Aller au contenu

Jedino

Membre
  • Compteur de contenus

    48 051
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Jedino

  1. Haha! Personnellement, je me méfierais d'un Frodon trop obnubilé par ses bijoux (:D)
  2. Bah, la photo fonctionnait pas après l'avoir ajouté, donc j'me suis dit que le lien serait une blagounette du coup! Sale gosse! Si je peux faire plaisir... Ouai :D T'en fais pas, j'apprécierais aussi Ben... Et moi ? (:D ) Toi j'veux t'épouser, c'est pas pareil que des amis ou des non-amis
  3. J'te rassure, t'es pas un cas isolée A vrai dire, personne ne m'a jamais vu!
  4. Jediwi, ça rime avec kiwi, ça va pas aller! Non vraiment, je suis déçu de voir que personne ne m'estime à la hauteur de ce que je suis : un génie gamin. Vous le regretterez un jour, tenez-le pour dit! moi j'aimerai rencontrer le génie :D C'est sur rendez-vous! T'as une préférence au niveau de la date et de l'horaire? :D Je ne fais pas l'enfant, j'en suis un! Puis, c'est plus rigolo de se sentir opprimé et inapprécié! Au moins, j'ai des raisons de râler :D
  5. Jediwi, ça rime avec kiwi, ça va pas aller! Non vraiment, je suis déçu de voir que personne ne m'estime à la hauteur de ce que je suis : un génie gamin. Vous le regretterez un jour, tenez-le pour dit!
  6. Jedino

    Chapitre 11 : Le repos mérité

    Quel est donc le rêve de Hideaki?
  7. Personne, parce que personne ne m'aime, de toute façon
  8. Jedino

    Ah

    J'en suis pas certain, tu vois :D
  9. Jedino

    un jour = une histoire

    Tu n'avais pas déjà posté cette histoire sur un sujet à toi, ou alors tu utilises le même nom pour une nouvelle histoire? Une petite réflexion.
  10. Jedino

    Le calcul mental facile

    Ah oui 7x3, pardon. La fatigue de la rentrée, sans doute :D
  11. Jedino

    un jour = une histoire

    J'aimerais tant dire, j'aimerais tant écrire! Mais, que puis-je y faire? Je ne sais que me taire, laisser aller jusqu'à étouffer de n'avoir que trop d'air. Je peine à ajuster mes mots. Je ne parviens pas à raconter comme il faut. Suis-je idiot? Je crois que ma sensibilité me fait défaut. Est-ce normal de ne pas se maîtriser à ce point à mon âge? Est-ce étrange si je ne connais pas l'adage des bons présages? Mes phrases ne signifient rien, si ce n'est qu'elles témoignent de mon déclin. Un déclin ô combien discret et sourd : moi-même je ne le sens présent que rarement. Un malêtre bien égoïste, en somme, et je ne peux que le regretter, car de ce fait incapable d'en saisir les traits. Allons, cessons ces bêtises, il est grand temps de retourner la chemise, et de repartir sur le bon pied : savez-vous que le mien est celui qui est pour vous généralement mauvais? Non, vraiment, me voilà mal barré, à répertorier ces fausses calamités pour m'inventer un style dont je ne suis qu'un épigone par définition raté. Triste réalité. Bonne écriture et soirée à vous!
  12. Jedino

    Le calcul mental facile

    Des astuces pouvant être utiles, si ce n'est que pour l'une, je préfère la méthode suivante : 7x8, par exemple. Plutôt que de passer par un chemin qui me paraît bien moins simple avec ce que tu proposes (désolé, question de goût sans doute^^'), je préfère utiliser le 7x5 (la multiplication par cinq est souvent plus facile, plus immédiate), puis ajouter le 7x2. Intéressant, sinon. Bonne soirée!
  13. Si, je comprends très bien ce que tu dis. Et, sans doute qu'après une seconde lecture, je le retiendrai, même. Mais, je disais simplement que, même si je trouve la physique intéressante, les termes, et encore plus les calculs qui sont liés, me font quelque fois défauts. Un travail personnel à accomplir, quoi. Ton texte est très bien, et je le trouve clair, ne t'en fais pas! Bonne journée :)
  14. Bon dimanche à toi aussi, Astrono!

