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Mazzepa

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  1. Je ne connaissais pas l'histoire de cette boutade. Jolie conclusion ! :blush: Pour revenir sur le sujet du hasard, on se situe sur le plan le plus inhumain qui soit : les faits objectifs. Le sujet restant le hasard, je ne partirais pas du côté de la liberté, qui est peut-être la notion la plus humaine qui soit ; simplement, je pense qu'il est une erreur d'avoir créé ce sujet en philosophie, pas parce que les interventions y sont plus anarchiques, parce qu'on ne peut pas déduire une position philosophique en partant du niveau d'analyse auquel se situe la notion de hasard.
  2. Jusqu'à preuve du contraire, c'est encore le déterminisme qui correspond à ce qu'on peut entendre par "mythe". Et le hasard fait partie de ce mythe. En un sens, le hasard, en tant que borne conceptuelle, marquant et ciblant la limite du mythe déterministe, retient de le prendre pour une donnée, ou, du moins, soulève un doute ; le hasard, donc, dans ce sens, tend à faire du déterminisme un mythe spécial : il y prend conscience de son aspect mythique, en même temps qu'il tente de dépasser cet aspect. Cela dit, on patauge. J'ai cru comprendre que le hasard est une notion extrêmement complexe et précise en mathématiques. Donc... L'avis des matheux serait bienvenu
  3. Bonjour ! D'expérience, ceux qui vont jusqu'au suicide ne s'y avancent jamais que sous l'aiguillon de la fatalité. Certes, on peut aussi imaginer un suicide philosophique. Mais là encore... Cela dit : oui, il y a l'idée d'un repos. Repose en paix. Enfin. On l'attend tous, au moins un peu. On pourrait même proposer une règle pour la conduite de nos vies ; vivre assez fort pour vouloir la mort. On aura tout le temps de se reposer plus tard... Ca me semble une bonne manière de faire, en tout cas. Et aussi, parler de suicide, c'est vous faire dire ce que vous n'avez pas dit. Mea culpa
  4. difficile de croire que la mort soit l'ultime liberté en lisant ces lignes, suis-je le seul à avoir eu l''image' d'une évolution ? (cf échelle, niveaux)
  5. "je vais essayer d'être plus précis" et "si je prend le sens du mot liberté au sens propre" : ça commence mal. Quel est le sens propre de liberté, n'est-ce pas la question ? Quant à l'anarchie : ne peut-on pas penser que l'anarchie est, quoi qu'il en soit ? Je veux dire : finalement, si nous partons du principe que l'homme est libre, alors n'est-on pas forcés de reconnaître que toute organisation sociale est une forme d'anarchie ?
  6. L'une douleur survient dans l'étendue, l'autre souffrance dans la durée ; toutes deux sont expérience du corps. La douleur perdurant, elle provoque la souffrance ; la souffrance atteignant son paroxysme engendre la douleur. Merci.
  7. une entrave tombée ; une limite franchie ; un problème résolut ;; un détachement et une adéquation ;; un bon verre de vin ;; un ticket de train et une nuisette en satin ;; un défilé militaire ; la bombe atomique ;; une craie blanche ;; un morceau de pain ;; l'étincelle qui coule sur un tas d'herbes sèches ; de la chaire, des nerfs, des os ; un cortex frontal, une colonne vertébrale ; un bistouri et une camisole ;; un sens dessus dessous.
  8. Mazzepa

    La mort

    Puisqu'il s'agit d'opinions et de témoignages... Lorsqu'il s'agit de la mort plusieurs éclairs traversent ma pensée selon des orientations différentes. La première probablement héritée de mes parents consiste en poursuivre le raisonnement athée qui dicte aujourd'hui la norme: il était là; il est plus là: point barre. La mort est la fin de soi et au bout il n'y a que le néant, ou au moins l'inconnu. De ce point de vue toute aspiration à la gloire etc est vaine voire tragique, bien qu'il me semble difficile d'envisager une existence se trouvant pour seule fin. Un second axe est plus éthique et politique dans le sens où il entraîne la réflexion suivante: le rapport à la mort est largement déterminant dans la conduite de nos vies, au moins inconsciemment. Or je ne conçois pas de bien commun dès lors que chacun envisage les limites de sa responsabilité à sa brève existence. Un autre axe est plus existentiel et va vers la conclusion que la peur de la mort paralyse en retour la vie et nous empêche d'oublier que nous sommes. Avec la mort comme épée de damoclès au dessus de nous, il semble que chaque instant doivent porter en lui une solennité peu propice à ce que je considère être la joie, soit la légèreté d'être et l'oubli d'un soi. Il faut voir ici que cette peur de la mort découle peut être uniquement de la vision athée qui fait la norme etc. Un autre axe me dit que celui qui n'a pas peur de la mort est en quelque sorte invincible, car ça signifie qu'il porte en lui quelque chose d'assez précieux pour éclater d'un rire franc à l'invitation de la mort. Certains parents en sont, qui s'esclaffent à l'idée d'hésiter une seconde pour se sacrifier au profit de leurs enfants. Un autre axe envisage négativement mon existence et me susurre que je suis en train de mourir maintenant et que ce n'est pas si terrible, voire que c'est salvateur, comme une bonne nuit de sommeil bien méritée qui remet les compteurs à 0. Un souvenir d'enfance veut savoir à tout prix ce qu'il y a avec la mort et envie dans le sens jalouse hargneusement largement tous les morts de pour ce qu'ils savent peut-être. Un dernier axe nie tout simplement la mort. Ou disons qu'il la regarde froidement comme la fin d'un soi. Cet axe est moins raisonné que les autres mais bien plus sensible, dans le sens "intuitif". Il va de pair avec la sensation parfois de l'absurde d'être soi, pouvant être induit par la seule remarque "c'est quand même incroyable et improbable que j'existe comme moi". C'est à peu près tout et je garde mes conclusions en cours pour moi-même :p
  9. Mazzepa

