pas innée chez l'animal puisque c'est un concept humain. Nous sommes éxactement sur la même longueur d'ondes quand j'écris : "le mal est un concept forgé par l'être humain pour le distinguer du bien...L'animal n'a pas de raison,ni morale..obeit uniquement à ses instincts pour..." Désolé tu dis: l'Homme avec sa morale innée (inscrite dans ses génes) n'est qu'un animal religieux,doué de raison qui rétablit l'équilibre avec l'instinct inné. Absolument pas, l'homme est déterminé par ses actes au gré des circonstances. Ce qui importe c'est d'élaborer une conception de la morale en fonction de principes éthiques dicté par une vision du monde qui implique une pratique de la raison. En dehors de l'êspéce humain,aucune autre espéce vivant sur terre n'est en mesure de conceptualiser par son intelligence les deux notions bien/mal , de les définir,de les programmer dans le temps et dans l'éspace ,à court,moyen et long terme et d'en évaluer l'impacte(sur tous les plans econom,politique,culturel...) sur sa propre espéce,les autres et sur l'environnement en général. Si certaines espéces animales anticipent sur la prévision des événements,c'est beaucoup plus par instincts innés,inscrits et véhiculés à travers les âges dans leur patrimoine génétique (mouvements migratoires,constitution de reserve pour l'hiver....).Ces instincts peuvent être modifiés par l'homme. (Ce qui différencie l'abeille d'un architecte expérimenté,c'est que l'abeille est capable de construire à l'identique, instinctivement sans faire appel à une table de dessin : tous ses gestes sont précis répertoriés dans son patrimoine génétique.Il n'en est pas de même pour l'architecte qui doit passer par l'école pour apprendre et transmettre son savoir). Chez l'Homme, la raison permet de freiner l'instinct ; quand il y a déséquilibre (penchant au mal) la raison intervient pour s'opposer. Puisque nous sommes dans une approche philosophique sur le sujet,je me permet de spéculer pour dire que les "notions de mal et de bien" ,sont nées au "Paradis" et , la "terre" ignorait ces deux antagonistes avant d'accueillir l'Homme,derniére espéce venue pour suplanter les autres en bien et en mal. Cette notion de mal est née du péché originel commis par Adam et Eve qui l'ont ramené dans leur "besace" aprés leur expulsion vers la terre ; Ils ont été jugés coupables en transgressant l'interdit et ont reçu une punition du "Maitre absolu" qui leur a promi le retour au "Paradis" en échange du bien . Je baigne peut être dans une pensée mystique mais les conséquences du mal sur la génération Adam et Eve sont catastrophiques sur le genre humain lui même,les régnes animal,végétal et minéral. Contrairement à l'animal qui n'obeit qu'à son instinct,l'humain raisonne.Quand l'instinct l'emporte sur la raison,l'humain se rapproche de l'animal, de la bête.Dans ce cas,comme une bête , il n'eprouve aucun remord,aucune culpabilité d'avoir fait du mal.Même face au bien,certains esprits n'eprouvent aucune quelconque satisfaction.Par contre ils "jouissent" en faisant du mal d'une maniére prémédité. Contrairement à l'animal, l'être humain (sic !) est capable du pire en pratiquant la guerre destructive et la torture surtout sur sa propre espéce.Il est déclaré coupable par sa propre morale et demeure responsable de ses actes.Par contre,l'animal est irresponsable puisqu'il n'est pas en mesure de dicerner entre le bien et le mal -
Merci Fidélia ! Puisque tu ressens quelque chose et apprécie ma "ratatouille",tout le plaisir est pour moi.
