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Un auteur dont j'ai oublié le nom disait : "Il n'est pas à la portée de n'importe qui de devenir un héros. Il faut des dragons à combattre, et des princesses à sauver." Emmanuel Macron, qui ne dédaigne pas de se prendre pour le général de Gaulle voire pour Jupiter, a trouvé SA grande cause : face à la menace de l'expansionnisme poutinien et au risque de voir l'Amérique virer au fascisme en cas de réélection de Donald Trump, devenir le nouveau leader du monde libre. Ses récentes et tonitruantes déclarations à propos de la guerre en Ukraine sont destinées non seulement à Moscou, mais aussi à Washington, l'air de dire : Si vous laissez tomber l'Ukraine, nous, nous serons toujours là pour la soutenir. Quant à l'inscription de l'IVG dans la Constitution, c'est quasiment une déclaration de guerre aux conservateurs américains. L'avantage d'une telle position, c'est qu'elle est à usage externe ET interne : Macron peut ainsi taper sans retenue sur ceux qui soutiennent le duo infernal Trump-Poutine : Marine Le Pen, Jordan Bardella, Éric Zemmour, et même (dans le cas de Poutine) Jean-Luc Mélenchon. La démarche est toutefois audacieuse, et son premier résultat est de fâcher une bonne partie de la classe politique française et d'indisposer nos alliés (surtout l'Allemagne, voire ci-dessous), sans oublier Joe Biden, qui n'apprécie pas qu'on l'enterre avant l'heure. Le cas allemand est particulier. Depuis l'après-guerre, l'Allemagne se prend plus ou moins pour le 51e État américain - un sentiment facilité par le grand nombre d'Américains qui ont des ancêtres d'origine germanique, y compris Trump. En cas de victoire du Donald, s'il quittait l'OTAN et abandonnait la protection de l'Europe, comment réagiraient les Allemands? Consacreraient-ils leurs moyens et leur énergie à renforcer la défense européenne? Ou joueraient-ils un jeu individuel, comme cela leur est déjà arrivé sur le plan économique? Une fois de plus, les Allemands auraient le choix entre l'Est et l'Ouest : signer avec Poutine un nouveau pacte germano-russe (après tout, Moscou pourrait leur rendre les provinces polonaises perdues en 1945, pour prix de leur neutralité bienveillante) ou négocier avec Washington un traité germano-américain bilatéral. Enfin, on peut se demander si Macron est vraiment le mieux placé pour incarner le champion mondial de la liberté et de la démocratie, quand on voit la façon désinvolte dont il gère l'économie, l'écologie et les dossiers sociaux.
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Article du "Canard enchaîné", mettant en évidence que la signature de notre cher président varie beaucoup suivant le temps et les circonstances. Plusieurs photos effectivement parlantes illustrent ces propos. Sous le titre "Un président ne devrait pas signer comme ça", le journaliste écrit : "Un caneton avisé nous fait parvenir un choix de signatures tracées par Emmanuel Macron en personne. Visiblement, souvent président varie. En mars 2018, en remerciement de la réception d'une bouteille de blaye-côtes-de bordeaux, la signature se brouille. Pour quelques verres de trop? Quelques mois plus tard, en juillet 2018, un changement s'est produit. A croire qu'il a signé de la main droite et de la main gauche en même temps. En avril 2022, sa profession de candidat semble l'oeuvre d'un homonyme facétieux. Ces flottements ont intrigué un graphologue suisse, Maxence Brulard, qui écrivait, en février 2018, dans "La Gazette médicale" : "Dans sa conquête du pouvoir, M. Macron signe de façon hyper virile en faisant ressortir la partie androïde de son caractère (quasiment que des angles). Ayant accédé à la présidence, c'est d'une manière totalement gynoïde qu'il s'exprime quand on voit les agréables courbes qui évoluent ainsi que le soulignement arrondi qui contraste singulièrement avec la signature deux mois auparavant. On ne peut s'empêcher de penser que s'il devait retirer de l'argent dans une banque suisse le caissier aurait sûrement des difficultés à authentifier sa signature." Cela ne présente rien de bon pour le remboursement de la dette!"