    L'intelligence

    Et <br style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(26, 26, 26, 0.296875); -webkit-composition-fill-color: rgba(175, 192, 227, 0.230469); -webkit-composition-frame-color: rgba(77, 128, 180, 0.230469); ">Mon idée d'empathie ?.. Si vous ne pouvez pas concevoir l'Intelligence dans l'intelligence humaine, vous avez un serieux problème pour la suite. D'où viennent vos critères ? Non sans rire: par exemple le lien entre l'intelligence l'efficacité et la survie, voilà un lien qu'il faut interroger et peut être préciser à l'occasion, bien que La Suggestion ai commencé (condition nécessaire pour jouir de la vie). Si on reprend l'exemple de la rivière qui creuse son sillon "pour" filer droit, et qu'on imagine par exemple que l'humain est lui aussi parcouru de tels mouvements, alors l'individu peut certes prendre conscience d'être un temps de ce mouvement, mais ça ne signifie a priori pas pour autant que son horizon est illimité sur l'ampleur ou les détails de ces mouvements, alors même qu'il peut pour ainsi dire être "créateur". Ce que je veux dire par là c'est qu'il est possible par exemple qu'en édifiant une définition de l'intelligence vous participiez de l'expression d'une écologie de l'esprit particulière. Ce qui n'est pas une critique ni même une entrave à cette entreprise, j'apportais une manière de réfléchir à cette définition. La suggestion : je ne connaissais pas la définition du terme argutie et l'ai utilisé à mauvais escient. Merci pour la définition
  10. Mazzepa

    L'intelligence

    Pour ce qui est de l'intelligence émotionnelle, c'est une belle argutie !.. Parle-t-on de la survie d'un individu ou de l'espèce ou... ? Qu'est-ce qu'une idée complète ?
  11. Mazzepa