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Chez l'animal le mal est absent. Pourquoi est-il présent chez l'homme, qui en est aussi un ?
echoo a répondu à un sujet dans Philosophie
Le mal est un concept forgé par l'être humain pour le distinguer du bien. Ces deux notions se disputent la place dans la conscience humaine codifiée dans la vie en société. L'animal n'a pas de raison,ni de morale ou un retour de conscience quelconque et ne ressent pas les effets de ses "crimes". L'animal obeît à ses seuls instincts pour assurer sa place dans son environnement et quand ces instincts font défaut,il risque gros face aux prédateurs.Sa seule morale est celle des lois naturelles et quand il tue,c'est pour manger,se défendre ...sans le risque d'une poursuite pour meurtre ou crime.Quelque soit son comportement,il est innocenté par son statut d'animal,à la différence de l'être humain qui distingue entre le bien et le mal d'une façon innée. bonsoir echoo ton message correspond très bien il rationnel sauf peut être cette phrase que je comprend mal si tu pouvais t'expliquer ou développer (à la différence de l'être humain qui distingue entre le bien et le mal d'une façon innée.) dans l'ensemble j'adhère pour le reste de ton message.... Je ne suis pas expert en comportements animaliers mais je pense que tout est lié à l'hérédité.Chaque espéce recueille ,conserve et transmet dans ses génes toutes les "données" permettant la survie et la conservation de l'éspéce.Avec le temps l'instinct de conservation est mis dans l'obligation,la necessité de se développer pour affronter des situations mettant en péril l'espéce ; dans le cas contraire,l'animal perd ses capacités naturelles devant le danger et l'espéce risque de disparaitre face à la concurrence (cas des animaux domestiques qui ne peuvent vivre et perpétuer leur espéce dans un milieu sauvage : expl. lacher les poules ou les moutons dans la nature en présence de prédateurs. A la différence de l'animal,l'être humain est avantagé par sa "cervelle" qui a accumulé des connaissances dans tous les domaines pour les transmettre à son espéce. Le bien qui s'oppose au mal s'est inscrit comme constante dans les génes humaines, civilisé ou non.Ce dilem (rapport bien/mal) est sanctionné par la morale qui est le propre de l'Homme.En définitif,l'Homme avec sa morale innée (inscrite dans ses génes) n'est qu'un animal religieux,doué de raison qui rétablit l'équilibre avec l'instinct inné. -
Chez l'animal le mal est absent. Pourquoi est-il présent chez l'homme, qui en est aussi un ?
echoo a répondu à un sujet dans Philosophie
Le mal est un concept forgé par l'être humain pour le distinguer du bien. Ces deux notions se disputent la place dans la conscience humaine codifiée dans la vie en société. L'animal n'a pas de raison,ni de morale ou un retour de conscience quelconque et ne ressent pas les effets de ses "crimes". L'animal obeît à ses seuls instincts pour assurer sa place dans son environnement et quand ces instincts font défaut,il risque gros face aux prédateurs.Sa seule morale est celle des lois naturelles et quand il tue,c'est pour manger,se défendre ...sans le risque d'une poursuite pour meurtre ou crime.Quelque soit son comportement,il est innocenté par son statut d'animal,à la différence de l'être humain qui distingue entre le bien et le mal d'une façon innée. -
22 mars, J+1 du printemps et, par les temps qui courent,les printemps étant trop beaux pour s'inscrire dans la durée,il faut en profiter à plein tube; C'est tellement éphémére... Et,c'est pour çà que je te dis dores et déjà sans attendre : à la tienne par anticipation