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Bonjour, Avant de rejoindre le gouvernement de Gabriel Attal jeudi en tant que ministre de la Culture, Rachida Dati n’était pas tendre avec Emmanuel Macron et son parti : « Un parti de traîtres », « des canards sans tête », une « absence d’idéologie »… en disait-elle entre autres. A longueur de plateaux de chaînes d’information en continu et de tweets, l’ancienne garde des Sceaux de Nicolas Sarkozy s’en est donné à cœur joie pour dézinguer le président de la République et les membres de la majorité. En voici une petite compilation : Sur ce lien : https://www.20minutes.fr/politique/4070222-20240112-gouvernement-attal-parti-traitres-canards-tete-quand-dati-dechainait-contre-macron-parti Le matin sous la douche, Rachida chante : "Je retourne ma veste, toujours du bon côté".
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J'avais créé, il y a déjà pas mal de temps, un topic intitulé "Macron refait du Macron", qui avait connu un certain succès. Je dois dire que quand il est entré en politique en 2016 puis a posé sa candidature à la présidentielle de 2017, Emmanuel Macron m'inspirait un véritable sentiment d'horreur, dont je ne discernais pas bien l'origine. Cela venait sans doute de sa tentative de faire croire qu'il était à la fois de droite ET de gauche, ce qui dans mon esprit ne pouvait être qu'une imposture - ce que la suite a confirmé. Une fois élu, il a fait le genre de politique néo-libérale que je craignais. Néanmoins, c'était plutôt moins pire que ce à quoi je m'attendais. Et puis j'ai trouvé sa gestion de la crise du COVID relativement convaincante : au moins, il oubliait le "et en même temps" de sinistre mémoire. Mais par la suite, il est revenu à son idéologie de base. De là mon topic "Macron refait du Macron". Une des grandes caractéristiques de Macron, c'est quand même de dire n'importe quoi, à propos de n'importe quel sujet. Cela va de la culture française "qui n'existe pas", à la colonisation, cette horreur, aux rapports franco-algériens, au réchauffement climatique que personne n'a prévu (juste quelques milliers de chercheurs, depuis des années!) J'en passe et des meilleurs, et il ne faut pas oublier bien sûr ses déclarations nombreuses et contradictoires à propos de la réforme des retraites. Voilà qu'il sévit maintenant dans le domaine de la politique internationale, aux dépens de Taïwan, ce qui a fait dire à Donald Trump (toujours trivial mais pour une fois inspiré) que Macron "léchait le cul des Chinois". Et oui, l'actuel locataire de l'Élysée a toujours besoin de lécher les bottes (ou autre chose) de quelqu'un, que ce soit les marchés financiers, la Commission européenne, les Allemands, les Chinois, les Américains, et même Vladimir Poutine parfois. Ça n'a rien à voir, mais c'est très intéressant : dans le dernier numéro de "Marianne", un article passionnant : "Malaise chez les petites mains de l'Élysée". On ne peut s'empêcher de penser que le mépris avec lequel Macron traite le personnel qui le sert tous les jours dans les ors de la République traduit le sentiment qu'il éprouve à l'égard de la majorité des Français, comme il l'a prouvé récemment avec sa pseudo-réforme des retraites.
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ce sont les mots repris par le conseiller régional LFI Christophe Prudhomme lors d'un rassemblement à Paris. La manifestation surprise, à l'initiative de La France insoumise, avait lieu devant le siège du parti Renaissance dans la capitale. Le groupe a repris le chant pendant plusieurs minutes. Des paroles violentes, qui ont rapidement fait réagir de nombreux élus. Dans un tweet, le député Renaissance héraultais Patrick Vignal a déploré la "triste image du rôle du politique", tandis que se trouve à ses côtés le député LFI Thomas Portes. La présidente (LR) de la Région, Valérie Pécresse, a réagi ce lundi matin. "Je condamne fermement les propos du conseiller régional LFI d'Île-de-France Christophe Prudhomme." Et d'ajouter : "Cet appel à la violence et à la haine contre le président de la République est intolérable et déshonore son mandat de conseiller régional." La majorité au Conseil régional, le groupe Île-de-France Rassemblée (droite et centre) veut "une sanction" contre Christophe Prudhomme. "À notre prochaine séance, je demanderai que notre assemblée puisse prendre une sanction à son égard", déclare ainsi son président, Vincent Jeanbrun. "En Île-de-France, nous combattons les violences et nous respectons TOUS les élus", assure le maire de l'Haÿ-les-Roses (Val-de-Marne). article ...