    L'intelligence

    Bonjour, En lisant les différents arguments, il m'apparaît que l'intelligence peut en outre être comprise comme une différence de caractère dont la forme relève d'un contexte particulier, et notamment d'un système de valeurs particulier. En cherchant à définir l'intelligence dans une optique matérialiste, vous éludez le rapport entre la définition de l'intelligence et la valorisation de certaines compétences à une échelle sociale. Pourquoi pensez-vous que le thème de l'intelligence émotionnelle se développe ? N'est-ce pas le produit d'une "écologie" humaine particulière ? N'est-ce pas notamment la réponse à un déséquilibre dans nos sociétés entre la raison instrumentale et l'empathie ? Pourquoi l'empathie en vient-elle à entrer dans le domaine de l'intelligent ? Qu'est-ce que ce glissement signifie en termes de valeurs ? Ma lecture me conduit à dire par exemple que vos réponses, La Suggestion et Nietzsche-Junior, sont presque strictement identiques au regard de l'écologie qu'elles expriment. La suggestion: dans votre attitude universaliste, matérialiste et notamment dans votre ouverture aux arguments d'autrui mais également dans votre méthode toute entière et dans ses conclusions, vous suggérez que les intelligences sont complémentaires et participent toutes pour ainsi dire du déploiement de l'Intelligence. Vous valorisez la collaboration, le dialogue, la curiosité desinteressee (neutralité-objectivité). Nietzsche-junior fait finalement la même chose en identifiant l'intelligence à l'amour.
  12. Merci pour cette excellente réponse. Je ne crois pas une seconde au terrorisme islamiste en France. Peut-être que j'ai tort, c'est tout a fait possible, d'autant plus qu'il suffit d'une poignée d'individus pour provoquer de graves dégâts. Ceci étant dit, je ne crois pas que les musulmans soient le véritable danger pour la raison qui suit : Ceux qui sont à moitié intégrés, qui ont de la rancœur contre ce qu'ils appellent "le système", veulent surtout de l'argent, du luxe et de la luxure. Ils ne donnent pas dans le terrorisme; ils pensent à eux. Actuellement les populations les plus dangereuses sont les français d'origine francaise (dont certains sont arabes chinois italiens etc), notamment dans les classes aisees, en général des "bobos" qui ont voulu quitter la norme et qui sont allés de désillusions en désillusions quant à leurs utopies, qui ne croient plus en la république ni en rien, qui vivent dans les milieux alternatifs et qui sont prêts à en démordre parce qu'ils ont une conscience politique aiguë, que n'ont pas les premières générations d'immigrés. Pas de terrorisme sans conscience politique. Qu'il y ai des actes de barbarie, peut etre, le terrorisme c'est autre chose. Autrement dit, vous ne verrez pas dans les populations clandestines de terrorisme apparaître, pour la simple raison qu'il s'agit pour eux de se cacher et sûrement pas de faire de la politique. S'ils vivent la terreur, ce n'est pas dans ce sens... Pour la suite, ce n'est pas simple, je vais essayer de faire court : D'une part il s'agit de ne pas prendre ces populations pour plus bêtes qu'elles ne sont. L'exemple de votre ami est édifiant à ce titre. Concrètement, on a beau faire des histoires avec le porc, quasiment tous boivent de l'alcool, beaucoup de jeunes fument de la drogue, couchent avant le mariage etc autant de choses qui contribuent à les éloigner de la religion, qui devient alors une religion de foi inoffensive et non plus une religion de vérité. Il faut savoir par exemple qu'au Maroc, malgré la prégnance des traditions, de nombreuses jeunes femmes sortent en boîte de nuit, ou plus simplement couchent avant d'être mariées, à la différence avec les jeunes d'ici qu'elles pratiquent la sodomie, parce qu'il faut souvent être vierge pour le mariage... Autrement dit, si l'Islam constitue une référence, ne croyez pas que tous suivent ses principes sans broncher. Bien au contraire, le premier fléau pour les religieux, c'est la population ! Ne sous estimez la puissance d'attrait du capitalisme sur ces générations de l'entre-deux. D'autre part, le terrorisme islamiste nécessite une organisation apte à isoler ses futurs sacrifiés, à les former, à les endurcir, à les fanatiser etc. C'est impossible en France, et croyez moi que les allers retours France Afghanistan sont TRÈS surveillés. Un imam a beau faire tous les discours qu'il veut, quand chacun rentre chez soi et met la télé, il est emporté à des années lumières des idées de l'imam, qui se trouve lui bien impuissant ! Nous n'en sommes pas au point où des imams sont capables de cacher des camps en France, où toute la préparation nécessaire au kamikaze peut prendre place, et nous n'y serons jamais. Le terroriste islamiste doit non seulement vivre l'Islam fanatique, se préparer à ses méfaits, mais surtout l'illusion doit demeurer alors qu'il retourne en occident, ce qui est bien plus difficile à obtenir d'un individu normal. Donc, s'il y a terrorisme islamiste en France, c'est soit le fait d'individus formés à l'étranger, ce qui me semble assez peu probable à la vue des efforts déployées par les occidentaux (qui peuvent s'avérer contre productifs mais c'est un autre sujet), soit le fait d'individus au caractère particulièrement propice à ces pratiques. Le vrai risque, c'est le mec isolé ou du moins un groupe isolé, fou et qui pète un plomb; pas une organisation terroriste. Mais ce risque existe dans toutes les populations, il n'est pas réductible et c'est pour le mieux à mon avis. Ceci dit, il est vrai qu'avec internet de nombreux jeunes assez désemparés se retrouvent entre des mains peu recommandables. Ceci dit, pour moi c'est un phénomène de mode, comme dit plus haut, et ça ne change rien au fait qu'il faille former le terroriste islamiste, ce qui est impossible par internet, quand bien même ça facilite les prises de contact. Pour ce qui est des habitudes auto suffisantes de sens, j'ai du mal à voir où tu veux en venir ? Un fumeur n'est il dans le même cas de figure ? Qui agit selon la raison ? Pour le coup, ne sommes nous pas les fous, qui pensons pouvoir vivre sans tradition ? Pour finir, les acteurs politiques ont tout intérêt à alimenter la peur des populations, à les diviser etc ça n'a rien de nouveau, Machiavel en savait déjà quelque chose...