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Salut "zozote"! Aujourd'hui je suis triste. Il y a de ces mauvais moments dans notre vie qui s'imposent avec brutalité pour nous tirer de notre torpeur pour nous retrouver face à face avec les tristes réalités qui souillent les profondeurs de notre âme. Les effets de ces réalités remontent du tréfond abyssal de notre moi ,comme des bulles putrides chargées de nausée, pour éclater à la surface du conscient. Et,paradoxalement, c'est ce moment là qui m'inspire le plus pour étaler en vrac,d'une maniére désordonnée,parfois chaotique toutes les idées,pour ne pas dires frustrations, qui se bousculent et s'entrechoquent pour sortir de ma tête comme un troupeau en déroute. Je n'ai pas le temps de m'imposer une discipline,un ordre de travail quelconque dans mes écrits à tel point que les lettres de mon clavier sautent souvent "du coq à l'âne".Et pour ne pas blesser inutilement certaines sensibilités,j'use et abuse volontier de métaphores ou de paraboles pour extirper et rendre lisible ce qui tourmente mon esprit. Salut "Zozote"! Tu nous manques cruellement . Ton départ a laissé un vide sidéral au "douar" mais pas dans nos coeurs où tu occupes toujours une place de choix. Ton absence me pése et c'est maintenant que je me rends compte que tu constitues une piéce maitresse dans mon échéquier ,toi qui m'a toujours encouragé à continuer vaille que vaille,la partie qui s'annonce dure,trés dure . Ta douceur a toujours su comment enterrer le cafard le plus tenace qui me colle aux c.. ,et tes doux " zozotements" qui effleurent mon oreille me font oublier jusqu'à ma propre existence en transformant en delices mes cauchemards les plus cruels.Tu as toujours su comment mijoter une "recette" pour temperer mes ardeurs face aux évênements imprévus et aux cas de force majeure. Et pourtant ,j'ai toujours conserver la tête froide pour me tirer d'affaire sans trop de dégats.. C'est sous la lumiére vacillante d'une bougie que j'ai décidé d'écrire ce petit billet pour sentir virtuellement ta présence et me tenir compagnie en cette soirée glaciale.C'est ma maniére à moi de galvaniser mes énergies,de rassembler mes forces pour organiser mes ripostes face aux "forces retrogrades". Dehors,il ne cesse de neiger et le manteau blanc a atteint des proportions trés inquiétantes.J'ai ce qu'il faut et paré pour tenir longtemps le siége ..Beaucoup ont été pris au dépourvu par la tempête de neige ,pourtant annoncée par BMS,pour sombrer dans la précarité pendant une bonne semaine: routes bloquées,pas d'éléctricité,pas de gaz ,pas de " bouffe",pas de plan Orsec pour vous tirer de la mrde..C'est la panique au "douar" et chacun y va de sa propre recette pour se tirer d'affaire en fonctions de ses propres moyens. Mon ami "george l'immigri" , le rouge gorge,n'a pas donné signe de vie depuis hier et je suis trés inquiét pour lui. Depuis qu'il a débarqué,il n'a pas quitter les environs et le bord de la fenêtre où il recevait sa part habituelle de nourriture. J'ai vraiment le cafard sans lui et ne cesse de ruminer des idées noires; Est-il parti ailleurs ? serait il ....? je n'ose l'écrire,ce maudit mot !et refute cette hypothése! Celle de ne plus revoir définivement cette boulette de plumes insignifiante ,mais combien adorable avec sa bavette rouge... Aujourd'hui j'ai reçu la visite de " fifi la géologue" accompagnée de sa cousine "Garmia". Elles m'ont offert des galettes chaudes que nous avons dégusté ensemble avec de l'huile d'olive et des figues séches.C'est un véritable délice et une bonne source