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Bonjour, Peu avant l'élection du président Macron en 2017, on pouvait déjà lire la presse libre dénoncer le vent médiatique qui soufflait dans ses voiles : Comment les médias ont fabriqué le candidat Macron Extrait : Quelques mois après son entrée au ministère de l’économie, Emmanuel Macron jouissait d’un niveau de popularité plutôt faible. En octobre 2014, seules 11% des personnes interrogées souhaitaient le voir jouer un rôle plus important dans la vie politique. Un an et demi plus tard, il conservait une cote de popularité très basse chez certaines catégories sociales : en mars 2016, seuls 6% seulement des ouvriers et 4% des artisans appréciaient le très libéral ministre de l’économie. Aujourd’hui, les « sondages » le considèrent régulièrement comme la personnalité politique préférée des Français. Que s’est-il passé entre-temps ? Quel rôle a joué la presse dans le basculement de l’opinion ? Jusqu'à des gros titres insignifiants sur sa barbe de trois jours, puis plus tard parce qu'il s'était fait raser ! L'obs dans son zèle avait même fait chercher à faire passer cette grosse ficelle : Emmanuel Macron, nuits debouts, même combat ! Cet article est édifiant. *********************************************************************** Extrait d'un autre article de mai 2017 (où comment les hommes d'affaires et grands patrons ont propulsé Macron vers l'Elysée) : Le succès d’un candidat inconnu du public il y a trois ans ne s’explique pas seulement par la décomposition du système politique français. Inventeur d’une nouvelle manière de promouvoir les vieilles idées sociales-libérales qui ont valu au président François Hollande des records d’impopularité, M. Emmanuel Macron a trouvé dans les médias un solide point d’appui. Son histoire ressemble à un rêve d’éditorialiste. Lire la suite sur : Emmanuel Macron, fabriqué pour servir Le candidat des médias ******************************************************************* Comment les médias ont (déjà) réélu Macron Un article de mars 2022 cette fois. Ou comment tout était déjà plié pour son second mandat ! ******************************************************************* Lien graphique ci-dessous :
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Macron cherche à réveiller l'influence française en Afrique
Pales a posté un sujet dans International
Macron cherche à réveiller l'influence française en Afrique Macron cherche à réveiller l'influence française en Afrique - Le Point Y serai 'il allé si les Russes et les Chinois n'y étais pas allé? -
Par mon cap Voilà une question à laquelle je n'ai toujours pas trouvé de réponse..... Je souhaite ouvrir un débat pour savoir exactement ce qu'est le macronisme. Quelle est la pensée politique d'Emmanuel Macron ? Quel est son projet politique ? Quel est le fil directeur de son action politique ? En 2017, on voyait à peu près. Emmanuel Macron prétendait récompenser le travail et la prise de risque, il voulait lutter contre les inégalités de naissance et les rentes de situation. A ce titre, il promettait, notamment, de créer un régime unique de retraites, et de réformer la fiscalité (hausse de la CSG, baisse des cotisations, prélèvement forfaitaire unique sur les revenus de capital, etc.) pour stimuler l'investissement. On pouvait ne pas être d'accord, mais il y avait quand même un véritable projet politique, avec un fil conducteur, une philosophie sous-jacente clairement assumée. En 2022, il s'est représenté à la présidentielle avec un programme que personne n'est capable de résumer, et dont personne n'a rien retenu (à part peut-être une vague promesse de réformer les retraites). Moi-même, qui pourtant m'intéresse à la politique, je suis incapable de résumer son projet politique. Il faut dire que, depuis cinq ans, Macron a fait à peu près tout et son contraire, il a dit à peu près tout et son contraire. Le régime de retraite unique promis il y a cinq ans n'a pas été fait. La hausse de la CSG sur les retraites promise il y a cinq ans n'a été que très partiellement mise en place. La fiscalité du capital a été partiellement réformée, avec notamment le prélèvement forfaitaire unique, dont les effets restent difficiles à mesurer. Sur le nucléaire, il commencé par prévoir la fermeture