Aller au contenu

Jedino

Membre
  • Compteur de contenus

    48 051
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Jedino

  1. Jedino

    un jour = une histoire

    Sidilarsen, hum, oui, cela dépend, je crois :D Mais, Apocalyptica, je m'en doutais pas mal. Et, ce n'est rien. Malheureusement, je ne connais pas vraiment d'autres groupes qui font dans le même style. Bonne soirée :)
  2. Jedino

    un jour = une histoire

    Arf, mauvaise manip'... Bon, la flemme de tout réécrire. J'apprécie aussi le classique. Et, globalement, je disais que le metal peut être à la fois, mélodique et calme, aussi. Je vais me permettre de t'envoyer quelques morceaux, si tu veux bien. Peut-être verras-tu que ce n'est pas qu'un extrême. L'extrême de cet extrême, bien qu'ils en existent plusieurs qui s'opposent dans des conflits aussi absurdes que rap et rock, sont d'une extrêmes violences. Je crois que c'est dans un but de "sortir notre bestialité de nous-mêmes". Les paroles valent ce qu'elles valent, ou non. Pas nécessairement ce qui est recherché. Et c'est ce que disait le groupe de grindcore/hardcore "Inhumate", qui est, faisons un peu d'humour, inhumain, et inaudible. Ce n'est pas de la musique qu'on écoute tout le temps. Il m'est arrivé d'en écouter pas mal, mais, je dois le dire, ça me détend. Après, il faut malgré tout changer, passer à autre chose, si ce n'est à du metal, du "simple" metal. Et, ce qui me plaît d'autant plus, c'est que ce "genre musical" propose des mélanges, avec tout. Rap, hip-hop, soul, funk, musique classique, punk, electro, etc. Bref, je comprends qu'on puisse ne pas aimer. Je ne peux l'imposer. C'est violent. Tout le monde n'en a pas besoin. Puis, je vais essayer de te montrer qu'on trouve aussi quelques perles littéraires dans le monde de la violence. Enfin, selon moi. Et toujours si tu le souhaites. Je vais préparer ça. Puis, surtout, ne pas avoir peur : j'ai l'habitude de ce genre de situation, je ne serai pas méchant, musicalement parlant^^'
  3. Jedino

    un jour = une histoire

    Je ne sais pas pour vous, mais cette chanson, elle me plaît. Les paroles, d'une part. Le rythme, également. Je ne sais pas. Tout me rend optimiste à son écoute. Bien entendu, c'est du rap. Ca pose un souci, ici ou là, parce que non, le vocabulaire n'est pas le même que chez Cabrel ou Brassens. Qu'importe! L'art, ce n'est pas des règles, des nécessités, des "codes". Je vois plutôt ça comme l'expression du coeur d'un homme à propos d'un thème particulier, ou de n'importe quoi sur quoi on peut discuter. L'important n'est pas tant d'avoir raison, ni de mener à la déraison. Ce qu'il faut, c'est croire en ce qu'on fait, en ce qu'on souhaite. Tout le monde ne sera pas d'accord sur ma définition de ce qu'est l'art. La philosophie préfère, apparemment, l'objectivité, l'expression de je ne sais quelle force métaphysique. Comme si nous nous faisions peurs. Comme si, d'une certaine façon, nous ne méritions pas de dire ce que nous avons dire, et encore moins, de cette manière. Comme si nous avions besoin d'une aspiration divine ou métaphysique, d'une réalité supérieure, pour garder le mystère d'une oeuvre, aussi modeste soit-elle. Ce n'est pas impossible. J'ignore moi aussi ce qui peut, ou non, exister là-haut. Par contre, je sais que le "beau" tant recherché, et idolâtré, n'a pas la moindre valeur, autre que celle de donner à spéculer. Je ne dis pas que ça n'existe pas. Sans doute qu'il se trouve dans un dessin, une peinture, un texte, un détail qui rend la chose "belle". Tant mieux. Je respecte ceux qui quêtent ce détail, et qui tendent à l'expliquer, bien que la possibilité d'un être subjectif a pouvoir déduire la véritable objectivité me laisse perplexe. Mais, soit. Pourquoi pas, à la limite? Pour ma part, je n'attends que deux choses : l'écoute réelle et totale de la musique. A quoi bon se battre pour des goûts qui pourraient se mêler? Il est probable que tout apprécier est illusoire. Moi-même, il m'arrive d'éprouver une difficulté certaine en entendant un morceau de soul, par exemple. Même si, à force de répéter son écoute, je finis par m'y faire, et même, par l'aimer. Nous croyons trop souvent que l'amour vient comme ça, par magie, tombant dont ne sait où sur nous. J'en doute fortement. Le cas le plus fréquent consiste à répéter l'expérience, d'abord pour s'assurer de ne pas faire une erreur, et d'autre part, pour nourrir ce sentiment naissant. La deuxième chose consisterait simplement en l'acceptation de notre subjectivité. Oui, nous sommes imparfaits, mauvais, et mille vices encore en plus. La liste est longue. Soit. Cela ne nous met pas dans une position inférieure face à un être divin, ou autre. Cela ne fait pas de nous des artistes se devant de penser qu'à partir du moment où ils déverseront d'un peu d'eux-mêmes dans ce qu'ils font, ce travail sera nécessairement risible. Nous avons un complexe, bien plus grand que ceux qui nous sont propres. J'entends par là la croyance stipulant que l'homme, démon des démons, ne peut ni s'assumer, ni se sauver. Que ce même homme n'est pas en mesure de prouver qu'il mérite d'avoir sa place ici, en ce monde. Que son labeur n'est pas qu'une taxe pour un ailleurs meilleur. Si nous voulons sortir de notre dépression, il y aura cette étape qui voudra que nous ne craindrons plus notre subjectivité, nos erreurs, et notre imperfection qui tient bien plus de la force, que de la faiblesse. A condition de savoir l'utiliser comme il le faudrait. Ce n'est pas gagné. Mais, j'ose espérer. N'est-ce pas par là que nous devons commencer?
  4. Jedino