  13. Je t'invites pour ma part à mettre les pieds dedans pour te faire une idée. Leur littérature suffit. Je suis navré de ne plus avoir la référence, mais je me souviens parfaitement d'une auteur qui écrit qu'il faut se méfier de tout écrit émanant d'un mâle, surtout de ceux qui se prétendent féministes. Si quelqu'un s'en souvient... Quant à moi si ça me revient, je vous l'apporte. Encore une fois, je précise que mes propos ne concernent que le petit cercle lesbien parisien, qui est bien plus réduit qu'on ne le croit (elles font beaucoup de bruit et bénéficient d'une "indifférence sympathique" qui assure d'être écoutés). Il est vrai en revanche que beaucoup d'homosexuels ne se montrent pas spécialement, beaucoup de femmes couchent avec d'autres femmes sans en faire un foin ni un enjeu identitaire etc. Je parle du noyau dur, qui concerne, sur Paris, tout au plus un millier d'individus, des réseaux assez restreints (ils ne peuvent pas faire autrement de toute manière, leur extrémisme les contraignant à rester entre elles). Yop, plus d'insultes de ma part, et je ne dérange pas plus longtemps ce fil puisque mes propos ne correspondent au sujet qu'indirectement.
  14. En effet, j'espérais un autre style de réaction, plutôt genre arguments ! Mais je comprends ton indignation, je suis assez dur avec le monde gay et lesbien, surtout lesbien, vu qu'on y marche sur la tête. Après bon... J'ai pas peur de passer pour un con, de toute façon croire que ça n'arrive jamais serait déjà contradictoire. Bref. Mon "gros mot" faisant suite au qualificatif de "débile profond" utilisé par junior, j'estime que c'est un échange de bons procédés entre lui/elle et moi. Maintenant, je me trouve molichon concernant les lesbiennes, qui m'horripilent au plus haut point. Quand t'as seize ans et une peur fondamentale de l'homme, et que tu fais la rencontre d'une lesbienne, elle t'introduit dans ce petit monde lesbien où tout le monde se connait très vite. Au début c'est vachement chouette parce que t'as l'impression d'être comprise, de faire partie de quelque chose de vachement vaste, et puis ces filles sont remontées comme des pendules alors leurs discours anti-homme t'atteignent, te stimulent, et comme t'as envie de t'intégrer au groupe tu reprends leurs idées, leurs attitudes tout ça tout ça. Tu te fais embarquer, comme ça arrive souvent. Elles te remplissent la tête d'idées comme "fais attention aux hommes" "tous des salauds" "ils pensent qu'à la domination" "ils sont tous violents, même ceux qui le savent pas" et ça a longueur de journée, parce que c'est leur manière de maintenir un esprit de groupe. Fondamentalement, la position de ces lesbiennes "assumées" se définie en opposition à l'homme. On ne sort donc absolument pas de la logique dominé-dominant, non, ce qu'elles veulent c'est inverser les rôles. Maintenant je sais pas si t'as pratiqué le sexe lesbien, mais si un jour t'as l'occasion je te suggère fortement de prendre des précautions. C'est violent, d'une violence extreme, banalisée et même revendiquée. Je serais bien rentré dans les détails mais j'ai peur que l'administration ne me le pardonne pas. Ça peut se faire en mps si tu veux savoir de quoi on parle précisément. Et attention, je généralise bien sur, toutes ne sont pas des brutes dominatrices et complexées, seulement la plupart, et honnêtement la grande majorité de celles qui construisent leur identité sur leur sexualité, celles dont je parle depuis le début. La violence de leurs rapports sexuels n'a rien d'un problème, je le mentionne parce que c'est significatif de tous les rapports qu'elles entretiennent, violents et brutaux, où l'être humain n'a franchement pas grande valeur, car il s'agit en tout et pour tout de jouer à l'objet ! C'est la le grand coup de force des lesbiennes, qui prétendent redonner leur valeur d'êtres humains aux femmes, alors qu'elles même n'évoluent jamais que sur le mode de la domination et de l'appropriation. Les lesbiennes ne sont pas des bisounours, pas non plus des tendres, elles sont agressives, coercitives, manipulatrices, et je peux enchaîner des pages encore. Elles ont le sentiment d'etre en croisade, elles voient la vie en deux dimension : dominant/dominé, et ca s'arrete là. Tu ne trouves aujourd'hui, mis à part chez certains religieux, pas d'esprit plus obtu que l'esprit lesbien. J'invitais junior à pratiquer ces milieux parce que je sais qu'à sa place je ne croirai pas ce que je lis. Mais je sais aussi que s'il les a pratiqué, alors il sait. Son ignorance est donc révélatrice du fait qu'il n a pas pratiqué. Et ça j'en suis certain. Il est également honteux de voir ce que produisent les MASTER genre à paris (ah oui j'ai pas précisé que je parle du monde lesbien parisien, je sais qu'outre atlantique ou même a Berlin c'est assez différent. Les filles qui sortent de ces formations ne sont pas des chercheurs, se sont des soldats qui préparent la guerre des sexes que les juristes estiment pour 2050 !
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