de plusieurs réacteurs (14 en tout), avant de redécouvrir les vertus du nucléaire. Concernant la transition écologique, il se moquait encore il y a peu des "amish", et aujourd'hui, il veut contraindre les Français à une nécessaire sobriété. Clairement, quand il parle d'écologie, il n'est pas crédible. Concernant l'industrie, il a commencé par brader plusieurs fleurons industriels français, dans des conditions douteuses voire pénalement répréhensibles (dont Alstom, à l'époque où il était ministre), avant de redécouvrir les vertus d'une véritable politique industrielle. Concernant les retraites, il disait il y a cinq ans ne pas vouloir augmenter l'âge de départ en retraite, il dit le contraire aujourd'hui. Les différentes crises ayant émaillé son mandat (les GJ, le COVID, la crise de l'énergie) font apparaître une constante. A chaque fois, même si tout n'est pas de sa faute, il n'a rien prévu, rien anticipé, s'est contenté de gérer l'urgence. Quel est donc son projet politique ? Vouloir être à la fois de gauche et de droite, vouloir ménager la chèvre et le chou, ça ne fait pas un projet politique, car on finit par être rattrapé par certaines contradictions. Macron et ses amis prétendent incarner le camp du bien, ils s'érigent en rempart contre les extrêmes, et à part ça, ils se contentent de gérer la France à la petite semaine, au gré des contraintes et de l'actualité, mais sans aucune vision d'avenir. Gouverner, c'est prévoir, c'est préparer l'avenir : sur ce point, Macron est clairement défaillant. Heureusement pour lui, et malheureusement pour le pays, les opposants sont encore plus nuls et rendent tout à fait crédible cette posture consistant à incarner le camp du bien face aux extrêmes. Et quand viendra l'heure du bilan, en 2027, on trouvera probablement un bilan très mince. On retiendra que sa grande chance fut d'avoir des opposants encore plus nuls que lui, mais qu'à part ça, il n'aura pas fait grand-chose pour le pays, à part gérer des crises dans l'urgence. Et on sera obligé de constater qu'en l'espace de dix ans, la situation du pays se sera dégradée sur bien des points (les finances publiques, la désindustrialisation, l'insécurité, l'immigration incontrôlée, etc.). Il m'est arrivé de discuter de Macron avec quelques uns de mes proches qui le soutiennent. Quand je leur demande ce qu'ils lui trouvent, pourquoi ils le soutiennent, ils me répondent systématiquement des trucs du genre "il faut s'opposer aux extrêmes", "surtout pas Mélenchon ni MLP", "les autres n'auraient pas fait mieux". Bref, il est perçu comme un rempart face aux extrêmes. Effectivement, les principaux opposants à Macron ne sont pas très crédibles, voire inquiétants. Effectivement, les autres n'auraient pas fait mieux. Mais se poser en rempart face aux extrêmes constitue un argument un peu court. Quel projet politique ? Quelle vision de la France ? Cela reste flou .... A vous .......(si vous le voulez bien....) Evidemment hub'
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? si ce n'est pas du foutage de gueule... Alors qu'il devrait intervenir le soir, pour tout le monde, y compris pour les gens des villes de moyennes et grandes importances où il y a précisément des manifs. Il a peur ? https://www.midilibre.fr/2023/03/21/pourquoi-emmanuel-macron-a-choisi-le-journal-televise-de-13-heures-pour-son-intervention-tres-attendue-11077263.php
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L'idée est régulièrement débattue. Cette fois c'est Brigitte Macron, en personne, qui relance le débat. [...] L'idée d'un retour de l'uniforme est un sujet réccurrent de débat politique ou médiatique au gré du succès de tenues souvent jugées inadaptées pour aller en cours comme les crop top ou les claquettes chaussettes. Le Rassemblement National va même déposer une proposition de loi en ce sens à l'Assemblée Nationale, ce jeudi 12 janvier. En sus, "on gagne du temps", estime-t-elle encore : "c’est chronophage de choisir comment s’habiller le matin". Elle se déclare donc "pour le port de l'uniforme à l'école, mais avec une tenue simple et pas tristoune". Brigitte Macron s'est également prononcée sur l'éventualité d'interdire le téléphone portable au lycée, alors que la mesure s'applique déjà au collège. Là encore, l'idée la séduit : "Je serais favorable à ce qu’on étende au lycée ce qui existe au collège", a-t-elle répondu. Pour elle, "le portable n’a pas sa place à l’école". Article complet : https://www.ladepeche.fr/2023/01/11/je-lai-porte-et-je-lai-bien-vecu-brigitte-macron-se-dit-favorable-au-retour-de-luniforme-a-lecole-10919650.php