d'énergie. Aprés concertation ,nous avons formé un petit noyau trés efficace pour réconforter et porter assistence aux autres plus particuliérement aux personnes âgées et seules,en attendant la réaction des autorités " d'El bilage" qui tardent à se manifester, sûrement dépassées par l'empleur du phénoméne. Les gens commencent a perdre patience face à l'absence totale des services publics pour tirer la douar de l'isolement. "Garmia" a bien compris la leçon et s'est débarrasé de son accoutrement "noir corbeau".Je la trouve plus epanouie,plus belle ,plus décontractée et a fini enfin par retrouver ses repéres avec nous. Le fils du marabout "crachepartout" use de tous les subterfuges pour lui donner sa "bénédiction",sa"baraka",mais elle l'a envoyé ch...et il a fini par comprendre qu'elle n'est pas faite pour lui . Tout çà pour te dire que tes leçons ont bien porté leurs fruits.Oui,tu as su comment sauver une âme en perdition.. Depuis ton départ,le douar reste toujours égal à lui même et n'a pas changé d'un "iota" sauf l'atmosphére qui devient un peu plus lourde. Les "tenanciers du temple fondamentaliste" ne cessent d'exhiber sur la place publique leurs "dieux et démons" qu'ils transportent tout le temps dans leurs besaces pour fourguer leur idéologie. Aujourd'hui, c'est le 8 mars "journée de la femme" disent-ils. Une seule journée dédiée à "Elle", les autres journées restantes étant remisées au placard des inégalités et des libertés confisquées. Je n'aime pas trop le mot "femme" terme générique ,impersonnel,sans âme ,galvaudé et beaucoup plus usité à des fins politiques . Mon coeur a un penchant plutôt pour "Eve",terme sacré, facile à prononcer et tellement léger qu'il peut tenir sur le bout d'une levre comme une petite note de musique. Plus pudique derriére sa petite "feuille de vigne",il force le respect des coeurs qui savent apprécier la douceur de vivre,la "dolce vita". A sa seule évocation,mon coeur soupire de désir et frémit de plaisir ! Je n'aime pas non plus le 8 mars; çà sent l'hypocrisie séxiste quant bien même l'administration t'a offert des fleurs. Dans ce joli bouquet fleuri, s'est glissée une rose pleine d'épines..Je le sais sans que tu me le dises; je suis un devin qui sait comment déchiffrer à travers tes propos toute la sottie. Je ne dirai pas plus aujourd'hui sur ces deux énerguménes qui font l'actualité au douar, "salafoumal" et "crachpartout" qui arborent d'ores et déjà leur "chiffon vert" pour célébrer leur victoire annoncée en offrant à leurs "femelles" des camisoles noires toutes neuves. Depuis quelques temps,ils ne cessent de dandiner sur les sentiers du "douar" . Trop habitués à trainer du pied avec des "claquettes", ils donnent l'impression de monter les escaliers avec leurs nouvelles chaussures de ville.En marchant,leurs femurs et leurs péronés forment un angle droit. Les costumes et leurs accessoires sont mal assortis , trop longs,trop courts, trop étriqués.Trop brillant, trop bariolé,trop clair, trop sombre,trop raide , trop frippé ,trop con.... La couleur dominante dans leur palette est au vert foncé et la victoire leur semble toute proche, prétendent ils . Ils chauffent déjà leurs "bendirs" et ajustent leurs turbans pour les prochaines législatives. Bon,en attendant, je préfére les quitter pour sauter de "l'âne au chameau". à suivre...
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C'est bien la pire folie que de vouloir être sage dans un monde de fous .(Didier Erasme =Eloge de la folie). Puisque nous sommes tellement nombreux à être "zinzins" dans ce monde de cinglés,faut pas trop se plaindre...