  15. Jedino

    un jour = une histoire

    Excusez mon indécence, j'ai un besoin d'écrire, un besoin de dire, sans trop savoir quoi. Je regrette tant de ne pas finir une histoire, de la faire lire de temps en temps. Je rêve tellement, pourtant, d'une situation, d'un amour, d'un univers en construction. Mais je ne sais que broyer, déchiqueter, puis assembler après avoir déconné. Ainsi je me sens, ainsi je suis. Un garçon comme il en existe de nombreux autres, portant ses défauts sous un bras maladroit, laissant ses quelques qualités dans son tiroir, chez lui. La vie ressemble à chaque chose : une armoire, une malle, où l'on dépose parfois violemment, souvent tendrement, les événements de notre journée passée. Oui, je crois que je suis tout cela, bien que je ne sache pourquoi, et, malgré mes croyances, je garde la foi. J'aurais vraiment espéré chérir l'être que j'aime et qui m'aimerait, et je l'aurais sans doute fait, si mon chemin n'en était pas détourné. Je ne dis pas là que je ne peux y accéder, que le résultat est inéluctable : néanmoins, je ne pourrais nier le sentiment d'être emporté ailleurs, loin de ces habitudes que je devrais apprendre à apprécier, pour un univers d'insécurité et de doute. Je vous supplierais d'accepter l'idée que, malgré ma velléité, je tente sincèrement de me dépasser. Cela ne m'aidera en rien, je ne le sais que trop bien. J'ignore même si la volonté d'une personne saurait suffire à me secourir, et changer ces détails qui m'ont permis, sans le souhaiter, de devenir. Malheureusement, j'ai cessé de croire à la bonne sympathie de l'humanité : qui se soucie avec ferveur de l'autre, sans chercher derrière à combler une brèche de la conscience? Pessimiste, je le suis. Insaisissable, plus encore. N'avais-je pas dit que j'étais tel le vent, c'est-à-dire ne pouvant se voir et se saisir, mais que se sentir, quand je voulais bien me faire présent? N'y voyez pas un refus de l'acceptation : je ne sais simplement que fuir grâce à la lâcheté. Oui, je crois que si quelqu'un apprécierait, pour une raison tout à fait délirante, me connaître, il devrait aller au-delà du paraître, au-delà de l'hypocrisie qui nous ronge l'être, car je m'insupporte de tout et son contraire. Admettez que je ne facilite pas mon rendez-vous avec mes amis à venir, n'ayant qu'une personnalité déroutante à leur offrir.
  16. Jedino

    un jour = une histoire

    "Comme si à chaque seconde Je succombais à tort Comme si rien d'autre au monde Me paraissait si fort" Pour voir ce que m'inspire une chanson que j'ai écouté pendant une semaine en boucle par le passé... Il se trouve que la chanson semble parler d'amour. Je n'ai pas envie d'en parler. Que faire? Et bien, je vais finalement opter pour tout autre chose, bien que je ne sache pas quoi encore, là. Et si nous y allions en poésie? Nous verrons bien, si c'était une bonne idée. Seulement, je ne trouve pas mes mots. Ou plutôt, j'ai peur qu'ils ne sonnent que trop faux. Peut-être ne suis-je pas aussi bien que je pourrais le penser. Cela ne me surprendrait pas. D'ailleurs, quand j'y réfléchis, mon comportement ne m'attriste pas : je le trouve pathétique, presque risible, à chercher incessamment une raison d'aller mal ou de me plaindre pour que trop peu. A vrai dire, je commence à comprendre, à vraiment comprendre, pourquoi je suis ce que je peux être. En tout cas, je le crois. Mais cela ne m'aide pas du tout. Pas plus que d'en parler. Pas plus que d'en vouloir changer. "'C'est plus fort que moi, tu vois je n'y peux rien, ce monde n'est pas pour moi, ce monde n'est pas le mien". Les paroles de Saez viennent se greffer naturellement dans mon texte alors que je ne fais que l'écouter comme je le fais souvent, en cet instant précis. Pourquoi? Il semblerait que tout, absolument tout, selon Freud, du moins, trouve une signification. Nul besoin de l'entendre longtemps pour comprendre que son univers correspond au mien : sombre, déprimant, et souhaitant s'approcher de la réalité qui nous entoure, malgré la fantaisie. Un artiste doit se reconnaître à sa capacité à ce que le public s'identifie en lui. Il est un peu la marionnette de la musique, celle dont tout le monde rit ou pleure, celle qui attire l'attention de tous, et la seule présence que chacun retiendra en lui. L'hystérie est sa vie, la folie son amie. Et je crois bien que je les envie.
  17. Tout cela me dépasse un peu et me passe surement au-dessus de la tête, mais je trouve ça intéressant malgré tout.
  18. Jedino