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Bonjour, E.Macron devait présenter ses voeux à la presse le lundi mais la "représentation" a été annulée , un déjeuner qui devait rester secret a eu lieu le lendemain et la "presse indépendante" a été sollicité pour venir entendre la bonne parole et de ce fait ce qu'il serait bon de faire savoir au bon peuple. Belle journée à tous. https://www.jeanmarcmorandini.com/article-525138-retraites-france-5-revele-qu-emmanuel-macron-a-rencontre-en-secret-des-journalistes-influents-pour-donner-des-elements-de-langage-afin-de-defendre-sa-reforme-video.html
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Se sentant menacé sur sa droite, Macron nous refait le coup du "et en même temps", et veut nous faire croire qu'il est AUSSI de gauche. La bonne blague! Et c'est ainsi qu'on a droit à un discours sur l'"africanité" de la France, et aussi à la célébration de l'anniversaire de la suppression de la peine de mort. Il commence à se projeter dans l'hypothèse d'un 2e tour qui l'opposerait à Éric Zemmour. Mais ça pourrait être aussi bien Xavier Bertrand, et là Macron aurait VRAIMENT besoin des voix de gauche. Mais il n'est pas sûr que les gens de gauche se fassent avoir une deuxième fois.
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"On n'a pas demandé ça!": au ZEvent, colère d'Antoine Daniel et d'Angle Droit après une vidéo d'Emmanuel Macron Plusieurs streamers ont critiqué ce dimanche une vidéo du président de la République les remerciant pour leur mobilisation en faveur de la lutte contre le réchauffement climatique. "J'en ai ras le cul." Antoine Daniel et plusieurs streamers étaient en colère ce dimanche soir à la fin du ZEvent, marathon de streaming caritatif qui a déjà récolté plus de 9 millions d'euros pour quatre associations qui œuvrent pour l'environnement. Et ce à cause d'une vidéo d'Emmanuel Macron publiée sur Twitter en fin de journée. Dans cette vidéo postée en format selfie, le président de la République félicite les streamers pour leur mobilisation "pour limiter les émissions" de CO2 et "répondre aux dérèglements climatiques qui sont déjà-là." Emmanuel Macron annonce également l'organisation prochaine en France du BLAST TV Major Counter Strike, l’un des plus grands rendez-vous du calendrier esport mondial. Mais la vidéo n'a pas fait l'unanimité auprès de certains streamers, qui n'ont pas apprécié voir le chef de l'Etat se réjouir du succès du ZEvent. Car déjà en 2021, Emmanuel Macron avait fait une vidéo sur Twitter pour féliciter les streamers. "Tous les ans son putain de tweet de merde à ce b**ard. Tous les ans j'en ai ras le cul", lance donc Antoine Daniel, connu pour avoir créé l'émission What the Cut. "J'en ai ras le cul qu'il fasse sa promo sur notre putain de dos (...) ça me casse les c**illes!" dit-il devant sa caméra. "Il y a quelques personnes qui le détestent" "La promo? Le mot c'est plus propagande... Mais ça me casse les c**illes, on n'a pas demandé ça!" déplore-t-il. "Je veux qu'on sache que depuis le ZEvent, il y a quelques personnes qui le détestent", continue Antoine Daniel. "Et c'est à cause de gens comme lui, entre autres, qu'on fait ces événements-là." Depuis 2016, le ZEvent réunit des dizaines de streamers chaque année pour soutenir une association caritative. Après Save The Children, La Croix Rouge, Médecins sans frontières, l'Institut Pasteur, Amnesty International et Action contre la faim, quatre associations ont été choisies cette année. Sea Shepherd, la Ligue de Protection des oiseaux, WWF et Sea cleaners vont donc se partager la cagnotte en 2022. La streameuse AngleDroit a elle aussi été très vindicative. "Bah oui tu comptes sur nous c****d, parce que tu ne br*nles rien! Si seulement tu avais les moyens de faire quelque chose! Merde!" lance-t-elle, rappellant que l'ancien Premier ministre Jean Castex a utilisé un avion pour faire l'aller-retour Paris-Prades en avril 2022 afin d'aller voter lors de l'élection présidentielle.