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Merci Eclipse. çà me permet de partager avec toi et les autres tout au moins "ma ratatouille" en attendant l'espoir d'ouvrir une marmite plus consistante.J'ai une "faim de loup" pour tout ce qui réspire l'humanisme et demain le "douar" entrera dans sa nouvelle année berbére 2962 l'estomac vide et la gueule en gargouille
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Votre parti pris et votre chauvinisme n'ont d'égal que votre "cécité psychique" face aux faits historiques "têtus" mettant en cause des responsabilités trés graves que seule l'expertise des historiens mettra au clair et au grand jour. Pour le moment il est peut être prématuré puisque certains acteurs du drame sont encore vivants. Aussi,Si l'exposé journalistique en question ne convient pas à votre esprit qui semble égris par la décolonisation forcée de l'Algérie,il faudrait vous rendre à l'évidence une bonne fois pour toute que "l"Algérie à FAFA" c'est terminé,c'est révolu et ce jusqu'à la fin des temps.Puisque votre myopie a décelé un paradoxe (sic!) la seule maniére d'évoluer pour une meilleure compréhension du sujet,c'est de vous inviter à vous débarasser de vos préjugés pour vous éviter de voir "l'Histoire" uniquement à travers votre petite "lorgnette"
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Pour sortir un peu de la necrologie et évoluer hors des caniveaux,je vous propose un article puisé dans la presse ce matin: http://www.lematindz.net/news/6902-algerie-france-comment-nous-nous-voyons.html " Alors que s’ouvre l’année du cinquantenaire de l’indépendance de l’Algérie, les sociétés française et algérienne restent imbriquées de part et d’autre de la Méditerranée. Mais de façon différente. Pour les Français, l'Algérie est un pays frère mal connu "On ne s’est pas entrelacé pendant cent trente ans sans que cela descende très profondément dans les âmes et dans les corps." C’est ainsi que le grand sociologue et islamologue Jacques Berque jaugeait les relations entre Français et Algériens. Certes, mais, pour le moins, l’union n’était pas consentie. Et l’histoire du vieux couple franco-algérien reste douloureuse. "L’histoire est traumatique", affirme Pascal Blanchard, spécialiste au CNRS de l’histoire coloniale et des migrations. "Même les viols enfantent", dit crûment Ali Bensaad, qui étudie les migrations et les relations euro-méditerranéennes à l’Institut de recherche et d’études sur le monde arabe et musulman. "Mais si elle est née sous de mauvais augures, la rencontre entre les deux peuples est très forte", ajoute-t-il. De fait, les sociétés française et algérienne sont restées imbriquées. Jamais le fil n’a été rompu. Le flux migratoire de l’Algérie vers la France s’est poursuivi y compris pendant et après la guerre. Inversement, des dizaines de milliers de coopérants français sont allés travailler dans la nouvelle Algérie indépendante. "Ils ont été très bien accueillis, alors que la guerre avait été épouvantable", relève Jean-Robert Henry, historien émérite au CNRS. "Plusieurs millions de personnes ont eu un rapport humain direct avec l’autre société dans des conditions extrêmement diverses", précise l’historien, évoquant les émigrés, les rapatriés, les harkis, les soldats, les coopérants… qui cultivent chacun leur propre récit mémoriel, mais aussi les doubles nationaux (évalués à deux millions), sans oublier le brassage et le métissage des populations. "Il y a beaucoup plus de mariages mixtes franco-algériens que franco-allemands", note-t-il. "L’Algérie ? Un pays repoussoir qui fait peur" Si cette proximité franco-algérienne n’a pas d’équivalent, elle n’est pas pour autant assumée. La population de quelques millions d’Algériens et descendants d’Algériens en France "est le trait d’union mal aimé entre les deux pays, en raison du passé traumatique inscrit dans le soubassement de cette relation", explique l’historien Gilbert Meynier. Et la relation souffre de déséquilibre. Les Algériens sont en prise directe avec la société française, tandis que les Français ont perdu de vue l’Algérie, devenue presque une "terra incognita", déplore François Gèze, PDG des Éditions La Découverte qui publient de nombreux ouvrages sur l’Algérie. "Qui