    La vielle forge

    J'adore :D
  5. Jedino

    Paranoïd Park

    Et bah mon pauvre, t'as l'air d'avoir été traumatisé:smile2:
  6. Jedino

    un jour = une histoire

    Réfléchir. Réfléchir. Réfléchir. Quel est le souci? Je réfléchis. Non, c'en est pas un. Peu importe. Vous savez, cela n'est pas problématique. Par contre, mon incapacité a suivre, si. Vous ne trouvez pas ça frustrant, vous, de ne pas pouvoir tenir le rythme de vos pensées, de vos idées? C'est ainsi. Que puis-je y faire? Mes mains sont incapables, physiquement, de garder le tempo de mon cerveau. Je ne pense pas que ce soit juste mon cas. Voilà pourquoi je l'écris. Enfin, oui, et non. J'ai plutôt besoin de l'écrire que de l'écrire tout court. Vous vous êtes déjà demandé pourquoi nous aimons tant nous amocher la cervelle avec des questions? Pourquoi le pourquoi accompagne toujours nos difficultés? Pourquoi le pourquoi s'immisce sous notre toit? C'est le démon qui de ceux qui souffrent. C'est le démon de ceux qui n'ont rien à faire. C'est le démon de ceux qui n'en ont rien à faire. En fait, dès que ce mot nous vient en tête sans qu'on ne le souhaite, il faut déjà s'inquiéter, et s'en éloigner. Sinon, il nous emmènera loin, très loin, de là où nous aurions voulu aller plus tôt.
  7. Bonjour Astrono^^

  8. J'avais oublié ce détail, effectivement. Bonne journée^^
  9. Hum, oui, pas de soucis, mais, je ne vais pas le lire prochainement, vu le nombre de lectures qui m'attendent encore, et de recommandations qu'on m'a déjà faite. Mais, c'est noté Nous sommes d'accords sur tout ça. Et, cela ne me surprendrait pas qu'il y ait une réelle intention de montrer la toute puissance de l'autorité divine, et du même fait, des prêtres/curés/etc... Surtout au début, je pense. Après, donc, au niveau de la renaissance, je me demande, en fait, si l'Eglise n'est pas devenu une sorte d'oeuvre artistique montrant surtout la richesse et la puissance de l'Eglise, et donc, quelque part, du roi, avant de rappeler celle de Dieu?
  10. Jedino