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Des documents dénichés par des journalistes internationaux montrent l'implication du ministre de l'Economie Emmanuel Macron pour favoriser l'implantation d'Uber, le géant américain du VTC, en France. https://www.ladepeche.fr/2022/07/11/uber-files-comment-emmanuel-macron-est-soupconne-davoir-agi-en-coulisses-en-faveur-du-geant-americain-uber-10428653.php
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Bonjour, "Il me doit tout et il pense qu'on est égaux ? Il a fumé les vapeurs du port du Havre ?". Emmanuel Macron ne mâcherait plus ses mots concernant Edouard Philippe. Macron aurait aussi assuré à l’un de ses proches : "Aucune circonscription pour Horizons, ce sont des cons !". LREM et le parti d'Edouard Philippe sont en pleines négociations en vue des prochaines élections législatives. Ce dernier a signifié ces derniers jours son agacement d'attendre un signe du président. Un membre de l'équipe d'un ministre explique sans prendre de pincettes : "J'ai l'impression qu'ils ont envie de lui rouler dessus et c'est tant mieux. C'est un gros connard. Il fait semblant de nous soutenir et derrière il nous chie dans les bottes." Les discussions semblent donc compliquées entre les deux partis qui avaient pourtant annoncé qu'ils avanceraient main dans la main. Un conseiller de l’exécutif confie que "le seul qui nous casse les couilles, c’est Edouard Philippe. Mais lui, on va le buter". Article entier Je rapporte ce que je lis en y croyant à peine, nan mais qu'on me dise que c'est une farce ! Qu'est-ce que c'est que ce langage ? À côté, le "bâtard" de F. Ruffin ressemble à un vers de Lamartine.
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L'homme qui avait diffusé en juillet des affiches représentant Emmanuel Macron en Hitler a été condamné à 10.000 euros d'amende par le tribunal correctionnel de Toulon, vendredi 17 septembre. lol Je l'avais jamais vue cette info...comment j'ai pu passer à côté ^^
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Vous êtes comme moi, vous n’allez pas voter pour Macron ? Je n’en peux plus de Macron et sa com. façon vendeur de pots de yaourt aux fruits, mais je ne sais pas pour qui je pourrais voter. Avez vous un candidat alternatif qui vous semble bien? Pouvez vous dire ce qui est bien dans son programme selon vous, histoire de voir pour qui je pourrais voter. Ceux qui vont voter Macron peuvent aussi expliquer pourquoi il faut voter Macron. Essayez de me convaincre
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On va me dire que je replonge dans le "Macron bashing", et j'en suis navré. Je l'ai trouvé plutôt brillant, hier, durant son interview. Mais pourquoi faut-il qu'il s'accroche à cette réforme des retraites dont personne ne veut? On avait cru (enfin à moitié) en l'écoutant pendant le confinement, que c'en était fini de ses pseudo "réformes" d'inspiration néo-libérale, mais à priori il y tient toujours. Qu'est-ce qu'il n'a pas compris? On a la désagréable impression qu'une partie de la réalité lui échappe. Et ensuite il va se promener comme si de rien n'était dans les rues de Paris, et bien sûr il tombe sur des gens qui s'en prennent à lui. Quoi d'étonnant? Tout cela n'augure rien de bon, alors que la pandémie de coronavirus est loin d'être achevée, et que nous sommes au seuil d'une rentrée qui promet d'être explosive.
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En réponse aux inquiétudes exprimées par les "gilets jaunes", Emmanuel Macron annoncera mardi un nouveau cap pour la transition écologique, de nouvelles mesures d'aide et des négociations sur tout le territoire pour la rendre "acceptable et démocratique".