a envie d’aller en Algérie ? C’est un pays repoussoir qui fait peur", reconnaît Pascal Blanchard. "L’Algérie terre de violence reste un stéréotype très présent, et la vérité historique, la décennie noire, joue dans ce sens", ajoute Sylvie Thénault, spécialiste de l’Algérie qui publie cette semaine Violence ordinaire dans l’Algérie coloniale. Pour autant, l’historienne est plus prompte à penser que les Algériens sont rejetés non pas en raison de l’histoire, mais comme l’ensemble des Arabes et des musulmans, "ennemis d’aujourd’hui, dans un contexte d’islamophobie, de racisme antimaghrébin et d’instrumentalisation politique". Mais les Algériens cristallisent plus que les autres l’image du migrant indésirable. "Pourquoi les Algériens continuent-ils à venir en France, alors qu’ils se sont battus pour leur indépendance ? Cela n’a pas été compris, et n’a jamais été géré. Ce sont les éclaboussures de l’empire", regrette Pascal Blanchard. Cette incompréhension a explosé violemment sur fond de crise économique lors des « ratonnades » de 1973 et des arabicides qui se sont poursuivis les années suivantes. Le racisme a perduré. Les visas sont de plus en plus chichement accordés à des Algériens perçus comme de potentiels envahisseurs. Et ces refus de mouvement sont vécus comme des coups de poignards dans les étroites relations humaines. "Un million d’Algériens venaient chaque année en France avant l’instauration des visas en 1986", rappelle Ali Bensaad pour témoigner du brassage franco-algérien. "On pense à tort que le temps apaise le rapport au passé, or le caractère brûlant du passé dépend du sens de l’événement au présent", explique Sylvie Thénault, qui doute que l’année du cinquantenaire de l’indépendance soit propice à l’apaisement et au dépassement du contentieux historique. "La surenchère des discours en matière de politique sécuritaire et de lutte contre l’immigration est en contradiction avec une politique de réconciliation", estime l’historienne, qui voit cependant dans l’évolution de la société civile des raisons d’être optimiste. Si le cinquantenaire des massacres du 17 octobre 1961 n’a fait l’objet d’aucune commémoration officielle cet automne, l’historienne a recensé "une multiplicité d’initiatives locales qui montrent que la société bouge et qu’elle est soucieuse de construire un avenir commun". Pour les Algériens, la France est devenue plus fréquentable Pour 36 millions d’Algériens, la France, c’est d’abord les "cousins" qui ont "un passeport bleu", ceux d’entre eux qui ont fait souche dans l’Hexagone. "Ils ont leurs réussites et leurs échecs, s’acceptent de plus en plus comme Français, tout en maintenant un lien avec l’Algérie. Ils achètent ce qui est bon marché à Alger pour l’emporter avec eux, racontent facilement les difficultés de la vie en France." Pour Samir Brikly, chercheur associé au Centre national des études sociales appliquées, "les binationaux ont humanisé la France, ces vingt dernières années. Ils l’ont descendue d’un piédestal. Elle est devenue sans mystères pour les Algériens." Et le chercheur de préciser : "La diversité algérienne a fait miroir ces dernières années à une diversité française intuitivement mieux perçue aujourd’hui par les Algériens." Les Algériens parlent moins de "la France", plus des Français, de la gauche et de la droite, des Blancs et des immigrés, de Paris et de la banlieue. Conséquence, "la francophilie s’est désinhibée dans un pays plus tranquille sur sa propre identité", poursuit Samir Brikly. Dans une Algérie qui a légalisé une seconde langue nationale, le tamazight (langue berbère), en 2002, aux côtés de l’arabe, "le retour en grâce de la langue française, qui restait l’apanage des élites occidentalisées, indique que la France n’est plus vécue comme une menace culturelle majeure par une partie plus large de la société", affirme Houari Beradji, universitaire à Sidi Bel Abbès, à 400 km à l’ouest d’Alger. Face à la prolifération des écoles privées qui appliquaient le programme scolaire français, l’État a dû rattraper « un fait de société » au milieu des années 2000 en commençant l’enseignement de la première langue étrangère, le français, dès la seconde année primaire. On commençait à l’apprendre en quatrième