    marre des hommes

    Quand on pense au mauvais, on tombe sur le mauvais. Quand on pense au bon, on tombe sur (le) du bon. Voilà mon opinion.
  11. J'ai toujours eu peur des Eglises! Tout s'explique, maintenant :D Sinon, là, en fait, je me demandais si tu (vous?) utilisais un support, comme un livre ou autre, ou si tu déposais tes propres réflexions sur ton blog? Je pense plutôt au second cas, mais je préfère m'en assurer, bien que ça n'importe que peu, dans le fond. Ce qui est sûr, c'est que le début est clairement véridique. L'autorité est pas mal symbolique. Pour le cas de l'Eglise, cela semble cohérent, mais j'ignore si c'est, oui ou non, l'intention de la chose.
  12. Ce qui est curieux, c'est qu'un faucon suffit à déranger le personnage qui se concentre! Comme quoi, il ne l'est pas tant forcément? M'enfin, bien heureusement (et normal) que les héros survivent, donc, à la semaine prochaine :D
  13. Jedino

    un jour = une histoire

    J'te parle. Mais tu ne l'entends pas. Tu n'existes pas. Et pourtant, j'use de mon temps. Par espoir. Par besoin. Et, quand tu n'es pas là, je parle avec quelqu'un d'autre que toi. Tu n'es jamais là. Alors, oui, je dois l'admettre : parfois, je me sens seul. Parfois, tu me manques. Parfois, je me rappelle. Ces paroles. Ces pleurs. Ces riens. Je ne sais plus. Je ne comprends plus. Pourquoi y ai-je cru? Pourquoi l'ai-je voulu? Tout m'échappe. Il faut que je le rattrape. Où est-il allé? Je ne le saurais sûrement jamais.
  14. Jedino

    La Mort

    En plus, on a les notes avec, la classe :D Sinon, j'aime toujours autant ce que tu fais.
  15. D'accord, merci de éclaircissements^^
  16. Apparemment, ils ne sont pas tous trop d'accords sur les deux termes. Et cela importe peu ici, je pense. L'essentiel est qu'on comprenne de quoi je veux parler^^' Mais, merci du détail. Au début, j'hésitais à préciser. Puis, finalement, c'était le matin, et, non.
  17. Sauf les psychopathes, en quelque sorte, qui peuvent "s'en passer", ou la changer, enfin bref. Tout ça pour poser le "problème" suivant : si eux en sont capables, est-ce parce qu'ils retrouvent un état animal, ou au contraire, parce qu'ils dépassent la morale? Peut-être est-ce ce que tu entends par pulsion sociale? En fait, pour vraiment te dire le fond de ma pensée, j'ai l'impression que la morale, comme je la vois et la connais, n'est pas aboutie, et tend plus à nous bloquer qu'à nous préserver, ou sauver, c'est selon, des "mauvaises" choses.
  18. Intéressant, comme toujours. Et, je me demande, en fait, si la morale est à ce point nécessaire, même discutée, etc, etc... ?
  19. Jedino

    Salopard de sort

    Marrant, parce que justement, tu fais référence à une chanson sur l'autre! M'enfin, bien sympathique tout ça.
  20. Jedino

    Vers à moitié vides

    T'as jamais pensé te lancer dans la chanson? :D
  21. Jedino

    un jour = une histoire

    Oublie-moi, Comme j'ai su t'oublier. C'est que, en vérité, Mon eau est si trouble Que je ne peux que désespérer. Oublie-moi, Comme j'ai su te trouver. En toute sincérité, Ta personnalité double, Je n'arrive plus à la supporter. Oublie-moi, Comme j'ai pu douter. Au fond, la réalité, Je souhaite la dissoudre Pour qu'elle puisse t'emporter. Oublie-moi, Comme j'ai pu te quitter. Depuis, la difficulté N'est plus d'en découdre, Mais d'à jamais m'en séparer.
  22. Jedino

    un jour = une histoire

    L'artiste, esclave de son art? Je ne sais pas si c'est ta position, mais c'est ce qui me vient un peu à l'esprit après t'avoir lu, David. Dans le fond, on ne sait pas vraiment qui s'exprime à travers une oeuvre. Je la trouve pas mal, celle-là... :D Mais, est-ce le réel but de l'art que d'être apprécié? Je ne sais pas. Ou plus. Par contre, je crois, personnellement, que certaines oeuvres sont indissociables de la personnalité même de l'artiste. Il n'est peut-être pas son oeuvre, mais il l'a fait néanmoins, ne serait-ce qu'un peu, selon qu'on pense que l'inspiration dépende de l'artiste ou de je ne sais quoi qui le dépasse. Bref, il y a malgré tout un lien qui persiste, mais qui ne changera rien à notre façon de ressentir l'oeuvre en question.
  23. Oh punaise!

    Ah, oui, je vois, maintenant.

    Bonne soirée, oui^^

  24. Vais y aller, bonne soirée^^

×