    un jour = une histoire

    Justement! C'est à vingt ans qu'il faut se prendre le temps de réfléchir à ces détails insignifiants! Bonne journée.
  19. En fait, ça me tenterait presque, mais j'suis pas sûr que mes parents soient très chaud pour ces trucs là en ce moment.
  20. Jedino

    un jour = une histoire

    Au commencement, il y avait tout, au sens le plus large et lourd du terme. Quoi? On peut se le demander. La matière? Une entité divine quelconque? Une puissance? Cela dépendra de votre choix. Moi, je me contenterai de parler d’un tout. Bien sûr, parler de commencement implique déjà peut-être une erreur : celle de sous-entendre un début, et donc presque inévitablement, une fin, parce qu’il en est ainsi pour ce que nous voyons autour de nous. Immanquablement, cela s’applique au reste qui nous est inconnu de manière somme toute logique. Erreur, donc, parce que généralisation en usant de ce que l’on sait pour définir ce que l’on ignore. Ensuite arrive la science. Qu’on y croit, ou non, importe peu dans la lecture de ce texte : je ne souhaite ni en faire l’apologie, ni en faire le discrédit. Mon unique souhait est, au mieux, de pousser à la réflexion, et au pire, de laisser indifférent. Pour cela, je vais vous demander d’être imaginatif : prenez une origine, comme un point, une boule, un cube, selon votre préférence, et faîtes-la exploser, se distendre, jusqu’à créer un espace d’apparence vide dans sa majeure partie, pour donner quelque chose proche de l’image que vous vous faîtes de notre univers. Maintenant, tentez, si vous le pouvez, d’ébranler votre imaginaire, et de chercher à savoir pourquoi cette conception, plutôt qu’une autre qui, finalement, pourrait être tout aussi vraisemblable qu’une autre. S’en faire une idée n’a rien de simple, pas vrai? Si tel est le cas, c’est que vous avez mal effectué la tâche, car changer aussi rapidement de position tient du miracle (et je ne crois pas au miracle, mon hermétisme ne me le permet pas). Donc, la question reste de savoir pourquoi ceci plutôt que cela : ce choix est rassurant, pratique, intéressant, …? Les possibilités sont nombreuses et ne m’intéressent que peu ici, puisque chacun trouvera sans mal mille raisons de justifier sa position et de se défaire des autres. Oui, l’essentiel, arrivé à ce stade, c’est d’utiliser cet exemple de la question existentielle de l’origine de ce qui nous dépasse pour comprendre cet apparent besoin de justifier, comprendre, et simplifier ce qui n’a pas lieu d’être. Je préfère ne pas m’étaler bêtement sur un pareil sujet. Que je sois parvenu, ou non, à vous aider dans une modification de votre pensée m’est égal : le point culminant n’est en rien de motiver l’un ou l’autre des choix, mais d’apprendre à accepter toute la gamme, puisqu’aucun moyen réaliste, si ce n’est notre propre délire ou notre propre besoin, ne permet de déterminer qui, dans l’histoire, est dans le vrai. Au fond de moi-même, je crois que ce que l’esprit humain peut imaginer ne représente aucunement ce qui est conforme à la réalité « passée ». La science, la religion, les croyances : tout cela ne permet que de se rassurer de notre misérable condition en s’illusionnant d’une pseudo-vérité pour supporter un état de vie insuffisamment minable. Pour saisir l’entière inutilité de mes paroles, il faut savoir qu’en plus de ne pas valoir mieux que vous, je tente vainement d’évoluer dans la mauvaise direction, c’est-à-dire la tolérance et l’ouverture d’esprit utile à la compréhension du monde, et de sa complexité, et des autres, malgré mon dégoût croissant à l’égard de ces cinglés que nous sommes. Je ne dis pas que nous sommes tous pareils, bien que je le pense plus que fortement, étant donné notre tendance désinvolte à constater sans agir, mais je considère que n’importe qui mérite d’être écouté et pris au sérieux, même si l’on ne doit pas se laisser manipuler et utiliser. Je ne met pas en avant la compréhension (j’ai cessé de croire à ce que cela soit réalisable). Seulement, j’ose espérer que l’acceptation et le respect soient envisageables. Oubliez ce que vous venez de lire. Plus j’ai progressé, moins mon raisonnement ne m’a satisfait. Il semblerait que mes envies tendent vers l’impossible, sachant très bien que l’incapacité humaine à se tolérer est si forte que la frustration s’installe lentement jusqu’à mener aux conflits « humains, trop humains ». Pourquoi se combattre pour des incertitudes? Pourquoi se cloitrer dans notre univers pour s’expliquer celui qui est commun à tous? J’ignore autant que vous sur les questionnements existentiels qui englobent nos vies et motive notre quête de sens, mais je suis assuré du fait que la solitude de notre monde intérieur ne permettra jamais d’expliquer l’extérieur d’un tout dépassant l’entendement humain. N’oublions surtout pas que nous sommes ce que nous sommes, et que nous ne sommes que cela.
  21. C'est gentil. Plaisir partagé!