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On dirait que Macron n'a pas bien retenu la leçon des Gilets jaunes. Alors que la grève des urgences hospitalières se poursuit, alors que c'est le bazar à la SNCF, la première de ses "réformes" antisociales entre en vigueur aujourd'hui : celle de Pôle Emploi. Conditions d'indemnisation plus restrictives, diminution des indemnités, cette pseudo-réforme devrait aggraver le sort de centaines de milliers de chômeurs qui n'avaient pas vraiment besoin de ça. Et plane toujours la menace d'une "réforme" des retraites qui, là encore, serait un vrai bond en arrière. Finalement, ce président est-il si intelligent que ça? En tout cas, il n'arrive pas à se débarrasser de son logiciel ultra-libéral.
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Bonjour, En déplacement à Rodez ce mardi 3 octobre pour défendre la réforme des retraites, le président de la République a expliqué ne pas "adorer" le terme de "pénibilité", "parce que ça donne le sentiment que le travail serait pénible". Qu'ils sont douillets, ces prolos… En pleine campagne présidentielle, l'ex-banquier d'affaires avait déjà fait le coup, devant les représentants de la Confédération des petites et moyennes entreprises : "Je n’aime pas le terme [de pénibilité] donc je le supprimerai. Car il induit que le travail est une douleur", avait-il déjà expliqué. N'en déplaise au président de la République, une étude de la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) de 2016 montrait bel et bien que 69,7 % des ouvriers étaient quotidiennement exposés à au moins un facteur de pénibilité. C'était également le cas pour 35,7 % des employés, 24,4 % des professions intermédiaires, et seulement 12,2 % des cadres. La même enquête montrait que 26 % des ouvriers subissaient au moins trois facteurs de pénibilité, contre 0,5 % des cadres. L'Insee relevait quant à lui, également en 2016, un écart moyen d'espérance de vie à 35 ans de 6,4 années entre un homme ouvrier et un homme cadre. Quant aux femmes, l'écart moyen d'espérance de vie entre une ouvrière et une cadre était de 3,2 années. "Ceux qui ne sont rien" en apprécieront d'autant plus cette nouvelle sortie… Article entier
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Une vidéo plutôt bien faite sur notre président de la république...
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J'ai commencé à regarder la conférence de presse de Macron; il devait soi-disant faire un discours liminaire d'une vingtaine de minutes, en fait ça a duré près d'une heure; en plus je m'attendais à l'annonce de mesures concrètes, et j'ai eu droit à un catalogue de bons sentiments et de vœux pieux. Bref, je me suis endormi... pour me réveiller 5 minutes avant la fin. Après les questions ont commencé, mais ça a continué dans le même style avec de très longues réponses soporifiques... Donc j'ai éteint ma télé pour mettre de la musique. Alors si quelqu'un pouvait faire un résumé... A-t-il vraiment annoncé des mesures, ou bien s'est-il contenté de déclarations d'intention, de généralités et de promesses? En tout cas de ce que j'en ai vu, il n'y avait sûrement pas de quoi calmer les Gilets jaunes.
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Elu au second tour de la présidentielle de 2017 par 43% des électeurs inscrits, Macron doit sa victoire, non seulement à l'appui des éditocrates et acteurs financiers qui ont très largement soutenu sa campagne, mais aussi à la chance qu'il a eu d'être opposé au second tour à la plus repoussante des candidates. Le chantage insupportable du "votez pour moi, sinon vous aurez le pire" n'est pas né avec Macron : Valls nous l'avait déjà copieusement servi en son temps. Ainsi Macron est élu avec une très faible légitimité pour gouverner, et peut-être n'y aurait-il pas eu de gilets jaunes s'il avait observé un peu plus d'humilité et d'écoute dans sa pratique du pouvoir. Toujours est-il qu'il a été légalement et régulièrement élu, et tout légaliste ne peut qu'accepter cette élection. Ceci n'empêchant en rien la contestation de sa politique. Mais au-delà de sa très contestable légitimité à gouverner, Macron était légitime à présider. Et son seul véritable mandat était de préserver la démocratie, l'Etat de droits et les valeurs de la République contre l'extrême droite