année pendant les vingt-cinq années précédentes. Pour un jeune en fin de cursus, "bien manier le français est d’abord vu comme un atout social, estime Houari Beradji, tout comme est en train de le devenir, très vite, l’anglais". L’Europe aussi change le regard des Algériens. Les griefs sur un visa réputé inaccessible ne visent plus la France. "La faute à Schengen", incrimine-t-on désormais. Les harraga (les migrants illégaux) vont d’ailleurs plutôt vers l’Espagne et l’Italie, plus proches. S’ils sont pris et refoulés, la France reste à l’écart. "Les Algériens ont besoin que les Français brillent" Ce n’était pas ainsi, il y a trente ans, au début de la montée islamiste. Pour Nadia Hamlaoui, politologue, "la guerre civile algérienne a eu des effets inattendus. Les tueries entre Algériens ont agi sur l’inconscient collectif. La France est toujours coupable, mais plus fréquentable. Car s’il faut pardonner aux nôtres, alors pourquoi ne pas pardonner à la France." Il faudra toutefois pour cela que l’État français reconnaisse un jour le préjudice historique. "Cette demande de repentance de la France n’est pas un simple fonds de commerce politique pour le FLN en Algérie. Elle correspond à un vrai besoin de reconnaissance d’une souffrance encore portée par près de trois millions d’Algériens qui ont bien subi la période coloniale", souligne Nadia Hamlaoui. Le sentiment antifrançais, qui reste, finalement, vivant chez une grande partie des Algériens, repose sur l’idée qu’une France "traditionnelle", une sorte de "pays profond" ne peut pas "vouloir du bien à l’Algérie". "Le mandat de Nicolas Sarkozy, son atlantisme et le zèle de son intervention en Libye ont permis de relancer, à Alger, le spectre de l’ingérence étrangère, avec la main de la France en sous-entendu", constate Nadia Hamlaoui. Mais le regard des officiels algériens sur la France est loin d’être aussi méfiant : "L’eau d’Alger est gérée par Suez, le métro par la RATP, l’aéroport international d’Alger par ADP, et Alstom va livrer cette année les tramways d’Alger, Oran et Constantine, rappelle le patron d’un bureau de conseil en ressources humaines à Alger. La France est choyée dans les contrats qui comptent ici. Les froids diplomatiques n’ont jamais diabolisé les enseignes françaises en Algérie" Les Algériens concèdent volontiers un savoir-faire aux Français et ne comprennent pas toujours que ceux-ci "s’autoflagellent" sur un prétendu retard technologique français : "Une solidarité filiale peut exister, les Algériens ont besoin que les Français brillent. Ils estiment détenir une part de ce mérite, fait valoir le consultant en ressources humaines. J’appelle cela le syndrome Zidane en équipe de France." Filiale, mais parfois concurrente. Depuis l’affaire des quotas de la Fédération française de foot, la tension est montée d’un cran avec la Fédération algérienne, qui ne se cache pas de vouloir "recruter" le maximum de "beurs" talentueux pour emmener à nouveau l’Algérie à la Coupe du monde de football. En 2010, les Verts ont été au Mondial avec une équipe à 90 % algéro-française. Les Algériens ont apprécié à la fois la qualité de la formation à la française et la "bêtise" de la droite populaire qui poussent les jeunes beurs vers le pays de leurs parents. Pas ingrats, ils étaient, aussi, tristes de l’élimination de la France. C’est nouveau. Amine Kadi et Marie Verdier
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Bien dit ! à défaut d'arguments "historiques" crédibles ,certains esprits chauvins s'évertuent à raconter des "histoires" tissées ou puisées dans leur imaginaire colonialiste aigri.Comme toute guerre ,la guerre d'Algérie est jonchée de cadavres,de douleurs et de traumatismes encore vivants dans la conscience collective.Et il est vain de rechercher des motifs pour disculper tous les crimes de guerre perpétrés des deux côtés.Comme il n'est pas bon d'étaler toutes les rancoeurs pour jeter l'anathéme sur les deux peuples qui ne cherchent qu'à vivre en paix. De même qu'il est indécent de tenir "une comptabilité macabre" sur le nombre de victimes tombées des deux côtés tel que relevé chez certains intervenants nécrologues. Le dernier mot reste aux historiens;le reste n'est que pures spéculations indignes.