    Bonne fin de journée.

  22. Jedino

    Chapitre 10 : La mort de Teiratsu

    Euh, il explose, donc il est mort? ^^'
  23. Jedino

    un jour = une histoire

    Longtemps, j'y ai cru. Je pense vraiment m'être montré patient. Seulement, il arrive un moment où c'en est assez, où le supportable est dépassé. J'aurais peut-être dû que m'installer une horloge à la place du coeur, comme cet enfant qui risquait de mourir le jour le plus froid du monde. Mais non, j'ai préféré y aller franchement, et me l'arracher carrément, cette machine à pomper l'espoir des vivants. Oh non! Pas encore! Il nous fait une mise en scène, un caprice d'enfant déçu. Il n'en est rien. Au contraire, je me sens même plutôt bien. En fait, je crois que j'ai dû mal. Je crois que j'en ai toujours eu, avec ça. Vous savez, les jeunes que nous sommes, on ne se rend pas compte de notre bêtise réelle. On joue avec les autres, les manipule, les torture, et les blesse, l'air de dire "nous ne faisons rien". Et, une fois notre ignorance démystifiée, nous hurlons au scandale, rejetant fautes et mensonges sur les autres, et d'autant mieux sur les adultes, ces grands. Certains soirs, j'aurais aimé trouver le courage et la puissance nécessaire pour abattre ces apparences qui assassinent chaque jour un peu plus ce qui, auparavant, paraissait presque sincère et vrai. Ces personnages m'ennuient. Comment peuvent-ils légitimer la souffrance et les dérives sous prétexte de penser s'amuser? Je crois qu'ils ignorent ce qu'est l'amusement. Je crois qu'ils ignorent ce qu'est l'amour et la vie. Finalement, ma seule certitude reste qu'ils ne savent rien, et qu'ils croient d'autant mieux le contraire. Je suis probablement pessimiste et subjectif. Excusez-moi alors, car ma tolérance est faible, et j'admets quelques difficultés à accepter ce cloisonnement dans de superficielles croyances, et ce refus de remise en question. Je suis ainsi : anormalement constitué dans ma manière d'imaginer un monde que j'aurais colorié bien autrement.
  24. Jedino

    un jour = une histoire

    Je crois bien que nous sommes d'accords. Merci Mad'
  25. Jedino

    un jour = une histoire

    Vivre pour mourir ou mourir pour vivre, Qu'importe s'il faut choisir tant qu'on est ivre! Choisir pour en finir ou finir pour choisir, Qu'importe l'avenir tant qu'on évite le pire! L'avenir pour grandir ou grandir pour l'avenir, Qu'importe le devenir tant qu'on renouvelle le tir! Devenir pour construire ou construire pour devenir, Qu'importe l'empire tant qu'il y a des sourires! Voilà pour aujourd'hui : un modeste jeu de mots qui vaut ce qu'il vaut.
×