réactionnaire, xénophobe et autoritaire. Le fait est que la stratégie politique de la macronie n'a pas changé : il n'y a qu'un seul adversaire reconnu, et il s'appelle Le Pen. En conséquence, il a tenté en vain de nous dire qu'il fallait absolument qu'on vote pour sa liste aux européennes pour barrer la route au RN. Cela sans considération pour le fait que, peu importe son nombre de députés européens, le RN ne représentait aucune menace à ce scrutin. Cette stratégie (qui a échouée) n'a eu comme conséquence que de légitimer l'extrême droite, lui conférant le statut de "seul véritable opposant à la macronie". Mais si on observe la politique menée par Macron, ne s'aperçoit-on pas qu'il marche avec elle ? En passant sur le fait que les nationalistes montent partout d'autant plus vite et d'autant plus haut que les libéraux ont sabordé l'Etat, les services publics, la souveraineté, etc. ; comment l'Etat de droits a-t-il évolué depuis trois ans et demi ? Mon constat est sans appel : si demain un gouvernement autoritaire prend le pouvoir en France, il sera infiniment reconnaissant à la macronie de l'avoir précédé. Car nombre de reculs de l'Etat de droits sont à déplorer, nombre de brèches ont été ouvertes. Aussi, si j'avais envisagé de voter contre Le Pen au second tour en 2017 (ce que je n'ai finalement pas fait car la menace n'était si grande), je sais d'ors et déjà maintenant que dans l'hypothèse d'un second tour similaire en 2022, je ne choisirais pas. Ce que je vous propose ici, c'est de tenter d'élaborer la liste exhaustive de ces reculs démocratiques. J'en ai quelques uns en tête, mais je crains que ma mémoire ne suffise pas. Merci d'avance aux contributeurs.
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https://news.sfr.fr/actualites/politique/macron-a-t-il-utilise-l-argent-de-bercy-pour-lancer-en-marche-1088624.html Selon les présidents des groupes UDI et LR à l'Assemblée nationale, Emmanuel Macron doit s'expliquer sur l'utilisation d'argent public dans le cadre de son projet politique En Marche! après les révélations d'un livre consacré à son passsage à Bercy. Avec quel argent Emmanuel Macron a-t-il lancé En Marche! ? Les chefs de file des députés LR et UDI, Christian Jacob et Philippe Vigier, s'en sont pris ce mardi au candidat à l'élection présidentielle, dénonçant le "mensonge" et l'"imposture" de l'ancien ministre de l'Economie sur des frais de représentation à Bercy. Des accusations qui interviennent alors que le livre enquête Dans l'enfer de Bercy: Enquête sur les secrets du ministère des Finances (JC Lattès, 2017) - qui sort cette semaine - revient sur les habitudes dispendieuses d'Emmanuel Macron lors de son passage à Bercy. "A quoi ont servi ces 120 000 euros?" "Il y a des choses importantes qu'on a apprises hier, notamment au niveau des frais de bouche, puisque 120 000 euros des crédits du ministre à Bercy [ont été utilisés] pour des agapes En marche!, pour réunir tel ou tel, pour préparer sa campagne présidentielle", a indiqué, lors d'une conférence de presse, Philippe Vigier. "Franchement, celui qui nous expliquait dans une déclaration, que pas un seul euro d'argent public serait utilisé pour sa campagne, manifestement, c'est un mensonge", a insisté l'élu d'Eure-et-Loire. Selon l'ouvrage des journalistes Frédéric Says et Marion L'Hour, en 2016, Emmanuel Macron aurait utilisé "à lui seul" 80% de l'enveloppe annuelle des frais de représentation accordée à son ministère. Soit environ 120 000 euros du 1er janvier au 30 août, date de son départ de Bercy. Une période au cours de laquelle le ministre aurait multiplié les rencontres informelles à Bercy dans le but de préparer le lancement de son mouvement En Marche!. "Il n'y a pas de raison que M. Macron soit traité différemment" "Nous, on demande simplement la transparence. Et Michel Sapin qui dit: 'J'ai rien vu'. On n'a pas vu qu'il avait une ambition présidentielle et qu'il consommait quasiment à lui seul une immense partie des crédits de représentation du ministère, notamment des frais de bouche? On va demander la clarification. C'est de l'argent public, 120 000 euros, ce n'est pas une petite somme. A quoi ont servi ces 120 000 euros?" a insisté le responsable centriste. ===========================================================================================================